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Congo : Un soldat vole un cochon dans un parc à Dolisie

L’acte n’est tout simplement pas rassurant. L’on a du mal à admettre qu’un militaire congolais, en ces moments difficiles où le pays se bat pour remettre l’ascenseur social en marche, commette pareil forfait. De quoi saper le moral de toute une armée. Dans la nuit du 08 au 09 novembre 2017, aux environs de 3 heures du matin, le caporal-chef Laire Cedric Ndengué a été arrêté par une patrouille des policiers de Dolisie dans le département du Niari (sud). Il venait de commettre un vol d’un cochon dans un parc privé.

Créé le 2017-11-11 10:19:55

Congo - Pointe-noire : Zulu-Bad est mort !

Policier de métier et artiste musicien à ses heures perdues, Zulu-Bad, « l'enfant terrible » de la brigade spéciale d'intervention rapide (BISR) de Pointe-Noire est décédé jeudi.

La nouvelle a fait l'effet d'un coup de tonnerre à Pointe-Noire : Zulu-Bad est mort ! Et pour cause, Rodrigue Amboulou a toujours alimenté la controverse, à travers les missions de police qu'il conduisait, notamment les interventions pour le maintien de l'ordre menés à Pointe-Noire.

Si son surnom Zulu-Bad est synonyme de terreur, c'est que l'homme s'est de par ses fonctions, tissé une réputation de « dur », ne faisant pas de quartiers dans la confrontation, y allant parfois sans ménagement.

Si Zulu-Bad était la terreur des malfrats et autres bandits qui redoutaient ses descentes musclées, c'est surtout auprès des élèves et autres jeunes, avec lesquels il a de tout temps été confronté, qu'il avait mauvaise presse.

La seule évocation du nom Zulu-Bad suffisait à créer la panique, voire un sentiment de révolte chez les lycéens ou collégiens qui voulaient en découvre avec lui et son équipe.

Ses tirs de sommation régulièrement lâchés au jugé et de façon bien souvent inopportune avec parfois des incidents de tirs lui ont donné une réputation d'homme à la gâchette facile. Lui s'en défendait, en se définissant en homme de la loi, avec pour seule mission, de rétablir l'ordre.

Pourtant, Zulu-Bad, c'est aussi cet artiste musicien dont les concerts ont toujours drainé des foules à Pointe-Noire, même si de ce coté aussi, la polémique fait état de ce que sa réputation de dur obligeait certains à y aller plutôt par curiosité que par adhésion, pour cerner l'ambivalence du personnage.

Le musicien Zulu-Bad, invité de l'émission télévisée Maxi Tempo à Pointe-Noire 

Il n'en demeure pas moins que la danse « tramadol », création de son orchestre a cependant eu un réel effet d’entraînement auprès de nombreux mélomanes à Pointe-Noire.

Ses passages réguliers sur les plateaux de télévisions, dans les émissions culturelles où il commençait ses interventions en rendant grâce à Dieu n'ont pu gommer dans l'opinion une image qui lui collait à la peau, celle d'un homme peu fréquentable, le « bad », « le mauvais ».

Ainsi sa mort est vécue à Pointe-Noire avec des sentiments controversés.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-11-10 09:31:12

Congo – CIRGL : Déclaration de Denis Sassou N'Guesso sur la publication du calendrier électoral en RDC

En sa qualité de Président en exercice de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), Président du mécanisme de suivi de l'accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération, pour la République Démocratique du Congo et la région, le Président Denis Sassou N'Guesso a publié une déclaration dans laquelle il « se félicite de la publication  du calendrier électoral en République Démocratique du Congo par la Commission électorale nationale indépendante. 

Denis Sassou N'Guesso « appelle tous les acteurs politiques et la société civile de ce pays membre de la CIRGL à se mobiliser en vue de la mise en œuvre de cet agenda, dans l'unité, la sérénité, la paix et le respect des accords du 31 décembre 2016 . »

Aussi, invite t-il « par ailleurs la communauté internationale, les partenaires bilatéraux et multilatéraux à accompagner les autorités de la République Démocratique du Congo dans le respect et l'application effective de ce calendrier. »

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-11-10 08:01:55

La Chine s'apprête à livrer aux FAC et la gendarmerie nationale du matériel de communication le plus sophistiqué

La Chine s'apprête à livrer aux Forces armées congolaises (FAC) et la gendarmerie nationale du matériel de communication le plus sophistiqué.

Créé le 2017-11-10 07:28:33

Crise dans le Pool : L’Italie pour la reconstruction des habitations, des écoles et des hôpitaux

L’ambassadeur d’Italie au Congo, Andréa Mazzella a demandé au gouvernement congolais de prendre en compte la situation des populations civiles dans le département du Pool (sud) par la reconstruction des habitations, des écoles et des hôpitaux.

Créé le 2017-11-10 07:13:43

Brazzaville : La police sera sans pitié envers les jeunes qui seront pris en flagrant délit (Jean François Ndenguet)

La menace est très forte ! A l’approche des fêtes de fin d’année, la fréquence d’actes de banditisme augmente souvent à Brazzaville. En vue de garantir un climat apaisé, la police sera sans pitié envers les jeunes qui seront pris en flagrant délit, a déclaré le directeur général de la police, le général Jean François Ndenguet, lors de sa rencontre jeudi, avec les chefs des quartiers de la capitale congolaise.

Créé le 2017-11-10 06:44:31

Congo – Burkina-Faso : Des élèves douaniers congolais expulsés de leurs logements à Ouagadougou

Les élevés douaniers congolais en formation au Burkina-Faso, notamment à l'école nationale des douanes de Ouagadougou ont été mis à la rue, au motif que le gouvernement congolais accumulerait de nombreux mois de loyers impayés.

La scène leur a paru surréaliste. Sans ménagement, les élèves douaniers en formation à Ouagadougou ont été priés de libérer les logements qu'ils occupaient. Le Congo, et encore moins les douanes congolaises ne se seraient pas acquittés du loyer, depuis de nombreux mois déjà.

Sans assise familiale et en pays étranger de surcroît, ces élèves sont désormais réduits à errer ça et là. Et leurs propos expriment autant l'incompréhension que la colère.

« C'est un spectacle désolant. Nous n'étions pas préparés à payer notre loyer car depuis Brazzaville, nous savions que les douanes congolaises supporteraient notre hébergement. Nous sommes expulsés parce que les loyers n'ont pas été assurés. Ce qui n'est pas normal. »

« Quand les douanes congolaises prennent des engagements vis à vis des pays tiers, et qu'elles ne les honorent pas, c'est décevant pour un pays comme le Congo. »

« Nous sommes dehors. Nous sortons nos effets et nous ne savons pas où nous allons passer la nuit. Nous sommes pour ainsi dire à la merci de la nature. »

« Nous sommes abandonnés par nos autorités, par notre administration. Il faut se poser la question de savoir s'ils ont des pierres à la place du cœur. »

« Dans un pays étranger, qu'allons-nous devenir. C'est une honte pour le Congo car nous représentons une fraction de la nation congolaise. Tout le monde sait que nous sommes expulsés nous seront la risée de nos collègues qui se rendront vite compte de notre mésaventure. »

Quoi qu'il en soit, la situation des élèves douaniers congolais de Ouagadougou est presque devenue commune pour l'ensemble des étudiants et stagiaires congolais à l'étranger.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-11-09 13:08:33

Match amical : Bénin - Congo (1-1)

Pas de vainqueur. En match amical disputé mercredi au stade de Kintélé à Brazzaville, le Bénin a tenu en échec le Congo (1-1).

Créé le 2017-11-09 12:20:36

Congo : Les pauvres toujours plus pauvres

Le Congo-Brazzaville lutte aujourd’hui pour se sortir d’une pauvreté qui affecte 70 % de ses quatre millions d’habitants, selon le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). La majorité des congolais vivent avec moins de deux dollars américains par jour.

Créé le 2017-11-09 11:19:35

Congo : La CNSS en colère dénonce le travail dissimulé des commerçants ouest-africains

Le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS, Evariste Ondongo a décidé de faire savoir sa colère, pour une explosion du travail dissimulé ou au noir des commerçants ouest-africains exerçants sur toute l’étendue du territoire national.

Créé le 2017-11-09 09:53:23

Congo – Affaires foncières : Le ministre Pierre Mabiala cible des maisons à casser à Brazzaville

Il avait promis utiliser son « tracteur de démolition massive » pour déguerpir les « occupants illégaux » du site du lycée agricole Amilcar Cabral. Le ministre Pierre Mabiala est en passe de mettre sa menace à exécution.

Aux quartiers Tsangamani et Nganga Moumpala à Madibou dans le 8ème arrondissement de Brazzaville, les habitants passent désormais des nuits cauchemardesques, depuis que les services du cadastre sont passés répertorier les habitations qui se trouveraient sous l'emprise du domaine du lycée, et donc vouées à la démolition.

Cette démolition que l'on dit inéluctable est confirmée par des inscriptions « à casser » apposées sur les murs des clôtures ou des maisons, et qui se lisent comme une sentence.

Pour les personnes concernées et qui ont vu sur leur maison ces inscrptions à la peinture rouge, la hantise de les perdre est telle que cette menace se précise, après l’expiration de l’ultimatum donné par le ministre des Affaires foncières et du domaine public Pierre Mabiala, leur demandant de quitter ces lieux dans un délai d’une semaine. 

Même si le membre du gouvernement estime que ces personnes ont occupé de façon anarchique une partie de la concession de 64 hectares réservée au lycée technique agricole Amilcar Cabral, il y a pourtant un quiproquo.

Du reste, les personnes concernées qui soutiennent être dans leur bon droit, tentent en vain de rencontrer le ministre, afin de lever les doutes sur ce qui paraît être un malentendu. Pour elles, le terrain du LAAC et celui qu'ils occupent sont séparés par une avenue et de l'avis même des propriétaires terriens ayant vendu les parcelles, le lycée ne saurait s'étendre au delà de l'avenue. Le ministre se tromperait.

Entre la « conscience de tracteur » affichée du ministre et des occupants que nul ne veux entendre, il s'est instauré un véritable dialogue de sourds, avec à la clé la démolition imminente du fruit de toute une vie, ce qu'ils n'osent accepter, insistant qu'un terrain d'entente soit trouvé.

Beaucoup d'ailleurs dénoncent la manie du ministre Mabiala d'en recourir toujours au tracteur, dans une espèce de loi du Talion, alors qu'en homme de droit, il s'en référerait à la justice qui, après avoir instruit les affaires à charge et à décharge, sur la base des pièces du dossier, ordonnerait les démolitions le cas échéant, en exécution d'un arrêt de justice, après avoir épuisé toutes les voies légales. Voila qui est État de droit.

Entre-temps, pour les familles dont les maisons ont reçu la sentence « à casser », la pression psychologique conduit au bord de l'infarctus et les jours désormais insipides se vivent comme ceux des condamnés, dans le couloir de la mort où le ministre Pierre Mabiala serait à l'évidence le bourreau.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-11-09 09:46:33

Infrastructures économiques – Le Port autonome de Brazzaville en difficulté

L’économie congolaise est en train de prendre l`eau de toutes parts. En effet, le Port autonome de Brazzaville est en proie aujourd`hui à de nombreuses difficultés. Le spectacle qui s`offre ces temps-ci au Port de la capitale congolaise est bien triste. L’entreprise publique traverse une situation financière et logistique difficile, en raison d’une dette fiscale estimée à plus de 4 milliards FCFA et d’une dette sociale d’environ 1,2 milliard.

Créé le 2017-11-09 09:05:13

Brazzaville : Le député Bersol Exaucé Ngambili Ibam lance l’opération « Zéro élève par terre »

Le véritable développement n’est possible que s’il existe une bonne politique de l’éducation. Celle qui passe par la mise sur pied des infrastructures adéquates. Des soubassements permettant à nos enfants de pouvoir se former dans les meilleures conditions. C’est dans cette optique que le député de la deuxième circonscription électorale du neuvième arrondissement de Brazzaville (Djiri), Bersol Exaucé Ngambili Ibam alias Beni, vient de lancer une opération, unique en son genre, dénommée « Zéro élève par terre » en vue de soutenir les établissements publics de la capitale congolaise souvent confrontés à un déficit criard en matière de tables- bancs.

Créé le 2017-11-09 08:27:58

Congo : Christian Roger Okemba prêt pour nettoyer Brazzaville

Dans le cadre de la politique d’assainissement et d’aménagement de Brazzaville entreprise par son maire, Christian Roger Okemba, les services municipaux vont nettoyer, dans les prochains jours, la ville capitale.

Créé le 2017-11-09 07:46:11

Congo : Une réunion pour stopper l’insécurité et la délinquance à Brazzaville

La colère des brazzavillois qui veulent des solutions immédiates et concrètes à l’insécurité qui sévit dans les quartiers de la capitale congolaise a été entendue. Le directeur général de la Police nationale, le général de police de deuxième classe, Jean François Ndenguet s’entretiendra avec tous les chefs de quartiers, le représentant du Préfet, les délégués des maires et les chefs de commissariats de Police de Brazzaville, à la salle de conférence de la préfecture de Brazzaville.

Créé le 2017-11-08 10:28:00

Congo – Département du Pool : Le gouvernement tient parole pour une réelle sortie crise

Nulle dynamique de paix ne peut prendre corps, si les signaux qui la sous-tendent ne sont pas conséquents. Dans la résolution de la crise du Pool, l'armée congolaise vient de poser un acte de grande portée.

Même si elles ne le clament pas, les Forces Armées Congolaises ont fait un pas conséquent, vers la sortie de crise dans le département du Pool, avec l'injonction faite par le chef d'état-major général des armées, de lever tous les barrages qui y avaient été dressés. En d'autres termes, cela signe de facto le retrait de la troupe combattante du théâtre des opérations.

Lorsque, clôturant une session de l’Assemblée nationale, son président Isidore Mvouba affirmait que le président Denis Sassou-Nguesso avait accédé à la demande des élus du peuple d’instaurer une plateforme d’échanges et de dialogue sur le Pool, il ne s'agissait ni plus ni moins que d'une volonté manifeste de se sublimer face à la douleur des populations du Pool, et de tenter une solution autre que celle des armes qui depuis plus d'un an déjà, ne sont pas venues à bout du pasteur Ntumi et de ses combattants ninjas.

Depuis, d'autres initiatives ont vu le jour, la plus expressive étant la rencontre du 3 octobre 2017. À l’initiative des sages et notables du département du Pool, le président Denis Sassou N’Guesso avait eu une séance de travail avec leurs représentants à Brazzaville. Les échanges  avaient porté sur l'étude des voies et moyens du rétablissement de la paix et de la sécurité dans ledit département.

Ce jour là, le président de la république prenait entre autres décisions, le ferme engagement de créer des conditions pour la sortie des forêts des ninjas.

Avec la décision prise par le chef d'état-major des armées congolaises, il y a de quoi dire que contrairement aux discours martiaux auxquels on était habitué il y a quelques mois, la recherche de la paix dans le Pool par la voie du dialogue et de la conciliation semble désormais prendre place auprès des Forces en belligérance. Cette volonté unanimement saluée, ne peut s'enclencher qu'à la condition que déjà, les armes se taisent.

Les grands théoriciens de la guerre ou de la diplomatie s'accordent à dire que « la paix par les armes est une guerre en sursis ». De ce point de vue, discutable en rares égards, il se dégage tout de même le net constat que « la guerre ne règle rien. Elle ne fait qu'aggraver l'état des déséquilibres qui conduisent à la guerre, en creusant de plus en plus les schismes de la division et en installant pour bien longtemps, la haine et le sentiment de vengeance, dans les cœurs des vaincus. »

Quand un conflit intra-national s'éternise, les dommages collatéraux, du fait de leur multiplicité, deviennent assimilables à des faits de guerre, pour ceux qui en sont victimes. Le doute s'installe dans les esprits et la neutralité, même des forces gouvernementales devient sujette à caution, auprès des populations en qui naît le « syndrome de Stockholm », alimenté par les accointances géographiques, ethniques ou tribales.

Cette dimension sociale a fait qu'en Colombie par exemple, le conflit entre le gouvernement et les Farc s'est éternisé des décennies durant. Seul le dialogue a conduit à la paix.

Plus le conflit s'étend dans la durée, plus on perd de vue la raison première qui l'a déclenché. Bavures et cruauté s'installent, du fait que l'on voit mourir ses frères d'armes. Même l'armée la plus disciplinée du monde ne peut y faire face, à défaut d'envoyer des unités entières en cour martiale. Plus personne ne peux dire, qui a tort, qui a raison, car les différentes péripéties au cours des opérations ont engendré dans les parties en belligérance, des faits répréhensibles, susceptibles d'être condamnés. Alors, qui condamner et qui absoudre ?

Ce n'est point une faiblesse pour les officiels congolais, que d'initier le dialogue pour résoudre la crise du Pool, ainsi que le claironnent certaines voix.

Chaque jour, des gens meurent dans le Pool. Du fait des armes, ou des conséquences des faits d'armes. Puissent ceux qui claironnent convenir avec le proverbe Peul : « seul le poulet ajourné de l'abattoir connaît l'agonie du couteau ». Ce poulet a vu mourir les siens et accepterait tout compromis qui lui épargnerait le supplice. Pour les autres, qui épiloguent à propos, cela relève de l'imaginaire.

La décision de se sublimer, prise par le président Denis Sassou N'Guesso, acceptée, quoique assortie de conditions par le pasteur Ntoumi, participe d'un acte de courage.

Le courage disait Jules Ferry, « ce n'est pas de laisser aux mains de la force, la solution des conflits que la raison peut résoudre. » Il en faut, une sacrée dose de courage, quand on sait que le conflit a produit un bilan humain et sociologique que nul ne pourra réparer.

La levée des barrages et autres checkpoints préfigure cet état de non-guerre qui permettra aux populations meurtries, innocemment prises en otages par les forces belligérantes, à avoir enfin le « droit à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur ».

D'autres part, la paix véritable participe de ce que les détenteurs inappropriés des armes de guerre retrouvent en les déposant, une reconversion socio-économique qui s'inscrit dans l'optique de la paix. Cette tache, Denis Sassou N'Guesso l'a confiée à Euloge Landry Kolelas.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-11-08 10:02:18

Les travaux de bitumage de la route Kibangou-Dolisie-Ndendé (Gabon) au ralenti

Les travaux de bitumage de la route nationale N°3, Kibangou-Dolisie dans le Niari (sud) et la ville de Ndendé au Gabon, exécutés par la société CRBC, tournent au ralenti à la grande surprise des populations.

Créé le 2017-11-08 09:59:39

Congo : La cimenterie Dangote bientôt en service dans la Bouenza

La cimenterie Dangote sera officiellement mise en service dans les prochains jours à Mfila, un village du district de Yamba dans le département de la Bouenza (sud).

Créé le 2017-11-08 09:41:35

Congo : Une épave « hantée » sème la terreur dans le district de Nyanga

Des épaves de véhicules abandonnés en bordure de route, il y en a beaucoup sur les routes congolaises et presque personne ne se préoccupe de les dégager, encore moins les propriétaires qui le cas échéant pensent plus à la perte occasionnée par l'abandon du véhicule, que de devoir engager d'autres dépenses infructueuses, pour évacuer un véhicule à l'état d'épave.

Créé le 2017-11-08 09:20:59

Congo – Football : Jean-François Ndenguet retrouve les Diables-Noirs

Il y avait occupé des fonctions il y quelques années, Jean-François Ndenguet a été élu président général du club multidisciplinaire Diables-Noirs, à l'issue de l'assemblée générale élective qui s'est tenue dimanche 5 novembre dernier au Palais des congrès de Brazzaville.

L'un des clubs mythiques du Congo, Diables-Noirs de Brazzaville est au creux de la vague. L'équipe de football, vitrine du club a un temps flirté avec relégation, évitant de justesse les barrages, avec tout de même un classement dans les profondeurs du tableau.

De retour au sein des Diables-Noirs, Jean-François Ndenguet prend du galon. Alors qu'il y était naguère président de la section football, désormais c'est de l'ensemble du club qu'il aura la charge et il ne cache pas ses ambitions.

« Notre équipe de légende aborde un tournant décisif de sa glorieuse histoire. Elle se veut désormais moderne, une équipe de notre temps dans son management, sa gestion et son financement, son équipement, ses critères de recrutement et de sélection de ses joueurs, et son personnel d'encadrement technique ».

La feuille de route qu'il a décliné pour moderniser le club a fait renaître l'espoir auprès des supporteurs des noirs et jaunes qui entendent ainsi réécrire des nouvelles pages du club, avec les lendemains plus prometteurs, à l'évidence glorieux.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-11-07 11:08:34

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