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Le domicile de Syska Ndongo (78 avenue de Verdun. 95310 Saint-Ouen l’Aumône) prêtera son somptueux cadre le samedi 7 décembre prochain à 14h30, à l’assemblée générale des membres de l’Association des Congolais et Gabonais de France (l’ACGF).
Cette dernière rencontre de l’année dont la teneur sera adaptée en fonction des envies, des besoins, des opportunités, va permettre aux membres de l’ACGF, présents sur le territoire français, de dresser un bilan global des activités de leur association créée en novembre 2016 à Dole, et dont la devise est : « Tout seul on va vite, ensemble, on va plus loin ».
Selon le bureau exécutif de l’ACGF, il y a une très bonne dynamique et une très forte solidarité agissante. Mais, il faut chercher encore des voies et moyens pour rebooster l’association, en mettant en place des nouveaux projets afin de mieux aborder l’année 2025.
Attendons donc le samedi 7 décembre prochain, pour y voir un peu plus clair.

Enfin, il est prévu également un dîner copieux et somptueux pour créer une ambiance festive et redonner le sourire aux membres de l’ACGF dont le siège est à Melun (2 Square Jules Siegfried), en Seine-et-Marne.
L'association qui a besoin de tisser du lien se veut ouverte aux personnes de tous les âges et ayant le sens et le goût du partage, car c’est là le véritable signe de l’amour : « quiconque ne partage pas n’aime pas », disait Henri Lacordaire, religieux, prédicateur, journaliste et homme politique français.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-10 12:39:35
Le Président Denis Sassou N’Guesso a quitté Brazzaville samedi, pour Bakou. Dans la capitale de l’Azerbaïdjan, le Président congolais va participer en leader dans la lutte contre les changements climatiques et la préservation des écosystèmes, à la Cop 29.
« Investir dans une planète vivable pour tous », tel est le thème de la 29e Conférence des parties (COP) sur les changements climatiques qui se tient en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024. Elle doit se conclure par un nouvel objectif d’aide financière aux pays en développement, afin qu’ils puissent réduire leurs rejets de gaz à effet de serre et s’adapter aux changements climatiques.
La crise climatique dépassant le cadre des frontières, une coopération internationale sans précédent est nécessaire. L’ONU s’attache à instaurer la confiance, à renforcer la coopération multilatérale et à redynamiser l’action pour tenir les promesses faites en 2015 dans l’Accord de Paris sur le climat (COP21).
Il est dans l’intérêt de chaque pays d’agir contre la crise climatique. Les dommages climatiques et les phénomènes météorologiques extrêmes s’accélèrent et s’intensifient dans le monde entier, et aucun pays n’est épargné.
Les inondations record en Espagne, les violentes tempêtes en Floride et en Caroline du Nord et les incendies de forêt en Amérique du Sud dévastent des vies et des moyens de subsistance. Face aux dégâts sans précédent causés par l’urgence climatique, le coût de l’inaction n’a jamais été aussi clair.
Les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère atteignent des niveaux record et les émissions continuent d’augmenter. La fenêtre d’opportunité pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius et éviter l’aggravation des impacts climatiques est presque fermée.
Ces enjeux qui relèvent d’une véritable urgence climatique appellent à l’action constante que le Président Denis Sassou N’Guesso a toujours menée pour le climat.

Aussi, la Cop 29 est un cadre tout indiqué pour Denis Sassou N’Guesso, Président de la commission climat du Bassin du Congo, qui a fait de la préservation de la biodiversité de la protection de l’environnement son credo pour la survie de l’humanité, de mener une fois de plus un plaidoyer pour le soutien de son projet de la décennie mondiale d’afforestation et de reboisement.

Il est à rappeler qu’en visionnaire de l’urgence climatique, le Président Denis Sassou N’Guesso institua en 1984, la journée nationale de l’arbre. Avant de quitter Brazzaville, le Président Denis Sassou N’Guesso a procédé au planting, à l’occasion de la 38 journée nationale de l’arbre et au lancement de la décennie africaine et mondiale de l’afforestation et du reboisement.

À Bakou, du haut de la tribune de la Cop 29, le Président Denis Sassou N’Guesso réitèrera son appel à la décennie africaine et mondiale de l’afforestation et du reboisement déjà inscrite à l’agenda des Nations Unies.
Une constance de la diplomatie climatique que ne cesse de prôner Denis Sassou N’Guesso, à travers des orientations aussi responsables que viables des enjeux éminemment planétaires qui concentrent les interactions homme-Nature.

Des interdépendances dont les effets n’ont jamais été aussi affirmés de l’histoire de l’humanité, en témoignent les bouleversements climatiques notés de ci de là, avec les catastrophes qu’ils engendrent et qui appellent à des réponses toutes aussi responsables.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-10 10:51:48
Guerrier. C’est l’adjectif qui vient lorsqu’on rencontre ce jeune conseiller départemental et municipal de Pointe-Noire au débit mitraillette, capable, avec un plaisir évident, de vous défendre, avec luxe et détails et une clarté biblique, en quelques minutes, la vision du Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso, celle de contribuer, sans économiser le moindre effort, à amener le Congo le plus loin possible sur le chemin du développement. Le tribun a encore sorti son lance flammes ce dimanche matin pour pulvériser tous ceux qui critiquent la reforme courageuse du gouvernement, celle de la prolongation de l’âge de départ à la retraite des travailleurs relevant du code du travail : « La prolongation de l'âge de départ à la retraite, loin d'être un écueil, c'est plutôt une justice sociale rendue par le régime PCT au pouvoir à son peuple ».
« Nombreux sont des Congolais, qui se sont étonnés des mesures prises lors du Conseil des Ministres du vendredi 8 novembre 2024, au nombre desquelles l'augmentation de la date de départ à la retraite selon la catégorie du travailleur. Loin d'être une action anodine, cette mesure est une juste réparation d'un préjudice accordée aux travailleurs Congolais, les raisons :
Nous constatons, que nos vaillants travailleurs ayant servi dignement l’Etat, éprouvent certaines difficultés d'entrer en possession de leur droit de pension, tout simplement parce que le mécanisme de l'automatisation de la pension ne s'en suit pas après leur départ à la retraite. Ce sont les cotisations sociales des travailleurs, qui garantissent le droit à la pension, mais pour qu'il puisse avoir une retraite digne, tout travailleur doit avoir cotisé au moins 35 ans, voire 40 ans.
Or, nous remarquons ces derniers temps, la proportion des Congolais à se faire embaucher à des âges avancés, 35 ans, voire plus pour bien d'autres compatriotes. S'ils ne cotisent pas pendant 30 ans, quelle pension auront-ils, si la retraite reste dans les proportions actuelles ?
Une retraite éminemment dérisoire ; d'où, il faut qu'ils travaillent longtemps. Pour réparer les disparités actuelles de certains compatriotes qui partent à la retraite, mais dont les pensions ne s'en suivent pas, il faut justement qu'il y’ait beaucoup de cotisants pour assurer la garantie de la rente.
Or, actuellement, il y'a moins de cotisants pour plus de retraités, d'où la sage idée de proroger pour gagner plus et réparer le préjudice subi par nos vaillants retraités.
C'est une justice sociale pratiquée par le régime PCT au pouvoir, non seulement à l'endroit des retraités qui peinent, les travailleurs actuels qui devaient partir à la quille et ceux qui viennent d'être recrutés à la fonction publique, à qui l'Etat donne la possibilité de travailler et de cotiser plus de 30 ans », a déclaré Brice Itoua, conseiller départemental et municipal de Pointe-Noire, sur les réseaux sociaux.
Selon le compte rendu du Conseil des ministres qui s’est réuni vendredi 8 novembre 2024 au Palais du peuple, sous la très haute autorité de son excellence, M. Denis Sassou-N’Guesso, Président de la République, chef de l’Etat, le texte, qui abroge l’article 4 de la loi n°22-2010 du 10 décembre 2010 fixant l’âge d’admission à la retraite des travailleurs relevant du code du travail, fixe désormais l’âge d’admission à la retraite, selon les catégories de travailleurs, ainsi qu’il suit :
- 60 ans pour les manœuvres, les ouvriers et les autres travailleurs assimilés ;
- 63 ans pour les agents de maîtrise ;
- 65 ans pour les cadres ;
- 70 ans pour les cadres hors catégorie.
Le projet de loi prévoit également la possibilité pour tout travailleur ayant cotisé pendant une durée requise pour bénéficier d’une pension normale, de prendre une retraite anticipée. Cette possibilité de retraite anticipée se présente ainsi qu’il suit :
- 57 ans pour les manœuvres, les ouvriers et les autres travailleurs assimilés ;
- 60 ans pour les agents de maîtrise ;
- 63 ans pour les cadres ;
- 65 ans pour les cadres hors catégorie.
D’autre part, le texte prévoit que la durée de prolongation d’activité, accordée par le ministre en charge du Travail, ne peut dépasser deux ans.
Après examen et discussion, le Conseil des ministres a approuvé le projet de loi fixant l’âge d’admission à la retraite des travailleurs relevant du code du travail.
Il sera transmis au Parlement pour examen et adoption.
Le projet présenté a pour objectif, comme pour les agents publics, de fixer l’âge d’admission à la retraite des travailleurs relevant du code du travail.
Il s’agit de permettre à nos compatriotes, recrutés de plus en plus tardivement, de travailler plus longtemps, afin de bénéficier d’une pension normale de retraite.
La réforme, validée par la Commission nationale consultative du travail lors de sa session ordinaire du 18 juillet 2024, permettra aux entreprises du secteur privé de profiter plus longtemps des cadres expérimentés.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-10 08:44:17
La jalousie est une émotion très courante, fondée sur l'insécurité et la crainte de perdre quelqu'un ou quelque chose. Elle est parfois excessive ou maladive. C’est une affaire qui défraie la chronique à Pointe-Noire. Son compagnon, de nationalité camerounaise, après une dispute liée à la jalousie, a aspergé son amie Vanessa, 34 ans, de nationalité congolaise, mère de trois enfants, avant de l'enflammer sans pitié et remords. La jeune femme a été brûlée au troisième degré.
Hospitalisée dans un état critique à l’hôpital général Adolphe Cissé, son pyromane a été interpellé et placé en garde à vue par les forces de sécurité qui ont ouvert une enquête, selon le procureur général, près le tribunal de grande instance de la ville océane, Mme Stéphanie Souvenirs Tibi-Ititi.
Aux dernières nouvelles, la jeune femme a succombé à ses blessures ce samedi matin après 48 heures, laissant derrière toute une famille en émoi.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-09 19:47:10
L’Organisation des Femmes du Congo (l’OFC) du département de Brazzaville, a organisé une marche ce samedi 9 novembre 2024, pour célébrer le vivre ensemble par la pratique du sport gage de bonne santé.
Sport ultra-accessible quel que soit le cadre, la marche aurait des vertus émancipatrices en plus de faire du bien à nos corps.

Et pour ce faire, elles sont venues de tous les arrondissements de Brazzaville pour prendre part à cette marche dont le point de départ était au rond-point Moungali dans le quatrième arrondissement et le point de chute le stade d'Ornano en passant par l'hôtel de la préfecture, où un match Amical de Dzango a opposé l’OFC à l'organisation des Femmes d’Angola (l’OFA).
Elles étaient de tous les âges et de toutes les classes sociales à marcher et à jouer au Dzango pour le lancement officiel des activités sportives au sein de l’OFC du département de Brazzaville.

De l’avis des organisatrices, cette marche sportive a connu une grande mobilisation des femmes de l’OFC du département de Brazzaville réunies pour célébrer le vivre ensemble.
Enfin, les femmes de l’OFC ont appelé les congolais à contribuer au maintien de la paix, afin d’atteindre les objectifs de développement contenus dans le projet de société du Président de la République Denis Sassou-N’Guesso : «La marche vers le développement : Allons plus loin ensemble ».
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-09 18:21:50
La paix ou la stabilité politique congolaise est un atout aux yeux des investisseurs jusqu’à présent. Pour preuve, le ministre d’Etat, ministre des Affaires foncières et du Domaine public, chargé des Relations avec le Parlement, Pierre Mabiala, a soumis à l’examen du Conseil des ministres qui s’est réuni vendredi 8 novembre 2024 au Palais du peuple, sous la très haute autorité de son excellence, M. Denis Sassou-N’Guesso, Président de la République, chef de l’Etat, plusieurs projets susceptibles de résorber l’épineux problème du chômage qui étrangle plusieurs jeunes congolais.
Les deux premières séries de projets de décret concernent la société civile immobilière Moka. Elle sollicite le déclassement et la cession de la propriété immobilière bâtie du domaine public de l’Etat, cadastrée : section R, bloc 20, parcelle 9, centre- ville, arrondissement n°3 Poto-Poto, commune de Brazzaville, située au lieu- dit hôtel Cosmos, avec pour volonté de maintenir la vocation des lieux et d’y bâtir un hôtel de haut standing.
Les deux autres projets de décret concernant la SCI Cosmos portent déclassement et cession à titre onéreux de la propriété immobilière bâtie du domaine privé de l’Etat, cadastrée section R, bloc 16, parcelle 1, 1 ter et 2 et bloc 26 et 27, parcelles 1, 3, 4 et 5, centre-ville, arrondissement n°3 Poto-Poto, commune de Brazzaville, au lieu-dit « Port autonome de Brazzaville ». Cette propriété devra abriter un grand centre d’affaires moderne, des appartements de haut standing et des installations pour le tourisme de masse.
Ces deux projets, dont le coût prévisionnel sera affiné dans des cahiers des charges à venir et évalué à 200 milliards de frs CFA, devraient générer, pour l’un, 200 emplois directs et, pour l’autre, 950 emplois directs.
Le ministre d’Etat Pierre Mabiala a soumis également à l’examen du Conseil un projet de décret portant déclassement de la dépendance du domaine public de l’Etat situé au lieu-dit « Village Nkouo », district d’Ignié, département du Pool.
La société de droit congolais Sedoma Congo sollicite l’attribution en jouissance, par le biais d’un bail emphytéotique d’une durée de 49 ans, de cette dépendance d’une superficie de 6000 hectares, deux ares vingt-huit centiares en vue d’y développer un projet agroindustriel.
Ayant déjà commencé d’y réaliser quelques travaux de préparation (forage d’eau notamment), la société demanderesse envisage d’investir 34 milliards de frs CFA dans la mise en place d’une ferme en vue notamment de la production de poulets de chair et d’œufs, production qui va générer la création de plusieurs centaines d’emplois.
Enfin, le ministre d’Etat Pierre Mabiala a soumis à l’examen du Conseil deux projets de décret portant déclassement et cession à titre onéreux de la dépendance du domaine public de l’Etat, cadastrée section U, bloc 104, parcelle 2 bis, Mpila, arrondissement n°6 Talangai, commune de Brazzaville, au profit de la société Super Jade.
La société demanderesse envisage d’y implanter, moyennant un investissement de 8 milliards de frs CFA, une chambre froide de haut standing, une galerie marchande et un centre commercial, le tout devant générer la création de 200 emplois directs.
Après discussion, le Conseil des ministres a adopté l’ensemble des projets de décret soumis à son examen par le ministère des Affaires foncières, du Domaine public et des relations avec le Parlement.
On rappelle que le gouvernement congolais a toujours plaidé pour davantage d'investissements étrangers au Congo-Brazzaville. Il assure que les investisseurs étrangers sont les bienvenus, notamment dans tous les domaines socio économiques.
Le Président de la République, Denis Sassou-N’Guesso a décrété l’année 2024 l’année de la jeunesse. Une aubaine pour l’intégration et une solution pour lutter contre le chômage endémique des jeunes.
Cette volonté politique est le chemin qui mène à la garantie d’un avenir fructueux de notre nation.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-09 17:04:24
Suite à une plainte déposée en justice contre le Premier Secrétaire de l’Union Panafricaine pour la Démocratie Sociale (U.PA.D.S.), Tsaty Mabiala Pascal par Aty Tsaty Gilbert et autres, au Tribunal de Grande Instance de Brazzaville, l’ordonnance rendue le 2 avril 2024 dernier, a été confirmée. Voici intégralement un communiqué rendu public ce samedi 8 nombre 2024 par le département de communication du Parti du Professeur Pascal Lissouba :
La Chambre des Référés de la Cour d'Appel de BRAZZAVILLE a rendu, ce Vendredi 08 Novembre 2024, sa décision dans l'Affaire ATY TSATY Gilbert et autres contre TSATY MABIALA Pascal, Premier Secrétaire de l'UPADS.
Le dispositif de cette décision est le suivant :
- Statuant publiquement, contradictoirement, en matière civile, en référé et en dernier ressort ;
- EN LA FORME :
Reçoit l'appel de ATY TSATY Gilbert et autres ;
- AU FOND :
Dit qu'il a été bien jugé et mal appelé ;
- En conséquence :
Confirme l'ordonnance entreprise en toutes ses dispositions ;
- Condamne conjointement et solidairement ATY TSATY Gilbert, BALOUISSI Louise, BEMY Barthélémy, MATSONI Victorine et autres aux dépens.
En définitive, l'ordonnance rendue le 02 Avril 2024 par le Président du Tribunal de Grande Instance de BRAZZAVILLE et qui rejetait la requête des consorts ATY TSATY Gilbert a été confirmée.
Fait à Brazzaville, le 08 novembre 2024
Le Département de la Communication
Créé le 2024-11-09 16:33:17
Selon le compte rendu du Conseil des ministres qui s’est réuni vendredi 8 novembre 2024 au Palais du peuple, sous la très haute autorité de son excellence, M. Denis Sassou-N’Guesso, Président de la République, chef de l’Etat, le texte, qui abroge l’article 4 de la loi n°22-2010 du 10 décembre 2010 fixant l’âge d’admission à la retraite des travailleurs relevant du code du travail, fixe désormais l’âge d’admission à la retraite, selon les catégories de travailleurs, ainsi qu’il suit :
- 60 ans pour les manœuvres, les ouvriers et les autres travailleurs assimilés ;
- 63 ans pour les agents de maîtrise ;
- 65 ans pour les cadres ;
- 70 ans pour les cadres hors catégorie.
Le projet de loi prévoit également la possibilité pour tout travailleur ayant cotisé pendant une durée requise pour bénéficier d’une pension normale, de prendre une retraite anticipée. Cette possibilité de retraite anticipée se présente ainsi qu’il suit :
- 57 ans pour les manœuvres, les ouvriers et les autres travailleurs assimilés ;
- 60 ans pour les agents de maîtrise ;
- 63 ans pour les cadres ;
- 65 ans pour les cadres hors catégorie.
D’autre part, le texte prévoit que la durée de prolongation d’activité, accordée par le ministre en charge du Travail, ne peut dépasser deux ans.
Après examen et discussion, le Conseil des ministres a approuvé le projet de loi fixant l’âge d’admission à la retraite des travailleurs relevant du code du travail.
Il sera transmis au Parlement pour examen et adoption.
Le projet présenté a pour objectif, comme pour les agents publics, de fixer l’âge d’admission à la retraite des travailleurs relevant du code du travail. Il s’agit de permettre à nos compatriotes, recrutés de plus en plus tardivement, de travailler plus longtemps, afin de bénéficier d’une pension normale de retraite.
La réforme, validée par la Commission nationale consultative du travail lors de sa session ordinaire du 18 juillet 2024, permettra aux entreprises du secteur privé de profiter plus longtemps des cadres expérimentés.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-09 15:17:01
La FMC Poto-Poto de Brazzaville a organisé, le vendredi 8 novembre 2024 au Stade Félix Eboué, une campagne d'adhésion des nouveaux membres et sympathisants. La cérémonie a été patronné par le président du comité de l'arrondissement 3 Poto-Poto, Yohan Edgar Nguesso, en présence du Secrétaire à la jeunesse du PCT Poto-Poto, du Secrétaire à l'organisation et à la mobilisation PCT, de tout le directoire dudit comité et enfant de Poto-Poto, le ministre Alain Akouala Atipault. A cette grande retrouvaille juvénile des Poto-Potoises et Poto-Potois, un mot fort a sonné, c’est l’appel à candidature de Denis Sassou Nguesso à la présidentielle de 2026, lancé par la FMC Poto-Poto.
Dans un Stade bondé des jeunes venus des quatre coins de cet arrondissement mythique et cosmopolite, paradé des drapelets à la couleur rouge vif du Parti Congolais du Travail (PCT). Ces grandes retrouvailles ont été l'occasion pour le comité de la FMC Poto-Poto de resserrer les rangs de ce mouvement juvénile en organisant une campagne d’adhésion des nouveaux membre du mouvement de jeunesse du Parti au pouvoir.
Une seule allocation a marqué ce grand rassemblement des jeunes : celle du président du comité FMC Poto-Poto, le camarade Yohan Edgar Nguesso.
Dans son adresse à cette jeunesse mobilisée, le président du comité a d'abord témoigné de sa gratitude à cette jeunesse pour avoir répondu à cet appel militant et citoyen.
« Chers amis, j'ai bien conscience de l'importance de ce moment pour notre action commune, au service de notre Parti et bien au-delà du Parti, de notre pays et des Congolais. La République, ce canal qui nous divise le moins. Notre Parti a toujours veillé à ce que nos militants et sympathisants soient des vrais patriotes. Qu'est-ce qu'un patriote ? A cette question, permettez-moi d'avoir une pensée pour des saints justes, qui définissaient le patriote dans une formule qui prend son plein sens en ces termes : " le patriote est celui qui soutient la République en masse, quiconque le combat est un traître. La Force Montante Congolaise est donc déterminée, à être effectivement une force de proposition pour l'avancée de notre pays tant aimé. Les jeunes que nous sommes, devrions nous illustrer dans l'amour de la partie dans le travail, tout en refusant toutes formes de manipulations politiques ayant pour vocation à s'exprimer dans le désordre, la violence et bien d'autres comportements déviants. Tous ces mots ne profiteront pas au Congo, mais plutôt, aux ennemis de notre pays. Nous appelons donc la jeunesse à la prudence », a lancé le président du comité FMC du 3e arrondissement de Brazzaville.
Il a aussi stigmatisé le comportement des concitoyens qui affichent des postures négatives et violentes envers les autres. « Violence, parlons-en ! Chers amis jeunes, nous sommes bien consciences qu'une bonne partie de nos frères ont choisi cette école, l'école de la violence, qui ne forme en réalité que des hommes sans avenir. Et un peuple sans avenir, est un peuple sacrifié. C'est ici le lieu et le moment de conscientiser ses frères, à leur exhorté au retour au bon sens. Face à la récurrence de l'insécurité, due au mauvais choix de certains jeunes, nous nous inscrivons en faux, face à ces comportements et partageons notre indignation face à ce fléau qui mine notre société », a martelé Yohan Edgar Nguesso.
Ce meeting ou méga campagne d’adhésion constitue la rentrée politique de ce nouveau comité de jeunesse du parti au pouvoir, le PCT. « C'est ainsi qu'à l'occasion de notre rentrée politique, nous avons jugé utile, de débuter par une activité de masse dénommée '' Méga Campagne d'adhésion à la Force Montante Congolaise de Poto-Poto. Nous voulons donc, par cette campagne que la Force Montante Congolaise regorge en ces rangs, des jeunes dynamiques, afin de se préparer avec confiance à affronter les échéances électorales avenir. A ce stade, beaucoup d'entre vous, disons, les futurs militants que vous êtes, vous vous portez la question de savoir : pourquoi adhérer à la Force Montante Congolaise », a-t-il précisé.

Yohan Edgar Nguesso n’a pas manqué et hésité de rappeler la conjoncture actuelle de notre pays. « C'est vrai que nous traversons une période moins joyeuse, mais tenez-vous bien, nous sommes loin de la banqueroute. Dans quelques te, ça ne sera qu'un lointain souvenir car, nous avons confiance au camarade Président du comité central de notre grand er glorieux Parti, premier membre d'honneur de la Force Montante Congolaise, le camarade Denis Sassou Nguesso, qui en traversant toutes les crises socio-politiques et économiques en a toujours trouvé les solutions et ce, pour le bienêtre de ses compatriotes. Sempiternel leitmotiv de cet homme, qui finalement a toujours placé le Congo et les Congolais au centre de son action. Bien que difficile, ce contexte économique n'est que passager, je vous l'assure. Ce message d'espoir consiste donc à vous engager davantage », a-t-il fait savoir.
Abordant avec minutie l’aspect de la paix, qui est comme une denrée rare que tout Congolais doit préserver, il a dit en substance que, « la paix a besoin de l'apport de tous les citoyens pour avancer et ce, quelques soit votre sexe et votre ethnie. Comme le disait le Président John Fitzgerald Kennedy, d'heureuses mémoire, je cité : '' Ne demander pas ce que votre paix peut faire pour vous, demandez-vous plutôt ce que vous pouvez faire pour votre paix '' fin de citation ».

« Après moult consultations, nous finissons par conclure qu'il est l'homme de son pays, oui, homme de son pays. Ces trois mots qui fondent son action, j'ai cité : Paix, Unité et Développement, sont en réalité la condition sine qua non de la garantie de nos meilleurs lendemains. C'est ainsi que la jeunesse demande solennellement, et respectueusement au camarade Denis Sassou Nguesso, président du comité central du Parti Congolais du Travail, premier membre d'honneur de la Force Montante Congolaise, de présenter sa candidature pour les élections de 2026. Si vous êtes d'accord avec moi, nous allons réitérer cet appel à candidature : " Son Excellence M. le Président de la République, émérite serviteur de l'État, nous vous demandons très respectueusement de vous présenter à l'élection présidentielle de 2026, et ce, avec le soutien indéfectible de la jeunesse de Poto-Poto'' », a invoqué le président du comité FMC Poto-Poto.
Il sied de signaler puis de noter qu’à plus d’une année de la présidentielle de 2026, la Force Montante Congolaise, à travers son comité de Poto-Poto, est le tout premier groupement politique à demander au Président de la République, Denis Sassou Nguesso de poser sa candidature à l’élection.
VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-09 15:14:58
Le montant du salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig), fruit d’un processus de négociations et discussions engagé par les partenaires sociaux et le gouvernement depuis une dizaine d’années et fondé sur la nécessité de relever le montant du salaire minimum, le projet de décret abroge le décret du 21 décembre 2008 qui fixait le Smig à 50 400 frs CFA par mois. Il est désormais fixé à 70 400 frs CFA par mois à compter du 1er janvier 2025, selon le compte rendu du Conseil des ministres qui s’est réuni vendredi 8 novembre 2024 au Palais du peuple, sous la très haute autorité de son excellence, M. Denis Sassou-N’Guesso, Président de la République, chef de l’Etat.
Le texte oblige également à mettre à jour les dispositions des conventions collectives et des statuts particuliers des organismes publics qui prévoient des salaires inférieurs à 70 400 frs CFA par mois.
Après examen et discussion, le Conseil des ministres a adopté le projet de décret fixant le montant du Smig).
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-09 14:58:22
Le ministre d’Etat en charge des Infrastructures et des Travaux publics de la République démocratique du Congo (RDC), Alexis Gisaro, a annoncé que les obstacles à la réalisation de ce projet ont été levés et dans une année, les travaux pourront démarrer.
« Nous avons instruit les deux structures et donné des instructions pour qu’à partir du mois de janvier, un chronogramme très clair soit déployé, et nous allons assurer véritablement le suivi. Les études avaient été déjà faites et toutes les négociations qui vont avec, de manière à ce que dans une perspective d’une année, que l’on procède à la pose de la première pierre », a déclaré le ministre d’Etat de la RDC, Alexis Gisaro, à l’issue d’une audience, le 7 novembre dernier à Brazzaville, avec le chef de l’Etat, Denis Sassou-N’Guesso.
Maloukou est le point de départ du projet Pont Route-rail qui va relier la rive droite du fleuve Congo, à Brazzaville, et la rive gauche, à Kinshasa.
C’est un projet porté par la BAD. La Banque a déjà autorisé des décaissements des fonds nécessaires à la mise en place des voies d’accès à ce pont, aussi bien du côté de la République du Congo, que de la République démocratique du Congo.
Le futur pont route-rail sera érigé sur le fleuve Congo qui sépare les deux capitales les plus proches du monde, Brazzaville et Kinshasa. L’étude table également sur le prolongement du chemin de fer Kinshasa-Ilebo en République démocratique du Congo.
Ce projet est financé par la Banque africaine de développement (BAD), alors que la Communauté Économique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC) en est l’organe d’exécution. Pour financer l’étude, la BAD a accordé deux dons aux deux Etats et à la CEEAC à hauteur de 5 millions d’UC soit environ 8 millions USD. Ces dons ont été complétés par les fonds de contrepartie versés par les deux pays à hauteur de 1, 3 milliard de FCFA soit 2 088 099 USD.
Le pont, qui est un projet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) sera constitué d’une route pour automobile et de rail pour le chemin de fer Kinshasa-Ilebo.
Les autorités des deux pays ont pu se mettre d’accord, en décembre 2013, sur le site où le Pont-route-rail sera érigé. Le site de Maluku au nord de Brazzaville a été retenu du côté de Brazzaville.
Les deux Congo implanteront des zones économiques spéciales (ZES) sur les deux rives pour intensifier les échanges économiques grâce à cette infrastructure.
La réalisation du projet permettra de toucher trois piliers de cette démarche d’intégration sous régionale. Il renforcera la libre circulation des biens et des personnes entre les deux pays. Il conduira à une réduction de délais d’attente lors de la traversée du fleuve, d’un pays à l’autre.
Enfin, il améliorera la qualité des services de transport et réduira les coûts associés.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-09 08:22:18
De nombreux villages sont déjà inondés le long de la rivière Oubangui, dans le département de la Likouala, selon le sous-préfet du district de Dongou. Omert Liénart Sosso ne peut pas encore donner de précisions sur le nombre de sinistrés ou sur les dégâts matériels pour le moment, car les déplacements sont compliqués.
L'évaluation sur le terrain est donc perturbée, tout comme l'accès aux champs et l'accès aux soins.
Dans le village d'Ikpengbele, le responsable du centre de santé intégré raconte que les patients viennent en pirogue via les rues où, quelques jours auparavant, on pouvait circuler à pied.
Les précipitations n’expliquent pas tout...
Les causes, on les connaît : d’abord, il a beaucoup plu, c’est bête, mais c’est quand même la première chose, les précipitations de ces derniers mois sont exceptionnelles. L’eau vient de la crue de la rivière Oubangui, mais aussi des plus petits cours d'eaux en forêt.
Il n’y a pas que les rivières qui débordent, les nappes phréatiques aussi, y compris dans des zones relativement éloignées des cours d’eau.
De nombreux dégâts matériels sont à déplorer, mais ce n'est encore que le début de la saison pluvieuse qui va durer jusqu'en mai prochain.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-08 17:25:19
Le Président de la République Denis Sassou Nguesso a reçu en audience, le mercredi 6 novembre 2024 au Palais du Peuple, le Secrétaire général du Forum sur la coopération sino-africaine, Du Xiaohui et sa suite. Cette audience a été une occasion de présenter au chef de l’Etat congolais, qui assure la co-présidence africaine du FOCAC, le mécanisme du FOCAC dont les enjeux constituent le socle de la coopération entre la Chine et l’Afrique. Pour des enjeux qui engendrent le piédestal de la coopération entre les deux pays amis, au profit de leurs populations respectives. La délégation chinoise était accompagnée par l’Expert-Assistant du FOCAC, le ministre Rigobert Maboundou.
Du Xiaohui est allé présenter au chef de l’Etat congolais, co-président du FOCAC, les modalités de la mise en œuvre des 10 axes prioritaires du Plan d’action de Beijing 2025-2027.

Au sortir de l’audience avec le Président de la République, co-président du FOCAC, Du Xiaohui a dévoilé sa satisfaction et sa joie immense : « Tout à l’heure, j’ai eu le privilège d’être reçu par le Président Denis Sassou Nguesso. Pendant environ une heure et demie, il a rappelé ses réflexions sur de développement des relations sino-congolaises et aussi sur le développement du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC). Dans cet entretien, j’ai pu sentir la sincérité qu’il a, mais surtout la ferme volonté qu’il a pour développer les relations avec la Chine ».
« La République du Congo assume depuis la fin du Sommet de Beijing, c’est-à-dire depuis septembre 2024, le rôle de la co-présidence africaine du FOCAC. Dans les propos du Président Denis Sassou Nguesso, j’ai pu sentir, non seulement la volonté, mais aussi, le projet concret du Congo, pour mener à bien, les affaires du FOCAC ensemble avec la Chine, avec une grande ambition », a-t-il déclaré.

« Nous sommes persuadés que, sous l’impulsion stratégique des deux présidents, celui de la Chine et de celui du Congo. Le développement du FOCAC enregistrera dans les trois ans avenir, de nouveaux succès. Ce qui va ajouter beaucoup de certitude et beaucoup d’énergie positive à un autre monde incertain. Et je souhaiterai également que la presse congolaise et la population congolaise puissent porter d’avantage attention au développement du FOCAC », a rassuré Du Xiaohui.
Selon le Secrétaire général du FOCAC, pendant les vingt-cinq dernières années depuis la création du FOCAC, le Congo et d’autres pays africains ont tiré beaucoup de bénéfices du FOCAC. Et, dans le futur, les relations entre la Chine et le Congo continueront à bénéficier du FOCAC. Ce processus en retour, va aussi contribuer au renforcement du FOCAC.
Notons que, prenant cette co-présidence, le Congo plaçait son mandat sous le signe de la continuité dans l’engagement ou la coopération mutuellement bénéfique et la solidarité agissante sont un maillon important de la relation entre l’Afrique et la Chine. Cette visite à Brazzaville est marquée dans le cadre de l’engagement du Congo au FOCAC.
« Je suis tout à fait d’accord avec ces principes de continuité. L’année prochaine, on fêtera le 25e anniversaire du FOCAC. L’une des plus importantes recettes de succès du FOCAC est le respect mutuel. En tant qu’amie, la Chine a toujours regardé l’Afrique comme un sincère partenaire, c’est pourquoi, on a créé et on a poursuivi pendant 25 ans, le mécanisme de co-présidence sino-africaine. Un exemple, dans le plan d’action de Beijing adopté en septembre dernier. Il y a beaucoup d’éléments qui sont venus de l’agenda 2063 de l’Union Africaine. Un autre principe important du FOCAC est le développement partagé » a réaffirmé le Secrétaire général du FOCAC.

« Je me souviens qu’en l’an 2000, au moment de la création du FOCAC, le commerce bilatéral entre l’Afrique et la Chine ne s’élevait qu’à environ 10 milliards de dollars Américains. En 2023, le commerce bilatéral a déjà dépassé les 23 milliards de dollars. Les 230 milliards de dollars, c’est à peu près la 5e fois du commerce bilatéral entre les Etats Unis et l’Afrique, c’est un volume de commerce plus important que les commerces bilatéraux entre l’Afrique et les USA, entre l’Afrique et le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Italie et la France réunies. Et l’autre expérience importante du FOCAC est la coopération gagnant-gagnant. C’est grâce à la création du FOCAC que la coopération internationale avec l’Afrique a connu un nouveau visage, nous espérons que, grâce au pilotage du FOCAC, toutes les autres parties tierces vont s’engager davantage pour l’Afrique et investir plus en Afrique. L’Afrique ne devra pas être une arène géopolitique, si on est obligé de faire une compétition, je crois qu’il faut comparer les projets d’infrastructures, les projets des ponts construits en Afrique, pour voir, qui a construit plus d’hôpitaux, plus d’écoles en Afrique. Et le FOCAC voudrait comme par le passé être à l’avant-garde de la coopération internationale avec l’Afrique », a conclu Du Xiaohui.
Par ailleurs, il a aussi fait savoir que dans les 3 ans avenir, la Chine souhaiterait poursuivre ces principes avec le Congo pour garder l’ambition du FOCAC et pour faire réussir davantage le Forum.
En rappel, le FOCAC (Forum sur la coopération sino-africaine) est un forum de discussion pour une plus grande coopération entre la Chine et l’Afrique. C’est une plateforme favorisant les relations entre les pays africains et la Chine et donner un bel exemple de la coopération Sud-Sud. Depuis 2015, la Chine déploie aussi à l’égard de l’Afrique une stratégie numérique dans le cadre du FOCAC.
VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-07 20:01:52
Auteur de nombreux best-sellers dont le combat pour la planète relève avec force-détails, l’action éclairée du Président congolais Denis Sassou N’Guesso dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation des écosystèmes, l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya, bénéficie de la reconnaissance de l’Ordre Lafayette Monde qui l’a reçu en son sein, adoubé et élevé comme Commandeur, fin octobre à Paris. Une élévation qui consacre la noblesse du service entrepris par l’auteur à travers ses œuvres, « pour le bien-être de tous et la liberté partout », ainsi que le proclame l’Ordre de Lafayette. Le passage de Michel Innocent Peya dans la capitale française, en cette occasion, s’est également enrichi d’une réception à l’Assemblée nationale et au Quai d’Orsay.
Samedi 26 octobre, Cercle national des Armées, 8 Place Saint, dans le 8ème arrondissement de Paris. Le Salon Jeanne D’Arc accueille du beau monde. Des personnalités africaines et occidentales qui ont toutes un dénominateur commun, celui de servir.
Ces personnalités ont retenu l’attention de l’Ordre Lafayette monde pour leurs actions multiformes au profit du bien-être collectif.

Les calicots à l’effigie de Lafayette sont là pour rappeler à tous qu’«il faut vivre pour servir, pour le bien être de tous et la liberté partout ».
L’Ordre Lafayette Monde a pour devise, ‘’Vivre pour servir’’, ‘’Live to serve’’.
Et la cérémonie consiste en la réception l’adoubement et la décoration d’une quinzaine de membres ou d’impétrants, reçus par le collège des membres, parmi lesquels, l’écrivain chercheur congolais, le docteur Michel Innocent Peya.

Son œuvre littéraire et son action dans la lutte contre les changements climatiques et la préservation des écosystèmes à travers laquelle il vulgarise la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso n’a pas laissé indifférent le collège des membres de l’Ordre Lafayette Monde qui l’a reçu, décoré et élevé au rang de Commandeur.

Dans l’avis de distinction adressé à Michel Innocent Peya par l’Ordre Lafayette Monde, signé de Pascal Vanneaux ressort clairement que sa distinction est le signe de son dévouement aux côtés du Président de la république du Congo, Denis Sassou N’Guesso pour la défense de la cause environnementale et écologique.
Le Collège de l’Ordre Lafayette Monde a du reste affirmé que « le Président Denis Sassou N’Guesso incarne le courage et l’exemple d’un leader visionnaire qui œuvre avec détermination à promouvoir la défense de l’environnement, pour proposer une société plus juste et attentive au changement climatiques ».

Après avoir réceptionné les symboles de sa distinction dans l’Ordre Lafayette Monde aux côtés des autres récipiendaires, Michel Innocent Peya a dans son mot de circonstance, rappelé à l’assistance les motivations de son engagement pour la cause environnementale. Un engagement qu’il tire de l’action écologique du Président congolais Denis Sassou N’Guesso, qui a « très tôt, sensibilisé les congolais à la cause environnementale ».

Michel Innocent Peya a décliné la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso qui marque l’essentiel de son combat pour la nature, car la planète va mal.

C’est grâce à Denis Sassou N’Guesso dont il relaie le message, qu’il se déploie par ses écrits à travers le monde, pour une prise de conscience sur les danger qu’encourt l’humanité à travers la menace de son écosystème.

L’occasion était toute indiquée pour Michel Innocent Peya, de mettre à la disposition des personnalités présentes, ses nouvelles publications à savoir ‘’Justice climatique – Engagements et ballets diplomatiques de Denis Sassou N’Guesso pour l’équité des peuples du monde’’ et ‘’ Santé climatique, urgence humanitaire – Denis Sassou N’Guesso au front du rendez-vous mondial de l’OMS’’.

L’Ordre Lafayette Monde s’est dit prêt à contribuer à la vulgarisation de l’Idéal écologique du chef de l’État congolais.
En marge de la cérémonie de son élévation au rang de Commandeur de l’Ordre de Lafayette Monde, le docteur Michel Innocent Peya a eu de nombreux entretiens avec diverses personnalités, notamment à l’Assemblée nationale et au Quai d’Orsay. Des entretiens axés sur la promotion et la vulgarisation du combat écologique et environnemental du Président Denis Sassou N’Guesso.
Aussi, au Palais Bourbon, le docteur Michel Innocent Peya a-t-il rencontré Bruno Fuchs, nouveau président de la commission Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.

Les discutions ont notamment porté sur la décennie mondiale sur l’afforestation et le reboisement initiée par le Président Denis Sassou N’Guesso, une initiative qui doit être portée par tous, car l’avenir de la planète en dépend.
À Bruno Fuchs, Michel Innocent Peya a remis des exemplaires des ses deux nouveaux ouvrages, ‘’Justice climatique – Engagements et ballets diplomatiques de Denis Sassou N’Guesso pour l’équité des peuples du monde’’ et ‘’ Santé climatique, urgence humanitaire – Denis Sassou N’Guesso au front du rendez-vous mondial de l’OMS’’, pour les membres de sa commission.
Bruno Fuchs a appelé à écouter davantage le Président Denis Sassou N’Guesso qui porte une initiative hautement salutaire pour la planète, notamment en mutualisant les efforts et en donnant des moyens aux pays qui fournissent le plus d’efforts, notamment ceux des bassins du Congo.
Au ministère des Affaires étrangère et de l’Europe, l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya a été reçu par l’ambassadrice adjointe pour l’environnement, Emmanuelle Matras-Swynghedauw.

Ici également, il s’est agit de l’action du Congo au sein du bassin forestier éponyme. Une action qui s’articule autour de la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso. À cette occasion, Emmanuelle Matras-Swynghedauw a réaffirmé à Michel Innocent Peya l’engagement de la France à accompagner le Congo dans cette noble mission.
Michel Innocent Peya a fait un don d’ouvrages à cette institution, lequel a été bien reçu par l’ambassadrice adjointe pour l’environnement.

Michel Innocent Peya a également été reçu par d’autres personnalités et acteurs du climat, parmi lesquelles l’ancien ministre François l’oncle.

Dire que le séjour parisien de l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya, réaffirme une fois de plus le rôle éminemment particulier qu’il a toujours joué pour la promotion et la vulgarisation de la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso. Il se définit ainsi comme un véritable porte-étendard de cette vision qui trace son sillon et renvoie à la réalité des temps présents, à un moment où les effets des changements climatiques se ressentent à travers des effets de plus en plus dévastateurs.
Une action pour la planète, au service des autres et des générations futures, qui n’a pas échappé à l’Ordre de Lafayette Monde. Qui donc avait dit : « Ce qui élève l’homme, ce n’est pas tant ce qu’il est, mais ce qu’il fait pour les autres ».

En cela, Michel Innocent Peya illustre bien la devise de l’Ordre Lafayette Monde dont il a été fait Commandeur. ‘’Vivre pour servir’’, ‘’Live to serve’’. Servir, donne de façon intrinsèque du sens à la vie de Michel Innocent Peya.
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Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo Brazzaville
Créé le 2024-11-07 17:24:47
La 38e édition de la Journée nationale de l’arbre a été célébrée ce mercredi 6 novembre 2024 au Congo-Brazzaville, sous le thème : « Mobilisons-nous, deux millions d'arbres pour des villes vertes et durables ». Le ministre congolais de la Coopération internationale et du partenariat public privé, Denis Christel Sassou Nguesso, a invité chaque congolais à planter un arbre chaque année et à l’entretenir.
« À l'occasion de la Journée nationale de l'arbre, célébrée chaque 06 novembre, j'ai contribué à cette journée en plantant un arbre. Cet acte, au-delà de son aspect symbolique, est une manière de réaffirmer notre engagement en faveur de la préservation de l'environnement et de la promotion du développement durable au Congo », a écrit Denis Christel Sassou-Nguesso sur son compte X.
« La Journée nationale de l'arbre nous rappelle l'importance de la responsabilité collective dans la préservation de notre écosystème. J'encourage chacun d'entre nous à faire un geste pour notre environnement, que ce soit par la plantation d'arbres ou par des actions de sensibilisation. La protection de nos forêts est essentielle pour lutter contre les effets du changement climatique et assurer un avenir sain aux générations futures », a-t-il ajouté.
Il est à noter que la Journée nationale de l’arbre a été instituée depuis 1984 par le Président de la République, Denis Sassou-N’Guesso, pour la promotion de planter utile au Congo-Brazzaville, pour la sauvegarde, la régénération de l’environnement, contre le réchauffement climatique.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-06 22:46:56
A Moungoundou-Nord dans le Niari (sud), les activités de la Journée nationale de l'arbre ont été officiellement lancées par le Sous-Préfet Adrien Mavoungou, ce mercredi 6 novembre 2024. Cette 38e édition placée sous le thème : « Mobilisons-nous, deux millions d'arbres pour des villes vertes et durables », a mis le cap sur la nécessité de rendre les villes congolaises plus vertes et durables.

L’arbre était à l’honneur, ce mercredi matin à Moungoundou-Nord.
A travers cette célébration, il s’agit de créer un engouement populaire pour la plantation, l’entretien et la protection des plants ; de magnifier l’arbre pour ses multiples fonctions et services écologiques, économiques, sociologiques et culturelles.

Le Sous-Préfet de Moungoundou-Nord, Adrien Mavoungou, a fait remarquer d’entrée que l’arbre joue un rôle « très important » dans l’amélioration des conditions de vie de l’homme.

La Journée de l’arbre, une initiative intelligemment et admirablement conçue par le leader écolo-visionnaire, le Président de la République, Denis Sassou-N’Guesso, depuis 40 ans, se veut donc, à ses dires, « un cadre de prise d’actions vigoureuses et urgentes pour la restauration du couvert végétal ».

L’institutionnalisation de la Journée nationale de l’arbre s’inscrit donc dans cette dynamique, à savoir mobiliser l’ensemble des couches socioprofessionnelles du pays pour une participation citoyenne au reboisement, à l’entretien et à la protection des arbres.

Adrien Mavoungou qui a mobilisé toute la population de Moungoundou-Nord s’est en outre réjoui de cette 38e édition qui a permis de planter plusieurs essences fruitières et exotiques (safoutier, mandarinier, oranger, avocatier, palmier, acacias, pins, mantalis…).

Il a par ailleurs invité l’ensemble des établissements scolaires du district de Moungoundou-Nord, à créer des jardins botaniques pour d’une part donner du sens à l’éducation environnementale et d’autre part contribuer à lutter contre le changement climatique.

La célébration de la Journée nationale de l’arbre, couplée au 40e anniversaire de la vision écologique du président Denis Sassou-N’Guesso, a été placée sur le thème « Mobilisons-nous : deux millions d’arbres pour des villes vertes et durables ».
L’objectif de planter deux millions d’arbres illustre l’ambition collective d’agir concrètement pour la décennie africaine et mondiale de l’afforestation et du reboisement pour des villes plus durables et pour un Congo plus vert encore.
Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-06 21:52:31
Le Congo-Brazzaville a abrité ce mercredi 6 novembre 2024, la 38e édition de la Journée nationale de l’arbre, sous le thème : « Mobilisons-nous, deux millions d'arbres pour des villes vertes et durables ». A Nkayi, dans le département de la Bouenza (sud), Marcel Kibouanga, l’administrateur-maire de Mouana-Nto, le premier arrondissement de la cité sucrière, a participé, aux côtés du maire de la ville, des autorités judiciaire, civile et de la force publique, au planting dans quelques artères principales de Nkayi.
« Le temps qui s’écoule et qui perpétue la tradition d’un acte désormais entré dans les mœurs des congolais est en soi un symbole, celui de la datation d’une vision, celle du Président de la République, Denis Sassou-N’Guesso, d’instituer une journée pour planter, avec ses compatriotes, un arbre, d’essence fruitière ou pas. 40 ans déjà que ce geste est accompli chaque année. Ainsi, la ville de Nkayi plante et célèbre toujours les arbres, grâce à son Président Denis Sassou-N'Guesso. Et ce matin, nous avons donc accompli notre devoir citoyen avec ferveur et en toute responsabilité », nous a confié l’administrateur-maire du premier arrondissement de Nkayi, Marcel Kibouanga.

« Aujourd’hui, j’ai planté un arbre en symbole d’espoir pour notre avenir commun. La Journée nationale de l’arbre rappelle l’importance de la restauration des terres et de la lutte contre le changement climatique. Protégeons notre terre pour nos enfants et les générations futures. Pour cette édition, et en adéquation avec le mot d’ordre du Président de la République, Son Excellence Monsieur Denis Sassou-N’Guesso, en plus de l’arborisation des Avenues 31 décembre, Nkaya-Nkaya et de la Bouenza, le jardin public municipal a été choisi pour cette opération », a-t-il ajouté.

Marcel Kibouanga estime qu’il s’agit là d’un message fort au moment où le Président Denis Sassou-N’Guesso, a appelé, lors du sommet des Brics+, qui s'est ouvert le 22 octobre dernier à Kazan, le plus grand événement international organisé en Russie depuis le début de la guerre avec l'Ukraine, à la mise en œuvre de la décennie mondiale de l’afforestation et du reboisement pour lutter efficacement contre le dérèglement climatique.

Le Congo vient de soumettre à l’Assemblée générale des Nations-Unies, la résolution sur la décennie mondiale de l’afforestation et du reboisement, pour consolider le rôle crucial des forêts dans la régulation du climat.
On rappelle qu’au Congo-Brazzaville, l’arbre est un compagnon inséparable de l’homme, y compris par la branche transformée en canne en bois qui souvent assiste ce dernier, pour son équilibre locomoteur, pendant le troisième âge.
Plus qu’un symbole, l’accompagnement de l’être humain par l’arbre se révèle incontournable dès lors que la forêt incarne, tout à la fois, la médiation et le dialogue. C’est sous l’arbre à palabres, véritable institution traditionnelle, que sont trouvées les solutions les plus inattendues aux problèmes du village.
La forêt ne sera plus uniquement une ressource pour son bois, mais encore davantage par l’action exercée sur la vie en société et l’oxygène vital qu’elle libère pour la survie de l’humanité.
En outre, au cœur de la lutte contre les érosions, les inondations ou les glissements de terrain, les arbres accélèrent les différents processus de rétablissement ou de régénération.
Par ailleurs, les forêts confèrent de nombreux avantages en matière de santé.
Selon certaines études, un produit pharmaceutique sur 4 est fabriqué à base d’arbres, grâce à leurs propriétés médicinales largement reconnues depuis la nuit des temps.
Enfin, sources d’approvisionnement en denrées alimentaires pour les hommes et les animaux, les arbres rendent l’air plus sain en devenant des réservoirs de séquestration de carbone, contribuant à la réduction de gaz à effet de serre.
Au Congo-Brazzaville, les populations mesurent à présent l’importance de l’afforestation et du reboisement, après avoir mis en doute l’option visionnaire et anticipatrice de Denis Sassou-N’Guesso d’étendre et densifier les forêts, au regard du couvert végétal du pays, sur une superficie de plus de 60% du territoire national.
L’urgence climatique d’aujourd’hui, les canicules de ces derniers temps, les incendies de forêts, l’ensablement des cours d’eau, il n’a pas fallu plus que ces phénomènes pour illustrer l’imminence d’un danger qui menace le Congo-Brazzaville.
La situation, déjà bien connue, demeure préoccupante. Le tout réside dans la volonté d’agir et d’y consacrer les efforts nécessaires. Là où subsiste une volonté, il y a toujours une brèche pour la réussite.
Pour sa part, le Congo-Brazzaville et son Président pourraient se prévaloir d’une visibilité ancienne, voire lointaine, en ce qui concerne la préservation des écosystèmes forestiers.
A ce sujet, une loi promulguée le 11 septembre 1984 a institué, au Congo, la Journée nationale de l’arbre, pour laquelle, le 6 novembre de chaque année, tout citoyen congolais est tenu de planter un arbre d’essence fruitière ou d’espèce forestière.
40 ans après son instauration, la Journée nationale de l’arbre est devenue une tradition et une pratique durable, de portée patriotique, à travers l’adhésion et la participation massives des populations à cette œuvre salutaire.
Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2024-11-06 20:54:32
Alors que les dirigeants mondiaux, la société civile, les défenseurs, les survivants et les jeunes se réunissent cette semaine à New York, aux Etats Unis d'Amérique, pour la première Conférence ministérielle mondiale sur l'élimination de la violence à l'égard des enfants à Bogota, en Colombie, l'UNICEF a appelé le 4 novembre dernier, à une action urgente pour lutter contre la violence qui dévaste la vie de millions d'enfants dans le monde.
La violence contre les enfants - qu'elle soit physique, émotionnelle ou sexuelle - est une crise mondiale qui se produit dans les foyers, les écoles, les communautés et en ligne. Ses conséquences sont graves, entraînant des blessures, des infections sexuellement transmissibles, des problèmes de santé mentale tels que l'anxiété et la dépression, et même la mort. Une exposition précoce peut provoquer un stress toxique, affecter le développement du cerveau et conduire à l'agression, à la toxicomanie et à des comportements criminels. Les enfants victimes de violence sont également plus susceptibles d'être affectés par des cycles de traumatisme et de violence à l'âge adulte, ce qui a un impact sur des communautés entières.
« Nous sommes la première génération à comprendre pleinement la prévalence, les causes et les coûts de la violence contre les enfants - et la première à connaître les solutions qui fonctionnent », a déclaré Sheema SenGupta, directrice de la protection de l'enfance à l'UNICEF.
« En investissant dans la prévention, l'éducation et les services de soutien, nous pouvons briser le cycle de la violence et construire un monde où les enfants sont en sécurité ».
Selon les dernières données mondiales disponibles : Toutes les 4 minutes, quelque part dans le monde, un enfant est tué par un acte de violence ; environ 90 millions d'enfants.
Selon les dernières données mondiales disponibles : Toutes les 4 minutes, quelque part dans le monde, un enfant est tué par un acte de violence ;
- Environ 90 millions d'enfants en vie aujourd'hui ont subi des violences sexuelles ;
- 650 millions de filles et de femmes (1 sur 5) en vie aujourd'hui ont subi des violences sexuelles dans leur enfance, dont plus de 370 millions (1 sur 8) ont été victimes de viols ou d'agressions sexuelles.
- Dans les environnements fragiles, les filles courent un risque encore plus grand, la prévalence du viol et de l'agression sexuelle dans l'enfance étant légèrement supérieure à 1 sur 4.
- Près de 50 millions d'adolescentes âgées de 15 à 19 ans (1 sur 6) ont été victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur mari ou partenaire au cours de l'année écoulée.
- 410 à 530 millions de garçons et d'hommes (environ 1 sur 7) ont subi des violences sexuelles dans leur enfance, dont 240 à 310 millions (environ 1 sur 11) ont été violés ou agressés sexuellement.
- 1,6 milliard d'enfants (2 sur 3) subissent régulièrement des châtiments violents à la maison ; plus des deux tiers d'entre eux sont soumis à la fois à des châtiments physiques et à des agressions psychologiques.
- La violence coûte la vie à environ 130 000 enfants et adolescents de moins de 20 ans chaque année en moyenne.
- Les garçons courent un risque plus élevé de mourir de la violence : 3 enfants et adolescents sur 4 tués par la violence étaient des garçons.
- Le risque de mourir d'un acte de violence augmente fortement à la fin de l'adolescence : 7 enfants sur 10 décédés à la suite d'actes de violence avaient entre 15 et 19 ans, la plupart d'entre eux étant des garçons.
- Près de 550 millions d'enfants (environ 1 sur 4) vivent avec des mères victimes de la violence.
La conférence ministérielle est une occasion unique d'intensifier les efforts pour mettre fin à la violence et construire un avenir où chaque enfant grandira en sécurité. L'UNICEF appelle à un leadership politique fort, à des politiques et des interventions fondées sur des preuves et à un financement adéquat, et demande instamment que des mesures soient prises dans trois domaines clés : 1) l'accès universel à des programmes de soutien aux parents qui favorisent les soins nourriciers ; 2) la mise en place universelle d'environnements scolaires sûrs et favorables ; et 3) des services d'intervention et de soutien ciblés pour tous les enfants qui en ont besoin.
Source : UNICEF-Congo
Créé le 2024-11-06 07:16:59
Une audience portant sur l’affaire de quatre individus interpellés avec trois pointes d’ivoire, les 22 et 23 octobre dernier à Dolisie, dans le Département du Niari, est prévue pour ce 08 novembre 2024 au Tribunal de Grande Instance de cette localité. Au départ, deux individus avaient été pris avec les pointes d’ivoire. Suite à une dénonciation, deux autres suspects dont le greffier en chef, au Tribunal de Dolisie, avaient été rattrapés quelques heures après.
Pour rappel, l’opération avait été effectuée conjointement par les éléments de la Région de Gendarmerie du Niari et des agents de la Direction Départementale de l’Economie Forestière, appuyés techniquement par le Projet d’Appui à l’Application de la Loi sur la Faune Sauvage (PALF) suite à une information reçue, faisant état d’une transaction portant sur les pointes d’ivoire. Ces individus, sauf changement de la dernière minute, vont être à la barre du Tribunal de Grande Instance de Dolisie ce 08 novembre 2024, afin de répondre de leurs actes.

Les trois (3) pointes d’ivoire saisies étaient sectionnées en neuf (9) morceaux, impliquant ainsi quatre présumés délinquants fauniques. Dans le lot, six (6) morceaux d’ivoire portaient les signes des scellés d’une ancienne affaire datant de 2021 au Tribunal de Grande Instance de Dolisie. La suite de l’enquête avait permis aux agents de la force de l’ordre de mettre la main sur le greffier en chef. Ce dernier, aurait soustrait les scellés dont il avait la garde au magasin du tribunal et remis à l’un de ces trois individus interpellés, en vue de les vendre. La troisième pointe d’ivoire sectionnée en trois morceaux quant à elle, aurait été achetée par l’un de ces quatre suspects au village Mbiribi dans le District de Banda, Département du Niari et transportée à Dolisie pour être revendu.
Rappelons que les ivoires sont des trophées provenant d’une espèce animale intégralement protégée par la loi 37-2008 du 28 Novembre 2008 sur la faune et les aires protégées. Cette loi congolaise stipule dans son article 27 que : « l’importation, l’exportation, la détention et le transit sur le territoire national des espèces animales intégralement protégées, ainsi que leurs trophées sont strictement interdits, sauf dérogation spéciale de l’administration des eaux et forêts pour les besoins de la recherche scientifique ».

En décidant volontairement d’enfreindre aux lois congolaises pour des gains faciles, ces individus contribueraient aussi à la réduction des efforts du gouvernement œuvrant activement et sans relâche pour la protection de ces espèces dont la disparition constituera une énorme perte pour le pays. Ces quatre présumés délinquants fauniques risquent des peines allant de deux à cinq ans d’emprisonnement ferme ainsi qu’une amende pouvant atteindre cinq millions de FCFA conformément à la loi.
Source : Projet d’Appui à l’Application de la Loi sur la Faune Sauvage (PALF)
Créé le 2024-11-06 06:16:25
La course imprévisible de la WOW Promo a duré un mois et demi. Les joueurs ont couru à toute vitesse vers la victoire tant attendue en plaçant des paris et en collectant des coupons promotionnels. Les principaux joueurs chanceux ont laissé le drapeau à damier derrière eux et cela signifie qu'il est temps de dresser le bilan de la promotion.
La cérémonie de remise des prix s'est déroulée le 12 octobre dans la boutique de paris à l’adresse Avenue des Trois Martyrs à Brazzaville. L'ambiance conviviale et l'esprit de rivalité sportive ont dignement remplacé le tapis rouge. Tous les participants à l'événement ont été satisfaits et personne ou presque n'est reparti les mains vides.
L'événement a commencé par la remise des prix aux « médaillés de bronze ». Dix participants actifs de la WOW Promo ont reçu 100 points bonus chacun. L'argent pour des paris supplémentaires augmentera leurs chances de gagner et leur donnera la possibilité de faire des pronostics sur leurs sports préférés aux frais de 1xBet.
Le gagnant du prix d'argent est Zeba Noufou Le Bien Heureux. Il a empoché un iPhone 14 Pro flambant neuf - le smartphone idéal pour rester en ligne en permanence. Vous pouvez le faire, entre autres, grâce à l'application mobile pratique de 1xBet. Le programme iOS offre toutes les fonctionnalités de la version de bureau, et les joueurs ont accès aux meilleures cotes et à une large sélection de marchés dans diverses disciplines sportives.
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Créé le 2024-11-06 06:05:01