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Le Syndicat libre des agents de la communication du Congo (Sylacc), a décidé, du déclenchement d’une grève générale illimitée sur toute l’étendue du territoire national, à partir du lundi 15 juillet.
Cette décision a été prise au cours d’une assemblée générale extraordinaire des membres et sympathisants dudit syndicat faisant état de l’évolution du cahier de revendications soumis sur la table du gouvernement.
À cette occasion, le Sylacc a exigé que constatant l’interruption du dialogue par le gouvernement, tout agent évoluant dans les structures du ministère de la communication et des médias doit observer cette grève en restant chez lui, le lundi 15 juillet 2024 à partir de 5 heures.
À cet effet, le Sylacc a pris à témoin l’opinion nationale du silence du gouvernement face aux revendications des agents de la communication et de la non prise en compte de plusieurs points des revendications contenues dans les relevés de conclusion du 13 avril 2024.
Selon le communiqué, le Sylacc reproche au gouvernement, la non tenue de la réunion tripartite sur la Redevance audiovisuelle (Rav), la non attribution du quota sur le recrutement des bénévoles, la non tenue de la Commission d’avancement paritaire (Cap) restée dans les oubliettes, la rencontre tripartite sur le statut particulier écartée à l’ordre du jour, l’arrêt de réparation du circuit d’adduction d’eau, des sanitaires et de la climatisation, ainsi que la promesse d’acquisition du matériel technique et des moyens roulant non réalisée.
Depuis la notification du préavis de grève, tout est mis en œuvre du coté du ministère de la Communication, pour tenter de désamorcer une grève qui si elle est suivie, affectera l’image du gouvernement de la République.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-11 17:31:05
Ce jeudi 11 juillet 2024 à Brazzaville, le général André Fils Obami Itou, a officiellement pris ses fonctions de commandant des Forces de Police pour apporter au Congo ce que ce pays est en droit d’attendre : la paix et la sécurité des personnes et des biens. La cérémonie officielle a eu lieu, en présence du ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation et du Développement local, Raymond Zéphirin Mboulou. La prise de commandement du nouveau patron de la police a été marquée par le transfert d’autorité avec la remise du drapeau de la police nationale.

« A compter de ce jour, vous reconnaîtrez pour commandant des Forces de police, le général de police de première classe, André Fils Obami Itou. Vous lui obéirez en tout ce qu’il vous commandera dans l’intérêt du service, l’exécution des règlements, l’observation des lois de la République, conformément à la Constitution », a déclaré le ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation et du Développement local, Raymond Zéphirin Mboulou, après avoir installé le nouveau commandant des Forces de police, en présence notamment du ministre de la Défense nationale, le général Charles Richard Mondjo.

Ancien enfant de troupe, officier dans l’ordre du mérite congolais, le général André Fils Obami Itou est diplômé de l’Institut de hautes études de défense nationale de Paris.
Il a, par ailleurs, suivi des formations de commando et d’antiterrorisme respectivement au Centre national d’instruction commando Mont-Louis en France et à l’Ecole de police anti-terroriste en Angola.
Le métier des armes a conduit le général André Fils Obami Itou a assumé, entre autres, les fonctions de chef des opérations à la sécurité présidentielle ; directeur de la protection ; directeur des voyages présidentiels.
Par décret présidentiel en date du 3 juillet 2024, le général de première classe André Fils Obami-Itou a été nommé commandant des forces de police, en remplacement du général de deuxième classe Jean-François Ndengué, qui a fait valoir ses droits à la retraite.

Il était jusque-là commandant en second des forces de police nommé par décret n°2020-708 du 8 décembre 2020, alors qu’il avait le grade de colonel de police.
Il fut nommé, à titre normal, au grade de général de police de première classe par décret n°2021-585 du 30 décembre 2021.
Cette nomination marque un tournant pour les forces de sécurité congolaises, particulièrement dans un contexte où la sécurité dans les grandes villes de notre pays, Brazzaville et Pointe-Noire, est un enjeu majeur.
Les quartiers des deux principales villes du Congo sont fréquemment perturbés par des jeunes délinquants, connus localement sous les noms de « bébés noirs ».

Les populations se plaignent et ne savent plus à quel saint se vouer. Le climat d’insécurité qui gangrène Brazzaville et Pointe-Noire est incroyable et n’échappe à aucune couche sociale malgré le gonflement des effectifs enregistrés dans les forces nationales de l’ordre et de la défense.
Les bandits pillent, violent, tuent et, faute d’être sérieusement inquiétés, semblent s’y adonner à cœur joie dans les rues et même dans les établissements scolaires.
Dans certains quartiers, les populations excédées sont parfois obligées de se constituer en « milices d’autodéfense », une pratique qui va pourtant à l'encontre des lois et règlements de la République.
La population attend donc de lui des actions concrètes pour éradiquer ces fléaux et restaurer la confiance en la police nationale.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-11 17:06:51
Le président Denis Sassou N’Guesso a reçu le 10 juillet 2024 Olivier Jean-Patrick Nduhungirehe, ministre rwandais des Affaires étrangères et de la coopération internationale, porteur d’un message du président Paul Kagame à son homologue congolais. Olivier Jean-Patrick Nduhungirehe en a profité pour dissiper les doutes sur la prétendue vente de terres au Rwanda.

Le message dont était porteur Olivier Jean-Patrick Nduhungirehe, incluait une demande de soutien à la candidature du Dr. Richard Mihigo pour le poste de directeur régional de l’OMS pour l’Afrique.

La rencontre a également dissipé les rumeurs sur une prétendue vente de terres congolaises au Rwanda, confirmant qu’il s’agit de partenariats économiques dans le domaine agricole.

Devant la presse, Jean-Patrick Nduhungirehe, a reprécisé que « la République du Congo n’a pas cédé la moindre portion de territoire congolais au Rwanda, il n’a pas vendu la moindre portion de terrain au Rwanda.

Il y a simplement eu des accords de partenariats économiques dans lesquelles des entreprises rwandaises sont venues explorer des possibilités d’investissement dans le domaine agricole, de la même façon que les entreprises congolaises pourraient aller investir au Rwanda. La nature exacte des accords est qu’il s’agit des accords gagnant-gagnant », a conclu le diplomate rwandais.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-11 11:07:04
L’administrateur-maire de Mouana-Nto à Nkayi dans le département de la Bouenza (sud) fait de la lutte contre l’insalubrité son cheval de bataille pour préserver les habitants du premier arrondissement de la ville sucrière des maladies liées à l’insalubrité. Dans cette veine, Il a invité ses concitoyens à rendre propre leurs maisons, bureaux, écoles, marchés, boutiques, kiosques, restaurants, rues…
La ville de Nkayi croule sous les ordures. Une situation qui met en colère les habitants et autres touristes de passage dans la ville.
Bouteilles en plastique de toutes les couleurs, contenants en polystyrène, la plupart jaunis par le temps, morceaux de cuvette en plastique, des sachets par dizaines sont observés. Vielles sandales en caoutchouc, vielles chaussures, valises usagées, cuillers en plastique, gobelets, bouchons, emballages de biscuits et bonbons… La ville de Nkayi, située à environ 250km de la capitale Brazzaville, est comblée !
Tubes de déodorant, crème pour la peau, shampoing et bouteilles d’huile vides sont aussi constatés dans cette ville née en 1933 avec les travaux du colon Ottino qui créa d'abord une féculerie (tapioca), puis une huilerie en 1938.
Une situation intenable pour les riverains mais aussi pour les touristes qui visitent pour la première fois la ville de Nkayi, l’un des plus grands centres agro-industriels du pays.
La propreté est la première image qu’une ville offre à ses habitants et à ses visiteurs. Fidèle à ses objectifs en matière de développement durable, Marcel Kibouanga met un point d’honneur à agir concrètement dans ce domaine et de par sa détermination à redorer le premier arrondissement de Nkayi, son image d’arrondissement propre de la ville sucrière.
Pour participer au rayonnement de leur commune, outils aratoires en mains, la population, le personnel de la mairie, ont envahi samedi dernier, les rues et avenues, répondant à l’invite de l’administrateur–maire, Marcel Kibouanga.
Les Jeunes ont été également associés à l’opération de désherbage. Outils en mains, ils ont pris part activement à l’opération tout comme les chefs des quartiers.
C’est la circulaire du 6 octobre 2018 du Premier ministre, Clément Mouamba qui a institué les opérations de salubrité publique dans les villes et villages le premier samedi de chaque mois. Une opération qui suit son cours depuis plus de deux ans.
Il faut relever qu’au-delà de cette action républicaine qui mérite encouragements et un élan de suivi, l’autorité municipale, malheureusement, constate que certains coins et recoins de Mouana-Nto, des eaux usées continuent d’être déversées dans les caniveaux par des riverains, des déchets ménagers jonchent le sol ou agrémentent les espaces-verts, des déjections canines sur les trottoirs ou encore des tessons de bouteilles garnir dangereusement les rues…
Toutes ces incivilités, dues au comportement de quelques-uns, ne sont pas admises et ne sont plus supportées par la majorité des habitants de Mouana-Nto. Ces pratiques gâchent la vie quotidienne et ternissent l’image du premier arrondissement de Nkayi.
Ainsi, l’administrateur-maire Marcel Kibouanga ne cesse d’instruire ses services à s’inscrire dans des démarches de campagne de sensibilisation auprès de ses populations de Mouana-Nto.
Un exemple à suivre !
Jack MAÏSSA / Les Echos du Congo Brazzaville
Créé le 2024-07-10 20:29:59
Bonne nouvelle sur le front de l'emploi : depuis plusieurs mois les créations de postes battent des records. La bataille pour l’emploi peut-être gagnée. Les derniers chiffres publiés par Rosalie Matondo, ministre de l'Économie forestière de la République du Congo depuis 2016, sont encourageants : « les emplois créés dans le secteur forestier sont estimés actuellement à 7 000 emplois directs et 10 000 emplois indirects ».
« Le Congo possède d’importantes ressources forestières constituées d’environ trois cents essences de bois d’œuvre et de nombreux produits forestiers non ligneux, dont la valorisation optimale devrait largement contribuer à la diversification de l’économie nationale. Il faut rappeler qu’à ce jour, la contribution du secteur forestier au PIB est de l’ordre de 5-6%. L'économie forestière englobe les activités liées à l'exploitation forestière à impact réduit, la gestion et la conservation de la biodiversité faunique et floristique, l’afforestation et le reboisement, le tout sur fond de gestion durable par le biais de l’aménagement forestier, de certification forestière et de bonne gouvernance. Ces activités sont économiques et sociales car elles contribuent à l’essor économique nationale, à la lutte contre la pauvreté au sein des communautés riveraines et à la création de nombreux emplois faisant de ce secteur le deuxième pourvoyeur d’emplois après la fonction publique », a déclaré Rosalie Matondo, ministre de l'Économie forestière de la République du Congo, dans une interview accordée à nos confrères de LSI Africa.
« En effet, les emplois créés dans le secteur forestier sont estimés actuellement à 7 000 emplois directs et 10 000 emplois indirects. Les salaires et les infrastructures créés à travers les activités de ce secteur permettent un développement socio-économique et le désenclavement de l’arrière- pays. Il est de notoriété publique que, de nos jours le bois, autrement dit « l’or vert », se place au second plan de l’économie nationale après le pétrole dit « or noir », a ajouté Rosalie Matondo.
Rosalie Matondo met les bouchées doubles pour stopper la hausse du nombre des chômeurs, à grand renfort de dispositifs publics notamment, la formation de 21 jeunes congolais dans les métiers du bois en vue de la concrétisation de la politique de transformation plus poussée des ressources ligneuses.
Le secteur forestier congolais a historiquement été le principal moteur de l’économie nationale. Naguère principale source de recettes au budget de l’État, jusqu’à la découverte des gisements de pétrole au Congo.
Si nous voulons gagner la bataille de l'emploi, les priorités doivent être redéfinies. La fonction publique ne peut pas agir seule, sans le concours des entreprises et des citoyens qui doivent également assumer leurs responsabilités.
La formation tout au long de la vie est le premier défi pour permettre de garantir l'employabilité de chacun, mais aussi donner aux organisations les compétences nécessaires à leur adaptation.
Vaincre le chômage de masse est un rêve atteignable. C'est même l'un des plus beaux challenges qui s'offre actuellement le gouvernement congolais.
Le Congo-Brazzaville a la démographie la plus dynamique en Afrique centrale et reste l’un des pays le plus attractif dans la sous région Afrique centrale pour l'accueil d'investissements industriels étrangers.
Dans un pays aussi riche et éduqué, il n'y a aucune raison de se résigner à un taux de chômage de près de 10%. Le pays a tellement d'avantages pour y parvenir que nous pouvons et devons réussir. La paix ou la stabilité politique oblige.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-10 16:01:24
La passation de service entre le Commandant des Forces de Police entrant, le général André Fils Obami Itou, et le Commandant des Forces de Police sortant, le général Jean-François Ndengué, s’est déroulée ce mardi 9 juillet à Brazzaville, sous la supervision du général de division, Noël Léonard ESSONGO, Chef d'État-major particulier du Président de la République.
Le général André Fils Obami Itou, nouveau Commandant des Forces de Police a effectué la passation de service avec le général Jean-François Ndengué.
Les commandants des différentes directions de la Police ont assisté à la cérémonie.

Après cette cérémonie purement administrative de prise de fonction, la prise de commandement du Général de police de première classe André Fils OBAMI ITOU, Commandant des Forces de Police, se fera lors d’une cérémonie de prise d’armes, le jeudi 11 juillet..Le nouveau commandant qui recevra l’étendard des Forces de police, sera présenté à l’ensemble des hommes et femmes sous son commandement, qui le reconnaîtront désormais comme chef. Cette cérémonie peut être patronnée par le ministre de l’Intérieur ou le Président de la République.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-09 21:20:56
Paul Maba, un jeune de 28 ans, vient d’hériter des deux épouses laissées par son défunt oncle. Chauffeur de son état et célibataire, c’est avec joie qu’il a reçu dans sa maison située dans un quartier de Nkayi ses deux épouses en promettant honorer à jamais la mémoire de son oncle décédé d’une insuffisance rénale.
Un coup double décidé lors de la réunion familiale bouclant les obsèques du défunt.
Selon un membre de cette famille, cette décision n’est que la réalisation de la volonté de l’illustre disparu qui a toujours eu une préférence pour son neveu Paul Maba.
L’heureux élu de 28 ans a promis devant la famille ne jamais trahir ce choix de son défunt oncle en prenant soin de ses deux épouses ainsi que des orphelins.
« La tradition a été respectée et la famille est très fière de Paul Maba qui n’a pas fuit ses responsabilités contrairement à d’autres jeunes actuels victimes de la modernité stupide », confie le chef de cette famille qui a promis de tout faire pour accompagner Paul Maba dans sa nouvelle vie de polygame par accident.
De son côté, Paul Maba a assumé cet héritage familiale face aux critiques de ses amis et de certains proches.
Dans certaines familles Kongo, cette pratique ancestrale est encore respectée malgré la modernité.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-09 20:57:39
Dans le cadre des festivités marquant le 40e anniversaire, des Mutuelles Congolaises d’Epargne et de Crédit (MUCODEC), une marche sportive a été organisée le dimanche 7 juillet 2024 sur l’avenue de la Corniche. Marche au cour de laquelle administrateurs, élus, agents, sociétaires et autres expatriés, ont participé massivement en cette matinée dominicale.
C’est par une allocution laconique que le Directeur Générale des MUCODEC, M. Dieudonné Ndinga Moukala a introduit l’objet et l’importance de cette marche, donc de la pratique du sport au travail.
« La marche améliore l’estime de soi et réduit la dépression et l’anxiété. Le sport contribue au bien-être », a-t-il signifié.

« À vos marques ! Prêts ! Marchez ! », c’est en ces termes que Dieudonné Ndinga Moukala, directeur général des MUCODEC, a donné le top de départ, pour cette activité sportive qui a rassemblé plus d’un millier de participants.
Ainsi, les marcheurs, dès leur départ à Mami-Wata, ont rivalisé d’ardeur et de toute la sportivité pour boucler les 6 kilomètres en aller et retour.

La pratique du sport au travail, qui fait entièrement partie des activités hebdomadaire des travailleurs de la MUCODEC est d’une importance capitale, car ne dit-on pas que le sport chasse la maladie. Il faut donc éviter la sédentarité.

Il sied de signaler que le sport au travail est un réel moteur de cohésion sociale permettant aux équipes d’atteindre un objectif commun et de s’encourager mutuellement. Considéré comme outil de management, il a un impact direct sur le climat général de l’entreprise en véhiculant des valeurs d’entraide pour souder les collaborateurs.

À l’issue de la marche, Ndinga Moukala a donné la quintessence de ladite activité. « L’objectif de cette marche était de faire passer un message, à ceux qui ne bougent pas beaucoup, ceux qui sont accroc à la sédentarité de pratique souvent le sport pour lutter contre les maux qui ont beaucoup de conséquence dans la vie. En fait nous sommes dans la continuité des festivités de nos 40 ans », a déclaré le DG des MUCODEC.

« Nous avons commencé le 6 juin 2024 par l’organisation d’un mini-tournoi de football à Madingou, suivi du lancement officiel des quarante ans, puis l’inauguration de la stèle par la première dame, Antoinette Sasou Nguesso, marraine du quarantième anniversaire et du tirage au sort de la Tombola, aujourd’hui, c’est la marche », a-t-il précisé.
Dieudonné Ndinga Moukala a également évoqué les deux activités restantes. « Le jeudi 11 juillet, au Radisson Blu, une journée MUCODEC. C’est une journée qui va nous permettre de parler, d’où on vient, ce que nous sommes aujourd’hui, et là où nous voulons aller demain. Et le 12 juillet, toujours au Radisson, nous aurons la soirée de gala avec la marraine, à cette occasion, nous remettrons les clés des deux voitures et des différents prix aux gagnants de la Tombola ».

VALDA SAINT-VAL/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-09 18:51:12
Mme Amina Mohammed, Vice-Secrétaire des Nations-Unies a donné une conférence de presse, le samedi 6 juillet 2024 aux Tours Jumelles à Brazzaville, en présence du Coordonnateur résident du système des Nations-Unies au Congo, Chris Mburu. Cette rencontre avec la presse fait suite à sa participation à la première édition de la Conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement (CIAR). Devant la presse nationale et internationale, Mme Amina Mohammed a indiqué que cette première édition de la CIAR a su positionner la problématique du climat dans l’agenda mondial.

Invitée par le Gouvernement de la République du Congo, Mme Amina Mohammed, la Vice-Secrétaire de l’ONU a pris une part active à cette première édition de la Conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement tenue du 2 au 5 juillet 2024 à Kintélé.
La Vice-Secrétaire générale de l’ONU, accompagnée de quelques membres du Gouvernement, a ensuite visité le Parc national de Concouati-Douli, dans le département du Kouilou. Lors de cette conférence de presse, la deuxième personnalité de l’institution onusienne, a félicité le gouvernement du Congo, qui a eu l’opportunité de mettre sur la sellette l’action climatique à l’heure du réchauffement de la terre.
« Ce que la Conférence a pu mettre en exergue, c’est la nécessité de regarder les institutions mais aussi les finances en relation avec le climat. Il faut également voir les choses qui peuvent faire avancer les objectifs du développement durable (ODD). Les trois objectifs ne sont pas au bout du compte. Parce que à Paris, l’engagement pris était que, la réduction soit de 1.5° dans le monde. Et cette année, c’est l’année la plus chaude dans l’histoire de l’humanité et nous avons besoin de travailler durement, en ce qui concerne les changements climatiques, l’économie verte, la conservation des forêts et la biodiversité », a confirmé Amina Mohammed.

Selon elle, le Congo dispose d’un potentiel inestimable : dans les affaires ; dans l’écotourisme ; le tourisme qui met l’équilibre entre les hommes et la nature. « C’est pourquoi je dis que le gouvernement doit s’efforcer à attirer les investissements, pour qu’il y ait une croissance qui donne de l’emploi aux jeunes. Vous avec donc besoin de créer un environnement attractif, afin de bénéficier des investissements. A cela, vous devez avoir une bonne gouvernance, une bonne éducation et les infrastructures pour la population ». « A cause des changements climatiques, nous assistons aux grandes vagues de migrations, aux crises du système alimentaire et les crises humanitaires. Justement, cela peut perturber l’atteintes de l’objectif 20-30 des ODD sur la plateforme mondiale », a-t-elle fait savoir.
Pour Amina Mohammed, cette Conférence a été d’une importance capitale, parce que, ça donné une bonne visibilité au Congo et ça ouvre des perspectives meilleures pour le pays. « Ce pays a la paix ! En Afrique, beaucoup de pays n’ont pas cette paix. Vous devez donc la protéger. C’est pour cela, vous devrez offrir de l’emploi aux jeunes, réduire les inégalités sociales et avoir une économie qui prend en compte toutes ces catégories de la population. Le Congo a besoin de croitre en prenant en compte tout le monde. Spécialement les femmes et les jeunes », a-t-elle conclu.
VALDA SAINT-VAL/Les Échos Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-09 17:23:18
Chaque fois qu’il en a l’opportunité, notamment à l’occasion des grands rendez-vous sur le dérèglement climatiques et ses effets indus, ainsi que la recherche des solutions qui s’y rapportent, l’écrivain-chercheur Michel Innocent Peya, outre sa participation aux différents panels comme expert, ne déroge pas à son principe, celui d’acter sa contribution par une brochure qui reprend les grandes lignes de l’action qu’il mène, laquelle s’appuie sur la vision égologique du Président Denis Sassou N’Guesso. À l’occasion de la Conférence internationale sur l’Afforestation et le Reboisement, le docteur Michel a mis à la à disposition des conférenciers d’une brochure intitulée : ‘’Décennie Africaine et Mondiale de l’Afforestation et du Reboisement, Plaidoyer Mondial de Denis Sassou N’Guesso pour une planète verte’’.
Cette brochure de 44 pages dont la couverture présente deux illustrations du Président Denis Sassou N’Guesso lors d’un ‘’planting’’à l’occasion de la journée nationale de l’arbre, ainsi qu’une mappemonde, s’est voulue une Contribution du Docteur Michel Innocent Peya, destinées aux conférenciers.

Nombreux de ceux qui ont reçu la brochure, ont témoigné de la justesse de vue du Docteur Michel Innocent Peya, tant, de par sa présentation schématique ainsi que son contenu, cette brochure s’est révélée être un outil didactique, une véritable force de proposition.
Dans le mot de l’auteur qui présente le contenu de la brochure, le docteur Michel Innocent Peya relève que « pour avoir une réelle chance de limiter le réchauffement climatique à maximum 1,5 degré Celsius dans le cadre du combat pour le salut de la planète, il faudra éliminer très rapidement au moins 500 milliards de tonnes de CO2 de l’atmosphère.

Le meilleur moyen d’y parvenir est certainement de collaborer avec les communautés locales partout dans le monde pour restaurer très rapidement les écosystèmes forestiers dégradés. Comme le montre plusieurs études et rapports, ceci est tout a fait possible. Il est cependant indispensables, en parallèle, d’enrayer la disparition des forêts de la planète et de réduire très sensiblement la consommation des combustibles fossiles. Ce n’est pas l’un ou l’autre, mais les deux », prévient l’auteur.
Et de poursuivre : « Les gouvernements du monde entier se sont engagés par exemple dans le cadre du Défi de Bon, à soutenir les vrais projets de restauration des forêts et de reboisement.

Toutefois, même si l’on parvient à relever le Défi de Bonn, cela ne supprimera que 50 milliards de tonnes, soit dix pour cent (10%) du chiffre à atteindre. C’est la raison pour laquelle nous suggérons de passer du Défi de Bonn à un nouveau défi que nous qualifierons de Défi de Brazzaville lequel aidera à la suppression de cinquante pour cent (50%) du chiffre à atteindre dans un temps record. »

Pour Michel Innocent Peya, « Il faut en faire plus et avec une volonté politique réelle, il est parfaitement possible d’agir très rapidement et très efficacement des zones tropicales aux forêts boréales ».

L’auteur acte que « Les paysages agricoles peuplés en Afrique come dans le reste du monde offrent un énorme potentiel : faire repousser des arbres et reboiser ces espaces à travers l’agroforesterie permettrait d’accroître très sensiblement la capacité de stockage de carbone.

Comme le montrent quelques études de cas, certaines forêts communautaires gérées par des par les populations locales ont été restaurées avec succès, d’une manière durable et bénéfique aux populations pauvres et vulnérables. Effectué correctement, la restauration des forêts aurait simultanément pour effet, d’enrayer la parte catastrophique de la biodiversité, d’améliorer le respect des droits humains et d’offrir des avantages indéniables aux diverses communautés rurales partout sur la planète. »

Et de conclure en guise d’appel : « Les gouvernements du monde doivent soutenir davantage la restauration des forêts, mais il n’en reste pas moins vrai que ces grands projets doivent à la fois bénéficier aux populations et aux écosystèmes, et avoir des retombées positives sur le budget carbone de la planète. »
Dans le déroulé thématique, l’auteur Michel Innocent Peya par d’un background, avec en avant-propos, un extrait du texte du Forum forestier africain 2022. Les forêts et l’adaptation au changement climatique, Un recueil de cours pour les formations de courte durée dans le secteur forestier en Afrique.
Les différents centres d’intérêts que l’auteur décline sous forme de fiches pratiques, tracent un déroulé qui présente chaque thématique et en analyse les différents cas de figures. Argument justificatif et explicatif en faveur de l’afforestation et du reboisement qui aborde le rôle des forêts dans l’action climatique.
Présentant « les considérations clés à prendre en compte pour accroître la contribution des forêts à l’atténuation et à l’adaptation », l’auteur appelle à « faire une plus grande place aux forêts dans les politiques climatiques. »
Aussi, Michel Innocent Peya appelle-t-il à « Mobiliser des financements à l’appui des efforts d’atténuation du changement climatique et d’adaptation à ses effets articulés autour des forêts. »
En somme, l’auteur défini les différents axes de « La gouvernance forestière dans les initiatives d’atténuation du changement climatique. »
Présentée en français et traduite également en anglais, en espagnol, en russe, en arabe et en chinois, cette brochure qui décline la vision écologique du Président Denis Sassou N'Guesso, a été distribuée aux officiels, conférenciers ainsi qu’aux autres participants de passage sur le site de la conférence, à Kintélé.

De nombreuses personnalités ayant lu la brochure, en ont dégagé un réel satisfécit. Autant elles ont salué l’esprit d’initiative de l’auteur, Michel Innocent Peya, autant elles ont été marquées par cet engagement de l’auteur à promouvoir par ses écrits, la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso. Une vision qui a fait converger le monde à Brazzaville, pour se mettre au chevet de la planète, avec l’organisation de la Conférence Internationale sur l’Afforestation et le Reboisement (CIAR).

Séduits par l’initiative ainsi que la richesse du document, beaucoup de conférenciers étrangers se sont procurés plusieurs exemplaires à rapporter dans leurs pays respectifs ont-ils dit, afin de disposer de supports conséquents sur la vision écologique du Président congolais, exposée dans ladite brochure.

Fortement investie dans l'accompagnement et la vulgarisation de la vision écologique du Président Denis Sassou N'Guesso, l'Association "Vision verte de Denis Sassou N'Guesso" qui a participé à la Ciar avec un stand bien garni des livres de l'écrivain-chercheur congolais, le docteur Michel Innocent Peya, Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’humanité et de l'Environnement.

De nombreuses télévisions nationales et étrangères y ont trouvé une véritable mine informationnelle.

Outre des sujets bâtis à travers les ouvrages exposés, d’autres ont réalisé des émissions avec les tenant du stand, pour commenter l’œuvre littéraire de de l'écrivain-chercheur congolais, le docteur Michel Innocent Peya.
Visitant les différents stands d’exposition, le Premier Ministre Anatole Collinet Makosso y a marqué une halte.

Le Chef du gouvernement a apprécié l’action et l’œuvre de l’auteur, de même qu’il a reçu un lot d’ouvrages.
De nombreux ministres s’y sont également rendus et ont soutenu la force de l’engagement littéraire du Docteur Michel Innocent Peya, dans la promotion de la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso.

En définitive, l’écrivain-chercheur Michel Innocent Peya aura joué sa partition dans la réussite de la Conférence Internationale sur l’Afforestation et le Reboisement. Son apport s’est voulu complémentaire et celui du ministère de l’Économie forestière.
La ministre Rosalie Matondo a salué cet apport qui contribue en une mutualisation des moyens, pour la visibilité et la vulgarisation de la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso et surtout son leadership dans le domaine.

Au regard de la participation active de l’écrivain-chercheur Michel Innocent Peya à la Conférence Internationale sur l’Afforestation et le Reboisement, tant en sa qualité d’expert lors des panels que de celle d’écrivain, à travers sa bibliographie aussi riche que variée exposé au stand de l’association ‘’vision verte de Denis Sassou N’Guesso, il est à admettre sans conteste que l’homme est un véritable porte étendard de la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso.
Cliquez sur la photo pour lire la vidéo.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-09 14:55:42
La passation de service entre le nouveau Commandant en second des Forces de police, le général Jean-Pierre OKIBA, et le sortant, le général André Fils OBAMI ITOU, récemment promu au poste de Commandant des Forces de police, s’est déroulée ce lundi 8 juillet 2024. La cérémonie était placée sous la supervision du général de division Noël Léonard ESSONGO, Chef d'État-major particulier du Président de la République.
Les changements opérés par le Président Denis Sassou N’Guesso au sein du commandement de la Police nationale et décidées en conseil des ministre le mercredi 3 juillet, sont en train de s’installer dans l’effectivité.
Lundi 8 juillet, le Général de police de première classe Jean Pierre OKIBA nommé Commandant en second, CEM des Forces de police, a pris ses fonctions.
Le Général Jean Pierre OKIBA succède au Général de police de première classe André Fils OBAMI ITOU qui a été promu Commandant des Forces de police. La cérémonie était placée sous la supervision du général de division Noël Léonard ESSONGO, Chef d'État-major particulier du Président de la République.

Il est à signaler que la prise de fonction du Général de police de première classe André Fils OBAMI ITOU, Commandant des Forces de Police, qui succède au Général Jean François NDENGUÉ, sera fera lors d’une cérémonie de prise d’armes, le nouveau commandant devant être présenté à l’ensemble des hommes sous son commandement, qui le reconnaîtront désormais comme chef.
Cette cérémonie peut être patronnée par le ministre de l’Intérieur ou le Président de la République.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-08 15:03:41
Une habitante d'un quartier populaire de Perpignan, une commune du Sud de la France, Française d'origine congolaise, a porté plainte après avoir reçu un courrier l'appelant à quitter la France.
«Suite aux élections, la situation à Perpignan a considérablement changé. Il apparaît que vous n'êtes plus la bienvenue dans cette ville», peut-on lire dans le courrier, que Brigitte Vumbi Borne a publié sur ses réseaux sociaux, et qui la presse de procéder à une «vente rapide» de son domicile. «Une fois la vente conclue à une famille de bons Français de souche, je vous conseille de préparer votre départ pour l'Afrique», poursuit le texte, signé «Division Marcel Bucard de Perpignan, Mouvement Populaire Français».
La lettre promet en outre «un nettoyage impitoyable et virulent du quartier afin d'en restaurer l'atmosphère catalane d'antan».
«Je ne vais pas me laisser faire», a réagi sur Facebook Brigitte Vumbi Borne, commerçante d'une soixantaine d'années qui avait porté la flamme olympique mi-mai lors de son passage dans les Pyrénées-Orientales. «J'ai publié sur les réseaux sociaux car je veux qu'on en parle. Je veux qu'on sache qui je suis, ce qu'il se passe. Il faut le dénoncer», a expliqué la plaignante dans la presse locale.
Dans un communiqué, le maire RN de Perpignan Louis Aliot a dénoncé mercredi dernier «un courrier absolument abject» et assuré «cette dame de tout (s)on soutien et de toute (s)on affection».
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-07 18:48:49
Le restaurant congolais « Saveurs braisées », situé avenue Thiers à Melun, en région parisienne, est ciblé par un arrêté préfectoral de fermeture administrative pour quatre mois. Un acte pris à la demande du maire alerté par les voisins et le syndic de copropriété. Passé au peigne fin, l’établissement a vu ses défauts mis au grand jour : fermetures trop tardives, nuisances sonores dues aux clients alcoolisés et autres infractions. Une mesure notifiée aux cogérants de ce commerce jeudi soir.
« Nous avons monté un dossier en répertoriant tous les procès-verbaux, les appels des riverains à la police municipale, les courriers du syndic Foncia au service Hygiène et prévention de la mairie, les mains courantes déposées‚ etc. Et nous avons sollicité cet arrêté du préfet qui a agi », salue Eliana Valente, adjointe au maire en charge de la sécurité.
Elle cite diverses infractions : défaut de licence et de permis d’exploitation, fermetures tardives au-delà de 3 heures du matin, nuisances sonores, consommation tardive d’alcool, etc.
« Le soir, il y a des regroupements devant, du bruit, un sentiment d’insécurité. Cela fait trois ans que les riverains n’en peuvent plus », insiste l’élue qui a glissé dans les boîtes à lettres des riverains un communiqué relatif à la fermeture de l’établissement.
Dans ce texte, la mairie rappelle que « La tranquillité publique est l’affaire de tous » et que la ville de Melun est « déterminée à permettre aux habitants de jouir du calme auquel ils ont droit, notamment la nuit ».
« Dès mon élection au mois d’octobre, j’ai fait de la tranquillité publique et de la sécurité mes priorités. La sécurité est la première des libertés et nous devons l’apaisement aux habitants », justifie le maire, Kadir Mebarek (Horizons). Cette fermeture permettra de retrouver le calme la nuit pour les riverains. Les Melunais peuvent compter sur ma détermination et celle de la majorité municipale ».
Rencontré mercredi, le cogérant, de nationalité congolaise dit ne pas comprendre les raisons de cette mesure. Une défense tout en déni. « On ouvre de 13h30 à minuit, on ne vend pas d’alcool à emporter, pour consommer de l’alcool ici, les gens doivent manger ici aussi. Mais s’ils repartent avec une canette pas finie, on ne peut pas les en empêcher car ils l’ont payée. Quand il y a des embrouilles, les gens arrivent d’ailleurs. Lundi soir il y a eu une grosse embrouille en face, de l’autre côté de la rue, pas devant chez nous ».
« Cet arrêté est respecté. En plus, on a négocié avec la direction du Carrefour Market situé au Mail Gaillardon pour qu’elle n’accepte plus de vendre de canettes de bière à l’unité. L’idée est de permettre que cela se passe mieux devant le supermarché », précise le directeur de cabinet du maire. Un lieu où se regroupent souvent des personnes sans domicile fixe, souvent aussi sur les berges de l’Almont ou derrière le marché couvert.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-06 14:04:23
On pense que les bookmakers modernes ont vu le jour grâce aux paris sur les courses de chevaux. Le bookmaker mondialement reconnu 1xBet propose une large gamme de paris sur les courses hippiques. Pariez sur le plus ancien type de paris de manière responsable et sans sacrifier votre budget familial.
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Comparez les cotes la veille et une heure avant la course. Misez sur le cheval qui a attiré votre attention et dont la cote a le plus baissé.
Synergie entre le cheval et le jockey
Étudiez les résultats des dernières courses et choisissez les chevaux qui ont terminé dans les trois premiers. Si un cheval ne change pas de jockey lors de la course suivante, ses chances de terminer dans les trois premiers augmentent, car le cheval et le jockey se comprennent mieux.
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Créé le 2024-07-06 08:19:03
La première conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement (CIAR), s’est tenue à Brazzaville en République du Congo, du 2 au 5 juillet 2024, sur invitation du Président congolais, Denis Sassou N’Guesso.Cette conférence a rassemblé plus de 2000 participants, venus de plusieurs pays, incluant les Chefs d’État et de Gouvernement, les ministres, les représentants des organisations internationales, de la communauté scientifique, du secteur privé, des ONG et de la société civile. Dire que le Congo a accueilli le monde, pour ensemble, se mettre au chevet de la planète.

La conférence avait pour objectif :
D’établir un état des lieux de l’afforestation et du reboisement à l’échelle mondiale.
D’adopter une stratégie mondiale d’afforestation et de reboisement, incluant les aspects techniques et financiers.
De solliciter l’inscription de la Décennie Africaine et Mondiale de l’Afforestation dans l’Agenda des Nations Unies, au moyen d’une déclaration mondiale sur l’afforestation et le reboisement.
De désigner un comité de Suivi et Évaluation de la mise en œuvre des recommandations de la conférence.

La Première conférence internationale sur l’Afforestation et le Reboisement était organisée autour de trois segments.
Le segment des Experts, le segment des ministres et le segments des Chefs d’État.
Le segment des Experts, organisé en panels et sessions techniques avec échanges ont permis aux participants d’aborder les thématiques ci-après.
L’état des lieux de l’afforestation et du reboisement à travers l’analyse des progrès et des défis persistants dans la restauration des forêts.
L’urgence climatique, rôle des forêts et impact sur les vies humaines, à travers des échanges sur le rôle crucial des forêts dans la régulation climatique et la protection de la biodiversité.
Les solutions scientifiques innovantes pour l’afforestation et le reboisement, à travers des échanges sur les avancées technologiques et scientifiques nécessaires à la mise en place des plantations forestières et agroforestières.
Financement et partenariats à travers des échanges sur les mécanismes de financement durable et des partenariats public-privé, impliquant les subventions des États et des bailleurs de fonds, les investissements privés et les financements climatiques y compris les opportunités du marché carbone.
Échange sur les éléments de la stratégie mondiale de l’afforestation et du reboisement, à travers la définition d’une vision, des objectifs, des axes stratégiques et des indicateurs de suivi de cette initiative.
Les Experts ont à l’issue de leur segment, formulé un certain nombre de résolutions et recommandations à l’attention du segment ministériel.

Le segment des ministres a été organisé autour des sessions de haut niveau et des tables-rondes, dont celle sur le financement, qui ont permis d’examiner les résolutions et recommandations formulées par le segment d’Experts à leur attention.
Les ministres ont à leur tour, après examen des différents documents, formulé des résolutions et recommandations, à l’attention du Segment de très haut niveau des Chefs d’État et de Gouvernement.
Le Segment des Chefs d’État de la première conférence internationale sur l’Afforestation et le reboisement a examiné les documents portés à son attention et adopté les résolutions et recommandations ci-après. Renforcer la coopération internationale :

Encourager une collaboration accrue entre les Nations et initiatives pour partager les meilleures pratiques et technologies.
Mettre en œuvre les politiques et les cadres réglementaires :
Élaboration de politiques régionales et nationales favorisant la reforestation, incluant des incitations fiscales et des cadres réglementaires robustes.
Soutenir le Financement durable innovant :
Mobilisation des financements à grande échelle y compris la finance carbone et l’approche non fondée sur les marché, les Partenariats Public-privé, les paiements pour services environnementaux et tous les autres financements verts.

Intégrer les communautés locales et les populations autochtones : Inclusion des populations locales et populations autochtones dans les projets de reboisement et les personnes vivant avec handicap, en leur accordant les ressources nécessaires et les meilleures techniques de plantation.
Promouvoir les solutions basées sur la nature :
Promotion des populations forestières, agroforestières, la bioéconomie, solutions basées sur les écosystèmes, et autres solutions naturelles et abordables.

Suivre et évaluer les progrès : Mise en place de systèmes rigoureux régionaux pour suivre et évaluer les progrès.
Mettre en place une distinction honorifique ‘’DAMAR’’ pour gratifier un pays, une organisation ou une personnalité ayant œuvré de manière significative dans le cadre de l’afforestation, du reboisement et la lutte contre la déforestation.

Au niveau des engagements, les participants au CIAR 1 se sont engagés à soutenir :
La finalisation et la mise en œuvre de la stratégie mondiale de l’afforestation et du reboisement adoptée durant la conférence.
Le processus d’endossement de la Décennie Mondiale de l’Afforestation et Reboisement par l’Assemblée Générale des Nations Unies.
Mise en place d’un dispositif de mise en œuvre et de suivi-évaluation de la Déclaration.
Institutionaliser la Conférence Internationale sur l’Afforestation et le reboisement, à travers l’organisation tous les deux ans, d’une conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement.
Les participants à la CIAR 1 expriment leur sincère gratitude aux États, aux organisations internationales, au secteur privé, aux ONG et toutes les parties prenantes qui ont participé à cette conférence.
Les participants à la CIAR 1 ont remercié le Président Denis Sassou N’Guesso pour sa vision et son leadership sur les questions environnementales et l’initiative de la Décennie mondiale sur l’Afforestation et le Reboisement.
Les participants à la CIAR 1 ont exprimé leur gratitude au gouvernement et au peuple de la République du Congo pour leur hospitalité légendaire.
Synthèse Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-06 07:55:37
Le greffier Gédéon Endzena Okali, demeurant à Brazzaville, est cité à comparaître devant le tribunal correctionnel (2e chambre) de Pointe-Noire à l’audience qui sera tenue au palais de justice de la capitale économique du Congo, le jeudi 11 juillet prochain à 10 heures, pour y être entendu en qualité de partie civile dans la procédure exercée contre les nommés Pereira Anthony Andreiv Ladeira Victor et Ndengué Murielle Prysha Sarah, prévenus respectivement de menaces verbales de mort et port illégal d’arme et munitions de guerre, outrage à un agent public et complicité de menaces verbales de mort, selon une convocation à partie civile signée le 1er juillet dernier par la procureure de la République près le tribunal de grande instance de Pointe-Noire, Souvenirs Stéphanie Tsibi Ititi.

On rappelle que Mme Sarah Pereira née Ndengué, la fille du commandant des Forces de police depuis 26 ans, le général Jean-François Ndengué, détrôné pour être remplacé par son adjoint, le général André Obami Itou fils, surnommé « le king », s’était rendue au Palais de justice, le jeudi 8 février dernier, pour un service ordinaire: faire signer des papiers d’une société auprès du greffe (secrétariat) du tribunal du commerce.
Un greffier, répondant au prénom de Gédéon, lui aurait demandé de repasser le lendemain. Ce que la dame n’a pas voulu accepter, le pressant de faire signer ses papiers. Au bout d’un certain temps, la tension est montée entre les deux et une dispute a éclaté. Ce qui a attiré l’attention du procureur de la République adjoint, qui est venu intervenir.
Ce dernier a fini par placer Mme Sarah Pereira en garde-à-vue, lui reprochant un comportement déplacé contre le greffier.
Pendant sa garde-à-vue, la dame a passé des coups de fil. Avait-elle appelé son père ou directement le commandant du G.r.b qui se trouve être son cousin? Toujours est-il que le capitaine Omouanga, neveu du commandant des forces de police, est arrivé au palais de justice, accompagné de quelques éléments de son groupe d’intervention. Il aurait sollicité la compréhension du procureur adjoint pour libérer sa cousine.
Pour ce dernier, la loi étant la même pour tous, il n’était pas question de faire des faveurs à qui que ce soit. Finalement, les gendarmes qui gardent les lieux ont fini par comprendre leur collègue policier, en remettant sa sœur en liberté. Mais, le capitaine aurait tenu des propos menaçants à l’égard du procureur adjoint. Pour son malheur, tout ça était filmé et balancé dans les réseaux sociaux.
L’affaire a suscité une grande indignation et des condamnations sur la toile congolaise.
Le dimanche 11 février dernier, le journal Le Troubadour annonçait, en exclusivité, sur sa page Facebook, que le ministre en charge de l’intérieur, Raymond Zéphirin Mboulou, a instruit l’Inspection générale de police d’ouvrir une enquête administrative sur cette affaire. Et dans ce cadre, le capitaine Omouanga a été interpellé et placé en garde-à-vue, pour les besoins de l’enquête.
Pendant ce temps, les réseaux sociaux se sont enflammés. Une affaire ordinaire est devenue une affaire d’Etat, en raison des personnes impliquées: la fille et le neveu du général Ndengué. Leur comportement, au palais de justice, est sévèrement critiqué.
A l’issue de l’enquête administrative, le capitaine Omouanga a été déféré par la police au parquet du tribunal de grande instance de Brazzaville, qui l’a écroué à la Maison d’arrêt, pour attendre son jugement. Il avait été nommé en août 2022, comme commandant du G.r.b, en remplacement du capitaine Romuald Manounou, alias Morgane, qui purge une peine de sept ans de travaux forcés, à la Maison d’arrêt, pour «association de malfaiteurs, arrestations arbitraires, extorsion, recel et abus d’autorité».
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-05 17:38:44
A l’occasion de la 1re édition de la Conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement (CIAR), plusieurs institutions de l’ONU, les experts et organisations non gouvernementales prennent part à cette grand-messe mondiale, qui planchent sur les problèmes cruciaux de l’heure, tel que les changements climatiques ou le réchauffement de la planète terre. Le stand de l’Union européenne a de ce fait abrité une conférence de presse, le mercredi 3 juillet 2024 pour présenter les engagements à long terme de ladite institution onusienne pour des impacts plus significatifs.
La conférence de presse a été animée de façon collégiale par : Giocomo Durazzo, ambassadeur de l’UE au Congo ; Serge Mombouli, Secrétaire permanent du partenariat de l’UE-Congo, représentant partie congolaise dans ce partenariat ; le Docteur Wolfgang Klapper, ambassadeur d’Allemagne au Congo et M. Jean-Paul Charlier, Chargé d’Affaires en pied de l’Ambassade du Royaume de Belgique au Congo.
Lors de cette conférence de presse, les conférenciers ont fait l’évocation des actions menées par l’Union européenne depuis la signature des partenariats forêts dont le but est de protéger, restaurer et de gérer les forêts de manière durable, ainsi qu’à développer les chaines de valeurs forestières puis de la création des emplois. Réduire la déforestation et promouvoir le commerce des produits du bois légaux et durable.
Giocomo Durazzo a ainsi expliqué le sens de ces partenariats qui sont des accords bilatéraux établis entre l’UE et un pays partenaire qui s’appuie généralement sur entre autres axes, la gouvernance des forêts, la lutte contre le changement climatique, la biodiversité et la conservation.
« Ces partenariats se déclinent en des activités concrètes, des programmes de mise en œuvre, le cas de : Central african forest initiative (CAFI) ; l’initiative forêt de la gestion rurale ; le programme d’utilisation des terres qui est un projet mis en œuvre à travers l’agence française de développement (AFD). Je dois signaler que nous avons d’autres programmes avec la FAO et des activités menées par des investisseurs Congolais », a déclaré le fonctionnaire onusien.
Par ailleurs, dans le domaine de la recherche, l’Union européenne apporte un soutien considérable sur les questions liées à la forêt, aux différents Ministères et chercheurs du Congo.
« L’Union européenne a signé la feuille de route lors du Sommet des trois Bassin avec Mme Rosalie Matondo, ministre de l’économie forestière », a renchéri l’ambassadeur.
En outre, Giocomo Durazzo a adressé des vives félicitations aux autorités congolaises dans la gestion des forêts. En exemple, les différents Sommets et les conférences dédiés à l’afforestation et le reboisement.
VALDA SAINT-VAL/ Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-05 16:37:23
La réunion du Conseil des ministres du mercredi 4 juillet, présidée par le Chef de l’État, Denis Sassou N’Guesso, avait à son ordre du jour, une vingtaine d’affaires, dont seize projets de loi émanant du ministère de l’Intérieur, de la décentralisation et du développement local.
Parmi ces projets, quinze concernent une réforme majeure du découpage territorial, visant à créer trois nouveaux départements dans la partie nord de notre pays : le département du Djoué-Léfini, le département de Nkéni-Alima et le département du Congo-Oubangui.
En plus de ces nouveaux départements, la réforme propose la création des districts de Bouemba et d’Odziba. Elle inclut également l’érection de Mpouya, Ngombé, Ngoua II et Loango en communautés urbaines.
Si ces projets de loi sont adoptés par les deux chambres du Parlement, le Congo verrait le nombre de ses départements passer de 12 à 15.
Le ministre de l’Intérieur, Raymond Zéphirin Mboulou a également présenté un projet de loi pour la création de l’Agence d’appui à la décentralisation et au développement local.

Aussi, a-t-il été décidé de ce qui suit : Département de la NKENI-ALIMA ayant pour chef-lieu GAMBOMA, il regroupe en son sein les districts de Gamboma, Abala, Allembé, Ollombo, Ongoni et Makotimpoko.
Le département des PLATEAUX quant à lui regroupera désormais les districts de Djambala, Lékana, Mbon, Ngo, Mpouya et Mbouemba.
Le département de DJOUÉ-LÉFINI regroupe les districts de Ignié, Vinza, Kimba, Odziba et Ngabé avec pour chef-lieu ODZIBA.
Le département du Pool est redéfini et comprend désormais les districts de Kinkala, Mindouli, Kindamba, Goma-tsé-tsé, Mbandza-Ndounga, Louingui, Boko et Louomo. Il a pour chef-lieu KINKALA.
Un autre nouveau département est celui du CONGO-OUBANGUI avec pour chef-lieu MOSSAKA(Île de beauté) et regroupe les districts de Mossaka, Bokoma, Liranga, et Loukoléla.
Le département de la CUVETTE garde les commune d’Owando et d’Oyo, de Boundji, Ngoko, Makoua et Ntokou Et le département de la LIKOUALA regroupe désormais les districts d’Impfondo, Bouanéla, Epena, Enyellé, Bétou et Dongou.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-04 08:28:06
Quatre décrets signés du Président Denis Sassou N’Guesso, en date du 3 juillet 2024, nomment aux fonctions de direction au sein de la Police Nationale et notamment à la Centrale d’Intelligence, ex DST. Ainsi, le général André Fils Obami Itou devient le nouveau Directeur Général, Commandant des Forces de police.
Il était jusque-là l’adjoint au DGPN, que les congolais l’avaient en haute estime, tant André Fils OBAMI ITOU s’est toujours distingué par son sens du devoir et ses valeurs républicaines.
Général de police de 1ère classe, rompu à la tâche, André Fils OBAMI ITOU, a toujours insisté auprès des hommes, sur le respect des préceptes, dans l’ordre et la discipline.
Rigoureux vis-à-vis de lui-même ainsi que de ses collaborateurs l’homme s’est toujours imposé dans la force du commandement avec pédagogie et méthode.
Il y a quelques mois, lors d’une mission à Pointe-Noire, il ne manquait pas de mettre en garde les policiers véreux, de son intransigeance au moment de sévir. «Nous le voyons, il y a encore des manquements, parfois par ignorance, je le concède, mais souvent, hélas, par cupidité ».
Et d'avertir : « Nous ne tolérerons pas qu'un policier, par cupidité, sape le travail des milliers d'autres policiers qui paient un lourd tribut au quotidien pour accomplir leur mission, et j'en fais partie ».
« Maintenez l'ordre, rétablissez-le ou imposez-le sans état d'âme, dans le strict respect de notre règlement et du respect de la dignité humaine », martelait le général André Fils Obami-Itou, devant les officiers de police de Pointe-Noire.
«Je vous appelle enfin à l'humilité dans la gestion de vos hommes, de vos collaborateurs. Aucun de nous n'a fait un concours pour avoir sa fonction. Nous ne sommes là que par choix d'un homme... pas d'arrogance inutile », concluait-il.
Rappelons que le général André Fils OBAMI ITOU est nommé Commandant des Forces de police en remplacement du général Jean-François NDENGUE, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

Le général de police Jean Pierre OKIBA a été nommé commandant en second de la Police.

À la Centrale d’Intelligence et de Documentation (CID), ex DST, MonsieurAristide Okassa (magistrat) succède au général OBARA, alors que le général de police Elie ATIPO ETOU est promu administrateur général adjoint de la CID.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-03 21:46:03
La Conférence Internationale sur l'Afforestation et le Reboisement (CIAR) s'est ouverte mardi au Centre des Conférences Internationales de Kintélé. Après les mots de circonstance de divers organismes internationaux qui y participent, notamment la Fao et le Pnud, c'est la ministre de l'Économie forestière, Rosalie Matondo qui a prononcé l'allocation d'ouverture tout en mettant un accent particulier sur la nécessité de fédérer autour de cette initiative salutaire pour la planète, partie de Brazzaville au Congo et portée par son Président, son excellence Denis Sassou N'Guesso.

Désormais soutenue par l'Union africaine ainsi que les Nations unies, cette vision écologique quasi prémonitoire du Président Denis Sassou N'Guesso, pour laquelle il s'est investi au long des ans, conduit le monde à se retrouver à Brazzaville, pour se mettre au chevet de la planète qui souffre du dérèglement climatique, afin de lui apporter le remède nécessaire.

En matière de remède, le Président congolais a depuis 40 ans déjà, instauré une journée nationale de l'arbre dans son pays, journée au cours de laquelle chaque congolais est appelé à planter un arbre d'essence fruitière ou pas.
Cette expérience Congolaise a désormais l'aval de l'Union africaine et des Nations unies qui entendent en faire une résolution pour convier les humains à planter des arbres de façon formelle, à travers la planète.

Fortement investie dans l'accompagnement et la vulgarisation de la vision écologique du Président Denis Sassou N'Guesso, l'Association "Vision verte de Denis Sassou N'Guesso" participe à la Ciar avec un apport hautement pensé.
L'association tient un stand bien garni des livres de l'écrivain-chercheur congolais, le docteur Michel Innocent Peya, Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’humanité et de l'Environnement.

Outre cet apport bibliographique essentiellement axée sur la vision écologique du Président Denis Sassou N'Guesso, l'association à édité une brochure intitulée : « Décennie Africaine et Mondiale de l'Afforestation et du Reboisement Plaidoyer Mondial de Denis Sassou N'Guesso pour une planète verte ». C'est la contribution du Docteur Michel Innocent Peya destinée aux conférenciers. Elle a été éditée en français, en anglais, en espagnol, en russe, en arabe et en chinois.
Cette brochure se veut un guide de la vision écologique du Président Denis Sassou N'Guesso, un véritable outil didactique mis à la disposition des participants à la CIAR.
Le guide est gracieusement distribué dans la salle.

De fait, l'association « Vision verte de Denis Sassou-N’Guesso » tient un stand où sont exposés les ouvrages du docteur Michel Innocent Peya. Un stand qui ne désemplie pas, tant ceux qui le visitent y trouvent bien des ouvrages en rapport avec le Ciar.
Les livres intitulés « Dix années d'afforestation mondiale » et « Guide DSN » sont les plus demandés, tant ils sont d'un apport précieux.
Sur le stand, sont également diffusés des documents audiovisuels qui retracent la vision écologique du Président Denis Sassou N'Guesso.
Bertrand BOUKAKA/VALDA-SAINT-VAL/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-07-03 16:43:02