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RDC – Théâtre : L'artiste comédien Mundanga Ndanga est mort !

Il aura porté sa maladie telle une croix, luttant inexorablement pour sa guérison, l'artiste comédien Mundanga Ndanga s'est éteint vendredi à Kinshasa.

Il a attendu de partout une aide qui jamais ne vint, au point disait-il de s'en remettre à la volonté de Dieu, l'artiste comédien Mike Mundanga Ndanga qui prenait des soins dérisoires dans un petit centre de santé de quartier, y a trouvé la mort dans la quasi indifférence de la corporation à laquelle il a toujours appartenu.

Depuis de longs mois déjà, Munganga Ndanga, les pieds bandés, souffrait d'une dermatose proche du sarcome de kaposi. Ses pieds exagérément enflés se fendillaient et les plaies libéraient du liquide, dans une douleur insoutenable.

Les pieds bandés, Mundanga Ndanga au centre, avec ses deux fils

« Mbasu », clamait Mundanga Ndanga, conséquence d'un mauvais sort qui lui aurait été jeté par les nièces de son logeur, suite à un litige relatif à des documents de la parcelle qui lui avait été confiés par le logeur lui-même, en signe de la confiance qu'il lui vouait. Le mécontentement de sa famille lui aura ainsi attiré les foudres qui avaient atteint ses pieds.

Mundanga Ndanga fait partie des artistes comédiens dits de la deuxième génération. Ceux qui ont appris aux cotés des anciens comme Ebale Mondial, Kuedi, Bomengo ou autre Doudou et auprès desquels ils ont ensuite progressé.

Tantôt gentleman aux pratiques peu recommandables, parfois soldat incarnant l'ordre et la discipline ou encore sage et tribun de la famille, à défaut d'être un pasteur escroc, ses qualités artistiques se sont exprimées dans de nombreuses pièces du « théâtre de chez nous » dans lesquelles il prestait à la perfection et avec talent, très à l'aise dans les différents rôles qu'il incarnait, ménageant le suspens et maintenant le public en haleine.

Mundanga Ndanga savait traduire les réalités de la société dans laquelle il vivait, et œuvrait à en gommer les aspérités, en « châtiant les mœurs en riant ».

C'est sur un homme de métier qu'est coupée la séquence scénique. La maladie aura été le dernier acte du théâtre de sa vie, sur laquelle vient de claquer le clap de fin.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-11-04 09:36:14

Dolisie : Condamné pour violation de domicile du ministre Pierre Mabiala, un détenu s’évade de la prison

C'est une évasion d'un genre insolite. Incarcéré à la maison d'arrêt de Dolisie dans le département du Niari (sud), pour violation de domicile du ministre congolais du Domaine Foncier, Pierre Mabiala, David Badila alias Capitaine s'est évadé hier de la prison.

Créé le 2017-11-03 11:21:02

Congo : Faute de moyens financiers, les malades quittent l’hôpital de Dolisie

A l’hôpital de référence de Dolisie dans le département du Niari (sud), les malades désertent les salles d’hospitalisation par manque de moyens financiers.

Créé le 2017-11-03 10:44:27

Cemac : Le nouveau président Daniel Ona Ondo a prêté serment

Le nouveau président de la Commission de la communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), le gabonais Daniel Ona Ondo a prêté serment à Ndjamena, le 2 novembre 2017, en présence des membres de la Cour commune de justice.

Créé le 2017-11-03 10:07:02

Nouvelle des Plastics du Congo (MAYO) : Un cambriolage surréaliste

Des cambrioleurs se sont introduits, dans la nuit du 1er au 2 novembre, dans les locaux de la direction interdépartementale de la société Nouvelle Des plastics du Congo (Mayo) à Dolisie (sud). 5.600.000FCFA, ordinateurs, tablettes, imprimantes et autres gadgets ont notamment été emportés par les malfrats.

Créé le 2017-11-03 08:48:32

Une pluie diluvienne cause des inondations à Brazzaville

Une pluie d’une rare violence s’est abattue sur Brazzaville le mercredi 1er novembre 2017, entraînant des inondations depuis les quartiers mal loties jusqu’à certaines zones résidentielles. Certaines personnes ont eu à patauger dans l’eau jusqu’au niveau des cuisses dans certaines ruelles de la ville capitale. A certains niveaux, ce sont les caniveaux qui, bouchés ou simplement plein à ras bord, renvoyaient leur eaux torrentielles sur les routes avec une forte célérité.

Créé le 2017-11-02 15:51:15

Congo : Vente des antirétroviraux distribués gratuitement depuis 2007 au CTA de Dolisie

Au centre de traitement ambulatoire (CTA) de Dolisie dans le département du Niari (sud), les antirétroviraux ne sont plus gratuits, mais vendus, mettant ainsi les personnes vivant avec le VIH/Sida en difficultés.

Créé le 2017-11-02 11:05:52

Congo – Situation économique : Pointe-Noire ploie sous le poids de la crise

Du fait de la baisse des activités dans le secteur pétrolier, les effets de la crise économique qui secoue le Congo sont fortement ressentis à Pointe-Noire où l'on compare la situation actuelle à l’embellie des beaux jours hélas enfuient.

« Capitale économique », ce nom qui lui a été accolé du fait de ce que la ville a de tout temps été le poumon économique du Congo, Pointe-Noire l'a toujours porté altière, faisant même des pontenégrins, les congolais à l'indice de développement le plus élevé.

Cela, c'était avant. Quand le pétrole se vendait bien. Lorsque les sociétés pétrolières affluaient dans la ville océane et que le soir venu, les torchères scintillaient des milles feux au large dans la mer, rythmant sans discontinuer une production d'or noir qui renflouait les caisses de l'État.

Quel jeune congolais désœuvré, ne rêvait-il pas d'aller à Pointe-Noire, pour « se retrouver ».

Presque tous les secteurs de métiers y embauchaient à tour de bras. Le secteur pétrolier avait besoin de main d’œuvre qualifiée, et les jeunes pontenégrins se sont formés dans les métiers de la mer et de la production pétrolière. Ils étaient à l'évidence bien payés, très bien payés même.

L'incessant balai des hélicoptères amenant et ramenant des travailleurs des plate-formes, battait la mesure d'une économie en marche.

D'autres, restés à terre, tiraient de réelles dividendes de cette manne financière qui se brassait dans une ville.

Le secteur informel lui également se portait très bien. Sur le bord de mer où les restaurants et « nganda » ne désemplissaient pas, on vivait au rythme des vacations des pétroliers que presque toute la ville avait intégrées dans ses habitudes.

Dans une concurrence fort loyale, le port lui aussi prenait une part plus qu'active à l'essor économique qui se construisait chaque jour à travers l'arrivée des bateaux de grands tonnages et dont les différentes opérations de déchargements impliquaient une main d’œuvre abondante.

Pour de nombreux jeunes ponténegrins, la devise au port, était « kâ ngolo'a ngé », « ta force garantie tes revenus ».

Ici, de par les avantages qu'offre ce port en eaux profondes, les bateaux y déchargeaient à un rythme soutenu, question de faire de la place à d'autres navires en rade.

Cette activité confortait les revenus des Douanes congolaises, sans compter que les activités connexes, de déclarants et autres démarcheurs en tous genres qui prestaient au port contribuaient éminemment à faire vivre la ville.

La brasserie, l'un des plus grands employeurs de la ville, tournait à un régime de 3x8.

La verrerie du Congo écoulait sur un marché tout acquis, l'essentiel de sa production.

Alucongo jouait sa partition faite de production de tôles, clous et autres ustensiles de cuisine. Et bien d'autres usines encore...

Que dire du CFCO qui avait l'essentiel des ses ateliers à Pointe-Noire. Ses activités faisaient du cheminot un bon vivant. La légende prétend même qu'au domicile du cheminots, on y cuisinait jusqu'à neuf marmites de nourriture dans la journée, la dixième étant celle du thé.

Le massif forestier artificiel, fait des plantations d'eucalyptus en périphérie de la ville, attirait chaque jour des centaines d'hommes et des femmes affectés soit au planting, à la coupe ou à l'écorçage.

Les usines de déroulage du bois ou de sciage tournaient à plein régime, débitant des quantités destinées à l'export ou à la consommation locale.

Pour les artisans-ouvriers, quelle aubaine ! Ce sont les « marchés qui allaient à eux », dans la mesure où ils étaient sérieux et respectaient les délais. Maçons, menuisiers, charpentiers ou autres peintres en bâtiments, parlaient de Pointe-Noire en terme de « Ponton mbongo », « la ville où l'argent coule à flot ». L'eldorado en somme.

Et le soir, dans le clair-obscur d'une ville bien vivante, on s'éclatait dans les restaurants aux noms tout aussi imposants, les uns que les autres, dans les bars et autres débits de boissons qui écrivaient la légende de la ville, ou dans les boites de nuit où les décibels crachaient les tubes à la mode.

C'était, Ponton-la-belle, une ville qui jamais ne dormait, presque la Las Vegas du Congo. Le visiteur qui y arrivait pour la première fois s'émerveillait, en comparaison avec les autres villes du pays, surclassant même la ville-capitale, quoique le coté négatif de cette vie, aura été le taux de séro-prévalence record que l'on y enregistre.

Depuis la fermeture de nombreuses usines, seules les activités pétrolières et para pétrolières maintenaient un semblant de vie dans la ville, comme un malade sous assistance respiratoire.

Avec la chute de l'activité pétrolière, Pointe-Noire se meurt désormais et cela se ressent au quotidien.

Au marché, il y a plus de vendeurs que d'acheteurs. Tous les restaurants du bord de mer ont fermé au fur et à mesure que les différentes sociétés ont compressé le personnel, jusqu'à carrément cesser les activités.

Presque toutes les sociétés para pétrolières ont mis du personnel à la rue.

Au port, le nombre de bateaux à la semaine se compte désormais sur les doigts. La douane a vu ses entrées baisser.

Même le pénible travail de « youbouleur » autrement dit d'écorçage, naguère boudé, se fait rare.

À Pointe-Noire, le taux de chomage y est désormais l'un des plus élevés du pays.

Pour de nombreux pontenégrins, la ville est sur le déclin, « boual ké na pente !»

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-11-02 11:01:58

Le baril de pétrole coûtera 56 dollars en 2018, contre 53 dollars en 2017, selon la Banque mondiale

À 53 dollars cette année, le baril de pétrole devrait atteindre 56 dollars en 2018, sous l’effet de l’augmentation constante de la demande, des accords entre exportateurs sur une diminution des volumes de production et de la stabilisation de l’extraction d’huile de schiste aux États-Unis, selon la Banque mondiale.

Créé le 2017-11-02 09:53:16

L’Italie fait don de 200 000 euros aux déplacés du Pool

L’ambassadeur d’Italie au Congo, Andréa Mazzella a fait don de 200.000 euros aux déplacés du département du Pool (sud).

Créé le 2017-11-02 09:14:22

Congo – Personnalités politiques : Le ministre Hellot Mampouya braqué, 180 millions de Francs CFA de butin

Même si elle n'a officiellement pas été rendue publique, la nouvelle se susurre comme du petit lait à Brazzaville. L’ancien ministre Hellot Mampouya a été victime d’un braquage alors qu’il se rendait à Kinkala. Son entourage accuse les éléments de la force publique d’en être les auteurs. L'intéressé n'a ni infirmé, ni confirmé les faits.

180 millions de Francs CFA de butin, ce n'est pas un fourgon de transport de fonds qui a été braqué, mais plutôt le convoi d'un ancien ministre au économies, disons-le, conséquentes tout de même.

À hauteur du village de Soumouna, le convoi du ministre Mampouya a été arrêté et mis en joue par les hommes armés et encagoulés, enjoignant le ministre à leur remettre le magot.

Plutôt que de perdre la vie, Hellot Mampouya s'est laissé dépouiller d'une somme à donner tout de même le tournis. Dire que la fonction de ministre est florissante à tous égards.

Cependant, de nombreuses questions entourent ce braquage à la Dalton, digne des faits d'armes du Far West. Comment ces hommes armés ont-ils su que l’ancien ministre Hellot Mampouya transportait une forte quantité d’argent dans son véhicule ?

Certains allèguent que ce cambriolage aux allures de règlement de compte a été orchestré par ses ennemis qui épiaient ses faits et gestes et savaient qu'il gardait par devers lui d'importantes sommes d'argent.

Quelques voix murmurent que la nouvelle sur son déplacement pour Kinkala où il comptait planquer ses avoirs avait fuité, d'où le traquenard.

D'autres par contre, pince-sans-rire, calculatrice à la main, se demandent, comment, avec un salaire de 9 millions mensuels et avec la vie qu'il menait, et dépensant sans compter pour son parti, ce ministre de la république a-t-il pu économiser 180 millions de Franc CFA, si ce n'est que l'argent proviendrait sans doute des caisses de l'État.

Et conclure :  « le voleur volé ».

Bertrand BOUKAKA/Les Echos du Congo Brazzaville

Créé le 2017-11-02 08:55:27

Congo – Université Marien Ngouabi : Le ministre Bruno Jean Richard Itoua récuse l'idée d'une année blanche

En séjour de travail en France, le ministre congolais de l'enseignement supérieur s'est prêté aux questions de nos confrères des Dépêches de Brazzaville, avec lesquels il a évoqué la situation de grève qui prévaut à l'Université Marien Ngouabi. Pour Bruno Jean Richard Itoua, il n'y aura pas d'année académique blanche, ni pour celle qui se termine, ou pour celle qui commence.

Une confiance affichée, c'est pour ainsi dire, le sentiment qu'anime le ministre de l'enseignement supérieur congolais, qui sans méconnaître les problèmes en cours à l'Université Marien Ngouabi, pense que ceux-ci seront résorbés dans les délais raisonnables, et qu'ils ne mettent pas en péril tout le système de l'enseignement supérieur.

« Seule l’université Marien-Ngouabi est touchée par la grève. Les établissements publics d’enseignement supérieur tels l’INTS et le CIRAS, qui ne font pas partie de l’université Marien-Ngouabi, et les établissements privés continuent à fonctionner normalement. Les étudiants ne sont pas en grève et une partie de l’administration assure le service minimum.

Nous ne devons pas considérer cette grève comme quelque chose de particulier. Elle intervient dans un contexte macro-économique et financier difficile dû à la baisse des revenus pétroliers. Durant cette période transitoire, quelques obligations de l’État n’ont pas été remplies à temps. J’affirme qu’elles le seront quand nous aurons rétabli les équilibres, ce qui devrait intervenir vraisemblablement très rapidement.

Bien qu’ayant réglé un mois de salaire, nous ne sommes pas parvenus à résorber la totalité des arriérés et l’intersyndicale n’a pas accepté de reprendre le travail, jugeant l’effort du gouvernement insuffisant. Les syndicalistes ont également refusé d’organiser les concours d’entrée, les sessions de rattrapage et de faire les inscriptions de l’année qui va commencer.

Nous sommes toujours en négociation. J’ai bon espoir que nous trouverons un accord assez rapidement. Nous continuerons à nous assurer, au niveau du gouvernement, qu’un deuxième mois de salaire sera rapidement payé et que, d’ici à la fin de l’année, nous pourrons résorber le retard.

L’année scolaire 2016-2017 est terminée mais subsistent néanmoins les sessions de rattrapage pour quelques examens qui n’ont pas eu lieu. On ne peut donc pas dire qu’il s’agisse d’une année blanche puisque l’ensemble des cours a été dispensé. De même, l’année académique 2017-2018 n’a pas encore commencé ; il se révèle donc difficile de dire qu’elle va être blanche.

Nous devrions nous entendre très rapidement avec l’intersyndicale pour que les concours aient lieu et que les inscriptions soient réalisées. Ainsi, nous aurons posé le premier jalon de l’année académique 2017/2018.

Aujourd’hui, il n’est question d’année blanche ni pour l’année universitaire qui se termine, ni pour celle qui va commencer. J’appelle l’opinion nationale à être sereine sur ce sujet. »

Sérénité pour sérénité, le temps presse tout de même.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-11-02 07:55:44

Le Congo chute au classement Doing business 2018, selon la Banque mondiale

Le Congo occupe le 179ème rang contre le 177ème cette année et le 176ème l'année dernière, selon le rapport de la Banque mondiale, publié le 31 octobre 2017.

Créé le 2017-11-01 18:01:29

Congo : La chasse fermée du 1er novembre 2017 au 30 avril 2018

Toute activité de chasse, capture, transport et commercialisation des produits de la chasse sont temporairement arrêtés sur l’ensemble du territoire national, durant la période allant du 1er novembre 2017 au 30 avril 2018, tel que décidé par le Ministère congolais de l’Economie Forestière, du Développement durable et de l’Environnement.

Créé le 2017-11-01 13:16:55

Il ne resterait qu’environ 9500 éléphants de forêt en Afrique centrale, selon le WWF

Il ne resterait qu’environ 9500 éléphants de forêt en Afrique centrale (Cameroun, Centrafrique, Congo-Brazzaville et Gabon), selon un rapport sur la disparition des éléphants de forêt en Afrique centrale publié par le World Wildlife Fund (WWF).

Créé le 2017-11-01 12:37:47

Congo : Un mari cocu surprend sa femme dans une chambre d’hôtel avec un pasteur à Pointe-Noire

La pire des situations possibles s'est réalisée pour un mari cocu et dont les cornes frottent déjà contre le plafond, à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo.

Créé le 2017-11-01 12:02:42

Congo : De nombreux vols de fleurs dans les cimetières de Brazzaville et Pointe-Noire

Que se passe-t-il dans les cimetières de Brazzaville et Pointe-Noire ? Depuis plusieurs années, les familles qui viennent rendre hommage à leurs proches le 1er novembre de chaque année, à La Toussaint, constatent que les fleurs déposées pour honorer leurs morts disparaissent. Elles appellent à la vigilance pour trouver les pilleurs de fleurs.

Créé le 2017-11-01 11:19:29

Sommet de la Cemac: un nouveau président et de nombreux chantiers

Au Tchad, le sommet extraordinaire des pays membres de la Communauté économique des états de l’Afrique centrale (Cemac) a pris fin mardi soir 31 octobre. Un sommet qui a consacré la libre circulation entre les six pays de la sous-région, mais aussi procédé à des nominations à la tête de la Cemac.

Créé le 2017-10-31 22:01:44

New York : attaque dans le sud de Manhattan, six morts et plusieurs blessés

Panique à New York. Au moins six personnes sont mortes et plusieurs autres ont été blessées mardi 31 octobre dans l'après-midi dans le sud de Manhattan, après qu'un homme a renversé des cyclistes à bord de son véhicule, selon plusieurs médias new-yorkais.

Créé le 2017-10-31 21:42:52

Tchad : Ouverture du sommet extraordinaire des chefs d’Etat de la Cemac à Ndjamena

Un sommet extraordinaire des chefs d’Etat de la Cemac s’ouvre, ce 31 octobre 2017, à Ndjamena, la capitale tchadienne. Une rencontre qui survient dans un contexte marqué par «de sérieux problèmes financiers qui affectent, depuis quelques mois, le fonctionnement des services de la Commission et des institutions spécialisées» de cet espace communautaire à six pays (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, RCA, Guinée équatoriale).

Créé le 2017-10-31 12:24:33

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