Magazine

  • Qui sommes-nous ?
  • Contact

Menus

  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville
  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
  • Jeunesse congolaise : Entre inconscience et insouciance, l’urgence d’un réveil collectif (Par Jean-Jacques Jarele Sika)

    - -
  • L'Ambassade des États-Unis pour le soutien des initiatives éducatives, linguistiques et professionnelles destinées à la jeunesse congolaise

    - -
  • Congo – Economie-forestière : Le safoutier a réalisé le taux le plus élevé des ventes de la 9e édition de la Foire aux plants

    - -
  • Congo - La Quinzaine du Gouvernement : Anatole Collinet Makosso a été face à la presse nationale et internationale pour décortiquer l’ouvrage « En toute transparence : 2021-2026, le bilan du quinquenn ...

    - -
  • Congo : une baleinière prend feu au port de Yoro à Brazzaville

  • Congo : Un véhicule de la SNPC percute et casse l’aile droite d’un avion de Canair

Rechercher :

Total : 11271 résultats trouvés.

Page 299 sur 564

Brazzaville : La qualité de l’eau inquiète les populations de Bacongo et Makélékélé

L'eau est une ressource vitale pour les besoins quotidiens de l'homme. Mais, celle qui coule des robinets des quartiers de Brazzaville depuis le début de cette semaine, est problématique. Il suffit de regarder sa couleur jaunâtre pour remettre en question cette assertion : «L'eau potable est incolore, inodore et sans saveur ».

Créé le 2019-01-30 10:37:48

Congo – Lutte contre les antivaleurs : Lâché par le PCT, Denis Sassou N’Guesso n’aurait que le peuple pour soutien

En décidant de la lutte sans merci contre les antivaleurs pour assainir tous les secteurs de la gouvernance nationale, le président Denis Sassou N'Guesso était loin de s'imaginer les entraves à ce processus. En fait d'entraves, le journal « Le Troubadour » en a relayé les dessous au sein même du bureau politique du Comité central du Parti congolais du Travail. Une attitude qui met à l’index la direction politique de ce parti.

Les congolais ne sont pas dupes et désormais, le peuple sait qui est qui. Qui est avec lui, qui est contre lui.

Alors qu’il aurait pu assurer le ‘’service après vente’’ du dernier discours du chef de l’État et en faire un document-programme dans la lutte contre les antivaleurs, en « donnant le ton, en imprimant le rythme et en marquant la cadence », le PCT ou tout au moins, certains de ses membres dirigeants, semble se détourner des prescrits de Denis Sassou N’Guesso et naviguer à contre courant.

Les investigations que nous avons menées après les révélations du journal le Troubadour, confirment justement le malaise qui couverait au sein du Parti Congolais du Travail, sur fond de lutte contre les antivaleurs.

Sans doute le PCT qui lui-même peine à trancher sur la question des ‘’cumulards’’, dénoncée par le président, serait pris à défaut pour ‘’deux poids, deux mesures’’, en s’engageant à fond dans ce combat de Denis Sassou N’Guesso, qui risque de revenir au parti tel un boumerang.

« Camarade Pierre Ngolo, prenez garde à ce que le peuple ne vous lapide un jour », tel est la mise en garde qui monte du pays profond, pour ce parti au pouvoir qui semble se détourner de sa mission fondamentale, celle d’accompagner et de soutenir l’action du président.

«Pourquoi le chef de l’État fait de la lutte contre les antivaleurs son cheval de bataille ? A-t-il été élu sur la base de cette lutte ? ». De tels propos, tenus en réunion du bureau politique, par un ‘’camarade’’, ministre de surcroît, auraient à l’évidence fait l’objet d’un rappel à l’ordre et le ‘’camarade’’ remis à sa place par une critique en règle, dans ce milieu autorisé.

Des indiscrétions font état du fait que des ‘’camarades’’ qui se seraient insurgés contre ces propos outrageant pour le président, se seraient vus retirer la parole par le président de séance, créant en eux une frustration contenue. Autant ils ont été frustrés par l’entrée au bureau politique de cet ancien ministre, pourtant en délicatesse avec la justice, même si celui-ci bénéficie de la présomption d’innocence. Il est bien loin, le temps de l’écrémage et des valeurs militantes affirmées et confirmées, selon la ligne du parti, pour l’accession aux instances de celui-ci.

Quoi qu’on en dise, le PCT, principal parti de la majorité présidentielle, devrait être à l’avant-garde de l’action du président. Dans la lutte contre les antivaleurs, il est temps que ce parti qui jusque là s’illustre par les intrigues et le silence coupable sur la question, donne le ton, imprime le rythme et marque la cadence, afin de servir de levier d'entrainement à tous les congolais. Le contraire serait une démission blâmable et coupable.

Mesdames et messieurs du PCT, le peuple vous regarde.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-30 09:00:55

Congo : Des cas de Chikungunya signalés dans le Kouilou

Des nombreux cas de Chikungunya ont été enregistrés dans le département du Kouilou, selon le Bulletin d’information de la Direction départementale de santé de Pointe-Noire, la capitale économique du Congo. 500 cas se sont révélés positifs au virus du Chikungunya.

Créé le 2019-01-29 13:24:23

Arlette Soudan-Nonault érige les cataractes de Brazzaville en site touristique pour renflouer les caisses de l'Etat

Resté longtemps dépendant du pétrole qui représente à lui seul 60% du PIB, le Congo veut désormais diversifier son économie en jouant la carte du tourisme. La ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault a annoncé le 27 janvier 2019 que le site touristique en construction aux cataractes du fleuve Congo, dans le 9e arrondissement, Madibou, à Brazzaville, allait contribuer à la diversification de l’économie congolaise, grâce aux taxes et impôts qui y seront prélevés sur les services et les commerces.

Créé le 2019-01-29 10:11:46

Congo – Violences conjugales : Tchibinda Binta est sortie de la phase critique

Quasiment revenue de la mort après une agression à la machette de son conjoint depuis porté disparu, Marlène Tchibinda Binta reste internée à l’hôpital central des Armées Pierre Mobengo. De nombreux anonymes lui témoignent chaque jour de leur soutien.

Elle est désormais une attraction, symbole des violences faites à la femme, tant le cas de cette miraculée, par delà l’émotion suscitée par son agression, a fait prendre conscience à nombre de ses concitoyens, de ces violences à l’évidence criminelles, que rien ne peut justifier, dont sont victimes les femmes.

De la fenêtre de sa chambre, Binta mesure l’élan de cœur suscité par son agression et la compassion de tous ceux qui viennent lui témoigner de leur soutien.

Alors qu’elle restait couchée, Binta peut désormais se redresser et saluer ses visiteurs massés à la fenètre de sa chambre, d’un signe de sa main gauche, tandis que la main droite sérieusement mutilée et au bandage imposant, reste immobile.

Pour Binta, le pire est passé, même si sa vie durant, elle vivra avec des incapacités physiques, conséquences de ses blessures. Mais combien sont-elles, ces femmes qui n’ont pas eu la chance de survire aux coups portés par leur bourreau d’époux.

Sans doute c’est pour porter ce message du bruit sourd des femmes battues, humiliées et violentées, voire tuées dans la quasi indifférence, que le cas de Marlène Tchibinda Binta interpelle tant les congolais, afin que ces actes ne demeurent pas impunis. Une prise de conscience qui fédère autant les hommes que les femmes sur ce noble combat porté par la ministre Inès Nefer Ingani.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-29 09:06:38

Congo - Disparition : Jean-Baptiste Yéké-Kokolo s’en est allé

L’honorable Jean Baptiste Yeké Kokolo, ancien député de Louvakou et actuel secrétaire du Conseil départemental du Niari est décédé dimanche 27 janvier à l’hôpital Central des Armées Pierre Mobengo, à Brazzaville. Ce cadre compétent, intègre et sympathique aura consacré sa vie à l’action militante, d’abord au sein de l’Union de la Jeunesse socialiste congolaise l’UJSC, et au Parti Congolais du Travail.

Il est parfois des nouvelles dont on ne peut s’accommoder, tant la seule évocation des faits provoque en soi un déchirement.

‘’Ce n’est pas vrai’’. Non, ce n’est pas vrai, me suis-je dis, en lisant le tweet du ministre Moungalla, annonçant le décès de l’honorable Jean Baptiste Yeké Kokolo, ancien député de Louvakou et actuel secrétaire du Conseil départemental du Niari. Un cadre compétent, intègre et sympathique nous quitte. Pensées émues pour sa famille et ses proches. RIP.’’

Soudain, entre larmes et flots de souvenirs qui ont envahi mon esprit, je me suis écrié : « Chef Yéké ! »

Chef Yéké, car le film que déroule ma mémoire me renvoi à la permanence du comité central de l’UJSC où nous avions nos bureaux, au département de la Presse, Propagande et Informations. Jean-Baptiste Yéké Kokolo tenait la division Agitation. À ce titre, il assurait le ‘’Télex de la jeunesse’’, une chronique en forme d’éditorial politique qui présentait les positions de la jeunesse congolaises sur diverses questions de la vie politique, économique et socioculturelle.

De sa voix rauque qui cadrait avec les besoins de la cause, Jean-Baptiste Yéké Kokolo a su insuffler une dynamique nouvelle au ‘’Télex’’ dont le but était de dire les choses de façon incisive, avec l’énergie d’une jeunesse engagée et prête à l’action.

Sous la conduite éclairée du premier secrétaire, Gabriel Oba Apounou, notre département dirigé en son temps par le camarade Godefroy Dominique Sala (décédé) a su jouer sa partition dans la vie de l’Union, selon les missions qui furent les siennes. Chacune des divisions qui assuraient les missions du département était animée par des hommes et des femmes dont les images envahissent encore mon esprit et me renvoient à mes espiègleries de ce plus jeune qui trouvait toujours une occasion parfois saugrenue de détendre l’atmosphère même lors des réunions de la plus haute importance.

Oui, je les revois tous : La division presse écrite avec Jean Enoch Ngoma, directeur du journal ‘’Jeunesse et Révolution’’. Il avait à ses cotés, Naouam Mahoungou Moundélé (décédé), Saturnin Kokolo Kouanga et Benoît Bikindou. La division audio-visuelle conduite par Émile Awoué et dont les sections étaient animées par Pierre Makita et Eugénie Ngouissani. Bonne Année Matoumona coiffait l’administration avec à ses cotés, Mabondzo et Bernadette Biahomba. Bertand Massamba le photographe tenait seul la division photo. Naturellement, Jean-Baptiste Yéké Kokolo tenait la division ‘’Agitation’’ avec les camarades Philipe Mboungou-Ndamba et autre François Itari Morheno (décédé).

« Nous venons au monde, avec pour chacun, la mission de nommer les choses », disait Sony Labou Tansi. Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Yéké Kokolo aura nommé les choses avec force et conviction, engageant sa personne dans les combats pour lesquels il était persuadé de la justesse. Des pages de son histoire écrites en lettres d’honneur et qu’il aura assumées jusqu’à ses derniers jours.

Adieu grand frère, adieu chef Yéyé !

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-28 14:58:52

Congo : Crise économique et financière, la thérapie de l’opposition

Les présidents des partis membres du collectif de l’opposition congolaise, notamment Mathias Dzon, Christophe Moukoueké, Jean Itadi et Raymond Serge Mviri ont animé une conférence de presse, le 26 janvier à Brazzaville, au cours de laquelle ils ont annoncé que le dialogue était l’unique moyen de sortie de crise économique et financière que traverse le Congo.

Créé le 2019-01-28 14:43:12

Congo : Un ministre s’en prend violemment à Denis Sassou N'Guesso

Le Bureau politique du Parti Congolais du Travail (PCT, parti au pouvoir), serait-il devenu une chambre de conspiration contre le président de la République, Denis Sassou N'Guesso ? Même si en réunion politique, les avis sont partagés et la démocratie des débats voudrait que chacun émette son avis, il apparait tout de même stupide, ignoble et ignominieux qu’un ministre de la République de surcroit membre du Bureau politique dont Denis Sassou Nguesso est de droit président du comité central, s’en prenne à la politique de celui-ci.

Créé le 2019-01-28 14:09:12

Congo - Lutte contre les antivaleurs : ‘’Sauve-qui-peut’’ au gouvernement

Dans son style bien particulier, basé sur des investigations pointues et des informations de premières-mains, aux sources fiables, notre confrère ‘’Le Troubadour’’ révèle, dans sa livraison du 28 janvier, les coulisses d’une quasi panique, pour certains ministres en délicatesse avec la Justice et dont les noms sont abondamment cités dans des affaires qui défraient la chronique des antivaleurs.

Loin d’être un simple coup de semonce, le message du président Denis Sassou N’Guesso sur l’état de la Nation, le 29 décembre dernier, est à l’évidence un véritable coup de pied dans la fourmilière, d’où semble vouloir s’échapper à tout prix et par tous les moyens, ceux des ministres qui savent que le général Obara les tient déjà en ligne de mire et que leur entrée dans la nasse n’est qu’une affaire de semaines ou de mois.

Si le menu fretin et autres poissons de taille moyenne semblent se résigner et attendent de subir les foudres de la justice, des gros poissons essaient de s’en soustraire, car ils savent qu’une fois pris dans la nasse, il leur sera très difficile d’en sortir et le spectacle de la tenue jaune-rouge de bagnard désormais arborée par les résidents de la MACB a de quoi pousser au combat, avec la dernière énergie, même en désespoir de cause.

Et c’est justement en désespoir de cause que ces ministres dont notre confrère le troubadour dresse le portrait en filigrane, se battent bec-et-ongles, afin de ne pas être entrainés dans la nasse par le courant dont ils sentent la force et l’emprise.

Selon le Troubadour, « des ministres et personnalités suspectés essaient de se garantir une immunité… C’est le cas d’un ministre en fonction (souvent cité dans la rue comme étant parmi les personnalités ayant mis à mal les finances de l’État) qui n’a pas hésité à s’en prendre au président de la République dans le cadre d’une réunion du bureau politique du Parti congolais du travail (PCT). Ce ministre, dans une posture de défi, qui traduit en même temps un désespoir, a osé dire : Pourquoi le chef de l’État fait de la lutte contre les antivaleurs son cheval de bataille ? A-t-il été élu sur la base de cette lutte ? »

« Un autre ministre en fonction, qui lui aussi se sent morveux, a trouvé une meilleure astuce pour échapper à d’éventuelles poursuites judiciaires : il a choisi d’aller se cacher derrière son parti politique et sa tribu. Après avoir instrumentalisé sa formation politique, qui l’a fait passer pour un bouc-émissaire à travers moult déclarations que les congolais ont suivi dans les médias pendant plusieurs semaines, il a laissé le tour aux membres de sa tribu pour assurer sa défense. Le mot d’ordre ici étant de jouer à fond sur la corde de la victimisation. Aujourd’hui, ce ministre s’échine à se faire passer pour le meilleur soutien et le meilleur propagandiste du président de la République. Une façon de montrer à Denis Sassou N’Guesso qu’il serait plus utile à l’extérieur qu’entre quatre murs d’une prison, dans la perspective de 2021.

Un ancien ministre qui est toujours dans les rouages du pouvoir, aurait, lui, joué des coudes pour arpenter rapidement les marches du Parti congolais du travail et entrer au bureau politique de cette formation. Cet ancien ministre, lui aussi cité dans des scandales financiers aurait choisi le PCT comme bouclier. Aujourd’hui, avec un tel soulagement, il ne manque pas, semble t-il, de confier à qui veut l’entendre : « ils ne viendront quand même pas me chercher dans une réunion du bureau politique pour aller répondre à une convocation de la Haute cour de justice ? »

Enfin, une personnalité dont les preuves de mauvaise gestion de son département ont été récemment étalées sur la place publique, n’arrête pas de crier sur tous les toits qu’on voudrait la faire passer pour un fusible. Son principal argument : « il n’y a pas que moi qui ai profité de mon département, d’autres l’ont fait avant moi, pourquoi ne sont-ils pas inquiétés ? »

Ce papier de notre confrère ‘’Le Troubadour’’, sous la signature d’Anicet Samba, montre combien la chronique judiciaire congolaise sera des plus scrutées en cette année 2019.

Une chose est sûre, des têtes tomberont. Reste à savoir, lesquelles tomberont. Et pour s’épargner un détour par la nasse, tous les moyens sont bons.

Face à cette nasse non sélective dressée par Denis Sassou N’Guesso, chacun des présumés suspects ou innocents coupables des antivaleurs, se débat tel le diable dans le bénitier. Dire qu’il y a un temps pour tout. Et le temps de la justice a sonné. C’est le peuple, au nom duquel sera rendue la justice, qui tient désormais l’horloge et indique l’heure à Denis Sassou N’Guesso.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-28 12:44:51

Le romancier Brice Patrick Ngabelet à la foire du livre de Bruxelles

Le romancier Brice Patrick Ngabelet, originaire du Congo-Brazzaville, sera présent à la foire du livre de Bruxelles, la capitale de l’Europe, le 14 février 2019 de 12h30 à 14h30. Son nom vient s’ajouter à de nombreux auteurs déjà annoncés pour les dédicaces.

Créé le 2019-01-28 12:33:58

Gros éboulement à Mvoungouti, la circulation des trains interrompue plusieurs jours entre Dolisie et Pointe-Noire

Un éboulement s’est produit la semaine dernière, à la gare de Mvoungouti dans le Mayombe. Un pan entier de la falaise s’est rompu brutalement sur plusieurs dizaines de mètres de hauteur, emportant environ 3 000 m³ de blocs de pierre. La voie ferrée s’est retrouvée recouverte de matériaux sur plusieurs dizaines de mètres.

Créé le 2019-01-28 11:49:48

Congo – Diplomatie : Le message de l’Ambassadeur Adada à ses compatriotes vivant en France et dans les pays de sa juridiction

Il est de tradition que la période de vœux court jusqu’au 31 janvier de chaque année. Restant dans les délais et afin de ne pas déroger à la règle, Son Excellence Monsieur Rodolphe Adada, Ambassadeur de la République du Congo en France a adressé un message de vœux à ses compatriotes vivant en France et dans les pays de sa juridiction. En voici la teneur.

‘’ Au seuil de la nouvelle année, je voudrais, au nom de l’ensemble du personnel de l’Ambassade du Congo en France et en mon nom propre, vous adresser mes meilleurs vœux pour l’année 2019.

À chacune et à chacun de vous, je souhaite des moments de bonheur, une parfaite santé et beaucoup de réussite dans vos différents projets.

L’année 2018 qui vient de tirer sa révérence a été particulièrement éprouvante au plan économique, avec une crise qui a lourdement pesé sur le budget de l’État et des divers établissements publics, sur l’activité des entreprises et sur les ressources financières des ménages, mais elle a été à certains égards, exceptionnelle pour l'ambassade et pour notre pays :

• La dématérialisation des procédures de traitement des dossiers a contribué à la modernisation des services consulaires de l’ambassade ;

• Un centre d’enrôlement a été installé à l’ambassade pour la délivrance des passeports ;

• La Plateforme de gestion de l'ambassade permet désormais d’effectuer toutes les opérations en ligne ;

• Le processus de paix enclenché dans la région du pool, ponctué par le ramassage des armes a été consolidé par la reprise du trafic sur le Chemin de fer Congo océan, dont chacun de nous connait l’importance. 

Chers compatriotes, plus que jamais, pour la nouvelle année 2019, nous demeurerons à votre écoute et ne ménagerons aucun effort pour vous apporter un service à l’attente de vos espérances. Ainsi, nous resterons ouverts à toutes vos suggestions constructives.

Je suis confiant que nous pourrons, avec détermination, continuer à travailler la main dans la main, dans l’intérêt de notre communauté et du Congo notre belle patrie.

À toutes et à tous bonne et heureuse année 2019 !

L’Ambassadeur,

Rodolphe ADADA’’

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-28 09:51:23

RDC - Football : Ndaye Mulamba a définitivement rangé ses crampons

L'ex attaquant international congolais Pierre Ndaye Mulamba, détenteur du record des buts marqués en une édition de la Coupe d'Afrique des nations, est décédé samedi en Afrique du Sud où il était soigné, a annoncé le ministre congolais des Sports samedi.

«Le ministre des Sports et Loisirs de la République démocratique du Congo, maître Papy Niango, a le profond regret d'annoncer à la communauté nationale et au mouvement sportif le décès de l'international et recordman des buts de la CAN, Ndaye Mutumbula Mulamba, ce samedi 26 janvier tôt le matin, en Afrique du Sud», a indiqué le ministère dans un communiqué.

Agé de 70 ans Ndaye Mulamba suivait des soins médicaux en Afrique du Sud depuis le mois d'août dernier, après un séjour en Inde pour la même raison.

Véritable terreur des défenses adverses, Ndaye Mulamba s’illustre dans les années 70 par son sens du but, au point que la seule évocation de son nom est synonyme de but.

En 1973, à peine arrivé à Kinshasa où il est presque méconnu du grand public sportif, Ndaye fait l’unanimité au poste d’avant-centre, chez les ‘’vert et noir’’ de l’AS Vita-club qui remporte la neuvième édition de la coupe d’Afrique des club champions, après avoir battu les Ghanéens d'Ashanti Kotoko en finale. 4-2 à l’allée au Ghana, 3-0 au match retour à Kinshasa. Il s'agit du premier titre continental pour le club alors qu'Ashanti Kotoko continue à peiner en finale, avec une troisième défaite en quatre tentatives.

L’année suivante, en 1974, alors qu’il n’est encore qu’un novice au sein des Léopard du Zaïre où les joueurs comme Kakoko, Kidumu ou autre Kalala s’illustrent en patrons au sein de l’attaque, Ndaye Mulamba surnommé Mutumbula s’impose comme un avant-centre de métier. Il illumine de mille feux la neuvième coupe d’Afrique des nations en marquant coup sur coup 9 buts en 6 matchs, détenant ainsi jusqu’à ce jour, le record du grand nombre de buts marqués par un jour en une édition de CAN. Adedi Pélé est son dauphin.

Décédé le 26 janvier 2019, Ndaye Mulamba est né le 4 novembre 1948 à Luluabourg, actuel Kananga dans la Kasaï central.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-27 19:35:28

Paulin Makaya demande à la presse d’aider les hommes politiques à sortir du cadre réducteur de la tribu

Le président du parti Unis pour le Congo (UPC/opposition), Paulin Makaya a exhorté la presse nationale et internationale ce samedi à Brazzaville, d’aider les hommes politiques à sortir du cadre réducteur de la tribu, l’un des drames des pays africains, afin qu’ils pensent nation dans toutes ses composantes socioculturelles.

Créé le 2019-01-26 23:01:54

Congo : Exploitation illégale et scandaleuse de l’or à Kellé

La population du district de Kellé accuse la compagnie chinoise Agil d’exploiter illégalement et de façon scandaleuse l’or dans pas moins de 32 sites dans le département de la Cuvette-ouest.

Créé le 2019-01-25 16:58:56

RDC - Alternance : Une belle leçon de démocratie à s'inspirer

De loin, la cérémonie d’investiture du nouveau président élu de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a drainé des milliers de téléspectateurs en Afrique et dans le monde, est une belle leçon de démocratie à s’inspirer en Afrique.

Créé le 2019-01-25 14:06:23

Mayoko : Départ pour une partie de chasse aux filets

Jugeant les fourrés suffisamment secs ce vendredi matin, les hommes du village Lekoumou,  à un jet de pierre de la ville de Mayoko dans le Niari (sud), ont organisé une grande partie de chasse aux filets servant à piéger les gazelles, porcs épics, antilopes, gros rats (koumbi en langue nzebi)…

Créé le 2019-01-25 11:39:31

Congo – Cybercriminalité : De faux comptes attribués au ministre Moungalla créés sur twitter

Un compte twitter à l'identité du ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla est actif depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. Cette manœuvre serait une usurpation d’identité pour laquelle le ministre a appelé ses ''amis'' du net à la vigilance.

Après lui avoir attribué un faux compte face-book, plateforme qu’il n’utilise plus depuis bientôt deux ans déjà, ces charlatans disons-nous remettent le couvert, en créant de faux comptes twitter avec le prête-nom du ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement.

Entrer au cœur de la communication gouvernementale et y créer une diversion, tel serait sans doute le dessein inavoué de certains charlatans du net qui n’ont de cesse de pirater, voire de fabriquer de faux comptes attribués au ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla, sur les réseaux sociaux.

Aussi le ministre reprécise t-il les caractéristiques des vrais comptes twitter que voici, relevant de sa personne.

Cette pratique à l'évidence criminelle n'a d'autre but que de nuire à la réputation de la personne ciblée, en véhiculant à travers son réseau d'amis, des informations erronées, devant la desservir, mais aussi en présentant des faux documents ou de fausses opinions véhiculés par cette plateforme, comme la position officielle du gouvernement congolais. Incurie.

Le ministre Moungalla en appelle donc à la vigilance face à ces cybercriminels dont les capacités de nuisance demeurent opérationnelles.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-25 10:28:39

Congo – Minusca : Y aurait-il une solde minorée pour le contingent congolais ?

La voix du silence, sur fond de traitement financier du contingent congolais de la Minusca, monterait des rangs des soldats qui font état d’une solde minorée par le commandement à Brazzaville. Qu’en est-il réellement ?

Même si ses troupes sont placées sous pavillon de l’ONU, l’armée demeure ‘’la grande muette’’ et rarement les états d’âme des soldats ne traversent les murs des casernes, sauf cas extrêmes, quand ils se transforment en mutineries, ce qui est loin d’être le cas pour des troupes dont la discipline, par delà les frustrations, demeure l’arme principale.

En s’intéressant au plus près de ce dossier, il ressort que l’ONU ne gère pas directement les troupes des pays tiers placées sous son mandat. Selon un mémorandum d’entente, l’argent est versé à l’État concerné, en l’occurrence le trésor public, pour le cas du Congo. Ainsi le pactole dévolu aux troupes congolaises de la Minusca serait géré par le ministère des finances et celui de la défense dont l’organe technique est la direction générale de l’administration des finances, DGAF dont l’ordonnateur serait le chef d’état major général, CEMG, en sa qualité de patron du GAS, groupe d’anticipation stratégique de l’ONU.

Ainsi, les salaires des casques bleus congolais majorés selon les barèmes de l’ONU suivraient le circuit normal de gestion des finances de l’Armée. Et là, s’opèreraient les ponctions qui seraient à l’origine du malaise des troupes. Ainsi, un différentiel de 900. 000 francs CFA serait noté entre les troupes qui l’année passée, avaient reçu 7.400.000 francs CFA alors que la somme évoquée cette année se monte à 6.500.000 francs CFA.

Même si elles relèvent d’une force mixte, Armée, Gendarmerie et Police, les unités déployées en RCA dépendent au plan opérationnel, administratif et financier, du  chef d’état major général, CEMG.

Dans sa comptabilité matière, le mécanisme de la Minusca intervient sur deux volets. Les dépenses du matériel bien souvent spécifique aux capacités opérationnelles des troupes qui y sont exercées et habituées et les salaires du personnel engagé.

Ainsi qu’on le voit, ce malaise au sein de la Minusca couverait donc entre les troupes engagées en RCA et leur chef hiérarchique restée à Brazzaville, à ses bureaux de l’état major général des armées dont il assure la charge.

Vivement qu’une solution soit trouvée dans les délais, car il y va de la crédibilité de la Nation congolaise, surtout à un moment où se mène la lutte contre les antivaleurs.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-01-25 09:16:40

Consommation de drogue en milieu scolaire : Les élèves accros au chanvre à l’école conventionnelle évangélique de Dolisie

Il n’y a pas de statistiques officielles, mais les élèves de l’école conventionnelle évangélique de Dolisie dans le Niari (sud) ont succombé à la tentation du chanvre indien. Deux de la classe de 3ème D, Pea et Marlin, ont été surpris ce matin par leur surveillant général, Sylvain Kibiti, entrain de griller leurs joints dans la salle de classe.

Créé le 2019-01-24 17:31:03

  • Début
  • Précédent
  • 294
  • 295
  • 296
  • 297
  • 298
  • 299
  • 300
  • 301
  • 302
  • 303
  • Suivant
  • Fin
Copyright © 2025 Les Echos du Congo Brazzaville - Tous droits réservés .