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Emmanuel Macron en tête-à-tête avec Denis Sassou-N’Guesso au palais de l’Elysée à Paris

En visite officielle à Paris en France, le Président de la République, Denis Sassou-N’Guesso a été reçu ce vendredi 23 mai 2025 au Palais de l'Elysée par son homologue français, Emmanuel Macron.

Les deux Chefs d'État ont eu des discussions cruciales visant à approfondir la coopération entre les deux pays dans les secteurs de l'économie, de la défense, de l'éducation, de l'environnement, de la culture et de la justice.

Les Présidents Emmanuel Macron et Denis Sassou-N’Guesso ont échangé également sur les questions africaines notamment l'évolution de la situation politique et sécuritaire en République Démocratique du Congo, en Libye et au Soudan.

L'élection prochaine du nouveau Directeur général de l'UNESCO a également figuré au menu des entretiens entre Emmanuel Macron et Denis Sassou-N’Guesso, surtout au moment où le Congo porte la candidature de Firmin Édouard Matoko.

Signalons qu'au terme des échanges entre les deux Présidents, cinq accords de coopération ont été signés entre les deux parties parmi lesquels l'accord judiciaire.

Après le Palais de l’Elysée, le Président congolais s’est rendu au Sénat où il a été reçu à 15h30 par Gérard Larcher, président de cette institution.

Cliquer sur la photo pour lire la vidéo

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photos : DR

Créé le 2025-05-23 16:44:44

RDC : Joseph Kabila a pris acte de la décision du Sénat de lever ses immunités

Joseph Kabila a pris acte, sur son compte X, de la décision du Sénat de la RDC de lever ses immunités, ouvrant la voie à des poursuites judiciaires contre l’ancien président et sénateur à vie, accusé d’être complice du groupe armé M23.

« Je prends acte de la décision du Sénat de lever mes immunités. Ce geste, orchestré dans la précipitation et sans respect des équilibres institutionnels, n’est pas un acte de justice. C’est une manœuvre politique désespérée, dans un contexte de panique généralisée au sommet de l’État », a écrit Joseph Kabila sur son compte X.

« Je n’ai jamais fui mes responsabilités, ni devant le peuple, ni devant l’Histoire. Je n’ai pas besoin d’immunité pour faire face — mais ceux qui me désignent aujourd’hui comme cible devraient déjà réfléchir à ce qu’ils répondront demain. Car ce pays n’est pas amnésique. Il sait qui a construit, et il sait qui détruit. À ceux qui croient que lever mes immunités, c’est effacer leur échec : vous vous trompez », a-t-il ajouté.

Selon Joseph Kabila, « la vérité ne se vote pas. Elle s’impose. Et elle viendra ».

Les sénateurs se sont prononcés à bulletins secrets, par 88 voix pour et cinq voix contre, sur la levée de l’immunité de M. Kabila et l’autorisation de poursuites contre ce dernier devant la justice militaire. Ils ont suivi les recommandations d’une commission spéciale dont la totalité des quarante membres sénateurs se sont prononcés en faveur de la mesure.

« Par conséquent, le Sénat autorise les poursuites et la levée de l’immunité de Joseph Kabila, sénateur à vie », a déclaré le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, à l’issue du vote lors d’une session plénière retransmise en direct à la télévision nationale (RTNC).

Joseph Kabila, 53 ans, a dirigé le vaste pays d’Afrique centrale pendant dix-huit ans entre 2001 et 2019. Il a quitté le pouvoir avec le titre de sénateur à vie et une immunité parlementaire.

Son successeur et actuel président, Félix Tshisekedi, l’accuse d’être complice du groupe armé antigouvernemental M23, dans un contexte d’intensification du conflit dans l’est du pays.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photos : DR

Créé le 2025-05-23 12:50:05

Brazzaville : évasion massive des jeunes criminels connus sous le nom « bébés noirs », plus de cinq morts par balles et plusieurs blessés

Dans la nuit de jeudi à vendredi, pendant que les conditions météorologiques étaient médiocres, il a été enregistré une évasion massive des jeunes criminels connus sous le nom « bébés noirs », entassés après leur interpellation lors de l'opération « coup de poing », à la CNSS de Texaco, au bâtiment B. Les grilles ont été forcées sous la pluie et l’incident a fait plus de cinq morts par balles et plusieurs blessés. Plus de 130 détenus se sont évadés, a-t-on appris auprès d’une source policière.

Selon la même source, ces jeunes criminels attendaient leur intégration à Aubeville (Bouenza) et à Bokania (Cuvette), les deux centres de rééducation et d’insertion.

Malheureusement, la mise en état de fonctionnement de ces centres est reportée aux calendes grecques.

En octobre dernier, la police avait signalé une tentative d'évasion stoppée par des agents de sécurité.

Cette fois-ci aucun "bébé noir" n'a pu se faire la belle alors que le 29 juillet dernier, aux environs de 2h du matin, une dizaine d'entre eux avait réussi à s'échapper après avoir défoncé la grille d'une cellule. Sur la vingtaine d’individus impliqués, une dizaine a pu être rattrapée par les autorités.

En août dernier, le procureur de la République, André Oko Ngakala, a effectué une visite au site de Texaco la Tsiémé, où sont actuellement détenus plusieurs « bébés noirs » arrêtés dans le cadre de l’opération « Coup de poing ».

Lors de cette visite, il a appelé les forces de l’ordre à la pérennisation de cette opération pour assurer la sécurité et la quiétude des habitants de Brazzaville.

Lancée le 14 mai 2024 par le Commandement de la région de Gendarmerie et le Commandement territorial de la police de Brazzaville, cette opération vise à rétablir l’ordre public et à permettre aux citoyens de vaquer à leurs occupations en toute sécurité.

Cette opération a conduit à l’arrestation de plus de 300 personnes, désormais placées en détention dans un site particulier à Texaco la Tsiémé.

Malgré les efforts fournis par les forces de sécurité, le pays est toujours confronté à une vague de criminalité organisée due à un enchevêtrement de multiples facteurs de vulnérabilité dans l'appareil de l'Etat.

Les armes blanches pullulent malgré la présence des postes avancés dans plusieurs quartiers de Brazzaville. Les fusils à canon scié et crosse coupée sont à la mode pour braquer. Ils se portent sous un vêtement ample ou même à califourchon sur une moto.

L'insécurité ressentie dans les quartiers de Brazzaville connaît une tendance à la hausse significative. Déstabilisée par la consommation de drogue et la pression migratoire, la ville a basculé dans une violence aux accents latino-américains, la capitale congolaise n'est plus l'Eden du temps d'avant. L'alcool et les rassemblements musicaux agissent comme des mèches lentes. Les armes comme des détonateurs.

Chaque automobiliste ou presque dispose de sa machette, indispensable face à une nature sauvage. C'est un équipement de sécurité, au même titre que la roue de secours.

Au cours du traditionnel réveillon d’armes de fin d’année, le 31 décembre dernier à Brazzaville, Denis Sassou-N’Guesso, le chef suprême des armées, assure avoir « entendu que vous vouliez que cela change ». Il en a profité surtout pour tracer quelques perspectives pour l’année 2025.

Le Président de la République a demandé à la force publique de poursuivre, en 2025, l’effort d’éradication complète du grand banditisme dans les grandes villes et à l’intérieur du pays. En sus de l’éradication du grand banditisme urbain, la force publique devrait également contrôler les frontières nationales afin qu’elles ne soient pas des passoires des hors-la-loi venus d’ailleurs.

« Ainsi, avec la mise en œuvre des missions permanentes comme cela vient d’être dit par le chef d’état-major général des Forces armées congolaises et des quelques instructions que je viens de donner et avec le lien étroit qui existera toujours entre la Force publique et son peuple, nous pensons que nous allons maintenir un climat de paix totale dans notre pays », a déclaré le chef suprême des armées.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2025-05-23 11:53:12

RDC : Le Sénat a levé les immunités du Sénateur à vie Joseph Kabila accusé par le gouvernement de « participation directe » au M23

En RDC, le Sénat a prononcé, jeudi 22 mai, la levée de l’immunité parlementaire de Joseph Kabila, ouvrant la voie à des poursuites judiciaires contre l’ancien président et sénateur à vie, accusé d’être complice du groupe armé M23.

Les sénateurs se sont prononcés à bulletins secrets, par 88 voix pour et cinq voix contre, sur la levée de l’immunité de M. Kabila et l’autorisation de poursuites contre ce dernier devant la justice militaire.

Ils ont suivi les recommandations d’une commission spéciale dont la totalité des quarante membres sénateurs se sont prononcés en faveur de la mesure.

« Par conséquent, le Sénat autorise les poursuites et la levée de l’immunité de Joseph Kabila, sénateur à vie », a déclaré le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, à l’issue du vote lors d’une session plénière retransmise en direct à la télévision nationale (RTNC).

Joseph Kabila, 53 ans, a dirigé le vaste pays d’Afrique centrale pendant dix-huit ans entre 2001 et 2019.

Il a quitté le pouvoir avec le titre de sénateur à vie et une immunité parlementaire.

Son successeur et actuel président, Félix Tshisekedi, l’accuse d’être complice du groupe armé antigouvernemental M23, dans un contexte d’intensification du conflit dans l’est du pays.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photos : DR

Créé le 2025-05-23 10:46:38

Congo : Vingt et une tonnes de produits cosmétiques et alimentaires jugés avariés et impropres à la consommation détruite à Ignié

Les produits impropres à la consommation et à tout autre usage, identifiés ont été mis hors du circuit commercial et détruits le weekend dernier à Ignié dans le département de Djoué-Léfini par le Directeur départemental de la Concurrence et de la répression des fraudes (DDCRF), Blaise Mayama Kouenda. Cette action s’inscrit dans le cadre d’une vaste opération de lutte contre les produits périmés et impropres à la consommation humaine.

« Ces produits ont été saisis par des gendarmes commerciaux dans les chambres froides et magasins de Brazzaville », a déclaré le Directeur départemental de la Concurrence et de la répression des fraudes avant d’affirmer qu’une partie des avaries a été signalée par des commerçants et consommateurs consciencieux, tandis que d’autres ont été détectés par les services de contrôle.

M. Mayama Kouenda affirme son engagement à poursuivre la lutte contre les commerçants malhonnêtes qui mettent en danger la vie des populations à travers la vente des produits avariés.

Selon lui, ces avaries sont dues à de mauvaises conditions de conservation et à la faible attention accordée aux dates d’expiration.

Les opérateurs doivent changer leur comportement. Et la santé de la population interpelle tout le monde. La qualité est transversale.

Tout le monde doit contribuer à ce que l’aliment soit sain pour les consommateurs de façon générale.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2025-05-23 10:17:16

Congo : Plaidoyer climatique : Michel innocent Peya signe "criminalité écologique et environnementale", un livre qui cadre avec les enjeux impulsés par la vision écologique du Président Denis Sassou-N'Guesso

Trouver des réponses adéquates face aux attaques environnementales dans le monde, un phénomène souvent subtilement mené et qui prend des proportions quasi criminelles, voilà qui se révèle être un véritable casse-tête, les États et même les organismes de lutte pour la protection de l’environnement. La perspective de la criminologie environnementale mène donc à la réévaluation de la notion de crime et au développement d’un nouveau paradigme afin de concevoir la justice écologique et durable au-delà de la conception légaliste. Cette thématique est au cœur du récent ouvrage de l’écrivain chercheur congolais, Michel Innocent Peya : La criminalité écologique et environnementale - Plaidoyer de Denis Sassou N’Guesso pour une justice verte face au silence des États et à la détérioration de la planète.

Ce livre paru en février 2025 aux Éditions Tropiques Littéraires à Paris, traite de ce que, la criminalité environnementale n’est plus seulement un enjeu majeur pour les États du monde, elle est devenue à ce jour l’une des principales menaces existentielles pour la planète.

 

Dans cet ouvrage, la criminalité environnementale est notamment présentée comme une somme d’enjeux de sécurité pour les organisations et un accent particulier est mis sur son impact sur plusieurs entités (entreprises, communautés, etc.).

Sa pratique connaît un développement croissant du fait de l’utilisation de techniques largement éprouvées dans d’autres secteurs et par la faiblesse des sanctions pénales dans ce domaine.

Pour l’auteur, « Les prédations sur la biodiversité, qui peuvent conduire à des risques d’extinction des espèces, et la hausse des pollutions volontaires bouleversent les équilibres naturels et mettent en danger les populations et le monde de demain.

Face à cette situation, les normes et conventions spécifiques à l’environnement sont peu contraignantes et facilement contournables par les organisations criminelles. C’est pourquoi chaque pays doit mener, en collaboration avec les autres, des actions de renseignement et de répression au niveau douanier et policier sur le plan judiciaire, financier et patrimonial, dans un cadre international renforcé. »

Avouons que ce livre s’inscrit dans une véritable suite des idées pour l’auteur qui en quelques sortes faits une synthèse des actions multiformes de diplomatie climatique menées dans ce sens et pour lesquelles il s’est souvent impliqué en quasi VRP de l’action écolo-visionnaire du Président Denis Sassou N’Guesso, car la sensibilisation est une forme d’action, plus l’information est relayée, selon Michel Innocent Peya, plus elle aura de chance d’arriver aux oreilles des gouvernements de chaque pays qui pourront ainsi agir en conséquence.

De fait, lundi 5 juin 2024, la diplomatie climatique de Michel Innocent Peya, axée sur la thématique de la criminalité écologique et environnementale débutait par le Ministère de la Transition écologique, Boulevard Saint Germain, Hôtel de Roquelaure, au cabinet de Bérangère Couillard, secrétaire d’État à l’écologie d’alors. Le docteur Michel Innocent Peya eut un tête-à-tête avec la ministre.

En véritable VRP de l'écologie congolaise, l’écrivain dégageait le sens de son combat et relevait l’expérience congolaise en matière de sauvegarde de l’environnement et notamment la protection du Bassin du Congo, cher au leader écolo-visionnaire, Denis Sassou N’Guesso.

Voilà qui dessinait une réelle convergence de vue avec la politique française en matière d’écologie et notamment la protection de la faune et de la flore.

La question de La criminalité écologique et environnementale fut longuement abordée entre la ministre Bérangère Couillard et son hôte du jour, Michel Innocent Peya.

Bérangère Couillard qui salua les efforts et engagements du Congo en la matière, releva que la France était disposée à une mutualisation des moyens pour la sauvegarde de la planète et entendait accompagner le Congo, dans ce noble combat.

Au ministère des Affaires étrangère et de l’Europe, l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya fut reçu par l’ambassadrice adjointe pour l’environnement, Emmanuelle Matras-Swynghedauw. La criminalité écologique et environnementale fut également au cœur des entretiens entre Emmanuelle Matras-Swynghedauw et Michel Innocent Peya.

Aussi l’ambassadrice adjointe exposa-t-elle les enjeux de la Conférence sur la criminalité environnementale et le conflit homme-faune de Libreville au Gabon, à laquelle la France est partie prenante.

Cette conférence qui se tiendra du 10 au 11 juillet 2025, a pour objectif de rassembler les acteurs clés d'Afrique centrale et du monde entier pour discuter des enjeux urgents liés à la criminalité environnementale, à la déforestation illégale et aux conflits croissants entre l’homme et la faune.

En réunissant des experts et des décideurs, l'événement vise à trouver des solutions durables aux menaces qui pèsent sur les forêts du Bassin du Congo, un patrimoine vital pour l’équilibre climatique mondial.

Dire que le livre de Michel Innocent Peya, ‘’La criminalité écologique et environnementale - Plaidoyer de Denis Sassou N’Guesso pour une justice verte face au silence des États et à la détérioration de la planète’’, consacre également cette convergence de vue, entre le Congo et la France, dans le combat pour la sauvegarde de la planète.

Préférant avancer ses idées plutôt que sa personne, véritable porte étendard dans la diffusion des idées du combat écologique que mène le Président congolais, Denis Sassou N’Guesso pour la protection de la planète, un chapitre entier de l’ouvrage aborde la « Nécessité de construction d’une vraie justice environnementale internationale d’après la pensée de Denis Sassou N’Guesso. »

L’auteur y relève que « Les atteintes à l’environnement constituent un problème international grave dont l’ampleur ne cesse de croître et qui revêt des formes très diverses. Ces atteintes ne connaissent pas de frontières et peuvent avoir des conséquences néfastes sur l’économie, la sécurité voire l’existence d’un pays.

Dans de nombreux cas, les infractions relevant de la criminalité liée aux espèces sauvages ou à la pollution par exemple sont commises par des réseaux criminels organisés attirés par les faibles risques et les importants bénéfices associés à ce type d’activités.

À l’heure de la mondialisation, il est nécessaire de mettre en place une stratégie internationale pour combattre cette forme de criminalité mais aussi et surtout une justice environnementale juste et efficace enfin de sauver la planète.»

Ce chapitre démontre comment nous allons pas à pas vers une justice environnementale à l’échelle internationale laquelle justice doit être construite rapidement au regard de nombreuses et graves atteintes à l’environnement auxquelles le monde est confronté et les générations futures sont exposées. Il a comme substrat, la vision et la pensée verte du Président Denis Sassou N’Guesso voire son plaidoyer pour le salut de la planète et en faveur des générations futures, qu’il a décliné dans son projet de société « ensemble poursuivons la marche » devenu son programme de gouvernement dans son volet n°5 intitulé « l’appropriation du développement durable. »

Le Président Denis Sassou y indique qu’ ‘’Il est aujourd’hui communément admis que le développement durable, c’est à la fois un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement tolérable. Il s’agira principalement de restaurer et de préserver les écosystèmes, de gérer de façon durable les ressources naturelles, de lutter contre la désertification, d’enrayer le processus environnementaux, pour réparer les préjudices subis ou pour réhabiliter des milieux. Il repose sur des principes fondamentaux tels que la préservation de la diversité biologique et la conservation des ressources naturelles, la précaution, la prévention et l’évaluation des conséquences environnementales de tout projet, la concertation et la participation de toutes les parties prenantes, l’accès à l’information. Il repose également sur d’autres outils comme le droit à l’environnement, qui implique en matière de justice environnementale, le droit à un niveau de protection sans aucune discrimination.

La justice environnementale c’est par exemple, un égal accès aux facilités urbaines mais aussi l’exposition de façon égale aux risques et nuisances sonores. Par ailleurs, plus qu’un concept tentant d’appréhender les impacts des décisions environnementales sur les populations défavorisées, la justice environnementale s’intéresse, entre autres, à la répartition des charges environnementales entre les populations, et entre pays du Sud et du Nord.’’

Signalons qu’un autre ouvrage de Michel Innocent Peya : La gestion des océans face aux changements climatiques, paru aux Éditions Tropiques Littéraires à Paris, en mars 2025, colle à l’actualité, au moment où Nice accueille du 9 au 13 juin 2025, la troisième Conférence des Nations unies sur l’Océan (UNOC 3), coorganisée par la France et le Costa Rica.

Dans cet ouvrage : « La gestion des océans face au changement climatique - défis et enjeux de la vision verte et du combat écologique de Denis Sassou N’Guesso », Michel Innocent Peya rappelle la place qu’occupent les océans dans la régulation du climat mondial. Malheureusement, signale l’auteur, face aux changements climatiques, et leur cortège de malheurs, à travers le monde, l’océan n’est nullement épargné.

Pourtant indique l’auteur, c’est le plus grand écosystème de la planète, avec 71% de la surface du globe et plus de 90% du volume d’habitat disponible pour le monde vivant. Puit de carbone et grand réservoir de chaleur, l’océan joue un rôle régulateur, en limitant le réchauffement climatique global. Il occupe une place centrale dans la société, car environ 30% d’êtres humains dépendent largement des ressources en protéines d’origine marine.

De fait, Michel Innocent Peya dénonce toute activité humaine qui affecte quotidiennement la capacité des océans à limiter les effets néfastes des changements climatiques. Et, dans la trajectoire de la vision verte et du combat écologique du Président Denis Sassou N’Guesso, l’écrivain-chercheur Michel Innocent Peya revient sur l’urgence de la mise en place d’une véritable gouvernance, qui contribuerait au maintien de la qualité fonctionnelle des écosystèmes marins et permettrait de restaurer ce qui se dégrade chaque jour.

Cliquez sur la photo pour lire la vidéo

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-05-22 19:45:48

Aux Invalides, les honneurs militaires rendus à Denis Sassou-N’Guesso

Ce jeudi 22 mai 2025, une grande cérémonie d’accueil est organisée aux Invalides. Honneurs à la hauteur des grands hommes d’Etat. Une manière exaltante pour l’armée française de souhaiter la bienvenue au numéro un congolais à Paris.

Un protocole très impressionnant est au rendez-vous pour l’accueil du locataire du Palais du peuple.

Entièrement vidée des voitures et des passants, l’esplanade des Invalides est, depuis le milieu de la journée, complètement cernée par les services de sécurité.

Les Invalides accueillent entre autres, le tombeau de l’empereur Napoléon 1er, puis celui du maréchal Foch, un des plus grands chefs militaires de la Première guerre mondiale.

Cliquer sur la photo pour lire la vidéo.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photos : DR

Créé le 2025-05-22 19:10:59

Le personnel de la Cité Scientifique de Brazzaville (ex ORSTOM) se déclare en grève pour recevoir trente mois d’arriérés de salaire

Les agents de la Cité Scientifique de Brazzaville (ex ORSTOM) se sont mis en grève ce jeudi 22 mai 2025. Ils exigent le paiement de trente mois d’arriérés de salaire.

Cette grève est l’expression d’un ras-le-bol, a expliqué un gréviste sous couvert de l’anonymat : « Nos salaires sont irréguliers, nous passons 30 mois sans salaire. Donc cette fois-ci, nous avons décidé de nous rendre en grève générale illimitée jusqu'à ce que les plus hautes autorités du pays arrivent à nous proposer un salaire régulier ».

La situation de la Cité Scientifique de Brazzaville (ex ORSTOM) est délicate et va au-delà de ce que l’on peut penser.

Exaspérés parce qu'abandonnés à leur  triste sort depuis trente mois, la situation sociale de ces agents de la Cité Scientifique de Brazzaville laisse à désirer.

 Ils condamnent surtout le silence de la direction générale.

Si pour l’heure, aucun signe ne semble annoncer une issue favorable, les employés de l’ex ORSTOM, qui n'ont plus jamais perçu leur salaire depuis trente (30) mois consécutifs, espèrent toutefois qu’une solution sera trouvée.

Pour le moment, ils sont tous dans l’expectative.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photos : DR

Créé le 2025-05-22 17:37:15

Denis Sassou-N’Guesso à Paris pour réaffirmer les liens d’amitié historiques entre le Congo et la France

Sur invitation du Président Emmanuel Macron, le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso, est arrivé à Paris en France pour une visite de travail.

Le déplacement du président congolais dans la capitale française sur invitation du Président Emmanuel Macron constitue une opportunité majeure pour réaffirmer les liens d’amitié historiques entre le Congo et la France et redynamiser leur partenariat dans des domaines d’intérêt mutuel.

La France et le Congo se placent également à l'avant-garde dans la préservation des écosystèmes et la lutte contre les changements climatiques, un domaine dans lequel le Président congolais Denis Sassou N'Guesso ne ménage aucun effort.

La France entretient depuis toujours des relations privilégiées de coopération avec la République du Congo et se place aujourd’hui au premier rang des bailleurs de fonds bilatéraux.

Près de 200 entreprises ayant des intérêts français sont présentes en République du Congo, pour la moitié au travers de filiales de sociétés françaises, auxquelles s’ajoutent autant d’entreprises congolaises ayant un management et/ou des actionnaires français.

Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Elysée, la relation entre le Congo et la France reste toujours forte.

Après des décennies d’investissements politiques et économiques, la stratégie de la France évolue pour préserver ses intérêts au Congo-Brazzaville.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photos : DR

Créé le 2025-05-22 10:14:45

RDC : Constant Mutamba dans le viseur de la justice pour détournement présumé de près de 20 millions de dollars

Le procureur général près la Cour de cassation a saisi l’Assemblée nationale pour obtenir la levée des immunités du ministre de la Justice Constant Mutamba pour détournement présumé de près de 20 millions de dollars concernant un projet de construction d'une prison à Kisangani.

Interrogé par RFI, le ministre de la Justice Constant Mutamba confirme l'existence du projet, qualifié de priorité nationale pour désengorger les prisons de la région.

Il précise que le coût global du projet est estimé à 29 millions de dollars, avec une durée de 18 mois pour la construction d'une prison de 3 000 places.

Selon lui, c'est un projet qui s’inscrit dans un programme plus large de réforme pénitentiaire, avec notamment quatre maisons d’arrêt prévues à Kinshasa.

Constant Mutamba ajoute que les 19 millions de dollars déposés sont placés dans un compte séquestre et ne sont pas encore accessibles à l'entrepreneur.

À ce jour, le dossier est toujours en examen à la primature, et aucune décision définitive n'a encore été rendue par la Première ministre Judith Suminwa.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2025-05-21 15:29:08

Le personnel de l’hôpital général de Djiri lance un préavis de grève

La section syndicale des travailleurs de la santé et des affaires sociales de l’hôpital général de Djiri situé à Nkombo (Brazzaville) vient de déposer un préavis de grève de sept (07) jours à compter du lundi 19 mai 2025. Cette annonce survient dans un contexte déjà tendu au sein de cette structure sanitaire, où les travailleurs expriment depuis plusieurs mois des préoccupations croissantes concernant leurs conditions de travail et la gestion rationnelle de cet hôpital inauguré le 15 décembre 2021 par le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso.

Le préavis de grève déposé lundi 19 mai 2025, est une étape importante dans le bras de fer engagé entre le personnel de santé et la direction de l’hôpital général de Djiri.

Les syndicats représentants du personnel ont précisé qu’avant de passer à l’action, ils espéraient encore un dialogue constructif avec la direction générale pour tenter de trouver une issue pacifique à la crise. Mais si ces discussions échouent, les employés se réservent le droit de suspendre leurs activités. Ce qui pourrait entraîner d’importantes perturbations à l’hôpital général de Djiri, dont la mise en service permet aux habitants de Brazzaville Nord de ne plus faire de trop longues distances et affronter les embouteillages pour leurs besoins en soins de santé.

Le préavis de grève déposé lundi 19 mai 2025, est une étape importante dans le bras de fer engagé entre le personnel de santé et la direction de l’hôpital général de Djiri.

Les syndicats représentants du personnel ont précisé qu’avant de passer à l’action, ils espéraient encore un dialogue constructif avec la direction générale pour tenter de trouver une issue pacifique à la crise. Mais si ces discussions échouent, les employés se réservent le droit de suspendre leurs activités. Ce qui pourrait entraîner d’importantes perturbations à l’hôpital général de Djiri, dont la mise en service permet aux habitants de Brazzaville Nord de ne plus faire de trop longues distances et affronter les embouteillages pour leurs besoins en soins de santé. Ils n’avaient que l’hôpital de référence de Talangaï et le Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville (CHUB) pour cela.

L'issue de cette situation reste incertaine, mais est révélatrice du contexte économique actuel où l’inflation est galopante et la pression accrue sur les travailleurs.

L’hôpital général de Djiri propose entre autres aux patients,  13 services cliniques et paracliniques, à savoir la pédiatrie, la néonatalogie, l’imagerie (Radio, scanners et IRM), laboratoire (y compris la PCR), la pharmacie médicale, les urgences, la réanimation, la gynécologie obstétrique, le bloc opératoire, la stomatologie, l’ophtalmologie, l’ORL et la chirurgie. Ces services sont complétés par 5 autres services techniques d’appui nécessaires à la bonne prise en charge et au traitement des patients.

Construit sur une superficie globale de 504 500 m², l’hôpital général de Djiri dispose d’une capacité 210 lits. Il compte un bâtiment principal de 13 000 m2, abritant l’ensemble des services.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

 

 

Créé le 2025-05-21 14:06:46

Congo-Bac session de juin 2025 : les centres d’examen sont désormais disponibles

Le Président général des jurys du Baccalauréat, session de juin 2025, informe la communauté éducative ainsi que les candidats au baccalauréat, session de juin 2025, dans un communiqué, dont une copie est parvenue à notre rédaction, que les centres d’examen sont désormais disponibles.

Pour les consulter, les candidats doivent se rendre sur le site : bac.meppsa.org, selon le même communiqué.

Au Congo-Brazzaville, le baccalauréat aura lieu du 17 au 20 juin 2025.

Le premier jour sera consacré à l’épreuve des mathématiques pour toutes les séries : littéraires et scientifiques. Le 18 juin, les littéraires feront les langues (français et anglais) tandis que les séries C et D passeront les épreuves des sciences physiques et anglais. L’histoire, la géographie et la deuxième langue sont au programme pour les séries A, le 19 juin au moment où les scientifiques feront les épreuves des sciences de la vie et de la terre ; l’histoire ou la géographie.  Le 20 juin, dernier jour des épreuves écrites, les séries A feront la philosophie et l'éducation physique. Les candidats des séries C et D feront le français ou la philosophie.

En ce jour, au baccalauréat, il y a 94181 candidats inscrits.

Deux cent quarante (240) candidats au baccalauréat, session de juin 2025, des écoles publiques et privées, ne passeront pas les épreuves de cet examen d’Etat de l'enseignement général.

« Ils ont tous repris les classes de première au titre de l’année scolaire 2023-2024 et ont frauduleusement pris l'inscription au baccalauréat », indique une note de service signée du ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2025-05-21 11:26:10

RDC : l’ex-Premier ministre Matata Ponyo condamné à 10 ans de travaux forcés pour le détournement de plus de 245 millions de dollars

Quand la justice tarde à agir, c'est qu'elle est allée au loin chercher de gros bâtons verts et flexibles pour mieux châtier les coupables dit un proverbe peul. En RDC, c’est finalement la fin d’une saga judiciaire qui a connu plusieurs rebondissements depuis son ouverture en 2021. La Cour constitutionnelle a condamné mardi 20 mai 2025 l’opposant et ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo (2012 - 2016) à 10 ans des travaux forcés pour le détournement de plus de 245 millions de dollars destinés au projet du parc agro-industriel de Bukangalonzo, à la sortie de la capitale Kinshasa. Ses complices actuellement à l'étranger : l’ancien gouverneur de la Banque centrale Deogratias Mutombo et l’homme d’affaires sud-africain Christo Grobler ont écopé de cinq ans de prison.

La cour a conclu que Augustin Matata Ponyo avait « conçu, participé et bénéficié » au détournement de fonds en validant des paiements surfacturés et des travaux non exécutés. Plus de 156 millions de dollars pour le parc agro, et 89 millions de dollars alloués à la construction du marché international de Kinshasa, deux projets qui n'ont jamais abouti.

La cour a souligné que Augustin Matata Ponyo avait usurpé les fonctions de ministre des Finances qu’il venait d’occuper avant d’être Premier Ministre.

Sans surprise, la cour a ordonné la confiscation des biens de trois hommes au prorata des sommes détournées.

Si Augustin Matata Ponyo est encore libre ce matin, brandissant son immunité de député national, le parquet général près cette haute cour pourrait très prochainement délivrer un mandat d’arrêt contre l’ancien Premier ministre.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2025-05-21 07:37:44

Congo – Nécrologie : Le ministre Bernard Tchibambéléla s’en est allé !

L’ancien ministre Bernard Tchibambéléla est décédé mardi 21 mai aux environs de 3 heures du matin à Brazzaville. Souffrant subitement de douleurs atroces au bas ventre, il s'est subitement écroulé dans les escaliers de sa résidence, trouvant ainsi la mort en prensence de son fils ainé. L’homme qui tire sa révérence aura œuvré dans les hautes sphères de l’administration publique, avant d’embrasser la vie politique. Ce décès inopiné plonge une fois de plus la République dans le deuil.

Il s’est toujours défini comme un homme de devoir, Bernard Tchibambéléla l’aura prouvé toute sa vie, tant dans tous ses actes, il aura œuvré pour l’excellence, avec ce sentiment du devoir accompli, celui pour lequel on éprouve cette fierté d’avoir tout donné et de s’être investi sans compter.

Cette fibre qui distingue les grands hommes, Bernard Tchibambéléla la portait en lui, de par son engagement et son ardeur à labourer parfois les terrains en friche, comme pour tracer en éclaireur, un sentier pour les autres.

De fait, en 1982, Bernard Tchibambéléla conduit sur les fonds baptismaux le Crédit rural du Congo. Cette banque d’un type nouveau est sensée impulser l’action de ‘’retour à la terre’’.

Même si l’expérience s’y prête bien, le directeur général, Bernard Tchibambéléla se la joue modeste. Une pointe d’humilité qui a toujours dessiné sa personnalité, comme si lui, l’ingénieur agronome, docteur en économie et en droit rural, se disait : « le vrai mérite ne se montre point de fierté ».

Les mérites, Bernard Tchibambéléla les a enfilés comme des perles, sans qu’ils ne grisent son moi intérieur, tant il est resté attaché à ce qui a toujours caractérisé son existence, toujours donner le meilleur de soi-même, quel que soit la strate où l’on se trouve.

Aussi, l’homme aura été tour à tour, conseiller du Chef de l’État, directeur du CFCO, directeur de banque, tant en France qu’au Congo, ministre de la pêche et de l'aquaculture, enseignant à l'Institut de développement rural de l'Université Marien Ngouabi de Brazzaville, député et vice-président de l'Assemblée nationale à deux reprises.

Au plan politique, en 1989 Bernard Tchibambéléla, intègre le comité central du Parti congolais du travail. Il en part en 1991, suite à la création du Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral (MCDDI), pour rejoindre son ainé Bernard Kolelas.

Homme d’une grande ouverture d’esprit et surtout attaché aux us et coutumes de son terroir, Bernard Tchibambéléla a toujours su garder ses racines, comme un levier dans la conduite des choses de la vie.

Homme de culture, Bernard Tchibambéléla a publié en 2009, deux ouvrages de belle facture, qui ont marqué les esprits.

‘’Le commerce mondial de la faim, stratégie de rupture positive au Congo-Brazzaville’’, paru aux éditions l’Harmattan.

Ce livre décrit la situation alimentaire des pays en développement avec en toile de fond l'Afrique, avec 200 millions de personnes qui souffrent de la faim. Le Congo Brazzaville regorgeant de vastes potentialités est capable de relever le défi. L'auteur propose d'y parvenir par la mise en œuvre de la stratégie de convergence, fondée sur les synergies du marché et de l'État. Celles-ci sont à même d'impulser l'émergence d'une agriculture cohérente, compétitive, fondement d'une croissance durable...

Le second livre s’intitule : ‘’Sur les ailes du temps – itinéraire d’une enfance africaine’’, un roman autobiographique de 139 pages, paru aux Editions Paari, Brazzaville.

Écrit à un moment où l’auteur se retrouve loin de son pays natal, ce roman qui tire son sujet dans le réalisme primaire congolais, apparait comme un véritable récit autobiographique car utilisant la narration homodiégétique.

C’est un roman de l’enfance des Congolais des années 40-50 qui se révèle avec l’odeur de Brazzaville et du Pool environnant dans une réalité kongo qui traverse le récit du début à la fin. Et des souvenirs qui accentuent l’univers des Congolais de ces années précitées tant les émotions que dégage le narrateur de ce récit sont fortes.

« Sur les ailes du temps » est l’histoire d’un jeune Congolais marqué par la période coloniale dans laquelle se dilue une partie de sa scolarité primaire. Une enfance qui construit un pont entre le village de sa mère et la ville avec son père au service du colon. Ce dernier n’a pas eu l’occasion d’aller à l’école qu’il impose à son enfant. Dès son enfance, celui-ci connait l’école indigène avec l’interdiction de parler la langue maternelle sous peine de tomber dans le piège du désagréable « symbole ».

Ce récit est plein de rebondissements de l’époque avec l’évocation du stade Yougos de Bacongo et des équipes comme La Macumba, La Squadra Azura et Dragons Noirs, des films tels Fû Manchu, Aigle blanc, Superman… Il conte la beauté de la jeunesse de Brazzaville des années 50-60.

Né le 14 juin 1946, à Brazzaville, Bernard Tchibambéléla est décédé le 21 mai 2025 à l’âge de 79 ans.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-05-21 06:33:09

Congo : Plus de 1.000 jeunes bénéficient d'une formation aux métiers grâce au PSIPJ

Afin de lutter contre le chômage et l'insertion professionnelle des jeunes, le Projet de production sociale et d'inclusion productive des jeunes (PSIPJ), en collaboration avec le Ministère des Affaires sociales, de la Solidarité et de l'Action humanitaire, Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa, a procédé, le 19 mai 2025 à Brazzaville, au lancement officiel des formations des jeunes sans-emploi, désœuvrés et vulnérables. 1.029 jeunes, parmi lesquels, 500 filles aux métiers de bâtiment, de l'agriculture, de l'industrie et des services. Initiative par le PSIJP avec l'appui financier de la Banque mondiale.

En effet, ce lancement officiel est l'entame d'un programme des formations destinées aux jeunes déscolarisés, sans-emploi ou actifs dans le secteur informel. C’est le début des formations des jeunes vulnérables en apprentissage d’un métier.

Ces programmes vont s'étendre également à Pointe-Noire, Ouesso, et Dolisie. Avec pour seul objectif, favoriser l'insertion socioprofessionnelle et procurer un métier durable à la jeunesse congolaise dans les secteurs porteurs de croissance véritable.

Au cours de cette première phase, deux types de formations sont proposées : l'auto-entreprenariat et l'apprentissage d'un métier, pour une durée de 6 à 9 mois. Cette formation concerne les jeunes dont l'âge varie entre 18 et 35 ans et, est réservée aux résidents des zones urbaines et périurbaine des localités cibles.

Pour Régis Antoine Ngakegni, coordonnateur du PSIPJ, cette première cohorte de formation vise à ce que l'on s'adapte à la réalité socio-économique de notre pays.

Ainsi, les bénéficiaires seront placés dans différents centres de formation publics-privés puis dans des ateliers de maîtres artisans. 2.217 jeunes passent déjà leur formation à Brazzaville et 1.479 à Pointe-Noire.

Au terme de la formation, 5.000 jeunes au total seront formés : 2.000 à Brazzaville, 2.000 à Pointe-Noire, 500 à Ouesso et 500 à Dolisie.

A l'occasion de ce lancement, Mme la ministre Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa pour sa part, a salué et remercie le soutien de la Banque mondiale, le partenaire pivot du projet.

« Mesdames Messieurs, distingués invités, l'unité de gestion du projet a travaillé d'arrache-pied pour réunir les conditions nécessaires au démarrage des formations. Même s'il reste encore quelques ajustements pour le lancement des formations en auto-entrepreneuriat. Néanmoins, tout est prêt pour démarrer avec assurance les formations en apprentissage d'un métier, aussi bien à Brazzaville qu'à Pointe-Noire », a évoqué la ministre.

Le PSIPJ, lancé en juillet 2024 passe, a pour mission première, de fournir une aide d'urgence aux ménages touchés par la crise sanitaire et économique, liées à la COVID-19 tout en renforçant l'accès aux filets sociaux.

Ce projet d'intérêt général vise à accompagner et soutenir 22.000 ménages pauvres à travers les allocations, avant de former, lors de la seconde phase, subventionner 45.000 jeunes vulnérables déscolarisés et 5.000 personnes âgées et handicapées vivant seule. « Ce projet représente une opportunité exceptionnelle pour des milliers de jeunes congolais », a rappelé Trina Haque, directrice régionale pour le développement humain à la Banque mondiale.

A noter que, le Projet de Protection Sociale et d'Inclusion Productive des Jeunes, avec un financement additionnel d'environ 133 millions de dollars américains, soit 83 milliards 700 millions de F.CFA, s'affirme comme un levier majeur de la stratégie gouvernementale en matière de protection sociale et de lutte contre la précarité, notamment en milieu de la jeunesse congolaise vulnérable.

VALDA SAINT-VAL/Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-05-20 21:05:05

Congo – 10e anniversaire de la déclaration des droits de l’humanité : Les Nations Unies décernent à l'écrivain chercheur Congolais Michel innocent Peya la médaille ‘’environnement - paix’’

Les droits de l’homme et les actions en faveur de l’environnement montrent à travers leurs différentes interactions qu’ils sont deux faces d’une même médaille. Ce postulat, le président congolais Denis Sassou N’Guesso ne cesse de le mettre en avant, tant sa vision écologique établie une relation de causalité et d’interactions entre la Nature et les Hommes. En vulgarisant cette vision à travers ses ouvrages, l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya fait œuvre utile au profit de l’humanité et cela est reconnu à juste titre par les organisations internationales. Le 10ème anniversaire de la déclaration des droits de l’humanité célébré le 15 mai à Genève a été l’occasion de distinguer Michel Innocent Peya de la médaille ‘’environnement – paix’’ des Nations Unies. Une médaille que Michel Innocent Peya a dédié au Bassin du Congo, au Congo et surtout au Président Denis Sassou N’Guesso, source de son inspiration écolo-littéraire.

Il est désormais bien connu que le changement climatique n'est pas seulement un phénomène environnemental, mais qu'il a des répercussions sur la paix et la sécurité au niveau national et international, et donc sur les droits multiformes de l’homme.

Et donc, le changement climatique influe sans conteste sur la vie des peuples, tant dans leur milieu de vie qu’à ce qui concoure à la vie, voire à l’entretenir, notamment dans des conditions d’équilibre qui assurent confort et bien-être, pourquoi-pas simplement, le droit à la vie.

Si le changement climatique n'est pas en soi une cause de conflit, il est de plus en plus évident qu'il faut aborder le changement climatique et la dégradation de l'environnement comme des multiplicateurs de risques, et donc comme une question de paix et de sécurité.

L’engagement du Président Denis Sassou N’Guesso ainsi que ses actions et initiatives, relayées à travers les ouvrages de l’écrivain chercheur Michel Innocent ne passent plus inaperçues, tant l’auteur y met son génie littéraire pour non seulement vulgariser une pensées et ses actions, mais aussi assurer un trait d’union entre les générations et aussi la postérité, pour une planète pérenne et vivable.

Aussi, la médaille « environnement-paix » reçue par l’auteur, aux côtés d'autres récipiendaires, une autre, quelques jours seulement après celle de l’Unesco, récompense son œuvre de premier ordre au service de l’humanité.

Tel un alignement de planètes, la distinction de Michel Innocent Peya consacrant la reconnaissance de son œuvre littéraire a coïncidé avec la sortie de son nouvel ouvrage qui, ô perspicacité du chercheur, reprend l’enjeu et la thématique mêmes de la rencontre.

‘’Environnement et Droits de l’Homme – Denis Sassou N’Guesso, avocat des Nations et porte-voix des peuples’’.

Dans cet ouvrage de 294 pages, édité en français et en anglais, l’auteur Michel Innocent Peya, s’appuyant sur les initiatives mises en chantier par le Président congolais Denis Sassou N’Guesso sur la question, planche sur les principes-cadres relatifs aux droits de l’homme et à l’environnement.

L’ouvrage a été salué par l’ensemble des participants à Genève et l’auteur en a dédicacé à cette occasion.

N’occultant aucune facette de cette problématique à tiroirs, ni le poids de la charge, Michel Innocent Peya relève humblement : « En tant que penseur, et écrivain impliqué dans la conception et la proposition des programmes de préservation et de conservation du patrimoine naturel commun, nous sommes conscients de notre responsabilité et de notre devoir d’alerter le monde des répercussions sociales des activités de protection de l’environnement. Par ailleurs, nous pensons qu’il est essentiel pour les États d’associer des principes clairs de de respect strict de Droits de l’Homme aux programmes de préservation et de gestion intelligente de la nature et que ces principes affirmés doivent demeurer des lignes directrices dans les initiatives de tous les acteurs concernées, les partenariats et le partage fructueux des enseignements tirés des expériences ».

En effet, avec cet ouvrage, Michel Innocent Peya interpelle et lance un appel pathétique à l’action urgente. Il met en exergue la nécessité de protéger l’environnement par la promotion des Droits humains écologiques.

L’auteur reprend les standards internationaux, quant à la définition des attributs du droit à l’environnement : propre, sûr et sain. Ensembles, ces trois qualificatifs désignent un environnement qui permet la réalisation des Droits humains. Un environnement qui ne présente pas de risque pour les populations qui y vivent et permet une vie digne. Dans ce contexte, les Objectifs de développement durable (ODD) constituent le schéma directeur de la voie à suivre.

Rappelons qu’en décembre 2015, la France accueillait la 21ème conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP21).

Lors de la conférence environnementale organisée en novembre 2014, la question des « droits de l'Humanité » fut posée, c'est-à-dire le droit pour tous les habitants de la Terre à vivre dans un monde dont le futur n'est pas compromis par l'irresponsabilité du présent.

Les différentes initiatives menées au niveau national et international concernant la reconnaissance de droits de l'Humanité, et l'élaboration d'un projet de déclaration universelle de Droits de l’Humanité, intégrèrent les négociations de la COP21.

Et le Congo n’est pas en marge de ces avancées, en témoignent les actions entreprises par le Président Denis Sassou N’Guesso, telles que témoignées dans cet ouvrage de Michel Innocent Peya.

Cliquez sur la photos, pour lire la vidéo.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-05-20 11:09:36

L'Ambassade du Congo à Paris a reçu trois mille passeports ce mardi

L'Ambassade de la République du Congo à Paris a le plaisir d'informer l'ensemble des compatriotes qu'elle a reçu ce mardi 20 mai 2025 trois mille (3000) passeports. Les intéressés seront tenus informés par les canaux appropriés.

Les délais d’attente du passeport

La demande de passeport est instruite par l’Ambassade mais la production est faite à Brazzaville.

Procédure de Restitution

Le (la) ressortissant(e) est informé(e), par mail ou par téléphone, de la réception de leur passeport par l'Ambassade.

Le retrait du passeport biométrique CEMAC se fait tous les jours du lundi au vendredi.

Les passeports ne peuvent être remis qu’aux intéressés, sur présentation du récépissé délivré lors de l’enrôlement.

Aucune procuration n’est acceptée sauf sur dérogation de l'Ambassadeur, Chef de Mission !

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-05-20 09:49:15

Amour illusoire : Ferré Gola a pété le score des vues sur Youtube, suivi plus de 3 millions de fois en 11 jours

Plus de 3 millions, c’est le nombre de vues que la star de la musique congolaise, Ferré Gola a enregistrées en 11 jours sur son compte You Tube avec la vidéo de son nouveau single « Amour illusoire », faisant de lui, l’artiste congolais le plus populaire sur la plateforme de vidéos en ligne.

Mis en ligne le 8 mai 2025, le dernier clip du chanteur Ferré Gola, « The Voice », pour paraphraser l’artiste congolais Félix Wazekwa, déterminé à conquérir le monde entier, comptabilise déjà 3. 100 590 vues.

La « ferregolisation » des férus de belles mélodies continue !

Cliquer sur la photo pour lire la vidéo

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2025-05-20 07:51:44

Réforme de l'Etat : Des agents, cadres des Ministères et les membres de la société civile formés en ’’conception d’un système d’évaluation axé sur les résultats’’

Le Ministère en charge de la Réforme de l’Etat, sous le patronage de M. Luc Joseph Okio, ministre délégué auprès du Premier Ministre, chargé de la Réforme de l’Etat, a organisé, du 12 au 16 mai 2025 à l’hôtel Michael’s de Brazzaville, un atelier en suivi et évaluation sur la Gestion Axée sur les Résultats (GAR). 5 jours durant, les participants, constitués des agents, cadres des différents Ministères et ceux de la société civile congolaise ont pourvus des principes fondamentaux sur la Gestion Axée sur les Résultats (GAR), bénéficiant ainsi des connaissances sur l’introduction des nouvelles bases de l’efficacité de l’action publique, en vue de la planification et la programmation appliquées à l’élaboration des politiques des programmes et des projets de l’Etat. La clôture dudit atelier a été présidé par M. Ardan Djema Mauth, directeur de Cabinet, représentant son ministre, Luc Joseph Okio.

Dirigé par le consultant, Daniel Mikayoulou qui a définie l’atelier comme une approche de résultat concentré sur la réalisation. « Cet atelier qui vise à l'amélioration des politiques publiques dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations issues du diagnostic des capacités nationales en suivi et évaluation et de l'opérationnalisation du plan stratégique de la Réforme de l'État 2025-2029. L'adoption de l'ensemble des outils de son opérationnalisation ainsi que le renforcement des capacités des acteurs œuvrant dans le secteur public et privé, est un défi majeur pour le gouvernement, en général, et le Ministère du Contrôle d'Etat, de la Qualité du service Public et de la lutte Contre les Antivaleurs, dirigé par le ministre Luc Joseph OKIO », a déclaré le consultant.

Par ailleurs pour le directeur de cabinet, Ardan Djema Mauth, clôturant les travaux, a signifié que, « l'heure était à l'implication dans la pratique, car, l'importance stratégique de cette formation dans le processus des réformes de l'administration publique congolaise est dans la mobilisation collective, afin d'enrichir vos connaissances et partager vos expériences pour une gouvernance efficace, transparente et orientée vers des résultats dans le suivi et évaluation », a-t-il souligné.

Les travaux de cet atelier de formation en conception et mise en œuvre d'un système de suivi et évaluation basé sur les résultats, ont donné une meilleure connaissance, posant ainsi des nouvelles bases et perspectives pour l'efficacité de l'action publique, à travers l'ancrage progressif d'un système rigoureux d'évaluation des politiques publiques au service du développement.

En effet, au cours de cet atelier dont l'objectif visait l'amélioration des politiques publiques dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations issues du diagnostic des capacités nationales en suivi et évaluation et de l'opérationnalisation du plan stratégique de la Réforme de l'État 2025-2029. Il s'est agi pour les experts du Centre d'apprentissage sur les résultats et l'évaluation pour l'Afrique francophone (CLEARFA), de donner aux participants des rudiments nécessaires et indispensables sur les principes fondamentaux, les méthodes et les outils modernes de suivi et évaluation et de donner une réponse favorable à cette question d'une grande importance soulevée par le diagnostic de l'année 2024, qui avait dégagé la problématique liée au renforcement des capacités des cadres des ministères et de bien d'autres, évoluant dans la société civile.

Monsieur le directeur de cabinet, clôturant les travaux au nom du ministre en charge de la Réforme de l’Etat, Luc Joseph Okio empêché, a exprimé sa gratitude puis sa satisfaction et celle de son ministre en invitant les participants à devenir des relais dans leurs structures respectives afin, de diffuser les bonnes pratiques et consolider cette culture des résultats, tout en exprimant sa gratitude au CLEARFA pour son engagement et aux experts pour la qualité de leurs communications.

VALDA SAINT-VAL/Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-05-20 07:26:55

Miss Excellence Maths : la 2e édition aura lieu du 28 juillet au 2 août 2025 pour encourager les jeunes filles à embrasser les sciences

Après le succès retentissant de la première édition organisée du 23 au 27 juillet 2024 dans les quatre plus grandes villes du Congo et remportée par Belham Adrianna Mokouendza-Lindzeket, l'association LE YAYA est fière d'annoncer le retour du concours Miss Excellence Maths pour sa deuxième édition en vue de révéler l'excellence féminine en Mathématiques.

Cette année, l'événement qui vise à promouvoir l'excellence féminine en Mathématiques et encourager les jeunes filles à embrasser les sciences, prend encore plus d'ampleur et se déroulera dans 8 villes du Congo du 28 juillet au 2 août 2025.

Villes concernées : Brazzaville, Pointe-Noire, Dolisie, Ouesso, Kinkala, Ewo, Nkayi et Oyo.

Qui peut participer ?

Toutes les jeunes filles en classe de 3ᵉ ayant obtenu au moins 15/20 de moyenne générale en Mathématiques lors des deux premiers trimestres.

Miss Excellence Maths encourage l’excellence en mathématiques en combinant motivation, reconnaissance, mentorat, communauté, et opportunités. Ce programme aide les jeunes filles à voir tout le potentiel que leur excellence en Mathématiques peut leur offrir, en renforçant leur confiance en elles et en leur offrant les ressources pour atteindre leurs objectifs académiques et professionnels.

Le concours promeut également l’égalité en donnant aux jeunes filles des opportunités, un soutien et une visibilité dans les Mathématiques, un domaine souvent sous-représenté par les femmes. Grâce à un environnement inspirant et à un encadrement renforcé, le programme ouvre la voie à une société plus inclusive et égalitaire, où chaque jeune, indépendamment de son genre, peut se réaliser pleinement dans les sciences et les mathématiques.

Enfin, Miss Excellence Maths récompense les talents mathématiques en offrant des distinctions officielles, des bourses, des opportunités académiques, du mentorat, et des expériences uniques qui encouragent les jeunes filles à poursuivre leur excellence dans ce domaine. Ces récompenses les aident à progresser, à gagner en visibilité, et à développer un réseau, leur ouvrant ainsi des perspectives académiques et professionnelles durables.

Rejoignez l’aventure en déposant votre candidature avant le 30 Juin prochain (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2025-05-19 17:13:32

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