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Congo : Le bac 2019 aura lieu ce mardi

À partir de 7 heures, ce mardi 18 juin, 74 216 candidats sont attendus pour les premières épreuves du bac général sur tout le territoire. Au total cent quatre- vingt-dix-sept (197) centres sont retenus sur toute l’étendue du territoire national, selon le ministre congolais de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Anatole Collinet Makosso.

Créé le 2019-06-15 13:30:10

France : Pierre Ngolo et Gérard Larcher se sont entretenus pour renforcer les relations entre le Congo et la France

En marge des entretiens des présidents de Sénats d'Europe et des présidents de Sénats africains, le président du Sénat du Congo, Pierre Ngolo et son homologue du Sénat de , Gérard Larcher ont échangé, le 13 juin dernier, au Palais du Luxembourg à Paris en France pour renforcer les relations entre le Congo et la France ainsi que la coopération entre les Chambres parlementaires qu'ils dirigent.

Créé le 2019-06-15 09:46:37

Congo – Département du Pool : L’essentiel des recommandations du communiqué final sanctionnant les assises de la plateforme de dialogue et d'échanges intracommunautaires

Au terme de deux jours de travaux qui se sont déroulés à Kinkala, des travaux auxquels ont activement pris part, entre autres participants, les représentants du gouvernement et ceux du pasteur Ntumi, de nombreuses conclusions ont été unanimement dégagées. En voici l’essentiel.

Les assises recommandent :

‘’Au plan du développement socioéconomique :

Démarrage effectif du programme Désarmement, Démobilisation et Réintégration en mettant l’accent sur l’approche communautaire et la réintégration socioéconomique.

Amélioration des moyens d’existence des communautés perturbées par le conflit (électricité, eau potable, hygiène et assainissement, communication, connexion à internet, audiovisuel, relance des activités agropastorales et piscicole, métayage, approvisionnement en semences, matériel technique).

Coordination des programmes en cours de réalisation dans le département.

Mise en place d’une taxe préférentielle au niveau des marchés de Brazzaville, pour les produits en provenance du département.

Réhabilitation des infrastructures communautaires de base endommagées au cours du conflit (école, centre de santé, ponts, forages, etc…)

Construction de deux lycées (enseignement général et enseignement professionnel à Kindamba pour les districts de Kindamba, Vindza et Kimba.

Intégration dans la fonction publique des volontaires (enseignants et personnel de santé) exerçant dans le département et plaidoyer à la contractualisation du personnel de santé en poste dans les localités.

Affectation des agents de l’État dans les écoles et centres dépourvus du département.

Mise en œuvre de projets communautaires pour le renforcement de l’esprit de solidarité, d’amour fraternel et du vivre-ensemble.

Réhabilitation des routes et pistes rurales pour faciliter la mobilité des personnes, biens et services et l’évacuation des produits agropastoraux du département vers les grands centres urbains.

Mise en place en urgence d’un système de formation et d’insertion professionnelle des jeunes déscolarisés en général et des jeunes filles en particulier.

Réhabilitation du trafic par pirogue sur la rivière Djoué.

Renforcement de l’éducation civique et morale en milieu juvénile avec une réelle implication des parents et sur la planification familiale au profit des jeunes, filles-mères et femmes en âge de procréer.

Mise en place d’un système de réintégration des agents d’État ou du secteur privé, ex-combattants dans leurs services d’origine.

Prise en charge psychologique des victimes du conflit, y compris les orphelins.

Assurer une distribution équitable des aides, avec une attention particulière aux cibles chefs de ménage du DDR.

Assistance juridique des personnes violées ou victimes des violences basées sur le genre.

Renforcement du mécanisme de protection sociale inclusive.

Vulgarisation des conventions protégeant les droits de l’enfant et de la femme.

Réhabilitation des infrastructures et plaidoyer pour la desserte en téléphonie.

Au plan politique :

Plaidoyer pour la contribution nationale au PDDR en vue de l’accélération de son démarrage effectif.

Formation des comités locaux de réconciliation à travers la mise en place d’un cadre juridique ou réglementaire.

Application des clauses de l’accord de cessez-le-feu et cessation des hostilités du 23 décembre 2017 à Kinkala.

Allègement progressif du dispositif des militaires vers leurs casernes initiales.

Restauration de l’autorité de l’État (administration et services publics, Gendarmerie et Police) pour rassurer les communautés.

Garantie de la sécurité et non stigmatisation des ex-combattants ayant regagné leur résidences habituelles.

Assurance de la libre circulation des personnes, biens et services par la suppression des barrières et toutes autres formes de rackets.

Remise/Libération des quartiers, domaines et maisons illégalement occupés.

Clarification de la situation des personnes portées disparues pendant la crise.

Poursuite du ramassage effectif des armes.

Démarrage immédiat du processus de lutte contre le risque d’apatridie en facilitant l’accès aux pièces d’état-civil et d’identité.

Lutte contre la production, la vente et la consommation de stupéfiants (chanvre indien et autres drogues illicites).

Lutte contre le viol et autres violences basées sur le genre’’ (…)

Transcription : Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-14 23:34:51

Congo – Département du Pool : Les assises de la plateforme de dialogue et d’échanges intracommunautaires ont réaffirmé la dynamique de paix

Kinkala, ville-préfecture du département du Pool a abrité les assises départementales de la plateforme de dialogue et d’échanges intracommunautaires. Placées sous les auspices du ministre Euloge Landry Kolelas, les travaux conduits par l’évêque de Kinkala ont connus l’adhésion de tous les participants.

Lors de son message sur l’état de la Nation, abordant la situation dans le Pool, le Président Denis Sassou N’Guesso rassurait : « De ma seconde promesse, devant le Parlement réuni en Congrès, de sortir le Pool de sa situation d’otage, ce département a retrouvé sa tranquillité. L’accord de cessez-le-feu et de cessation des hostilités, signé le 23 décembre 2017 à Kinkala, s’exécute sans entrave. Le retour de la confiance a rendu possible le ramassage de plus de 8.000 armes, munitions et explosifs, naguère détenus par les miliciens. L’autorité de l’Etat se rétablit, y compris dans les anciennes zones de conflit, avec la réinstallation de l’administration et des représentants des pouvoirs publics. Les populations ont regagné leurs villages grâce à la normalisation de la vie dans le département. La libre circulation des personnes et des biens est effective, surtout avec la reprise du trafic ferroviaire. Après la réparation, à coup de milliards de francs CFA, des viaducs détruits, l’arrivée du train en gare est le résultat de la paix. C’est l’occasion de renouveler nos félicitations à la Force publique pour son action salvatrice au bénéfice du maintien de la sécurité et du renforcement de la sureté nationale. Que tous les acteurs de l’accord du 23 décembre 2017 trouvent ici l’expression de ma reconnaissance pour leur détermination au service de la paix. Il nous faut, à présent, réussir la réintégration des ex-combattants. »

Faisant de ces prescrits une feuille de route, le Haut commissariat à la réinsertion des ex combattants s’active à travers le département du Pool à la consolidation de la paix, à travers les différents axes qui la construisent. Le Ministre Haut-commissaire Euloge Landry Kolelas s’y emploi à travers des descentes quasi permanentes sur le terrain.

Ainsi, deux jours durant, du 12 au 13 juin la ville de Kinkala a entonné le ‘’cantique’’ de la paix retrouvée, au cours des assises de la plateforme de dialogue et d’échanges intracommunautaires, aux allures de conciliabule du ‘’ mbongui’’, conduit par monseigneur Louis Portela Mbouyou, évêque de Kinkala. Se parler et surtout s’écouter auront été les maitre-mots de cette rencontre.

Pendant deux jours donc, l’administration, les ex combattants, la société civile et les communautés se sont parlés pour le bien du département, maillon de la dynamique nationale.

Sans éluder aucune question, quelle qu’elle soit, les participants à ces assises sont parvenus à des conclusions éminemment constructives à travers les recommandations formulées notamment au plan socioéconomique et politique, tels que consignées dans le communiqué final.

Clôturant les travaux, le ministre Euloge Landry Kolelas a marqué son satisfécit, assurant que ces assises ont permis la préparation de toutes les conditions pour un programme de désarmement, démobilisation et réinsertion réussi.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-14 19:38:30

Raccordement de la ville d’Abala au barrage d’Imboulou

L’acheminement et le raccordement au réseau public de distribution de l’électricité sont des missions de service public. À ce titre, la ville d’Abala dans les Plateaux est désormais raccordée au boulevard énergétique d’Imboulou. L'inauguration a été faite par le premier ministre congolais, Clément Mouamba.

Créé le 2019-06-13 18:46:52

Voiries : La ville de Makabana se laisse envahir par les herbes folles

A Makabana dans le Niari (sud), la nature semble avoir repris ses droits. Des herbes qui ne sont pas tout à fait du goût des habitants.

Créé le 2019-06-13 18:13:30

Congo – Élections : Les sénatoriales partielles fixées au 21 juillet

Un arrêté signé du ministre de l'Intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou, le 11 juillet à Brazzaville, fixe la période de la campagne électorale relative au scrutin sénatorial partiel dans les départements du Pool, de la Cuvette, de la Cuvette ouest et de la Likouala, qui aura lieu le 21 juillet 2019.

La campagne débutera le 5 juillet et sera close le 19 du même mois. Tout candidat aux sénatoriales partielles fixées au 21 juillet fait une déclaration légalisée, en quatre exemplaires, comportant : ses nom et prénom, date et lieu de naissance, domicile, profession , grade et fonction ; une copie d’acte de naissance ; quatre photographies d’identité et le logo choisi pour l’impression des bulletins uniques de vote et affiches électorales ; un curriculum vitae certifié sur l’honneur ; un spécimen de signature ; un certificat de nationalité ; une déclaration de moralité fiscale ; le nom du parti ou groupement politique auquel il appartient ; l’indication de la circonscription électorale à laquelle il appartient et un récépissé de versement au Trésor public d’un cautionnement d’un million cinq cent mille francs CFA, non remboursable.

Tout candidat se trouvant dans une situation d’inéligibilité doit présenter une lettre de démission actée par l’autorité compétente ou un acte attestant de sa mise en disponibilité à l’égard de son employeur.

Les dossiers sont à déposer à la direction générale des affaires électorales.

La Rédaction

Créé le 2019-06-13 07:09:49

Congo : Lettre ouverte à Monsieur le Ministre d’Etat, Alphonse Claude Silou

Depuis quelques jours, une campagne de dénigrement menée sur le net, cible des personnalités politiques congolaises, vouées aux gémonies. En réponse à cette campagne insidieuse menée dans l’ombre par d’autres acteurs politiques, dans une espèce de combat d’arrière-garde, Jean Jacques René Itoua signe la lettre ouverte ci-dessous, que nous publions en intégralité.

                                                      ‘’À qui faites-vous de l’ombre ?

Monsieur le Ministre d’Etat,

Nous vous demandons de vous réveiller. Beaucoup de choses se passent en ce moment sans que vous n’en preniez la mesure de leur importance. Sachez que plus on s’acheminera vers 2021, plus les coups-bas vont pleuvoir dans votre monde politique. Les auteurs de ces coups ne sont pas loin de vous, ils sont dans votre propre majorité présidentielle. Ils ont pris l’habitude de vous critiquer dans les réseaux sociaux. Ils travaillent avec certains sites dont ils manipulent les responsables. Ils se sont fixés comme objectif prioritaire de vous abattre politiquement. Dans leur laboratoire, ils ne conçoivent aucun texte sans qu’ils n’y insèrent votre nom, gênés qu’ils sont par votre réputation, votre parcours et surtout votre passé d’architecte et d’homme d’affaires dynamique qui prouve bien l’origine de votre richesse, bien avant que vous n’entriez au gouvernement. Ce qui n’est pas le cas pour bon nombre d’hommes politiques fortunés de notre pays.

Monsieur le Ministre d’Etat,

Le dernier texte qui a été mis sur Internet a pour cible le ministre de l’Aménagement, de l’équipement du territoire et des grands travaux. Le titre de ce texte : « La descente aux enfers de Jean-Jacques Bouya ». Comme s’il était dans le secret des dieux, l’auteur dit qu’enfin « Denis Sassou N’Guesso aurait lâché l’un de ceux que les Congolais considèrent comme l’un des leaders de la corruption du Congo ». Plus loin, il affirme : « Quand le navire risque de couler car il est en surcharge, on jette à la mer les plus gros et les plus jeunes marins pour l’alléger ». Et il ajoute : « Le mousse à sacrifier en priorité s’appelle Jean Jacques Bouya… »

Plus loin, l’auteur s’interroge : « Mais qui sera après Bouya, le prochain mousse à passer par-dessus le bastingage ? » Et de répondre à sa propre question en citant pêle-mêle : « Lucien Ebata, Serge Bouya, Ruffin Bouya, Dame Ngakala, Maxime Gandzon… »

Puis, il en arrive à son but recherché, lorsqu’il vous mêle à ceux sur qui pèsent de lourdes suspicions de détournement de deniers et autres biens publics, en ajoutant à cette liste: « Claude Alphonse Silou, Gilbert Ondongo, Jean Richard Bruno Itoua, Marie Denis Gokana, Jérôme Koko… ». Comme vous l’avez remarqué, les noms de certaines personnalités qui ont eu à gérer des cargaisons de pétrole sont volontairement exclus. Cela ne vous dit-il pas quelque-chose ? Comment peut-on vous mettre dans le même lot que ceux qui ont vendu le pétrole, qui se sont enrichis au détriment de la République, et qui narguent chaque jour les Congolais par leur comportement ostentatoire ?

Monsieur le Ministre d’Etat,

Tout ceci permet de comprendre pourquoi, il y a quelques semaines, certaines victimes de la tragédie du 4 mars 2012 ont fait irruption dans les locaux de votre cabinet ministériel (pendant que vous étiez en mission) pour vouloir tout saccager, au motif que vous bloquiez leur paiement, alors que celui-ci devait être assuré par le Ministre des Finances.

Vous avez bien fait de démissionner de cette charge de président de la Commission chargée de la gestion des victimes du 4 mars 2012, parce que c’était là un piège qui vous était tendu. D’ailleurs, certains éléments qui composaient ce groupe de victimes ont avoué qu’ils avaient été manipulés. Ne vous ont-ils pas confié, lorsque vous les aviez reçus, que ceux qui les avaient poussés contre vous, reconnaissaient eux-mêmes, qu’en cas d’élection libre et transparente, vous pouviez les battre d'un seul coup, dans leur propre fief ? Vous êtes sans doute surpris qu’on soit au courant de ces propos. Mais sachez que vous étiez nombreux dans la salle lorsque vous aviez reçu cette délégation.

Comprenez également pourquoi votre résidence de Saint Cloud, acquise bien avant votre entrée au gouvernement, a été présentée par « Les indignés 242 », il y a quelques mois, comme faisant partie des « Biens mal acquis ». Les pauvres, s’ils pouvaient savoir que certains d’entre eux sont payés par vos ennemis, et qu’à cette allure ils risqueront d’aller agresser même leurs propres parents innocents !

Mais rassurez-vous Monsieur le Ministre d’Etat : les Congolais ne sont pas dupes. Ils ne se laisseront pas avoir à ce jeu qui consiste à vous mettre dans le même sac que ceux qui ont géré l’argent du pétrole directement ou indirectement, même si vos détracteurs cherchent à vous discréditer par tous les moyens aux yeux de vos compatriotes qui ont de vous une bonne image. D’abord, à la tête du Ministère de la Construction et de l’habitat, votre programme de logements, à travers le pays, a été une réussite. Ensuite, aujourd’hui, à la tête du Ministère du Commerce, les Congolais retiennent vos multiples efforts pour assainir ce secteur et contribuer ainsi à leur bien-être.

Monsieur le Ministre d’Etat,

Tout le monde sait que vous êtes un des fidèles du Président de la République, et que vous le soutiendrez jusqu’au bout. Mais sachez que vos détracteurs, qui se sont déjà mis dans la perspective de lui trouver un successeur en 2021, vous considèrent comme un adversaire, un obstacle. Ils s’attaquent à vous parce que, ne l’oubliez pas, vous êtes avant tout un fils du Pool, ouvert sur les autres, pacifiste et ayant le sens de l’intérêt national. Ces qualités constituent une menace pour eux. Comme dans les autres départements, dans le Pool, ils se sont créés des opposants qui seront leurs candidats idéaux.

En fait, des adversaires factices. Dans le Pool, ils en ont trois. Le premier, Fréderic Bintsamou, qui a été utilisé pour détruire ce département et dont le parti vient d’être réhabilité pour qu’il soit candidat à l’élection présidentielle. Le deuxième, Nick Filla, qui a des liens de sang avec vos détracteurs et qui, en réalité, n’a aucune ambition, sinon celle qui se résume à ses intérêts personnels. Le troisième, Guy Brice Parfait Kolélas, connu pour son messianisme et son radicalisme,et qui est toujours rejeté par les citoyens d’autres départements. Ne lui reproche-t-on pas son extrémisme et son sectarisme, qui font peur ?

Monsieur le Ministre d’Etat,

Nous avons voulu attirer votre attention, à travers cette lettre ouverte, pour que vous sachiez à quoi vous en tenir dorénavant. Même si, vous-même, vous ne pensez pas être candidat, par loyauté vis-à-vis du Président-sortant, vos détracteurs pensent que vous le serez malgré tout. Donc, ils sont décidés à vous abattre avant, pour que vous ne faussiez pas le jeu qu’ils ont mis en place avec leurs trois candidats du Pool. Parce qu’ils ne peuvent pas vous manipuler, nous vous invitons à être très prudent. Ils n’hésiteront pas à vous atteindre physiquement.

Le Congo de demain a besoin des hommes comme vous : des politiques qui considèrent leur engagement comme un sacerdoce et qui ne peuvent pas être manipulés, ni instrumentalisés. Alors, prenez garde. Mais soyez rassuré : au nom de l’unité nationale et pour la reconstruction de notre pays, nous serons toujours derrière vous.

Jean Jacques René Itoua

Assisté par d’autres observateurs de la vie politique congolaise’’

Créé le 2019-06-12 19:33:28

Tête-à-tête Denis Sassou N’Guesso- Muhammadu Buhari à Abuja

Le président congolais, Denis Sassou N’Guesso a rencontré son homologue nigérian Muhammadu Buhari mardi à Abuja en marge des commémorations de la journée de la démocratie et de la deuxième cérémonie d’investiture du président Buhari.

Créé le 2019-06-12 18:36:17

Congo : Le président Denis Sassou N’Guesso de retour au bercail

Le président congolais, Denis Sassou N’Guesso est rentré d’Abuja au Nigeria ce mercredi 12 juin 2019 en début de soirée.

Créé le 2019-06-12 18:00:19

Gabon - Gouvernement : Un britannique nommé au ministère des Forêts par Ali Bongo

Une grande première dans l’histoire de l’Afrique. Le président gabonais Ali Bongo Odimba a créé la surprise en propulsant un Britannique naturalisé gabonais, Lee White, réputé pour être un écologiste intransigeant, à la tête du ministère gabonais des forêts, une nomination audacieuse et inédite en Afrique.

Le président Ali Bongo a nommé un britannique à la tête du ministère des Forêts. Le Professeur Lee White, né en Grande-Bretagne, responsable de l’Agence nationale des parcs nationaux du Gabon (ANPN) est le nouveau ministre des Forêts.

Naturalisé gabonais en 2008, Lee White, 53 ans, est né à Manchester et a notamment grandi en Ouganda. Titulaire d’un doctorat en zoologie après une thèse sur la réserve de faune de Lopé-Okanda au Gabon, il est décoré en 2010 par la reine Elizabeth II pour services à la protection de la nature en Afrique centrale.

Selon des médias gabonais, Lee White est surtout connu pour être “le monsieur vert des présidents Bongo (père et fils)”. Avant sa nomination, il dirigeait l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) depuis 2009. L’ANPN est chargée de la gestion des 13 parcs nationaux créés par le défunt président Omar Bongo Odimba, le 4 septembre 2002.

Lee White est “un homme passionné, mais aussi un fin politicien“, déclare sous couvert d’anonymat un spécialiste du monde de la protection de la nature au Gabon.

Arrivé dans ce pays d’Afrique centrale en janvier 1989, il serait un passionné du continent, selon des médias gabonais. Il aime notamment donner des interviews en marchant dans la luxuriante forêt du parc national Raponda Walker, près de Libreville.

“Cette nomination ne peut être qu’une bonne nouvelle pour le monde des protecteurs de l’environnement au Gabon“, s’est réjouit le directeur de l’ONG américaine de défense de l’environnement WCS au Gabon, Gaspard Abitsi. “Il connaît parfaitement les défis de la conservation au niveau national comme international. Nous espérons que cela va aider à accélérer la préservation de la faune et de la flore ici“, a-t-il assuré.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-12 16:17:11

Congo - Franc CFA : Doit-on s’attendre à une nouvelle dévaluation ?

« Franc CFA : les tensions s'accumulent en Afrique centrale », tel est le titre d’un article de médiapart en date du 9 juin 2019, signé de Fanny Pingeaud. Une fois de plus, les rumeurs sur une éventuelle dévaluation du Franc CFA se font de plus en plus persistantes, au point d’en appeler à une prise de parole des gestionnaires du secteur de la monnaie, pour apaiser les esprits et surtout rassurer l'opinion.

 C'est donc un article de Médiapart, un journal français en ligne très bien informé et qui est souvent à l'origine de scandales d'État, qui vient de jeter le pavé dans la marre ‘’trouble’’ du Franc CFA.

Dans le corps de l'article, la rédactrice Fanny Pingeaud souligne que « le franc CFA utilisé en Afrique centrale traverse, depuis quelques semaines, une zone d'instabilité. L'activité des banques et des entreprises en pâtit ».

Et le journal de poursuivre: « En cause, la gestion des réserves en devises, dans laquelle la France ne joue pas le rôle qui devrait être le sien ».

Les indices de cette tension? « Pénurie de devises, hausse importante des frais de change, sanctions contre les banques ayant enfreint la réglementation des changes, rumeurs et peur d'une dévaluation... » Relève Médiapart.

Les États affectés sont: « Le Cameroun, le Gabon, la Guinée-Equatoriale, la République centrafricaine (RCA), la République du Congo et le Tchad », rapporte le journal. En somme, les Etats qui forment la Communauté économique et monétaire d'Afrique centrale (CEMAC).

Même si Médiapart dispose, il va s’en dire, de ‘’ sources bien informées’’, pour l’heure, aucun des pays cités et à l’évidence en danger, n’a brisé la loi du silence en réagissant à cette publication, même si elle est hors des circuits financiers où répète t-on toujours que ‘’ l’argent n’aime pas le bruit’’.

Quoi qu’il en soit, pour de nombreux utilisateurs du Franc CFA, l’angoisse monte, même si tous veulent croire que ce n’est qu’une rumeur. Encore une, non fondée.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-12 07:20:42

Denis Sassou N’Guesso invité à la deuxième cérémonie d'investiture du président Buhari le 12 juin au Nigéria

Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso a quitté Brazzaville ce mardi 11 juin 2019 pour Abuja (Nigeria) où il assistera à l’investiture du Président réélu Muhammadu Buhari.

Créé le 2019-06-11 18:30:52

Congo - Administration du territoire: De nouveaux préfets nommés par le président Denis Sassou N’Guesso dans quatre départements

Le président de la République a nommé par décret, le 6 juin 2019, les préfets des départements du Niari, de la Lékoumou, de la Sangha et des Plateaux.

Département du Niari : Fréderic Baron Bouzock

Département de la Lékoumou : Micheline Nguessimi

Département de la Sangha : Gilbert Mouanda Mouanda

Département des Plateaux : Alphonsine Ompangana

La Rédaction

Créé le 2019-06-08 21:32:49

Congo – Département du Pool : Lancement du projet d’appui à la promotion des moyens de subsistance durable

Après la phase de mise en place des plateformes de dialogue intra communautaires dans les localités du Pool naguère touchées par les troubles sociopolitiques, le Haut commissariat à la réinsertion des ex combattants s’emploie désormais à doter les populations ciblées de moyens de subsistance durable. Le ministre haut commissaire à la Réinsertion des ex combattants Euloge Landry Kolelas en a lancé le processus samedi à Kinkala.

Doter les populations des localités du Pool naguère touchées par les troubles sociopolitiques, notamment les ex combattants, de moyens de subsistance par le biais des activités pérennes, telle est la volonté exprimée par le président Denis Sassou N’Guesso et que le ministre Euloge Landry Kolelas traduit par les actes à travers ses descentes sur le terrain. Le lancement a Kinkala, chef-lieu du département du Pool du projet d’appui à la promotion des moyens de subsistance durable s’inscrit dans cette dynamique salutaire que les populations ont toujours appelée de tous leurs vœux.

Ce projet qui s’inscrit dans sa phase pilote est financé par le fonds japonais. Il s’exécutera dans trois districts à savoir : Kinkala, Goma Tsé-Tsé et Mindouli. Il ciblera deux villages dans chaque district, notamment Yalavounga et Yangui pour Kinkala, Linzolo et Koubola pour le district de Goma Tsé-tsé ainsi que les villages de Missafou et de Matensama pour le district de Mindouli.

Ce projet qui durera 3 ans, vise en priorité les ménages pauvres ainsi que les femmes et les jeunes regroupés au sein des associations et coopératives, ce pour une réelle amélioration des conditions de vie des populations. Aussi, l’enveloppe de 1 milliard 325 millions de francs CFA qui lui est dévolue permettra l’intensification des activités agropastorales telles la pêche, la pisciculture, l’élevage et le maraichage entre autres... Des activités qui assurément permettront aux populations de sortir de la pauvreté qui les habite, depuis les nombreux conflits qu’elles ont endurés.

Les personnalités présentes à la cérémonie officielle du lancement de ce projet, traduisent de l’importance que tous y accordent, en ce qu’il est un réel tremplin pour la consolidation de la paix. Aussi, l’ambassadeur du Japon, qui a pour résidence Kinshasa en RDC, a-t-il effectué la traversée du Pool Malébo, pour rallier Kinkala. Outre l’ambassadeur du Japon, on y a noté la présence de la représentante résidente de la Banque Mondiale au Congo qui a souhaité l’appropriation et la réussite de ce projet par les populations.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-08 20:38:26

Congo – Population : La Diaspora une force d’appoint pour un développement multiforme

Membre actif de la diaspora congolaise en France, Roger Ndokolo, président du parti du centre UNIRR (Union pour la Refondation Républicaine) signe cette tribune sur la diaspora congolaise. La force d’analyse interpelle les décideurs et met chaque congolais vivant hors du pays face à ses responsabilités, sur ce que devrait être son apport, à la construction de ce bien commun qu’est le Congo dont nous sommes tous redevables. Le titre et la manchette sont de la rédaction. Voici le texte intégral.

Toute diaspora est une partie vivante du pays dont elle est originaire. Extension de ce pays à l’étranger, elle en est aussi, en quelque sorte, l’âme extériorisée. Un pays respire et rayonne à l’étranger par sa diaspora plus profondément que par ses missions diplomatiques. Et cela quand bien même elle se serait intégrée tant bien que mal aux pays d’accueil. Et même après que la première génération de migrants se soit éteinte. Le lien émotionnel qui rattache toute diaspora à sa lointaine terre d’origine transcende le temps et les générations. Et c’est en parfaite reconnaissance de cette réalité que la Charte de l’Union Africaine a fait des diasporas africaines « la sixième région du Continent ».

Il est possible que le regard vers le pays d’origine ne soit pas la simple expression d’une nostalgie muette. Il est souhaitable qu’il conduise à une forme d’engagement de nature à influer sur l’avenir des pays d’origine. De fait les exemples abondent d’un engagement décisif des diasporas. Israël n’existerait pas aujourd’hui comme Etat ni n’aurait atteint son niveau actuel de développement sans une implication profonde de la diaspora juive. Plus près de nous en Afrique, le Rwanda doit son visage actuel à l’empreinte de sa diaspora dans les pays limitrophes et ailleurs dans le monde.

Les diasporas africaines se manifestent surtout, à l’heure actuelle, comme une importante source de financement des économies africaines. Il est admis qu’elles sont devenues « un contributeur de premier ordre aux économies du Continent ». Les montants en jeux sont vertigineux : 55 à 70 milliards de dollars au total envoyés vers l’Afrique chaque année, selon les estimations officielles, et donc en réalité bien plus. De ce montant global 5,7 milliards de dollars sont envoyés à partir de la France.

Il est clair comme le jour que cette manne représente pour de nombreuses économies africaines une source de financement essentielle. Les économistes constatent qu’elle dépasse les montants de l’aide publique au développement et contribue « parfois jusqu’à 20 % du Produit intérieur brut des pays concernés ». Pour la CNUED les envois de fonds de la diaspora africaine représentent « 51 % des apports de capitaux privés sur le continent ». Qui dit mieux ?

C’est dans ce contexte que s’active le Réseau International des Congolais de l’Extérieur (RICE) « à la recherche d’un partenaire financier afin de mettre en place un nouveau système de transfert de fonds internationaux vers l’Afrique ». L’initiative a un double objectif : « réduire les commissions jugées « abusives » demandées à la diaspora par les deux opérateurs américains ; créer un fonds de financement pour distribuer des microcrédits aux petits entrepreneurs africains ».

Les diasporas sont également une source d’expertise sûre. Et ce volet n’est pas le moins intéressant. En effet, les diasporas peuvent mettre à la disposition des pays d’origine leur expertise acquise à l’étranger. Elles constituent, à cet égard, une potentielle mine de compétences de standard international. Une mine exploitable d’une manière soit ponctuelle soit permanente à la faveur du retour au pays natal de ces hommes et de ces femmes qui demeurent sensibles à l’appel de leurs racines.

C’est dire l’importance de la création d’un Département des Congolais de l’étranger au sein du ministère des Affaires Etrangères du Congo à l’initiative du Président de la République. Le Ministre Jean-Philippe Ngakosso en charge dudit Département entend définir des « stratégies visant à encourager les Congolais de l’étranger à s’impliquer dans le processus du développement national ».

Il est souhaitable que la mise en œuvre de ces perspectives tienne compte d’un certain nombre de facteurs. Le facteur clé demeure la confiance de la diaspora congolaise qu’il faut établir et consolider. La confiance est, en effet, le socle d’une interaction féconde entre les pouvoirs publics et la diaspora congolaise. Il s’agit d’aller vers la diaspora, de se mettre à son écoute et de déterminer avec elle les modalités de son implication dans le développement du Congo. A cet égard le projet ministériel d’un Conseil représentatif des Congolais de l’étranger est de bon augure. Il reste à en déterminer le contenu et le fonctionnement avec l’indispensable participation des intéressés.

Nous saluons aussi la volonté exprimée par le Ministre de s’ouvrir aux expériences en cours dans d’autres pays africains. Il y a beaucoup à apprendre et à prendre chez les autres pour faire sa propre cuisine. Le Maroc, par exemple, semble un cas plus abouti que d'autres dans notre continent. Voilà un pays où les pouvoirs publics s’attachent depuis 1990 à renforcer les liens avec la diaspora dont elles entendent faire un véritable « accélérateur des changements en cours au Maroc ».

D’autres expériences, non moins intéressantes, se déroulent au Ghana, en Côte d’Ivoire et au Sénégal. Il est souhaitable que le Congo y trouve l’inspiration susceptible de l’aider tracer sa propre voie dans l’intérêt bien compris de la nation.

Roger Ndokolo

Président du parti du centre UNIRR (Union pour la Refondation Républicaine)

Créé le 2019-06-07 07:30:24

Brazzaville, en roues libres

Brazzaville compte près de 1000 motos-taxis. Un nombre qui dit tout à la fois la faiblesse des infrastructures de transport et l'échec des politiques de lutte contre le chômage dans la capitale congolaise.

Créé le 2019-06-06 08:28:32

Stella Mensha Sassou-Nguesso interdit les attroupements à l’entrée du complexe sportif la Concorde de Kintélé

La députée- maire de la petite commune de Kintélé au nord de Brazzaville, Stella Mensha Sassou-Nguesso, a pris la décision mardi dernier, dans une note d’information dont une copie est parvenue à notre rédaction, d’interdire tout attroupement à l’entrée du complexe sportif la Concorde de Kintélé.

Créé le 2019-06-06 07:03:27

L'or de Mayoko aiguise les appétits des chinois

Les chinois se ruent sur l'or de Mayoko dans le Niari (sud). Une délégation de la société chinoise « African Mineral Compagny » conduite par le colonel Claude Aimé Juste Mabounda séjourne dans la ville des métaux rares pour la prospection de l’or et le coltan dans les districts de Moungoudou-sud et Moungoundou-nord.

Créé le 2019-06-05 11:22:06

Toilettes publiques : un enjeu de propreté majeur pour la ville de Brazzaville

La Journée mondiale des toilettes du 19 novembre souligne l'enjeu de santé publique dans les pays en développement. Dans nos villes, elle devient un défi écologique et économique sur lequel se penchent enfin les conseillers départementaux et municipaux de Brazzaville qui ont décidé de prendre le sujet à bras-le-corps. Ils ont délibéré entre autres, sur l’approbation d’un contrat de concession à l’Association des vendeurs et transporteurs de Makélékélé, la construction ainsi que la gestion des toilettes publiques.

Créé le 2019-06-05 10:36:50

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