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COP21 : Donald Trump menace de pulvériser l’accord de Paris

Vraie hésitation ou désir de faire durer le suspense ? Le président américain, Donald Trump a remis à plus tard l’annonce de sa décision quant au maintien ou non des USA dans l’accord de Paris sur le climat, alors que plusieurs médias américains affirmaient mercredi matin qu’il était sur le point d’en sortir.

Créé le 2017-06-02 08:42:00

Congo – Législatives 2017 : Le « million cinq cent mille » refrénerait-il les ambitions ?

Un million cinq cent mille (1.500.000) francs CFA, pour les candidats à la députation, contre cinq cent mille (500.000) pour les postulants aux conseils départementaux et municipaux, par ces temps de vaches maigres, la caution exigée par le ministère de l'intérieur a de quoi dissuader plus d'un candidat à se lancer dans la course à hémicycle.

La campagne de dépôt des dossiers de candidatures à la députation et aux conseils départementaux et municipaux a été lancée le 31 mai et on ne se bouscule toujours pas au portillon de la Direction des affaires électorales, pour le dépôt des dossiers.

Même si la date pour candidater coure jusqu'au 10 juin, beaucoup de potentiels impétrants trouvent les sommes exigées excessives, pour une assemblée qui se veut représentative du peuple.

Dans de nombreux partis d'opposition ou chez des individualités de la société civile, on dénonce un critère sélectif qui n'épouse pas les contours de la démocratie, car « on veut fabriquer une assemblée de riches ou de ceux qui piocheraient dans les caisses de l'état pour donner sans regarder ».

Le ressentiment est grand, d'autant plus que la caution est non remboursable en cas d'échec.

Le coordonnateur du Mouvement citoyen pour le respect de l’ordre constitutionnel, Clément Mierassa qui est également président du Parti social démocrate congolais (PSDC) est allé jusqu'à dénoncer une « mauvaise gouvernance électorale » consistant à faire échouer les principaux candidats de l’opposition.

« Pour déposer la candidature, il faut verser 1,5 million de francs CFA, en plus amasser l’argent pour battre campagne, sans compter toute l’énergie possible pour vous adresser aux potentiels électeurs. À la fin, c’est une élection volée. Pourquoi faut-il y aller », a t-il critiqué.

Reste que jusqu'au 10 juin, la DGAE aura engrangé suffisamment de candidatures pour une élection devant pourvoir en élus tous les sièges de l'assemblée ainsi que ceux des conseils municipaux et départementaux.

Tous passeront à la caisse. Une chose est au moins sûre, personne ne leur demandera la provenance de leur argent.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-02 07:17:36

Australie : Un déséquilibré disant posséder une bombe crée la panique à bord d'un avion de Malaysia Airlines

Le Sri-Lankais qui a tenté dans la nuit de mercredi à jeudi, de pénétrer en plein vol dans le cockpit d'un avion de Malaysia Airlines en affirmant avoir une bombe était sorti quelques heures plus tôt de soins psychiatriques, a annoncé jeudi la police australienne.

Malaysia Airlines serait-elle la compagnie des faits divers ? L'homme de 25 ans, qui a créé la panique à bord en criant qu'il allait faire sauter l'avion, a été maîtrisé par d'autres passagers.

Le vol MH128, qui avait décollé de Melbourne mercredi à 23h11 heure locale à destination de Kuala Lumpur, a ensuite fait demi-tour.

"Il était sorti mercredi de soins psychiatriques, et nous pensons qu'il a ensuite acheté un billet d'avion, avant de se rendre à l'aéroport et d'embarquer", a déclaré aux journalistes le chef de la police de l’État australien de Victoria, Graham Ashton.

Plusieurs passagers sont parvenus à immobiliser le pseudo terroriste au sol et à le ligoter, avant que l'appareil n'effectue un atterrissage d'urgence à l'aéroport de Melbourne.

Des agents d'une unité d'élite de la police sont ensuite montés à bord pour prendre en charge l'homme.

Le suspect, qui vivait dans la banlieue de Melbourne de Dandenong et étudiait dans une école de cuisine, avait affirmé avoir une bombe qui s'est en fait avérée être une enceinte Bluetooth à peine plus grosse qu'un smartphone.

La police a précisé que cette affaire n'avait rien de terroriste, mais impliquait un homme souffrant de troubles psychiatriques.

Le suspect a été inculpé pour avoir proféré des menaces, pour déclaration mensongère et pour avoir mis en danger la sécurité de l'avion.

Reste à savoir, avec cette inculpation, qui du forcené ou du juge paraît le plus fou.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-06-01 12:56:09

Doudou Copa «ambiance » la place Pigalle de Pointe-Noire

L’artiste musicien congolais, Doudou Copa se lance un défi fou : la place Pigalle de la ville de Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, pour un concert qui aura lieu le 3 juin prochain.

Créé le 2017-06-01 09:55:52

Congo – Passeports diplomatiques : Le trafic qui dérange

Des cadres et agents du ministère des affaires étrangères arrêtés ou entendus à la Direction de la Sécurité du Territoire, l'affaire dite du trafic des passeports diplomatiques prend des proportions dérangeantes pour la diplomatie congolaise.

Pour une diplomatie agissante et réactive, et afin d'en fluidifier les rapports avec les autres pays, le Congo a signé avec de nombreux États, notamment de l'espace Schengen, des accords de dispense de visas pour les personnalités détentrices du passeport diplomatique.

Cette dispense de visas pour se rendre dans certains pays telle la France, a donné des idées à certains esprits véreux qui dans les dos du ministre des Affaires étrangères, auraient monté un réseau de trafic de passeports diplomatiques, délivrés à des personnes n’entrant absolument pas dans le cadre de la réglementation en vigueur. Même des étrangers en seraient détenteurs.

Selon un décret présidentiel de 2008, les passeports diplomatiques doivent être "attribués sous la seule responsabilité du ministère des Affaires étrangères qui en assure le contrôle et la conservation".

Le même décret précise également que ce passeport doit être attribué aux personnes congolaises ayant la qualité de diplomate ainsi qu’à leur conjoint et enfants tant qu’ils sont mineurs.

Toutefois,  l’article 7 dudit décret, autorise le ministre, "pour des raisons d’État, à accorder le passeport diplomatique à toute personne discrétionnairement. C'est ainsi que des anciens chefs d'État ou anciens ministres, voire de hauts fonctionnaires en sont souvent dotés. 

Face aux proportions prises par cette affaire, notamment auprès de certaines représentations consulaires au Congo, les services de renseignements congolais sont montés au créneau.

De nombreux cadres et agents du Ministère des Affaires étrangères et de la coopération, chargé des congolais de l'étranger seraient arrêtés, d'autres seraient entendus en garde-à-vue.

Moyennant finances, ils accordaient des passeports diplomatiques à des tiers. Un business juteux.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-01 08:42:01

Congo – Bac 2017 : Fouille méthodique des candidats pour éviter l'entrée en salles des « bombes » ou « bébés lili »

Un dispositif sécuritaire draconien digne des mesures antiterroristes est observé dans les centres d'examen du baccalauréat.

Outre la sécurisation des lieux d'examens par la force publique, il y a une fouille au corps systématique de tous les candidats afin de rechercher des éventuels « anti-sèches » dissimulés.

En dehors des opérations de palpations qui sont l'acte technique dans la lutte contre la fraude, les différents candidats avaient été prévenus de l'application de certaines mesures pratiques.

Des consignes avaient été notifiées aux candidats quelques jours avant la tenue de l’examen.

Ne pas porter des chaussures fermées, voire pour les filles, de ne pas porter de perruque, susceptibles de dissimuler des bouts de papiers.

Pas de téléphone portable ou autre appareil de communication électroniques. Même les calculatrices réglementaires sont scrutées.

Talons et paumes de mains sont retournés pour voir si des écrits n'y sont pas apposés.

Ainsi prévenus, les candidats arrivent à l'avance et en sandales ou autres tapettes, pour répondre aux nouvelles mesures de sécurité draconiennes mises en place par les autorités pour prévenir les fraudes et fuites des matières.

Plusieurs candidats passés à la fouille, se sont dit traumatisés et « bousculés » par ce contrôle. Quelques filles dénoncent par ce biais des attouchements déguisés.

Après un bac 2015 entaché de fraudes, les autorités de l'éducation nationale avaient pris des mesures pour endiguer le phénomène à tous les niveaux de la chaîne de l'examen.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-01 07:16:07

Congo : Jean-Marie Michel Mokoko à la barre

Maintes fois reporté, le procès du candidat malheureux à la présidentielle congolaise du 20 mars 2016, Jean-Marie Michel Mokoko, 70 ans, devrait se tenir à Brazzaville avant les élections législatives et locales du 16 juillet prochain, a-t-on appris des sources concordantes.

Créé le 2017-06-01 06:14:41

Pointe-Noire : Plus d'1 Congolais sur 10 est atteint du VIH-Sida

L’infection VIH-Sida est actuellement dans une «phase d'implosion ». Le taux de prévalence national est estimé à 5 % (Env. 250.000 personnes) avec des disparités d'une ville à l'autre : Brazzaville (03,3%), Pointe-Noire (09,9%), Ouesso (05,0%), Dolisie (11,3 %), selon les études menées par le Conseil National de lutte contre le Sida au Congo (CNLS).

Créé le 2017-05-31 11:07:24

Une femme cache le cadavre de sa mère durant 7 ans pour toucher sa retraite

Une femme, âgée de 55 ans, a caché le cadavre de sa mère durant sept (7) ans pour toucher sa retraite. Le corps sans vie de sa maman, décédée selon elle de mort naturelle en 2010, a été retrouvé mardi dans son congélateur par les forces de l'ordre au fond du jardin de la quinquagénaire à Horsarrieu, une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes.

Créé le 2017-05-31 10:31:04

Internet gratuit à Dolisie : le pari réussi de "La Voix du Niari"

C’est une grande révolution. Depuis hier, les habitants de Dolisie (sud), la troisième ville du Congo, disposent d'un accès illimité au web. Une grande première au pays rendue possible par le président de l'Association "La Voix du Niari", Stanislas Mbys.

Créé le 2017-05-31 10:07:59

Congo – Médias : Lancement des programmes de la Radio Citoyenne des Jeunes

Accompagnée de ses collègues Thierry Moungalla de la Communication et de Anatole Collinet Makosso de l'Enseignement primaire et secondaire, la ministre de la Jeunesse et de l'éducation civique, Destinée Hermella Doukaga a officiellement lancé les émissions de la radio citoyenne des jeunes (RCJ)  le mardi 30 mai à Brazzaville.

Cette radio vise la sensibilisation des jeunes sur les anti-valeurs et les bonnes pratiques en vue d’un comportement responsable et citoyen. 

Financée par le gouvernement japonais par le biais du programme des Nations unies pour le développement (PNUD), exécutée par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture avec l’appui technique du Réseau national des radios locales et communautaires du Congo, la RCJ est un projet du ministère de la Jeunesse et de l’éducation civique. 

Cette radio va ainsi offrir aux jeunes un espace d’expression et d’interaction entre les pairs sur les sujets ayant trait à la lutte contre la radicalisation et l’extrémisme violant en milieu jeune, à la promotion des valeurs de paix, de démocratie et du vivre ensemble, à la citoyenneté,  l’entrepreneuriat juvénile, les droits humains,  l’égalité du genre et le développement durable.

La RCJ est dotée d’un émetteur d’une puissance de 1000 watts prévu pour couvrir Brazzaville et ses environs.

La radio émet dans sa phase expérimentale sur une fréquence de 97.4 MHZ jusqu’au 30 juin. Elle passera ensuite à la fréquence 98.6 MHZ.

La RCJ est installée dans les locaux de l’Institut national des recherches et d'actions pédagogiques de Brazzaville et sera animée par une quinzaine des jeunes pour la plupart formés au département des Sciences et techniques de la communication de l’université Marien-Ngouabi.

Donnant le top des émissions, la ministre Destinée Hermella Doukaga a souligné que ce nouveau né des médias congolais  constitue une valeur ajoutée à l’éducation à la citoyenneté, pour sensibiliser et conscientiser, en somme, l’éducation des jeunes par les médias.

Cet outil est une priorité gouvernementale notamment du ministère de la Jeunesse et de l’éducation civique qui s’emploie à sa mise en œuvre depuis octobre 2016.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-05-31 09:47:14

Un marché moderne en construction à Pointe- Noire

Les travaux de construction du marché moderne de l’arrondissement 1 Eméry Patrice Lumumba à Pointe-Noire ont démarré sur les chapeaux de roues en vue d’assurer le bien-être de la population de la ville océane et permettre aux commerçants d’exposer ou de vendre leurs articles ou produits dans un environnement assaini.

Créé le 2017-05-31 09:30:36

Congo – Médias : Décès du journaliste Innocent Mavoungou

Il venait de ranger son micro il y a quelques mois, faisant valoir ses droits à la retraite, Innocent Mavoungou n'aura pas eu le temps de se reconvertir pleinement dans sa passion, le sport pour lequel il a œuvré sa vie durant. L'homme s'est éteint mardi à Brazzaville de suite d'un cancer de la prostate.

Le commentaire alerte, la voix affirmée, Innocent Mavoungou était avec le sport, dans son élément naturel.

Hélas, une voix, encore une autre manquera désormais au public sportif congolais, car même admis à la retraite depuis deux ans déjà, Innocent ne s'était pas déconnecté du journalisme sportif. On le retrouvait toujours à l'occasion des grands événements sportifs, sur les plateaux de Télé-Congo où son expertise était démandée, aux cotés d'autres retraités comme Jean Pierre Edamy ou Stalgard Diahomba.

Après ses études primaires dans son Bongolo natal dans le Kouilou, puis son bac et une licence en Lettres modernes obtenue à l'université Marien Ngouabi, Innocent Mavoungou se destinait à l'enseignement du français, métier qu'il exerça au collège de la Fraternité à Brazzaville, comme professeur de CEEG.

Sa passion pour le journalisme le pousse à participer au test de recrutement organisé par le ministère de l'information. Après son admission, il bénéficie d'une formation en journalisme à Leipzig, en ex RDA, puis en France. Il a entre autres promotionnaires de stage, le journaliste Joseph Diellé.

Rentré au pays, Innocent Mavoungou preste au service des sports de la télévision congolaise qui s'étoffe en hommes de métier. On y trouve entre autres journalistes, Joseph Gabio, Jean Gilbert Mfoutou, Salomon Pangou, Lucien Parfait Léonard Nzoungou, Stalgard Diahomba, Ibayi-Bahis ou encore Roger Ntoto Lacombe et la liste n'est pas exhaustive.

En homme de terrain, reporter aguerri, Innocent Mavoungou marquera les esprits avec la couverture de la première coupe du cacao organisée dans la Sangha en 1983.

Au plan international, Innocent Mavoungou assurait quelques fois des piges pour la radio Africa N°1 ou RFI, lorsque Joseph Gabio, le correspondant attitré était en vacance.

Même si la maladie l'avait quelque peu affaibli ces derniers temps, Innocent Mavoungou gardait le moral et espérait un rétablissement rapide pour continuer à nourrir sa passion, le sport.

Né en 1956 à Bongolo, dans le district de Madingo-Kayes, Innocent Mavoungou s'est éteint le 30 mai 2017 à Brazzaville.

Tous garderont de lui le souvenir d'un ami courtois, au verbe direct et sans fioritures.

Adieu l'Ami, adieu vieux frère.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-05-31 08:46:42

Sassou Nguesso a appelé les entreprises à créer des emplois

L’Etat providence est mort au Congo-Brazzaville. Et d’ailleurs chaque participant à la Conférence nationale souveraine en a fait large écho. Le président congolais, Denis Sassou Nguesso, déterminé à résorber l’épineux problème du chômage qui essore les jeunes congolais, a appelé, dans un langage franc et direct, les entreprises à créer des emplois.

Créé le 2017-05-31 07:58:21

Congo – Éducation : Début des épreuves du baccalauréat 2017

Ils sont un peu plus de 83.000 élèves à affronter les épreuves du baccalauréat, à partir de ce mercredi et ce jusqu'en fin de semaine, sur l'ensemble des centres d'examens du territoire national. Des dispositions particulières de sécurité ont été prises afin d'assurer la bonne tenue de l'examen.

Tout voir pour être sûr que tout marche, le ministre de l'enseignement primaire et secondaire, Anatole Collinet Makosso a fait la ronde des centres d'examens pour s'assurer du bon démarrage des épreuves du bac.

83.860 candidats dits officiels et 23.478 candidats libres, la session de juin 2017 se distingue par le nombre élevé de candidats, mais aussi par les mesures prises en amont par les autorités de l'éducation nationale, pour endiguer le phénomène de fraude qui avait tendance à se généraliser.

Face à la fraude, le gouvernement a mis en garde les élèves, les parents d'élèves mais surtout les promoteurs des écoles privées qui pour s'attirer un label de compétences sous-tendu par de bons résultats aux examens, s'organisent souvent en de réseaux quasi mafieux de fraude.

Afin de dissuader les éventuels contrevenants, des mesures ont été dépoussiérées de commun accord avec le ministère de la justice, pour faire de la fraude scolaire un délit qui outre la sanction administrative de privation d'examen, se double désormais d'une sanction pénale, un an d'emprisonnement, presque jamais appliquée, alors que la loi existe.

La session de 2017 est aussi marquée par la situation dans le département du Pool, notamment dans sa partie sud où les candidats des lycées de Kinkala et Mindouli affrontent l'examen avec la peur des troubles devenus quasi quotidiens dans cette partie du pays.

Pour ces élèves, l'année scolaire aura été pleine de tumultes. Même si les autorités les déclarent dotés de connaissances indispensables pour affronter l'examen, il n'en demeure pas moins qu'après une scolarité hachée, le moral de ces candidats n'est pas des plus sereins.

Quoi qu'il en soit, partout où il y a des centres d'examens, les autorités politico-administratives s'emploient à la bonne marche des choses avec une implication qui rehausse le caractère mythique de cet examen qui ouvre les portes de l'université et des études supérieures.

L'autre particularité de la session du baccalauréat 2017, c'est la précocité de la date de l'examen qui se tient habituellement dans la deuxième semaine de mois de juin, avec des cours, sinon des révisions qui s’étalent jusqu'à fin mai.

De ce coté, des évaluations pédagogiques ont jugé le volume horaire des cours atteint et les programmes bouclés à temps pour permettre aux candidats une période de révision convenable, afin d'affronter l'examen dans de bonnes dispositions.

Reste que le jugement, se fera aux résultats.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-05-31 07:08:32

Mathias Dzon demande le report des élections législatives de juillet prochain au Congo

Le président de l’Alliance pour la République et la Démocratie (opposition), Mathias Dzon a demandé le report sine die des élections législatives du 16 juillet prochain au Congo.

Créé le 2017-05-30 15:08:55

Congo – Situation du Pool : Le cri de détresse de Mgr Portella, évêque de Kinkala, à l'occasion de la commémoration de l’Ascension

À travers son homélie intitulée ''je lance un cri'', Monseigneur Louis Portella Mbuyu, Évêque du diocèse de Kinkala, a fait une exhortation aux Congolais, pour la paix dans le Département du Pool.

Ce message basé sur Ézéchiel 21,17 ; « Crie, hurle, Fils d’homme, l’épée sévit parmi mon peuple », s'est voulu à la fois comme un appel de détresse, celui du berger pour son troupeau, mais aussi celui du ressaisissement des parties belligérantes, pour la paix.

« Depuis particulièrement le mois de septembre 2016, la partie sud du département du Pool est le théâtre d’une véritable tragédie humanitaire. Voilà une population qui est ballottée, malmenée, déstabilisée, humiliée, déshonorée, ne sachant "à quel saint se vouer".

Beaucoup ont été chassés de leurs villages respectifs, pour se retrouver dans des lieux d’accueil, souvent de fortune, dans l’impossibilité de subvenir à leurs propres besoins et donc réduits à la mendicité, avec des cas de malnutrition déjà déclarés. Et pendant ce temps, les villages délaissés sont "proprement" pillés", peut-on lire entre autres faits évoqués. 

Et de poursuivre dans un élan pathétique, sans céder au désespoir :

« Beaucoup de jeunes sont souvent appréhendés par les forces de l’ordre, parce que facilement assimilés à des ninjas, certains sont simplement éliminés, d’autres croupissent dans des prisons, avec quelque chance de libération moyennant une rançon. 

Beaucoup de militaires, au grand désespoir de leurs familles, sont en train de tomber sous les attaques-surprises des ninjas-nsiloulou, qui donnent l’impression de disposer d’un arsenal étonnant.

Bref, on pourrait continuer à présenter d’autres aspects de ce sombre tableau. Mais, là n’est pas l’urgence.

Oui, je lance un cri !

Ce que vivent, en effet, les populations de la partie sud du département du Pool est difficile à supporter : c’est cruel ! C’est inhumain ! C’est intolérable !

Au nom de Dieu, dont nous tenons tous « la vie, le mouvement et l’être » (Ac 17, 28), qui nous aime tous sans exception, qui est « riche en miséricorde » (Ep 2, 4), qui « dit la paix pour son peuple et ses fidèles » (Ps 85, 9) ;

Au nom de son Fils Jésus qui « a donné sa vie en rançon pour la multitude » (Mt 20, 28), qui nous a laissé et donné sa paix (Jn 14, 27) ;

Au nom de nos ancêtres qui, dans toutes les situations de tension ou de dissension, ont toujours su les surmonter grâce à une démarche communautaire de "l’otwere" ou du "mbongui" ;

En vertu de notre cœur humain qui, normalement ne peut rester insensible à la souffrance humaine ;

En vertu de la fraternité qui nous lie tous, fils et filles du Congo, « du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest » et qui nous fait proclamer notre devise : « Unité, Travail, Progrès » ;

Je lance un cri à l’adresse de nous tous :

Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas, nous n’avons pas le droit de laisser se perpétrer un tel drame si inhumain.

Aucun humain digne de ce nom ne peut se permettre de se tenir à distance par rapport à une telle tragédie.

Je m’adresse donc :

À tous les croyants : mobilisons-nous dans la prière.

Que partout, des supplications incessantes montent vers le Seigneur, pour que la paix revienne et que la réconciliation prévale.

À nos chers responsables politiques, administratifs et militaires à quelque niveau que ce soit, à nos chers parlementaires et ministres, de quelque origine régionale ou ethnique que ce soit : je vous prie et vous supplie de manifester plus fortement votre préoccupation solidaire, dans la recherche efficace d’une solution de paix définitive mettant fin à la souffrance d’une population.

À nos vénérés sages, vous êtes les porteurs de nos belles traditions de paix, de réconciliation, de consensus : nous comptons sur votre mobilisation générale, dans tous les départements, pour apporter votre précieuse et indispensable contribution dans la recherche d’une paix définitive.

À Monsieur Frédéric Bintsamou : certains vous considèrent comme un envoyé de Dieu ou de l’un de ses anges. Comme nous l’a dit le Pape François : « Tuer au nom de Dieu est satanique…La violence au nom de Dieu est un blasphème ».

Il est difficile de comprendre que vous laissiez un peuple que vous défendez, être cruellement malmené par ses propres enfants et être exposé à des traitements inhumains.

C’est pourquoi, si vraiment vous aimez ce peuple, j’en appelle à votre conscience humaine : il ne tient, en partie, qu’à vous pour que ce drame prenne fin. Pour l’amour de Dieu et de votre peuple, osez donc sortir ; osez expliquer, de manière transparente, la cause que vous défendez.

Aux Ninjas-nsiloulou : je prie pour que vous preniez conscience de la tragique impasse dans laquelle vous vous trouvez. Ce sont vos propres parents qui souffrent et qui meurent, en partie, à cause de la manière dont vous les traitez. Quelle est donc la cause exacte pour laquelle vous combattez ? Et vos propres vies, que deviennent-elles, dans un tel cycle interminable de violences et de cruautés?

Non ! Sortez et tournez la page en cherchant à reprendre une vie normale où vous pouvez vous rendre utiles aux autres.

Quant à vous, mamans, papas, grands-parents, jeunes, qui vous trouvez profondément meurtris par cette situation, le message, le voici : pas de désespoir, pas de haine, pas de rancœur, mais l’amour, le pardon.

En effet, le mal n’est jamais vaincu par le mal. Au contraire, comme le dit l’Apôtre Paul, « sois vainqueur du mal par le bien » (Rm 12, 21). Que cette conviction soit forte en vous : c’est Dieu qui a le dernier mot de notre histoire.

Gardons donc ferme notre espérance en notre Dieu, source de la paix ; gardons inébranlable notre assurance d’être capables de relever ce département en souffrance.

Pour conclure, je relis avec vous cette exhortation de l’Apôtre Paul : « Au reste frères, tout ce qu’il y a de vrai, tout ce qui est noble, juste, pur, digne d’être aimé, d’être honoré, ce qui s’appelle vertu, ce qui mérite l’éloge, tout cela, portez-le à votre actif (…). Et le Dieu de la paix sera avec vous » (Ph 4, 8-9).

Donné à Kinkala, le 25 mai 2017

En la solennité de l’Ascension du Seigneur

† Mgr Louis Portella Mbuyu.

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2017-05-30 10:16:55

RDC : Lancement officiel à Paris du Directoire National pour la Transition sans Kabila

Les membres du Directoire National pour la Transition sans Kabila (DNT-RDC) ont procédé, lors d’une conférence politique dans le 15ème arrondissement de Paris, au lancement officiel de leur front politique alternatif au régime actuel de Kinshasa.

Créé le 2017-05-30 09:11:08

Congo – Économie : L'électricité, un atout essentiel pour le développement de la zone économique spéciale de Ouesso

S'inscrivant dans le cadre du maillage du pays par un boulevard énergétique, l'inauguration de la centrale hydroélectrique de Liouesso offre de belles perspectives pour l'essor de la zone économique spéciale de Ouesso.

Le projet d’érection de la zone économique spéciale de Ouesso, en sus de celles de Pointe-Noire, Brazzaville et Oyo-Ollombo, fera indéniablement de la Sangha, un véritable pôle économique qui offrira des opportunités d’affaires dans les secteurs encore en veilleuse, comme l’agroalimentaire, l’agropastoral et les services.

L'électricité désormais disponible va permettre la mise en chantier de nombreux projets qui attendaient une source d'énergie fiable. Elle permet au département de la Sangha de disposer d’une quantité suffisante d’énergie pour l’alimentation des unités de production.

Le département de la Sangha est le troisième pôle économique du Congo, après Pointe-Noire et Brazzaville. Il présente d’énormes potentialités économiques et regorge de nombreuses ressources naturelles.

Dans les zones rurales, on cultive le café, le cacao, le palmier à huile, etc. Sa faune, riche en biodiversité et sa flore font de ce département un lieu tout indiqué pour l’écotourisme.

Une partie importante de sa superficie abrite les deux plus grands parcs nationaux : Noabalé-Ndoki (à cheval entre la Sangha et la Likouala) et Odzala Kokoua (à cheval entre la Sangha et la Cuvette Ouest).

Ces deux parcs hébergent des primates comme les gorilles, chimpanzés ; de gros mammifères comme les éléphants ainsi que d’autres espèces animales.

La forêt de la Sangha occupe une superficie de 5.800.000 hectares, dont 3.195.200 hectares en exploitation par les sociétés forestières. L’exploitation du bois est en plein essor. Elle est l’œuvre des sociétés forestières comme CIB-OLAM, IFO, SIFCO et SEFYD.

Le département de la Sangha est arrosé par quatre cours d’eau, la Sangha, la Ngoko, l’Ivindo et la Mambili presque navigables toute l'année. Un atout pour les échanges.

Le sol de la Sangha est très fertile et de façon permanente. Sa pluviométrie abondante facilite le développement rapide des plantes. On y cultive le cacao précisément dans les localités de Sembé, Ngbala et Pikounda.

La production de l’huile de palme occupe, elle aussi, une place de choix dans la Sangha. Une huile de bonne qualité, reconnue comme telle, est produite dans les palmeraies de Mokéko sur les cendres de la société Sangha Palm, dont les activités sont reprises par la Société Eco-Oïl Congo Energy.

Aux qualités agricoles du sol s’ajoutent celles liées à la qualité argileuse propices à la fabrication artisanale et mécanique de la brique cuite.

Le sous-sol de la Sangha regorge des minerais précieux. L’or par exemple est exploité à Yangadou (Souanké), Pounga et Elogo de manière artisanale. Le diamant, le fer et d’autres poly-métaux sont exploités autour des localités de Souanké, Mokéko et Bomassa.

La politique d’aménagement du territoire national, dite «municipalisation accélérée», dont la Sangha a bénéficié en 2015, fait de ce département un espace moderne doté d’infrastructures de qualité pour l’éclosion d’un secteur privé dynamique.

La Sangha est déjà désenclavée grâce au bitumage de la route Owando-Makoua-Ouesso. Cette route favorise la mobilité des facteurs de production. Avec les routes reliant la Sangha au Cameroun, le département connaîtra un essor économique exceptionnel.

Dans le même cadre, l’aéroport de Ouesso, construit aux normes des chaussées aéronautiques à l’Airbus 330-200, constituera un atout majeur pour le transport aérien des biens et des personnes.

Bertrand BOUKAKA / Source, min ZES

Créé le 2017-05-30 08:38:24

Mbinda : Marcel Leouobo candidat PCT aux élections législatives de juillet prochain

Les populations de Mbinda (sud) voulaient que les responsables du Parti Congolais du Travail (PCT) enttendent leur cri et que la commission d’investiture maintienne la candidature de Marcel Leouobo qui a toujours mené plusieurs actions sociales en leur faveur durant ses trois mandats. Chose faite. Le député sortant de la communauté urbaine de Mbinda sera candidat aux élections législatives du 16 juillet prochain au Congo, sous les couleurs du parti au pouvoir, selon la liste publiée le 28 mai à Brazzaville par le secrétaire général du PCT, Pierre Ngolo.

Créé le 2017-05-30 07:43:28

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