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Rodolphe Adada appelle les congolais de France au ressaisissement et à l’unité

La mise en garde de l’ambassadeur du Congo en France, Rodolphe Adada est claire : les acquis patiemment rassemblées en 57 années d'indépendance risquent de partir en fumée si, d'aventure, la longue stabilité du Congo-Brazzaville, venait à être remise en cause par ceux qui veulent se servir de la division ou du désordre comme d'un marchepied pour assouvir des ambitions politiques.

Créé le 2017-10-18 09:20:01

Congo : Les six mesures urgentes de l’UPADS pour juguler la crise économique et financière

Le premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS/opposition), Pascal Tsaty Mabiala, a proposé hier, lors d’un point de presse à Brazzaville, les six mesures urgentes qui peuvent, selon lui, juguler la crise économique et financière au Congo.

Créé le 2017-10-18 08:06:10

Belgique – People : Stromae de plus en plus mal, suite aux effets secondaires d'un antipaludéen

« Je perds la boule complètement. C'est vraiment pas chouette », confiait Stromae sur son état de santé, le 7 octobre dernier. Le chanteur reconvertit dans la mode traîne des effets secondaires liés à la prise d'un antipaludéen très puissant, le Lariam. Depuis, son état a empiré.

De son voyage en Afrique et notamment au Rwanda, pays de naissance de son père, Stromae aura gardé un mauvais souvenir. Pour se prémunir contre le paludisme, répandu sur le continent, le chanteur avait pris un traitement préventif, le Lariam. Depuis, il va mal, très mal même.

Très inquiète pour Stromae, dont elle est très proche et avec qui elle a travaillé sur son dernier album, Vitaa qui prend régulièrement de ses nouvelles a confié :

« On est en contact. J'étais au courant. C'est lié à son traitement donné quand il était en Afrique. On sent qu'il n'est pas bien et c'est pour ça qu'il a pris du recul. Pour faire ce métier, il faut être bien dans sa tête car cela demande de l'investissement humain », a-t-elle précisé.

En pleine tournée sur le continent africain, Stromae avait été contraint en 2015 d’annuler une partie de ses concerts en raison de son état de santé. Traité à l’époque contre le paludisme, il est depuis victime des effets secondaires du médicament, comme par exemple des hallucinations.

Le Lariam ou Méfloquine est couramment prescrit aux touristes qui se rendent dans des zones infestées. Cependant, le Lariam peut avoir des effets secondaires très graves.

Beaucoup de personnes ayant pris du Lariam ont souvent développé des troubles de la vision qui se manifestent par des cauchemars, des réveils nocturnes accompagnés de crise de panique, une perte de poids induite par le manque d'appétit, des dépressions avec parfois une perte de conscience, voire des idées de suicide.

Si d'aventure le sujet sous l'emprise des effets du Lariam présente une addiction à quelque drogue que ce soit, le cocktail devient hautement explosif. Et Dieu seul sait, à quoi l'on touche, dans le monde du show-bis. Quoi qu'il en soit, Stromae veut bien retrouver le moral et remonter sur scène , fin novembre.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-10-18 07:18:24

Les populations de Mossendjo refusent de payer dans le délai les factures d'électricité en cours

S’il n’y a pas d’électricité dans certaines maisons à Mossendjo dans le département du Niari (sud), il y en a plein dans l’air. Un bras de fer oppose les populations de la localité à la Société nationale d’électricité (SNE). Les premières, dénonçant l’insuffisance de fourniture d’électricité dans leurs maisons depuis plus d’un an, refusent de payer les factures en cours.

Créé le 2017-10-17 14:20:35

Cuvette-Ouest : La population de Mbama exprime sa frustration sur l’absence des routes pour assurer le transport

Après la tombée de la pluie, toutes les routes de la ville de Mbama (nord) deviennent impraticables car elles se transforment en une large flaque d’eau. Les véhicules ne peuvent pas s’y aventurer de peur de subir des problèmes. La population demande avec insistance aux autorités habilitées de songer à les réhabiliter afin qu’elles soient praticables en toute saison.

Créé le 2017-10-17 07:11:36

Congo – Parlement : Des sessions budgétaires suspendues aux conclusions des discussions avec le FMI

L'assemblée nationale et le sénat congolais ont respectivement ouvert leur session budgétaire lundi. L'examen de la loi de finances exercice 2018 est absent de l'ordre du jour des deux chambres.

« Le projet de loi de finances de l'État exercice 2018 n'arrivera sur la table du parlement qu'après un recadrage utile, de commun accord avec nos partenaire du FMI ».

Ces propos de Isidore Mvouba, président de l'assemblée nationale, en ouverture de la présente session montrent l’étroitesse de la marge de manœuvre qui est désormais celle des institutions congolaises, en matière de finances.

Au sénat, le son de cloche a été le même. L'examen de la loi de finance ne peut être mené à terme, faute de matériaux sur lesquels plancher.

Nul ne sait, quand les discussions avec le Fonds monétaire international aboutiront-elles. Même si elles reprenaient dans un temps relativement court, rien n'augure que les fonds nécessaires seront immédiatement mis à disposition du Congo.

Du coté de l'opposition, certains acteurs comme Charles Zacharie Bowao affirment que « la mission des experts du FMI qui s'est déroulée du 25 septembre au 4 octobre a estimé que le dossier du Congo-Brazzaville n'est pas prêt. Et par conséquent, il ne sera pas soumis à l'examen du Conseil d'Administration du FMI, organe habileté à décider du soutien ou pas du FMI au Congo-Brazzaville, qui se tiendra fin octobre. »

En cas d'ajournement de l'examen du dossier du Congo, le prochain conseil d'administration du FMI aura lieu en février 2018.

Tout porte à croire que la situation est loin d'être résolue pour les finances congolaises et qu'il faut d’ors et déjà préparer les esprits à des jours plus difficiles. Un exercice auquel s'est plié Pierre Ngolo, ouvrant la session budgétaire du sénat :

« La cause nationale fortement en jeu nous commande d'élever le patriotisme, de nous convertir au rigorisme dans la pensée et dans l'action afin que le pays sorte victorieux de la difficile passe actuelle », a dit en substance le président du sénat.

Faute de ne pouvoir examiner la loi de finances de l'État, les députés tout comme les sénateurs plancheront sur les autres affaires inscrites à la présente session.

À l'assemblée, cela portera entre autres affaires, sur l'examen et l'adoption du règlement intérieur du parlement réuni en congrès, et le projet de budget de l'assemblée nationale exercice 2018.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-10-17 07:08:22

Makabana: les autorités ordonnent l’ouverture forcée des boutiques

Le secrétaire générale de la sous-préfecture de Makabana, Yves Tsiba a ordonné l’ouverture forcée de toutes les boutiques maintenues fermées dans la ville depuis la semaine dernière par les commerçants Ouest africains en colère contre les agents de la Police de la Direction Départementale de la Surveillance du Territoire du Niari (DDST).

Créé le 2017-10-16 12:31:41

RDC – Mondial 2018 : La qualification des Léopards serait suspendue au bon vouloir de Joseph Kabila

Une correspondance en bonne et due forme est parvenue dernièrement au cabinet du président Joseph Kabila. L'auteur un pasteur qui demande à être reçu par le président, assure détenir la clé pour qualifier les Léopards pour la prochaine coupe du monde, Russie 2018.

Il est de notoriété publique qu'en Afrique, outre les paramètres techniques et tactiques, les performances sportives seraient influencées par l'apport des marabouts.

À travers leurs décoctions, incantations ou autres gris-gris, ces marabouts sont tellement présents dans l'univers sportif, que beaucoup ont fini par devenir des référents pour les victoires de telle ou telle autre équipe.

Ainsi, l'expression « travailler le match » fait référence aux pratiques mystico-fétichistes qui l'entoure, un volet pris en considération comme tout autre, dans l'apport pour la victoire.

Depuis que le domaine sportif s'est révélé très juteux pour les charlatans et autres marabouts, certains pasteurs méthodistes des églises dites de réveil prétendant détenir une onction de victoire à toute épreuve, se sont lancés dans le business.

Désormais, il n'est pas exclu d'entendre que telle équipe a abandonné les fétiches, pour les prières avec tel autre pasteur et l'efficacité s'en trouve prouvée par les résultats qui s'enchaînent, malgré la méforme de l'équipe.

À voir la diligence avec laquelle la correspondance du maître spirituel a reçu les différents visas, jusqu'à atterrir au cabinet du chef de l'État, c'est dire que beaucoup croient en ce renversement mystique de la situation, telle qu'édictée par le maître spirituel, et que toute démarche allant dans ce sens serait la bienvenue.

Les anciens Léopards de la campagne de 1974 le disent souvent, leur délégation au mondial comptait autant de joueurs que de féticheurs.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-10-16 10:12:37

Congo – Infrastructures sportives : Le stade de la Concorde serait-il maudit ?

Le ministre des Sports Hugues Ngouelondélé a rencontré les notables et Sages de Kintélé le 12 octobre dernier. Les discussions ont porté sur le dédommagement des anciens acquéreurs des terres sur lesquelles est bâtit le stade de la Concorde.

La démarche du ministre Hugues Ngoelondélé de dédommager les anciens acquéreurs de terrains n'aurait pas paru abracadabrantesque, si elle n'était motivée par des considérations mystico-fétichistes.

Le stade de la Concorde de Kintélé serait « maudit ». Les Diables-rouges y accumuleraient des défaites, du fait de la frustration des notables de la contrée et des anciens acquéreurs de terrains qui n'ont pu être dédommagés lors de leur expropriation.

Légende ou vérité, Hugues Ngouelondele qui croit en ce que l'Afrique a ses mystères, a décidé d'aller supplier les Notables et Sage de Kintélé pour briser le sortilège. 

Quelques notables ont « demandé au gouvernement de payer sa dette car dans la culture Bantoue, une dette non acquittée est souvent source de malheurs pour celui qui doit ». Dans le cas d'espèce, ces malheurs se porteraient sur les équipes congolaises qui ne peuvent y réaliser de bonnes performances, du fait de la colère des mânes.

Le ministre Hugues Ngouelondélé a promis régler la situation au plus vite.

La question que beaucoup se posent, c'est celle de savoir pourquoi les acquéreurs et autres propriétaires fonciers n'avaient pas été dédommagés avant le début des travaux, puisque l'enveloppe globale de l'ouvrage prévoyait également les volets expropriation et dédommagement.

Le ministre Ngouelondélé entouré des notables, acquéreurs de terrains et anciens Diables rouges

Ce n'est pas la première fois que des contre-performances des équipes congolaises sont imputées à une prétendue malédiction des installations sportives.

En 1973, après l'exposition des cadavres de Diawara, Ikoko et leurs compagnons au stade de la Révolution, les défaites s'y enchaînèrent pour les Diables-rouges. Une certaine opinion soutint qu'en y ayant exposé des cadavres, le stade avait été maudit. Malgré la toute puissante idéologie marxiste de l'époque, on y organisa alors une cérémonie de désenvoûtent et d'exorcisme à laquelle prirent part des notables et des hommes d'église.

Le Congo retrouva le chemin de la victoire sur son stade, et remporta dans la foulée la Coupe d'Afrique centrale organisée à domicile.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-10-16 08:31:18

Congo – Santé : Le vice-premier ministre se saisit du dossier du CHU de Brazzaville

Le vice-premier ministre Firmin Ayessa tiendra mercredi une réunion de travail avec l'intersyndicale du CHU de Brazzaville, ainsi que la direction dudit établissement. La recherche des solutions pour mettre fin à la grève qui y est observée sera au centre de ladite réunion.

En temps normal, le CHU de Brazzaville travaille à flux tendu, en dépit de l'existence des autres hôpitaux de référence, tels l'hôpital Central des Armées Pierre Mobengo, l’hôpital Blanche Gomez ou les centres hospitaliers de Makélé-kélé et de Talangaï.

En dépit du service minimum mis en place au CHU de Brazzaville, eut égard à la grève qui affecte l'établissement sanitaire, la situation demeure catastrophique pour les malades habituellement accueillis dans le plus grand hôpital du pays. Désormais, le péril guette.

Si l'hôpital Central des Armées Pierre Mobengo peut se hisser à la dimension du CHU en matière de dispense de soins ainsi que des infrastructures sanitaires, les centres hospitaliers de Makélé-kélé et de Talangaï évacuent par contre les cas jugés graves au CHU. Désormais, cela n'est plus possible, au grand désarroi des familles qui assistent impuissantes aux décès des malades qui s'éteignent quasiment dans leurs bras, faute de soins appropriés.

Depuis le durcissement de la grève au CHU, les cabinets médicaux des quartiers ainsi que les structures communautaires qui y prestent, sont débordés, parfois de cas qui dépassent leurs compétences. C'est bien souvent à qui-mieux-mieux que l'on y soigne, encore que la condition première pour le patient, c'est de passer à la caisse.

Quand, en désespoir de cause, des malades dont l'état est jugé critique sont acheminés au CHU, ce sont des « corps en dépôts » qui arrivent au triage où il est simplement constaté le décès.

Des "corps en dépôts" au triage du CHU, acheminés par lots à la morgue

Bientôt, même les morgues seront à la limite de leurs capacités de dépôts. Les cadavres s'y accumulent désormais, car les délais d'enterrement ont épousé la conjoncture financière difficile des familles.

Même si la population comprend les revendications des travailleurs du CHU, il n'en demeure pas moins qu'elle rend l'État responsable de la situation ainsi créée.

La santé est l'une des principales priorités dans un État. Bien souvent, le peuple ne demande rien d'autre, que manger, boire, s'habiller, se soigner et envoyer les enfants à l'école. Cela est certes réducteur, mais c'est le fondement de la paix sociale.

La rencontre de mercredi apparaît de l'avis de tous, hautement salutaire et déjà, le poids de la charge pèse sur les épaules de Firmin Ayessa.

Tous espère qu'il recevra l'intersyndicale et la direction du CHU avec des propositions concrètes, se résumant, à défaut de la totalité, à quelques mois, d'avance de salaire sur le total dû. Cela est signe de responsabilité et surtout de bonne volonté à résoudre une crise déjà trop coûteuse en vies humaines qui hélas passent pour des victimes collatérales.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-10-16 07:00:55

Congo : le développement économique passera par l'agriculture, selon l’économiste Léon Mayeko

Léon Mayeko, Maître assistant à la faculté des sciences économiques de l'université Marien-Ngouabi de Brazzaville, propose le développement de l'agriculture comme alternative pour sortir le pays du bourbier du désespoir et de la crise.

Créé le 2017-10-13 10:06:26

Congo – Téléphonie mobile : Le ministre Ibombo remonte les bretelles des opérateurs

Depuis qu'ils se sont arrogés un quasi monopole en matière de téléphonie mobile au Congo, les opérateurs de la place semblent passer outre les prescrits de leur cahier de charges, en matière d'investissement et de qualité des prestations à fournir aux clients. Le ministre Léon Juste Ibombo leur a rappelé les termes du contrat.

Une réunion dite « d’évaluation à mi-parcours » des actions engagées par les opérateurs de téléphonie, afin d’améliorer la qualité des services, l'occasion a été propice au ministre Léon Juste Ibombo d'exhorter les opérateurs à tenir leurs engagements quant à la qualité des réseaux et des services dans un délai de deux mois.

« Il convient de reconnaître quelques efforts que vous fournissez pour l’amélioration de vos services. Cependant, il n’en demeure pas moins vrai, que plusieurs plaintes sont remontées au niveau du gouvernement de la part des consommateurs concernant les services que vous offrez aux populations », a déclaré Léon Juste Ibombo.

« La qualité de service n’est pas une option, mais une obligation », a-t-il martelé.

Parmi les plaintes « incessantes » citées par Léon Juste Ibombo, figurent la tarification élevée des appels téléphoniques, le non remboursement des crédits en cas de panne technique prolongée, l’augmentation des prix forfaitaires des appels, sms et Internet et l’inaccessibilité au service client.

« Le gouvernement ne saurait transiger sur la satisfaction finale de l’abonné, qui est d’ailleurs, l’une de ses préoccupations principales, au-delà de l’amélioration des indicateurs de performances techniques contenus dans vos cahiers de charges ».

De ce fait, le gouvernement, a dit le ministre, peut « délivrer, transférer, modifier, renouveler, réduire la durée, suspendre ou retirer les licences et veiller à la régulation de l’activité des sociétés privées et des organismes œuvrant dans les domaines des postes et télécommunications ».

Les directeurs généraux des sociétés de téléphones mobiles MTN, Airtel, Azur et aussi Congo Télécom ont rassuré sur les travaux techniques entrepris depuis, pour améliorer les réseaux et les services.

Une prochaine évaluation sera faite dans un mois.

 Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-10-13 09:06:56

Le Congo devra attendre février 2018 pour espérer bénéficier d’une aide financière du FMI

Le Congo-Brazzaville devra attendre le prochain conseil d’administration du Fonds monétaire internationale (FMI), en février 2018, pour espérer bénéficier d’une aide financière susceptible d’apaiser une situation sociale de plus en plus tendue.

Créé le 2017-10-13 08:59:12

Que demanderez-vous à Denis Sassou Nguesso s'il croise votre route ? L'objet de vos rêves assurément

Depuis qu'il a appris qu'à travers une antenne, on peut avoir le monde à la maison par la magie de la technique, le vieux « Kamana Bic » en a confectionnée une, mais qui est inopérante. Il a attendu, jusqu'au jour où il a eu l'audace d’arrêter le convoi présidentiel et de poser son problème. « Une antenne, rien que cela ».

Cliquez sur la photo pour lire la vidéo.

Créé le 2017-10-13 08:35:00

Présidentielle au Libéria : l’ancien footballeur George Weah en tête

L’ancien footballeur George Weah est en tête du premier tour de l'élection présidentielle au Liberia dans onze des quinze régions du pays, selon des résultats partiels annoncés jeudi 12 octobre par le président de la commission électorale, Jerome Korkoya.

Créé le 2017-10-13 08:07:56

Congo – Commerce informel : L'ingéniosité comme argument de vente

« Entrer dans la peau du personnage », telle est l'astuce utilisée par ce vendeur ambulant de produits cosmétiques au marché « Total » de Bacongo à Brazzaville, pour approcher la gent féminine et promouvoir la qualité de ses produits.

« La sœur », ainsi se fait appeler ce jeune garçon qui pour des raisons purement commerciales, se maquille chaque matin des produits qu'il vend, afin d'en montrer la qualité mais aussi l'attrait sur le corps.

Un attrait purement féminin sur un corps d'homme, l'argument fait mouche. Entre curiosité et présentation du produit sur le mannequin qu'il représente, la clientèle se fidélise, à son grand bonheur, en dépit des ragots des hommes qui trouvent son attitude déplacée.

D'autres lui prêtent même une intention de s'efféminer à d'autres fins. Lui, s'en défend.

« Grand-frère, avec la rupture, il faut être "bouliste" pour accrocher le marché, car la concurrence est rude. Je vends des produits cosmétiques pour femmes. Fards à joues, rouge à lèvres, vernis à ongles ect... Le fait que je m'en sois maquillé renvoi l'image de la qualité du produit que je propose. L’effet du produit sur ma peau décide l'acheteuse qui a le résultat en instantané. C'est ce que mes détracteurs ne comprennent pas ».

Quand on lui demande justement ce qu'il pense desdits détracteurs qui arguent qu'il se féminise à d'autres fins, sa réponse est au vitriol.

« Ils n'ont rien compris. Ils jugent sans comprendre la philosophie des choses. Nombre de mes détracteurs sont voleurs ou drogués. Je veux leur dire, « quipper ya yo ! » Moi, je ne m'occupe de personne. J'ai fait des études autant que j'ai pu et le marché du travail est bouché devant moi. Mon maquillage est circonstanciel. C'est comme une tenue de travail. La voix de femme que j'adopte en présentant mes produits participe du « m'as-tu vu », pour attirer l'attention sur moi, et de surcroît sur mes produits. Après le boulot, je redeviens moi-même. J'ai une copine avec laquelle nous avons de sérieuses options de bâtir une famille. C'est avec mon activité que je m'assume, et j'assure.

Sur ce que pensent de lui les femmes, ses principaux clients, « la sœur » est presque fier.

"La soeur", en compagnie d'une cliente conquise

"Elles m'ont adopté comme un référent en cosmétique. Elles me font confiance et me portent en estime. Elles sont mes principaux soutiens."

De sa recette journalière, « la sœur » ne donne pas le montant, mais il rassure, un sourire en coin :

« ça vaut le coup d'être ainsi maquillé. J'ai une autonomie financière qui me permets d'envisager des réalisations plus grandes. Petit à petit, l'oiseau fait son nid. »

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-10-13 07:50:14

Makabana : En colère contre la police, les commerçants Ouest Africains ferment boutique

Pour eux « la coupe est pleine ». Tous les commerçants Ouest africains ont manifesté hier à Makabana dans le Niari (sud) pour protester contre la volonté des agents de Police de la Direction Départementale de la Surveillance du Territoire du Niari (DDST) de contrôler tous les étrangers résidents dans cette localité.

Créé le 2017-10-13 07:46:51

Congo – Affaires foncières : L'État reprend ses droits sur le site du futur lycée de Vindoulou à Pointe-Noire

Le site commis à l'érection du futur lycée de Vindoulou, entre-temps spolié par des populations en manque d'espace d'habitation, a fait l'objet d'une récupération systématique par l'État. L'action a été menée le 11 octobre, par le ministre des Affaires foncières et du Domaine public, Pierre Mabiala, et le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’Alphabétisation,  Anatole Collinet Makosso.

Lorsque le ministre Pierre Mabiala s'engonce dans sa blouse orangée et visse son chapeau marron sur la tête, c'est dire qu'il se pare d'une « conscience de tracteur » qui donne force à la loi, dans son action de réappropriation des terres spoliées. Il n'hésite pas à utiliser justement le tracteur, pour détruire de quelconques habitations entravant le domaine public.

La récupération du site de Vidoulou dans le 4ème arrondissement de Pointe-Noire permettra au ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’Alphabétisation de construire, dans les délais, un lycée au bénéfice de la population.

La cartographie de ce site et son  titre foncier montrent bien que ce domaine appartient à l’état congolais. Pourtant, même protégé juridiquement, ce site a été spolié et vendu par la population.

Pierre Mabiala, accompagné d’Alexandre Honoré Paka, préfet de Pointe-Noire, et d’Anatole Collinet Makosso, s’y sont donc rendus, pour exprimer l’autorité de l’État et procéder à la récupération du domaine, en présence de Fernande Marie Catherine Dékambi-Mavoungou, administrateur-maire du quatrième arrondissement Loandjili et des chefs de quartiers.

Et Pierre Mabiala de promettre, dans sa verve habituelle : « Nous avons récupéré le terrain et le lycée doit se construire. Nous avons très humblement demandé à ces acquéreurs de se rabattre auprès de leurs vendeurs. Un moratoire de deux semaines leur a été accordé. Passé ce délai, les engins lourds viendront les faire partir et ça sera un « déguerpissement » avec perte et fracas ».

Le ministre Anatole Collinet Makosso  a rassuré les populations que les travaux du lycée de Vindoulou seront lancés dans les jours qui suivront le « déguerpissement » des occupants anarchiques.

« Les fonds sont déjà obtenus grâce a notre partenariat avec la Malaisie et je peux vous rassurer que ça sera le plus beau lycée de Pointe-Noire », a-t-il dit.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-10-13 06:20:22

Congo – Transport aérien : Premier anniversaire de la mort d'ECAir

Les avions de la compagnie aérienne congolaise ECAir sont cloués au sol depuis octobre 2016. Les travailleurs au chômage s’estiment abandonnés par leur direction. 14 mois déjà, qu'ils attendent un hypothétique salaire.

S'il est un volet qui a manqué au point de presse du premier ministre Clément Mouamba, commentant les conclusions de la mission du FMI à Brazzaville, c'est celui des sanctions.

Comment prétendre relancer la machine économique et financière, comment soutenir les réformes, si ceux qui s'illustrent par leur mauvaise gestion, ne sont pas sanctionnés.

Le cas de la compagnie ECAir, fleuron aérien du Congo, portée à coups de milliards par l'argent public, et mise en faillite par une femme qui avait carte blanche sur tout, a de quoi révolter plus d'un congolais.

Fatima Beyina-Moussa rassurait l’opinion publique sur la bonne santé de la compagnie en dépit d’un rapport d’audit qui épinglait une mauvaise gestion, à l’origine de la dégringolade de cette entreprise. Les portes des sièges sociaux de l’entreprise à Pointe-Noire comme à Brazzaville sont restées fermées.

Si Fatima Beyina-Moussa qui n'a nullement été inquiétée, en dépit de sa contre-performance qui bat tous les records de mauvaise gestion au Congo depuis l'indépendance, a de quoi vivre décemment et tenir son standing habituel, pour de centaines d’employés qui n'ont pu se recaser ailleurs, la situation devient intenable. 14 mois déjà qu'ils sont en quête d'un hypothétique signal dont l'espoir s'amenuise avec le temps qui passe.

800 personnes qui ont des familles à nourrir attendent ainsi. Ils avaient été mis en congé technique sans aucune information. Sans syndicats, ces derniers s’en remettent à une direction fantôme.

Comme pour la STPU, pour eux aussi, il n'y a nulle trace de leurs recettes au trésor et l'État apparaît limité dans son intervention. C'est à se demander, à qui Fatima Beyina-Moussa rendait-elle compte ?

Un an déjà que le ré-décollage annoncé d’ECAir n'a toujours pas eu lieu. De la flotte de six appareils, deux avions sont cloués sur le sol belge, deux autres en France, et deux avions à Brazzaville.

Des avions ou plutôt, des cercueils qui attendent de rouiller. Ils avaient amorcé la descente aux enfers où la compagnie s'est posée avec casse sociale.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-10-12 09:44:59

Burkina Faso: Le général Djibrill Bassolé placé en résidence surveillée dans un lieu tenu secret

L’ex ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, le général Djibrill Bassolé n'a pas passé sa première nuit de mercredi à jeudi à son domicile. Tard dans la nuit, alors que membres de sa famille, amis et connaissances lui réservaient un accueil, la sirène du cortège des forces de sécurité qui l'accompagnait s'est éloignée de son domicile. Il a été mis en résidence surveillée dans un lieu tenu secret.

Créé le 2017-10-12 08:25:20

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