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L’opposition congolaise plongée dans un profond coma

L’opposition congolaise est aphone, elle est plongée dans un profond coma, donnant l’impression d’une classe politique apprivoisée jusqu’à la moelle épinière par le régime PCT qui gouverne désormais en terrain conquis, sans contrepouvoir aucun.

Créé le 2019-07-03 18:23:36

Congo - Fer de Mayoko : Et si les génies du Ndjobi étaient fâchés contre Sapro ?

Depuis l’implantation de la société Sapro sur le canton de Mayoko où elle exploite un gigantesque gisement de fer, et au regard des difficultés structurelles qui s’accumulent, il y a de quoi dire que les mânes de la contrée n’ont pas du tout donné leur onction à ladite société. Le fer pourrait faire le bonheur de la société Sapro ou la plonger dans un chaos sans fin. Sans doute que son PDG, Paul Obambi est irrévocablement condamné à subir ce que certains ont appelé la « malédiction des matières premières », faute pour lui, de n’avoir pas tenu de conciliabule avec les anciens, dépositaires du pouvoir du rite ndjobi et confidents des génies de la terre.

Créé le 2019-07-03 17:17:38

Congo – Diaspora : Un ressortissant du Congo-Brazzaville serait en détresse à l’hôpital de Créteil

L'hôpital Albert Chenevier à Créteil est à la recherche de toute personne qui connaîtrait Monsieur Tsindou André, soit sa sœur Malanda Adrienne.

Monsieur Tsindou André, est hospitalisé à Créteil et l'hôpital aimerait avoir le contact d'un proche. Aussi, demande t’il à la communauté du Congo- Brazzaville de s’impliquer, afin de retrouver ses proches...

Le numéro de l'hôpital est : 0149813202

La rédaction

Créé le 2019-07-03 09:26:08

Congo - Étudiants rapatriés de Cuba : Le président de la République a reçu les parents

En dépit de la situation créée par les étudiants congolais rapatriés de Cuba, le président Denis Sassou N’Guesso reste sensible et préoccupé par leur avenir. Aussi, a-t-il reçu le collectif des parents desdits étudiants, mardi 2 juillet à Brazzaville, afin que tous s'impliquent dans la recherche de solutions.

Face aux parents, le président Denis Sassou N’Guesso s’est montré autant ferme que magnanime, en somme paternel. Ses mots ont rassuré et réconforté des parents qui se disaient en perte de repères pour leurs enfants. «En dépit des fautes qu’il peut commettre, un enfant reste un enfant. Le flageller à l’extrême, c’est s’auto-flageller. C’est certes pour eux, une chance de réussite dans laquelle nous nous sommes investis qui a été gâchée. Le mal est fait. Pour ces enfants, le retour au pays est déjà une grosse sanction. Il faut à présent tourner la page et œuvrer à leur redonner une chance de réussite si possible, dans l’orientation qui est la leur.»

Touché par ce geste d’une magnanimité inespérée, le collectif des parents concernés a demandé pardon au chef de l'État et exprimé sa volonté de collaborer avec le gouvernement en vue de la réinsertion des étudiants rapatriés dans les structures académiques locales. « Les responsabilités sont partagées. Nous allons échanger avec les enfants pour chercher comment réformer leur avenir », a indiqué le responsable du collectif, Jean François Galomi, à l’issue de l’audience avec le président de la République.

« Et si les enfants sont encore motivés pour apprendre la médecine, nous allons négocier leur réinsertion avec le gouvernement », a-t-il ajouté.

Au total, cent trente-huit étudiants congolais inscrits en médecine à La Havane ont été rapatriés, en juin dernier, pour mauvais résultats scolaires et avoir réclamé violemment leur bourse.

Jean François Galomi a fait savoir qu’« aucun étudiant n’a disparu », tous ont regagné leurs familles.

« Nous avons informé le président de la République que nous avons bien reçu les enfants. Chaque enfant vit auprès de ses parents », a-t-il conclu.

Le gouvernement congolais avait envoyé plus de mille étudiants entre 2014 et 2015 dans la capitale cubaine pour y suivre des études en médecine. Certaines étudiantes ont été rapatriées avec des bébés.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-07-03 08:57:42

FMI – Changement : Christine Lagarde quitte le Fonds pour la BCE

Christine Lagarde va prendre la tête de la BCE. Dire que le président français à réussi à imposer sa compatriote, ainsi qu’il le désirait.

C’est la fin d’un long suspens. Mardi 2 juillet au soir, les dirigeants européens se sont enfin entendus sur leur casting pour diriger l’Union Eurpéenne, qui verra deux femmes aux postes clés : une ministre allemande, Ursula von der Leyen, à la Commission, et la Française Christine Lagarde à la BCE.

Sur Twitter, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) se dit « très honorée d’avoir été nominée pour la présidence » de la Banque centrale européenne.

« Je suis très honorée d’avoir été nominée pour la Présidence de la BCE. Au vu de ce qui précède, et en consultation avec le Comité d’éthique du Conseil d’administration, j’ai décidé de quitter provisoirement mes fonctions de DG du FMI durant la période de nomination.»

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-07-02 20:02:58

Congo – Finances : La Beac plafonne les retraits et paiements par carte bancaire hors de la Cemac

Contrairement à ce que certains congolais résidant hors du pays semblent instiller, le manque de devises ne concernerait pas seulement le Congo. La BEAC a pris des mesures de restriction dans la zone afin de maintenir tant soit peu l’équilibre des moyens de payements.

La banque des États d’Afrique centrale (Beac) a défini « les conditions et modalités d’utilisation hors de la Cemac des instruments de paiement électronique ». Cette mesure a pour but, la sortie exagérée de devises, qui se font rares.

À la lecture de ce document signé par le gouverneur de la Beac, Abbas Mahamat Tolli, il s’agit de mesures de restriction des sorties de devises à travers les cartes bancaires à débit immédiat, les cartes de crédit et les cartes prépayées. « L’utilisation à l’extérieur de la Cemac des instruments de paiement électroniques, est restreinte aux transactions courantes dans la limite des seuils d’allocation des devises prévus par la réglementation des changes », renseigne la Beac.

Abbas Mahamat Tolli

Le montant des opérations de paiement et de retraits sur des guichets et terminaux situés à l’extérieur de la Cemac est désormais plafonné à cinq millions de FCFA par individu et par voyage. Au-delà de ce montant, le voyageur est contrait de justifier à priori ou a posteriori les montants sollicités.

S’agissant du règlement des transactions à distance, notamment les paiements en ligne, il est désormais plafonné à un million de FCFA par personne et par mois. Au-delà de ce montant, il faut désormais justifier la transaction « par tout moyen laissant trace » et ceci « dans un délai de 30 jours ».

Les émetteurs des instruments de paiement électronique, que sont notamment les banques commerciales, sont chargés de veiller au respect de ces nouvelles conditions et modalités.

Cette batterie de mesures intervient alors que la sous-région connait une pénurie de devises régulièrement dénoncée par les organisations patronales. Mais, de source interne, ces nouvelles dispositions viseraient surtout à lutter contre le blanchiment des capitaux, le terrorisme et le commerce informel qui entraîne une érosion de près de 50 % du PIB de l’Afrique subsaharienne.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source Ecofin

Créé le 2019-07-02 06:30:35

Kimongo : Deux vigiles prennent en otage deux véhicules de la société de téléphonie MTN

A Kimongo dans le Niari (sud), deux vigiles de la société de téléphonie MTN, Dinana et Lenga ont pris en otage, ce lundi, deux véhicules de ladite société ayant pignon sur rue au Congo-Brazzaville.

Créé le 2019-07-01 15:57:09

Congo – Transport ferroviaire : La collision entre deux trains lourds fait de nombreuses victimes

 

Un train de marchandises de la compagnie du chemin de fer Congo-océan (CFCO) et un train minéralier de la société Sapro-Mayoko sont entrés en collision, la nuit du dimanche à lundi, dans la zone de Ngondji, près de Pointe-Noire. Le bilan fait état d’une vingtaine de morts, ainsi que de nombreux blessés.

On en sait désormais un peu plus sur la collision entre deux trains, aux premières heures de la matinée de lundi, dans le canton de Ngondji au sortir de la gare de Ngondji. Un problème de régulation, notamment un mauvais aiguillage serait à l’origine de l’accident. L'un venait de Dolisie et l'autre de Pointe-Noire.

Les témoignages recueillis relèvent que les conducteurs d’un des trains, ayant remarqué qu’un autre venait en face, auraient immobilisé leur rame. Convaincus que la collusion frontale était inévitable car en face, on semblait ne pas voir le danger, les machinistes on eu le temps de quitter la locomotive.

Surpris par l’obstacle, les conducteurs de l’autre train n’ont pas eu le temps de freiner. Ils se sont emboutés à toute vitesse dans la rame en stationnement. Le choc frontal leur a été fatal. Les deux conducteurs sont décédés sur le coup.

La violence du choc a été telle que, de nombreux tombereaux, porte-containeurs ont déraillé dans un fracas de tôles froissées, éjectant ou broyant les voyageurs clandestins qui avait pris place au dessus desdits containeurs, notamment sur les trains de marchandises.

Ces pseudos clandestins seraient pour la plupart des commerçants qui préfèrent accompagner ainsi leurs marchandises bien souvent sujettes à des vols. Deux gendarmes convoyeurs de train ont été légèrement blessés.

Avant l’arrivée de la police et la gendarmerie, de nombreux badauds des environs ont eu le temps de faire leurs emplettes.

Pour l’heure, le trafic est suspendu, en attendant de dégager la voie et de la remettre en état.

Beaucoup de personnes évoquent le cas des victimes. Fusent-ils en situation de clandestinité, ces citoyens blessés ou décédés dans de telles conditions interpellent la conscience nationale et devraient tout de même bénéficier de la bienveillance de la république.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-07-01 15:49:43

Congo – Agriculture : La Fondation Perspectives d’Avenir lance le Programme d’Appui à la Relance de la Productivité Agricole au Pool

Au cours d’une cérémonie qui a eu pour cadre Yalavounga à quelques encablures de la ville-préfecture de Kinkala, la Fondation Perspectives d’Avenir conduite par son président, Denis Christel Sassou N’Guesso, a procédé au lancement du Programme d’appui à la relance de la productivité agricole (Parpa), au Pool. À cette occasion, le directeur exécutif de la Fondation, Abraham Okoko, a annoncé la construction courant mois d’août, avec l’appui de l’ambassade du Japon, d’un centre multi métiers au chef-lieu du département. Outre les métiers de plomberie, de l’électricité, de la menuiserie et autres, ce centre va orienter la plus grande partie de son action sur l’agriculture, dans la perspective de former des entrepreneurs agricoles congolais.

« Les jeunes sont capables de bien de choses, si on leur en donnent les moyens ». Ces propos qui sont devenus un postulat d’action pour Denis Christel Sassou N’Guesso, se vérifient chaque jour par la preuve, à travers les initiatives menées par la Fondation Perspectives d’Avenir et pour lesquelles son président ne ménage aucun effort, quant à l’aboutissement de celle-ci.

Le lancement à Kinkala du programme d’appui à la relance de la productivité agricole (Parpa) montre bien que ce programme sorti des incubateurs à idées de la Fondation, cible le point focal même, d’une activité agricole pérenne s’appuyant sur des actifs implantés dans les viviers de productions en leur apportant la valeur ajoutée nécessaire, gage de l’essor agricole attendu et souhaité par tous, depuis de lustres et très souvent resté à l’étape de projets.

Chaque région du Congo dispose des spécificités agricoles dont la production en masse couvrirait l’ensemble d’un marché bien demandeur. À la Fondation Perspectives d’Avenir, on a compris que « tout développement commence par le ventre », et qu’il faut s’appuyer sur des actifs disposant d’une expertise somme-toute naturelle en terme d’engagement au travail de la terre à laquelle ils sont attachés, et leur apporter les conditions nécessaires pour un travail efficient. « Un homme, une mission, des moyens », dirait-on dans d’autres corps de métiers.

En ce qui concerne le Parpa, Abraham Okoko a indiqué que celui-ci va s’étendre sur l’ensemble du territoire national. Kinkala, a-t-il poursuivi, constitue le point de départ du projet dans la mesure où le département du Pool est parmi les grands bassins agricoles du pays.

L’appui apporté dans le cadre du programme est essentiellement en nature et dans une logique participative. Il s’agit, a-t-il dit, de mettre à la disposition des producteurs des services mécanisés pour la préparation des sols cultuvables ; d’aider les producteurs à acquérir les moyens de production par la fourniture de kits agricoles ; d’effectuer gratuitement en faveur des producteurs des formations nécessaires pour une meilleure productivité et de mettre en œuvre des politiques d’accompagnement en leur faveur dans leurs filières respectives.

L’objectif du Parpa, a signifié Abraham Okoko, est de contribuer à l’amélioration de la productivité des acteurs agropastoraux et au développement des unités de production par des actions directes au profit des producteurs, notamment mettre à disposition des tracteurs, former, accompagner et aider à l’acquisition d’outils et de semences.

Pour bénéficier des services du Parpa, a fait savoir le directeur exécutif de la FPA, il est demandé aux postulants de se rendre à l’antenne la plus proche de la zone d’exploitation en vue de s’informer et s’inscrire. Le Parpa se propose, par ailleurs, de réaliser gratuitement, pour des ménages précaires, mille hectares de labour.

Trois antennes sont installées au Pool. Celle de Kinkala qui couvre les districts de Loumou, Louingui, Boko, Mbandza Ndounga et Goma tsé-tsé ; l’antenne de Mindouli qui concerne les districts de Kindamba, Vindza et Kimba et celle d’Ignié qui couvre les districts de Mayama et Ngabé.

À l’issue de la présentation du projet, les bénéficiaires ont, par la voix de Robert Ndiki, remercié les initiateurs. Ils ont souhaité que ce programme perdure afin de les aider à quitter le stade d’une l’agriculture embryonnaire de subsistance pour l’agriculture mécanisée et commerciale.

Pour sa part, le maire de la ville de Kinkala , Joseph Kinfoua , a assuré les initiateurs du projet de la disponibilité de sa population pour la réussite de ce programme, une prière somme-toute exaucée, qui selon lui, va considérablement aider à la relance des activités agricoles dans cette partie du pays meurtrie par des conflits armés à répétition.

Pour lier l’acte à la parole, le président de la FPA, Denis Christel Sassou N’Guesso, a remis un échantillon de matériel agricole aux bénéficiaires.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

En images : quelques temps forts de la cérémonie

Créé le 2019-07-01 10:59:16

Congo – ‘’Corps en dépôt’’ : Le mort n’était pas mort !

Une scène surréaliste, défraie la chronique depuis le week-end dernier à Brazzaville. Un corps en dépôt dont le décès avait été constaté à l’hôpital de Talangaï et transféré à la morgue municipale est revenu à la vie. Le constat de son décès fait au jugé était bien faux. L’homme s’était simplement évanoui.

Une course vers la vie pour ce pseudo cadavre venu du centre hospitalier de Talangaï pour être mis en conservation à la morgue municipale et dont les parents, en désespoir de cause, attendaient que se libère un casier mortuaire, pour y déposer leur ‘’défunt’’ et accomplir les formalités de dépôt de corps pour repartir avec le numéro du casier, pièce indispensable pour les obsèques. L’homme n’y sera pas déposé car entre-temps, il est revenu à la vie.

Le récit se passe de commentaires : « On a emmené un malade à l’hôpital où une fois arrivé au triage, le corps médical examine le patient (sans le toucher) et conclu à un décès de ce dernier, avant son arrivée en ces lieux. La mère du patient qui était au chevet du malade a contesté cette version en affirmant que son fils n’était qu’évanoui à leur arrivée. Malheureusement pour elle, les médecins ont maintenu leur version et constaté le décès en écrivant sur une feuille l’heure d’arrivée, l’heure du constat, le nom du décédé….et ont épinglé le tout sur la chemise du ''cadavre'' pour tout acheminé à la morgue. Arrivé à la morgue, il n’y avait plus de casiers libres. Les parents auraient donc déposé le cadavre à même le sol en attendant de trouver un casier libre. Et c’est à ce moment que ce serait produit un fait surréaliste. Le prétendu mort a levé son bras et commençait à remuer son corps aux grands cris de sa mère et ceux qui l’accompagnaient jusqu’à sortir de cette salle mortuaire, courant vers le triage du CHU, accompagné d’une foule hurlante.»

Combien sont-elles ces personnes hâtivement déclarées décédées, mais qui en réalité font peut-être un arrêt cardiaque ou entrent dans un coma. Une seule pression au bras ou un regard sur les pupilles dilatées suffit à déclarer le décès. Pas d’examens poussés, ni de temps d’attente avant le dépôt à la morgue, comme il est d’usage dans certains pays. Sans doute, la vie des patients prétendument décédés est-elle si banale qu’elle ne vaut pas que l’on s’y penche davantage et le cas de cet homme, un miraculé en somme, a de quoi interpeller sur le professionnalisme de certains médecins des triages, encore que certains s’arrogent ce titre qu’ils n’ont pas, dans les hôpitaux congolais.

Ce fait éminemment grave et qui s’est produit en plein jours, devrait conduire la hiérarchie à une demande d’explications du chef de service du triage de l’hôpital de Talangaï, sur ces manquements, à défaut pour le procureur, saisi par la ‘’clameur publique’’, d’ouvrir une information judiciaire pour manquement au devoir et mise en danger de la vie d’autrui. C’est aussi cela, l’État de droit et la lutte contre les antivaleurs. Hélas… Je me tais !

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-07-01 08:44:41

Congo – Finances : Le manque de devises en euro provoque le ralentissement du commerce d’importation semi informel

Depuis le mois de mai, de nombreux commerçants, surtout des femmes spécialisées dans l’import, depuis Dubaï ou la Chine, connaissent un ralentissement de leurs activités, faute de devises. Désormais, pour ces commerçants, tout voyageur en provenance d’Europe représente un espoir de s’approvisionner en Euros.

Arrivé par le vol Air France vendredi soir, Axel avait à peine posé ses valises, que deux charmantes jeunes dames étaient entrées dans la concession familiale où il était descendu. Visiblement bien renseignées, les deux dames s’étaient dirigées vers lui, le gratifiant d’un « bonsoir tonton » dont la sensualité du ton l’emplit d’étonnement. « Excusez-nous de ne pas vous avoir laissé vous reposer. Nous cherchons de la ‘’monnaie’’, au cas où vous aurez des euros ». « Mais je viens d’arriver, mesdames. » « Justement tonton, nous allons repasser plus tard. Voici nos numéros de téléphone. C’est Agnès et Bertille. Ne nous oubliez pas s’il vous plait. »

À peine les deux dames étaient-elles parties, que Jonathan, le neveu d’Axel, était venu voir son oncle. «Tonton, qu’est ce qu’elles voulaient, ces ‘’ femmes de Dubaï ‘’. Des euros sans doute. Non, j’ai déjà causé avec une ‘’sœur à moi’’, qui viendra demain. Elle va les prendre avec un très bon taux. Ici, les euros, ça devient de l’or. On les cherche à la torche».

Des scènes de ce genre sont désormais récurrentes au Congo où la Banque des États de l’Afrique centrale a suspendu fin mai, le traitement des demandes de devises en euros, du fait de l’épuisement des stocks. Depuis lors, la situation n’a pas changé.

Même si la parité Euro - Franc CFA est fixe, ce désagrément risque à terme, de créer de graves déséquilibres économiques. Déjà, les changes sont désormais ‘’flottants’’ avec un marché noir, sinon informel qui a pris le monopole de l’activité officielle et laisse fluctuer les taux de change au gré des variations de l'offre et de la demande de ces agents privés. Cela pourra induire une hausse de certains produits importés.

Outre les commerçant importateurs, cette situation impacte aussi les voyageurs privés en partance pour l’Europe à qui on demande de produire des preuves de subsistance en euros lors de la demande de visa.

Désormais, une seule solution s’impose : les transferts de banque à banque. Une opportunité qui n’est hélas pas du ressort de tous les citoyens.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-07-01 07:11:57

Environnement- Reunion des Experts: L'écologiste Congolais le Dr Michel Innocent Peya invité à Boon en Allemagne à la session préparatoire de la COP 25.

En prélude à la tenue de la COP 25 qui se tiendra du 11 au 22 novembre 2019 à Santiago au Chili, les experts des questions environnementales venant du monde entier se sont réunis du 17 au 27 juin 2019 à Bonn en Allemagne en vue d'examiner les avancées sur l'accord de Paris. Le but etant d'encourager les Etats de decarboner leurs économies, en commençant par l'abandon progressif des centrales au charbon, en encourageant le developpement des energies renouvelables et des mobilités durables.

 

Créé le 2019-06-30 18:07:34

Congo – Choses vues et potins de la cité : Violente altercation téléphonique entre la ministre Doukaga et le DGPN adjoint André Fils Obami Itou

Un enregistrement audio, que nous nous gardons de publier, par respect des charges qu’assument les intéressés, débitant une altercation verbale entre la ministre Hermela Doukaga de la Jeunesse et le directeur général adjoint de la police nationale, le colonel Obami Itou, fait actuellement le buzz sur les réseaux sociaux. Entre ’’ insubordination’’ de l’un et ‘’méconnaissance de la voie hiérarchique’’ pour l’autre, il va s’en dire que ces propos mis sur la place publique ne sont pas bien loin des chamailleries de cour de récréation, au point que les congolais qui se délectent de ce sonore pensent la fonction ministérielle ‘’désacralisée ‘’ par l’une de ceux qui en assument la charge.

« Je suis encore une fois choqué de suivre, la mort dans l’âme, la conversation enregistrée entre la ministre Doukaga et le colonel Obami Itou . Si cet entretien est vraiment authentique, alors je me permets, sous réserve, de vous partager mon point de vue. J’estime que les deux interlocuteurs tirent, de toute leur force, le Congo vers le bas. Voici comment: le colonel qui connaît très bien l’identité de sa correspondante devrait être courtois et, calmement, debout, tout en serrant ses fesses, prendre en compte la requête formulée par Madame la Ministre, tout en lui promettant d’en parler à ses chefs hiérarchiques, parce qu’il est aux ordres. 

Du côté de madame la Ministre, j’observe un manque criard d’éthique de ‘’Femme ou d’homme d’État’’. À la vérité, j’ai eu un froid au dos face aux propos très très orduriers tenus par la ministre du genre: ‘’Je ne suis pas de votre région’’. My Good! Comme disent les anglais. Où est le vivre ensemble dont elle parle aux enfants pendant les colonies de vacances ? Comme on peut aisément le constater, il y a visiblement un manque de maturité politique chez la Ministre en charge de la jeunesse congolaise.'' 

Par delà cette interrogation de Adrien Wayi, il y a lieu de se demander pourquoi cet enregistrement qui selon toute vraisemblance serait sorti des milieux de madame la ministre, a-t-il été réalisé et mis sur les réseaux sociaux?

La voix de madame la ministre est bien présente et sans rétroaction acoustique. Ce qui suppose qu’elle est en présence de la source enregistreuse. Celle du colonel Obami est amplifiée par la portabilité magnétique et est parasitée. Donc recueillie en seconde source. De ce constat qui relève de la physique élémentaire des communications radiophoniques, on peut déduire que la ministre a voulu ‘’piéger’’ son interlocuteur. Mais à quelles fins?

Même si la ministre n’ose le dire, les deux personnalités en étaient déjà venues quasiment à une friction, lors de l’arrestation brutale, avec violence et voies de fait, d’un leader étudiant par la garde de madame la ministre au motif qu’il avait été discourtois envers la ministre. Le directeur général adjoint de la police, le colonel Obami Itou s’était opposé à l’incarcération de l’étudiant et l’avait fait libérer, provoquant l’ire de madame la ministre. Un précédant sans doute jamais digéré.

D’autre part, c’est du coté du colonel que l’on retrouve la retenue qui aurait pu être celle de la ministre, fonction oblige, même si dans les premiers instants de l’échange musclé, celui-ci apparait discourtois et faisant carrément une leçon de procédure administrative au ministre.

Oui, madame la ministre, votre directeur de cabinet vous a induit en erreur, à travers une correspondance mal orientée, car n’obéissant pas, comme en droit, au parallélisme de forme, la voie hiérarchique, dans les us administratifs. Un ministre adresse sa requête à son homologue ministre car celui-ci a la maîtrise de son administration. C'est lui qui enjoint celle-ci d’exécuter ladite requête le cas échant, ou dans la mesure du possible. Ou encore vous auriez adressé votre doléance au premier ministre qui aurait orienté votre requête au ministre assermenté pour exécution. De même, si cette requête avait été acceptée, il aurait fallu discuter des modalités pratique de détachement de personnel demandé, du commandement dont il relèverait, de leur dotation en armes et en munitions, des missions qu’il aurait à effectuer, surtout que ce rôle est dans la pratique, dévolu à la Garde républicaine qui assure la sécurité des bâtiments et édifices officiels. Ainsi, vous vous seriez adressée au ministre de la Défense, car même le DGPN a qui vous avez initialement adressé votre courrier, n'avait pas vocation à y donner une suite. C'et sans doute par esprit républicain que le général Ndenguet ne vous a pas retourné le courrier avec la mention: ''destinataire erroné'' ou ''destinataire non conforme''.

Non madame la ministre votre manque de tact et ces mots orduriers ne vous honorent guère. De par la fonction, vous êtes supérieur au colonel certes mais par le grade, vous lui devez également des égards, surtout que vous êtes de la même corporation. Et puis, vous ne deviez pas perdre de vue que l’autorité qui est le pouvoir de commander, d'être obéi implique aussi les notions de légitimité, de commandement et d'obéissance, d'un autre pouvoir qui impose l'autorité. Vous n’êtes pas le ministre de tutelle du colonel.

Par delà les conséquences que peuvent susciter cette affaire en matière de cohésion gouvernementale, car il va s’en dire que la ministre Doukaga a empiété sur les plates-bandes de son collègue Mboulou, dans le pays et hors des frontières nationales, les gens se marrent de ce spectacle qui une fois de plus, disons-le désacralise la fonction ministérielle.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-28 19:41:10

Les Bantous de la capitale en studio pour un «Best of » de quarante chansons

L’orchestre les Bantous de la capitale est en studio pour enregistrer un « Best of » de quarante chansons ayant marqué sa carrière, dans le cadre des préparatifs des festivités marquant les 60 ans de sa création, le 15 août 1959.

Créé le 2019-06-27 21:04:10

Fayez el-Sarraj fait part de l’évolution de la crise qui secoue la Libye à Denis Sassou N’Guesso

Le chef du gouvernement d’union nationale en Libye, Fayez el-Sarraj a fait part mercredi à Brazzaville de l’évolution de la crise qui secoue la Libye au président congolais, Denis Sassou N’Guesso, désigné en novembre 2016, président du Comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye.

Créé le 2019-06-27 16:57:55

Brazzaville : Déficit de panneaux de signalisation observé sur plusieurs artères

A Brazzaville comme dans les autres agglomérations de l’hinterland, il existe de panneaux de signalisation qui permettent aux automobilistes d’être à l’abri d’éventuels accidents. Cependant, ces panneaux de signalisation et autres marquages au sol ne sont pas perceptibles à plusieurs endroits de la ville. C’est le cas par exemple du rond-point Koulounda et de l’avenue Tchicaya U Tam’si, à proximité du lycée français.

Créé le 2019-06-27 16:18:31

Congo – Santé : Le conseil des ministres adopte treize projets de décrets portant création des programmes nationaux de santé

Au cours de sa réunion du 26 juin, le conseil des ministres a adopté des textes soumis à son examen en matière d’amélioration de l’offre de santé. Les textes adoptés sont le fruit des recommandations des Assises nationales de la santé tenues à Ewo, département de la Cuvette ouest, sous l’égide du Premier ministre, chef du gouvernement, en décembre 2016.

"Les conclusions de ces Assises ont servi de matrice aux objectifs en matière de santé contenus dans le Plan national de développement 2018-2022. Elles ont également permis de dresser un état des lieux de la santé dans notre pays, et aidé à articuler une réponse institutionnelle afin de faciliter la résolution des problématiques prioritaires.

Cette réponse a pu être identifiée au terme d’une démarche participative fondée sur les évidences scientifiques, mais également sur la contribution de l’ensemble des cadres et personnels de santé ainsi que sur l’implication des partenaires techniques et financiers.

Le ministre Coussoud-Mavoungou qui représentait la ministre Lydia Mikolo en mission, a précisé aux membres du Conseil des ministres que le Congo se trouve en phase de transition épidémiologique. Cette situation se caractérise par une double charge de morbidité et de mortalité.

Cette charge concerne en premier lieu les maladies infectieuses transmissibles (tuberculose, VIH-sida, schistosomiase, trypanosomiase, etc.), mais aussi le paludisme, pathologies globalement responsables d’environ 57% des décès dans notre pays, majoritairement chez les enfants, les femmes et les jeunes adultes.

Elle concerne en deuxième lieu des maladies chroniques non transmissibles telles que l’hypertension artérielle, les maladies cardiovasculaires (AVC), le diabète, les cancers, etc. Ces maladies chroniques sont responsables de 33% des décès au Congo, selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé.

Il convient de citer, en troisième lieu, l’existence d’affections particulières telles que la drépanocytose qui touche directement 2% des nouveau-nés, et dont le trait est présent chez un quart de la population congolaise.

Les projets de décret soumis à l’examen du Conseil des ministres traduisent la volonté du gouvernement de garantir à l’ensemble de la population l’accès et la disponibilité de soins de santé de base, grâce à la mise en place de programmes nationaux de santé spécifiques identifiés sur la base du profil épidémiologique du Congo.

Ces programmes spécifiques auront pour caractéristique principale d’institutionnaliser la mesure de performance, afin d’évaluer l’efficacité de la réponse. Ils permettront également la détermination d’un paquet minimum de soins et services promotionnels, préventifs et curatifs, dont la pratique et l’efficacité auront été suffisamment documentées.

Leur détermination aura pour premier avantage de consacrer la mise en place, en supervision de chaque programme, d’une coordination nationale à vocation interministérielle, afin de renforcer l’efficacité de la réponse à apporter.

Elle aura comme autres avantages d’aider à la mobilisation des ressources budgétaires nationales et de faciliter celle des concours attendus des partenaires techniques et financiers internationaux.

Ainsi, treize programmes nationaux suivants ont été retenus. Neuf d’entre eux seront créés par les décrets soumis ce jour à l’examen du Conseil des ministres. -Le programme national de lutte contre le cancer ;

-Le programme national de lutte contre les hépatites virales ;

-Le programme national de lutte contre l’onchocercose ;

-Le programme national de lutte contre la lèpre, le pian et l’ulcère de Buruli ;

-Le programme national de lutte contre la schistosomiase ;

-Le programme national de lutte contre la trypanosomiase humaine africaine ;

-Le programme national de lutte contre l’insuffisance rénale ;

-Le programme national de santé mentale ;

-Le programme national de lutte contre les infections nosocomiales.

Quatre d’entre eux étant déjà fonctionnels, les décrets les concernant viennent régulariser leur situation juridique. Il s’agit des :

-programme élargi de vaccination ;

-programme de lutte contre le paludisme ;

-programme de lutte contre le VIH/sida ;

-programme de lutte contre la tuberculose.

Les programmes ainsi créés seront placés sous la coordination d’une structure interministérielle à établir. Cette structure rassemblera, outre le ministère en charge de la santé, les ministères concernés par chaque problématique.

Structurés de manière identique, chacun des programmes sera doté d’une direction du programme, de départements spécifiques ainsi que d’un comité scientifique d’appui.

Après examen et discussion, le Conseil des ministres a adopté les treize projets de décret portant création des programmes nationaux de santé soumis à son examen."

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-27 10:00:59

Congo – Niari : Descente au goût amer dans les administrations pour le préfet rentrant

À peine à t-il pris ses fonctions en qualité de préfet du Niari, que le colonel de police Baron Frédéric Bozok effectue des descentes dans les administrations sous tutelles. Sa visite à l’Hôpital général de Dolisie, le 24 juin dernier, a révélé un constat des plus amer. Dire qu’au long des ans, on ‘’accumulait de la poussière sous les tapis’’.

S’il pensait vivre le choc de sa vie à travers l’état des malades qu’il allait rencontrer à l’Hôpital général de Dolisie où il a effectué une descente d’inspection, le préfet du Niari, se sera à l’évidence bien trompé. Le choc lui est plutôt venu de la gestion administrative et financière de l’Hôpital bien en déphasage avec les us en matière de gestion hospitalière. Dire que l’amateurisme y serait la règle.

Outre l’hôpital de référence de Dolisie, le préfet est passé aux impôts, au contrôle financier et au budget. Là non plus le constat a été amer, avec un manque criard de registres de contrôle de présence dans certaines administrations, ce qui vient consacrer un absentéisme quasi endémique. Dire que le laisser-aller serait la règle et le travail bien fait, l’exception.

Baron Frédéric Bozok a demandé aux responsables desdites administrations de se mettre au pas, ce qui vaut dernier avertissement. Le prefet poursuivra ses descentes à l’intérieur du département.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-27 09:27:19

RDC – CAN 2019 : ‘’Ibenge a koboma biso !’’, ‘’Ibenge va nous tuer !’’

À quelques heures de la rencontre Égypte- RDC, la tension est palpable auprès des supporters congolais, chez qui on note de véritables signes d'énervement quant à l'issue d'un match pour lequel les uns dépriment et les autres veulent croire au miracle. La défaite de la RDC face à l’Ouganda n’a pas fini de faire parler d’elle et de nombreux congolais jugent déjà la suite de plus en plus difficile. L’entraineur Florent Ibenge est au cœur de toutes les attaques.

‘’Ibenge a ko boma biso’’ autrement dit ‘’Ibenge va nous tuer’’. La contreperformance des Léopards de la RDC face aux modestes Cranes  d’Ouganda a laissé de nombreux supporters de la RDC au bord de l’infarctus, tant les choix de l’entraineur Florent Ibenge sont jugés hasardeux par certains et l’équipe méconnaissable, étalant un jeu en dessous de son niveau habituel.

Pour de nombreux connaisseurs du football de la RDC, c’est l’entraineur qui serait l’auteur de ce qui s’annonce déjà comme une débâcle. Il faudra à la RDC au pire des cas, un match nul, pour espérer ensuite se relancer en jouant le va-tout face au Zimbabwe. Ce qui n’est pas gagné d’avance, au regard de la performance des ‘’Warriors’’ face à l'Ouganda, surtout que dans ce groupe A, tout le monde peut encore espérer se qualifier et tout se jouera lors de la dernière journée.

Face à des égyptiens qui outre qu’ils seront dans leur propre jardin, auront tout un peuple qui s’imposera en véritable douzième homme dans les tribunes, au point de destabiliser les congolais, la tâche des hommes de Florent Ibenge sera ardue et l’apport spirituel de Simon Kimbangu et autre Anuarite ne serait pas superflu pour un véritable miracle, face aux Pharaons, en espérant que Moïse soit vraiment du coté congolais.

Mais, revenons au sport pour remarquer que le poids du seul Bakambu en pointe ne suffit pas à créer la dynamique d’une attaque à outrance. Au milieu du terrain, l’Égypte pourra déployer son jeu, en l’absence d’un fixateur de défenses, coté congolais, tel que l’est souvent Dieumerci Mbokani qui du haut de ses trente quatre ans, reste un poison pour les défenses adverses et surtout son expérience a semblé manquer aux Léopards.

Quoiqu’il en soit, face aux coéquipiers de Mohamed Sala, les Léopards auront bien leur destin en mains. Leur entraineur ne disait-il pas : «Rien n’est perdu et ça doit nous mettre dedans». À eux de prouver que Florent Ibenge ne s’est pas trompé en leur faisant confiance, et avec lui, des millions de congolais qui veulent bien y croire, même si certains ont promis : « soki ba éliminé biso, à suka kuna ! » autrement dit, « si nous sommes éliminés, que Florent Ibenge se garde de rentrer au pays ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-26 18:23:22

Brazzaville : Un sapeur décédé enterré dans sa chaussure préférée J.M Weston

Les dernières volontés des défunts doivent être respectées dans la mesure du possible et de la loi. Si certains accordent de l’importance à rejoindre «un autre monde » en toute simplicité, d’autres demandent à être enterrés avec bijoux et argent. Selon les croyances, les modalités de l’enterrement diffèrent et peuvent parfois surprendre. Il existe un enterrement original. Ce le cas de la famille d’un sapeur décédé à Bifouiti à Brazzaville. Elle a décidé de casser sa tirelire pour son enterrement, lui qui rêvait d’être inhumé dans un cercueil en forme de sa chaussure préférée J.M Weston, très prisée par les dandys congolais.

Créé le 2019-06-25 21:28:30

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