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Sa structure imposante a changé le paysage de la ‘’capitale de l’or vert’’, même si la couleur ocre de la terre de Dolisie qui le recouvre, semble lui donner l’aspect d’une vielle bâtisse, à laquelle la pluie qui la nettoie redonne de temps en temps son éclat. Alors que la taxe municipale conférant le « droit de table » est de quatre mille francs mensuels, les vendeurs se plaignent de l’absence de commodités renvoyant au marché moderne qu’est celui de Dolisie. C’est à se demander, « à quoi sert l’argent récolté. »
Le marché central de Dolisie a été mis en service en 2011, après sa construction démarrée en 2006, dans le cadre des projets de la municipalisation accélérée.

Depuis, de nombreuses conditions pour des activités commerciales décentes s’y sont véritablement dépréciées. Outre l’insalubrité des toilettes pour laquelle les vendeurs sont obligés de discipliner leurs organismes ou encore de recourir aux toilettes des parcelles, bars et autres bistrots des environs, c’est surtout le manque d’éclairage qui pose problèmes.

Le manque d’éclairage est dénoncé par les vendeurs. De nombreuses ampoules grillées depuis des années, n’ont pas été remplacées par les services techniques de la mairie.
Certains vendeurs sont obligés de bricoler des branchements, pour éclairer leurs étals, afin que leurs marchandises soient visibles des éventuels acheteurs. Une situation qui a conduit certains vendeurs à investir la rue, les acheteurs ne pouvant voir leurs marchandises dans la pénombre.

D’autres ont été obligés de faire des branchements de fortune, en laissant pendre des plafonniers dont ils enlèvent l’ampoule et la douille chaque soir, de peur de se les faire voler. Un exercice réalisé sous tensions et qui de fait, devient dangereux.

En cas d’électrocution dramatique, les services municipaux déclineront naturellement leur responsabilité. C’est presque la règle, alors que les conditions de la mise en danger de la vie d’autrui sont créées par lesdits services.
Les vendeurs et autres acheteurs qui se rendent au marché de Dolisie en appellent aux autorités municipales, pourquoi pas préfectorales, pour redonner au marché central le lustre de ses débuts, du temps de sa mise en service.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-26 09:28:24
Les dés sont jetés. Le tirage au sort de la Ligue des champions de UEFA, saison 2022-2023 s’est déroulé ce jeudi à Istanbul en Turquie. Les 32 équipes qualifiées sont désormais fixées sur leur sort.
Huit groupes de 4 équipes composent le tableau de cette phase de groupe de la compétition de la Coupe aux grandes oreilles. Le Real Madrid, vainqueur de l’édition passée, se lance à nouveau, au côté des 31 autres équipes, à la conquête d’un nouveau trophée.
Le PSG et l'Olympique de Marseille, les deux clubs français qualifiés pour cette prestigieuse compétition évolueront respectivement dans le groupe D et le groupe H.
Le groupe C quant à lui sera le plus relevé avec notamment le Barca, le Bayern et l'Inter.
Voici tous les groupes à l'issue ce tirage au sort de la ligue des champions saison 2022-2023
Groupe A
Ajax Amsterdam
Liverpool
FC Naples
Glasgow Rangers
Groupe B
FC Porto
Athletico Madrid
Bayer Leverkusen
Club Brugge
Groupe C
FC Barcelone
Bayern Munich
Inter Milan
Victoria Plzen
Groupe D
Eintracht Francfort
Tottenham Hotspur
Sporting SL
Olympique de Marseille
Groupe E
Chelsea FC
Milan AC
Salzburg
Dynamo Zagreb
Groupe F
Real Madrid
Shaktar Donetsk
RB Leipzig
Celtic FC
Groupe G
Manchester City
FC Séville
Borussia Dortmund
FC Copenhague
Groupe H
PSG
Juventus de Turin
Benfica SL
Maccabi Haïfa
Les dates des affiches dans les différents groupes seront connues ultérieurement.
Les hostilités démarrent les 6 et 7 septembre prochains.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-25 19:08:02
L’Assemblée nationale ne ressemble toujours pas au Congo. L'hémicycle reste très largement dominé par les hommes avec seulement 22 femmes sur les 151 députés que compte la chambre basse du Parlement. Un nombre qui est passé de 16 à la quatorzième législature à 22, soit de 11% à 15%.
Les hommes continuent de dominer très largement l’hémicycle congolais. En cause, des partis politiques qui ne respectent toujours pas la loi sur la parité et placent en priorité les hommes dans des circonscriptions gagnables.
Les femmes sont sous-représentées en politique alors qu'elles constituent 52 % de la population congolaise et 52 % des inscrits sur les listes électorales.
La parité gagnerait du terrain si les partis jouaient le jeu en acceptant de présenter des femmes dans les circonscriptions gagnables, au sein desquelles elles ont tendance à placer des candidats masculins.
Les hommes sont souvent plus connus des électeurs, et plus reconnus au sein même de leur parti avec un rapport de pouvoir en leur faveur.
Autre indice de la place des femmes en politique, plus on monte dans les fonctions exécutives des assemblées, moins il y a de femmes. C'est toujours le même scénario, les hommes ont le monopole de la présidence des groupes parlementaires.
On rappelle que le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso, avait annoncé, le 13 août 2010, à l’occasion de son adresse à la nation, la décision de faire voter, par le parlement, une loi assurant la parité hommes-femmes aux fonctions politiques, administratives et électives.
A ce titre, cette décision courageuse est l’une des plus importantes décisions politiques du chef de l’Etat, qui a choisi la parité, plutôt qu’une politique de quotas qui réduit la place des femmes à la seule volonté politique, faisant de la loi un idéal égalitaire, partie intégrante du pacte social défini par le Président de la République, lui-même, pour le bien-être de tous les congolais et l’accélération du développement national.
En mai 2017, le ministre congolais de l’Intérieur, de la décentralisation et du développement local, Raymond Zéphirin Mboulou a fait savoir, à Brazzaville, aux dirigeants des partis et associations politiques que désormais, chaque parti ou association devra réserver obligatoirement un quota de 30% aux femmes aux différents scrutins.
Raymond Zéphirin Mboulou avait même promis des sanctions aux formations politiques qui n’appliqueront pas cette disposition.
«Une liste qui n’aura pas réservé un quota de 30% aux femmes sera immédiatement invalidée. Nous serons surtout très regardants aux élections, conformément aux dispositions de la nouvelle loi électorale », avait déclaré le ministre congolais de l’Intérieur, de la décentralisation et du développement local.
Malheureusement, comme on peut le constater, cette loi qui redonne aux femmes congolaises leurs droits et leur juste place et qui reflète les aspirations de l’époque, des congolaises et de la société toute entière, a été violée par plusieurs partis politiques.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-25 17:56:35
Pour des raisons sanitaires liées à la Covid-19, le 5ème forum de coopération des médias sino-africains s’est tenu par visioconférence jeudi 25 août. Le Ministre de la Communication et des Médias, porte parole du gouvernement, Thierry Lézin Moungalla a porté la voix du Congo.
Le Ministre de la Communication et des Médias, porte parole du gouvernement, Thierry Lézin Moungalla est intervenu jeudi matin par visioconférence, durant le 5ème Forum de coopération des médias sino-africains organisé par le Gouvernement chinois et l’Union Africaine de Radiodiffusion.
En matière de coopération dans le secteur des médias, la Chine est désormais bien présente sur le continent africain, à travers la fourniture des programmes prêts à diffuser, des équipements de pointe, mais aussi la formation en Chine, des personnels, tant techniques, que des journalistes.

Lors de la dernière visite d’État du président Denis Sassou N’Guesso en Chine la relation entre la Chine et le Congo avait été portée au niveau du partenariat stratégique global, ce qui englobe divers secteurs de développement.

Ce forum qui marque le10ème anniversaire de l’instance, prouve la fécondité de la coopération avec la Chine et ses partenaires africains.
Une fécondité que n’a pas manqué de relever le ministre Thierry Lézin Moungalla, dans son intervention.

La Chine accorde plus de 300 bourses aux jeunes congolais chaque année.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-25 17:47:10
Au total 105 réfugiés centrafricains de longue date présents au Congo-Brazzaville ont été rapatriés, sourire aux lèvres, le mois dernier, à bord d’un vol humanitaire pour retourner dans leur pays. Une goutte d'eau parmi les 450 000 Centrafricains qui vivent toujours hors de leurs frontières.
Ce rapatriement volontaire a été organisé par WFP UNHAS en collaboration avec le HCR, l’agence des Nations unies pour les réfugiés.

À leur arrivée en Centrafrique, le HCR a prévu de leur fournir de quoi vivre quelques mois.
Certes, résider sur le sol congolais leur donne une tranquillité reconnue par chacun, mais, le nombre de réfugiés ne cesse de croître. Face à la réalité, ces déplacés ont mis en place la Communauté des réfugiés et demandeurs d’asile (CRDA) pour faciliter leur insertion.
Cette structure a recensé mille sept-cent-soixante-quatorze réfugiés à Brazzaville, et trois mille autres répartis entre Bétou dans la Likouala, Ouesso dans la Sangha et Pointe-Noire.
Pour la plupart d’entre eux, le retour en Centrafrique est conditionné par le rétablissement d’une paix définitive.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-25 16:44:49
Pour la cinquième année consécutive, le nombre d’accidents, de tués, ainsi que de blessés, ne cesse d’augmenter au Congo-Brazzaville. Selon la Direction générale des Transports terrestres (DGTT) qui a présenté mardi 23 août 2022, à Brazzaville, le bilan des accidents de la circulation enregistrés ces cinq dernières années, il en ressort que 1224 personnes ont perdu la vie sur les routes congolaises.
«Lors des cinq dernières années, la route a enregistré 1224 décès, 5 900 blessés graves, 5 925 blessés légers », a annoncé le directeur général des Transports terrestres ((DGTT) ), Sadate Girest Bokenga Manzekele, avant de pointer du doigt les comportements inciviques des conducteurs des motos qui seraient selon lui, responsables de la majorité des cas d’accidents enregistrés sur le réseau routier national.
Face à cette situation préoccupante, Sadate Girest Bokenga Manzekele a rappelé le caractère obligatoire des contrôles techniques des véhicules routiers conformément aux textes en vigueur au Congo-Brazzaville.
Le directeur général des Transports terrestres a aussi réitéré son engagement de faire appliquer le respect de la périodicité des contrôles techniques sur l’ensemble du territoire national.
Au Congo, les automobilistes sont incorrigibles. Malgré la multiplication des campagnes de sécurité routière, ils sont de plus en plus nombreux à ne pas respecter l'ensemble des règles du code de la route.
Plus de 90% des accidents de la route sont provoqués par le mauvais comportement des automobilistes.
Entre non-respect des feux rouges, franchissement de lignes blanches et évolution sur les trottoirs, conduire après avoir bu deux verres, téléphoner en conduisant, l’oublie d’utiliser les clignotants, le seul moyen de faire comprendre aux autres la direction que l'on s'apprête à prendre, le refus de priorité, la vitesse … le florilège est long.
Les routes congolaises deviennent de véritables mouroirs et les accidents prennent les proportions d’un fléau qui devrait interpeller les autorités.
Nous ne cessons de le dire, il est vital de développer durablement en chacun, un « véritable esprit de prévention routière », même s’il s’agit d’abord d’une prise de conscience individuelle, d’une démarche individuelle.
Chacun doit chercher à améliorer son comportement sur les routes, de façon à réduire significativement les risques, pour lui-même, mais également pour les autres.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-25 08:53:56
Au Congo-Brazzaville, régulièrement pointé du doigt dans des affaires de détournement de fonds, un nouveau feuilleton politico-judiciaire a éclaté. D'une ampleur inédite cette fois, car touchant le Ministère du Développement industriel et de la Promotion du secteur privé. Jean-Jacques Ngoko Mouyabi (62 ans), directeur général de l'Agence congolaise de normalisation et de la qualité et Antoine Bitalika (60 ans), directeur des ressources humaines, de l'administration et des finances, ont passé leur première nuit à la Maison d’arrêt de Brazzaville mardi 22 août 2022. Tous deux sont inculpés pour détournement des fonds publics, faux et usage de faux en écriture par le 11e cabinet d'instruction près le Tribunal de Grande Instance de Brazzaville.
L’information judiciaire se poursuit pour rechercher de possibles complices ou co-auteurs et déterminer l’ampleur exacte du préjudice causé à l'Etat.
A noter que les deux inculpés sont encore présumés innocents.
Dans son message sur l’état de la Nation du 29 décembre 2018, le président congolais a déclaré que « Face aux antivaleurs, il n’y aura ni bouclier de protection pour les uns, ni rampe de sanctions pour les autres. Il n’y aura ni menus fretins, ni gros poissons, tout passera dans la nasse de la justice ».
Ces mots ont entre-autres passages de son discours, soulevé un tonnerre d’applaudissements au Palais du parlement.
Denis Sassou N’Guesso a rappelé que la Haute Cour de Justice qui venait d’être installée dans ses attributions devait être urgemment dotée de textes de fonctionnement, afin de s’atteler à sa mission de poursuites de hauts fonctionnaires en délicatesse avec la loi. Aussi a-t-il exhorté ses membres à assumer leurs responsabilités avec efficacité.
«Désormais, à tous les échelons de l’État, chaque acteur est exposé à la rigueur de la loi. Les têtes tomberons certes, mais dans le respect d’une justice indépendante, expurgée de toute pression », a-t-il dit.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo Brazzaville
Créé le 2022-08-24 16:54:18
Si vous trouvez que l'éducation coûte cher, essayez l'ignorance disait Abraham Lincoln. L’école publique du village Moussamou, à un jet de pierre de la ville de Divénié, dans le département du Niari (sud), semble avoir été laissée pour compte. Motif, le piteux état, dans lequel se trouvent les bâtiments dudit établissement, expose les enseignants et les élèves aux risques de tout genre et à toutes les intempéries. Et pourtant, ces élèves qui veulent s’instruire, être éduqués et formés pour la relève du Congo ne demandent que les meilleures conditions pour cette école dépourvue de beaucoup de commodités permettant aux élèves de suivre une scolarité ordinaire et calme.
La situation actuelle de cet établissement scolaire du village Moussamou aussi triste qu’elle puisse paraître, devrait interpeler toute personne de bonne conscience sans oublier ceux qui ont une moindre parcelle d’autorité dans le domaine de l’éducation au Congo-Brazzaville.
Enfin, les autorités départementales sont aussi sollicitées pour la prise en charge des travaux de réhabilitation de cet établissement scolaire jugé trop dangereux pour accueillir des élèves.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-24 16:26:18
Libreville, la capitale gabonaise, accueille du 30 août au 1er septembre 2022, les états généraux du fonctionnement des institutions, organes, institutions spécialisées et agence d’exécution de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Placée sous le thème « Consolidation des acquis et perspectives », cette rencontre vise à faire un point complet sur le fonctionnement de la communauté plus de 15 ans après le Programme de réformes institutionnelles.
Il s’agira entre autres de comprendre les enjeux nouveaux du fonctionnement de la Commission de la Cemac, d’évaluer l’efficacité et l’efficience des nombreuses institutions spécialisées, de déterminer les conditions d’amélioration du fonctionnement du mécanisme autonome de financement actuel de la communauté, et d’identifier les sources de financements alternatifs de la communauté. Ces états généraux connaîtront la participation des États, des acteurs du système institutionnel de la Cemac et des partenaires internes et externes du processus d’intégration de la sous-région.
« À travers l’initiative des états généraux, la communauté veut tirer les enseignements reçus des 15 années d’expérience de mise en œuvre des réformes institutionnelles d’une part, et optimiser son système institutionnel face aux défis majeurs qui l’interpelle désormais d’autre part », indiquent les organisateurs.
La Cemac se déploie notamment pour la viabilité budgétaire des Institutions communautaires ; la rationalisation des deux communautés économiques d’Afrique centrale et des Institutions spécialisées de formation (ISF) de la Cemac ; les sources alternatives de financements de la communauté.
À l’issue des travaux, plusieurs résultats escomptés sont attendus, notamment l’élaboration des propositions pour l’amélioration du fonctionnement harmonieux des institutions communautaires en vue de la réalisation concrète des objectifs fixés par le traité de la CEMAC ; la création d’un comité ad hoc chargé de la réflexion, du suivi et de la mise en œuvre des sources alternatives de financement, inspirées des autres communautés ; l’amélioration de l’appropriation des objectifs d’intégration sous régionale au travers des institutions communautaires.
Rappelons que les réformes institutionnelles de la Cemac sont devenues opérationnelles suite aux conclusions de la session ordinaire de la Conférence des chefs d’État des 16 et 17 janvier 2010 à Bangui, République centrafricaine. Les chefs d’État ont mis fin au consensus de Fort-Lamy et institué le principe de la rotation, par ordre alphabétique des États membres, au niveau de toutes les institutions, organes et institutions spécialisées de la Communauté.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-24 08:04:41
Dans l’affaire du braquage de chez Mère Alice, il a été abondamment question sur les réseaux sociaux, d’un certain adjudant-chef Nganga Alino, ex-commissaire du PSP du "Contre rail". Il sied de signaler que l'adjudant chef Alino s'appelle en réalité Kanga et non Nganga. Il a été effectivement interpellé et se trouve incarcéré dans les geôles du commissariat central de Brazzaville.
Les services de la police judiciaire avancent lentement mais sûrement, dans l’enquête sur le sanglant braquage dit de chez mère Alice, dont les réseaux sociaux se sont largement fait l’écho.

Les présumés braqueurs appréhendés sont passés aux aveux et auraient désigné comme commanditaire, un certain adjudant-chef Alino Kanga.
Sur la base des indices concordants et éminemment troublants, l’homme a été interpellé depuis, et se trouve gardé au commissariat central de Brazzaville où les fins limiers de la police judiciaire le soumettent à un interrogatoire en règle, sur fond de confrontations avec les braqueurs appréhendés, qui le désignent comme étant en réalité celui qui aurait monté l’opération et en aurait défini le scénario.
Ainsi, on lui reproche d'être compromis dans l'affaire de braquage de Mère Alice. Certaines sources affirment qu"il aurait couvert les malfrats alors que d'autres évoquent une complicité passive avec les malfaiteurs qui ont braqué et agressé sauvagement Mère Alice.

L'enquête, qui se poursuit, n'a évoqué aucun autre nom d'un policier, malgré les rumeurs.
La hiérarchie de la police est décidée de faire toute la lumière sur cette affaire afin que les coupables soient sévèrement châtiés.
On se souviendra qu’en janvier dernier, à l'occasion de la cérémonie de port des insignes de grade aux promus du premier trimestre de 2022, le général Jean-François Ndengué s’était adressé aux officiers et sous officiers du commandement des Forces de Police, après le drame de Kintélé où quatre policiers et trois civils avaient torturé de présumés malfrats tout en se faisant filmer.
Sur un ton péremptoire, le commandant de la police nationale avait attiré l’attention des hommes « sur les dérives et les bavures qui ternissent gravement l’image de la police.» Il avait fait une mise en garde rigoureuse, à tous les policiers qui déshonoreront la Police avec ce type de pratiques inhumaines et criminelles. « Le Conseil de discipline statuera sur leur cas. Et, au regard de l’extrême gravité des faits qui leurs sont reprochés, ils sont passibles de radiation. Que cela serve de mise en garde rigoureuse, à tous les policiers qui déshonoreront la Police avec ce type de pratiques inhumaines et criminelles », avait-il conclu.
Si d’aventure l’implication de l’adjudant-chef Kanga est prouvée, outre la sanction pénale, le commandement de la police ne manquera pas également de lui faire subir la rigueur de la loi, pour manquement au devoir et au code étique, à des fins criminelles. Sur ces questions le général Jean François Ndengué reste d’une fermeté à toute épreuve.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-23 19:49:38
Un moment plus observé que jamais. Après avoir été reconduit sans suspense à la tête de l’Assemblée nationale congolaise, Isidore Mvouba et le député de la circonscription d’Oyo 1, dans le département de la Cuvette (nord), Denis Christel Sassou N’Guesso, mâchoires serrées, visage alternant entre sourire et grimace, ont échangé une poignée de main, longue et appuyée.
Si l'instant est particulièrement commenté, tous estiment que le signal envoyé par les deux députés du Parti congolais du travail (PCT, parti au pouvoir) à travers ce geste symbolique est loin d'être anodin.
« Nous avons à cet effet reçu les grandes orientations du Président réélu de la chambre basse du parlement qui nous a rappelé que "l’immensité de la tâche qui nous attend requiert de notre part une synergie de pensées, d’efforts et d’actions" », a expliqué Denis Christel Sassou N’Guesso sur son compte Twitter.
Juste après sa réélection, Isidore Mvouba a demandé à ses compères de faire surtout preuve de discipline : «Faudra-t-il rappeler qu’à l’hémicycle le débat est libre et contradictoire. Un bon député n’est pas celui qui prend la parole à tout bout de champ, parfois dans le désordre et souvent hors-sujet. Un bon député est celui-là qui même intervient en confiance et en intelligence, à l’admiration de ses collègues. Ici, la force de l’argument triomphe et non l’argument de la force ».
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-23 19:19:03
Suite aux législatives de juillet dernier, un remaniement ministériel, attendu en septembre prochain, devrait voir le Premier ministre Anatole Collinet Makosso, reconduit dans ses fonctions à la tête d’une équipe resserrée dont le volume reflétera celui du moule des institutions de Breton-Woods.
Seule partante connue à ce jour : la ministre du Tourisme et des loisirs, Destinée Hermella Doukaga, qui siégera au bureau de l’Assemblée nationale, en qualité de deuxième questeur.
Espérons que la prochaine nouvelle équipe booste les actions gouvernementales afin de mieux traduire en acte le projet de société du Président Denis Sassou N’Guesso, «Ensemble, poursuivons la marche ».
La situation économique va peut-être s'améliorer grâce aux cours du pétrole qui remontent et fournissent à l'État d'importantes recettes budgétaires. D’ailleurs le gouvernement sortant a commencé à rembourser une petite partie de l'énorme dette intérieure d'environ 500 milliards de francs CFA.
Le règlement des arriérés des créances des entrepreneurs est l’une des exigences du Fonds monétaire international (FMI) avec qui le Congo a conclu cette année un accord de trois ans au titre de la Facilité élargi de crédit.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-23 17:56:48
Selon le recensement de 2019, au moins 25 000 autochtones sont dépourvus d’actes de naissance au Congo. Le HCR soutient le gouvernement pour leur délivrer des actes de naissance et documents d'identité dans le but d'éradiquer l’apatridie d'ici 2024.
La reconnaissance des droits des peuples autochtones a fortement progressé au Congo-Brazzaville, comme en témoigne la remise, en septembre 2021, de 5000 actes de naissance, par le Ministère congolais de la Justice, aux peuples autochtones des départements de la Sangha, la Cuvette-Ouest et les Plateaux. Une véritable prouesse pour le gouvernement congolais.
On rappelle qu’au Congo-Brazzaville, un cadre juridique solide a été adopté pour permettre à ces populations autochtones de faire valoir leurs droits.
Après la loi de 2011 – la première en Afrique consacrée aux peuples autochtones –, un article a été introduit dans la Constitution, en 2015, pour acter cette reconnaissance. Mais il a fallu attendre juillet 2019 pour que six décrets d’application sur neuf soient adoptés. Autant dire que cette protection promise est jusqu’à présent restée sur le papier.
Les peuples autochtones ne doivent pas être considérés comme des fardeaux ou des obstacles au développement et comme des peuples arriérés et primitifs. Ils devraient être considérés comme des êtres humains qui ont la dignité et les mêmes droits que toutes les autres personnes.
Les populations semi-nomades, couramment appelées « Pygmées » bien que l’utilisation de cette appellation péjorative soit officiellement interdite au Congo, sont soumises à une discrimination profonde, systémique et extrêmement enracinée.
Les écoles ORA (« Observer, Réfléchir, Agir »), réservées aux enfants autochtones et financées par les bailleurs de fonds internationaux, sont en pratique la seule forme d’enseignement gratuit existant dans le pays.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-23 15:37:11
Le Chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, est attendu prochainement à Luanda en Angola, pour les obsèques de son vieux camarade et frère Edouardo Dos Santos, décédé le 8 juillet dernier, à l'âge de 79 ans, dans une clinique de Barcelone en Espagne où il avait été hospitalisé après un arrêt cardiaque le 23 juin 2022.
La dépouille de l'ancien Président angolais Jose Eduardo dos Santos, décédé en Espagne le mois dernier, qui a fait l'objet d'un conflit familial pendant plusieurs semaines, a été rapatriée samedi à Luanda.
Depuis, une querelle opposait sa veuve et le gouvernement angolais d'une part, qui voulaient rapatrier le corps et lui offrir des funérailles nationales, et certains de ses enfants qui s'y opposaient, dont sa fille "Tchizé" dos Santos, 44 ans, née du premier mariage de l'ancien président qui avait dirigé l'Angola sans partage de 1979 à 2017.
Celle-ci voulait des funérailles familiales en Espagne, où il vivait depuis 2019, accusant l'actuel gouvernement angolais de vouloir politiser l'enterrement de son père avant les élections prévues le 24 août.
Mais un tribunal espagnol avait finalement décidé de remettre le corps de l'ancien dirigeant à sa veuve, Ana Paulo dos Santos, pour être rapatrié et inhumé en Angola. La fille du président défunt avait fait appel jeudi de cette décision, ce qui ne semble pas avoir suspendu le rapatriement.
Le règne du président défunt, qui a duré près de 40 ans, a été marqué par des affaires de corruption impliquant sa famille.
A son départ en 2017, M. dos Santos avait transmis le pouvoir à M. Lourenço, l'ancien ministre de la Défense. Mais M. Lourenço avait lancé dès son arrivée au pouvoir une vaste campagne contre la corruption ciblant la famille de son prédécesseur.
La campagne avait notamment visé une soeur de "Tchizé", Isabel, la fille aînée, surnommée "la Princesse" et considérée comme la femme la plus riche d'Afrique, mais aujourd'hui traquée par les juges.
Le rapatriement du corps intervient quelques jours seulement avant l'élection présidentielle prévue mercredi et pourrait favoriser le président sortant Joao Lourenço.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-23 15:22:03
Dans le cadre de la 2e journée du Championnat d'Afrique juniors Hommes 2022 au Rwanda, le Congo a été pulvérisé par l’Egypte (40-23) à Kigali.
Le prochain match et dernier match du groupe le 25 août face à la Libye à 13H00 à Kigali.

Malgré ce qui se raconte sur les réseaux sociaux sur le forfait des Diables Rouges handball junior, ils prennent bel et bien part à la coupe d'Afrique de handball du 20 au 28 Août 2022 à Kigali.

Pour des raisons de logistique, 14 joueurs et l'entraîneur et y compris le Staff médical ont fait le déplacement.
Du 19 aout au 07 septembre 2022, la Fédération Rwandaise de Handball et la ville de Kigali accueillent les 29e et 18e éditions des Championnats d’Afrique des Nations Juniors et Cadets 2022.
Un événement sportif phare de la Confédération Africaine de Handball.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-23 09:12:03
Au quartier dit du Congo, sur les hauteurs de Ochamps, se dresse un fantastique gîte de 20 personnes appelé « Le Congo ». Situé dans la charmante région de Libin, c’est le point de départ idéal pour découvrir l’Ardenne belge entre amis ou en famille. Un mélange de style ou une maison qui se fond naturellement dans son environnement... Ici, le temps semble comme suspendu...

La villa conçue non seulement en harmonie avec la nature, mais aussi pour recevoir, possède une atmosphère très conviviale et tout le confort nécessaire pour un agréable séjour : piscine intérieure chauffée, sauna, coin fitness, salle de jeux, salle de projection et/ou de réunion, cuisine super équipée et chambres doubles dont certaines dotées de leur propre salle de bains avec douche, lavabo et toilettes.

Sous un beau soleil, dégustez un verre sur la terrasse ou dans le jardin et attendez paisiblement le barbecue pendant que les enfants jouent dans la plaine de jeux.

Par une froide journée d'automne ou d’hiver, quoi de plus agréable que l'ambiance d'un bon feu de bois ?
Les forêts et réserves naturelles, constellées de cours d’eau offrent des balades balisées aux randonneurs à pied et en VTT.
Destination majeure pour tout touriste qui se respecte, Libin garde une grosse cote d’amour pour les congolais de Belgique ou d’Europe.

Les chiffres officiels ne sont pas encore tombés mais Libin, une commune francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Luxembourg, attire des congolais de Belgique et d’Europe toujours plus nombreux.
«Je suis fière d'être ici cet été avec ma famille, question de tourner un peu le dos au train-train quotidien de Denderleeuw, une commune néerlandophone de Belgique dans le Denderstreek située en Région flamande, dans la province de Flandre-Orientale », nous a confié Vany, originaire du Congo-Brazzaville.
Si la Covid-19 a fortement fragilisé le secteur belge du tourisme, certains territoires de l'intérieur ont plus de fréquentation qu'en temps ordinaire.
Si les gîtes ruraux sont prisés, les hôtels souffrent encore. Les clients sont encore peu disposés à revenir dans ces établissements.
Dans le contexte de crise sanitaire, les grands gagnants, ce sont les résidences secondaires car c'est un lieu « safe ». Cela devrait compenser une baisse dans l'hébergement marchand. Cela ne rapporte pas de la même manière mais assure la présence sur le territoire et des consommations annexes sur les restaurants, les boutiques.
Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Crédit Photos : Isaac
Créé le 2022-08-23 08:38:37
Qui a dit que l'esprit du monde ne règne pas en maître dans certaines de nos églises ? Le ministre congolais de l'Administration du territoire, de la décentralisation et du développement local, Georges Mbaka, a décidé de suspendre les activités du Ministère Chrétien du Combat Spirituel sur tout le territoire, en attendant que l'ordre et la paix reviennent dans les rangs de la succursale congolaise de cette église. Motif ? Un ministre en fonction (qui aurait l'habitude de parler avec le Saint Esprit) et un général des FAC seraient à couteaux tirés dans une lutte de leadership. Une situation qui suscite de vives tensions au sein de cette église; des tensions de nature à troubler l'ordre public, rapporte nos confrères du Journal d'investigation et d'information générale Le Troubadour.

Pour l'instant, ni le ministre, ni le général, personne ne veut enterrer la hache de guerre.
"Nous ne laisserons pas le pouvoir tant qu'on n'aura pas développer le pays" avait dit ce ministre lors de la dernière campagne des élections législatives, en parlant au nom du PCT. Il semblerait qu'il soit dans le même esprit jusqu'au-boutiste dans cette lutte sans merci, selon la même source.
La CIFMC est l’une des branches du Ministère Chrétien du Combat Spirituel regroupant toutes les femmes du monde acceptant la vision prônée par le Couple Olangi Wosho.
Cette vision est fondée sur l’obtention de la délivrance intégrale de l’homme, de la femme ainsi que leurs foyers à travers les riches enseignements sur le combat spirituel.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-22 09:43:43
"Kisalu me banda" autrement dit l’heure est désormais au travail pour l'ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi. Vital Kamerhe reprend ce lundi 22 août 2022, les activités politiques formelles après deux années d’absence officielle sur la scène politique. Il présidera, ce jour à Kinshasa, la réunion du bureau politique de son parti, Union pour la Nation congolaise (UNC) élargie aux députés membres de l’UNC et autres hauts cadres.
Après la traversée du désert, l'heure est à l'évaluation des deux années passées, selon un proche collaborateur de Kamerhe, laissant entendre que son maître, comme en 2018, compte jouer un rôle majeur dans la quête d'un nouveau quinquennat pour Félix Tshisekedi.
L’arène politique s’était métamorphosée alors que Kamerhe était en prison, mais son parti a gardé sa place au sein de la coalition au pouvoir avec cinq membres au sein de l’actuel gouvernement.
À 16 mois des élections générales, Vital Kamerhe prévoit également, dès ce mois de septembre, une tournée politique à travers le pays.
Jugé lors d’un deuxième procès en appel le 2 juin dernier, la cour d’appel de Kinshasa/Gombe a annoncé le 23 juin dernier, l’acquittement de l’ex-directeur de cabinet du Président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi.
Débarrassé de sa condamnation pour corruption et détournement de fonds, le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe a désormais le champ libre pour revenir dans l’arène politique.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-22 09:14:23
A deux mois du coup d’envoi de la 22e édition de la Coupe du monde de football qui se déroulera du 20 novembre au 18 décembre 2022 au Qatar, la Télévision nationale congolaise va acquérir, dans quelques semaines, un certain nombre d’équipements pour la meilleure qualité de l’image et celle du son afin de donner aux congolais une compétition de qualité. TELEDIFFUSION DU CONGO et les services du Ministère de la Communication sont à l’œuvre pour régler cette situation.

«Je remercie bien vivement et avec déférence le Président de la République, le Premier ministre et mon collègue des Finances pour avoir compris l’existence de ces enjeux et de ces défis », a déclaré le ministre congolais de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla, très déterminé à améliorer les conditions de travail des journalistes et techniciens de la Télévision nationale.
« A plus long terme, pour le budget exercice 2023, il est prévu une réhabilitation totale de Télé Congo pour améliorer les conditions de travail des journalistes et techniciens. Et cette réhabilitation passe par la poursuite de l’amélioration des plateaux techniques, mais aussi par la réparation de la climatisation et des ascenseurs, l’acquisition des moyens roulants… », a-t-il précisé.
Conscient du fait que le sport est un facteur de cohésion sociale, le ministre congolais de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla, a signé jeudi dernier à Brazzaville, l’accord de diffusion exclusive de la 22e édition de la Coupe du monde de football, avec le représentant des Stés New world tv , MBS et PC plus group.
En matière de droits TV, Télé Congo sera le seul diffuseur sur le territoire national.
Une très bonne nouvelle pour les congolais et férus du ballon rond.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-22 08:55:59
En duo avec le chanteur Ozuna, Gims a été choisi pour interpréter l'une des chansons officielles de la de la 22e édition de la Coupe du monde de football qui se déroulera du 20 novembre au 18 décembre 2022 au Qatar. La chanson est intitulée "Arhbo" et son clip a été dévoilé samedi sur Youtube par la Fédération Internationale de Football Association (Fifa).
Sur ce morceau, le rappeur congolais ayant vécu en France presque toute sa vie est en duo avec le chanteur portoricain de trap latino et de reggaeton Ozuna.
Un premier hymne officiel, "Hayya Hayya (Better Together)" par la chanteuse américaine de R&B Trinidad Cardona, le Nigériano-Américain Davido, star de l'afrobeat, et la Qatarienne Aisha, avait été diffusé en avril.
La Coupe du monde qatarienne, du 20 novembre au 18 décembre, sera la première à se tenir dans un pays arabe.
La période inédite à laquelle se déroulera le tournoi est liée au climat du Qatar et aux trop fortes chaleurs y régnant, particulièrement aux dates où se déroule habituellement la compétition (mai-juin-juillet).
L'hymne le plus connu d'un Mondial reste "Waka Waka (This Time for Africa)" par Shakira et le groupe sud-africain Freshlyground, musique officielle de la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-08-21 13:34:12