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Congo-Vœux du nouvel an : Denis Sassou Nguesso appelle les congolaises et les congolais à assumer leur responsabilité car, dans notre marche vers le développement, le Congo attend de chacun qu’il fasse son devoir

Le samedi 4 janvier 2025, les corps constitués nationaux et la force vive congolaise ont fait la présentation des vœux du nouvel an au Président de la République, chef de l’Etat, Son Excellence Denis Sassou Nguesso et à son épouse, Mme Antoinette Sassou Nguesso, Première dame. La cérémonie s’est déroulée au Palais des Congrès de Brazzaville dans une ambiance enthousiaste et patriotique dans une salle archicomble, pour présenter au chef de l’Etat et à son épouse des vœux de santé, de bonheur, de longévité, de prospérité et de succès au couple présidentiel et à toutes sa famille.

Dans une salle du Palais des Congrès pleine à craquer, deux allocutions ont été prononcées : celle du Premier président de la Cour Suprême, M. Henri Bouka qui, au nom de des corps constitués nationaux et des forces vives de la Nation, s’est exprimé pour la circonstance afin de porter la voix de tout le peuple congolais, afin de souhaiter au couple présidentiel une bonne et heureuse année 2025, qui vient de commencer il y a quelques jours seulement.

Dans un langage qui lui est propre, sincère, responsable et pragmatique, le Premier président de la Cour Suprême a de prime abord fait une analyse et un rappel sur la situation sociopolitique et économique actuel du pays.

Néanmoins, il a reconnu les avancées et les faibles de cette situation que vit le Congo, notre pays. Sur le plan judiciaire par exemple, il a fait un mea culpa sur la latitude et les attitudes de cette institution, qui devrait faire montre de spontanéité devant les remarques successives et répétées du Président de la République sur certains faits d’indélicatesse des fonctionnaires sur les détournements et les corruptions avérées.

« Nous sommes coupables d’infamie, d’ignominie pour ne point dire pire parce que lorsque le père de la Nation dénonce, de manière récurrente, des comportements peu orthodoxes, cela veut dire, en français facile décrypté, ’’qu’il est accablé par les dénonciations multiples qu’il reçoit et qui ont été documentées’’ ; cela veut dire, « qu’il n’en sait que trop » ; nous en sommes confus… », a-t-il déclaré.

« En effet, vous disiez, Excellence, à cet égard (Nous citons) « Face au rôle moteur du secteur privé dans la mise en œuvre de nos ambitions sur l’emploi des jeunes, il sied d’accélérer la réforme de notre système judiciaire afin d’assainir le climat des affaires. J’insiste sur la nécessité, pour notre pays, d’améliorer le climat des affaires. Les pesanteurs dans la création des entreprises, les contrôles intempestifs et désordonnés ne favorisent pas l’essor du secteur privé (…) », a rappelé le Premier président de la Cour Suprême.

« Seule une justice impartiale et un contrôle d’Etat performant pourront nous garantir un service public de qualité et nous aider efficacement à lutter contre la corruption et autres antivaleurs. C’est en cela qu’il nous faut encourager toutes les opérations de vérification prévues ou menées dans les structures de l’Etat » (Fin de citation), a signifié Henri Bouka.

Répondant aux vœux présenté à lui et à toute sa famille par le Premier président de la Cour Suprême, Henri Bouka, le Président de la République, Denis Sassou Nguesso a pris la mesure de la situation.

Il a remercié les corps constitués nationaux et toute le forces vives qui, comme un seul congolais, debout et déterminé pour la bonne cause a accepté ce moment solennel et patriotique.

Evoquant la sempiternelle problème de l’éducation de la jeunesse et la question du grand banditisme urbain, le chef de l’Etat a précisé : « Entre temps, vous avez fait référence à la problématique en lien avec les questions de sécurité, en évoquant les comportements déviants de certains jeunes au sein de la Cité, notamment dans les périphéries urbaines. Cette situation nous interpelle tous en tant que parents, puisque le but de l’éducation est d’apprendre non les faits, mais les valeurs.

Un système éducatif ne peut, par lui-même, façonner la superstructure d’un pays. Mais, il peut produire de meilleurs citoyens et contribuer à l’amélioration de son capital humain.

Un penseur du 19e siècle ne disait-il pas, Je cite : « l’éducation commence aux pieds d’une mère et que chaque mot qu’entendra le petit enfant concourra à sa personnalité ». Fin de citation.

Pourtant, dans notre société, il n’est pas rare d’entendre certains parents, de plus en plus nombreux d’ailleurs, déplorer les actes de banditisme et de délinquance juvénile avérée à travers des vocables du genre : « OH ! CE SONT LES ENFANTS D’AUJOURD’HUI », a notifié Denis Sassou Nguesso, s’exclamant.

En outre, Denis Sassou Nguesso a abondé sur les valeurs cardinales de tout citoyen. « Il y a les valeurs et les principes partagés, comme la Solidarité, la Tolérance, la Justice, la Responsabilité individuelle ou collective, entendue comme le devoir de répondre de ses actes.

Nous avons la mission de partager et de protéger ces valeurs et ces principes, y compris en utilisant les rouages traditionnels, tels les chefferies coutumières, les autorités religieuses, les femmes, les jeunes, etc…

Le vivre ensemble devrait aider à construire la citoyenneté, considérée par-là comme l’Honneur et la Fierté d’être congolais ainsi que le patriotisme, défini comme notre dévouement au Congo notre pays, que Nous reconnaissons comme notre Patrie.

C’est pourquoi, J’invite les congolaises et les congolais au respect de l’Autre, au respect de la chose publique, au respect du bien public, en mettant fin aux actes récurrents d’incivisme perpétrés, entre autres, sur les infrastructures de développement et les équipements de base acquis à grands frais et au prix d’importants sacrifices.

Le Président américain John Fitzgerald Kennedy a légué à la postérité cette réflexion, Je cite : « Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais bien ce que vous pouvez faire pour votre pays », a-t-il dit.

A noter qu’autrefois, la présentation des vœux du nouvel an se déroulait au Palais du Peuple, cependant, ce lundi 6 janvier, le Président de la République et son épouse recevrons les vœux du corps diplomatique accrédité en République du Congo, cette fois-ci, au Palais du Peuple.

VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-06 13:59:59

Congo – Circulation routière : La société ‘’Océan du Nord’’ commence l’année par un accident mortel

 Un grave accident de la circulation a impliqué un bus de la société Océan du Nord, lundi, aux environs de 10 heures, dans le Mayombe. Le bus en provenance de Pointe-Noire, qui, aux dires des témoins, roulait assez vite sur une chaussée glissante, du fait d’une fine pluie, s’est déporté en contre-bas d’un talus, le chauffeur n’ayant pu réduire sa vitesse pour anticiper l’attaque d’un virage serré. On déplore de nombreux blessés divers. Des témoins font état de morts.

Décidément, le vocable ‘’Océan de la mort’’ dont les congolais usent pour plaindre les accidents récurrents des bus de la société Océan du Nord, toujours couteux en vies humaines, commence à trouver justification, tant cette société de transport, concentre à elle seule, le plus grand nombre d’accident de bus, un accident en moyenne, sinon plus, par mois.

Un fait est constant. Même si route rime quelques fois avec accidents, les accidents de la route sont avant tout dus à l’inobservance des règles de conduite.

Et dans le cas d’espèce, dans le Mayombe où la configuration du relief oblige de facto à la réduction de la vitesse, ainsi que le rappellent les panneaux de signalisation, le chauffeur a joué avec la vie de ses passagers, en ne se rendant pas à l’évidence que sur une chaussée humide, la réduction de vitesse s’impose, pour anticiper toute manœuvre que pourrait induire un aquaplaning ou la non adhérence des roues sur la chaussée. Cela permet d’amorcer les virages, surtout serrés, avec prudence, sans s’écarter de la chaussée et faire de sortie de route, car la robustesse du bus et son poids, exercent une poussée cinétique qu’il faut prendre en compte, surtout en phase descendante

Même si l’on ignore les circonstances de l’accident, les témoignages des rescapés font état d’un excès de vitesse du chauffeur, que beaucoup avaient dénoncé, avant que ne surviennent la catastrophe.

Les images de l’accident, diffusées sur les réseaux sociaux montrent des passagers tentant de s’échapper du véhicule renversé par les issues de secours, d’autres pleurant des parents coincés sous le véhicule, à l’instar d’une fille rescapée pleurant sa petite sœur apparemment sans vie.

Il y a parfois à se demander, si les conducteurs au volant des bus ‘’Océan du Nord’’ et même de bien d’autres sociétés, maîtrisent les règles élémentaires de conduite, ou qu’ils n’ont pas l’esprit en place, au moment de prendre le volant.

Excès de vitesse, course-poursuite, chevauchement de ligne continue, dépassement hasardeux parfois sans visibilité sur le contre-sens, inobservance des panneaux de signalisation, sous d’autres cieux, beaucoup de ces conducteurs n’auraient plus le droit de conduire, encore qu’il faut bien vérifier si le permis de conduire qui leur en donne le droit, est le fruit d’un apprentissage conséquent.

Pour de nombreux congolais, ‘’Océan du Nord’’ est plutôt devenu ‘’Océan de la mort’’, tant cette société détient la palme des accidents sur les routes congolaises et même celle ayant occasionné le nombre de décès par accidents le plus élevé, sans évoquer les blessés avec des infirmités irréversibles, qui doivent déjà se compter par centaines, depuis son entrée en exploitation du trafic routier.

C’est à se demander, de quel type d’assurance dispose cette société, tant le nombre croissant d’accidents et surtout leur fréquence, induirait un véritable manque à gagner pour l’assureur ou même pour la société dont les avocats prendraient carrément un lit au tribunal, pour plaider sans discontinuer, lors des procès impliquant la société pénalement responsable, dont ils défendent les intérêts.

Reste à savoir si les victimes, morts ou blessés et même les rescapés psychologiquement traumatisés de tous ces accidents, sont indemnisés.

D’autres part, avec le malus qui affecterait cette société très accidentogène, pas une seule compagnie d’assurance n’accepterait de l’assurer, ou que sa prime serait carrément hors de prix, car le nombre élevé d’accidents dénote d’un certain laisser-aller, sinon d'un amateurisme, dans le recrutement des chauffeurs qui à l’évidence, ne maîtriseraient pas le b-a-ba de la conduite des autocars.

Il est à noter que les statistiques de l’accidentologie montrent que 75% des accidents sont du fait du conducteur, 20% de l’état du véhicule et 5% de l’état de la route. Ce qui indique bien que les accidents à répétition dont se rend responsable la société ‘’Océan du Nord’’, sont avant tout d’origine humaine.

Et si d’aventure les recrutements des chauffeurs se faisaient en total irrespect des règles. Ce qui signifie, pour les responsables de cette société, qu’il s’agit d’une mise en danger manifeste, de la vie d’autrui, notamment celle des voyageurs qui faute d’autres moyens de locomotion, prennent le bus, en priant tous les dieux, qu’ils arriveront à destination.

Peut-être que le ministère des Transports devrait se pencher sur cette question qui devient un véritable fléau, en initiant une réelle évaluation des chauffeurs d’autobus et une certification de leurs aptitudes qui avouons-le, demeurent douteuses pour beaucoup d’entre eux, afin de ne pas se rendre complice de la mise à mort des congolais, aux moyens des autocars placées dans des mains inexpertes.

Au moins, la société ‘’Océan du Nord’’ peut se complaire de ce qu'elle a un parc automobile bien fourni, car avec toute cette casse qui rend indisponible un nombre non négligeable de matériel roulant, elle continue de rouler, encore et puis encore. Et donc tuera encore et encore, si rien n'est fait.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-06 13:48:14

Université Marien Ngouabi : La Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines en état délabré depuis plusieurs années

Depuis plusieurs années, la Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines fait figure d'oubliée. Et pour certains, ça ne passe pas. La situation au sein de cet établissement supérieur public est loin d’être reluisante du fait de la dégradation continue des infrastructures et des conditions de travail et d’apprentissage. Une situation qui selon de nombreux enseignants ne serait pas inscrite comme priorité des autorités de tutelle. Il suffit de passer devant pour se rendre compte de cette triste réalité. Même le drapeau, placé à l’entrée de ce grand temple du savoir est un peu déchiré et décoloré, sans que personne ne s’en inquiète. Une drôle de manière de respecter les symboles de la République.

Depuis des décennies, la situation au sein de la première université du pays n’a de cesse d’être dénoncée. Entre des infrastructures qui ne répondent plus aux normes internationales, des effectifs pléthoriques au sein des différents départements, les conditions de travail difficiles des enseignants ou encore la gestion pour le moins approximative de cette institution, rien ne semble présager des améliorations.

Selon des témoignages recueillis auprès de plusieurs enseignants, l’établissement connaît depuis plusieurs années un boom démographique qui semble être « ignoré par les autorités de tutelle ».

En effet, plusieurs départements ont des effectifs pléthoriques. Ce qui rend difficile le suivi pédagogique des étudiants et est à l’origine de l’augmentation du taux d’échec.

L’Université Marien Ngouabi, établissement autrefois fierté nationale et internationale, figure aujourd’hui parmi les derniers du continent et même de la sous région.

Elle a ainsi perdu ses lettres de noblesse, avec des bâtiments frappés de vétusté, des voiries délabrées et une barrière poreuse qui donne lieu à une insécurité.

Les nombreux nouveaux bacheliers produits depuis près de trois ans ne rêvent nullement de s’y inscrire.

Les raisons de cette situation scabreuse sont d’ordre structurel, infrastructurel et financier.

La précarité sociale n’est pas en reste.

En effet, des étudiants accusant des retards de versement de leur bourse et réclamant de meilleures conditions d’études au personnel administratif non intégré à la fonction publique en passant par le personnel enseignant en perpétuelles revendications de recrutement, intégration, titularisation, reclassement et régularisation des situations administrative et financière, aucun acteur de l’université Marien Ngouabi ne peut se targuer d’avoir une vie professionnelle accomplie et apaisée. D’où les grèves à répétition au sein de l’Institution, responsables du dérèglement calendaire.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-05 10:04:35

Toboggans gonflables à Brazza Mall : plaisir et frissons s'y alternent, des heures de divertissement pour vos enfants

Où sortir à Brazzaville ? C’est une question qu’on se pose assez souvent le week-end ou pendant les vacances scolaires. Vous allez pouvoir trouver bon nombre d’idées d’activités et de quoi vous divertir en amoureux, en famille, entre amis ou avec les enfants. Trois toboggans gonflables qui font battre les cœurs des enfants à Brazza Mall, le centre commercial de référence au Congo avec une surface construite de 50 000 m², au quartier Mpila. Plaisir et frissons s'y alternent.

Brazza Mall qui valorise, entre autres, le made in Africa, le savoir-faire congolais et la créativité des grandes marques internationales, vient d’installer pour le public et les enfants d’immenses toboggans gonflables pour passer les vacances de Noël en beauté.

Des toboggans vertigineux inspirés des plus beaux rêves d’enfants. Son design offre un spectacle surprenant.

Expérience mémorable pour les 2-13 ans (ou plus), c'est l'occasion de profiter d'une balade aussi ludique que sportive en famille et surtout, de faire une sortie où vos enfants accepteront plus facilement de s’amuser.

Les toboggans offrent des heures de divertissement pour les enfants, stimulant leur imagination et favorisant leur activité physique. Ils permettent  aussi aux enfants de s'amuser en toute tranquillité. Garantir des rires et des souvenirs précieux pour vos enfants.

Vous êtes en quête d'activités pour ces vacances de Noël ? S’il n’est pas toujours évident de s’évader au bord du fleuve avec ses enfants, certains optent pour une solution efficace, économique et récréative : la base de loisirs de Brazza Mall. Parents et enfants peuvent ainsi créer de beaux souvenirs dans un lieu sécurisé au cours d’une journée.

On file découvrir le Royaume des Enfants, niché à Mpila.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-04 12:35:49

Zoolandia : Véritable « attrape-touristes » à Brazzaville, les enfants s'enjaillent !

Est-ce la météo clémente où l’ambiance des fêtes de fin d’année ? Toujours est-il que le complexe animalier attire de plus en plus de visiteurs. Aux côtés de destinations renommées, Zoolandia, le Parc Zoologique et Botanique de Brazzaville, brille comme un joyau africain, offrant aux habitants de la capitale congolaise et aux touristes de passage à Brazzaville, l’opportunité de découvrir des trésors naturels tout en respectant l’environnement. Les efforts déployés pour préserver cet éden de l’Afrique tout en offrant des expériences authentiques locales témoignent de l’engagement du Congo envers un tourisme responsable et durable.

Les attractions où les sourires sont garantis et où les souvenirs se créent, c'est l'endroit parfait pour que les enfants dépensent leur énergie tout en s'amusant dans un environnement sûr et coloré.

Si Zoolandia représente le calme et la sérénité pour les adultes, il représente aussi un grand terrain de jeux pour les plus jeunes.

Des ateliers pédagogiques, ludiques et créatifs pour développer leur esprit d'aventure et de découverte. Bref ! Plusieurs activités amusantes et passionnantes vous attendent au parc.

« Brazzaville est l’une des destinations touristiques les plus populaires au Congo. Chaque année, je viens ici avec mes parents pour découvrir cette ville magnifique, vibrante et attrayante pour les touristes. Et Zoolandia est une destination incontournable pour les touristes. Je suis content d’être ici pour commencer l’année 2025 », nous a confié Nathan en provenance de Pointe-Noire.

« Brazzaville est une ville qui a beaucoup à offrir aux touristes. Tout d’abord, il y a son histoire riche et fascinante. Enfin, il y a l’atmosphère romantique et charmante qui est si caractéristique de la ville capitale. C’est une ville qui offre une expérience unique et mémorable à tous ceux qui la visitent comme moi. Et le parc Zoolandia mérite d’être visité », a ajouté Nathan entouré de sa cadette Rose et de sa mère Suzie.

Un parc qui a une longue histoire

Le parc a été créé en 1952, et il occupe aujourd'hui une surface boisée de 26 hectares en plein centre ville. C’était à l’origine l’un des plus grands zoo d’Afrique, qui servait surtout de lieu de transit pour les animaux qui partaient rejoindre des ménageries ou des jardins animaliers à travers le monde.

Après l’indépendance, dans les années 60, il est devenu un vrai lieu d’accueil et d’exhibition pour les animaux capturés dans tout le pays. Il s’est développé au fil des années.

Avant la guerre de 1997, il comptait 128 pensionnaires représentant 30 espèces d’animaux. En octobre 1997, quand le calme est revenu, il ne restait qu’un seul rescapé, un cercopithèque de Brazza.

Il s’est alors dégradé pendant des années, jusqu’en 2019, lorsque l’équipe de Zoolandia - son nouveau nom - a repris les choses en main, sous le contrôle de la Direction Générale de l’Economie Forestière au Ministère des Eaux et Forêts.

Le changement s’est réalisé doucement au début, avec la réhabilitation des clôtures, la reconstruction ou la rénovation de bâtiments vétustes, puis s’est accéléré avec l’introduction d’une cinquantaine d’espèces de plantes.

C’est ce qui est le plus visible : des fleurs, des arbustes, des arbres entretenus qui se multiplient partout, dans un espace structuré et agréable, autour des clairières et au milieu des carrés botaniques à thème.

La liste des espèces introduites au sein de ce qui reste une des rares surfaces de forêt naturelle de Brazzaville est bien longue.

Un restaurant agréable, des activités ludiques et sportives, des jeux divers sont venus agrémenter les lieux, et la tyrolienne attire de nombreux amateurs, même les plus petits…

Le repeuplement animal se déroule également depuis plusieurs années. Et c’est ce qui augmente naturellement l’attraction de ce parc qui reçoit des centaines de visiteurs chaque jour.

Les animaux ont quitté leurs cages vétustes et se retrouvent aujourd’hui dans des enclos rénovés, la plupart vivant en semi-liberté dans de vastes espaces. Une trentaine d’espèces y sont maintenant visibles.

De nombreux primates, dont le mandrill, les cercopithèques, le mangabey agile amusent les enfants.

Les crocodiles du Nil, bien qu’endormis, leur font un peu peur.

Les oiseaux voltigent dans leurs grandes volières, le paon se pavane sous le regard des perroquets et des pygargues vocifer, ces grands oiseaux à la tête blanche et au cri typique.

Les ânes s'avancent doucement vers la clôture pour s’approcher des visiteurs.

Ce qui attire le plus aujourd’hui, ce sont les autruches d’Afrique récemment arrivées. Ces énormes oiseaux sont impressionnants, du haut de leurs deux mètres.

Des oiseaux qui ne volent pas. Mais qui remuent leur truc en plumes avec entrain.

Les seuls intrus dont on se passerait bien, ce sont les « fourous », moucherons dont la piqûre est douloureuse pendant plusieurs heures…

Le parc attire les foules depuis toujours. C’est l’un des sites touristiques payants les plus visités à Brazzaville.

Au fil des années, il est devenu une fierté nationale et un symbole aux yeux du monde.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-03 12:19:31

Le 6e congrès ordinaire du PCT aura lieu cette année pour renforcer son leadership et assurer à son candidat une victoire cash à la présidentielle de 2026

Le comité central a autorisé le bureau politique de convoquer en son nom et en temps opportun le 6e congrès ordinaire du Parti congolais du travail (PCT, parti au pouvoir) pour cette année 2025.

« Ce congrès devrait permettre de réaffirmer les valeurs fondamentales du PCT, d’adapter son programme aux défis actuels et de renforcer son leadership pour assurer à son candidat une victoire sans appel à l’élection présidentielle de 2026 », a déclaré récemment le Secrétaire permanent à la communication et aux technologies de l’information du Parti au pouvoir, Parfait Iloki au terme de la 6e session ordinaire du comité PCT.

Cela implique notre ferme engagement à tous les niveaux et l’observation sans réserve de l’unité en béton, la discipline, la solidarité, la cohésion afin de maximiser les chances pour ces deux événements phares, selon Parfait Iloki.

Dire que le PCT est paré pour des victoires qui ne font assurément pas de doutes, au regard de son poids électoral, ainsi que celui de ses alliés.

La prochaine élection présidentielle est prévue en 2026.

Denis Sassou-N’Guesso a la possibilité de se présenter pour un cinquième mandat, selon la Constitution en vigueur dans le pays.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-02 09:19:35

Intempéries dans le Niari : La rivière Bichida est sortie de son lit, prudence sur la route Mbinda-Mayoko !

La pluie n’a pas épargné la ville de Mbinda dans le Niari (sud) ! La rivière Bichida est sortie de son lit, les eaux sont montées très rapidement. Sur son parcours, elle a noyé les champs déjà gorgés d’eau qui se sont transformés en un très grand lac. La crue est impressionnante et rapide.

La route Mbinda-Mayoko (25km) est devenue difficilement praticable par endroits.

Le scénario se répète après chaque pluie diluvienne, l’eau monte ici et là et perturbe la circulation des personnes et des biens.

Les images décrivent mieux la situation vécue par les habitants de la contrée en cette période des fêtes de fin d’année.

Les élus locaux annoncent saisir les autorités départementales afin de tirer la sonnette d’alarme.

Le calvaire est réel et la désolation est totale. Le tronçon Mayoko-Mbinda devient une équation compliquée pour les usagers.

Le linéaire long de 25km est truffé des nids de poule, des bourbiers et autres grosses mares d’eau occasionnés par des intempéries.

Même les véhicules 4X4 ont du mal à circuler convenablement.

Tous les automobilistes sont obligés de patauger lentement dans la gadoue en faisant des zigzags sur la chaussée, aux allures d’une piste d’éléphants.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-02 07:44:48

Congo – Force Publique : ALLIANCE POLICE-POPULATION POUR LA SÉCURITÉ, LA PAIX, LA STABILITÉ ET LE PROGRÈS SOCIAL’’ La vision innovante du président Denis Sassou N’Guesso, Chef de l’État, Chef suprême des Armées’’, le nouveau livre de Michel Innocent Peya

Même s’il porte le combat écologique de Denis Sassou N’Guesso chevillé au corps et pour lequel il consacre l’essentiel de ses ouvrages, Michel Innocent Peya est avant tout un officier de la Force publique, Directeur général des finances et de l’équipement, DGFE. Commissaire, colonel major de la police congolaise, son corps de métier a interpellé l’écrivain-chercheur qu’il est, tel un philosophe interprétant le monde et questionnant les fondements de la société. Fort des orientations sur la vision innovante du président Denis Sassou N’Guesso, Chef de l’État, Chef suprême des Armées, à l’endroit de la Force publique, sur la paix et la sécurité, Michel Innocent Peya vient de publier aux Éditions Tropiques Littéraires à Paris, l’ouvrage intitulé : ’’ ALLIANCE POLICE-POPULATION POUR LA SÉCURITÉ, LA PAIX, LA STABILITÉ ET LE PROGRÈS SOCIAL, la vision innovante du président Denis Sassou N’Guesso, Chef de l’État, Chef suprême des Armées’’.

Cet ouvrage qui a pour sources d’inspirations, les vœux, les appels, les recommandations et orientations aux Forces de défense et de sécurité intérieure par Denis Sassou N’Guesso, Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Armées, se veut un véritable bréviaire pour la Force publique. Il pose toute la problématique liée au quotidien des populations sur le plan sécuritaire et aux multiples efforts du Président Denis Sassou N’Guesso, pour relever les défis qui s’imposent à la société. Une société dont la stabilité et le progrès, demeurent largement tributaires d’un meilleur climat de sécurité et de paix. Sécurité et paix, deux valeurs sans lesquelles, aucun développement n’est envisageable.

Ce livre de 382 pages est subdivisé en 9 titres qui traitent : Des analyses sociologiques des relations Police-Population pour la paix, la stabilité et le progrès social ; Déontologie et relations Police-Population : les attitudes des Policiers et des Gendarmes ; Le concept juridique de sécurité publique : Etude d’un impensé théorique ; Alliance police/peuple applicable au secteur de la sécurité publique dans le monde ; Les postulats de l’Alliance police/population comme substrats d’une sécurité publique efficace ; L’Alliance police/population consacre une politique de sécurité au plus près du citoyen ; Socialisation professionnelle des policiers dans le cadre de l’Alliance police/population pour une police utile à la population ; Cas pratique de la Police des métiers en République du Congo ; Maintien et consolidation de la paix, de la stabilité et de la coexistence pacifique comme résultante de l’Alliance Police/Population.

En sus de la conclusion générale, l’ouvrage contient en annexe, des textes du cadre et réglementaire de l’organisation et du fonctionnement des Forces de défense et de sécurité intérieures.

D’emblée, Michel Innocent Peya relève que « Le monde a changé, et l’organisation policière doit être souple et flexible pour s’adapter, voire se réinventer devant les nouveaux enjeux de la sécurité. Parmi eux, on trouve :

  • Le renforcement de l’État de droit;
  • Les obligations issues des traités internationaux;
  • La légitimité de l’institution policière;
  • Le respect des droits de l’homme, et plus particulièrement ceux des femmes et des enfants;
  • La stabilité sociale;
  • Le renforcement de l’économie par l’instauration d’un climat de sécurité favorable aux investissements;
  • L’augmentation du sentiment de sécurité;
  • La réduction de la criminalité;
  • La valorisation du rôle social du policier.

Aujourd’hui plus que jamais, les sociétés ont besoin d’institutions qui inspirent confiance et qui portent en elles la préoccupation d’assurer la légitimité autant que la légalité de leurs actions. 

Actant ce constat qui découle d’une quasi-unanimité, l’auteur démontre qu’ « Une véritable alliance police/population a pour effet, selon que le précisent plusieurs enquêtes, un niveau élevé de confiance de la population envers la police dans les pays développés de manière générale et un niveau bas de confiance, voire très bas dans les pays en développement. Toutefois, cette confiance est assez variable d’un pays à un autre, et diminue chez les individus victimes de manquements à la déontologie de la sécurité, de discriminations, ou de violences de la part des forces de l’ordre. »

Pour la nouvelle année 2025 et dans l’optique du renforcement Police/Population, le Président Denis Sassou N’Guesso est resté constant dans ses orientations aux Forces de défense et de sécurité, en témoigne l’adresse faite à leur endroit, ors du réveillon d’Armes du 31 décembre 2024.

« Avec la mise en œuvre de quelques instructions que je viens de donner, avec le lien étroit qui existera toujours entre la Force publique et son peuple, nous pensons que nous allons maintenir un climat de paix, de paix totale dans notre pays. Nous allons tout mettre en œuvre pour tenter de relever la situation économique et financière de notre pays. Ainsi, le gouvernement fera tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir la Force publique et surtout, créer les conditions de travail et de vie au sein de la Force publique. Que ses conditions de vie soient améliorées, et je pense à tout ce qui peut permettre à la Force publique de mieux se porter. Qu’il s’agisse d’habillement, de couchage de maintien de casernes, d’approvisionnement en eau potable et électricité de nouvelle casernes que nous venons de construire aux environs de Brazzaville, de l’ouverture des voies qui devraient mener du centre-ville à ces casernes, le gouvernement s’emploiera, au cours de cette année 2025, à améliorer la vie des troupes. Ainsi, la Force publique et le peuple avanceront ensemble, dans un contexte mondial très difficile aujourd’hui. Mais la Force publique et son peuple, en liaison avec les autres peuples du monde, épris de paix, de justice et de liberté, avanceront, j’en suis convaincu, vers des victoires encore plus grandes. »

À l’instar des années précédentes, ces nouvelles orientations du chef suprême des Armées à la Force publique, pour la bonne tenue des troupes et la bonne exécution des missions en 2025, ont aussi porté sur l’amélioration des conditions de travail et de vie. Des aspects bien relevés par le commissaire colonel major Michel Innocent Peya, dans cet ouvrage, ’’ ALLIANCE POLICE-POPULATION POUR LA SÉCURITÉ, LA PAIX, LA STABILITÉ ET LE PROGRÈS SOCIAL.

Cette vision innovante du président Denis Sassou N’Guesso, Chef de l’État, Chef suprême des Armées est aussi traduite dans les faits et actes par le commissaire colonel major Michel Innocent Peya, en sa qualité de Directeur général des finances et de l’équipement, obéissant ainsi aux directives du ministre de l’Intérieur et de la décentralisation, chargé du développement local, Raymond Zéphyrin Mboulou.

La police moderne telle que prônée par l’Alliance 2P est une police des métiers c’est-à-dire une police constituée des agents qui, au-delà de la maitrise de leur travail de sécurisation des personnes et de leurs biens ainsi que de l’ordre public, maitrisent également un certain nombre des métiers essentiels dans le cadre d’une bonne socialisation réussie.

La volonté manifeste du Président de la République d’améliorer les conditions de travail et de vie des forces de défense et de sécurité, est matérialisée par plusieurs projets. La discipline, la logistique opérationnelle et l’entretien du moral des femmes et des hommes, constituent des facteurs déterminants de l’efficacité de la troupe.

C’est pour garantir l’efficience de ce triptyque qui répond aux préceptes et orientations édictés par le Chef Suprême des Armées, le Président Denis Sassou N’Guesso, que sous l’impulsion du Ministre de l’intérieur, de la décentralisation et du développement local, la Direction Générale des Finances et de l’Equipement (DGFE) que dirige le Commissaire colonel-major Michel Innocent PEYA a entrepris de vastes travaux dans des secteurs annexes mais tout aussi essentiels, pour garantir l’opérationnalité de la force publique.

Ces structures offrent également un creuset d’opportunités pour de nombreux jeunes désireux de prester dans un univers soumis à une discipline différente du milieu civil, et dans lequel outre le travail auquel ils sont astreints se forge la cohésion réelle, celle de l’esprit de corps.

La direction générale des finances et de l’équipement, organe dont l’action prospective du ministère de l’Intérieur, consiste à assurer l’opérationnalité de la mise en œuvre des missions dévolues à la Police et la Gendarmerie a produit des réalisations qui ont connu l’assentiment de la population. Nombreux de ces projets sont déjà conduits à terme.

Une soute à carburant. Base de soutien opérationnel des forces intérieures et de sécurité, cette Soute à carburant en plein cœur de Brazzaville, attenant à la caserne de sapeurs-pompiers, vers la faculté des Lettres de Bayardelle, constitue le point d’ancrage du ravitaillement en carburant des unités intérieures de défense et de sécurité.

La sortie de terre d’une grande Boulangerie moderne. En produisant elle-même le pain destiné à sa consommation, la Force publique n’assure pas seulement la traçabilité du produit, mais en garantit également la qualité, gage de la sécurité alimentaire, car le produit répond au protocole nutritif de la troupe et est élaboré en fonctions des besoins précis.

D’autre part, la Force publique s’affranchit des aléas des fournisseurs extérieurs, soumis parfois à des contraintes qui impactent la production, déstructurant du coup l’opérationnalité de la troupe. La boulangerie des Forces de Défense et de Sécurité est dotée d’un matériel de qualité, répondant aux standards de la production de masse, à même de soutenir autant la quantité que la cadence des besoins opérationnels avec une moyenne de 500 pains toutes les 20 minutes.

Une Unité frigorifique des Forces de sécurité intérieure pour la conservation des produits congelés sans rompre la chaine du froid.

Une unité de couture destinée à la confection des uniformes de la Force publique.

Un pressing adapté pour l’entretien des différents effets d’habillement et autres équipements.

Un Garage haut de gamme pour maintenir l’opérationnalité du matériel roulant dont sont dotées les unités opérationnelles.

Un Centre de formation Technique des Forces de Sécurité Intérieure.

L’Unité de soutien médical, suivi et soins du soldat.

Répondant aux directives et orientations du Président Denis Sassou N’Guesso, Chef suprême des Armées, l’objectif poursuivi par le Ministre de l’Intérieur via la Direction Générale des Finances et de l’Equipement (DGFE) est d’améliorer les conditions opérationnelles, de santé et d’hygiène de travail du soldat, afin de le rendre apte à servir à la hauteur des sollicitations et des missions, selon le vocable : « un homme, une mission, des moyens ».

À partir de tous ces repères relevant de la vision du chef de l’État, chef suprême des Armées, l’auteur Michel Innocent Peya est parvenu à démonter que depuis plusieurs années, Denis Sassou N’Guesso œuvre inlassablement à la création de meilleures conditions de vie, par l’instauration d’une paix véritable.

L’Alliance police/population, une vision appliquée à la sécurité publique proposée par le Président Denis Sassou N’Guesso, se veut une ressource pour ceux et celles qui souhaitent s’inspirer de la meilleure formule pratique, de solides références scientifiques et de l’expérience acquise et partagée par des experts chevronnés.

À travers cette publication, Michel-Innocent Peya confirme la contribution du Président Denis Sassou N’Guesso dans les réflexions menées en vue de contribuer à des solutions concertées et espère avoir répondu aux attentes de toutes celles et tous ceux qui ont à cœur le renforcement des institutions policières.

Cliquez sur la photo, pour lire la vidéo.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-02 07:40:46

Denis Sassou-N’Guesso demande à la force publique de poursuivre en 2025 l’effort d’éradication complète du grand banditisme dans les grandes villes et à l’intérieur du pays

Le grand banditisme gangrène les grandes villes du pays. Au cours du traditionnel réveillon d’armes de fin d’année, le 31 décembre à Brazzaville, Denis Sassou-N’Guesso, le chef suprême des armées, assure avoir « entendu que vous vouliez que cela change ». Il en profite surtout pour tracer quelques perspectives pour l’année 2025. Le Président de la République a demandé à la force publique de poursuivre, en 2025, l’effort d’éradication complète du grand banditisme dans les grandes villes et à l’intérieur du pays.

En sus de l’éradication du grand banditisme urbain, la force publique devrait également contrôler les frontières nationales afin qu’elles ne soient pas des passoires des hors-la-loi venus d’ailleurs.

« Ainsi, avec la mise en œuvre des missions permanentes comme cela vient d’être dit par le chef d’état-major général des Forces armées congolaises et des quelques instructions que je viens de donner et avec le lien étroit qui existera toujours entre la Force publique et son peuple, nous pensons que nous allons maintenir un climat de paix totale dans notre pays », a déclaré le chef suprême des armées.

S’agissant du bilan de la Force publique, Denis Sassou N’Guesso s’est réjoui du fait que les hommes en uniforme ont exécuté avec honneur et efficacité toutes leurs missions tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays en 2023-2024. Deux années qui ont été, d’après le chef de l’Etat, particulièrement épouvantes pendant lesquelles la Force publique a fait preuve de résilience et s’est tenue fidèlement aux côtés de son peuple dans le cadre de l’accomplissement de ses missions traditionnelles.

« Elle a exécuté avec efficacité les missions que nous qualifions de permanentes. A travers ces missions, il y a la discipline que nous avons voulu élever au niveau des missions particulières au cours de cette année 2024. Il est heureux de constater que dans les rangs de la Force publique on observe effectivement cet élan de discipline », a apprécié le chef suprême des armées.

Evoquant le recrutement en cours de 1500 jeunes gens, Denis Sassou N’Guesso a souhaité que cette formation se poursuive avec rigueur afin que le contingent qui y sortira soit la résultante de l’effort de discipline et de rigueur que l’on veut imprimer à la Force publique.

« Ainsi, nous pourrons, à travers la formation de certains de ces éléments, demander que l’année 2025 soit celle de la création des premières unités de génie travaux. Nous voudrons voir la naissance en 2025 des premières unités de génie travaux. Le gouvernement appuiera la Force publique dans ce sens et la naissance de ces unités contribuera fortement au renforcement des liens entre la Force publique et son peuple », a insisté le chef de l’Etat.

Le président de la République a, par ailleurs, pris l’engagement de tout mettre en œuvre pour tenter de relever la situation économique et financière actuelle dans le pays.

D’après lui, le gouvernement fera tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir les militaires, gendarmes et policiers, et surtout créer les conditions de travail et de vie au sein de la Force publique.

« Que ces conditions de vie soient améliorées, je pense à tout ce qui peut permettre à la Force publique de mieux se porter. Qu’il s’agisse d’habillement, de couchage, de maintien de casernes, d’approvisionnement en eau potable, d’électricité des nouvelles casernes que nous venons de construire aux environs de Brazzaville ; de l’ouverture des voies qui devraient mener du centre-ville à ces casernes, le gouvernement s’emploiera au cours de cette année 2025 à améliorer la vie des troupes », a-t-il rassuré.

Dans un contexte mondial très difficile aujourd’hui, la Force publique et le peuple avanceront ensemble, en liaison avec les autres peuples du monde épris de paix, de justice et de liberté, pour des victoires encore plus grandes, a conclu le chef suprême des armées.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-01 11:52:51

Denis Sassou-N’Guesso assure l’amélioration de la situation économique et financière du Congo en 2025

Le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso, veut garder son optimisme pour la relance de l'économie nationale en 2025. Objectif : montrer, encore et toujours, que la crise économique n’entame pas sa volonté de réformer ou d’agir. Ni son optimisme : la dégradation de la situation socio-économique n’est pas, pour lui, de nature à compromettre la croissance cette année 2025.

« D’ores et déjà, 2024 va s’éteindre en laissant, bien allumés et bien brillants, les voyants d’une amélioration, en 2025, de la situation économique et financière de notre pays », a déclaré le Président de la République lors de ses vœux à la nation, le 31 décembre 2024.

« Nos sacrifices ne seront pas vains et nous poursuivrons nos efforts avec plus d’ardeur et d’acharnement, toujours dans la Responsabilité, la Sécurité et la Paix », a-t-il ajouté.

En 2025, il s’agira, pour Denis Sassou-N’Guesso, de fortifier les avancées enregistrées en 2024.

« Un tel pari, qui est à notre portée, ne doit souffrir d’aucune ambiguïté », a martelé le numéro un congolais.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2025-01-01 11:06:39

Congo – DGFE : Cérémonie marquant la fin des stages BT1 et BT2 en Gestion administrative, financière, matérielle et logistique

Il est de tradition pour la Force publique, qu’à la fin de l’année, le chef suprême des Armées, rencontre le commandement et la troupe afin de recevoir d’eux, le rapport de la Force publique ainsi que l’acte de dévouement. À son tour, le chef suprême des Armées leur transmet les orientations pour la nouvelle année. Pour l’année 2024 qui s’achève, le ministère de l’Intérieur et de la décentralisation a su, avec efficacité, mettre en œuvre les directives du Président Denis Sassou N’Guesso reçu lors du précédent réveillon d’armes le 31 décembre 2023 à Brazzaville, notamment sur la formation de la troupe. Actant la matérialité de ces orientations, à la Direction Générale de Finances et de l’Équipement, le Colonel major Michel Innocent Peya a patronné la cérémonie marquant la fin des stages du Brevet Technique 1 et 2 en Gestion administrative, financière, matérielle et logistique.

Cour d’honneur de la Direction générale des finances et de l’équipement, le colonel major Michel Innocent Peya a présidé vendredi 27 décembre, la cérémonie marquant la fin des stages du Brevet Technique 1 et 2, en Gestion administrative, financière, matérielle et logistique.

Un peu plus de 1300 sous-officiers des Forces de sécurité intérieure y ont pris part, dans le but de renforcer leurs capacités managériales et opérationnelles.

Cette cérémonie est la première du genre au Congo, car jamais au sein des Forces de défense et de sécurité intérieure, pareille formation n’avait été dispensée à des troupes sur place.

Dans son mort de circonstance, le colonel major Michel Innocent Peya a relevé que sous l’impulsion du ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation et du Développement local, Raymond Zéphirin Mboulou, ce stage consacre « l’aboutissement du dynamisme de la réorganisation et de la modernisation de la Force publique, conformément aux instructions du président de la République, Denis Sassou N'Guesso, chef suprême des Armées, réitérées à l’occasion des différents réveillons d’armes ».

À l’endroit des sous-officiers en fin de stage, le colonel major Michel Innocent Peya a réitéré les attentes de la hiérarchie.

« Vous devez faire montre de professionnalisme dans vos nouvelles fonctions. Gardez cet élan dans l’intérêt des missions qui vous seront confiées au sein de vos structures respectives ».

Avant le mot de circonstance du colonel major Michel Innocent Peya, dressant le rapport bilan du stage et proclamant les résultats, le colonel Eliot Christel Mounkassa, directeur de stage, a indiqué que plus de 1300 sous-officiers (police, gendarmerie, garde républicaine) y ont pris part dont 720 au BT1; 640 au BT2 et 450 femmes pour les deux niveaux.

Les dix majors de chaque brevet ont reçu leurs diplômes des mains de différents responsables de la Force publique ayant pris part à la cérémonie de clôture officielle du stage.

Rappelons que pour l’année 2025, la DGFE reste sur sa lancée dans l’opérationnalisation de la troupe. Il est prévu l’ouverture des premiers stages spécialisés dans les domaines techniques de la couture, la menuiserie, la plomberie, la pâtisserie, la conduite et bien d’autres.

« Les personnels formés seront directement employés dans les unités techniques du groupement logistique des Forces de sécurité intérieure. Ces unités dont tous les travaux de construction de siège sont en cours de finalisation seront opérationnelles en tout début d’année 2025 », a fait savoir le colonel-major Michel Innocent Peya.

Cliquez sur la photo pour lire la vidéo.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-12-31 23:39:43

Vœux de Denis Sassou-N’Guesso : Ce qu’il faut retenir de l’allocution du Président de la République

Dans la soirée du mardi 31 décembre, le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso a présenté ses vœux aux Congolaises et Congolais pour l’année 2025 dans la traditionnelle allocution radio-télévisée de la Saint-Sylvestre. L’intégralité de son allocution sur les Echos du Congo-Brazzaville.

• Mes chers compatriotes ;

Dans quelques heures, l’année 2024 tirera sa révérence et retentiront les cloches du nouvel an 2025.

Mû par une profonde compassion, je m’incline devant la mémoire de nos compatriotes qui nous ont quittés en 2024.

De même, j’invite à s’armer de courage tous ceux qui, en proie à des situations personnelles déprimantes, terminent l’année en s’interrogeant sur les éventualités du lendemain.

J’exhorte ces derniers à assumer, dans la dignité, les impondérables de la vie qui, elle-même, sans jamais être rectiligne, est faite de hauts et de bas.

• Mes chers compatriotes ;

Dans peu de temps, 2024 deviendra le passé et 2025, notre présent. Le passé éclaire le présent et préfigure le futur.

En 2025, il s’agira de fortifier les avancées enregistrées en 2024. Un tel pari, qui est à notre portée, ne doit souffrir d’aucune ambiguïté.

L’année qui s’achève, 2024, était dédiée à la Jeunesse. En toute chose, notons que ce sont les fondations et les piliers qui tiennent la voûte de l’ouvrage en construction. Les défis liés aux attentes des jeunes ne pouvaient être relevés en une seule année.

Pour atteindre les objectifs visés par cette Résolution salutaire, il nous faut poursuivre les efforts en cours avec plus de détermination et d’intensité. Pour consolider les initiatives amorcées en 2024 et les acquis enclenchés au bénéfice des jeunes, il est nécessaire d’inscrire dans le temps et d’amplifier, en 2025, notre action au profit de cette frange importante de la population.

Cette démarche doit couvrir toute la période d’exécution du Plan national de développement (PND) 2022– 2026 et s’étendre au-delà de cette échéance.

D’ores et déjà, 2024 va s’éteindre en laissant, bien allumés et bien brillants, les voyants d’une amélioration, en 2025, de la situation économique et financière de notre pays.

Nos sacrifices ne seront pas vains et Nous poursuivrons nos efforts avec plus d’ardeur et d’acharnement, toujours dans la Responsabilité, la Sécurité et la Paix.

• Mes chers compatriotes ;

Au moment où l’année 2025 prend son envol, nous notons le climat de Paix qui règne dans notre pays.

Il s’agit, pour nous tous, de privilégier le dialogue constructif afin de consolider la cohésion sociale et le mieux-vivre ensemble.

Cependant, la situation de Paix observée au Congo ne peut nous priver d’évoquer la persistance, à travers le monde, des tensions qui placent l’humanité dans l’angoisse d’une amplification de conflits aux conséquences désastreuses.

Les Peuples aspirent à la Paix et à la Sécurité, leur rêve primordial étant le développement censé améliorer leurs conditions de vie.

Nous espérons que 2025 permettra l’accélération des processus de Paix entamés sur tous les continents, afin que se matérialisent les résolutions adoptées et les actions y afférentes.

2025 devrait être l’année du retour de la Paix dans le monde. C’est notre vœu le plus ardent.

A l’endroit de notre Peuple, je formule mes vœux de santé et de bonheur pour la nouvelle année 2025.

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2025 A TOUS !

• Vive la République !

• Vive le Congo !

Je vous remercie.

Créé le 2024-12-31 21:45:36

Fêtes de fin d’année : période faste pour les coiffeurs à Brazzaville

Se faire beau pour les soirées de réveillon, avoir les cheveux sains et en bonne santé, entrer dans la nouvelle année en étant à son avantage... pour ces raisons, vous êtes nombreux à être passés par la case coiffeur, durant les fêtes de fin d’année. Les professionnels se frottent les mains et s’appliquent à satisfaire un maximum de personnes.

Dans quelques heures, 2024 laissera place à 2025... L'occasion parfaite pour sublimer son look et opérer quelques changements.

Les salons de coiffure de Brazzaville ne chôment pas en cette période.

Entre mèches, couleurs, brushing et coupe, les rendez-vous sont pris d’assaut.

Que les Congolais optent pour un réveillon de la Saint Sylvestre en toute simplicité et en petit comité, ou en grande pompe en soirée, la plupart compte bien être sur son 31 ce soir.

Se faire belle ou beau et avoir une tenue de fête reste des incontournables. D’où le fait que cette période soit l’une des plus lucratives pour les coiffeurs, notamment.

C’est ainsi que les Salons de coiffure de Brazzaville étaient bondés, jusqu’à hier. À un cheveu du réveillon, certaines enseignes ne désemplissaient pas, ce mardi 31 décembre 2024.

Les gérants ont dû mettre les bouchées doubles et jouer les prolongations, pour contenter tous les clients.

Côté hommes, tondeuse à la main, les professionnels ont enchaîné les coupes et les dégradés, tant des cheveux que de la barbe et la moustache.

Côté femmes, les sèche-cheveux tournent à plein régime.

On lisse, on renouvelle les brushings, on peaufine les colorations.

Pour d’autres, on travaille les boucles naturelles. Là aussi, tous les sièges sont occupés. Mais Edamaelle n’est pas réfractaire au rythme effréné imposé :

Les femmes souhaitent surtout avoir une chevelure rayonnante pour commencer la nouvelle année.

De quoi faciliter la coiffure le jour J, explique Edamaelle : Pour celles et ceux qui sont coiffés de locks, les mains ont dû s’activer de longues heures, pour séparer, tourner et assembler les dreads.

L’époque des paillettes et des coiffures élaborées semble être révolue.

Quoi qu'il en soit, désormais, pour changer de look, il faudra attendre l’année prochaine !

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-12-31 19:45:02

Denis Sassou-N’Guesso va adresser ses vœux aux Congolais, après une année difficile

Le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso présente, ce mardi soir, ses vœux aux Congolais pour 2025 dans la traditionnelle allocution radio-télévisée de la Saint-Sylvestre, espérant tourner la page d'une année difficile, marquée par un contexte économique et social difficile.

Lors de son allocution ce mardi à 20h00, le Président dressera sans aucun doute le bilan d'une année particulièrement difficile, tout en dressant le nouveau cap de l'année à venir.

C'était le cas en 2023 : « J’ose également espérer que 2023 sera l’année de l’affermissement et d’une prise de conscience nationale et internationale encore plus grande sur les questions climatiques et environnementales, afin que toutes les résolutions adoptées et les actions menées dans ce domaine ne restent guère à l’État de vœux pieux ou de stériles incantations. En 2023, il s’agira de relever, du mieux possible le défi de l’optimisation pour consolider les acquis, en l’occurrence les performances économiques encourageantes obtenues et les avances sociales enregistrées ».

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-12-31 11:09:06

Congo-Coopération : Brazzaville signe un accord de coopération avec la ville de Shaoyang et l’Omex sur les projets d’ingénierie municipale de la ville

Le Président du Conseil départementale et Municipale, député Maire de la ville de Brazzaville, Dieudonné Bansimba a reçu, le dimanche 29 décembre 2024, une délégation chinoise des missions d’affaires du Bureau Municipale du Commerce de Shaoyang et l’Omex. L’accord de partenariat de coopération a été signé entre la ville de Brazzaville, capitale de la République du Congo et celle de Shaoyang de la République Populaire de Chine.

 

 

En effet, la Ville de Shoayang a constitué une délégation de 5 membres qui s’est rendu à Brazzaville du 27 au 30 décembre 2024 pour une mission d’affaires.

Cette délégation, accompagnée de l’ambassadeur du Congo en Chine, M. Daniel Owassa était composée de M. Riping Ouyang, Conseiller principal du gouvernement Populaire et Municipal de Shaoyang de la coopération Chine Afrique ; M. Shunli Wu, président de Hunan 4e Engineering Co.Ltd ; M. Guangming Chen, Directeur Général de la filiale étrangère de Hunan 4e Engineering Co. Ltd ; M. Zhebiao Jin, Directeur Général-adjoint de la Compagnie de construction de ponts et chaussées de Shaoyang  et de M. Fuquan Kou, Directeur général-adjoint de la Compagnie de construction de pont et chaussée de Shaoyang.

Après la signature desdits accords de coopération, le président du Conseil Municipale, député de la ville capitale s’est réjoui de l’accomplissement de cette mission.

« Merci aux membres de la délégation de la ville de Shaoyang et Omex, nous sommes très contents et très heureux d’avoir signé cet accord. Accord qui vient encore de rehausser la coopération Sino-congolaise, qui date de 60 ans. Et qui, cette année a été encore renforcé par la co-présidence du FOCAD, que l’on a attribué à la ville de Brazzaville. Voyez-vous, nous ne faisons que renforcer cette coopération bilatérale, nous espérons que ce protocole d’accord sera suivi des faits concrets, c’est-à-dire, la réalisation de ses projets, pour le bien-être de nos populations et pour la transformation de notre ville capitale, Brazzaville. D’ici-là, la ville Omex va se mettre en branle pour la recherche des financements et la ville de Shaoyang sélectionnera les entreprises habilitées, pour que les travaux puissent démarrer pour le bien de Brazzaville et de sa population toute entière », a-t-il déclaré.

En outre, le représentant de la délégation chinois s’est exprimé en remerciant l’issue de cette mission qui se situe dans le cadre d’une coopération qui existe depuis toujours et qui ne fait que se consolider par des signatures des tels accords.

« Au nom du Omex, du gouvernement populaire municipal de Shaoyang, je vous remercie du chaleureux accueil réservé à notre délégation. Aujourd’hui on a signé l’accord de coopération pour des projets d’ingénierie municipale de la ville de Brazzaville », a déclaré le chef de délégation.

« Je pense que, c’est un moment historique de mariage, présentement, la ville de Shaoyang et celle de Brazzaville se marient. Ainsi, ce mariage scellé, devra être plus durable que jamais. Comme l’accord vient d’être signé, on attend plus que Omex pour la levée des fonds nécessaire pour l’exécution des travaux », a-t-il rassuré.

Signalons que la signature de cet accord permettra à la ville capitale de bénéficier des infrastructures et des structures modernes pour son développement environnemental et architectural.  

VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville        

 

 

Créé le 2024-12-31 09:22:30

CHU de Brazzaville : Une violente bagarre éclate entre un garde malade et des agents de sécurité à la suite d’un malentendu

Une bagarre a éclaté, le 27 décembre 2024, entre un garde malade et les agents de sécurité du Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville (Chu-B), à la suite d’un malentendu.

Le garde malade a expliqué que, « ma mère est dans un état critique au service de la réanimation. Je suis venu récupérer un sac contenant mes affaires et chercher mon frère afin qu’il puisse passer la nuit avec moi. L’entrée étant fermée, j’ai tenté d’expliquer que l’état de ma mère nécessitait la présence de deux ou trois personnes ».

Il a poursuivi en affirmant qu’après le refus des agents de sécurité de laisser entrer son frère, des tensions sont survenues, se traduisant par des insultes et des coups de poings. Un agent a alors utilisé un objet en bois pour frapper le garde malade qui a été expulsé de l’hôpital, laissant sa mère seule dans un état critique.

Selon des témoignages, ces incidents ne seraient pas isolés. Une vendeuse présente à proximité a déclaré que « ce genre de scène se produit régulièrement, alors qu’il ne fait même pas un an qu’ils ont été recrutés ». Elle a également déploré le manque de courtoisie de ces agents.

D’autres patients et un chauffeur de bus ont fait état de la fréquence de telles situations, attribuant cela à un « manque de professionnalisme de la part des agents de sécurité ».

Un agent du Chu-B, souhaitant rester anonyme, a partagé son expérience. « J’avais oublié mon badge à la maison et, bien que j’ai expliqué que j’étais professionnel, ils ont mis en doute ma parole. Cela a dégénéré et je n’ai pas pu travailler ce jour-là. Je regrette les anciens agents, qui étaient compréhensifs et professionnels. Ceux-ci manquent d’éthique et de déontologie, même envers le personnel de santé administratif. »

L’hôpital doit être un lieu de soins pour les malades, dont certains sont dans des états critiques, mais, la présence des gardes malades est aussi essentielle.

Les agents de sécurité devraient faire preuve de maturité, d’éthique et de professionnalisme afin d’éviter les tensions susceptibles d’entraîner des conséquences graves.

JJS / Source ACI

Créé le 2024-12-31 08:55:38

Congo : « Aller sur le terrain», les ministres à l'épreuve de la méthode Denis Sassou-N’Guesso en 2025

Le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso, qui présidait le Conseil des ministres lundi 30 décembre 2024 au Palais du peuple, le dernier de l’année, veut aller très vite en 2025 pour la fin du quinquennat, l’avant dernière année de mise en œuvre du Plan national de développement 2022-2026. Et, pour aller de l'avant, rien de mieux que d'« aller sur le terrain ». C'était son mot d'ordre aux membres du gouvernement. Dans cette optique, il a insisté sur la nécessité de trouver des solutions concrètes et rapides aux problèmes rencontrés sur le terrain, l’importance de répondre constamment et efficacement aux préoccupations avec la rapidité et le professionnalisme requis, de s’acquitter des missions qui leur sont confiées avec rigueur et excellence, dans l’intérêt des citoyens et pour affronter au mieux les défis économiques financiers et sociaux de l’heure.

Le chef de l’Etat, tout en présentant ses vœux de bonheur, santé et réussite aux membres du gouvernement, leur a rappelé que 2025 devait placer l’obligation de résultats au centre de l’attention des pouvoirs publics, il a souhaité que soient mises en avant des actions fondées sur la recherche de solutions concrètes pour répondre aux différents défis de l’année nouvelle.

Cette approche vise, selon la présidence, à instaurer une gouvernance pragmatique, tournée vers l’efficacité, où chaque membre du gouvernement agit comme un véritable acteur du changement, au service exclusif du bien-être des Congolais.

Le chef de l’Etat a insisté sur l’impératif d’une exécution à la vitesse maximale des réformes sur le terrain, et ce, pour rattraper les retards structurels.

Il a également exhorté le gouvernement à concentrer tous ses efforts sur l’amélioration des conditions de vie des citoyens et la satisfaction de leurs besoins essentiels.

Enfin, Denis Sassou-N’Guesso, a rappelé que l’année 2024 qui s’achève a vu l’action des pouvoirs publics rendue délicate par un contexte économique et social difficile.

A cet égard, le numéro un congolais a, de nouveau, félicité le peuple congolais pour sa résilience et pour avoir tenu le choc face aux nombreux défis rencontrés durant l’année qui s’achève dans quelques heures.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-12-31 08:35:13

Les Echos du Congo-Brazzaville vous souhaitent une bonne et heureuse année 2025

«Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite », disait Henry Ford. C’est autant dire que la solidarité est au cœur des valeurs que nous portons. Alors, que vous soyez en famille, avec des amis ou seul chez vous, Les Echos du Congo-Brazzaville qui portent, depuis décembre 2015, un regard aiguisé sur l’information sans jamais être rasoir, vous souhaitent une bonne et heureuse année 2025. Un moyen puissant pour nous de renforcer nos liens avec ceux qui nous lisent, nous soutiennent, nous encouragent et nous accompagnent dans cette belle aventure.

Chers lecteurs, administrateur et mécène, que cette année 2025 vous comble, comme vous le méritez, de tous les petits bonheurs que la vie peut nous offrir.

Nous vous souhaitons également l'amour, la réussite et la santé la meilleure possible.

Et évidemment, on espère passer encore beaucoup de moments de joie avec vous.

Notre mission nodale est de rapprocher toujours plus ce Congo de vous. Le Congo sous vos yeux. Après tout, le Congo appartient à nous tous !

Nous nous sentons très honorés d'être à l'avant-garde de ce projet de communication innovant, qui à chaque fois apporte des informations fiables avec des images réelles du mode de vie vécu dans notre pays économiquement riche et hospitalier.

Ensemble, faisons de 2025 une année pleine d’amour et d’aventures.

La Rédaction

Créé le 2024-12-31 07:57:03

Brazzaville et ses caniveaux qui servent de poubelles

Le problème de l’insalubrité dans la capitale congolaise continue d’alimenter les conversations. Les autorités municipales avaient promis un changement significatif de la ville, durant les cents premiers jours du mandat de l’édile de Brazzaville. Des efforts sont sûrement faits, mais aucun impact n’est constaté sur le terrain.

Des ordures jonchent les rues quand les lieux où sont posés les bacs à ordure deviennent de véritables décharges à tel point que les bacs sont souvent couverts des tas d’immondices.

Toutes les artères de la capitale sont quasiment concernées par cette insalubrité. Les populations transforment impunément les caniveaux en dépotoirs de déchets.

Comme dans plusieurs arrondissements tel que Mfilou, qui subit les affres des ordures. Tous les caniveaux y ressemblent à des poubelles.

On y jette tout : des sachets, des boites de conserve, des cartons, des bouteilles etc. Tout cela associé aux eaux usées qui stagnent.

Les odeurs qui émanent de ces endroits ne laissent pas indifférents les piétons qui ne cessent de se plaindre.

L’incivisme des populations,  le manque d’entretien régulier de ces infrastructures, l’absence de sensibilisation et d’amendes sont les principales causes.

En effet, entre les artères de la capitale congolaise, ce sont plusieurs centaines de kilomètres de canalisations qui souffrent d’abandon, livrées ainsi à l’incivisme des populations qui ne mesurent pas toujours les conséquences de leur comportement, sur ces ouvrages publics et sur leur propre milieu de vie.

Pollution organique, avec des risques certains sur la santé humaine et au-delà ; le problème d’inondation lors des fortes pluies, voici autant de conséquences susceptibles de découler de cette situation.

Le problème de l’insalubrité à Brazzaville, comme plusieurs autres problèmes, se renouvelle chaque année. Des campagnes de sensibilisation sur la question sont régulièrement diffusées à la télévision. Cependant, l’impression est que le phénomène résiste.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-12-30 18:51:41

Congo : Un violent orage emporte une partie de la toiture du lycée de Mayoko

La pluie torrentielle qui s’est abattue dimanche soir à Mayoko dans le Niari (sud) a été sans pitié pour le lycée d’enseignement général de la ville. Le vent a emporté une partie de la toiture d’un bloc de plusieurs salles de classe.

La toiture est à même le sol hors de la clôture. C’est le constat amer qui se dégage après la forte pluie qui s’est abattue sur la ville. Pourtant sans foudre. Les responsables de l’établissement scolaire sont sans voix.

Tôt lundi matin, le sous-préfet de Mayoko est descendu sur les lieux pour évaluer l’ampleur des pertes.

Plusieurs parents d’élèves se sont montrés désemparés face à la situation qui impose d’enclencher des mesures urgentes pour recaser les élèves impactés par cette pluie dévastatrice.

Sans doute, les élus locaux vont agir dans les plus brefs délais pour sauver l’établissement en détresse.

En attendant, l’on déplore déjà la mauvaise qualité des infrastructures scolaires.

Des sources concordantes nous ont  appris que la toiture dudit bâtiment sinistré a été construite au cours de l’année scolaire 2024-2025 dans la précipitation et sans le moindre respect des règles en la matière.

L’érection de ce lycée d’enseignement général dans la contrée était très attendue tant par les parents que les élèves qui sont obligés de se rendre à Mossendjo pour leurs études secondaires.

Un exode lourd de conséquences, surtout quand on n’a pas de parent chez qui aller vivre.

Ces difficultés sont la cause de nombreux décrochages pour les élèves issus des familles démunies.

L’implantation d’un lycée à Mayoko réaffirme la volonté constante du Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso de placer le système éducatif au diapason de ses missions de formation des jeunes à l’esprit d’entreprise et de préparation à la création d’emplois et de richesse.

Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Photo : DR

Créé le 2024-12-30 18:32:56

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