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Festival de Confolens, le groupe Biemb’Art représentera le Congo

Le groupe Biemb’Art représentera le Congo du 12 au 18 Août 2019 au Festival de Confolens, ancienne commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente en région Nouvelle-Aquitaine.

Créé le 2019-06-25 18:24:35

La Chine intéressée par la réhabilitation du chemin de fer Congo-Océan

Les cheminots du Congo-Brazzaville débordent déjà d'enthousiasme à l'idée de tester un jour des rails fraîchement installés. L'initiative doit contribuer aux efforts de reconstruction dans un pays ravagé par la crise financière depuis plusieurs années, mais aussi relancer l’économie nationale. Le ministre congolais des Affaires étrangères, de la Coopération et des Congolais de l'étranger, Jean-Claude Gakosso a épluché le projet avec la délégation de la société CRCC 16 intéressée par la réhabilitation du chemin de fer Congo-Océan, conduite par son directeur général, Chen Hongbin.

Créé le 2019-06-25 17:56:12

Littérature : "Tout chemin mène à Rome" le premier livre de Victor Massiandoki sur le marché des œuvres de l’esprit

Victor Massiandoki, né le 28 septembre 1961 à Kinshasa (RDC), vient de publier son premier livre de 224 pages aux éditions Jean Picollec, intitulé « Tout chemin mène à Rome ».

Créé le 2019-06-25 16:42:53

BAC 2019 : Les fraudeurs et leurs complices à la barre

Des enseignants et des cadres de l’administration scolaire ont été mis aux arrêts puis présentés au tribunal. Ils sont accusés d’être auteurs ou complices de fraudes lors des épreuves du baccalauréat général session 2019.

Créé le 2019-06-25 15:46:54

Congo - Religion : Le tribun '' Ngunza'' Daniel Koubemba s'en est allé

Il était '' Tâta Koubemba'' pour de nombreux adeptes du culte Ngunza'' qu'il officiait depuis son jeune âge et pour lequel il avait enduré tant de tribulations et surtout persévéré, car se disant investi d’une mission. Daniel Koubemba a tiré sa révérence à presque 110 ans d'âge, lundi 24 juin 2019 à Brazzaville.

‘’Tâta Koubemba’’ cette dénomination emprunte de révérence traduisait le respect et l’aura qu’entourait cet homme qui a voué sa vie au service des autres, à travers la religion Ngunza, ’’Dibundu dia Bula mananga’’ qu’il pratiquait. De pure tradition Ngunza, à travers un culte désintéressé, Daniel Koumbemba officiait dans la rue Augagneur, non loin du marché dit ‘’Commission’’ à Makélé-kélé. Tâta Koubemba était de la trempe de ‘’ Malonga ma MPiéri-Mpiéri’’ ou autre ‘’Tâta Ndzalamou’’ de Makaka par Goma Tsé-Tsé, d’autres grand-prêtres Ngunza qui traduisaient la pureté du culte, partis bien longtemps avant lui.

À travers sa prière adressée « mu nk’umb’a sé mwan’a mpévé ya nlongo » autrement dit, « au nom du Saint fils de l’Esprit très Saint » avec pour intercesseurs, André Grénard Matsoua, Simon Kimbangu ou ‘’Mâma Ngunga’’, Daniel Koubemba a su redonner, au long des ans, du sourire à de nombreux malades dont les cas étaient souvent désespérés et face auxquels la médecine s’était dans la plupart des cas révélée impuissante, sans qu’il n’en coûte quasiment un seul sou à ceux-ci. « Kimpévé ka bâ dilâ k’â tia mbongo kô » ce qui veut dire, « on ne monnaye pas un don de l’Esprit que Dieu vous a offert gratuitement » nous rappelait-il. Pour entretenir sa famille, Daniel Koubemba vendait des poulets sur pattes.

Des bougies à la charge du patient pour des prières adressées en son nom auprès du très haut, « nakissa bissambu kué ta mampungu » en plus de l’eau pour le rituel d’expurgation de tout esprit impur ou de maladie, « niakissa », exécuté au moyen d’un carré de tissu béni, « bidimbu bia tumbû » et quelques gorgées de cette eau, donnée à boire au patient, à travers un canari en terre cuite, et le miracle s’opérait là, à l’instant. La personne venue grabataire, repartait sur ses deux pieds ou était internée, le temps des prières intenses pour sa délivrance. C’est une fois libérée de tout ce qui faisait obstacle au traitement médical que la personne pouvait partir à l’hôpital, ce que Daniel Koubemba conseillait d’ailleurs. « Nous avons fait le travail d’intérieur. C’est au médecin de faire le reste. Soyez confiant, vous allez guérir », rassurait-il. De toutes ces prouesses, Tâta Koubemba ne tirait aucun mérite. « Ka men’oako, ta mampungu sadidi », « ce n’est pas moi, c’est le très haut qui a œuvré ».

Il arrivait que la personne habitée par un mauvais esprit se voyait ôter celui-ci, attiré dans une bouteille où on l’enfermait. Une pratique qui se révélait dangereuse, selon que ledit esprit pouvait être réfractaire ou très violent. Très peu de jeunes gens et jeunes filles y ont été initiés, les principes spirituels et moraux étant des plus contraignants.

Dans ce sacerdoce, Daniel Koubemba était épaulé entre autres frères et soeurs, par son épouse, ‘’Mâma Konda’’. Une épouse qui hélas mourut en 1997, aux cotés d’autres adeptes victimes des évènements qui endeuillèrent le pays tout entier. Jamais leurs dépouilles ne furent retrouvées.

Quoique affecté par cette disparition dont il porta le deuil et pour laquelle il se résolu à accepter la volonté de Dieu, Tâta Koumbemba s’était peu à peu mis en retrait de la conduite du culte, n’intervenant que pour les cas complexes, la charge étant dévolue à son fils Ange Koubemba « Tâta ntuarissi », le « guide » dont l’initiation à ses cotés, date de son jeune âge, quasiment depuis les années 80. De quoi dire que l’Église, « Dibumdu », reste en de bonnes mains.

Tâta Koubemba en compagnie de son petit fils

Pour l’anecdote, en 1977, alors que le CMP avait décidé de la fermeture des lieux de cultes non conventionnels, les adeptes du culte ngunza furent épargnés. Et pour cause, un dignitaire du régime dont le parent était malade et qui avait dépensé de fortes sommes en soins médicaux, fut malgré lui, orienté par une connaissance, chez Tâta Koubemba. La personne dont les médecins prédisaient une mort imminente fut sauvée aux moyens d’une simple eau, administrée après avoir été expurgée « niakissa », de l’esprit qui le hantait. Ce témoignage par la preuve suffisait à épargner ‘’Dibundu dia Bula mananga’’ de toute fermeture.

Avec la mort de Daniel Koubemba, disparait l’un des derniers témoins, parmi ces hommes qui avaient consacré leur vie à la cause de l’Homme noir, en adeptes de André Grénard Matsoua. Un de ceux qui avaient souffert le martyrs de la déportation des matsouanistes. La pureté de son âme est tout un hommage à ce grand Homme.

« Kuélé mvu, ku sidi mvu » ; « puisse la sagesse que tu emportes, rester également sur ceux que tu laisses ». 

« Henda mboté tâta Koubemba ! Bika wa kota mu lulendo lua tâ mampungu ». « Vas en paix tâta Koubemba ! Puisses-tu entrer dans la gloire du Père très Saint».

« Tâta ntouadissi » Bertrand BOUKAKA/ Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-25 11:53:53

Congo – France : Denis Sassou N’Guesso prendra part au sommet France-Afrique de Paris

Le président Denis Sassou N’Guesso est attendu la semaine prochaine dans la capitale française. À Paris, le président congolais dont la présence est très souhaitée, de sources diplomatiques, prendra part au sommet France-Afrique qui s’ouvre le 2 juillet dans la capitale française. L’ambassadeur de France au Congo, Bertrand Cochery, en a fait l’annonce le 24 juin à Brazzaville, à l’issue d’un entretien avec le président Denis Sassou N’Guesso.

Le président Denis Sassou N’Guesso prendra part au sommet de Paris qui se veut une ‘’réunion France-Afrique’’, sur des questions d’intérêts communs. En sa qualité de président du comité de haut niveau de l’UA sur la crise Libyenne, la voix de Denis Sassou N’Guesso, sera d’une expertise attendue par la France qui ne cache pas ses intentions sur le dossier, eu-égard au pilotage de la feuille de route de l’UA, conduite par le président congolais, en vue du dénouement de la crise dans ce pays.

D’ailleurs, le diplomate français, reçu par le président congolais n’a pas manqué d’égrener quelques sujets à l’ordre du jour. Il s'agira a-t’il dit, « de faire un tour d’horizon de tous les sujets d’intérêt commun, qu’il s’agisse des sujets d’actualité, de politique internationale, de la sécurité sur le continent africain et dans la sous-région, mais aussi de parler d’un certain nombre de dossiers importants de coopération bilatérale autour des trois feuilles de route de coopération renforcée » signées au printemps dernier.

L’une de ces feuilles de route porte sur l’enseignement supérieur, la recherche et l’éducation, alors que les deux autres concernent respectivement l’environnement et la santé.

« Ce sont trois sujets d’importance. Dans le secteur de l’environnement, j’ai bien insisté auprès du président sur l’importance du dossier des tourbières qui constitue aujourd’hui une carte maîtresse, un atout essentiel pour le Congo dans le cadre du Fonds bleu et plus largement par rapport à tous les défis environnementaux », a indiqué Bertrand Cochery.

L'ambassadeur français, a estimé, en outre, que l’Afrique et l’Europe étaient appelées à travailler davantage en vue de disposer des partenariats plus actifs.

Au plan économique, certains sherpas évoquent la question de la sortie des États de la cédéao de la zone CFA, une initiative de plus en plus actée par lesdits pays et qui ne manquera pas d’être abordée à Paris.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-24 20:20:04

Congo – Diaspora : L’ambassadeur Adada ouvert aux sollicitations de toutes les sensibilités politiques

L’ambassadeur du Congo en France, Rodolphe Adada, a reçu jeudi à Paris, un collectif politique se revendiquant de l’opposition, conduit par Sanellie Tamba-Tamba. Sur le bord de Seine, de nombreux congolais qui pensaient pareille rencontre impossible, saluent la ‘’disponibilité républicaine de monsieur l’ambassadeur’’.

« Frappez et l’on vous ouvrira (...) et l’on ouvre à celui qui frappe. » Ces mots de la bible contenus dans Mathieu 7-7 sont sans nul doute revenus à l’esprit du collectif des acteurs politiques de la diaspora, auxquels l’ambassadeur Adada a ouvert les portes de son bureau jeudi.

Composé de Sanellie Tamba-Tamba du ‘’Front uni’’, Ulrich Touta du ‘’NC’’, Serge Kabat de ‘’One Démocratie’’, Gaston Mahoungou ‘’ écrivain et homme de Dieu’’ et Juste Ouamba, journaliste, ce collectif qui se veut un groupe de réflexion, a remis à l’ambassadeur Adada une lettre destinée au président Denis Sassou N’Guesso.

Se disant au service de tous les congolais relevant de sa juridiction consulaire, l’ambassadeur Adada a promis transmettre ladite lettre à qui de droit, même si dans celle-ci, les signataires appellent à la convocation d’une conférence nationale.

Dans certains milieux congolais souvent réfractaires à l’ordre républicain, on salue le geste, au point de se demander si plutôt que d’acter une violence dégradante et contreproductive, il ne serait pas mieux de chercher à se faire entendre par des moyens plus démocratiques, par delà les divergences d’opinions. Sanellie Tamba-Tamba et associés en sont bien la preuve.

Au moins, Rodolphe Adada aura montré qu’il est disponible et bien disposé à l’écoute de tous les congolais et à servir de tremplin avec les autorités à Brazzaville.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-21 21:27:49

Claudia Lemboumba Sassou Nguesso à Kintélé pour découvrir le salon d’exposition marocain

Claudia Lemboumba Sassou Nguesso, Conseiller spécial du Président de la République, chef du département de la communication et des médias a visité le salon d’exposition marocain au Centre International de Conférences de Kintélé au nord de Brazzaville, la capitale congolaise.

Créé le 2019-06-21 16:14:04

Des étudiants congolais rapatriés de Cuba à Brazzaville

Les autorités du Congo-Brazzaville ont rapatrié, mardi, 138 étudiants originaires de ce pays et inscrits à l’université à Cuba, dont une partie avait manifesté à La Havane pour obtenir le paiement de leur bourse, a-t-on appris ce jeudi de sources concordantes.

Créé le 2019-06-20 18:39:33

Afrique du Sud – Musique : Koffi Olomidé interdit de concerts au pays de Mandela sous la pression des associations féminines

L’artiste congolais Koffi Olomidé devait se produire les 29 et 30 juin au Cap et à Johannesburg. Hélas, les deux établissements censés accueillir ses concerts ont fait marche arrière, après qu'un collectif d'associations de lutte contre les violences faites aux femmes a lancé une pétition en ligne et saisi le gouvernement sud-africain, décrétant de facto l’artiste ‘’personae non gratta’’ dans le pays.

L’artiste Koffi Olomidé serait quasiment devenu un homme peu recommandable, tant de nombreuses associations féminines lui gardent encore une dent, eut égard aux violences envers les femmes, dont il s’est illustré ces dernières années.

Dans le milieu des artistes congolais, beaucoup évoquent le fait que Koffi traverserait une période de ‘’libabé’’, la poisse, et cela impacte ses activités qui auraient pris un sérieux coup, même si l’artiste semble garder le moral.

« N’accueillez pas Koffi Olomidé. Aidez-nous à endiguer les violences faites aux femmes. » C’est avec ce message que les instigateurs de la pétition, mise en ligne le lundi 17 juin, et intitulée « Empêchez l’agresseur reconnu coupable Koffi Olomidé de se produire en Afrique du Sud » ont convaincu deux établissements sud-africains d’annuler les concerts de la star du ndombolo Koffi Olomidé.

Ce dernier devait se produire le 28 juin à Johannesburg, au Gallagher Convention Centre, mais aussi au Cap, le 29 juin, au Shimmy Beach Club, dont la direction a assuré avoir décidé d’annuler le concert la semaine dernière. La pétition s’adressait non seulement aux propriétaires des deux endroits mais encore au ministère sud-africain des Affaires intérieures.

« Nous, les signataires, demandons au ministère d’empêcher Koffi Olomidé d’entrer sur le territoire sud-africain », peut-on notamment lire parmi les doléances du collectif Stop Koffi Olomidé composé de 39 organisations féministes et associations de la société civile sud-africaine dédiées à la lutte contre les violences faites aux femmes et les violences liées au genre.

« Nous avons, par ailleurs, adressé une lettre à la présidence, aux ministères des Affaires intérieures, de la Police, de la Justice mais aussi des Arts et de la culture », indique Bunie Matlanyane Sexwale, porte-parole du collectif à l’origine de la pétition et membre fondatrice de l’organisation Lesaka La Basadi (« Cercle de solidarité pour les femmes », en sotho).

« Nous avons très rapidement obtenu une réponse de la présidence qui nous a indiqué prendre l’affaire très au sérieux et nous a assuré que des mesures seront prises afin que le ministère des Affaires intérieures empêche l’arrivée de Koffi Olomidé sur le territoire sud-africain. »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville /Source JA

Créé le 2019-06-19 20:27:18

Afrique – Monnaie : Les pays de la Cédéao bien décidés de quitter la zone CFA

Une monnaie unique, c’est le rêve à réaliser pour 15 États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Ils comptent ainsi remplacer le franc CFA et sept devises nationales par ‘’l’eco’’. En discussion depuis des années, ce projet peut se concrétiser d’ici à 2020.

Lors du comité interministériel des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales de la zone, qui s’est réuni lundi 18 et mardi 19 juin 2019 à Abidjan, il a été décidé à l’unanimité l’adoption d’une monnaie unique dès 2020.

La monnaie unique de la Cédéao remplacerait le franc CFA et sept autres devises nationales, qui ne sont pas convertibles entre elles, ce qui ne facilite pas les échanges. Le rapport de cette rencontre va être transmis aux 15 chefs d’État concernés.

Le Nigéria réticent quant à cette monnaie unique vient de lever ses doutes, si l'on en croit le ministre ivoirien de l’Économie et des Finances, Adama Koné. « Le Nigeria d’aujourd’hui n’est pas celui d’hier », a-t-il déclaré à des journalistes dans des propos relayés par Bfm TV.

Créée en 1975, la Cédéao regroupe aujourd’hui 15 pays totalisant 300 millions d’habitants, dont 180 millions pour le seul Nigeria, poids lourd démographique et économique de la zone, dont il représente environ 60% du PIB.

De nombreux experts sont cependant dubitatifs sur le calendrier annoncé du lancement de la monnaie unique de la Cédéao, en raison des énormes divergences économiques entre les 15 pays, et du chemin restant à parcourir pour une harmonisation.

Reste à savoir si cette nouvelle monnaie bénéficiera de la parité fixe CFA-Euro, garantie par la France.

Signalons que l’économie de la Cédéao est on ne peut plus prospère, par rapport à celle de la zone CEMAC, avec laquelle elle a en partage le Franc CFA. Une zone où la question de changement de monnaie ne semble pas à l'ordre du jour, en dépit de la quasi inféodation des économies de États, aux mécanismes du Franc CFA.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-19 19:48:41

Congo : Toujours plus d'entreprises à Oyo

Si la commune d’Oyo (nord), comme toutes les communes du Congo, connaît elle aussi la crise, elle y résiste peut-être mieux que d’autres. C’est ce qu’il ressort des chiffres de ces six dernières années qui illustrent les implantations d’entreprises et la forte attractivité que cette ville exerce dans le département de la Cuvette.

Créé le 2019-06-19 16:18:59

Des gendarmes et policiers pour protéger l’Ambassade du Congo en France

Au total huit (08) officiers et sous-officiers de la gendarmerie et de la police ont été détachés au Ministère congolais des Affaires étrangères. Ils devront protéger jour et nuit la Chancellerie congolaise en France.

Créé le 2019-06-18 17:39:59

L’ambassadeur des USA au Congo chez Denis Sassou N’Guesso

Le président congolais, Denis Sassou N’Guesso a reçu en audience ce mardi 18 juin 2019, l’ambassadeur des USA au Congo, Todd Haskell.

Créé le 2019-06-18 17:07:02

Pointe-Noire : Il vole un sac à main et est poignardé par des témoins

Les témoins ont décidé de se faire justice eux-mêmes. Un homme de 41 ans, qui venait de subtiliser le sac à main à une passante au marché Tié-Tié de Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, a été grièvement blessé samedi, a-t-on appris ce lundi de source policière.

Créé le 2019-06-17 18:59:21

Un accident de la circulation fait un mort à Dolisie

Un terrible accident de la circulation s'est produit tôt ce lundi entre le rond-point de la Justice et le lycée Victor Sathoud à Dolisie dans le Niari (sud).

Créé le 2019-06-17 17:40:22

Congo - Emplois durables : Brice Dimitri Bayendissa plaide pour une jeunesse dynamique et porteuse de projets

‘’Les jeunes de Mpaka Km 8, à Pointe Noire, face aux enjeux de la crise économique et financière qui secoue l’humanité’’, c’est la question qui a figuré à l’ordre du jour de la rencontre citoyenne entre le député de Tié Tié II, Brice Dimitri Bayendissa et un échantillon des jeunes de ce quartier de la ville océane, dimanche 16 juin 2019.

Au cours de cet échange, mené de bout en bout en langue « Kituba », il a été question pour l’élu de Tié Tié II et président de la Fondation qui porte son nom d’inviter la jeunesse, à travers cette représentation, à puiser dans les revers de la crise les ressorts pour juguler celle-ci.

« Soyons imaginatifs, créateurs et concepteurs des projets qui peuvent être bancables, afin d'apporter notre pierre au progrès du Congo » Ce sont ces mots qui pouvaient résumer l’invite de Brice Dimitri Bayendissa. Engagé dans une politique de proximité et du vivre-ensemble, le député de Tié tié II, à cette couche de population, vulnérable, pour avoir perdu son emploi du fait de la crise ou chômeur, a apporté un message d’espoir et de réconfort. « Rien n’est perdu », pouvait-il s’exclamer, avant de présenter le rôle que devrait jouer sa fondation : « Ma fondation, dans cette belle aventure, prend l'engagement d'assurer l'encadrement et l'accompagnement des jeunes dynamiques inventifs et créateurs. »

Puisque, martèle-t-il, la fondation Brice Dimitri Bayendissa se propose de gagner la bataille contre l'oisiveté et le chômage des jeunes.

« C'est un message d'espoir et de réconfort que nous vous apportons. C'est un message d'unité et d'invite à la créativité pour se doter des atouts permettant de faire face à la crise et de construire un l'avenir », a soutenu Brice Dimitri Bayendissa, pour qui, l’oisiveté et la paresse constituent des vices et des dangers et pour soi-même et pour le pays.

Cette rencontre citoyenne voulue interactive a permis au député et à cette couche juvénile d’envisager un nouveau pacte, une nouvelle vie, « la vie que devrait mener un jeune engagé et émancipé. »

Dans ce partenariat Brice Dimitri Bayendissa, pour remplir sa part de contrat, se propose d’assurer l'encadrement et l'accompagnement à l'entrepreneuriat des jeunes. C’est à ce prix qu’ils se rendront utiles à la République. « Nous nous sommes rendus utiles en allant à l'école et en obtenant des diplômes. » A fait observer l’élu de Tié tié II, tout suggérant la démarche à suivre en ces temps de crise : « Nous devrons, à la suite de nos diplômes, nous adapter aux exigences des temps actuels. Il faut s'autodéterminer et être son propre patron. » Une tâche pas facile mais possible à accomplir avec la volonté. Même s’il est admis que les pays doivent placer le bien-être des enfants au cœur de leurs ripostes à la récession. Il s’agit là d’un devoir moral qui va dans l’intérêt de la société tout entière.

En ce sens, qu’au nombre de chômeurs qui s’est accumulé durant ces années de crise, caractérisée par de faibles niveaux d’investissement et de croissance économique, s’est ajouté le développement d’un secteur informel, dont le niveau de sous-emploi apparaît aujourd’hui comme une pesanteur quant à la création d’emplois décents et durables.

Pour relever ce challenge de réduction sensible du taux de chômage et de sous-emploi, la fondation Brice Dimitri Bayendissa milite pour la mise en place une plateforme multi acteurs de plaidoirie et de mobilisation de financement ainsi que de politiques attractives des investissements et incitatives aux affaires.

Par ailleurs, à travers sa voix à l’hémicycle, Brice Dimitri Bayendissa entend plaider pour la multiplication des efforts par les gouvernants dans l’amélioration davantage du climat des affaires, afin d’attirer plus d’investissements, de consentir plus de ressources à des domaines plus générateurs d’emplois, et d’améliorer les performances en matière d’utilisation et d’absorption des ressources publiques.

L’objectif est d’arriver à maintenir, voire même améliorer le niveau de mobilisation des investissements tant publics que privés. La fondation Brice Dimitri Bayendissa remplira sa part de contrat dans cette marche pour accompagner et encadrer chaque projet qui proviendra des jeunes de Mpaka et au-delà, pouvait déduire le député Brice Dimitri Bayendissa.

Avant de clore cette rencontre citoyenne, Brice Dimitri Bayendissa a fait un don à cette population des produits pharmaceutiques, composés essentiellement des antipaludiques.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-17 17:02:39

Congo – Département du Pool : Les ex-ninjas sont résolument tournés vers la paix, les allégations contraires ne sont que pures intox de mauvais goût

La ‘’guerre du Pool’’ était-elle une source de revenus pour certains congolais qui en tiraient les dividendes, au point que la paix retrouvée a fermé leur guichet macabre ? Alors que tous les congolais saluent les avancées des dernières assises de Kinkala, un certains Sita, pourtant participant ex-ninja aux assises, fait maladroitement entendre une voix discordante qui serait un rejet desdites conclusions. Une voix relayée en cela par des sites internet ‘’croque-morts’’, comme si la fin du conflit et donc des morts y relatifs, dans le Pool les avait privé de l’essentiel de ce qui faisait leur existence communicationnelle. « L’information n’a pas de dimension morale ; elle est comme un couteau. Armez-en un chirurgien et un assassin, chacun s’en servira différemment.» Et si les assassins de l’information et leurs commanditaires agissaient désormais à visage découvert ?

Depuis sa nomination au Haut commissariat à la Réinsertion des ex combattants, le ministre Euloge Landry Kolelas appuyé par les responsables du système des Nations-Unies ne ménage aucun effort pour traduire les prescrits du président Denis Sassou N’Guesso en actes permissifs du retour de la paix dans le Pool. Les dernières assises de la plateforme de dialogue et d’échanges intracommunautaires tenues du 12 au 13 juin à Kinkala ont réaffirmé la dynamique de paix. Sur fond de recommandations éminemment consensuelles, les participants, au nombre desquels les représentants du gouvernement et du pasteur Ntumi ont traduit ces aspirations chères à tous, afin que le Pool revive à nouveau dans toute sa splendeur et prenne toute sa place dans la sphère nationale.

D’où vient-il donc que monsieur Sita se soit soudainement mue en porte-parole des ex-ninjas, sinon du pasteur Ntumi, avec des velléités révisionnistes d’une dynamique dont tous saluent les avancées. Que dire de contraire, quand par exemple, il a été mentionné dans les conclusions, le fait que la situation du Pool soit débattue au cours d’un dialogue national inclusif. Un pré requis que le gouvernement a déjà acté, pour donner force à la paix.

Il va s'en dire que cet homme, Sita, a peut-être la tête un peu trop près du bonnet et sa maladroite ‘’interview’’ serait à l’évidence un alignement de mots dont lui-même ne comprend sans doute pas le sens.

Que l’on ne fasse pas dire au pasteur Ntumi et aux ex- ninjas, ce qu’ils n’ont pas dit, dans une espèce de « nkuchi ya mfulu » « pet de tortue », - qui incommode le village et dont il n’est parfois pas l’auteur -, par ceux qui dans les coulisses, « comptent par les doigts de la main » le manque à gagner que leur inflige la paix dans le Pool, à moins que cela ne soit un combat d’arrière-garde, visant Euloge Landry Kolelas, celui là même, par qui le président est en train de résoudre une situation que certains esprits pessimistes disaient insolubles, car Landry Kolelas est en train de réussir là où certains pariaient par l’échec arguant sur le fait que le pasteur Ntumi serait un homme versatile qui ne tiendrait pas parole une fois de plus.

Sita, porte-parole, disions-nous tantôt. Non, le pasteur Ntumi n’avait pas besoin qu’il lui prête sa langue, aussi ninja qu’il eût été, puisque le pasteur avait un représentant personnel aux assises de Kinkala, en la personne du pasteur Yindoula qui du reste était vice-président des travaux, la présidence étant assurée par Monseigneur Portela. Outre le pasteur Youndoula, deux autres personnalités très proches du pasteur Ntumi et l’ayant souvent représenté, au point même d’avoir pour l’autre, souffert dans sa chair, étaient à Kinkala, notamment Philippe Ané et Gustave Ntondo. Tous ont acté les conclusions des assises de Kinkala et appelés de tous leurs vœux l’inscription de la situation du Pool à l’ordre du jour du dialogue national.

Comme pour marquer leur satisfécit sur ces assises dont le maitre-mot en lari aura été « fiongonina » autrement dit, se parler sans retenue, pour extirper de son tréfonds les aspérités et autres points bloquants terreau de la rancœur et source de la haine, ce dans la pure tradition du ‘’Mbongui’’, l'ambiance des travaux a été des plus conviviales. Les instances des comités locaux de paix mis en place dans les différentes localités ont reflété ce sublimissime sursaut d’un « rejet du vieil homme », aurait-on dit dans la bible. Le changement, sur un idéal de paix et de progrès. Ainsi les trois postes du bureau ont été repartis ainsi qu’il suit : Président, un homme d’Église (Curé ou pasteur des confessions œcuméniques). Vice président : un ex ninja. Secrétaire : une personnalité issue de la société civile.

Afin de donner à ce panel, sur les épaules duquel repose la perpétuation de cet élan de paix dans les différentes localités, des principes uniformes face à la tâche qui sera la leur, un séminaire de formation les a regroupé à Kinkala de vendredi à dimanche. Tous se sont quittés avec la fervente mission d’être des ambassadeurs de la paix qu’ils vont œuvrer à construire avec les différentes populations.

À la vérité, cette soit disant affaire Sita aura montré que beaucoup de sites d’information qui prétendaient s’apitoyer sur le sort des populations du Pool dont il dénonçait le martyrs de la guerre, œuvraient en fait pour leur audimat dont ils comptaient les subsides. Autrement, pourquoi donc être contre la paix dans le Pool, cette paix que l’on a souhaité ligne après ligne, jour et nuit, dans ses écrits.

Au risque de me répéter, leur attitude acte bien l'assertion selon laquelle : « L’information n’a pas de dimension morale ; elle est comme un couteau. Armez-en un chirurgien et un assassin, chacun s’en servira différemment. »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-06-16 20:43:16

Congo : La couverture des soins prénatals par un personnel qualifié est relativement élevée

Au Congo, la couverture des soins prénatals par un personnel qualifié est relativement élevée. (Urbain : 98% ; Rural : 86%) et près de huit femmes sur dix (79%) ont effectué au moins 4 visites prénatales (Urbain : 89% ; Rural : 63%).

Créé le 2019-06-15 15:37:51

Les poids lourds abîment la route Sibiti-Madingou

Les convois de poids lourds empruntant la route Sibiti-Madingou (sud) la détruisent plus particulièrement en cette période de pluies. Chaussée déformée ou explosée, c'est l'état de la route Sibiti-Madingou via Kimandou.

Créé le 2019-06-15 14:57:48

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