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Congo – Drame du stade d’Ornano : Anatole Collinet Makosso et son gouvernement devant les députés qui demandent des explications

L’Assemblée nationale a convoqué une séance de questions d’actualité, pour ce jeudi 23 novembre. Même si aucune précision n’a été donnée sur l’ordre du jour de ladite séance, tout porte à croire que la plénière sera consacrée au drame survenu dans la nuit du 20 au 21 novembre au stade d’Ornano, avec cette bousculade qui a causé la mort d’une trentaine de jeunes congolais. Comprendre les faits, dégager les responsabilités et envisager des correctifs.

En dehors de l’ouverture d’une enquête administrative mixte police-Forces armées congolaises pour déterminer les causes du drame, ainsi que l’auto-saisine du procureur de la République qui a ouvert une enquête de flagrance, les députés vont entendre le gouvernement, notamment le ministre de la Défense nationale, sur les causes de la bousculade au stade d'Ornano.

De même, le gouvernement devra édifier la représentation nationale sur l’essence des mesures prises, notamment, la suspension du recrutement en faveur des Forces armées congolaises jusqu’à nouvel ordre sur l’étendue de la ville de Brazzaville, l’engagement d’assister les victimes du drame pour l’ensemble des frais médicaux, ainsi que pour les frais de veillées et d’inhumation.

Les élus du peuple veulent enfin comprendre, pourquoi ce dramatique dysfonctionnement. Que des jeunes désireux de servir sous les drapeaux trouvent la mort sur le chemin du recrutement.

Rappelons que le bilan révisé rendu public par le gouvernement, le 21 novembre, fait état de trente et un morts (31) dont deux (2) en cours d’identification, Le nombre de blessés évalué à cent quarante-cinq (145) jeunes pris en charge, qui sont sortis des hôpitaux et traités en ambulatoire.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-23 12:12:05

Congo : La Commission Justice et Paix fustige le projet BaCaSi de Total Énergies

La Commission Justice et Paix de Pointe-Noire a publié son rapport de suivi du projet BaCaSi de Total Énergies, intitulé " La compensation carbone au prix des droits humains", le 22 novembre courant à l'hôtel de l'ACERAC de Brazzaville. Au cours de la conférence de presse, Brice Makosso, le Secrétaire Permanent de ladite Commission et Alain Louganana, le Responsable de la recherche et assistance juridique, sont revenus sur le caractère inadapté et la dangerosité du projet sur les populations de Ngo et les environs, dans le département des Plateaux.

En effet, ce rapport, qui s'interroge sur la compensation carbone au détriment des droits humains, donc des populations est-elle la bienvenue ? Répond-elle aux besoins et aux desideratas des populations ?

Par ailleurs, la Commission Justice et Paix, publie ce rapport : " pour rendre compte de la réalité des personnes impactées par le projet BaCaSi ; porter leur voix et formuler des recommandations qui soient fondées sur leurs demandes. Ce rapport s'appuie sur les informations recueillies lors de différentes missions de terrain et d'échanges avec les personnes impactées par le projet à Ngo", ont-ils spécifié. "Ainsi que sur des échanges qui ont eu lieu dans le cadre d'un dialogue initié avec Total Énergies et ses partenaires dès novembre 2022", stipule ledit rapport.

En outre, les deux interlocuteurs ont relevé un aspect très négatif et ont décrié l'expulsion des populations entières de leurs terres arables. Il faut signifier que toutes ses populations sont des agriculteurs et vivent de leurs activités agricoles et autres. Ce changement d'usage des terres et la restriction de l'accès au périmètre du projet ont de facto impacté de façon négative certains membres de la population locale.

Les populations autochtones quant à elles affirment s'être vu refuser l'accès aux forêts pourtant essentielles à leurs ressources vivrières.

Eu égard à ce qui précède, quelques recommandations ont été initiées, entre autres : au regard des manquements constatés puis soulignés, des actions de remédiassions pour les personnes impactées par le projet BaCaSi doivent être engagées par les porteurs du projet et l'état congolais ; l'introduction de garde-fous contraignant dans la structure et le fonctionnement des marchés carbone est indispensable afin de s'assurer que le respect des droits humains demeure une considération primordiale de ces dispositifs.

Cela implique de renoncer à la comptabilité du carbone séquestré comme source d'atténuation, et d'engager des mesures politiques pour réduire réellement les émissions de gaz à effet de serre.

VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-23 10:37:22

Drame d’Ornano : Le couple présidentiel présente ses condoléances aux familles endeuillées

« Mes chers compatriotes, notre pays est en deuil. Nos enfants ont perdu la vie dans la nuit du 20 au 21 novembre au stade d'Ornano, à Brazzaville, alors qu’ils voulaient s’engager pour servir la République sous le drapeau. Au moment où j'adresse ces mots de compassion, mes pensées vont aux familles endeuillées. Au nom de la Nation congolaise, mon épouse et moi-même adressons aux familles éplorées, nos sincères condoléances. Nous adressons, par la même occasion, nos vœux de prompt rétablissement à ceux qui sont admis dans les centres médicaux », a écrit le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso sur son compte Twitter.

On rappelle que le gouvernement congolais a décrété pour ce mercredi 22 novembre 2023, une journée de deuil sur l’ensemble du territoire national avec mise en berne des drapeaux, fermeture des bars dancings, débits de boisson et autres lieux festifs, en mémoire des victimes de la bousculade du stade d’Ornano, dans laquelle trente et un Congolais ont trouvé la mort, et cent quarante-cinq blessés dont quatre dans un état grave.

Il s’agit de jeunes gens qui postulaient au recrutement dans les Forces armées congolaises à la suite d’un appel général lancé par l’institution militaire.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 20:53:41

Reçu à Brazzaville, le Vice-président gabonais fait le point de la transition au Gabon à Denis Sassou N’Guesso

Le Vice-président gabonais de transition, Joseph Owondault Berre, a été reçu en audience, mardi 21 novembre 2023 à Brazzaville, par le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso. L’entretien entre les deux personnalités a porté sur le processus de transition au Gabon.

À Brazzaville, le vice-président de la Transition est venu transmettre officiellement au Président congolais le chronogramme élaboré par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI), rendu public le 13 novembre dernier.

Par cette action, en plus d’honorer son premier soutien depuis le coup d’État du 30 août 2023, Libreville semble vouloir démontrer sa bonne foi et donner des preuves que les militaires n’entendent pas s’éterniser au pouvoir.

Face à la presse congolaise, le numéro deux gabonais a assuré de la bonne entente entre le Gabon et le Congo.

«Le président Oligui, dans le cadre de ses toutes premières sorties, est venu au Congo pour affermir les liens qui sont les nôtres et il a reçu en retour le soutien de son aîné. En un mot, les relations entre le Congo et le Gabon se portent très bien», a déclaré Joseph Owondault Berre qui était accompagné du ministre gabonais des Affaires étrangères.

Ce chronogramme de la Transition qui, à titre indicatif prend fin en août 2025 par l’organisation des élections, semble apparaître pour Brice Oligui Nguema comme une base sur laquelle ses soutiens devraient s’appuyer pour plaider sa cause auprès d’institutions ayant sanctionné son pays ou celles qui menacent de le faire.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 20:31:23

Pointe-Noire : Les arts de rue reprennent leur quartier

Ce jeune acrobate congolais a tout pour séduire les habitués et les passants interloqués par la présence d’un spectacle impressionnant au coin de la rue de la ville océane. Pointe-Noire démarque aussi en laissant ses artistes choisir d’investir les lieux qu’ils désirent dans la ville. Ils n’ont pas d’obligation de se produire à des endroits précis comme cela peut se faire ailleurs. 

Seul, ce jeune acrobate de rue réalise des numéros surprenants lors d’animations de rue.

Vu fréquemment dans la ville de Pointe-Noire, il n'a peur de rien et a le mérite d'impressionner le public.

Généralement sans aucun « filet de protection », seule la puissance des bras et du corps supporte ce spectacle vivant très proche de la haute voltige.

Quand la puissance et la grâce se donnent rendez-vous… animation originale garantie !

Aucun obstacle ne le freine. Il est capable d'affronter toutes les difficultés et trouve toujours une issue à son parcours pour créer le buzz.

Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 11:24:06

Scandale à la Cemac : Un rapport accablant révèle les détournements massifs et le népotisme effréné de l’ancien président Daniel Ona Ondo

Selon un rapport du cabinet Performances ayant audité la gouvernance de la dernière administration de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), de graves irrégularités ont été constatées. Ce rapport, dont Jeune Afrique a pris connaissance et que le journal a publié ce 21 novembre 2023, «a mis au jour une mauvaise gestion des ressources de l’institution» sous la présidence du gabonais Daniel Ona Ondo. Les faits relevés sont les suivants :

– Une hausse considérable en 2022 et début 2023 de certains postes de dépenses comme les frais d’hôtel (multipliés par 9), la location de véhicules (multipliés par 10) et les achats de fournitures de bureau (triplés).

– Un recours excessif aux caisses d’avance pour près de 7 milliards de francs CFA entre 2020 et 2023, en violation du règlement financier. Ce mécanisme a entraîné «des dépenses non justifiées qui s’élèvent à plus de 8 milliards de F CFA», dont des factures payées plusieurs fois, contrefaites ou fictives, indique Jeune Afrique.

– Des manquements concernant Daniel Ona Ondo lui-même et ses proches. L’ex-président a par exemple perçu plus de 1,1 milliard de francs CFA d’indemnités de départ, soit 650 millions de plus que le montant statutaire auquel il pouvait prétendre.

– 21 véhicules sont sortis du parc automobile de la Commission fin 2022, sur décision unilatérale de Daniel Ona Ondo et sans appel d’offres. Lui-même, des membres de sa famille et d’autres responsables les ont acquis à des prix très inférieurs à leur valeur. Par exemple, sa fille, Joëlle Rebecca Zoua Ona, a payé 2 millions de francs CFA une Toyota Fortuner achetée 30 millions de francs CFA deux ans plus tôt.

– 4,4 milliards de francs CFA de primes et indemnités diverses ont été distribués entre novembre 2022 et juin 2023, dont 92% au président, aux membres de sa famille, aux responsables financiers et au contrôle.

– Près de 3 milliards de francs CFA de primes exceptionnelles ont bénéficié à Daniel Ona Ondo personnellement, soit 2,4 milliards de plus que ses droits. Sa fille (Joëlle Rebecca Zoua Ona), son frère (Joseph Désiré Ondo Ngoua), son neveu (Loïc Francky Ondo Ona) et d’autres proches ont aussi profité de 360 millions de primes indues.

– 15 millions de francs CFA ont été débloqués mi-décembre par Daniel Ona Ondo pour sa fille, officiellement pour des dépenses de gestion. Une partie a en fait servi à financer un événement privé, avec 10 millions de francs CFA de frais de bouche.

Le rapport dénonce également des surfacturations par des entreprises prestataires, et leur réclame le remboursement de plus de 1,4 milliard de francs CFA.

Pour l’auditeur, ces dérives devraient déclencher des actions en justice contre «les responsables et personnels auteurs, coauteurs ou complices». Baltasar Engonga Edjo’o, actuel président de la Cemac, a reçu des ministres de l’Économie de la zone tout pouvoir pour initier des procédures disciplinaires et pénales.

Le rapport fourmille aussi de recommandations pour réformer en profondeur le fonctionnement de la Commission. D’autres audits sont prévus, concernant notamment la gestion de la taxe communautaire d’intégration, une importante manne financière.

L’article original de Jeune Afrique est truffé de détails aussi croustillants qu’écœurants.

La justice va-t-elle enfin sévir ?

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 10:39:41

Drame d’Ornano : Une ministre reporte illico presto son mariage

Inès Nefer Ingani veut être la reine d'un jour. Sauf qu'avec le drame survenu au stade d'Ornano dans la nuit du 21 au 22 novembre 2023 qui a endeuillé notre pays, le décompte avant son mariage s'est allongé. La ministre de la Promotion de la Femme et Présidente de l'organisation des femmes du Congo, a dû reporter illico presto son mariage avec son futur et précieux époux, Dieudonné Voumbo Yalo.

Alors que de nombreux couples se disent oui depuis le début de ce mois de novembre, la ministre de la Promotion de la Femme et Présidente de l'organisation des femmes du Congo, Inès Nefer Ingani, a expliqué, dans un communiqué, que le sien n'aurait finalement pas lieu.

« En raison du drame survenu au stade d'Ornano dans la nuit du 21 au 22 novembre 2023 qui a endeuillé notre pays, ayant arraché à la vie plusieurs de nos enfants, mon futur époux en tant que père et moi même en tant que mère, Ministre de la Promotion de la Femme et Présidente de l'organisation des femmes du Congo, avons décidé d’un commun accord de reporter notre cérémonie de mariage à une date qui vous sera communiqué ultérieurement. Nous ne pouvons célébrer notre union dans la joie pendant que le Congo en général et les familles endeuillées en particulier pleurent nos enfants, décédés tragiquement pendant qu'ils manifestaient leur volonté de se faire enrôler dans les forces armées congolaises pour servir notre nation. Grandement affectés par ce malheur, nous souhaitons toutes nos condoléances les plus attristées aux familles éplorées. Cet acte de report de notre mariage traduit notre solidarité et notre volonté de compatir à la douleur des familles en deuil », selon un communiqué d’Inès Nefer et Dieudonné à l'attention des invités à leur mariage.

On rappelle que le gouvernement congolais a décrété pour ce mercredi 22 novembre 2023, une journée de deuil sur l’ensemble du territoire national avec mise en berne des drapeaux, fermeture des bars dancings, débits de boisson et autres lieux festifs, en mémoire des victimes de la bousculade du stade d’Ornano, dans laquelle trente et un Congolais ont trouvé la mort, et cent quarante-cinq blessés dont quatre dans un état grave.

Il s’agit de jeunes gens qui postulaient au recrutement dans les Forces armées congolaises à la suite d’un appel général lancé par l’institution militaire.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 10:10:12

Brazzaville : Une Boîte à livres à la Place Rotary pour redonner le goût de la lecture

« La meilleure détente n'est pas la danse. Qu'un bon livre est, en la matière, supérieur et que l'Afrique à force de rire et de chanter s'était laissée surprendre par les peuples plus austères, qu'elle en avait été déportée et asservie » pour paraphraser Henri Lopes. A Brazzaville qui bruisse tous les jours des mille nuances festives qu’offrent ses nombreux bars dancing, lounge bars et caves en passant par les ngandas à chaque coin de rue, on trouve désormais une boîte à livres à la Place Rotary. Une initiative intelligemment et admirablement conçue par l'écrivaine Rita Fabienne Lokanga, 26 ans. L'objectif est de mettre des livres à la disposition du public sans abonnement et de redonner le goût de la lecture.

Un concept simple et gratuit

Le concept de cette bibliothèque de rue est simple : chacun peut emprunter des livres gratuitement, et venir en déposer pour les partager à de futurs lecteurs en quête d’évasion.

Tous les goûts sont dans la boite sauf les livres religieux pour éviter le proxénétisme.

Une fois lu, vous pouvez choisir de le garder, ou de le rapporter. Pas besoin d’abonnement ni d’inscription, ce service est ouvert à tous, 7 jours sur 7, 24 h sur 24.

Une seconde vie pour vos livres

Outre la notion de partage, cette installation en libre-accès permet également de recycler vos ouvrages qui prennent la poussière en leur donnant une seconde vie, de réduire le gaspillage et de renforcer le lien social et la convivialité entre riverains...

Seul impératif, les livres déposés doivent être tout publics et en bon état, et on peut repartir avec un autre ouvrage sous le bras. Un échange de bons procédés.

Cette boîte à livres est fondée sur le principe du civisme, de la solidarité et du partage.

Deux autres boites devraient être inaugurées à Brazzaville notamment, au jardin du boulevard et à l’esplanade de kombo, des lieux propices à la lecture, aux loisirs en général et au regroupement des jeunes.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 09:31:14

La caravane du livre et du théâtre sillonne la ville de Dolisie

La capitale de l’or vert, la coquette ville qui ne masque pas ses origines coloniales avec un climat agréable qui parvient presque à faire oublier la célèbre poussière rouge caractéristique de la ville sait aussi fêter la littérature. Vous l’avez peut-être croisée, la caravane du livre et du théâtre a sillonné les routes de la ville préfecture du Niari jusqu’au lycée d'excellence Denis Sassou-N’Guesso, pour faire découvrir des livres à tous, à l’occasion d’animations spéciales.

Plusieurs temps forts ont marqué l'événement.

D’abord, la présentation d'une pièce de théâtre résumant la vie du Président Denis Sassou-N’Guesso, de sa présentation au concours d'entrée au collège moderne de Mbounda, l'annonce par un gendarme au couple N’Guesso de l'admission de leur fils, le départ du petit Denis à Makoua prendre l'avion pour Dolisie, et son arrivée à Dolisie par train.

Cette évocation du passé du Président de la République par des jeunes élèves de l'école primaire d'excellence d'Odembé, venus à Dolisie pour la circonstance, a suscité beaucoup d'émotion dans l'assistance dans laquelle se trouvaient de nombreux anciens élèves du collège moderne Raymond Paillé de Mbounda.

Ensuite, il y a eu la remise des dons composés des livres, matériels didactiques et d'un tricycle au lycée d'excellence de Mbounda et à certaines écoles publiques de Dolisie.

Enfin, un hommage particulier a été rendu à Henri Lopes, grand écrivain congolais, disparu récemment à Paris en France, avec la représentation artistique et l’interprétation de la pièce de théâtre ''Tribaliques'' par les élèves de l’école primaire d’excellence d’Odembé, déplacés pour la circonstance.

La cérémonie, qui a connu la participation des cadres et notabilités de la ville de Dolisie, et placée sous l’autorité du préfet du Niari, M. Gilbert Mouanda-Mouanda, a été organisée avec succès par l'association Bana Dol, en partenariat avec la Fondation Ghislain Aristide Okemba Dzonga.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 08:12:31

Drame d’Ornano : Le bilan des victimes révisé et détaillé

La cellule de crise, mise en place sous l’autorité du Premier ministre, chef du gouvernement, suite au drame du stade d’Ornano, s’est de nouveau réunie à 13h00 et à 18h00. Les victimes de ce drame ont été prises en charge au sein des formations sanitaires suivantes : le centre hospitalier universitaire de Brazzaville ; l’hôpital central des armées et l’hôpital de référence de Talangai.

Le Premier ministre, chef du gouvernement, accompagné d’une importante délégation, s’est rendu dans ces différents établissements afin d’assister les victimes et échanger avec les personnels de santé présents sur place sur les besoins qui permettront de faire face à cette situation ; il ressort des éléments portés à la connaissance de la cellule de crise que le bilan des victimes est révisé et détaillé ainsi qu’il suit :

°1/- Nombre de décès : 31

29 corps identifiés

• 2 en cours d’identification

2/- Nombre de blessés :

*145 blessés pris en charge, sortis des hôpitaux et traités en ambulatoire : soit 69 au CHU, 66 à l’hôpital central des armées et 10 à l’hôpital de Talangaï.

*15 blessés sont retenus en observation, soit : 11 au CHU, 1 à l’hôpital des armées et 3 à l’hôpital de Talangaï.

*4 blessés graves ont été dénombrés, tous hospitalisés au CHU, dont l’un est en réanimation.

Le gouvernement rappelle que les opérations de recrutement au sein des Forces armées congolaises avaient été lancées le 14 novembre 2023 ; nos jeunes avaient massivement répondu à l’appel du devoir en voulant servir sous les drapeaux ; à cet égard, le gouvernement s’incline devant la mémoire des victimes de ce drame épouvantable et présente les condoléances de la nation aux parents éprouvés et éplorés. Aussi, et sur la base des informations mises à sa disposition, le gouvernement rend publiques les décisions suivantes :

• Un jour de deuil national avec mise en berne des drapeaux, fermeture des bars dancings, débits de boisson et autres lieux festifs est décrété ; il se déroulera le Mercredi 22 novembre 2023 ;

• Le recrutement en faveur des Forces armées congolaises est suspendu jusqu’à nouvel ordre sur l’étendue de la ville de Brazzaville ; il se poursuivra normalement sur le reste du territoire national ;

• Le gouvernement va assister les victimes du drame pour l’ensemble des frais médicaux qui seront exposés à cette occasion ainsi que pour les frais de veillée et d’inhumation ;

• A cet effet, les familles concernées sont invitées à prendre attache avec les services du ministère des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire ;

• Une enquête administrative mixte police-Forces armées congolaises a été ouverte ; elle devra déterminer les causes du drame et rendre ses conclusions dans les tous prochains jours ;

• D’autre part, une enquête judiciaire a été ouverte ; elle a été confiée à M. le procureur de la République ; cette enquête doit mettre en œuvre les diligences nécessaires à la manifestation de la vérité dans la survenance et le déroulement de ce drame.

Le Gouvernement tiendra l’opinion informée des différentes conclusions qui découleront des éléments qui seront portés à sa connaissance, au fur et à mesure des investigations en cours.

Fait à Brazzaville, le 21 novembre 2023

Pour la cellule de crise,

Le ministre de la Communication et des Médias, Porte-parole du gouvernement

Créé le 2023-11-22 06:28:16

Au Congo-Brazzaville, le deuil après le drame

Le gouvernement congolais a décrété pour ce mercredi 22 novembre 2023, une journée de deuil sur l’ensemble du territoire national avec mise en berne des drapeaux, fermeture des bars dancings, débits de boisson et autres lieux festifs, en mémoire des victimes de la bousculade du stade d’Ornano, dans laquelle trente et un Congolais ont trouvé la mort, et cent quarante-cinq blessés dont quatre dans un état grave. Il s’agit de jeunes gens qui postulaient au recrutement dans les Forces armées congolaises à la suite d’un appel général lancé par l’institution militaire.

La cellule de crise gouvernementale s’est rendue dans les hôpitaux et à la morgue municipale pour le constat. Une enquête administrative et une autre judiciaire sont ouvertes aux fins d’établir les responsabilités du drame.

Les obsèques, les soins aux blessés et l’assistance aux familles endeuillées sont à la charge de l’Etat.

Le recrutement en faveur des Forces armées congolaises est suspendu jusqu’à nouvel ordre sur l’étendue de la ville de Brazzaville ; il se poursuivra normalement sur le reste du territoire national.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-22 06:01:45

Congo – Bousculade au stade Ornano : Le Gouvernement fait état de 37 morts

Suite à la bousculade ayant occasionné des morts et des blessés au stade Ornano, le Gouvernement de la république a en toute transparence rendu publique un communiqué qui donne le bilan provisoire des personnes décédées. Autant il déplore ce drame, autant le Gouvernement entend faire toute la lumière autour de ce dysfonctionnement qui a endeuillé de nombreuses familles congolaises. Pour ce faire, une commission d’enquête a été mise sur pied.

Voici le fac-similé dudit communiqué.

Rappelons ce drame est survenu suite à une bousculade occasionnée par un mouvement de foule, parmi les jeunes gens qui voulaient entrer dans l’enceinte du stade Ornano et pouvoir déposer leur dossier de recrutement parmi les premiers, les places étant limitées.

Certains d’entre eux, qui se sont retrouvés au sol sous la poussée de la foule, se sont fait marcher dessus et sont décédés d’étouffement. Les blessés présenteraient de multiples fractures. Les jeunes filles seraient les plus touchées.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-21 10:51:25

Congo – Force publique : La campagne de recrutement vire au drame à Brazzaville

Une bousculade due à l’afflue de jeunes brazzavillois voulant déposer leur dossier de recrutement dans la Force publique, a occasionné des morts et des blessés. Les faits se sont déroulés lundi soir au stade Ornano de Brazzaville où les jeunes gens avaient été orientés, afin d’y contenir la foule de postulants. Hélas…

En l’absence de communiqué officiel, il est très tôt de s’aventurer sur un quelconque bilan, même si les chiffres les plus fantaisistes inondent déjà les réseaux sociaux où l’on parlerait d’une soixantaine de morts.

Des témoins ont confirmé au moins une vingtaine de décès survenus par étouffement. De jeunes gens pris dans une foule compacte où chacun voulait être le premier pour entrer dans l’enceinte du stade Ornano et pouvoir déposer son dossier.

Cependant, de nombreux blessés sont à déplorer. Certains d’entre eux, qui se sont retrouvés au sol sous la poussée de la foule, se sont laissés marcher dessus et présenteraient de multiples fractures. Les jeunes filles seraient les plus touchées.

En attendant la déclaration officielle des autorités compétentes, les congolais restent dans l’expectative. Ils veulent comprendre, pourquoi ce dramatique dysfonctionnement. Que des jeunes désireux de servir sous les drapeaux trouvent la mort sur le chemin du recrutement.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-21 08:44:11

Brazzaville : Celui qui casse un poteau électrique pour mauvaise conduite ira en prison jusqu’au remboursement du poteau (Dieudonné Bantsimba)

Le maire de Brazzaville, Dieudonnée Bantsimba, veut restaurer l’ordre et à assurer la sécurité des infrastructures publiques. Dans une interview accordée à la presse, le président du Conseil départemental et municipal de Brazzaville, a annoncé des actions drastiques pour contrer l’incivilité et la conduite irresponsable qui menacent la stabilité et le développement de la capitale congolaise.

« Nous venons de rénover certaines avenues avec des poteaux électriques. Mais vous voyez des citoyens qui viennent les détruire de deux façons : soit en volant les câbles pour revendre les cuivres qu’ils contiennent, soit en les faisant tomber en raison de leur mauvaise conduite », a déclaré le maire de Brazzaville, Dieudonnée Bantsimba.

L’édile de la plus grande ville du Congo a annoncé également la mise en place d’une mesure coercitive visant à dissuader les comportements irresponsables sur les routes de la ville.

« J’informe les usagers de la route que celui qui casse le poteau électrique pour mauvaise conduite ira en prison jusqu’au remboursement du poteau », a-t-il prévenu.

Dieudonné Bantsimba, arrivé à la tête de la capitale congolaise en mai 2020 et réélu en 2022, a également mis en garde contre l’occupation illégale du domaine public.

« Ceux qui s’abstiennent d’occuper le domaine public illégalement nous trouveront sur leur chemin », a ajouté le titulaire d’un troisième cycle de l’Institut d’urbanisme de Paris en France et d’un diplôme d’études approfondies en géographie urbaine.

Cette déclaration s’adresse à tous ceux qui enfreignent les règles en occupant des espaces publics sans autorisation.

On rappelle que le Ministère congolais en charge de la Décentralisation mène depuis quelques jours, avec la Mairie de la capitale, une opération de déguerpissement de l’espace public dénommée « Gardons nos villes propres ».

Kiosques et tabliers… sont dégagés ou simplement détruits le long des trottoirs par la police, au grand dam des citoyens qui les tiennent.

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-20 11:37:11

Élections générales en RDC : La campagne électorale qui représente un défi logistique pour les candidats a commencé

La campagne électorale a commencé dimanche 19 novembre 2023 en République démocratique du Congo (RDC). Dernière ligne droite avant les élections générales du 20 décembre prochain. Un scrutin multiple, puisque les 44 millions d’électeurs auront à choisir leur nouveau président, les députés provinciaux et nationaux ainsi que les conseillers communaux.

Plusieurs candidats étaient déjà sur le terrain pour ce premier jour. Le président sortant qui brigue un second mandat, Félix Tshisekedi, était à Kinshasa avec un important meeting dans le plus grand stade de la ville : près de 80 000 personnes étaient là.

Début de campagne réussi aussi pour l’opposant Martin Fayulu. Il était dans son fief naturel à Bandundu-ville, dans le Kwilu, et il y avait du monde pour l’accueillir.

Autre candidat président sur le terrain, le député Delly Sesanga : il était dans la province voisine du Kwango, à Kenge.

L’opposant et ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, a tenu son premier grand meeting dans le centre-ville de Kisangani, ville du nord-est du pays.

Pour la présidentielle, le chef de l’État sortant, Félix Tshisekedi brigue un second mandat. Autour de lui, on peut dire qu’il a fédéré son camp. Plusieurs personnalités politiques le soutiennent et ne se sont pas présentées contre lui, comme ses deux vice-Premiers ministres Vital Kamerhe ou Jean-Pierre Bemba.

En face, c’est plus compliqué pour l’opposition. Cette élection se fait à un tour. Et, forcément, c’est mathématique : plus on rassemble, plus on peut faire la différence. Or, l’opposition est en ordre dispersé. Tous les poids lourds ont pu se présenter : le candidat malheureux de la Présidentielle 2018, Martin Fayulu, l’ancien gouverneur du Katanga Moïse Katumbi, le Prix Nobel de la paix Denis Mukwege. Et depuis, il y a des discussions.

Deux blocs sont en train d’apparaitre. L’un autour de Moïse Katumbi qui vient d’être rejoint par l’ancien Premier ministre Matata Ponyo et l’autre autour de Martin Fayulu.

Cette campagne représente un défi logistique pour les candidats. La RDC, c’est en effet plus de 2,3 millions de kilomètres carré qu’il leur faut donc parcourir en un mois tout juste. C’est le deuxième pays le plus grand du continent, après l’Algérie.

En outre, cette campagne tombe en pleine saison des pluies avec des routes difficilement praticables.

La RDC, c’est de toutes les façons une élection XXL. Déjà, au niveau des candidats, il y a plusieurs scrutins. Pour la présidentielle, ils sont 25 désormais. Mais, pour les législatives et les provinciales, ce sont respectivement plus de 25 800 et 44 000 candidats. Soit autant de monde en campagne en même temps.

Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-20 11:05:38

Brazzaville : Vaste opération de déguerpissement de l’espace public appelée «Gardons nos villes propres»

L’occupation informelle des espaces en bordure des voies de circulation est l’une des caractéristiques essentielles des villes congolaises. En l’absence d’une politique urbaine forte, les citadins investissent ces espaces qu’ils considèrent comme lieux de promotion de l’auto¬emploi. Aussi, cette occupation génère des problèmes environnementaux parmi lesquels la production des déchets de commerce, des bruits sonores, l’encombrement des rues et des espaces, etc. Les activités humaines souvent informelles sont objet d’insalubrité. Face à cette situation peu reluisante de Brazzaville, le Ministère congolais en charge de la Décentralisation mène depuis quelques jours, avec la Mairie de la capitale, une opération de déguerpissement de l’espace public dénommée « Gardons nos villes propres ». Kiosques et tabliers sont dégagés ou simplement détruits le long des trottoirs par la police, au grand dam des citoyens qui les tiennent.

Le ministre délégué chargé de la décentralisation, Juste Désiré Mondélé, justifie cette opération : « Il s’agit de parler de réorganisation d’autant plus que les personnes ou les commerçants déguerpis retrouvent en principe les marchés domaniaux. Et, les témoignages ou retours que nous avons, nombreux ont déjà occupé les étals dans les marchés domaniaux et avec une aisance dans la pratique de leur commerce. »

L’occupation illégale des espaces publics dans les villes congolaises pose le grave problème de gestion de l’espace urbain, dans un contexte d’urbanisation rapide et de paupérisation exponentielle des citadins. Les déguerpissements des espaces publics dans toutes les villes congolaises apparaissent comme une étape fondamentale dans le processus de restructuration.

Les bulldozers sont mis à contribution pour mener l’opération de libération de l’espace public dans la capitale.

En effet, les abords des voies, les terre-pleins centraux, et autres espaces publics abritant baraques, hangars, paillotes, débits de boisson, et autres édifices érigés dans l’emprise du domaine public, débarrassent leur installation, sous les coups des pioches, haches, râteaux, et autres outils utilisés avec acharnement par des ouvriers de circonstance.

Plusieurs grandes voies et rues sont ainsi dégagées et présentent un tout autre visage.

Ce déguerpissement bien qu’il soit douloureux présente un avantage certain pour Brazzaville. Il va permettre dans une certaine mesure de régler les problèmes liés aux réseaux de voirie qui se limitent à des passages étroits et à des sentiers plus ou moins irréguliers, tortueux et « serpentés ». Il va permettre de trouver un début de solution.

Du premier au huitième arrondissement de la capitale congolaise, presque toutes les voies sont en dégradation avancée. Du fait de leur étroitesse et de leur état, des accidents de circulation sont régulièrement enregistrés.

Le commerce et la restauration de rue, les transports populaires, les ateliers en tous genres et bien d’autres petits métiers se sont multipliés sur les espaces publics, posant de nombreux problèmes de circulation, notamment par l’encombrement des trottoirs, des carrefours, ou par le rétrécissement de la chaussée.

A cela s’ajoute l’insalubrité des lieux occupés par la présence des ordures et eaux usées jonchant le sol.

L’opération « gardons nos villes propres » sera menée dans toutes les grandes villes du pays, selon le ministre délégué chargé de la décentralisation, Juste Désiré Mondélé.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-20 10:32:30

Plus de 15 000 gabonais interdits de voyage

Makokou est une ville du Gabon située dans la province de l’Ogooué-Ivindo. Elle est coupée du reste du pays depuis, le 12 novembre dernier. Une situation consécutive à l’effondrement d’une batterie de buse métallique de diamètre 2 000 au niveau du PK28 700 de la ville, occasionnant une interruption de trafic sur l’axe routier Ovan-Makokou long de 94 km et entièrement en latérite.

Durant son premier septennat, l’ancien Président gabonais, Ali Bongo-ondimba s’était engagé à construire cette route très pratiquée par les opérateurs économiques qui font transiter les produits de première nécessité vers le sud du pays.

Partis de Lalara à Ovan, en passant par Koumameyong, les travaux s’étaient brusquement arrêtés faute de financements.

Signe que cette partie du pays est vraiment sur cale. Un véritable calvaire qui vient une fois de plus compliquer le quotidien des populations en cette période de grandes pluies.

En effet, il ne se passe pas une année sans que l’état de ce tronçon routier ne soit décrié par les usagers, qui sont majoritairement constitués des autochtones, des commerçants et des chauffeurs de grumes.

Alors que la modernisation des infrastructures routières constitue l’un des piliers essentiels de la feuille de route du CTRI, espérons que l’axe Ovan – Makokou, qui figurait déjà parmi les projets prioritaires pour la période 2020-2023 de l’ancien gouvernement, soit pris en compte, car le développement économique passe avant tout par le développement de la route.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-19 12:11:45

Martial Prince de retour avec «Mufutamana», un tube qui va faire danser tous les férus de la musique congolaise

C'est le retour musical que l'on n'attendait plus… Après de longs mois d'absence, Martial Prince arpente les chemins du succès sur la place de Paris avec son titre « Mufutamana » issu de son dernier single intitulé « L’heure est grave ». Efficacité y rime avec charme. Le nec plus ultra de la rumba congolaise espère faire danser tous les férus des belles sonorités durant les fêtes de fin d’année.

Les fans de l’enfant chéri de Maître Paille trépignaient d'impatience.

Le chanteur, originaire du Congo-Brazzaville, a enfin dévoilé son nouveau single « L’heure est grave » qui, à coup sûr, réchauffera nos fêtes de fin d’année, et se prépare également avec force et détermination pour « Rumba Forever » qui sortira en 2024 et qu'on attend avec impatience…

« Mufutamana » autrement dit « il faut bien faire les choses » est le fruit de la collaboration entre le chanteur et plusieurs jeunes artistes talentueux de Brazzaville.

« Mufutamana » extrait du single « L’heure est grave » est disponible à l'écoute sur toutes les plateformes de streaming et sur Youtube. Vous pouvez également trouver l'as de cœur sur les réseaux sociaux afin de suivre son parcours et pour rester informé de son actualité artistique.

Martial Prince qui compte parmi ces musiciens intuitifs qui devinent et inventent des poésies et mélodies au gré du vent, au gré des sons dévoilera l’impressionnant clip de « Mufutamana » qui monte en puissance au mois de décembre prochain sur Youtube.

Le natif de Brazzaville qui cultive le mystère autour de sa voix qui unit les musiques comme le ciel unit les étoiles, compte bien s’imposer sur la scène musicale internationale et percer le difficile marché français.

Une nouvelle bombe lyrique est prévue en 2024 intitulée « Rumba Forever » qu'on attend avec impatience…

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-19 11:29:37

Au Liberia, George Weah a concédé la défaite à la présidentielle et félicité Joseph Boakai crédité de 50,64% des voix

George Weah vient d'entrer une troisième fois dans l'histoire africaine. Après son Ballon d'Or en 1995, et élu Président du Libéria en 2017, après un mandat, il a organisé l'élection présidentielle au cours de laquelle il a été battu, sans tambour ni trompette il a reconnu sa défaite et a même appelé son adversaire Joseph Boakai, crédité de 50,64% des voix sur près de 99, 98% des bureaux de vote dépouillés par la Commission nationale des élections, le 18 novembre au soir, pour le féliciter avant l'annonce du résultat.

Le successeur de George Weah, vieux routier de la politique, promet de « sauver le pays », qu’il estime ronger par une administration corrompue.

Un thème qui a attiré de nombreux électeurs déçus par la gestion des affaires publiques par l’entourage de George Weah.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-19 10:21:59

France : Assemblée générale de l’ACGF le 2 décembre prochain à Mours. Un nouvel essor, de nouvelles ambitions

L’assemblée générale de l’Association des Congolais et Gabonais de France (ACGF) dont la devise est : « Tout seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin », se déroulera le samedi 2 décembre 2023 à 14h00 au 28, rue du four à Tuiles (95260) Mours, un village du département du Val-d'Oise dans la région d'Île-de-France.

La rencontre qui aura lieu chez le couple Itoba sera l’occasion de partager le bilan des projets, de discuter des chantiers menés et de débattre des orientations et des perspectives.

Pour tous, c’est aussi un plaisir de se retrouver, d'échanger mais également et surtout de travailler ensemble les points statutaires prévus à l'ordre du jour de l'assemblée générale.

Cette assemblée générale sera aussi l’occasion de présenter les nouveaux membres qui ont adhéré récemment à l’ACGF.

Elle intervient cinq mois après celle tenue le samedi 3 juin 2023 à Baverans, dans le département du Jura, en région Bourgogne-Franche-Comté, chez le couple Rosan.

Une journée bien remplie donc, qui aura une nouvelle fois été fructueuse pour les membres de l’ACGF, association créée en novembre 2016 à Dole et dont le siège est à Melun (2 Square Jules Siegfried), en Seine-et-Marne.

Cette AG de Baverans avait permis de faire entre autres, le point sur les derniers décès depuis 2020 des parents des membres de l’ACGF, l’état des finances, les cotisations statutaires et solde de l’association, la mise à jour du règlement intérieur avec durcissement des sanctions affligées aux membres réfractaires, l’accueil des nouveaux membres (Dorient Mabioko, Faly Pyssame, Rodia Somnté) et la signature des nouvelles fiches d’adhésion (nouvelle version) et règlement intérieur.

Un déjeuner d’accueil sera proposé sur place par le couple Itoba, deux moursiens membres de l’ACGF.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-11-18 17:36:38

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