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C’est une demande plutôt inattendue de la part les Lions de la Teranga. Après leur qualification pour la Coupe du Monde 2018, les joueurs sénégalais ont demandé au président Macky Sall de leur délivrer, entre autres, des passeports diplomatiques.
Créé le 2017-11-29 19:27:11
L'homme, âgé de 32 ans, est un jaloux maladif. Il surveillait sa concubine sur les réseaux sociaux. Il contrôlait tous ses messages, toutes ses photos. A chaque fois qu'elle recevait un "like" sur une photo, le trentenaire la frappait violemment.
Créé le 2017-11-29 19:01:20
Un accident de la circulation vient de se produire ce mercredi après-midi au village les Saras dans le département du Kouilou (sud) entre un bus en provenance de Brazzaville et un véhicule à usage de taxi.
Créé le 2017-11-29 17:29:44
En réponse à un étudiant burkinabè qui l'interpellait sur le franc CFA, monnaie considérée comme un instrument d'influence post-coloniale par ses détracteurs, le président français, Emmanuel Macron s'est dit mardi "favorable" à un changement de "nom" ou à un élargissement du "périmètre" du franc CFA si les Etats africains le souhaitent.
Créé le 2017-11-29 16:59:07
L'Europe, ces derniers temps, a beaucoup regardé la Chine et la Russie, aux dépens de l'Afrique. Ainsi, pour le sommet UE-UA qui s’ouvre ce mercredi à Abidjan en Côte d’Ivoire, le président du Parlement européen, Antonio Tajani a déclaré que l'Europe a tout à gagner si elle s'engage pour développer l'économie africaine.
Créé le 2017-11-29 13:16:54
Trois présumés trafiquants d’ivoire, Moussa Luc Chardin, Madzou Jean Bernard et Nguembé Moungala Amour, tous de nationalité congolaise, ont été arrêtés samedi dernier, à Sibiti dans le département de la Lékoumou (sud), avec deux pointes d’ivoire.
Créé le 2017-11-29 12:38:49
L’ambassadeur du Japon au Congo, Hiroshi Karube a fait don de 1.500 tonnes de nourriture pour les cantines scolaires, le 27 novembre à Brazzaville. Le fameux don, estimé à 11,2 millions de dollars, a été réceptionné par le ministre congolais de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Anatole Collinet Makosso.
Créé le 2017-11-29 11:07:23
Le Président de la République sénégalaise, Macky Sall a reçu en audience le président de l’Assemblée nationale du Congo, Isidore Mvouba, envoyé spécial et porteur d’un message écrit du Président congolais, Denis Sassou Nguesso.
Créé le 2017-11-29 10:24:05
Le président Denis Sassou N'Guesso a élevé Zoba Casimir Zao mardi, à la dignité de commandeur dans l'ordre du mérite congolais. Pour l'artiste, « cette distinction honorifique reçue de son vivant vaut tous les hommages et oraisons funèbres que l'on rendrait à son corps cadavéré ».
S'il avait rêvé d'un hommage, celui qu'a reçu Zoba Casimir Zao, mardi, place de la République, n'était sans doute pas dans ses rêves, même les plus fous. Fait commandeur dans l'ordre du mérite congolais, c'est la plus illustre distinction que la République puisse décerner à l'un de ses fils méritant. Un geste que l’intéressé a accueilli « comme un merveilleux signe de reconnaissance pour la République, en ce jour particulier qui lui est consacré. »
Le mérite de Zao s'est forgé par la chanson, dans son style loufoque qui jamais ne laisse personne indifférent.
C'est dans le groupe vocal « Les Anges » que Zao a bâti son talent musical, avant de se destiner à chanter seul.
« L'ancien combattant » qu'il est devenu, par la force du titre qui l'a révélé au monde et ouvert à l’universalité culturelle, n'a jamais arrêté de « châtier les mœurs » par la chanson, au point qu'il est devenu l'un des porte-étendards de la musique congolaise.
Zao a reçu le prix Découverte de Radio France Internationale en 1982, en particulier grâce au titre "Sorcier ensorcelé".
Ce Prix fut suivi dans la foulée du Prix de la meilleure chanson au Festival des musiques d'Afrique centrale en 1983. Cette fois, c'est la chanson "Corbillard" qui frappe le jury par son thème inhabituel.
Ce succès séduit le label français Barclay chez qui Zao signe l'année suivante. Un tout premier album sort en 1984 sous le nom de "Ancien combattant", titre éponyme qui devient un des plus fameux morceaux du chanteur et son premier tube.

Antimilitariste, cette chanson aborde un sujet tabou sous un angle caricatural et provocateur.
À la fois engagé et burlesque, Zao se détache du paysage musical africain, et en particulier congolais, généralement plus dévoué au soukouss.
D'autres titres et non des moindres comme ''Soulard'' voire ''Moustique'' composent la discographie de Zao.
Depuis quelques temps, l'artiste a orienté ses compositions dans la lutte pour le préservation des écosystèmes et le climat.
En dépit du succès, Zao est resté attaché à son Congo natal.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-11-29 10:17:16
L’électricité a commencé mardi à revenir progressivement dans plusieurs quartiers de Mossendjo dans le département du Niari (sud) après une gigantesque panne historique ayant frappé la ville depuis près de six (06) mois.
Créé le 2017-11-29 09:55:52
Le gouvernement de l’efficacité a lancé le 27 novembre 2017, le recensement physique du personnel du Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) de Brazzaville qui émarge au budget de l’Etat.
Créé le 2017-11-29 09:15:22
Après avoir patronné les commémorations de la journée de la République à Brazzaville, le président congolais est arrivé mardi soir à Abidjan où il a été accueilli par son homologue Alassane Ouattara. En Côte d'Ivoire, Denis Sassou N'Guesso prend part, aux cotés de ses pairs, au cinquième sommet Union européenne – Union africaine.

La Côte d'Ivoire accueille mercredi et jeudi le cinquième sommet Union européenne (UE) - Union africaine (UA). Ce sommet sera principalement axé sur les questions d'immigration et de sécurité. Le but est de donner un avenir meilleur à la jeunesse africaine.
Quelque 83 chefs d’État et de gouvernement et 5.000 participants des 55 pays d'Afrique et de 28 pays d'Europe, ainsi que de l'ONU et des organisations internationales y prennent part.
Ce sommet s'ouvre sur le scandale international de la vente de migrants africains comme esclaves en Libye, avec en ligne de mire, la question de l'immigration africaine vers l'Europe. De Ouagadougou où il a débuté sa tournée africaine, le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il proposerait au sommet "une initiative euro-africaine" pour "frapper les organisations criminelles et les réseaux de passeurs" qui exploitent les migrants en Libye, ainsi qu'"un soutien massif à l'évacuation des personnes en danger" en Libye, qualifiant de "crime contre l'humanité" la vente de migrants comme esclaves.
Le thème principal officiel du sommet est « Investir dans la jeunesse pour un avenir durable ».
60% de la population africaine a moins de 25 ans, et des centaines de milliers de jeunes désespérés par le chômage, la pauvreté et l'absence de perspectives dans leurs pays - en dépit de taux de croissance enviables pour certains d'entre eux - tentent d'émigrer vers l'Europe chaque année et par tous les moyens, avec pour conséquences, les drames multiformes vécus ces dernières années. La responsabilité des gouvernants, surtout africains, est plus qu'engagée.
La question de la sécurité et des menaces terroristes ne sera pas en reste, au moment où l'Afrique de l'Ouest notamment connaît depuis quelques années une montée en puissance de groupes jihadistes, d'ailleurs en partie liée à la désespérance de la jeunesse africaine, selon des analystes.
L'UE affiche son soutien au G5 Sahel, un groupe de cinq pays (Mali, Niger, Mauritanie, Burkina Faso et Tchad) qui s'efforce de mettre en place une force antijihadiste dans cette région, mais le financement de cette force est encore largement insuffisant.
Les chefs d’État devraient appeler à une plus grande coopération militaire et des renseignements tout en demandant à chacun de faire plus d'efforts.
Le sommet est important par son contexte. L'Europe voit que l'Afrique fait partie de son espace géopolitique. Emmanuel Macron a d'ailleurs appelé mardi à "reconstruire un projet entre les deux continents, une relation nouvelle repensée à la bonne échelle" entre l'Afrique et l'Europe.

« L'Afrique est un continent incontournable car c'est ici que se télescopent tous les défis contemporains - terrorisme, changement climatique, pauvreté, démographie, urbanisation. C'est en Afrique que se jouera une partie du basculement du monde", a dit le président français.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-11-29 08:53:24
Vendredi 1er décembre, le greffe du tribunal de grande instance de Brazzaville établira a Paulin Makaya son billet de levée d'écrou. Par cette ordonnance de mise en liberté, il lui signifiera de facto la fin de l'exécution de sa peine. Les sportifs diraient que le compte à rebours est enclenché pour la libération de Paulin Makaya.
Le 1er décembre 2015, Paulin Makaya était reconnu coupable par le tribunal de Grande Instance de Brazzaville qui le jugeait, du délit d’incitation de trouble à l’ordre public mais aussi de tentative de s’emparer du pouvoir d’État de manière illégale.
En dépit de ses dénégations, la peine qui lui fut infligée épousait la dimension du délit et les juges eurent la main lourde, très lourde même. 24 mois d’emprisonnement ferme assorties de 2.500.000F CFA d’amende.
Même si les autorités gouvernementales se sont toujours défendues de ce que Paulin Makaya n'est pas un prisonnier politique, le président du parti Unis pour le Congo UPC, peut se satisfaire d'avoir accompli un acte citoyen, celui de subir la rigueur de la loi, en payant sa dette vis à vis de la société, représentée par le pouvoir judiciaire qui l'avait incarcéré. « La loi est dure, mais c'est la loi ». Et, deux ans sont vite passés.
Avec la libération de Paulin Makaya ce vendredi, c'est l'un des piliers du fondement de la démocratie et de l'État de droit qui sera regardé de partout, consacrant ainsi le principe de la liberté du pouvoir judiciaire qui au Congo, ne souffrirait d'aucune interférence.
Ce 1er décembre, la sortie de Paulin Makaya des murs de la Maison d'arrêt de Brazzaville d'où il sera extrait, pour le bureau du juge qui lui signifiera ce moment tant attendu par lui, ses proches et ses militants, sera scrutée par les médias, la classe politique, les observateurs et autres congolais, comme la preuve et la confirmation de ce que le ministère de la justice mérite bien son volet « droits humains ». Ces droits que Paulin Makaya saluera à travers la liberté retrouvée.
C'est le pays qui s'en trouvera conforté et grandi, la justice honorée et les juges salués et respectés.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-11-29 07:56:01
En séjour récemment à Paris en France, le président de l’Assemblée nationale du Congo-Brazzaville, Isidore Mvouba a plaidé, en bon VRP, en faveur d’un entretien entre le président congolais, Denis Sassou Nguesso et son homologue français, Emmanuel Macron.
Créé le 2017-11-28 11:48:20
Des slogans criés par des manifestants : « On en a marre ! », « Libérez l’Afrique, libérez-nous, on est des humains pareils que vous ! », « On veut vivre tranquilles. », « Vous êtes des diables, c’est vous l’enfer, vos parents, vos arrières grands-parents… » Plusieurs jeunes congolais se sont rassemblés hier devant l’Ambassade de Libye à Kinshasa (RDC) pour protester contre l’esclavage dans ce pays africain.
Créé le 2017-11-28 10:35:35
Les congolais se sont rassemblés à la place de la République, anciennement place de Centre culturel français autour du président Denis Sassou N'Guesso ce mardi, pour les commémorations de la journée de la proclamation de la République.
Depuis 7 ans déjà, le Congo célèbre chaque 28 novembre, la journée de la proclamation de la République.
Le rituel de la levée des couleurs exécuté par un élément des Forces armées congolaises, a été un moment solennel vécu dans un élan patriotique, en ce sens que le drapeau est l'un des emblèmes fédérateurs de la nation congolaise.

S'en est suivi l'exécution de l'hymne national, avant l'allocution d'usage.
Dans son mot de circonstance, le ministre Claude Alphonse Silou a rappelé ce moment de communion autour des valeurs de la République.
Les célébrations de cette année 2017 ont été placées sous le thème du travail. Le travail, credo du président Denis Sassou N'Guesso, auquel il n'a cessé de convier les concitoyens, a dit le ministre Silou.
Certains congolais qui se sont distingués dans leurs domaines d'activités ont été décorés par le président de la république. Parmi eux, un échantillon de huit personnes a été reçu, au nombre desquels Zoba Casimir Zao fait commandeur dans l'ordre du mérite congolais, Christophe Mbouramoué fait commandeur dans l'ordre du mérite universitaire ou encore Joséphine Bouanga.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-11-28 10:23:35
Comme beaucoup d’établissements scolaires du Congo-Brazzaville, l’école primaire de Mboukou à Dolisie dans le département du Niari (sud) souffre d’un grand déficit de tables-bancs. C’est debout, accroupi, assis à même le sol, ou errant dans les couloirs, que les élèves des classes de CP1, CP2 et CE2 prennent les cours depuis le début de la rentrée scolaire 2017-2018. Certaines petites filles, pour s’offrir un minimum de salubrité étalent sur le sol poussiéreux leurs propres vêtements (pagnes, foulards…) et s'asseyent dessus.
Créé le 2017-11-28 09:37:17
Vive tension depuis hier dans la capitale départementale du Niari (sud). Plusieurs jeunes gendarmes, en colère, ont attaqué et saccagé, sans pitié et remords, le domicile du député de Kimongo, Jean Jacques Mouanda, situé sur l’avenue Félix Eboué au quartier Gaïa à Dolisie.
Créé le 2017-11-28 09:24:46
De nationalité congolaise, Christ était chauffeur de taxi Uber dans la ville de Cape Town en Afrique du Sud. Il y a été assassiné par arme à feu.
Une exécution en règle, c'est ce dont a été victime ce congolais résidant en Afrique du Sud. L'homme qui venait de déposer son client dans un quartier résidentiel a été pris sous les tirs croisés de ses assaillants, des inconnus sortis de nulle part, dimanche soir.
Sur son corps criblé, au moins sept impacts de balles ont été relevés. C'est dire l'acharnement de ses meurtriers, bien décidés d'en finir avec lui.
Le corps de Christ, gisant au volant de sa voture. Ses assaillants sont repartis en toute impunité
Ce crime odieux serait l’œuvre des chauffeurs sud-africains qui contestent Uber depuis son arrivée dans ce pays et qui plus est, avec un étranger au volant.
Cette exécution n'est pas la première du genre. Depuis quelques temps, des chauffeurs Uber sont victimes de menaces mort de la part de certains chauffeurs de taxi Sud-africains. Ceux-ci dénoncent une concurrence qu'ils jugent déloyale et défavorable à leur activité.
Dans de moments de véritable vendetta, ces chauffeurs saccagent ou brûlent les voitures des usagers de Uber. Ce déchaînement de violence va jusqu'à donner la mort, surtout lorsque le chauffeur Uber est reconnu comme étant un étranger.
En Afrique du sud, des faits de xénophobie sont de plus en plus notés avec parfois des violences débouchant sur des meurtres.
Les noirs sud-africains accusent les étrangers venus d'autres pays africains de leur « voler » le peu de travail auquel il peuvent prétendre, sur un marché où celui-ci se fait rare.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-11-28 08:42:04
Une assignation du greffier en chef du tribunal de grande instance de Brazzaville, datée du 6 novembre et rendue publique ces dernières 24 heures, fixe au 30 novembre, le renvoi de André Okombi Salissa devant les juges.
Dans cette affaire, l'accusation est soutenue par « le ministère public et l'État congolais, pris en la personne de monsieur le Ministre de la Justice, des droits humains, chargé de la promotion des peuples autochtones », peut-on lire sur ladite assignation.
André Okombi Salissa est poursuivi pour le « crime d'atteinte à la sûreté intérieure de l'État et détention illégale d'armes et de munitions de guerre ».
Pour sa défense, « l'enfant terrible du front 400 » s'est entouré d'une batterie d'avocats, notamment maîtres Bounkouta Diallo, Ludovic Essou, Alexis-Vincent Gomez, Alphonse Mitoumbi-Ondzibou et Yvon Ibouanga.
Ces avocats qui ont toujours souhaité ce procès, entendent y « démontrer la nullité d'une accusation qui ne serait qu'une machination ourdie contre leur client ».

Naguère à la majorité présidentielle où il avait successivement occupé des postes de ministre, André Okombi Salissa était entré en quasi rébellion avec sa plate-forme politique, avant de rejoindre l'opposition, puis se présenter comme candidat à la présidentielle de 2016.
Alors député de Lékana, il s'était farouchement opposé à la révision de la constitution qui permettait au président Denis Sassou N'Guesso de pouvoir se présenter à nouveau comme candidat à la présidence de la république.
Après des mois de clandestinité, André Okombi Salissa avait été arrêté à l'aube du 10 janvier 2017 dans un quartier périphérique de Brazzaville.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-11-28 08:23:11