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Brazzaville : Les femmes de l’O.F.C ont commémoré la journée du 13 mars de la militante du Parti Congolais du Travail (PCT)

L’Organisation des Femmes du Congo (O.F.C), a célébré, en différé, la journée du 13 mars 1977 de la femme militante instituée il y a deux (2) ans, sous le thème : « Implication de la femme militante du Parti Congolais du Travail aux élections sénatoriales de 2023 ».

La cérémonie s’est déroulée en présence de la Secrétaire Permanente à la Condition f féminine, enfance et famille, la camarade Esther Ahissou Gayama, sous le patronage du Secrétaire Permanent à l’organisation, Gabriel Ondongo et des militantes du Parti de la ville capitale dans la salle de conférences du siège du Parti à Brazzaville.

En effet, c’est depuis l’année dernière que l’O.F.C. (Organisation des Femmes Congolaises), ex-U.R.F.C (Union Révolutionnaire de Femmes du Congo), organisation féminine du Parti, célèbre cette journée de la femme militante, en mémoire de la dernière adresse du camarade Marien Ngouabi, Président-Fondateur du Parti, aux femmes et militantes de l’URFC, le 13 mars 1977 à la Mairie centrale de Brazzaville.

C’était une occasion d’informer les femmes, militantes et sympathisantes du P.C.T, sur la situation réelle de la prise en compte des femmes quant aux élections sénatoriales et sur l’application des lois en vigueur, comme le stipule l’Article 17 de la Constitution de notre pays.

A cet effet, un débat libre, franc et empli de grande camaraderie, a été organisé autour de cette participation et mobilisation de la femme du Parti, en politique, en général puis aux échéances électorales en particulier.

Il y a des femmes camarades qui, ont ainsi stigmatisé certains comportements vécus au sein du Parti à la veille des élections tant locales, législatives et sénatoriales, le cas échéant, tels : le parrainage, le copinage, le trafic d’influence, voire le clientélisme.

« C’est dans cette lutte que nous nous battrons pour avoir une place au soleil. ’’Seul la lutte libère’’ », ont-elles rappelé.

En ce qui concerne l’engagement et l’implication de la femme du Parti, un extrait du discours de l’immortel Marien Ngouabi a été lu par la camarade Ingoba Ngouabi.

En définitive, l’implication de la femme membre du Parti Congolais du Travail est plus que nécessaire, vu leur volonté, leur quantité et leur capacité de mobilisation pour cette bataille électorale qui pointe à l’horizon.

A l’issue de cérémonie commémorative, une délégation des membres de l’Organisation des Femmes du Congo (O.F.C), née des cendres de l’Union Révolutionnaire des Femmes du Congo(U.R.F.C), est allez déposer une gerbe de fleurs au Mausolée national, qui porte son nom, pour s’y recueillir et déposé une gerbe de fleur.

VALDA SAINT VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-20 12:54:15

Pointe-Noire : Les braquages s’étendent d’un quartier à un autre, tel un essaim d’abeilles en perpétuelle quête de butins

Selon les populations victimes, il n’existe presque pas de nuits tranquilles, à proprement parlé, au sein de la capitale économique, tant les braquages s’étendent tour à tour d’un quartier à un autre, tel un essaim d’abeilles en perpétuelle quête de butins.

Le cas reconnu et le plus récent étant celui de deux gendarmes agressés à coup de machettes dans leur domicile au quartier Tchali par les « Bébés noirs ».

Si la plupart des cas connus, parce qu’ils témoignent des succès engrangés, ont permis à la justice de s’en saisir, il reste que, les cas non signalés ou tout au moins méconnus du grand public, s’avèrent être les plus nombreux, au regard des nombreux blessés du fait de l’insécurité, que l’on peut observer au Centre Hospitalier Adolphe-Cissé.

Bien plus, si les nombreux cas d’agressions recensés sont le fait des repris de justice, les populations sont en proie d’ignorer la nécessité de se soumettre aux procédures judiciaires, toutes choses qui pourraient véhiculer un regain de violence dans les artères du pays au regard de la crise économique qui paralyse le Congo.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-20 10:01:33

Brazzaville : Commémoration du 46e anniversaire de la disparition du Président Marien Ngouabi sous le signe de la paix

Comme à l'accoutumée chaque année, le 18 mars 2023, la Fondation Marien Ngouabi pour l'enfance à demandé une messe d'action de grâce, en mémoire du défunt Président de la République Populaire du Congo. l'Office religieux a eu lieu en la Cathédrale Sacré-coeur de Brazzaville, par l'abbé Jonas Koudissa.

La messe d'action de grâce en mémoire de Marien Ngouabi a été célébrée en présence de quelques parents du défunt Président, dont l'un de ses enfants, Dominique Ngouabi et la présidente de la Fondation, Mme Bidouloy née Ingoba Marie Thérèse, qui est la demanderesse de ce messe.

Dans son homélie, le prêtre célébrant s'est appesanti sur le texte tiré des écritures de Osée, chapitre 6, des versets 1 à 6 et du psaume 58. Dès l'entame de sa prédication, l'abbé Jonas a établi un net distinguo entre le deuil, qui avait frappé la famille et le peuple congolais tout entier le 18 mars 1977, puis l'espérance que nous vivons et célébrons en cette date anniversaire aujourd'hui et présentement.

" La conversion du cœur et se tourner véritablement vers le Seigneur Jésus-Christ", a-t-il déclaré.

Évoquant la parabole du pharisien et du publicain, l'officiant a fait un parallèle entre deux chrétiens qui élèvent leurs prières à Dieu.

"Le publicain, ce collecteur d'impôts, qui est considéré comme un voleur, un corrompu, le cas de Zachée, détesté par le peuple. Par contre, le pharisien quant à lui, est pris pour un homme bien, qui vit sa foi avec ferveur et ardeur, admire par le peuple, qui donne le 10e de son salaire à Dieu", a martelé l'abbé Jonas Koudissa.

La présidente de la Fondation a été plus que satisfaite de la cérémonie anniversaire par cette messe d'action de grâce.

"Je suis très heureuse pour cette célébration. Nous sommes à notre septième année d'expérience de notre Fondation et chaque 18 mars, nous demandons une messe d'action de grâce à la mémoire du Président Marien Ngouabi. Ça nous fait grand plaisir de nous rappeler de ce jour, bien que triste, mais de joie à travers l'action de grâce. Étant donné que dans la Bible, il est écrit : rendez grâce en toutes circonstances, pour nous, ça devient un jour de joie", a-t-elle signifié.

" Notre Fondation a été créée pour le bien-être de tout congolais. Celui ou celle qui veut être du côté de feu Président Marien Ngouabi peut venir se joindre à nous, pour faire chemin ensemble", a précisé la responsable de ladite Fondation.

Pour Dominique Ngouabi, fils de l'immortel Marien Ngouabi, cette messe a constitué un véritable temps de recueillement et de souvenirs.

"Nous demandons à l'Éternel tout Puissant de recueillir son âme, qu'il repose en paix dans toute son éternité. C'est comme si, il savait qu'il devait mourir. Quelques jours avant sa mort, il a dit que, lorsque ton pays est sale, il faut le laver avec ton sang pour lui rendre sa dignité. Je crois qu'il savait, parce que, nous savons que le seul sang qui ne demande pas vengeance, c'est le sang de Jésus-Christ. D'autres sangs, ça monte à Dieu et réclame vengeance. Donc nous demandons à Dieu la paix, que le pays demeure en paix, comme le Président Marien Ngouabi fût un homme de paix. Que son sang puisse protéger le Congo, que le pays soit béni. Certes, c'est un jour triste, c'est bien une commémoration", a-t-il rappelé et fait savoir.

Par ailleurs, en début d'après midi, les membres et sympathisants du Parti Congolais du Travail (PCT) ont déposé des gerbes de fleurs au mausolée national dit Marien Ngouabi.

Valda SAINT VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-19 21:09:17

Les six pays de la zone CFA d'Afrique centrale capables de se dispenser de la garantie du Trésor français et de rapatrier toutes leurs réserves de change

Les six pays de la zone CFA d'Afrique centrale sont désormais capables de se dispenser de la garantie du Trésor français et de rapatrier toutes leurs réserves de change, comme l'ont fait récemment les huit pays de la zone CFA d'Afrique de l'Ouest. C'est ce qu'affirme le Gabonais Ona Ondo Daniel, qui préside depuis plus de cinq ans la commission de la CEMAC (Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale). À la veille du sommet des six chefs d'États de la CEMAC, jeudi 16 mars à Yaoundé, l'ancien Premier ministre répond aux questions de Rfi.

RFI : Ona Ondo Daniel, l’une des priorités de la Cemac, c’est de favoriser l’intégration économique entre vos six pays. De ce point de vue, quel est votre bilan ?

Ona Ondo Daniel : Je crois que, dans la tradition de ma tribu, on ne fait jamais le bilan parce qu’on ne se glorifie pas. Mais qu’à cela ne tienne, la première réussite que nous avons, c’est la libre circulation des personnes et des biens. Vous savez qu’on disait qu’il y avait une réticence des pays à faire un passeport biométrique Cemac. Je peux vous dire qu’aujourd’hui les six pays ont des passeports biométriques Cemac. Nous avons ensuite essayé de relancer le programme économique et régional, ce qui a été fait. La bourse des valeurs a été modifiée. Vous savez, il y avait une bourse des valeurs à Libreville, et une à Douala. Aujourd’hui, les bourses sont unifiées. Donc je pense que ce sont des actions qui vont dans le cadre de l’intégration. La libre circulation est importante. C’est vrai que ce n’est pas le nirvana de circuler en Afrique centrale. Le commerce interafricain en Afrique centrale est encore faible – moins de 5% –, mais on a fait des efforts pour faire en sorte que la libre circulation soit effective dans les principaux corridors de notre région.

Oui, mais que répondez-vous à ceux qui disent que rien n’a été fait sur le plan de l’interconnexion routière entre vos six pays ?

Des efforts sont faits. Vous savez, Paris ne s’est pas fait en un jour. Il ne peut en être autrement pour l’Afrique centrale. Les infrastructures routières, dans le portefeuille des projets intégrateurs que nous avons faits à Paris, il y a des corridors qui ont eu des financements importants. Le corridor entre Yaoundé et N’Djamena et d’autres corridors entre le Cameroun et Brazzaville, un corridor entre Libreville et Brazzaville. Donc, on est en train de construire une intégration sous-régionale. On ne peut pas faire des routes en un claquement de doigts. Ce sont des choses qui se font avec du temps.

Et l’interconnexion électrique entre vos six pays, ça ne marche pas encore…

On est en train de faire l’interconnexion électrique. Vous savez, nous avons eu des financements importants de la Banque mondiale pour interconnecter le Cameroun et le Tchad. Et au niveau de l’Afrique centrale, entre le Gabon et la Guinée équatoriale, nous avons travaillé avec le pôle énergétique d’Afrique centrale, qui est l’interconnexion entre la Guinée équatoriale et le Gabon, entre Mongomo et Oyem, entre Ebebiyín et Bitam, et entre Akurenam et Médouneu.

À l’heure actuelle, la monnaie commune de la Cemac, c’est le franc CFA. À la différence de la sous-région d’Afrique de l’Ouest, l’Uemoa, il y a toujours des réserves de change de francs CFA auprès de la Banque de France. Quand est-ce que vous allez réformer votre franc pour que ces réserves soient rapatriées dans la sous-région ?

Les chefs d’État ont donné mandat à la commission de la Cemac et à la Banque des États d’Afrique centrale, donc au gouverneur, de faire des propositions sur les réformes de la coopération entre la France et les pays d’Afrique centrale. Nous avons fait des propositions qui ont été présentées aux chefs d’État, et à la prochaine conférence des chefs d’État, ceux-ci vont encore examiner ces propositions. Mais pour l’heure, le compte d’opérations effectivement est toujours au niveau du Trésor français. Mais, à terme, je crois que c’est parmi les points de réforme qui sont envisagés. Battre la monnaie est un problème de souveraineté, je crois qu’à terme, nous allons disposer de nos réserves comme nous le souhaitons.

Est-ce que votre organisation monétaire est assez solide pour pouvoir rapatrier toutes les réserves de change dans la sous-région, et pouvoir vous passer de la Banque de France ?

Vous savez, c’est une bonne question. Il y a des pays qui sont plus petits qui ont une monnaie. Donc, je vous dis, battre la monnaie, c’est un problème de souveraineté, c’est à nous d’en décider. Si nous disons que nous voulons avoir nos réserves de change et nous passer de la Banque de France, on peut le faire. Mais il y a une chose que je veux vous dire : le compte d’opérations, c’est quoi ? C’est une garantie de la France. Cette garantie, d’après les économistes, n’a pas beaucoup joué. Donc, cela garantit que, si jamais le compte d’opérations est débiteur, la France nous donne la possibilité de pouvoir importer. Mais dans le cas d’espèce, cette garantie n’a pas beaucoup joué. Donc je pense que, si nous faisons une bonne gestion de nos devises, nous pouvons effectivement assumer cette responsabilité. C’est d’autant plus vrai qu’en Afrique de l’Ouest, ils gèrent leur devise et, à ma connaissance, il n’y a pas eu de problèmes jusqu’à présent.

Depuis un an, la Centrafrique a adopté une nouvelle monnaie, le bitcoin, qui est une cryptomonnaie. Or, dans vos statuts, il est prévu que le franc CFA est la monnaie unique pour tous les États membres de la Cemac. Est-ce que la cohabitation est possible entre le bitcoin et le franc CFA ?

Je peux vous dire une chose : ce dossier est inscrit à l’ordre du jour de la conférence des chefs d’État. C’est vrai que le problème de battre la monnaie, c’est un problème de souveraineté. La République centrafricaine, c’est un pays souverain. La République centrafricaine a décidé d’adopter la cryptomonnaie, c’est son droit le plus absolu. Mais la République centrafricaine fait partie d’une zone monétaire. Donc il est évident que les chefs d’État vont voir à ce que la seule monnaie qui a cours légal et pouvoir libératoire sur les six pays, c’est le franc CFA. Il appartient à un moment donné que la situation soit éclaircie au niveau des chefs d’État. Nous attendons la décision des chefs d’État.

Mais n’est-ce pas un problème tout de même, monsieur le président, qu’un des six pays ne respecte pas les règles communes ?

Jusqu’à présent, cela n’a posé aucun problème. Et je crois qu’aujourd’hui, le franc CFA continue de circuler à Bangui. Je reviens de Bangui et je n’ai pas vu de cryptomonnaie en circulation à Bangui.

Le président actuel de la conférence des chefs d’État de la Cemac, c’est le Camerounais Paul Biya. Selon la règle et selon l’ordre alphabétique, après le Cameroun vient la Centrafrique. Est-ce à dire que le prochain président de la conférence des chefs d’État de la Cemac, ce sera le Centrafricain Faustin-Archange Touadéra ?

C’est un problème qui sera débattu au niveau des chefs d’État. Je ne pense pas que ça pose problème que le président Touadéra soit le prochain président de la conférence des chefs d’État.

Jean-Jacques Jarele SIKA / source : Rfi

Créé le 2023-03-19 16:24:50

Congo : 2 terrains constructibles ou viabilisés de 500 m2 à vendre à Pointe-Noire

Ce qui est beau est rare. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, n'a pas son pareil pour enchanter les sens. Son architecture rayonne partout et ravit les esprits les plus subtiles. Vous n’avez pas trouvé de bien qui vous intéresse ? Ces annonces suggérées pourraient vous aider à faire votre choix. Deux parcelles de 500 m2 avec tous les documents afférents à 15 millions de FCFA la parcelle.

Construisez en toute sérénité votre maison individuelle avec votre propre jardin est le rêve de tous les Congolais.

Il se peut que vous recherchiez une parcelle accessible, nous vous invitons à contacter Mme Marie CH. au +336.36.36.22.02 ou au +242.05.553.4137.

La première parcelle est située au quartier Ngouambouchi et la deuxième est sur la Nationale 1 entre le rond-point Thystère et le Commissariat de police de Vindoulou.

Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-17 09:51:09

Dolisie : Motion de solidarité de la fédération MAR Niari à Denis Sassou N’Guesso

La fédération du Mouvement action et renouveau (MAR) Niari se porte très bien. Elle a organisé son assemblée générale extraordinaire jeudi 16 mars 2023 dans un hôtel de la capitale de l’or vert, présidée par Jocelyn Mouithys Madingou, vice-président du bureau fédéral, en l'absence du président fédéral, le vénérable sénateur Pierre zely Inzoungou Massanga.

Étaient attendus à cette assemblée générale extraordinaire, les membres du bureau exécutif de la fédération, les membres de la commission de contrôle et d'évaluation, les responsables des sections des deux arrondissements de Dolisie et les militants invités.

Dans son mot introductif le vice-président de la fédération MAR Niari, au nom du président fédéral, a salué le dynamisme et la promptitude des membres du parti qui ont répondu présents malgré les conditions climatiques.

Il les a invités à renouer avec les activités du parti après la période d'hibernation constatée : " Le temps qui s'est passé a permis aux responsables de la fédération de comprendre que la vie n'est pas faite que des mérites ou des succès mais aussi et parfois jonchée des récréations, des temps morts ou d'échecs. "

Ainsi,  en attendant l'assemblée générale ordinaire, des commissions ad'hoc ont été mises en place :

La commission ad'hoc fédérale dirigée par Pierre zely  Inzoungou Massanga.

Arrondissement I

Président : Bob Florentin Mabiala.

Arrondissement Il

Président : Jackson Biganda.

Après la mise en place des commissions ad’hoc, deux recommandations ont été adoptées :

Recommandation à l'endroit du Bureau politique du parti sur la nécessité de procéder à des descentes de restructuration du parti au Niari et de l'encadrement politique.

Recommandation à l'endroit des membres des différentes commissions ad'hoc pour mener un travail conséquent.

Trois motions ont été lues :

Motion de solidarité à son Excellence Monsieur Denis Sassou N'Guesso, Président de la République du Congo qui ne cesse de marquer l’histoire du continent africain, de laisser de lui l’image d’un architecte de la stabilité, d’un homme de paix.

Motion de remerciement au bureau politique du parti et à son président Roland Bouiti Viaudo.

Motion de confiance au président fédéral Pierre zely Inzoungou Massanga.

Un apéritif a été offert à tous les participants.

On rappelle que le MAR, parti de la majorité présidentielle, a été fondé et dirigé par Jean-Baptiste Tati-Loutard jusqu'à sa mort en 2009.

Par la suite d'un congrès du parti qui a eu lieu les 5–6 février 2010, Roland Bouiti-Viaudo a été élu Président de MAR. Il a entrepris une très bonne initiative visant à revitaliser le parti, en organisant une campagne en mai 2010 pour encourager les gens à recevoir des cartes d'adhésion.

Depuis plusieurs années, le MAR se porte très bien et a enregistré plusieurs adhérents. Ce qui donne sans nul doute un nouvel élan à ce parti qui soutient le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-17 09:05:49

Sommet de la CEMAC : Denis Sassou N’Guesso au Cameroun

Le Président congolais, Denis Sassou N’Guesso prendra part au 15e Sommet ordinaire des Chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), qui se tiendra ce vendredi 17 mars 2023, à Yaoundé au Cameroun, sous le thème : « faire de la CEMAC, en 2025, un espace économique intégré et émergent, où règnent la sécurité, la solidarité et la bonne gouvernance, au service du développement humain ». Le numéro un congolais a quitté Brazzaville ce jeudi 16 mars.

Les questions inscrites à l’Ordre du jour du Sommet ont trait aux conclusions de la réflexion sur le Franc CFA en Zone CEMAC, aux réformes en cours de la CEMAC, et au financement de la Communauté par la Taxe Communautaire d’Intégration (TCI), entre autres sujets.

Le Sommet sera également l’occasion pour les Présidents du Congo, Denis Sassou N’Guesso et du Cameroun, Paul Biya, de présenter leurs communications respectives sur le programme des Réformes Economiques et Financières de la CEMAC (PREF-CEMAC) et sur le dossier de la rationalisation des Communautés Economiques Régionales d’Afrique Centrale.

Comme à l’accoutumée, les Chefs d’Etat examineront les rapports des Organes de la CEMAC tels qu’inscrits à leur Agenda.

Le Sommet procèdera également au renouvèlement des plus hauts responsables des organes et institutions internes à la CEMAC, conformément au principe de rotation par ordre alphabétique des Etats membres institué le 17 janvier 2010 à Bangui, en République Centrafricaine.

A l’issue de ce Sommet interviendra la passation de charges entre SE Paul Biya, Président de la République du Cameroun, Président en Exercice de la CEMAC et S.E. Faustin Archange Touadera, Président de la République Centrafricaine.

Pour rappel, ce 15e Sommet Ordinaire des Chefs d’Etat fait suite aux différents Sommets Extraordinaires qui se sont tenus en 2019 et en 2021 au Cameroun, et qui ont traité respectivement de la situation économique et monétaire dans la zone CEMAC, ainsi que de la situation macroéconomique dans la CEMAC et les mesures de redressement.

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-16 21:16:51

Cemac : baisse de plus de 6% des taux d’intérêts bancaires appliqués aux entités publiques au 3e trimestre 2022

La hausse des coûts des crédits bancaires enregistrée entre juillet et septembre 2022 dans la zone Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, RCA et Guinée équatoriale), suite au durcissement de la politique monétaire par la banque centrale (relèvement à deux reprises des principaux taux directeurs de la Beac), a épargné les administrations publiques et les collectivités territoriales décentralisées.

« Les taux débiteurs servis aux administrations publiques et les collectivités territoriales décentralisées ont chuté entre le 30 juin et le 30 septembre 2022, revenant à 5,78 % contre 11,82 % à la fin du deuxième trimestre 2022 », rapporte la BEAC.

Les données de la banque centrale révèlent ainsi une baisse de 6% en glissement trimestriel, des taux d’intérêt bancaires appliqués à ces entités publiques.

La banque centrale n’explique pas les raisons de cette sollicitude des banques commerciales pour les entités publiques. Elle souligne plutôt que sur la même période, les taux d’intérêt servis aux particuliers se sont élevés à 17,68% contre 16,23% trois mois auparavant, en hausse de 145 points de base.

Dans le même temps, ceux des PME ont progressé de 80 points de base, passant de 10,82% à 11,62% sur un trimestre, tandis que les taux moyens des crédits distribués aux grandes entreprises se sont établis à 8,13% contre 7,61% au deuxième trimestre 2022.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-16 20:54:19

Cemac : la baisse des crédits bancaires aux grandes entreprises (-18,2%) profite aux PME (+27,7%) au 3e trimestre 2022

Entre juillet et septembre 2022, le volume de crédits octroyés aux PME par les banques de la zone Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, RCA et Guinée équatoriale), enregistre « une progression significative de 27,69% », selon les chiffres de la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac). À en croire l’institut d’émission commun aux États de la Cemac, ce volume de crédits est passé de 337,5 milliards de FCFA à presque 431 milliards de FCFA en glissement annuel.

L’analyse des données de la banque centrale permet de constater que le dynamisme des PME sur le marché du crédit au cours de la période s’est fait au détriment des grandes entreprises et des « autres personnes morales ». En effet, bien qu’ayant reçu la plus grosse enveloppe des nouveaux crédits mis en place dans l’espace Cemac au 3e trimestre 2022, les grandes entreprises voient cette enveloppe baisser de 18,2% entre le 3e trimestre 2021 (1 165,6 milliards de FCFA) et la même période en 2022 (952,82 milliards de FCFA).

« Pour les autres personnes morales, le volume de crédits a chuté de 65,85% entre septembre 2021 et septembre 2022, revenant à 8,72 milliards de FCFA au cours du 3e trimestre 2021, contre 27,99 milliards un an plus tôt. Enfin, les crédits aux administrations publiques et collectivités décentralisées ont considérablement reculé au cours de la période sous-revue, passant de 192,53 milliards de FCFA en septembre 2021 à 47,11 milliards en septembre 2022, soit une baisse de 75,53% en un an », détaille la Beac.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-16 20:46:13

Brice Samba convoqué pour la première fois avec l’Equipe de France

La liste de Didier Deschamps de ce jeudi 16 mars 2023 pour les prochaines échéances de l’équipe de France était particulièrement attendue du côté du RC Lens et du Congo-Brazzaville : préconvoqué pour la première fois, Brice Samba, né le 25 avril 1994 à Linzolo (République du Congo), figure bien dans la liste définitive !

Le gardien artésien, 28 ans, est donc enfin récompensé de ses nombreuses belles performances depuis son arrivée au Racing en provenance de Nottingham Forest, alors en 2e division anglaise, en 2022.

Il accompagnera ainsi les Bleus pour 2 éliminatoires de l’Euro. Le premier, le 24 mars à domicile face aux Pays-Bas. Puis en Irlande, à l’extérieur le 27 mars.

Une convocation amplement méritée

Depuis son retour dans l’élite, le Racing a déjà placé deux joueurs chez les Bleus. Souvenez-vous, Jonathan Clauss avait été appelé par le sélectionneur français lorsqu’il évoluait sous les couleurs sang et or.

Brice Samba est donc le second, il sera le troisième gardien derrière Mike Maignan et Alphonse Areola. Cette convocation est totalement méritée pour l’ancien gardien de Nottingham Forrest qui explose aux yeux de tous avec le RC Lens.

Les observateurs de la Ligue 1 sont unanimes : Samba est sûrement le meilleur gardien du championnat cette saison.

Le joueur s’est exprimé sur ses réseaux sociaux après cette belle nouvelle : « Tellement fier d’avoir été appelé pour rejoindre l’Equipe de France. Je veux vraiment remercier tous les gens qui ont cru en moi depuis ces années, et m’ont aidé à atteindre en partie mon rêve aujourd’hui. »

Brice Samba, né le 25 avril 1994 à Linzolo (République du Congo), est un footballeur franco-congolais. Il est le fils de Brice Samba, ancien gardien international congolais.

Jean-Jacques Jarele SIKA

Créé le 2023-03-16 20:14:34

Le Congo “renforce sa coopération” avec les Émirats Arabes Unis

En visite de travail aux Emirats Arabes unis, Denis Christel Sassou-N’Guesso, ministre congolais de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé et Son Altesse Shakhboot Nahyan Al Nahyan, ministre d'État émirien chargé de la Coopération internationale, ont procédé lundi 13 mars 2023 à Abu Dhabi, à la signature de plusieurs instruments juridiques qui visent le renforcement de la coopération Congo - Émirats Arabes Unis.

«Nous avons notamment signé deux accords de coopération. Le premier est relatif aux services aériens entre les deux pays et le second concerne la promotion des investissements et la protection réciproque des investissements, afin de stimuler des initiatives commerciales », a écrit Denis Christel Sassou-N’Guesso sur son compte Twitter.

Aujourd’hui, la priorité du gouvernement de la république du Congo est de mieux promouvoir sa destination, notamment en termes d’investissements.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-14 16:13:02

Congo – Édith Lucie Bongo Ondimba : Une vie marquée par des œuvres éternelles

Le 14 mars 2009, disparaissait Édith Lucie Bongo Ondimba, fille aînée du Président Denis Sassou N’Guesso, épouse du Président Gabonais, feu Omar Bongo Omdimba. Depuis, cette date marquée du sceau du souvenir, donne lieu à des commémorations, parmi lesquelles la messe de suffrage ou encore le dépôt de la gerbe de fleurs sur la tombe de l’illustre disparue.

Des fleurs sur la tombe d’Édith.

De sobres fleurs qui à l’évidence, calquent l’humilité d’Édith. Une humilité qui a tracé les traits de sa vie, marquée par l’amour et la générosité. Des valeurs qui en elle, ne se sont jamais endormies pour l’éternité. Elles décrivent envers ceux qui l’ont connue, ainsi qu’à la postérité, l’âme d’une femme de cœur, dont l’éclat des œuvres continue d’illuminer le souvenir par delà le temps qui passe.

Ces nobles valeurs font qu’Édith Lucie Bongo demeure à jamais cette femme dont l’éclat de son passage sur terre continu de briller dans le firmament.

Tous l’appelaient ‘’Édith’’, comme si chacun voulait tisser avec la Première Dame qu’elle était pourtant, cette relation de confiance qui ne s’embarrasse point du conformisme protocolaire. Et elle l’acceptait. Elle qui par vocation, avait choisi pour métier, la Santé. Soigner les autres. Elle savait que le relationnel entre le malade et son médecin, fait partie du cheminement vers la guérison. Ainsi, elle était ouverte à tous.

Tous ceux qu’elle a approchés, soutenus, assistés, aidés, encouragés ou accompagnés, gardent d’Édith Lucie Bongo Ondimba, ce souvenir ineffable dont l’empreinte n’est point corrodée par l’usure du temps.

Au Gabon où elle fut Première Dame, Édith, « Okito » a laissé un héritage notable dans le paysage social gabonais. L’une de ses œuvres les plus remarquables est sans doute la Fondation Horizons Nouveaux créée pour apporter une assistance médicale et éducative spécialisée aux enfants ayant des infirmités motrices cérébrales, (IMC).

La Fondation a été conçue pour matérialiser une devise chère à Édith, «Un enfant, un être, un avenir qui a besoin de vous».

L’engagement de la Première Dame du Gabon qu’elle était, dans la lutte contre le VIH/Sida a été exemplaire. Elle a créé avec ses homologues en 2002, à Genève, l’Organisation des premières dames d’Afrique pour la lutte contre le Sida (OPDAS), et dont elle assura avec brio la première présidence tournante.

Ses plaidoyers pour la prise en charge des personnes atteintes du VIH/Sida avaient notamment permis de mettre sur pied au Gabon, les Centres de traitement ambulatoires (CTA) qui ont contribué à la baisse des coûts des antirétroviraux et aidé bien de malades démunis.

Tel est donc le legs, non exhaustif, d’Édith Lucie Bongo Ondimba à ses compatriotes, pour le bien-être des enfants handicapés et pour plus d’humanité envers les personnes démunies et celles touchées par le VIH/Sida.

Que dire du complexe El Rapha, une clinique à la fine pointe de la technologie, ou encore Michel Dirat, une école primaire comme on en a jamais vue à Libreville, ni avant ni après elle.

Édith a quasiment vécu au Gabon durant la majeure partie de sa vie, et les traces d’elle, sont partout visibles.

Elle était certes d’une grande beauté, mais ce sont surtout ses œuvres, son charisme, ses prises de parole qui ont marqué toute une génération de Gabonais.

À ce que l’on sait, Édith a plus investi au Gabon que dans son pays d’origine, le Congo.

Édith Lucie Bongo Ondimba, aura donné le meilleur d’elle-même à travers ses investissements venus du fond du cœur, en témoignage de sa grande générosité.

Édith Lucie Bongo Ondimba s’est également beaucoup investie pour la jeunesse. Cette couche de la population qui vit une période exaltante de sa vie, mêlée parfois d’une fougue primesautière.

Son emprunte auprès des jeunes qui l’adoptèrent comme une ainée est forte de l’exemple qu’elle donnait et dont beaucoup s’inspirèrent. « Nous avons un devoir envers nous-mêmes, celui de réussir ce que nous faisons ou entreprenons », enseignait-elle aux jeunes.

Des principes qu’elle s’était elle-même forgée auprès de son père qui lui avait appris le goût de l’effort.

Cet investissement d’Édith-Lucie Bongo Ondimba envers la jeunesse a été mis en évidence par l’écrivain-chercheur Michel Innocent Peya dans son livre «Jeunesse et Destin. Jeunes du monde, monde des jeunes », publié aux éditions L’Harmattan.

Ce livre qui est préfacé par Florent N’Tsiba, ministre d’État, Directeur du cabinet du Président du Congo, est dédié à l'ex Première Dame du Gabon, Édith Lucie Bongo Ondimba en mémoire des remarquables efforts qu'elle a réalisés pour la jeunesse.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-13 22:49:17

Congo : Le député (URDC) Anicet Ndoumangoyi plus généreux avec les populations de sa circonscription électorale

Il y a des députés qui râlent mais qui n’obtiennent jamais aucune avancée. Il y en a d’autres qui sont si ravis qu’ils n’ont jamais rien à redire. Le député de Moungoundou-Nord dans le Niari (sud), Anicet Ndoumangoyi appelé affectueusement en langue nzebi « Mouyobili » autrement dit le sauveur est à part. Inclassable. Calme, réfléchi, courageux, il dit toujours ce qu’il pense être l’intérêt de sa circonscription électorale sans souci de carrière. Et il est efficace. Elu de terrain, le jeune député n’a jamais déserté. Toujours parmi ses électeurs pour les entendre et les défendre. L’élu de l'Union pour la reconstruction et le développement du Congo (URDC/ Parti du centre), discret, mais très social, sociable et socialisable, a dédié sa vie aux populations de Moungoundou-Nord. Un véritable témoin de la charité qui vit en profondeur les paroles de Jésus : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. » (Jean 15, 13).

L’honorable Anicet Ndoumangoyi, c’est le député des solutions et des engagements tenus. Sa voix porte. Il a la stature nationale qui permet aux populations de Moungoundou-Nord de porter leurs intérêts au plus haut niveau.

On ne trompe jamais ce que l'œil a vu. 

Anicet Ndoumangoyi a placé son mandat sous le signe du Social. Le représentant des populations de Moungoundou-Nord à l’Assemblée nationale, la main au cœur et le cœur à la main, depuis 8 mois, compte à son actif plusieurs œuvres caritatives et sociales dans sa circonscription électorale.

Les bénéficiaires ne cessent de vanter les mérites, les prouesses, la générosité, les réalisations et dons de l'élu de Moungoundou-Nord, très altruiste et qui jouit d’une popularité sans précédent.

A l’occasion de la célébration du 8 mars, la journée internationale des droits des femmes, il a acheté plusieurs pagnes, imprimé des marinières, et envoyé l’argent pour la collation.

Il a également mis à la disposition de la population un véhicule de marque Toyota BJ  pour le transport des femmes vers le chef-lieu du district Binanga.

Dans le cadre de sa démarche continuelle d’améliorer les conditions de vie des populations et pour pallier à la situation devenue inconfortable et insupportable pour tous les malades du cru.

L’honorable a financé entièrement les travaux pour la finition du Centre de santé intégré (CSI) du village centre de Poungou notamment, le sciage des planches pour les portes, les fenêtres et le plafond avec une dotation de plusieurs matelas au CSI de Binanga, chef-lieu de Moungoundou-Nord.

Par cette politique sociale, le député Anicet Ndoumangoyi souhaite participer au developpement de l’éducation et de la formation, car selon lui, le renforcement de l’école primaire de Ngoubou-Ngoubou, dont il a fait don des fournitures scolaire, constitue la matrice de l’institution scolaire. il a également fait don des fournitures scolaires à l'école primaire de poungou et au collège de Moungoundou-Nord.

Fils du village et représentant du peuple de ce regroupement des villages en particulier et du district de Moungoundou-Nord en général, l’honorable député a fait preuve de générosité traduisant en acte la politique de partage lancée pendant la campagne des elections législatives, en construisant totalement le bureau qui commençait déjà à tomber en désuétude et les sanitaires de l'école primaire de Ngoubou-Ngoubou.

Sa volonté est aussi celle d'accompagner des bénévoles de l'école primaire de Ngoubou-Ngoubou,  celle de Poungou et du collège de Moungoundou-Nord,  le soutien irrépressible des personnes vulnérables (veuves, veufs ou jeunes filles mères)…

Tout ceci n’est que la suite des actions et de la charité emblématique d’Anicet Ndoumangoyi au profit des populations de Moungoundou-Nord.

Pour mener à bien des actions en faveur de Moungoundou-nord, Anicet Ndoumangoyi prône le rassemblement des filles et fils de Moungoundou-Nord. 

Il est humble et altruiste. Mais le réalisme en politique, consiste à dire son opinion, à s’opposer quand il le faut, au nom de l’intérêt général.

C’est le propre des hommes de valeur. Des hommes de grandeur et de hauteur. Nul doute là-dessus !

Ses adversaires politiques ont donc fort à faire pour espérer un jour conquérir Moungoundou-Nord.

Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-13 17:05:52

Congo : Werrason rend visite au général Norbert Dabira

Le général Norbert Dabira a reçu à Brazzaville, la visite amicale de Noël Ngiama Makanda, plus connu sous le nom de scène Werrason, chanteur, auteur-compositeur, producteur congolais.

«Le général Dabira c’est notre grand frère. Il a toujours été avec nous. Disons merci à Dieu, car il vient de créer un miracle. Il vient de sauver cet homme au grand cœur qui a beaucoup fait pour les artistes congolais de Kinshasa et de Brazzaville. C’est un devoir pour moi de venir lui présenter mes civilités après sa sortie de prison », a déclaré le chanteur de « Protéger Base » qui vient de boucler ses vacances aux USA.

Condamné en 2018 pour atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat, le général congolais, Norbert Dabira, 73 ans, ancien proche du Président Denis Sassou N’Guesso, est sorti de prison au mois de février dernier après avoir purgé sa peine de cinq ans ferme.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-12 18:05:45

Congo : La ville de Mossendjo débordée par les mauvaises herbes

Les herbes folles reprennent du poil de la bête. Elles envahissent tous les quartiers de Mossendjo dans le département du Niari (sud). Cette invasion affole élus et agents municipaux et met les équipes techniques sur le gril.

La commune de Mossendjo, la cinquième ville du Congo, n’est pas outillée, pas équipée pour faire face à ce phénomène. Il va falloir investir vite dans du matériel, ouvrir des lignes budgétaires.

Le sujet est « écologiquement sensible ». Le grand défi de demain, et dans toutes les communes du Congo, c’est la taille, la tonte, le fauchage, le balayage, le débroussaillage.

L’équipement coûte cher, mais il faudra bien y venir à grande échelle.

Au Congo-Brazzaville, toutes les communes qui n’ont pas investi dans du matériel thermique sont sous tension.

Résultat, beaucoup abandonnent l’entretien de rues entières, faute de temps et de moyens, et ne se concentrent plus que sur leurs massifs.

La Mairie de Mossendjo a reconnu son impuissance et appelle aussi les habitants à déblayer leurs allées et devant leurs maisons.

Chaque geste compte, il s’agit en effet d’un effort collectif et à réaliser au quotidien pour que la propreté de la ville de Mossendjo soit durable.

Différents modes d'intervention concourent à cette opération : Le désherbage qui consiste à limiter le développement des adventices, ou mauvaises herbes et enfin le balayage manuel.

La propreté d'une ville, c'est aussi l'affaire de ses citoyens. Si tout le monde prend les dispositions pour ne pas dégrader l'environnement urbain, la ville sera plus belle. Bien évidemment, moins il y a de détritus, papiers, et dépôts clandestins divers au sol, et plus le ramassage par tous est facile et efficace.

C’est donc au quotidien, et tout au long de l’année, que des efforts sont réalisés pour que la ville de Mossendjo soit plus propre et plus belle !

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-12 17:30:08

Brazzaville : Terssia fête son premier anniversaire à 13 ans avec ses copines et sa maman

Tout le monde n'aime pas fêter son anniversaire, mais pour les enfants, c'est certainement l'un des événements les plus attendus de l'année. Avoir un jour spécial où l'on est la vedette incontestée, recevoir des vœux et de l'attention pour honorer cette étape importante est sans aucun doute important pour les jeunes filles, qui aiment vivre le moment où elles deviennent "plus grandes" entourées de leur famille et de leurs amies d'école. Terssia, les étoiles dans les yeux, a soufflé ses 13 bougies ce samedi 11 mars 2023 à Brazzaville. Sans surprise, sa maman n'a pas pu s'empêcher de mettre les petits plats dans les grands pour la réussite de cet événement qui a réuni plusieurs élèves de la classe de CM 2 de l’école La Moisson, située dans le 4e arrondissement de la capitale congolaise.

Tout naturellement, sa maman ne pouvait pas passer à côté de ce jour spécial pour montrer combien elle aime sa fille : « Joyeux anniversaire mon amour… Happy birthday à la fille la plus merveilleuse, merci d’être une personne aussi adorable ».

Ses amies sont totalement sous son charme et n’ont pas tardé à lui souhaiter également un bon anniversaire. "Bon anniversaire Terssia", "Joyeux anniversaire avec pleins de bonnes choses en ce jour et beaucoup d'amour des tiens"…

De nombreux messages qui doivent faire plaisir à la principale intéressée qui passe le Certificat d'Etudes Primaires Elémentaires (C.E.P.E) cette année.

Un sage a dit que vieillir c’était la seule façon qu’on avait trouvé pour vivre très longtemps ! Prends-en de la graine. Joyeux anniversaire Terssia !

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-11 21:13:43

FCFA, cryptomonnaie… : les dossiers du sommet de la Cemac prévu le 17 mars 2023 au Cameroun

La 15e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) est convoquée pour le 17 mars 2023 à Yaoundé au Cameroun, selon une note circulaire signée le 3 mars par le président de la Commission, le Gabonais Daniel Ona Ondo dont une copie est parvenue à notre rédaction. Depuis quelques semaines déjà, un ballet diplomatique balise le terrain à ce sommet des chefs d’État.

Paul Biya, Président de la République du Cameroun et président en exercice de la Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, RCA et Guinée équatoriale), a envoyé ses émissaires remettre des lettres d’invitation à ses homologues. C’est ainsi qu’il y a quelques jours, le ministre des Finances, Louis Paul Motaze, a été reçu par le Président Denis Sassou N’Guesso du Congo, et le Président Faustin Archange Touadera de la République centrafricaine. Le ministre des Relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella, a quant à lui été reçu par le Président Ali Bongo Ondimba du Gabon, tandis que le Président Obiang Nguema Mbasogo de Guinée équatoriale recevait un pli fermé porté par le ministre de l’Économie, Alamine Ousmane Mey.

Ordre du jour

Pour préparer les délibérations de ce sommet, un Conseil des ministres de l’Union monétaire de l’Afrique Centrale (Umac) est prévu le 15 mars 2023. L’avant-projet d’ordre du jour du sommet à partir duquel les ministres vont travailler renseigne sur les sujets qui pourraient meubler la conférence des chefs d’État. Il s’agit de la mise en œuvre du Programme des réformes économiques et financières (Pref-Cemac), de l’évolution du processus de rationalisation des Communautés économiques régionales d’Afrique centrale (Communauté économique des États d’Afrique centrale -CEEAC-, Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale -Cemac-, et la Communauté économique des pays des Grands Lacs -CEPGL) ; de la réforme du FCFA ; des conséquences de la guerre en Ukraine et de la cryptomonnaie sur les économies de la sous-région ; puis des nominations au sein de certains organes et institutions de la Cemac.

Les dirigeants de plusieurs organes et institutions de la Cemac sont en effet arrivés en fin de mandat. Il s’agit notamment du président la Cemac, poste assuré depuis mars 2019 par le Président Paul Biya, pour un mandat d’un an ; des six membres du gouvernement de la Cemac, en fonction depuis février 2017 pour un mandat de 5 ans ; du président de la Commission de surveillance du marché financier de l’Afrique Centrale (Cosumaf), en poste depuis décembre 2017 pour un mandat de 5 ans.

Principe de rotation en question

Pour l’instant, on ignore si le renouvellement de ces mandants se fera sur la base de la rotation en vigueur depuis l’abrogation du principe de Fort-Lamy en 2010. C’est-à-dire qu’il est prématuré d’affirmer que le Centrafricain Faustin Archange Touadera prendra la tête de la Cemac, un camerounais les reines de la Cosumaf, ou un équatoguinéen la présidence de la Commission de la Cemac.

En effet, il est prévu que la Conférence des chefs d’État évalue d’abord la mise en œuvre de ce principe, qui veut que les ressortissants des États de la Communauté se succèdent à la tête des organes et des institutions, selon l’ordre alphabétique des noms des pays. Il faut dire que malgré son existence, la nomination du président de la Banque de développement des États de l’Afrique Centrale (BDEAC) a été source de frictions entre le Cameroun et le Tchad l’année dernière. Chaque pays a effet clamé que c’était son tour de présider aux destinées de cette banque de développement. Au finish, le poste est revenu au Camerounais Evou Mekou. Le Tchad a néanmoins obtenu la promesse d’« un poste de premier responsable dans l’une des institutions de l’Umac ».

FCFA, Cryptomonnaie

À l’issue du sommet du 17 mars 2023, on pourrait enfin avoir une idée sur « l’évolution » que les chefs d’État de la Cemac souhaitent donner au FCFA, la monnaie communautaire. Il est en effet envisagé que le gouverneur de la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac), Abbas Mahamat Tolli, présente le fruit de sa réflexion sur la question. Cette réflexion lui avait été confiée en compagnie de la Commission de la Cemac, lors du sommet extraordinaire du 22 novembre 2019. Les chefs d’État avaient néanmoins pris soin de baliser le travail. Ils s’étaient dits attachés à « une monnaie commune stable et forte », et avaient demandé « une réflexion approfondie sur les conditions et le cadre d’une nouvelle coopération » monétaire avec la France.

La cryptomonnaie est l’autre sujet monétaire sur lequel l’arbitrage des chefs d’État de la Cemac pourrait être sollicité. Pour ce faire, une analyse de la situation et les conséquences des cryptomonnaies sur les économies de la sous-région devraient leur être présentées. Il faut dire que la Centrafrique a adopté en avril 2022 le Bitcoin comme monnaie ayant cours légal. Pour le gouverneur de la Beac, cette décision viole les accords de coopération monétaire avec la France, les textes régissant l’union monétaire et les statuts de la Banque des États de l’Afrique centrale.

Programmes avec le FMI

Le sommet du 17 mars prochain tentera aussi de donner un coup de fouet à la mise en œuvre de Pref-Cemac. À l’issue de la rencontre extraordinaire du 18 août 2021, les chefs d’État avaient insisté sur la nécessité pour tous les pays de la sous-région de conclure, courant 2021, des programmes de seconde génération et finaliser les programmes de première génération avec le Fonds monétaire international (FMI). Objectif : accélérer les réformes structurelles en vue de faire face aux conséquences économiques de la pandémie de Covid-19, aggravées par la guerre en Ukraine.

Pourtant, à ce jour, seuls quatre pays sur six ont déjà conclu des programmes avec le FMI conforme aux objectifs du Pref-Cemac. Il s’agit du Gabon, du Cameroun, du Tchad et du Congo. La mise en œuvre des programmes de première génération de la RCA et de la Guinée équatoriale est même grippée.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-09 12:58:48

Gabon – Transport maritime : Le naufrage d’un bateau a fait deux morts et de nombreux disparus

Deux morts et de nombreux disparus tel est le bilan encore provisoire du naufrage du navire « Ester Miracle » de la société Royal Coast, qui a eu lieu dans la nuit du 08 au 09 mars 2023 au large de Libreville.

Le bateau « Ester Miracle » qui assurait la liaison entre Libreville et Port Gentil dans l’Ogooué Maritime, aurait coulé au large des côtes gabonaises dans la nuit de mercredi à jeudi.

L’incident se serait produit seulement quelque temps après que le bateau ait quitté du port. L’équipage qui a constaté que le bateau prenait de l’eau, aurait décidé d’une manœuvre pour tenter désespérément de revenir au port de Libreville.

Dans un communiqué, Eric Joël Békalé ministre délégué au transport, a précisé que l’accident serait survenu aux environs de 3 heures 58.

« Une fois l’alerte donnée, les équipes de secours qui sont vite arrivées sur les lieux ont permis de secourir 121 personnes. Nous déplorons malheureusement deux décès. »

« Les recherches se poursuivent. Les services de Santé de l’Armée assurent la prise en charge médicale des rescapés, de même qu’une cellule de prise en charge psychologique a été mise en place. Une enquête a été ouverte par les services compétents, pour déterminer les causes de ce drame. Le procureur de la République a été saisi », a-t-il conclu.

Les premiers éléments de l’enquête indiquent que plus de 150 passagers seraient montés à bord du bateau, alors que seuls 120 avaient été enregistrés sur le manifeste.

Plusieurs naufragés manquent encore à l’appel et l’espoir de les retrouver vivants s’amenuise avec le temps qui passe.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-09 12:22:11

Denis Sassou N’Guesso en séjour de travail à Oyo

Le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso a quitté Brazzaville, ce mercredi 8 mars 2023, pour un séjour de travail à Oyo dans le département de la Cuvette (nord).

Le déplacement du numéro un congolais intervient à quelques jours de la célébration des 14 ans de la disparition de sa fille ainée, Feue Edith Lucie Bongo Ondimba, l'ancienne première dame du Gabon, décédée à Rabat au Maroc le 14 mars 2009.

Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-08 16:19:48

CONGO : La 113e Journée internationale des droits de la femme, la fête a eu lieu avec faste à Owando

Owando, chef-lieu du département de la Cuvette a, abrité, autour du thème « Femmes, protégeons-nous contre les violences en ligne avec la loi Mouebara », la fête du 8 mars 2023. Cette cérémonie, qui se célèbre après Madingou en 2019, est sous le patronage du Premier Ministre, chef du Gouvernement, Anatole Collinet Makosso, avec pour marraine, la première dame du Congo, Mme Antoinette Sassou N’Guesso.

Au cours de cette cérémonie, plusieurs discours ont été lus, entres autres : celui de bienvenue du Maire d’Owando ; du Représentant des Nations-Unies ; des femmes de la Cuvette, puis de la ministre de la promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement, chargée de l’économie informelle, Inès Nefer Bertille Ingani. Après la décoration de quelques Congolaises et Congolais, le défilé a été ordonné par le Premier Ministre, Collinet Makosso.

Dans son allocution, la ministre de la promotion de la femme, de l’intégration de la femme au développement et de l’économie informelle, Mme Inès Nefer Bertille Ingani a, d’emblée, remercié le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Denis Sassou Nguesso qui, ne ménage aucun effort pour que la femme et les filles particulièrement, ait des conditions meilleures de leur existence.

Le 8 mars, qui commémore les revendications de la femme à obtenir certains droits, a permis du reste à Mme Ingani de faire quelques revendications. « Nous remercions M. le Président de la République, pour son soutien à l’œuvre de la femme, en faisant que la paix soit permanente et que la femme soit au centre du développement du pays. Lui qui, a permis que la loi Mouebara soit promulguée », a-t-elle déclaré.

Rappelons que la loi Mouebara est une loi portant lutte contre toutes les formes de violences à l’égard des femmes et des filles, fut adoptée le 4 mai 2022 par les deux chambres du Parlement congolais : la chambre basse, c’est-à-dire, l’Assemblée Nationale et la chambre haute, le Sénat. Puis promulguée par le gouvernement de la République.

Par ailleurs, Mme Ingani a également profité de cette célébration festive pour faire un clin d’œil au Chef de l’Etat, pour revendiquer un certain nombre de postes pour les femmes, tant sur le plan politique, militaire et autres. « La femme qui aujourd’hui jouit un estime incontestable auprès du Président de la République, nous osons espérer que dans les jours futurs, le Chef de l’Etat pensera à la femme Congolais. Si à nos jours, nous avons pu avoir des femmes colonels, ministres, directrices générales, préfètes ou présidentes des Conseils municipaux ou départementaux, nous osons espérer que demain, ou dans un proche avenir, nous aurons : une femme au grade de Générale, Ministre d’Etat, ou Première Ministre », a-t-elle souhaité et sollicité.

Le Grand chancelier des ordres nationaux a ensuite procédé à la décoration d’un échantillon de 15 personnalités, à titre anthume. Une reconnaissance de la Nation, de leur vivant qui vient combler leur dévouement à la vie politique et leur mérite.

Le défilé s’est déroulé sur le Boulevard d’Owando, situé juste en face de la Résidence présidentielle de la localité. Ça été un vrai et grand rendez-vous de toutes les forces vives du département de la Cuvette et des populations des autres départements du Pays qui ont effectué le déplacement de la ville d’Owando, ex-Fort-Rousset.

La cérémonie de la célébration du 8 mars 2023 à Owando a été agrémentée par le mythique orchestre Extra Musica du célèbre Roga-Roga, venu de Brazzaville.

La manifestation a vécu, et a duré deux heures quarante-quatre minutes, le défilé quant à lui s’est déroulé pendant une heure et onze minutes.

Le thème international de cette édition 2023 est : « Pour un monde digital inclusif : innovation et technologies pour l’égalité des sexes ».

VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-03-08 14:26:44

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