Son affaire avait défrayé la chronique. Des activistes congolais de France, hostiles au pouvoir de Brazzaville, avaient produit un «concert géant de casseroles » pendant trois jours devant son domicile du 16ème arrondissement de Paris. La première Dame du Congo, Antoinnette Sassou Nguesso a puisé dans sa foi en Jésus la force de pardonner ses «agresseurs » qui ont agi dans l'aveuglement de la passion.
Antoinette Sassou Nguesso a demandé également à Dieu de «toucher les cœurs » des congolais de la Diaspora hostiles au pouvoir de Brazzaville pour qu’ils changent et s'imprègnent des valeurs républicaines pour exprimer par les voies légales et patriotiques leurs revendications tant politiques que sociales.
On rappelle que dès sa réélection contestée par l’opposition congolaise en mars 2016, la ville de Paris en France est devenue depuis plus d’un an, le fief d’une contestation farouche contre le président Denis Sassou Nguesso et sa famille politique.
Certains barons du régime de Brazzaville ont subi, sans pitié et remords, des traitements humiliants et dégradants de la part des activistes congolais à Paris.
Germaine Mapanga / Les Echos du Congo Brazzaville