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Le Président congolais, Denis Sassou N’Guesso a quitté Brazzaville ce samedi 9 février 2019 pour Addis-Abeba. Dans la capitale éthiopienne, le Chef d’Etat congolais prendra part au 32eme Sommet ordinaire de l’Union Africaine consacré à La situation des réfugiés en Afrique.
Créé le 2019-02-09 15:24:07
Fermé depuis 1991, le Mess des cheminots, propriété de la Compagnie Minière de l’Ogooué (COMILOG) s'offre une seconde vie. Hier endroit privilégié des ouvriers de la Comilog pour boire, manger et danser, aujourd’hui, l'établissement se métamorphose en centre culturel, un lieu rempli de vie, grâce à la nouvelle équipe municipale déterminée à donner une seconde chance à la jeunesse de Mbinda dans le Niari (sud) pour améliorer leurs conditions de vie et rompre avec l’oisivété.
Créé le 2019-02-09 12:39:56
Dans le district de kakamoeka, la Fédération PCT du Kouilou, a choisi le président Denis Sassou Nguesso comme son candidat à la prochaine présidentielle.
Créé le 2019-02-08 19:32:56
Le nouveau président élu de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a invité son homologue congolais, Denis Sassou Nguesso pour une visite officielle à Kinshasa. L’invitation a été acceptée et la date sera fixée par voie diplomatique, selon un communiqué relatif à la visite de travail du successeur de Joseph Kabila, les 7 et 8 février 2019 à Brazzaville.
Créé le 2019-02-08 18:39:46
Accueilli par son homologue Denis Sassou-N’Guesso, jeudi à Brazzaville, le président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo poursuit sa visite d’État dont l’agenda prévoit des entretiens de haut niveau.
Après des entretiens en tête à tête avec le président Denis Sassou N'Guesso au palais du peuple jeudi en soirée et une réception à la résidence présidentielle, la journée de vendredi s’annonce tout autant chargée pour Félix Tshisekedi Tshilombo, sur la rive droite du fleuve Congo.
Outre des entretiens entre les deux chefs d’État, des échanges sur les relations de coopération entre les deux pays, sur les derniers développements de l’actualité de deux pays et du reste du Monde sont au menu des activités présidentielles.
Ainsi que cela s’annonce, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ne pourrait pas manquer de puiser dans l’expertise et l’expérience du président Denis Sassou N’Guesso, les ressorts d’apaisement du climat politique dans son pays, en cette période postélectorale, ainsi que de préservation de la paix, l’unité et la réconciliation nationale, ainsi qu'il s'en est engagé dans son pays.
Avant de regagner son pays, le président Félix Tshisekedi s'entretiendra avec la communauté ''RDcongolaise'' résidant au Congo-Brazzaville. Une occasion de repréciser à ses compatriotes, les principes de bon voisinage, axés sur le respect des lois et des réglements du pays de résidence, mais aussi de faire part de l'action qu'il entend mener à la tête du pays, avec bien sûr, l'apport de la diaspora qu'ils représentent.
Tout compte fait, moins de deux semaines après son investiture, le président de la RDC Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, après Luanda en Angola et Nairobi au Kenya, poursuit ses consultations au haut niveau dans la région Afrique, afin, sans nul doute, de bien asseoir sa diplomatie, de promouvoir le bon voisinage et les relations internationales.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2019-02-08 09:47:42
Le Président congolais Denis Sassou N’Guesso a accueilli son homologue de la RDC, Félix Tshisekedi à l’aéroport Ma-Maya de Brazzaville, jeudi après-midi. Le président Tsisekedi effectue en terre congolaise, une visite officielle de 48 heures.
Denis Sassou N’Guesso était au pied de la passerelle pour accueillir son hôte de marque, Félix Tshisekedi qui effectue en terre congolaise son tout premier voyage d’État.
Exécution des hymnes, revue des corps constitués, l’ambiance était à la solennité.

Après quelques instants de conciliabule au salon d’honneur de Maya-Maya, les deux chefs d’État ont eu droit à un bain de foule des congolais des deux rives, qui avaient fait en grand nombre, le déplacement de Maya-Maya.
Les entretiens entre les deux chefs d’État se sont ensuite poursuivis au Palais du Peuple avec en toile de fond, les questions d’intérêt commun aux deux États, le Congo et la RDC, dont les relations ne souffrent d’aucun nuage.
Dans la soirée, Denis Sassou N’Guesso a offert au Palais du Peuple, un banquet en honneur de son hôte et la délégation qui l’accompagne.

Brazzaville est une étape très importante pour cette première tournée du nouveau président de la RDC, Félix Tshisekedi.
Brazzaville et Kinshasa, les deux capitales les plus rapprochées au monde, sont condamnées à coopérer, quelles que soient les humeurs des acteurs politiques.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2019-02-07 20:28:08
Un homme se faisant passer pour Jean Denis Sassou-N’Guesso (JDSN) a été appréhendé par les services de Police pour usurpation d'identité, faux et usage de faux.
Un habile escroc, avec un réel sens de la mise en scène. L’homme avait un garde du corps pour faire enfant de chef d’État et flouer ainsi les potentiels suspicieux. « Jean Denis sassou Nguesso » et son « garde du corps » ont été appréhendés par la police pour escroquerie.

Le soi-disant « fils de président qui se passait pour le PDG d’une entreprise imaginaire avait également un complice ouest africain, dénommé Silla Tidiane. Celui-ci l'avait introduit dans sa communauté pour faciliter les « affaires ».
Le pseudo Jean Denis aurait bénéficié de grosses sommes d'argent en échange des gros marchés et des privilèges imaginaires. Couvert par son patronyme, aucune des personnes escroquées n’osait le poursuivre.
L’enquête déterminera le montant du préjudice subi par les victimes du pseudo Jean Denis Sassou N'Guesso, même si d'aucun pensent que dans ce qui apparait être une escroquerie en bande organisée, outre les complices appréhendés, la police se doit également d'arrêter son coiffeur qui l'aurait ''sosifié'' à la perfection, ce qui ne serait pas sans arrières pensées sur l'usage de cette prouesse capillaire.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2019-02-07 16:58:23
7 février 1978, il y a 41 ans, tenus pour responsables de la mort du président Marien Ngouabi, 10 congolais condamnés à mort étaient exécutés, « passés par les armes » selon l’expression consacrée, après un mois de procès. À leur endroit, Jacques Joachim Yhombi-Opango président du CMP avait prévenu, dans son message de fin d’année 1977 : « il n’y aura pas de pitié ni de pardon ».
La commémoration des 40 ans du mouvement du 5 février par le Parti Congolais du Travail a ravivé auprès de certains congolais, le souvenir du Comité Militaire du Parti et rouvert en d’autres, des plaies qui tardent à se cicatriser, sur fond de sentiment d’une « histoire tronquée ».
« Analyser les faits historiques avec les yeux d’un contemporain n’est rien d’autre que de la fiction ». Ce postulat semble juste, tant « le champ de notre conscience s’élargi sans cesse. Les faits anciens s’éclairent de lumières nouvelles, et leur aspect se modifie ». Aussi, la lecture des faits historiques se doit-elle d’être placée dans un contexte temporel, dont les réalités obéissaient aux évènements qui les ont engendrés.
L’histoire du 5 février est accolée à celle du CMP qui lui même ne peut être dissocié de l’histoire de la mort du président Marien Ngouabi.
La tentation révisionniste apparait toujours de plus en plus grande en février et mars, auprès des nombreux congolais réfractaires à la version officielle sur les évènements de mars 1977 et de ceux qui en ont découlé.
« Cette conférence a le droit, mieux le devoir de demander la révision du procès sur l’assassinat du commandant Marien Ngouabi, (…) ainsi que les éclaircissements sur l’exécution de ceux que la cour révolutionnaire d’exception avait tenus pour responsables.» Ainsi s’était entre autres propos, exprimé Jacques Joachim Yhombi Opango, pendant la conférence nationale souveraine. Pourtant, rien de tel ne fut fait.
Le 3 avril 1977, le Comité Militaire du Parti communique sa structure définitive. Jacques Joachim Yhombi-Opango en est le numéro un et devient le quatrième Président de la République du Congo.
Le 5 avril 1977 le CMP promulgue un Acte fondamental de 24 articles qui modifie plusieurs dispositions de la constitution. L'Assemblée Nationale est dissoute. Ses pouvoirs et ceux du Comité Central du PCT sont transférés au CMP.
Le 6 avril, Joachim Yhombi-Opango prête serment comme Président de la République du Congo. Il déclare œuvrer dans la ligne de Marien Ngouabi pour l'édification d'une société socialiste.
Le 3 janvier 1978, une Cour révolutionnaire d'exception ouvre le procès de 42 personnes, impliquées dans l'assassinat du président Marien Ngouabi (en plus de ceux déjà condamnés par la cour martiale de 1977). Après un mois de débats, dix des accusés sont condamnés à mort. Tous faisaient partie de l'entourage du président Massamba-Débat. Sollicité, le président Joachim Yhombi-Opango leur refuse la grâce présidentielle.

Dans la nuit du 6 au 7 février 1978, ils sont exécutés. Diverses peines sont prononcées contre les autres accusés, proches de Massamba-Débat ou membres de la sécurité du président Marien Ngouabi.
Quelques jours après l'exécution des condamnés, dans la nuit du 13 au 14 février 1978, le capitaine Barthelemy Kikadidi, considéré comme le chef du commando qui a assassiné le président Marien Ngouabi, et vivait dans la clandestinité depuis près d'un an, est repéré dans le quartier de Makelekele où il se terrait, et est abattu.
Courant 1978, le climat se détériore au sein du CMP. Le capitaine Pierre Anga publie un document intitulé "Ce qui nous divise et les moyens de conjurer une crise dans un processus révolutionnaire", qui dénonce des manœuvres souterraines de Denis Sassou N'Guesso en vue de supplanter Yhombi-Opango. Le colonel Denis Sassou N'Guesso, premier vice-président du CMP, exige et obtient la suspension de Pierre Anga du CMP pour diffamation.
Si comme le ministre Florent Ntsiba qui tient des archives d’une valeur historique incontestable, d’autres congolais, acteurs ou témoins de ces évènements « qui nous divisent », apportaient leur contribution aux historiens ou à l’opinion, notre histoire serait expurgée de toutes les interprétations parfois erronées qui entretiennent les rancœurs et perpétuent le flou de la division.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2019-02-07 11:57:57
L'encre de l'accord entre la République du Congo et la société Eni Congo est à peine sèche et déjà les ministres des Finances et du Budget, Calixte Nganongo et son collègue des Hydrocarbures, Jean-Marc Thystère Tchicaya le remettent en cause.
Créé le 2019-02-06 22:02:30
Brazzaville, la capitale congolaise, est plongée ce mercredi soir dans le noir. Les populations font recours aux lampes torches, lampes lucioles, bougies et autres pour s'éclairer.
Créé le 2019-02-06 20:59:11
L’adjudant-chef de Police Thomas Yembi a agressé violement un enfant de 3 ans ce mercredi matin, au quartier Bacougni à Dolisie dans le Niari (sud).
Créé le 2019-02-06 18:47:39
Une dame a fait une découverte macabre ce mercredi dans le 5ème arrondissement de Brazzaville, la capitale congolaise.
Créé le 2019-02-06 18:13:25
Cela gronde. Cela grogne. Cela bourdonne. Cela murmure grave, à Dolisie dans le Niari (sud), au sein des militaires de la zone de défense N°2. Et pour cause, ils boudent l’annonce des résultats de la liste des candidats au franchissement.
Créé le 2019-02-06 17:23:27
Le prix du gaz butane a augmenté à Brazzaville depuis plus d’un mois. La bouteille de 12 kg qui coûtait 5 700 est actuellement vendue à 6500 FCFA et celle de 20 kg est passée de 9000 à 10 500 FCFA, voire 11000 dans les rares points de vente de la ville capitale.
Créé le 2019-02-06 15:43:32
De nombreux jeunes congolais de Kinkala dans le département du Pool s’affairent tous les jours aux travaux de vannerie. Certains dans des ateliers et d’autres sous l’ombre d’un manguier à ciel ouvert. Chaque matin, on aperçoit déjà ces jeunes vanniers entrain de déballer leurs sacs à outils : petits couteaux, tenailles, scie à métaux, marteaux, teinture, des bouteilles d’eau…
Créé le 2019-02-06 13:23:28
Le président libérien, George Weah, a appelé ses compatriotes à consacrer deux heures, chaque jour, à des prières afin de restaurer l’économie du pays. Une requête communiquée par voie officielle, notamment à travers un communiqué signé du conseiller spirituel du président, le révérend Emmanuel Nimely. Ce dernier demande par ailleurs aux croyants de la nation libérienne d’organiser une veillée de prière chaque dernier vendredi du mois en faveur du gouvernement et des populations.
Créé le 2019-02-06 10:47:10
Guy Brice Parfait Kolelas, leader de l'UDH Yuki a été convoqué le lundi 4 février 2019 par le bureau de l'Assemblée nationale congolaise. La présence du député de Goma Tsé-Tsé dans l’hémicycle, dans les dispositions actuelles, poserait problème.
La loi électorale congolaise prévoit qu’en cas de non organisation des élections législatives dans une circonscription, le député de la précédente législature continu de siéger, jusqu’à la tenue des élections partielles.
Cette disposition appliquée dans 8 circonscriptions du département du Pool où les législatives de 2017 n’avaient pu se tenir pour cause de conflit armée ayant entraîné un déplacement massif des populations, serait en train de rattraper le député de Kinkala, Guy Brice Parfait Kolelas. De plus en plus, sa place dans l'hémicycle poserait problème.

En effet, Guy Brice Parfait Kolelas siègerait en qualité de député du MCDDI, label de son élection aux précédentes législatives, alors qu'il est désormais à la tête d'une autre formation politique qui a été officiellement reconnue. Une disposition qui débouche sur un vide juridique, à moins de ne revisiter l’histoire tumultueuse du Congo.
Dans les milieux de l’UDH-Yuki, une question revient : « pourquoi le statut de Guy Brice Parfait Kolelas ne poserait problème qu'aujourd'hui alors qu'il a eu à siéger pendant plusieurs mois?
Rappelons qu’aux législative de 2017, les élections s’étaient tenues sur toutes l’étendue du territoire national, à l’exception toutefois des bureaux de vote des districts de : Kindamba, Vinza, Kimba, Mayama, Mindouli, Kinkala district, Bandza Ndounga et Goma-tsétsé.
Les députés issus de la précédente législature y ont gardé leur siège, sous le même label, sauf Guy Brice Parfait kolelas qui a entretemps, créé une autre formation politique.
Certains esprits avisés proposent la tenue de législatives partielles dans ces 8 circonscriptions afin de régler définitivement le problème.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2019-02-05 09:55:20
Depuis 2016, la ville de Kindamba dans le département du Pool (sud) n'est plus illuminée la nuit. Des voleurs ont dérobé les câbles électriques et les puissantes ampoules, qui servaient à éclairer cette localité qui compte 6 380 habitants, et située à moins de 300 km de Brazzaville, avec de conséquences fâcheuses sur les activités économiques dans le secteur de vivres frais.
Créé le 2019-02-04 21:43:54
Pour mettre définitivement un terme au détournement des fonds publics, le président de l’Assemblée nationale congolaise, Isidore Mvouba a invité les parlementaires à intensifier le contrôle de l'exécutif.
Créé le 2019-02-04 13:43:12
Le 5 février 1979, une session extraordinaire du Comité Central du Parti Congolais du Travail, mettait un terme au règne du Comité Militaire du Parti (CMP), directoire politique provisoire, institué au lendemain de la mort du Président Marien Ngouabi. À certains de ses dirigeants, notamment le général Jacques Joachim Yombi-Opango, les cadres du PCT reprochent une ligne droitière et « liquidationniste » et un embourgeoisement sans limites, au mépris du peuple.
Jusqu’au début de l'année 1979, le Comité militaire du Parti, alors chargé d’organiser les obsèques du président Marien Ngouabi, semble se complaire à la conservation du pouvoir. De nombreux cadres du PCT, au nombre desquels Jean-Pierre Thystère-Tchicaya, Pierre Nzé, Jean-Michel Bokamba-Yangouma, Gabriel Oba Apounou, et bien d’autres, dénoncent la destruction du parti orchestrée par les tenants de la « ligne droitière et liquidationniste » caractérisées par une « bourgeoisie bureaucratique compradore ».
Ainsi soutenues, les organisations de masse du PCT (CSC, URFC et UJSC) se saisissent du sujet et réclament la tenue d'une session extraordinaire du Comité central, mis en veilleuse depuis l'institution du CMP.
La réunion s'ouvre le 5 février 1979 dans une ambiance électrique. Le pays tout entier retient son souffle. Au palais du peuple où se tiennent les travaux, selon qu’ils sont favorables à tel ou tel autre camp, des corps de l’armée se font face et se regardent en chiens de faïence, le doigt sur la gâchette.
De partout, à travers le pays, le travail est mis en veilleuse dans les écoles ou les administrations où l’on reste l’oreille collée au poste transistor pour suivre la retransmission de l’ouverture des travaux ainsi que les conclusions qui en découleront.
Le discours d’ouverture du président Yhombi est d’une durée inhabituelle, tant il est presque interminable, et son ton on ne peut plus martial n’est pas pour rassurer. L'angoisse monte, surtout que des danses guerrières auaraient été exécutées, signe d'une déflagration annoncée et on redoute une action militaire ouverte. Les membres civils du comité central du PCT prennent Denis Sassou N'Guesso pour bouclier face à la menace armée qui semble peser sur eux.
Dès le premier jour, le président du CMP, Jacques Joachim Yhombi-Opango est mis en minorité. Il est contraint d'accepter la dissolution du CMP et la fin de son mandat à la tête de la République. Sous la contrainte, le président du CMP remet les pleins pouvoir au PCT qui les lui avait cédé, le temps des obsèques du président Marien Ngouabi.
Alors colonel, Denis Sassou N’Guesso est élu Président du Comité préparatoire du troisième congrès extraordinaire du Parti. Le troisième Congrès extraordinaire de mars 1979, confirmera son élection à la tête du Parti et par conséquent à celle de l’Etat. Il devient ainsi « l’homme du 5 févier 1979 ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2019-02-04 12:58:56