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L’état du réseau routier congolais ne cesse d’être au centre des préoccupations des populations. C’est le cas du tronçon Dolisie-Mossendjo dans le Niari (sud) qui continue de ressembler à une piste d’éléphant.
Créé le 2017-12-20 08:45:08
« Oseille », ce mot représente plus qu'un légume pour les agents des impôts qui à travers celui-ci, désignent la prime d'incitation réglementaire, qui leur est versée. 8 mois déjà, qu'ils n'ont pas goûté à l'oseille, que le collège syndical des impôts menace de déclencher une grève sous huitaine.
Dans une correspondance adressée au ministre des Finances et du budget, la coordination du collège des syndicats de la direction générale des impôts et des domaines s'insurge contre la tutelle du fait du retard pris dans le versement aux agents de l’administration fiscale de la prime d’incitation, autrement dit l’oseille.

Cette démarche serait méconnue de la direction générale des impôts et des domaines alors que le collège syndical menace de déclencher une grève sous huitaine, si la situation n'est pas réglée.
La lettre publiée sur les réseaux sociaux suscite de nombreux commentaires. Certains accusent les agents des Impôts de manquer de civisme en ces moments de crise.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-12-20 08:35:34
Avec la publication de son livre «Vision verte de Denis Sassou N'Guesso... », l'écrivain-chercheur congolais, Michel Innocent Peya a signé son engagement citoyen pour notre planète en réel danger.
Créé le 2017-12-19 20:48:57
L'avocat congolais, Steve Bagne Botongo a été présenté au juge d'instruction pour la première fois ce lundi 18 décembre. Le juge lui a notifié son inculpation pour atteinte à la sûreté intérieure de l'Etat et propagation de fausses nouvelles.
Créé le 2017-12-19 20:10:16
Le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour la région des Grands lacs, Said Djinnit a été reçu par le chef de l’État congolais, le 18 décembre à Brazzaville.
Le diplomate onusien a fait le point au président de la République du Congo, du suivi des conclusions des rencontres de Brazzaville, notamment celles de la 8e réunion du Mécanisme régional de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République démocratique du Congo et la région.
Les deux personnalités ont également évoqué la situation des quatorze Tanzaniens de la Force des Nations-Unies tués en RDC, le 8 décembre dernier.
Le 19 octobre dernier, les chefs d’État et de gouvernement, réunis à Brazzaville pour la 7e Conférence internationale sur la Région des Grands lacs et la 8e réunion de haut niveau du Mécanisme régional de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région, avaient pris des mesures visant le retour de la paix et de la sécurité dans cette région, notamment en RDC.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-12-19 10:53:46
Le premier ministre congolais, Clément Mouamba a réceptionné samedi dernier, cinquante mille tables-bancs de la part de la société malaisienne Taman Industrie Limited, au village Koungou, à un jet de pierre de Pointe-Noire dans le Kouilou (sud).
Créé le 2017-12-19 10:06:12
Le poste frontière de Lékoko, à 7km de Mbinda dans le Niari (sud) sera à l'honneur le 22 décembre prochain, à l'occasion de l'inauguration du réseau à haut débit reliant le Congo au Gabon.
Le projet CAB a été mis en place afin d’améliorer les services des technologies de l’information et de la communication en quantité et en qualité. Il devrait permettre aux populations des pays concernés d’accéder auxdits services à moindre coût.
L'important ouvrage réalisé pendant deux ans pour relier le Congo au Gabon par fibre optique a coûté 15 milliards de francs. Il portait sur le déploiement de près de 520 km de fibre optique de Pointe-Noire jusqu'à la frontière gabonaise, en passant par Dolisie et Mbinda.

Né de la volonté des chefs d’État d’Afrique centrale d’assurer l’interconnexion sous-régionale des réseaux à fibre optique, le projet CAB compte trois phases dont la première d’un montant de 30 millions de dollars américains (environ 15 milliards F CFA) a été financée par la République du Congo (50%) et la Banque mondiale (50%).
La deuxième phase porte notamment sur la construction de deux réseaux en fibre optique devant relier le Congo à la fois au Cameroun et à la République Centrafricaine. Le début des travaux de cette phase est prévu en 2018.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-12-19 08:57:43
En dépit de la crise financière qui étrangle le pays, le gouvernement congolais va débloquer une enveloppe de 10 milliards de FCFA pour procéder en 2018 au 5ème recensement général de la population et de l’habitat.
Créé le 2017-12-18 13:17:39
La Chine et le Congo, représentés respectivement par l'ambassadeur de Chine, Xia Huang, et le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l'étranger, Jean-Claude Gakosso, ont procédé à la signature d'un accord de don, le 16 décembre, à Brazzaville.
Lors de la cérémonie consacrée à l'annonce de l'octroi par la Chine de ce don de cent millions de Renminbi, soit environ 8,5 milliards de Francs CFA, le diplomate chinois a réitéré l'engagement de son pays à renforcer la coopération sino-congolaise. Il s'est réjoui de ce que les actions entreprises par Pékin « illustrent la disponibilité du gouvernement chinois de traduire en actes concrets tous les engagements qu'il a pris pour faire avancer les relations d'amitié et de coopération » avec le Congo et d'autres États africains.
Xia Huang a assuré que la Chine est plus que déterminée « à accompagner le Congo afin de relever les défis » qui s'y présentent.
Le chef de la diplomatie congolaise a, pour sa part, exprimé les remerciements du gouvernement à la Chine pour « cet appui important » apporté à l'université de Kintélé. Il a s'est félicité de ce que « l'essentiel » des actions d'« un développement soutenu » réalisé ces dernières années au Congo, l'a été avec la partie chinoise.
L'enveloppe permettra de financer le projet de l'Institut de l'aviation civile de l'université Denis-Sassou-N'Guesso et d'autres projets qui seront déterminés par les gouvernements chinois et congolais. À cet effet, la Banque de développement de Chine et la Caisse congolaise d'amortissement ouvriront un compte d'assistance.
Bertrand BOUKAKA/Source Adiac
Créé le 2017-12-18 10:25:06
Elle était attendue de tous, la séance des questions orales au gouvernement a tenu ses promesses vendredi dernier.
Un premier ministre parfois à la peine, des ministres mis à l'index « cartes sur table », les députés n'y sont pas allés avec le « dos de la cuillère », lors de la séance des questions orales à l'exécutif, tant leur parole s'est véritablement soudain libérée, face aux membres du gouvernement.
« Monsieur le premier ministre, s'il y a des ministres qui ont failli à leurs missions, demandez leur départ du gouvrnement auprès du président de la république ».
Ces mots du député Jean-Claude Ibovi illustrent par la preuve, la pertinence des questions et l'âpreté des débats. Sans doute, l'annonce par le président de la république d'un audit sur la corruption et la bonne gouvernance aura t-elle contribué à ôter aux députés le sens de la repartie qui les a de tout temps caractérisé, face au gouvernement traité avec maints égards.
Désormais, ont promis les députés, « ce ne sera plus comme avant ».
Ce changement de logiciel dans le contrôle de l'action gouvernementale, le président de l'assemblée nationale Isidore Mvouba en avait esquissé les grands traits, afin disait-il, de faire du parlement un « véritable laboratoire à idées, avec des députés en totale immersion dans la société ».
Cette immersion, les députés l'on traduite, en rapportant à l’hémicycle les préoccupations du congolais lambda, dépouillant de facto le ministre de son légendaire confort.
Qu'il s'agisse des questions salariales, de la recherche de la paix véritable, des grèves ou des menaces contre des infrastructures du Congo ou des officiels congolais à l'étranger, nulle question d'actualité n'a échappé aux députés, au point de mettre parfois le président de l'assemblée devant le fait accompli.
Dans cet exercice, les députés de la majorité se sont montrés des plus intraitables, à l'instar de Jean-Claude Ibovi ou encore Ferréol Ngassakys.
Ainsi, lorsque le député Jean-Claude Ibovi recadre le ministre de l'Administration du territoire et des Grands travaux, lui signifiant qu'il ne peut parler de réhabilitation de 137 kilomètres d'une route qui n'existe pas au préalable, les clameurs s'élèvent de partout, comme lors d'un but, à l'occasion d'une grande rencontre de football.
« Ces ministres auraient changé depuis bien longtemps, si on leur disait toujours ainsi les vérités », assure t-on dans la population.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-12-18 09:45:05
Les fêtes de Noël et du nouvel an approchent à grand pas. Le scintillement des guirlandes devant les boutiques et le concert des pétards dans tous les coins de rue sont des signes révélateurs. Mais seulement voilà, la crise économique que traverse le pays depuis la chute des prix du baril de pétrole, risque de porter un coup dur aux festivités.
Créé le 2017-12-15 15:25:02
Un homme de 46 ans, originaire du Mali, entretenait une relation intime avec une femme congolaise depuis plusieurs mois à Dolisie dans le Niari (sud). Très généreux, il a donné suffisamment des moyens financiers à sa compagne pour exercer le commerce des produits divers au grand marché de la ville. Apprenant mercredi dernier que sa dulcinée l’avait trompé, l’homme est sorti de ses gonds et a décidé de se venger de cette humiliation. Il n’a pas fait les choses à moitié.
Créé le 2017-12-15 14:39:12
Maître Yvon-Eric Ibouanga, avocat de l’opposant congolais, Paulin Makaya a exigé ce vendredi à Brazzaville, la libération de son client.
Créé le 2017-12-15 12:55:26
Témoins d'un grave accident de la route, des usagers des smartphones se sont livrés impassibles à la chasse à l'image, au mépris de la vie humaine, en dépit des appels à l'aide.
Un bus couché, ses passagers éjectés et dispersés de partout, gisant et appelant à l'aide, d'autres suppliant d'être secouru, alors qu'ils n'ont pour toute assistance qu'une prise vidéo.
Ces images de l'accident survenu à quelques encablures de Mayama ont choqué plus d'un sur le manque d'humanité de certains congolais désormais porté vers le scoop.
Depuis que ces usagers du téléphone se sont convertis en paparazzis, pour alimenter en photos et vidéos les réseaux sociaux, plus aucune morale ni un soupçon de citoyenneté, voire d'humanisme n'habite certains d'entre eux.
Désormais pour eux, seule l'image compte, au mépris de l'intimité des personnes filmées, du choc psychologique ou des appels à l'aide qui montent de leur source de reportage.

Comment être insensible à la douleur d'une personne qui crie à l'aide, face à une vie à sauver et privilégier cyniquement quelques clichés dont la valeur marchande n'est nullement proportionnelle à celle de la personne que l'on peut secourir. Pourtant, ils agissent comme si quelque chose dépassait en valeur la vie humaine.
Nombreux sont les risques dans notre vie quotidienne. Face à une personne en danger, avoir les bons réflexes peut parfois sauver une vie. Hélas, de nombreux congolais n'ont aucune connaissance des premiers secours civiques, ceux que tout citoyen peut apporter à un accidenté ou une personne en détresse : les gestes d'urgence. Des gestes simples qui, s'ils sont pratiqués rapidement et correctement, peuvent sauver des vies.
À défaut de la maîtrise des gestes de premiers secours à proprement parler, on devrait au moins savoir donner l'alerte, protéger le lieu de l'accident par des signaux visuels dans les deux sens, pour en éviter d'autres. Venir en aide aux accidentés en posant soit un garrot que l'on relâchera à fréquence régulière, pour des saignements dangereux, ou simplement, maintenir les accidentés en éveil en leur parlant, pour éviter qu'ils ne s'endorment et ne s'évanouissent, au point d'en mourir.
Or dans le cas de l'accident de Mayama, même les éléments de la Force publique arrivés sur les lieux semblaient méconnaître les gestes qui sauvent.
Le maillage du pays en infrastructures routières appelle les usagers à de nouveaux comportements et des connaissances qui se rapportent à l'attitude à adopter en cas d'accident. Il est temps que les pouvoirs publics s'emploient à vulgariser ces connaissances, car la vie d'un accidenté tient parfois à un geste, loin, bien loin d'un cliché ou d'une vidéo.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-12-15 12:34:40
Le premier ministre Clément Mouamba conduit le gouvernement pour la séance des questions orales avec débats à l'assemblée, ce vendredi. Forts de la responsabilité qui leur incombe, de par leur action de contrôle légitimement exprimée, les députés promettent de n'enfiler aucun gant pour dire et nommer les choses. De partout, la tension monte dans l'opinion, comme pour l'attente d'un grand derby sportif.
De nombreux congolais auront les yeux et les oreilles tournés vers le Palais du Parlement ce vendredi, afin de suivre la séance des questions orales au gouvernement.
Haut moment d'échanges directs entre l'exécutif et la représentation nationale, cet exercice est un des maillons du contrôle dont dispose le député qui à l'occasion, pose des questions dont il exige des réponses précises.
Pour cette séance attendue de tous, situation socio-économique du pays oblige, il va s'en dire que les débats porteront assurément sur les grèves à l’université Marien-Ngouabi où se profile toujours l'ombre d'une année blanche, et au Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville (CHU) ; les pensions des retraités émargeant à la Caisse de retraite des fonctionnaires (CRF); les discussions avec le Fonds monétaire international (FMI) ; la crise du Pool ; le déficit d’enseignants dans les écoles et lycées de l’intérieur du pays ; la réforme des entreprises étatiques et paraétatiques ainsi que les conférences sur le climat ou encore l'audit sur la corruption et la bonne gouvernance décidé par le président Denis Sassou N'Guesso.
Ainsi, les ministres de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua, de la Santé et de la population, Jacqueline Lydia Mikolo, ou encore le vice-Premier ministre chargé de la Fonction publique, du travail et de la sécurité sociale, Firmin Ayessa, seront très attendus afin d'éclairer l'ensemble des congolais sur les multiples dysfonctionnements notés dans leurs différents domaines de compétence.
D'autre part, le parlement dont la session budgétaire n'avait pu mener à terme ses travaux, faute d'informations exhaustives en la matière, sera tout ouïe sur les discussions avec le FMI, dont le ministre des Finances, Calixte Nganongo, dégagera sans nul doute les perspectives.
Sur la crise du Pool, le ministre de l’Intérieur, Raymond Zéphirin Mboulou, devra définir l'état d'avancement du processus opérationnel de sortie de crise, tel que défini par le président de la République, lors de la rencontre avec les sages et notables de ce département.
Les intempéries de ces derniers temps ainsi que les malfaçons qu'elles ont dévoilé dans la réalisation de certains grands travaux, pourront également s'inviter à l'hémicycle et convier le ministre Jean-Jacques Bouya à des explications. Bonne entrée en matière, pour l'audit initié par le président de la république.
Enfin, le gouvernement sera sans doute invité à donner aux députés plus d'informations sur les nombreuses réunions internationales sur le climat organisées ces derniers mois et auxquelles le Congo a activement pris part.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-12-15 10:40:15
A quelques semaines des fêtes de fin d’année, des cas réguliers de vols de téléphones mobiles et des sacs de femmes en plein jour dans les rues et autres espaces commerciaux de Pointe-Noire, en passant par les traditionnels braquages de nuit et autres hold-up à domicile, la capitale économique du Congo devient de plus en plus un foyer référentiel de l’insécurité nationale.
Créé le 2017-12-14 14:46:41
Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a été reçu hier à Bercy à Paris, par le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Lemaire. Au menu de l'entretien, une seule question : comment relancer l'économie congolaise, éviter la catastrophe pour un pays et une zone, la CEMAC.
Créé le 2017-12-14 13:56:09
Les taxis jakarta continuent de faire parler d’eux au Congo-Brazzaville. Ils ne se passent pas une journée sans qu’un accident de ses taxis jakarta ne soit signalé. Hier à 19h45, un chauffeur d’un véhicule a violemment heurté un conducteur de jakarta au niveau du pont de la raffinerie à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo.
Créé le 2017-12-14 13:27:22
Le président de la république du Congo, Denis Sassou N'Guesso a pris la décision de lancer avec l’assistance technique du FMI, un audit sur la corruption et la bonne gouvernance. La décision est unanimement saluée dans l'opinion.
« À l'évidence, la crise économique implique entre autres causes que des acteurs gouvernementaux ou autres, commis à l'action économique ont failli à leur mission. Soit en terme du management de leur action, ou dans des pratiques disparates, en inadéquation avec les prescrits du chef de l'État. Ils devront à l'évidence rendre des comptes. »
En écrivant ces mots mercredi, peu avant l'annonce du chef de l'État congolais, certains nous ont reproché de rêver en grand. Pourtant, la lecture que nous avons faite des signes probants qui se dessinent dans l'univers politique et économique congolais semble nous donner raison.
Rien de sérieux et de durable ne peut être entrepris, si l'homme n'est pas au cœur de l'action. Un homme à qui l'on prescrit des missions dont on lui donne les moyens de les accomplir, et qui de toute évidence doit rendre des comptes, quant à l'accomplissement de ceux-ci.
L'évaluation des résultats permet ainsi d'envisager la suite du parcours tout en tirant les conséquences qui s'imposent.
En lançant la GAR, gestion axée sur les résultats, le président Denis Sassou N'Guesso initiait de facto le changement de comportement auquel les congolais devaient dorénavant se conformer, dans l’œuvre de construction nationale, chacun jouant sa partition à la perfection, pour une mise en harmonie du processus d'ensemble.
Ceux qui avaient cru à un énième slogan, comme le Congo a su en produire au long des ans, et qui ont brillé par des anti-valeurs de tout temps décriés, sont désormais placés devant le fait accompli.
Les écritures ne disent-elles pas, « il y a un temps pour tout ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2017-12-14 10:49:20
Le Centre démocratique troisième force «Acrotere » a proposé, dans une déclaration rendue publique à Brazzaville, au gouvernement congolais de prendre des mesures sociales pour assurer le peuple de sa bonne foi, en ce qui concerne la crise économique et financière que traverse le Congo, suite à l’abaissement des prix du baril du pétrole.
Créé le 2017-12-13 16:42:59