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Au Congo, des retraités vivent sans pension depuis onze mois

Depuis onze mois, à cause de la crise financière qui essore le pays, des milliers de retraités émargeant à la Caisse des retraites des fonctionnaires (CRF) ne touchent pas leur pension.

Créé le 2017-12-13 16:07:20

Le vivre ensemble et la souveraineté au Congo-Brazzaville (Par Jean-Michel BOKAMBA-YANGOUMA et Roger NDOKOLO)

Partout dans le monde s’exprime la volonté populaire de retrouver la souveraineté et le vivre-ensemble. La question de la souveraineté est fondatrice de la démocratie. Elle fonde la communauté politique, ce que l’on appelle le peuple et définit un ordre politique.

Créé le 2017-12-13 12:44:17

Axe Impfondo-Epena : Un véritable casse-tête chinois pour les usagers

La plupart des routes au Congo-Brazzaville se trouvent dans un état piteux. L’axe reliant Impfondo à Epena, dans le département de la Likouala (nord), ne fait pas exception à cette triste réalité.

Créé le 2017-12-13 12:09:34

Rencontre Sassou-Macron à Paris, comme un air de Noël

A Paris en France où il prend part au sommet sur la planète, le chef de l'État congolais, Denis Sassou N'Guesso mène sans tambours ni trompettes, une action qui tant au plan national qu'international, trace sa dimension d'homme d'État, dessine les contours de ses combats ainsi que les perspectives de sortie de crise pour son pays. Et soudain, l'horizon se dévoile, pas aussi sombre qu'on ne le pensait au bord du fleuve Congo.

Créé le 2017-12-13 10:50:46

Congo – Diplomatie : Rencontre Sassou-Macron, comme un air de Noël

À Paris où il prend part au sommet sur la planète, le chef de l'État congolais Denis Sassou N'Guesso mène sans tambours ni trompettes, une action qui tant au plan national qu'international, trace sa dimension d'homme d'État, dessine les contours de ses combats ainsi que les perspectives de sortie de crise pour son pays. Et soudain, l'horizon se dévoile, pas aussi sombre qu'on ne le pensait.

Denis Sassou N'Guesso et Emmanuel Macron à l'Élysée, la poignée de main au bas du sapin a du tout l'air d'un geste prémonitoire, en ces temps de noël qui suscitent des espoirs.

Même s'il n'est pas question de cadeaux à proprement parler au pied du sapin, il va s'en dire qu'à Paris, en dépit de tous les oiseaux de mauvais augure qui annonçaient une quasi bérézina du séjour parisien du président congolais, les actions qui en découlent sont signes de succès et ouvrent de belles perspectives pour le Congo.

Au plan du combat pour la planète, l'action du Congo-Brazzaville s'inscrit désormais dans un rôle moteur qui en fait un partenaire incontournable. De ce point de vue, le président congolais s'illustre lui même en porte-étendard, à travers des actes concrets, au point qu'il a plus d'une longueur d'avance sur les engagements auxquels Emmanuel Macron a convié ses pairs mardi.

Si tant est-il que la donne actuelle est celle d'une perspective des économies « moins carbonées », le Congo qui vit un contraste entre une économie « hyper carbonée » et des actions concrètes dans la lutte pour la nature et le climat, se situe au cœur même de la problématique sur la diversification économique. Une donne pour laquelle le président Français Emmanuel Macron s’investit sans retenue et les échanges de vues entre les deux chefs d'État sont porteurs à plus d'un titre et c'est tout à l'actif du Congo ainsi soutenu dans ses voies de sortie de crise.

Le Congo disions-nous, traverse une situation de crise. Les discussions en cours avec le Fonds monétaire international dessinent des perspectives encourageantes et dont les effets en terme de casse sociale, tant redoutés et annoncés à grands renforts de mots anxiogènes seront à l'évidence indolores pour les congolais.

Dans cette entreprise délicate, la France apparaît aux cotés du Congo comme un « avaliseur », si ce n'est qu'elle est attentive à ce que le pays se remette sur de bons rails.

L'action du groupe d'amitié Congo-France avec Dominique de Villepin est un soutien conséquent. La rencontre du président Sassou avec le ministre français des finances Bruno Lemaire, participe de ce soutien d'accompagnement.

Le Congo n'est ni en faillite, ni en banque route, disait le président Sassou. Les ressorts projetés par le FMI, doublés d'une volonté de l'État congolais d'entreprendre des réformes drastiques en termes d'assainissement des niches économiques et financières, vont bénéficier des vents favorables qui en haute mer, soufflent sur la production pétrolière.

Les perspectives pour 2018 sont à des productions records en terme de quantité confient les pétroliers, sans compter que le prix du brut repart à la hausse. De bon augure pour l’embellie du ciel économique congolais que d'aucuns annonçaient obscurcit, sinon complètement bouché, n'en déplaise à ceux qui distillent les informations selon lesquelles le Congo aurait déjà « mangé tout son blé en herbe ».

Quand tous les instruments de la reprise seront passés à une reprise de réconfort, les congolais, nous en sommes sûrs, auront en face d'eux un autre Sassou.

Il est fort à parier que pour son prochain remaniement, de nombreux ministres se disant inamovibles ne soient remerciés, et aient à rendre des comptes en des endroits autres qu'en conseil des ministres, et devant des hommes et des femmes de noir vêtus.

À l'évidence, la crise économique implique entre autres causes que des acteurs gouvernementaux et autres, commis à l'action économique ont failli à leur mission. Soit en terme du management de leur action, ou dans des pratiques disparates, en inadéquation avec les prescrits du chef de l'État. Il devront à l'évidence rendre des comptes.

Enfin, il y a la crise du Pool, un des aspects indexés par les partenaires internationaux du Congo, en matière de gouvernance. Denis Sassou N'Guesso en a jeté les bases pour un retour à la paix.

Reste que la démobilisation des ninjas nsiloulou serait perçue par leurs responsables comme une façon de se dégarnir d'un bouclier qui assurerait leur quasi impunité. Et ça coince.

La sagesse des dirigeants congolais saura nous en sommes sûrs, trouver le juste équilibre à la question, ce pour le bien de tous.

De quoi retrouver les équilibres et le sourire qui déjà commençait à disparaître des visages des congolais, et dire plein d'espoir, "bonne année 2018".

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-13 10:16:20

Conférence de Paris sur le climat : ''On perd la bataille'' !

« Nous sommes en train de perdre la bataille », a mis en garde Emmanuel Macron, à l'ouverture des travaux des différents panels du sommet de Paris sur le climat, « One planet summit ». Une façon d'appeler sans retenue à la mutualisation des moyens et des énergies, car l'urgence l'impose.

« C'est désormais le temps de l'action, car l'urgence est devenue permanente », a lancé le président français, du haut de la tribune du sommet.

Pour Emmanuel Macron, le combat se décline désormais non en terme de discours, mais en des actes concrets, quantifiables et pour lesquels les uns et les autres seront jugés.

« Après le retrait américain, l'accord de Paris issu de la COP 21 est fragilisé. Il s'agit donc d'une nouvelle étape dans notre combat. À chacun de prendre des engagements et de les tenir. On doit tous bouger, car on aura tous à rendre des comptes.

 Les travaux du « One planet summit » se sont ouverts en présence d'une soixantaine de chefs d'État et de gouvernement, des personnalités diverses venues de par le monde, ainsi que du secrétaire général de l'ONU et du directeur général de la Banque mondiale.

La délégation congolaise conduite par le président Denis Sassou N'Guesso comprend entre autres membres, l'écrivain-chercheur congolais Michel Innocent Peya dont le récent livre, « Vision verte de Denis Sassou N'Guesso... » est jugé par de nombreux spécialistes des questions climatiques comme un document de référence conséquent sur les questions climatiques.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-12 17:06:57

Macron reçoit une cinquantaine de Chefs d’Etats dont Denis Sassou Nguesso à l’Elysée

Le président français, Emmanuel Macron a reçu une cinquantaine de Chefs d’Etats dont le congolais Denis Sassou Nguesso, ce mardi à 12h30, au palais de l’Elysée à Paris.

Créé le 2017-12-12 14:08:14

Congo – Indice de développement : Taux de précarité élevé dans la couche infantile

Le premier ministre congolais Clément Mouamba a assisté le 11 décembre à Brazzaville, à la restitution d'une étude sur la pauvreté des enfants menée entre 2014 et 2015 par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), en collaboration avec le ministère du Plan. Les résultats montrent des disparités profondes en matière de précarité, pour un peu plus de 60% d'enfants congolais.

Au Congo, 69% des enfants de moins de 5 ans n'ont pas accès aux services de santé, 75% manquent de protection et près de 63% sont en marge des circuits de développement, relève ce rapport qui souligne en outre que l'impact de privation qui affecte les enfants est profond, non seulement sur ces derniers, mais sur l’ensemble de la société.

Face à ce tableau à l'évidence peu reluisant, le premier ministre s'est montré rassurant quant à l’amélioration de la situation, et indiqué  que « malgré un contexte économique et financier difficile, notre pays reste engagé dans la bataille contre la pauvreté.  Et, la problématique de l’enfance figure en bonne place dans les stratégies développées à cet effet. », a dit Clément Mouamba.

La représentante de l’Unicef au Congo, Micaela Marques De Sousa a pour sa part souligné  que « derrière les résultats obtenus ces dernières décennies au Congo, il y a encore des milliers d’autres enfants qui attendent de pouvoir aller à l’école, recevoir les soins, être protégés de la violence, de l’exploitation, de la maltraitance. »

Outre cette étude, l’Unicef et le Congo ont également réalisé, dans la même période, une enquête en grappe à indicateurs multiples (MICS). Ce deuxième rapport souligne que le gouvernement a accompli de réels progrès dans les domaines du droit à la protection, à l’éducation et à la survie. La mortalité infantile, par exemple, a baissé de plus de la moitié ces dix dernières années. Le taux est passé de 75 à 36 décès sur mille naissances vivantes entre 2005 et 2015.

À propos de l’éducation, le taux de fréquentation scolaire est de 97% au primaire et une parité parfaite entre filles et garçons. Cependant, au fur et à mesure que l’on avance dans le système éducatif, les filles deviennent moins nombreuses, a fait remarquer ce rapport.

La malnutrition chronique touche encore 17% des enfants de moins de 5 ans en milieu urbain contre 28% en milieu rural. Parmi les enfants de 12 à 13 mois, seulement 26+% ont reçu des vaccins contre les maladies cibles du programme élargi de vaccination.

Au regard de nombreux défis à relever dans le cadre de la protection de  l’enfant au Congo, la représentante de l’Unicef a renouvelé l’engagement de son institution en collaboration avec les agences du système des Nations unies, ainsi que les partenaires au développement, à accompagner les efforts du gouvernement, dans la mise en œuvre des politiques et programmes sectoriels amis des enfants, l’application de la convention relative aux droits de l’enfant et la poursuite des Objectifs de développement durable.

La présentation de ces deux rapports a été couplée à la célébration du 71e anniversaire de l’Unicef.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-12 12:37:59

Congo: Antoinette Sassou Nguesso, agressée verbalement à Paris "pardonne à ses agresseurs"

Son affaire avait défrayé la chronique. Des activistes congolais de France, hostiles au pouvoir de Brazzaville, avaient produit un «concert géant de casseroles » pendant trois jours devant son domicile du 16ème arrondissement de Paris. La première Dame du Congo, Antoinnette Sassou Nguesso a puisé dans sa foi en Jésus la force de pardonner ses «agresseurs » qui ont agi dans l'aveuglement de la passion.

Créé le 2017-12-12 12:04:55

Denis Sassou Nguesso sera reçu en audience par Bruno Le Maire ce mercredi à Paris

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso qui prend part, ce mardi à Paris, au One Planet Summit, sera reçu en audience par le ministre français de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, ce mercredi à 8 heures à Bercy.

Créé le 2017-12-12 10:38:28

France : Denis Sassou Nguesso prend part au lancement du One Planet Summit

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso, créateur d’un fonds bleu pour sauver le bassin du Congo, deuxième poumon de la planète après l’Amazonie,  prend part au lancement officiel du One Planet Summit par son homologue français, Emmanuel Macron, ce mardi, dans la capitale française.

Créé le 2017-12-12 09:33:58

Congo – Affaires étrangères : L'ambassadeur Jérôme Ollandet est mort !

Le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération et des Congolais de l’étranger a annoncé, lundi matin, la mort de l’ambassadeur Jérôme Ollandet, survenue dans la nuit du 10 au 11 décembre à Paris, en France.

Né en 1943 à Oyomi, district d’Owando, Jérôme Ollandet, intellectuel reconnu, quitte la terre au terme d’un parcours administratif et intellectuel bien rempli.

Historien, juriste et diplomate, il a assumé, de 1998 à 2001, les fonctions de secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, après avoir été ambassadeur du Congo en Guinée Equatoriale, au Cameroun, au Sénégal et en République centrafricaine.

Ambassadeur itinérant, il a suivi à ce titre plusieurs dossiers dont ceux de la Conférence internationale pour la région des Grands lacs. Il a toujours su partager sa longue et riche expérience à travers des livres et des conférences publiques dont l’une des toutes dernières sur « la diplomatie congolaise : des indépendances à nos jours », le 3 mars dernier à l’auditorium du ministère des Affaires étrangères, restera le dernier souvenir de nombreux jeunes congolais qui composaient son auditoire de ce jour là.

L’autre passion de ce docteur d’histoire de l’Université Paul-Valery de Montpellier était l’enseignement. Il a été, entre autres, proviseur du lycée de Makoua, directeur des examens et concours et enseignant chercheur à l’Université Marien-Ngouabi dont il a été l’un des grands dépositaires de l’histoire contemporaine du Congo.

Jérôme Ollandet a formé de nombreux jeunes congolais à qui il laisse une importante bibliographie dédiée aux deux passions de sa vie que sont l’histoire et la diplomatie.

Tchicaya – Opangault – Youlou, la vie politique au Congo Brazzaville, 1945-1964 ; L’expérience congolaise du socialisme, de Massamba-Débat à Marien Ngouabi ; Les hommes et le symbolisme des plantes en Afrique centrale – Essai d’anthropologie générale, font partie des nombreuses publications qu’il nous laisse en héritage.

Bertrand BOUKAKA/Source Adiac

Créé le 2017-12-11 22:57:15

Congo : Un lycéen frappe son professeur de Philosophie en plein cours à Dolisie

Nouvelle illustration de la violence en milieu scolaire au Congo-Brazzaville. Une scène choquante s’est déroulée ce lundi matin sous les yeux d’élèves de terminale A au Lycée de Tahiti à Dolisie dans le Niari (sud). Un élève a agressé violemment son professeur de Philosophie en plein cours.

Créé le 2017-12-11 13:38:49

Congo – CFCO : Des conducteurs de trains transformés en marchands de carburant

Les services de « matériel et traction » du Chemin de Fer Congo-Océan de Dolisie a procédé à la mise aux arrêts de deux conducteurs de train. Ceux-ci s'étaient spécialisés dans la revente du carburant à des clients préalablement répertories, sur leur parcours de desserte.

Des trains régulièrement en rade sur l'axe Dolisie-Mbinda, pour cause de panne sèche, les incidents récurrents avaient conduit les services de « matériel et traction » du district ferroviaire de Dolisie à ouvrir l’œil sur ces pannes qui ne s'expliquaient pas, tant le remplissage des réservoirs s'est toujours faits en fonction de la consommation aux kilomètres parcourus, auxquels s'ajoute une marge de sécurité, du fait des aléas d'immobilisations pour croisements ou autres attentes dans les cantons.

À travers les « rapports de navigation », les services avaient ciblé la survenue des incidents du genre sur quasiment les mêmes conducteurs associés.

Mutés sur l'axe Dolisie-Pointe-Noire, les deux filous n'ont pas mis fin à leur pratiques. L'enquête menée en douce a permis de découvrir le juteux trafic auquel s'adonnaient Décko Jean et Mavoungou Bitohi, conducteur et aide conducteur de train, désormais interpellés.

Tractant un train citerne, ils en ont extrait pas moins de 16.000 litres d'essence entre Pointe-Noire et Dolisie, une cargaison revendue à des particuliers.

L'enquête est en cours, pour démanteler l'ensemble du réseau.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-11 11:50:24

Congo – Télévision Congolaise : Clap de fin pour l'émission « Pacifica »

La grille des programmes de la Télévision Congolaise va s'appauvrir davantage désormais, avec le retrait de l'émission « Pacifica » animée par Jean Obambi.

Encore une émission « grand public » et qui fédérait autour d'elle des débatteurs sur divers sujets de société qui va disparaître des programmes de Télé-Congo, déjà suffisamment appauvris, en terme de programmes de qualité.

En dépit de son éviction, Jean Obambi est apparu serein devant ses invités dimanche, et à travers eux les téléspectateurs pour le dernier numéro d'une émission qui au long des ans, a su fédérer pacifiquement, autour des thèmes en débats, dans une contradiction rationnelle, afin d'en tirer une lumière vivifiante pour tous.

« Pacifica », c'était tout au style de jean Obambi. Sobre, mais profond, avec l'homme, ses idées et son milieu au centre de la thématique, comme pour en extirper ce qui l'avili et freine le vivre ensemble.

Il fallait bien une émission d'un tel niveau à Télé-Congo, qui en compte si peu. Hélas, les mots prononcés en fin d'émission par Jean Obambi en guise de clap de fin, ont sonné comme une sentence auprès des nombreux téléspectateurs, pour ce dernier numéro.

« J'ai crée Pacifica pour auréoler les programmes de Télé-Congo. C'est mon émission, je pars avec mon émission. »

Au nombre des déçus par cette décision, le ministre de la communication et des médias, Thyerry Moungalla qui a accusé le coup, comme une mise à nue évidente des programmes de la « maison » dont il assure la tutelle. Sa réaction sur twitter est expressive à propos.

« Le Dg sortant de Télé-Congo a annoncé sa volonté de mettre fin à son émission hebdomadaire PACIFICA en quittant ses fonctions. C'est dommage. C'était une émission de débats. »

Jean Obambi n'est pas à sa première émission grand public, dont le retrait laisse les téléspectateurs orphelins d'un référentiel en terme de créativité et de talent.

Encore jeune journaliste, il avait crée l'émission « Kratos ». Un espace de débats sur les lois inexpliqués de la nature ou les pouvoirs latents dans l'homme. L'émission explosa les records d'audience au point qu'au lendemain d'une émission, les sujets débattus étaient en discussion et les commentaires fructueux dans les administrations et autres lieux dans le pays.

Les invités se bousculaient pour participer à l'émission.

Elles sont ainsi, les bonnes choses. Elles vous sont parfois enlevées de la bouche, au moment où vous vous accommodez à leur saveur.

De Jean Obambi, nous reparlerons prochainement à travers un dossier sur ce "directeur-maison" quasiment incompris des tutelles successives sous lesquelles il a travaillé.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-11 10:39:40

Congo – CIRGL : De grandes résolutions au mini sommet tripartite de Brazzaville

Un mini sommet sur la région des Grands lacs a réuni les présidents Denis Sassou N’Guesso du Congo-Brazzaville, Joseph Kabila Kabange de la RDC, et Joao Manuel Gonçalves Lourenço d'Angola, le 9 décembre à Brazzaville.

Du communiqué de presse publié à l’issue de la rencontre, il ressort que les trois chefs d'État ont passé en revue les questions d’intérêt régional, africain et international. Ils soulignent leur volonté d'œuvrer à la consolidation des relations qui unissent leurs pays.

Denis Sassou N’Guesso, Joseph Kabila et Joao Manuel Lourenço ont ainsi salué la tenue à Abidjan, en Côte d’Ivoire, du sommet Union africaine-Union européenne et les engagements pris par les deux parties sur la crise migratoire et le trafic des êtres humains.

Ils ont en outre exprimé leur satisfaction suite à l’aboutissement du processus électoral au Kenya avec l’élection du président Uhuru Kenyatta, mais au regard des tensions qui l’ont suivi, ils appellent les parties à privilégier le dialogue.

Ils se sont également dits préoccupés par la persistance des violences en République centrafricaine et demandent à la communauté internationale, dont les forces stationnent sur le terrain, de continuer à œuvrer à la stabilisation et à la réconciliation nationale dans ce pays.

La publication du calendrier électoral en République démocratique du Congo (RDC) a aussi fait réagir les trois dirigeants, qui la considèrent comme « une avancée majeure » dans l’application des accords du 31 décembre 2016 appelant à la sortie de crise par l’organisation d’élections générales l’année prochaine.

Indignés par l’attaque à Béni (RDC), le 8 décembre, du contingent de la Monusco, dans laquelle une quinzaine de soldats de la paix ont trouvé la mort, les chefs d’État ont insisté pour que la communauté internationale accentue la pression contre les rebellions ougandaises, LRA et ADF, « des groupements terroristes à traiter tels quels », ont-ils dit.

En fonction depuis le mois de septembre dernier, le président angolais a reçu de ses pairs des félicitations pour « la sagesse avec laquelle il conduit les destinées de son pays depuis son élection ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-11 09:37:17

Congo – Diplomatie : Jean-Claude Gakosso chez Joseph Kabila pour des liens plus raffermis entre les deux Congo

Le Ministre des Affaires étrangères de la république du Congo, Jean-Claude Gakosso a traversé le Pool-Malebo jeudi pour Kinshasa, porteur d'un message du président Denis Sassou N'Guesso auprès de homologue de la RDC, Joseph Kabila.

Jean- Claude Gakosso a été accueilli à son arrivée au beach Ngobila de Kinshasa par le vice-premier ministre, ministre des Affaires étrangères et intégration régionale de la RDC, Léonard She Okitundu.

Même si la teneur du message n'a pas été révélée à la presse, il va s'en dire que cette visite œuvre au raffermissement de l'amitié entre les deux pays et les deux peuples liés par la culture, l'histoire et la géographie. Le ministre Jean-Claude Gakosso a eu des mots justes pour le dire.

« La proximité, la fraternité et la famille indiquent qu’il faut des échanges constants pour maintenir la bonne température. La RDC et le Congo Brazzaville constituent un même pays. Nous cultivons ensemble, nous vivons ensemble. Quand il pleut ici à Kinshasa, il pleut aussi à Brazzaville. Quand le soleil se lève ici à Kinshasa, il se lève aussi à Brazzaville. Nous devons tout faire pour maintenir cette flamme que nous ont léguée nos ancêtres », puis d'ajouter :

« la coopération entre les deux pays se porte très bien au niveau des officiels, au niveau de la population, sur le plan sentimental, économique et commercial ».

Les consultations directes ou à travers des émissaires sont fréquentes entre Denis Sassou N'Guesso et Joseph Kabila. C'est pour la deuxième fois, en moins de deux mois, que Brazzaville envoie un émissaire à Kinshasa pour apporter un message à Joseph Kabila.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-08 07:39:06

Congo : Le Général Norbert Dabira placé en résidence surveillée pour tentative de « coup d’Etat »

Le Général Norbert Dabira, un proche du président congolais, Denis Sassou Nguesso, accusé de tentative de « coup d’Etat » a été placé en residence surveillée après son audition par les services de la DGST, ce jeudi 7 décembre 2017.

Créé le 2017-12-07 21:14:33

Congo : Un général des Forces armées congolaises prépare en catimini un soulèvement populaire à Brazzaville

Un général retraité des Forces armées congolaises (fac), préparerait en catimini un soulèvement populaire de connivence avec d’autres militaires à la retraite à Brazzaville, a-t-on appris des sources concordantes.

Créé le 2017-12-07 16:28:26

Congo – Téléphonie : Encore une campagne d'identification des usagers du téléphone

L'Agence de régulation des postes et des télécommunications électroniques (ARPCE), a lancé une campagne d'identification le 6 décembre à Pointe-noire, en collaboration avec les opérateurs de téléphonie mobile de la place. Certains dénoncent une campagne de trop.

L'opération a pour objectif d’emmener les vendeurs et revendeurs des cartes Sim à procéder, de manière systématique, à l’identification préalable de tout nouvel abonné.

L'ARPCE fait valoir des raisons sécuritaires ainsi que la maîtrise du fichier des abonnés en République du Congo. 

Depuis un certain temps, l’ARPCE a constaté sur le marché la prolifération des cartes Sim pré-activées, l’authenticité douteuse de plusieurs pièces présentées et un relâchement sur l’identification des abonnés auprès des vendeurs et revendeurs de cartes Sim.

Cette situation aurait favorisé la résurgence des réseaux frauduleux d’appels téléphoniques. Ainsi, les vendeurs ont été sensibilisés aux sanctions auxquelles s’expose tout contrevenant aux procédures d’identification des abonnés.

Cette campagne d’identification s’inscrit dans le cadre du respect des normes internationales de sécurité de réseaux de télécommunications. Elle est édictée par l’Union internationale des télécommunications et va permettre non seulement au régulateur de garantir la vie privée des utilisateurs mais aussi de prévenir et punir l’usage délictueux des services de télécommunications, assure t-on.  

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2017-12-07 09:42:25

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