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Congo : A deux ans de la fin du quinquennat présidentiel, Anatole Collinet Makosso a enjoint les ministres à mouiller le maillot

Lors de la clôture des travaux du 7e séminaire gouvernemental le 21 février dernier à Brazzaville, le Premier ministre congolais, Anatole Collinet Makosso, a enjoint les ministres à mouiller le maillot pour que 2024 soit effectivement l’année de la jeunesse d’autant plus que 2026 approche.

« 2026, c’est déjà demain et 2026 c’est l’année des bilans de nos actions individuelles et collectives devant le Président de la République qui nous a tant fait confiance et devant la nation congolaise dont nous sommes les humbles serviteurs », a déclaré le chef du gouvernement.

A deux ans de la fin du quinquennat actuel, Anatole Collinet Makosso a exhorté les ministres à concentrer leurs efforts et énergies pour la construction du bilan qui en découlera. Ceci grâce à la réalisation du PAG et du PND.

« C’est à l’heure du bilan que le peuple nous attend, car seule la bonne performance permet d’aller à la conquête de la confiance du peuple. Autant de défis pressants, autant des raisons de nous montrer encore plus efficaces et plus créatifs dans la gouvernance et l’action publique », a conclu le Premier ministre.

Au Congo-Brazzaville, la prochaine élection présidentielle est prévue en 2026.

Denis Sassou-N’Guesso, candidat potentiel, a la possibilité de se présenter pour un cinquième mandat, selon la Constitution.

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-26 11:14:51

Congo : La traque aux trafiquants de produits d’espèces intégralement protégées se poursuit…

La traque aux trafiquants de produits d’espèces intégralement protégées se poursuit au Congo-Brazzaville malgré les peines peu dissuasives qui remettent rapidement sur la scène les auteurs de crimes contre la faune et la flore. Dernier fait en date, le Tribunal de grande instance de Sibiti, dans le département de la Lékoumou, a auditionné, le 23 février dernier, deux présumés trafiquants, interpellés pour détention d’une peau de panthère.

Malgré les efforts des autorités, le trafic de faune est une réalité au Congo. La panthère n’échappe pas à ce constat.

Au regard des multiples interpellations de trafiquants de peaux de panthère à Brazzaville et à l’intérieur du pays, on ne peut que déduire de l’importance de l’abattage de ces félins. Et pourtant la chasse, la capture, la détention, le transport et la commercialisation des espèces intégralement protégées sont interdits.

Peuplant autrefois les continents asiatique et africain, de la Sibérie à l’Afrique du Sud, la répartition de la panthère ou léopard (panthera pardus) s’est fortement réduite en raison de la chasse et de la perte de son habitat.

La recherche de peaux pour la décoration est la principale cause de leur disparition. On est donc loin ici d’un usage traditionnel local !

Une peau de panthère bien en évidence devant le roi et la reine, un collier fait de dents de panthère, un chasse-mouche en queue de buffle, les attributs royaux poussent bien au questionnement sur les modalités de prélèvement de ces espèces intégralement protégées.

Loin de nous toute velléité de perpétrer un crime de lèse-majesté. Cependant, que le roi Makoko ou Maloango s'affichent dans les cérémonies officielles avec des attributs royaux qui sont en fait des trophées prélevés sur des espèces systématiquement protégés, cela a tout l'air d'un bras d'honneur inconsciemment fait aux lois et règlements du pays, sous les ors de la République de surcroît, et pousse à interrogations.

Quand bien même la lutte contre le braconnage, surtout des espèces protégées, se mène sans merci, personne n'a jamais rien trouvé à redire, devant ces attributs royaux faits de matériaux prohibés et dont la possession ou l'usage expose à des sanctions définies par la loi.

Il faudrait bien éviter qu'un jour, la jurisprudence Makoko de fait, sur le port des attributs royaux, ne mette à mal des juges face à des braconniers dont les avocats y feraient allusion.

Après tout, on est en République, pas dans un royaume, c'est évident. Et la rectitude du droit est la même pour tous.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-26 10:28:40

Au Congo-Brazzaville, le port de la ceinture de sécurité n'est pas toujours respecté par des chauffeurs des transports en commun

En circulation, tout conducteur ou passager d'un véhicule de transport en commun doit porter une ceinture de sécurité homologuée dès lors que le siège qu'il occupe en est équipé. Un geste obligatoire, mais de moins en moins respecté par des chauffeurs des transports en commun au Congo-Brazzaville.

Au Congo-Brazzaville, l'immense majorité des personnes a le réflexe de mettre la ceinture, mais on constate une certaine forme de relâchement, une détérioration de la pratique chez plusieurs chauffeurs des transports en commun.

Un geste qui sauve des vies, mais qui n’est malheureusement pas toujours un réflexe.

Dans les accidents de circulation impliquant des véhicules de transport en commun de personnes, la plupart des traumatismes corporels graves sont consécutifs à l’éjection des occupants hors du véhicule ou à leur projection à l’intérieur de ce véhicule.

Le défaut de port de la ceinture demeure l’un des principaux facteurs de mortalité sur les routes congolaises. C’est aujourd’hui à l’arrière qu’il est le plus souvent constaté.

Pour la cinquième année consécutive, le nombre d’accidents, de tués, ainsi que de blessés, ne cesse d’augmenter au Congo-Brazzaville. Selon la Direction générale des Transports terrestres (DGTT) , le bilan des accidents de la circulation enregistrés ces cinq dernières années, il en ressort que 1224 personnes ont perdu la vie sur les routes congolaises, 5 900 blessés graves et 5 925 blessés légers.

Au Congo-Brazzaville, les automobilistes sont incorrigibles. Malgré la multiplication des campagnes de sécurité routière, ils sont de plus en plus nombreux à ne pas respecter l'ensemble des règles du code de la route. Plus de 90% des accidents de la route sont provoqués par le mauvais comportement des automobilistes.

Entre non-respect du port de la ceinture de sécurité sous prétexte qu’elle étouffe, des feux rouges, franchissement de lignes blanches et évolution sur les trottoirs, conduire après avoir bu deux verres, téléphoner en conduisant, l’oublie d’utiliser les clignotants, le seul moyen de faire comprendre aux autres la direction que l'on s'apprête à prendre, le refus de priorité, la vitesse … le florilège est long.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-26 10:03:38

Congo : Stop au harcèlement à l’école, le numéro d’alerte 1444 pour alerter sur une situation problématique

Que ce soit à l’école ou en dehors, aucun enfant ni aucun adulte ayant des enfants ne doit ignorer ce que sont le harcèlement et ses conséquences. Violences verbales, psychologiques, physiques, le plus souvent, le harcèlement se dissimule derrière des violences qui s’accumulent jusqu’à susciter un sentiment de honte, de persécution et d’isolement chez l’élève harcelé. C’est un fléau qui frappe des centaines de milliers d’élèves chaque année au Congo-Brazzaville, avec parfois des conséquences dramatiques. Aujourd’hui plus que jamais, notre écoute et une perception juste du vécu des enfants et adolescents sont essentielles pour lutter contre le harcèlement. C’est le combat que mène désormais UNFPA République du Congo à travers sa campagne de sensibilisation dénommée « Que ce soit en milieu public, professionnel, scolaire, académique ou religieux, le harcèlement est un délit punissable par la loi. Tous ensemble, brisons le silence ! »

Élèves, parents, professionnels, le numéro d’alerte 1444 devient l’unique numéro pour alerter sur une situation problématique.

On rappelle que huit filles sur dix et sept garçons sur dix de 12 ans à 18 ans ont déclaré avoir subi des violences verbales ou psychologiques dans leur établissement scolaire, selon une étude sur les violences de gendre et les violences en ligne en milieu scolaire menée par UNICEF auprès de presque 6.000 élèves en République du Congo en novembre 2020.

Selon l’étude, la violence sexuelle est la deuxième forme de violence la plus répandue pour les filles dans les écoles du pays, avec quatre filles sur dix ayant déclaré avoir subi une agression de nature sexuelle dans les 12 mois précédents l’enquête.

Selon la même enquête, presque deux filles sur dix ont subi récemment des actes violents en ligne en milieu scolaire, inclus la diffusion non autorisée d’images privées ou à caractère sexuel, harcèlement, menaces, discrimination ou autre forme de violence sur les plateformes digitales.

Les cinq types de violences analysées dans l’étude, violences en ligne, violences verbales ou psychologiques, physiques, sexuelles et économiques, semblent avoir un impact négatif sur le parcours scolaire des victimes, avec un(e) enquêté(e) sur trois ayant rapporté des impacts néfastes sur son apprentissage dus aux actes subis.

Selon le rapport quel que soit le type de violence - violences en ligne, violences verbales ou psychologiques, physiques, sexuelles et économiques - les filles souffrent davantage des affres des violences de genre en milieu scolaire que leurs homologues de sexe masculin.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-25 12:19:56

Denis Sassou-N’Guesso : pourquoi le Président se rend à Pointe-Noire

Le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso, effectue dès ce lundi 26 février et jusqu'au jeudi 29 février 2024, une visite de travail à Pointe-Noire. Le programme goupillé par la direction nationale du protocole annonce une série d’activités pour donner une nouvelle impulsion à la capitale économique du Congo.

Créé le 2024-02-24 21:17:08

ELECTRICITE : Côtoyer le danger au quotidien à Brazzaville

A hauteur d’hommes ou trainant complètement sur le sol, les images parlent d’elles mêmes lorsque l’on fait le tour des quartiers populaires de Brazzaville. Les fils de courant qui devraient normalement être à la hauteur des poteaux électriques et installés par des agents assermentés de la société gestionnaire de la production et la distribution de l’électricité au Congo, présentent un véritable danger pour les personnes évoluant à proximité de ceux-ci, et les incidents d’électrocution sont fréquents, souvent mortels.

Bien entendu, les risques d’électrocution sont réels. Avec des dominos parfois ouverts, de l’eau y pénètre, un enfant pourrait passer par là et ramasser un de ces fils trainant à même le sol, inconscient du danger, et l’irréparable se produit.

Des accidents d’électrocution de ce genre ont souvent été enregistrés aussi bien dans la capitale qu’à l’intérieur du pays.

Rarement, les autorités de la société d’électricité sont interpelées et les choses continuent de rester en l’état, sans que personnes ne s’en émeuve.

Ne souhaitant pas que le pire arrive avant de réagir, comme il est de coutume dans notre pays, il serait judicieux que la société gestionnaire de la production et la distribution de l’électricité s’active à trouver des solutions pour une meilleure stratégie et couverture d’installation électrique dans la capitale et de ses environs, car il en va du bien-être du citoyen congolais.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-23 15:25:11

« Prisonnière d’une apparence », le deuxième roman lumineux et passionnant de Dave Labertine Mouhoumounou Boutoto

Voilà un roman qui va vous accompagner pendant les longs trajets en voiture, en train... Faites place nette sur les étagères de vos bibliothèques à « Prisonnière d’une apparence », le roman lumineux et passionnant de Dave Labertine Mouhoumounou Boutoto épouse Boleko, paru aux Editions Maïa. Incapable de reposer une fois ouvert. On lit une page, puis deux, puis un chapitre et sans s’en rendre compte, on a (déjà) dévoré le livre en entier. Très vite, un besoin irrépressible de connaître la suite vous envahit.

« Ce billet est semblable à ta beauté. Beau à voir, mais n’ayant aucune valeur ».

C’est exactement le message que Kitoko a lu sur le faux billet qu’elle a trouvé au tréfonds de son sac après avoir quitté l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle pour l’aéroport international Maya-Maya de Brazzaville. Ses bagages ont été échangés et elle va à leurs quêtes en étant consciente qu’une personne a voulu lui faire du mal. Sur ce chemin Kitoko fait des rencontres, celles qui font d’elle cette femme inarrêtable mais elle en veut plus, se dit mériter une vie de bourgeoise… Puis elle fait la rencontre d’un homme, le seul qui a été indifférent à l’égard de l’immensité de sa beauté. Interloquée, elle se venge en voulant lui soutirer son argent. Des souvenirs terrifiants lui reviennent… Qui est donc cet homme ? Puis elle sera malmenée par de nombreuses images qu’elle vit au présent lui rappelant son passé dont elle ne se rappelle pas avoir vécu. Comment cela est-il possible ?

Si pour Kitoko : avoir un beau visage garantit un bel avenir, jusqu’où serait-elle capable d’être fidèle à cette conviction ?

On rappelle que Dave Labertine Mouhoumounou Boutoto épouse Boleko est auteure d’un premier roman intitulé « Et si c’était trop tard ? » paru aux éditions lys bleu.

La jeune écrivaine congolaise raconte avec luxe et détails, l’histoire de Kéma, une talentueuse juriste de 28 ans qui, lassée par un travail dans lequel elle peine à s'épanouir et désireuse d'évoluer en tant que femme, va devoir faire face à plusieurs situations qui pourraient gâcher ou embellir sa vie.

Titulaire d'un master II en Droit des affaires et fiscalité, actuellement en master II en Droit et pratique des contrats à l'université Lumière Lyon II, Dave Labertine Mouhoumounou Boutoto épouse Boleko est une jeune congolaise née en 1995.

Sa passion pour l'écriture naît de son désir ardent de retranscrire sur du papier ce qu'elle observe dans la société avec son lot d'injustices et de douleurs en tout genre.

Dans cette perceptive de traiter les sujets qui minent notre société en les plongeant dans une bonne dose de suspense, ce deuxième roman « Prisonnière d’une apparence », n’y a pas échappé.

Sans retenue, pour votre plus grand plaisir, laissez-vous séduire par ce roman lumineux et passionnant.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-22 19:13:30

Congo – UPADS : Le Parti de Pascal Lissouba serait-il au bord de l’implosion ?

Depuis quelques années déjà, des sons discordants sont notés au sein de l’UPADS, où certains militants réclament une clarification de la ligne politique du Parti. Si ces humeurs ont toujours été gérées en interne, la dernière sortie de la fédération UPADS de Pointe-Noire est apparue comme une véritable fronde, vis-à-vis des instances dirigeantes du parti. Fidèles à ses convictions et prenant les choses avec philosophie l’ancien Garde des Sceaux Ouabari Mariotti, a dans sa rubrique intitulée Congo Terre des Légendes et Lumières, voulu s’adresser aux militants de l’UPADS. Voici son message. (La manchette et les illustrations sont de la Rédaction).

« Militants de l'UPADS,

Tous rangs, postes et positions politiques confondus, au sein de ce Parti,

Ces quelques lignes s'adressent à vous.

Au nom de ce que, tous, dont moi, sur l'ensemble du territoire congolais, sans le moindre préjugé de ma part, nous avons en partage avec notre Parti, le Parti du Président Pascal Lissouba, il est temps que Nous avancions, comme, tous, vivement, nous le souhaitons, en des termes différents. Cela, pour en finir avec le spectacle insoutenable que nous offrent les réseaux sociaux, à propos de nos échanges, dans les forums WhatsApp que nous avons crées.

Sans distinction, militants de l'UPADS, nous avons hérité l'UPADS de son Président Pascal Lissouba pour entretenir la flamme que ce dernier avait insufflée à ce Parti. Non pour qu'elle s'éteigne, étincelle après étincelle, au terme d'interminables querelles.

L'opinion congolaise, au demeurant, celle des pays qui ont vu gouverner Pascal Lissouba, appuyé sur l'UPADS, ne nous reconnaissent plus. Voyant en nous, des hommes et des femmes, pourtant des politiques, des cadres, des intellectuels et des tenants de la société civile, sans volonté de sauver l'essentiel dans un environnement qui ne nous est pas favorable.

De toutes nos bouches, le mot Congrès résonne comme un son de musique que nous aimons. Allons-y donc vers ce Congrès que nous appelons de nos vœux. Un Congrès unitaire, avec la double ambition de réunir pour réussir. Arrêtant, ainsi, pour sauver notre Parti, de l'égocentrisme de certains d'entre-nous qui pourrait définitivement faire perdre l'UPADS.

L'UPADS doit encore gouverner le Congo. Elle en a les capacités, les qualités, les aptitudes, l'intelligence et les ressources humaines. Trouvons en les formes, les manières et les stratégies. Nous sommes sur le terrain politique. Pour ma part, il vit en moi une vraie passion pour l'UPADS. Je le clame, sans complexe, depuis les années de la fondation de ce Parti. Je l'ai écrit, dans "Ce Jour-là en Jeans", livre de mes Mémoires.

Le Congrès de l'UPADS, j'y crois. Pour des instances solides, en vue d’une reconquête du pouvoir d'État congolais. C'est une affaire de jours, et de mois.

Paris 21 février 2024

Ouabari Mariotti

Ancien Garde des Sceaux Ministre de la Justice »

Créé le 2024-02-22 16:22:41

60 ans de coopération Congo – Chine : Denis Sassou N’Guesso et Xi Jinping ont échangé des messages de vœux

A l’occasion du 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la République du Congo et la République populaire de Chine, les présidents Denis Sassou N’Guesso et Xi Jinping ont échangé des messages de vœux dans deux lettres respectives.

Dans le message adressé à son homologue chinois, le chef de l’État congolais a rappelé le « choix visionnaire » fait par son pays, le 22 février 1964, celui d’assumer « sans complexe son alignement idéologique progressiste porté par l’amitié entre les peuples chinois et congolais ».

Son homologue chinois note, pour sa part, que « depuis 60 ans, quels que soient les aléas internationaux, l’approfondissement de la confiance mutuelle entre la Chine et le Congo a apporté des bénéfiques tangibles aux deux peuples ».

Brazzaville et Beijing saisissent l’opportunité qu’offre l’historique anniversaire, ce 22 février, pour davantage renforcer leurs relations dans les domaines politique, économique et socio-culturel.

Rappelons que la coopération entre le Congo et la chine couvre divers domaines, partant de la formation des cadres, à la réalisation des infrastructures, ainsi que l’exploitation des matières premières entre autres secteurs.

Bertrand BOUKAKA/Les échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-22 15:34:06

Brazzaville-Immeuble effondré à Bacongo : un an après, le chargé de l'exécution dudit immeuble de quatre niveaux toujours en cavale

Un immeuble, situé sur l’avenue des Trois francs, en diagonale de la commune de Bacongo, s’est effondré tel un château de cartes, avec fracas, en avril 2023, entraînant dans sa chute deux habitations voisines et causant deux (02) morts et plusieurs blessés. A ce jour, le responsable de la société Gramat Engineering Sarlu chargé de l'exécution dudit immeuble de quatre niveaux dans le deuxième arrondissement de Brazzaville est toujours en cavale.

En effet, le responsable de la société GRAMAT Engineering Sarlu chargé de l'exécution dudit immeuble toujours en cavale, est recherché par les autorités et, bien évidemment, aussi par le maître d'ouvrage le nommé Thierry Hobié, député et membre du PCT qui avait même porté plainte contre le constructeur quelques jours suivants l'effondrement de son bâtiment.

Le député Thierry Hobié avait pris en charge les obsèques et dédommagé une partie de la famille des victimes.

Le Directeur technique de l'entreprise a été entendu par la police judiciaire de Brazzaville et le chef de chantier lui aussi introuvable.

Le ministre de l'Intérieur, Raymond Zéphirin Mboulou avait instruit le Commandant de la Gendarmerie et le Général Jean-François Ndenguet d’intensifier la traque du Directeur de la société.

Par ailleurs, le Bureau d'Études et de Contrôle du Bâtiment et Travaux Publics (BCBTP) qui est chargé à faire l'expertise pour justement déterminer les causes de l'effondrement brutal du bâtiment, n'a pas toujours rendu public son expertise.

Cependant, les premières études auraient montré que les fondations n'étaient pas assez profondes et solides pour supporter le poids du bâtiment et aussi probable manque des études géotechniques tout en invoquant la mauvaise mise en œuvre.

La même entreprise réalisait les travaux de la maternité à Massissia au sud de Brazzaville, appartenant au Professeur Francine Ntoumi (FCRM), les travaux sont repris par une entreprise chinoise en janvier après 8 mois d'arrêt desdits travaux.

Notons que, le PDG de Gramat Engineering Sarlu était aussi membre de l'Ordre des Ingénieurs du Congo (OIC) et candidat au Conseil National de cet Ordre. Le Bureau l'a radié de l'Ordre après l'assemblée générale constitutive.

A quand donc la fin de cavale pour le responsable de la société Gramat Engineering Sarlu chargé de l'exécution dudit immeuble de quatre niveaux à Bacongo dans le deuxième arrondissement de Brazzaville ?

La réponse des enquêteurs : « L’oiseau peut oublier le piège, mais le piège n’oublie jamais l’oiseau ».

Affaire à suivre…

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-21 12:12:50

Congo : ouverture du procès des élèves poursuivis pour avoir remplacé le drapeau de leur lycée, le premier du genre dans la lutte contre l’incivisme en milieu scolaire

Le procès s’est ouvert mardi 20 février 2024 devant la sixième chambre correctionnelle du tribunal de la capitale congolaise. Dix-sept élèves du lycée technique 5-Février-1979 de Brazzaville sont inculpés pour « dégradation d’un objet d’utilité ou de décoration publique ».

L'audience a duré près de six heures, dans une salle pleine à craquer. Au départ de quatorze, le nombre des prévenus est passé à dix-sept après inculpation de trois témoins.

Tous ont été entendus, et ils ont pour certains reconnu partiellement les faits, mais sans expliquer pourquoi ils ont remplacé le drapeau vert-jaune-rouge par une étoffe bleue nuit, couleur de leur uniforme.

D’autres ont affirmé avoir été interpellés dans la confusion ou par un excès de zèle des policiers. C’est le cas d’un ingénieur informatique qui s’est interposé lors de l’interpellation de son jeune frère, élève du lycée technique. Il a bénéficié d’une liberté provisoire.

« C’est pas une victoire, mais un sentiment de joie simplement. J’aurais bien voulu que la police congolaise fasse des enquêtes approfondies. Parce que, en écoutant les déclarations des uns et des autres, on se rend compte qu’il ya des élèves qui ont été interpellés, mais en réalité n’ont rien fait », a déclaré Me Haris Kissouésoué, avocat de la défense.

Me Haris Kissouéssoué a dénoncé le fait que certains lycéens impliqués dans cette affaire soient en cavale.

L’audience a été suspendue et reprendra le 27 février prochain par l’audition des témoins, notamment les responsables du lycée.

Ce procès est le premier du genre dans la lutte contre l’incivisme en milieu scolaire au Congo-Brazzaville. Il vise à servir d’exemple.

Les élèves du lycée technique et commercial 5-février de Brazzaville ont renoué avec le chemin de l’école la matinée du mardi 20 février, avec plus de discipline après le regrettable incident ayant poussé à la fermeture de l’établissement scolaire, le 12 février dernier.

Le lycée technique et industriel 5-février avait été fermé à titre conservatoire suite à la profanation du drapeau national. Le 5 février dernier, en effet, jour anniversaire de cet établissement éponyme, des élèves de l’autre lycée technique et commercial 1er-mai avaient effectué le déplacement de Ouenzé pour la célébration.

Ces lycéens, repartis en écuries de "Bébés noirs", avaient tenté de déchirer le drapeau national qui avait finalement été descendu du mât puis remplacé par le leur de couleur bleue de nuit, avec une inscription blanche à peine visible. « Après l’armée, c’est nous », pouvait-on lire sur la vidéo qui retrace la scène, devenue virale sur les réseaux sociaux.

Par conséquent, le gouvernement avait suspendu les équipes de maîtrise dudit lycée. Quinze élèves avaient été interpellés puis présentés au procureur de la République, le 13 février, pour avoir porté atteinte au symbole de la République et à l’ordre public.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-21 10:27:42

Congo – Ex Socico : Les ex-agents réclament le paiement de leurs droits par un sit-in

Elles sont nombreuses au Congo, ces sociétés liquidées, pour lesquelles les nouveaux repreneurs se sont plutôt contentés des actifs faits de l’outil de travail immédiatement réexploité, parfois sans le moindre apport de leur part. Des repreneurs qui ont négligé l’apurement du passif, notamment les arriérés de salaires voire le payement des droits des travailleurs non retenus par la nouvelle société. À Sonoc, les ex-agents de la Société des ciments du Congo (Socico), qui enregistrent dans leurs rangs de nombreux décédés, observent depuis bientôt deux semaines, un sit-in, pour réclamer le paiement des arriérés de salaires impayés. 20 ans que dure leur attente.

La patience a des limites. Celle des ex travailleurs de Socico est arrivée à épuisement de toutes les limites du tolérable, surtout que les autorités préfectorales de la Bouenza semblent ne pas s’intéresser à la situation. Des autorités envers lesquelles leur message est sans ambiguïté.

« Nous aurons voulu que vous intimiez l’ordre aux actionnaires chinois et congolais de la Sonoc de payer les droits des anciens travailleurs », ont souligné les manifestants dans une déclaration datée du 17 février dernier.

Pour ces ex travailleurs de Socico, le repreneur s’est carrément joué des autorités congolaises à tous les niveaux. En 2001, la justice avait en effet condamné l’ex-Socico à verser près de 5 milliards de Fcfa d’arriérés de salaires à ses anciens employés. En 2015, ce jugement a été confirmé par la cour d’appel de Brazzaville. Las d’attendre et face aux promesses non tenues de la Sonoc, successeur de la Socico, les ex-salariés ont décidé de passer à l’action.

Les manifestants affirment détenir des fiches de paie distribuées il y a plus de 4 mois par le comité de suivi. Cependant, ils dénoncent le non-respect des engagements de paiement pris par la Sonoc, malgré une promesse prononcée lors d’un précédent sit-in suspendu il y a plus d’un an à Louteté.

Face à cette situation, le collectif des anciens travailleurs a reconduit le sit-in devant l’usine de la Sonoc à Louteté, bloquant les deux voies, ferrée et carrossable.

« Vue la léthargie de la Sonoc qui n’honore pas sa parole, nous sommes obligés d’empêcher toute circulation jusqu’au paiement de nos droits », préviennent les manifestants.

Reste à savoir si leur action ne sera pas assimilée à un trouble à l’ordre public par les autorités, en actant du coup la fin. Sans gain de cause, une fois de plus, pour des ex travailleurs qui voient la vie se réduire comme peau de chagrin, enterrant leurs anciens collègues les uns après les autres, sans que ceux-ci n’aient goûté aux fruits d’un labeur qui les aura tant lessivés, réduisant drastiquement leur espérance de vie.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-20 22:04:38

Congo : Les jeunes filles et adolescents âgés de 15 à 25 ans constituent la catégorie la plus touchée par le Vih/sida

C’est une statistique qui donne des larmes aux yeux ! Les jeunes filles et adolescents âgés de 15 à 25 ans constituent la catégorie la plus touchée par le Vih/sida au Congo, selon les données révélées récemment lors de l’atelier de restitution de la mission du Fonds mondial au Congo contre le Vih/sida, la tuberculose et le paludisme à Brazzaville.

Les chiffres alarmants montrent que sur les 140 000 personnes vivant avec le Vih/sida en République du Congo, seulement 37 000 bénéficient d’un traitement.

Cette situation est exacerbée par le fait que le Congo affiche la deuxième incidence la plus élevée de la maladie, selon le gestionnaire du portefeuille Fonds mondial, Lionel Caruana.

Malgré la disponibilité de traitements et d’antirétroviraux gratuits, seulement 77% des patients ont atteint une charge virale.

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-19 15:58:10

Un bus de la société Océan du Nord impliqué dans un accident sur la Route nationale Nº1

Un bus de la société Océan du Nord a été impliqué dans un accident dans le Mayombe (la Route nationale Nº1) ce lundi 19 février 2024, dans le département du Kouilou, terminant sa course dans un caniveau.

Aucune perte en vie humaine n’a été signalée, mais des dégâts matériels ont été constatés.

La cause présumée de l’accident est une chaussée glissante due à la pluie.

Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-19 15:45:51

Denis Sassou-N’Guesso très heureux de prendre part au 37e sommet de l’Union Africaine

Le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso, a déclaré sur son compte Twitter, qu’il est « heureux de prendre part, au 37e sommet de l’Union Africaine, à Addis-Abeba, aux côtés d’autres dirigeants du continent, ainsi que des invités venus d’autres parties du monde. Ce sommet est l’occasion d’aborder des questions cruciales pour le développement de l’Afrique ».

C’est dans un contexte de crises tous azimuts que s’est tenu ce week-end le 37ᵉ sommet de l’Union africaine (UA) sur les hauteurs d’Addis-Abeba.

Le conclave des présidents s’est borné à constater l’échec de l’instance panafricaine face à tous ces foyers de tension. Le Mali, la Guinée, le Tchad, le Burkina Faso, le Niger et le Gabon, sont tous en transition à la suite de coups d’État militaires.

Depuis environ un an, le Soudan qui n’était déjà pas en bonne santé, est déchiré par une guerre (…). Quant à la RD Congo, les promesses électorales du Président Tshisekedi peinent à ramener la paix dans l’est du pays. Entre l’Éthiopie et la Somalie, le mur de la méfiance et des suspicions s’épaissit chaque jour.

Enfin, au Sénégal, si le Conseil constitutionnel a courageusement pris ses responsabilités face à Macky Sall, ce dernier ne semble toujours pas disposé à entendre la voix de la raison.

L’invité d’honneur de ce sommet, le président brésilien Lula da Silva, a été particulièrement applaudi, pointant le fait que la moitié des 200 millions de Brésiliens se déclarent afro-descendants. Il a défendu la nécessité d’un nouvel ordre mondial dans lequel l’Afrique doit jouer un rôle prépondérant.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-19 15:04:45

Congo : Anatole Collinet Makosso a inauguré le siège de l'Institut national de la statistique et le Centre national de formation en statistique, démographie et planification

Le chef du gouvernement congolais, Anatole Collinet Makosso a procédé, le 13 février 2024 à Brazzaville, à la coupure du ruban symbolique marquant l'ouverture officielle des activités du nouveau local ultra moderne de l'Institut national de la statistique (INS) et le Centre national de formation en statistique, démographie et planification (CNFSDP) qui se trouve dans la même enceinte. Ces Joyaux architecturaux sont la concrétisation du maître d'œuvre, une expertise locale qui n'est autre que le bureau d'études, d'architecture, de Design, d'ingénierie BTP, d'expertise immobilière (valeur vénale) et urbanisme en sigle EDAU Congo SCP ; qui a reçu la mission complète de la conception à la coordination, ordonnancement et pilotage des travaux desdits Complexes.

Ces établissements aux normes modernes vont former des jeunes congolais en statistique qui est une discipline importante dans la planification des politiques de développement. Les élèves qui sortiront de cette école vont combler le déficit en données statistiques longtemps déplorées dans le pays.

La modernisation de l’INS va permettre au Congo, selon Cheik F. Kanté, le directeur des opérations de la Banque mondiale, de combler le déficit des données statistiques récentes et de qualité qui a longtemps entravé l’action du gouvernement et celle des partenaires au développement. Ces installations contribueront à améliorer la formation des, ainsi que du système statistique national. Le CNFSDP, qui a déjà formé plus d’un millier de cadres de l’administration publique, pourra assurer la formation de qualité avec l’introduction du système licence-master-doctorat.

Au-delà de l'édifice, le PSTAT a contribué significativement à réduire le gap dans la production de données statistiques cruciales pour la planification d'un développement durable. Il a notamment permis de réaliser le cinquième (5e) Recensement Général de la Population et de l'habitation, 15 ans après le précédent, l'enquête harmonisée sur les conditions de vie des ménages a-t-il ajouté.

En outre, le PSTAT a fiancé le renforcement du capital humain en matière de statistique en mettant en place un programme de bourses des étudiants admis dans les écoles régionales de statistiques et de démographie.

Sur le plan technique, le site est composé de deux bâtiments construites sur un terrain rectangulaire de 1Ha21a, dont l'attributaire est le ministère du plan, de la statistique et de l'intégration régionale a expliqué le maître d'œuvre Gervais Aurélien DIBANTSA, associé gérant d'EDAU Congo SCP.

Ici, l'architecture moderne est inspirée du Cube, l'élément important dans la statistique. Il rappelle les diagrammes en bandes et circulaires qu'on retrouve sur les logos de l'INS et CNFSDP. De ces diagrammes a été ajouté le verre, un jeu de retrait sur les façades pour basculer du classique au moderne a-t-il poursuivi.

L'INS est un bâtiment administratif avec une entrée principale, il est placé au sud vers la voie principale avec une emprise au sol de 123, 40 m2 il comporte sept (7) niveaux composés d'un sous-sol, un rez de chaussée et 5 étages. Le sous-sol est essentiellement composé de parking pour le personnel et est connecté au reste du bâtiment par une circulation verticale. Le rez de chaussée est composé des entités d'accompagnements, les niveaux supérieurs sont composés essentiellement des bureaux et des salles de réunions, d'un centre de recherche et d'une reprographie. Le CNFSDP quant à lui est composé de deux niveaux notamment un rez de chaussée avec 6 locaux de formation et un étage comprenant dix (10) bureaux et une salle de réunion.

En ce qui concerne les ouvrages communs, le site dispose d'un parking visiteurs et bien d'autres ouvrages réalisés pour une meilleure fonctionnalité du complexe.

Le projet se veut de transmettre au public une lecture d'architecture forte, aussi bien dans l'esthétique que le confort.

D’autres travaux devront être réalisés prochainement pour consolider l’ouvrage. D’après le maître d’œuvre, EDAU Congo SCP, il s’agit des travaux de la sécurité incendie ; de la signalisation ; des cloisons intérieures ; de la connexion du complexe au réseau internet et courants faibles ; de l’éclairage extérieur et la mise en place d’un système de vidéosurveillance ; du mobilier ; des rideaux dans les deux bâtiments ; de la climatisation ; des mûrs rideaux avant et arrière…

Pour les autorités, un pas important vient d’être franchi en matière de réforme du système statistique national. « La vision du gouvernement, à travers cette stratégie, est bien de doter le Congo, à l'horizon, d’un système statistique national cohérent, pourvu de ressources adéquates, apte à répondre aux besoins des utilisateurs en produisant et en diffusant, dans les délais requis, des statistiques fiables permettant de prendre de décisions éclairées pour un développement socioéconomique durable et irréversible », a déclaré la ministre en charge de la Statistique, Ingrid Olga Ghislaine Ebouka-Babackas.

VALDA SAINT-VAL & ORNEY MADIATA

Créé le 2024-02-16 21:41:03

A Brazzaville, un sit-in des membres de la FESY-POSTEL pour exiger le départ de la directrice générale de SOPECO

Le climat est délétère au sein de la société des Postes et de l’épargne du Congo (SOPECO). Les membres de la Fédération des syndicats des postes et télécommunications (FESY-POSTEL) ont organisé un sit-in mercredi à Brazzaville. Ils exigent le départ de leur directrice générale pour incompétence notoire et le paiement de leurs salaires impayés qui s’élèvent à 41 mois.

« Nous voulons un nouveau management au sein de la société des Postes et de l’épargne du Congo et cela passe par un changement de dirigeant. Nous exigeons le départ de la directrice générale de la SOPECO et toute son équipe. Cela fait six ans qu’elle dirige cette société mais il n’y a aucune évolution. Nous souffrons énormément à la SOPECO », a déclaré le secrétaire général de la Fédération des syndicats des postes et télécommunication auprès de la société des Postes de l’épargne du Congo, Franck Siassia.

« Nous sollicitons l’intervention du Président de la République d’écouter notre cri de cœur, afin que nous trouvions gain de cause au paiement de nos arriérés de salaires, dont nous accumulons 41 mois », a-t-il ajouté.

Franck Siassia sollicite une attention particulière du gouvernement pour décanter la situation.

En septembre 2020, les travailleurs de la Société des postes et de l’épargne du Congo  avaient entamé une grève illimitée en exigeant au préalable le versement de cinq mois de salaires de l’année sur les vingt impayés.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-16 09:44:31

Congo : le phénomène motocycliste «Wewa» gagne du terrain à Dolisie

Depuis quelques mois, l’on ne peut traverser un coin de la capitale de l’or vert sans rencontrer un taxi-moto communément appelé «Wewa». Cette situation est devenue une réalité quotidienne dans la ville préfecture du Niari (sud) à tel point que ce moyen de transport a brûlé la politesse à d’autres plus anciens que lui. Le Wewa a pratiquement envahi le secteur de transport en commun dans la troisième ville du Congo.

Avec une population estimée à près de 203 587 d’habitants, mais confrontée aux difficultés de transport en commun, l’offre routière de Dolisie est insignifiante.

C’est ce qui explique la fréquentation galopante des taxis-motos, vue également leur accessibilité vers les coins urbains impraticables par les conducteurs des véhicules.

Le phénomène motocycliste fait rage à Dolisie. Boudé dans ses débuts par certains Dolisiens, le taxi-moto a fini par s’imposer avec le temps.

Dans plusieurs quartiers, la population n’a pas de choix que celui d’emprunter ce moyen de transport, vu l’état de délabrement dans lequel se trouvent certaines routes.

Cependant, un constat objectif est que l’avènement des motos dans le secteur de transport en commun dans la capitale de l’or vert a, à priori, apporté un ouf de soulagement pour les habitants des différents quartiers.

Un business qui soulage plusieurs jeunes de Dolisie étranglés par le chômage.

Malgré cet aspect positif, les taxis-motos sont à la base de nombreux accidents à Dolisie. Cause : manque d’expérience de certains motocyclistes, non respect du code de la route et manque des voies appropriées pour la circulation de ces engins.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-14 22:02:11

Golden Season de 1xBet : les récompenses ont trouvé leurs héros au Congo !

Dans le monde dynamique des paris, le choix du meilleur site de paris sportifs peut être une tâche ardue. Pendant la recherche, il est important de prêter attention au confort et à l'attitude envers les clients. Le bookmaker fiable 1xBet offre aux passionnés de sport à la fois des milliers d'événements avec les cotes les plus élevées et la possibilité de convertir leurs connaissances sportives en précieux prix en espèces - les gagnants de la promotion “Golden Season” ne vont certainement pas mentir.

Résultats finaux de la promotion

Le 26 janvier, deux villes de la République du Congo - Brazzaville et Pointe-Noire - ont abrité les cérémonies de remise des prix aux gagnants de la promo “Golden Season”. La promotion est devenue une véritable fête pour les fans de sport et de jeu, offrant aux joueurs beaucoup de positivité et de précieux prix.

À Pointe-Noire, deux joueurs chanceux ont eu de quoi se réjouir, ayant reçu 200 USD chacun.

À Brazzaville, par contre, les gagnants ont empoché :

● Premier prix - 1000 USD ;

● Deuxième prix - 500 USD ;

● Troisième prix - 200 USD.

La cérémonie de remise des prix s'est déroulée dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Les gagnants n'ont pas caché leur joie, car leur participation au concours leur a non seulement donné des impressions inoubliables, mais a également amélioré de manière significative leur situation financière.

Ne manque pas l'occasion de participer aux nouvelles promotions

1xBet est toujours prêt à surprendre et à ravir ses joueurs, et la promotion “Golden Season” en est une confirmation éclatante. Les conditions de participation étaient aussi simples que possible : tout pari sur un événement sportif à partir de 2 $ rapportait à un parieur des tickets promotionnels, qui donnaient le droit de participer au tirage au sort. Plus le montant du pari était élevé, plus il y avait de tickets et de chances de gagner.

Si tu n'as pas participé à cette promotion, ne t’inquiète pas. De nouvelles promotions intéressantes avec de l'argent et d'autres prix de valeur attendent les joueurs de 1xBet. De plus, dans la section Promo sur la plateforme

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Créé le 2024-02-14 10:23:31

CAN 2024 : Une villa et 100 millions de FCFA, les généreux cadeaux de Ouattara aux Eléphants après leur sacre à domicile

Après les avoir félicités d’avoir réussi à « réunir les Ivoiriens en un seul peuple » grâce à cette victoire, le Président de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, les a surtout couverts de cadeaux. Il a ainsi annoncé offrir 100 millions de francs CFA à l’entraîneur Emerse Faé, et 50 millions de FCFA aux joueurs, ainsi qu’une villa de la même valeur.

Le chef de l’Etat ivoirien a également donné 400 millions de FCFA pour le staff technique des Eléphants et 300 millions de FCFA à la Fédération ivoirienne de football (FIF).

«Vous méritez cette reconnaissance et ce soutien national. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point vous avez réussi à rassembler et unir la nation ivoirienne (...) Cette CAN nous a permis de renforcer notre unité autour de notre chère Côte d'Ivoire », a déclaré le Président Alassane Ouattara.

Un Président généreux et altruiste, qui faisait de cette CAN un objectif dans la vue de sa réélection, encore plus avec une victoire finale de la Côte d’Ivoire.

Les Eléphants de Côte d’Ivoire ont remporté dimanche dernier la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football à domicile en battant au stade Alassane Ouattara d’Ebempé d’Abidjan les Super Eagles du Nigeria par 2 buts à 1.

La Côte d’Ivoire a ainsi décroché sa 3e étoile de l’histoire de la CAN après 1992 et 2015.

Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2024-02-13 21:22:05

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