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Congo – Circulation routière : Encore un accident mortel dans le Mayombe

Un mort et cinq blessés dans un état grave, tel est le bilan d'un accident de circulation survenu samedi dans le Mayombe. Une fois de plus, le comportement des conducteurs est mis en cause.

Un amas de tôles froissés, la cabine du véhicule détachée de sa remorque est couchée sur la bas coté.

La violence du choc a éventré le container et éparpillé les colis des passagers montés dans ce véhicule inapproprié.

Sur cette pente raide débouchant sur des virages obtus qui côtoient des ravins de part en part, le conducteur sentant son véhicule lui échapper n'a pas trouvé d'autre solution que de le coincer contre le talus, coté passager.

Le choc a été rude et les dégâts colossaux. Un mort et des blessés. Le conducteur qui s'en est sorti indemne a pris la poudre d’escampette, sans même porter assistance à ses compagnons d'infortune.

La femme décédée serait partie de Bouansa.

 Elle et ses amies commerçantes avaient saisi l'aubaine qu'offrait ce véhicule remorque au container repartant vide sur Pointe-Noire, pour y entasser leurs marchandises et rallier ainsi la ville océane pour la vente. Tous s'étaient ensuite entassées dans la double cabine, aux cotés du chauffeur. Entre discussions osées, de tout et de rien et velléité du chauffeur de prouver à ses « campagnes » son habilité au volant, le voyage s'est achevé dans le décor. Les quelques bouteilles « heurtées » à Bouansa en compagnie de ses compagnons de voyage y sont sans doute pour quelque chose.

Depuis l'ouverture de la route dite lourde, Brazzaville - Pointe-Noire, il ne se passe pas une semaine sans que ne soit enregistré un accident, surtout dans le Mayombe.

Si dans cette zone, la configuration du relief prédispose la route à des risques d'éventuels accidents, le comportement des usagers au volant, en aggrave les probabilités.

Il est d'usage pour les conducteurs des véhicules desservant les routes de campagne, de s'attabler au « Nganda » de la gare routière, avant le départ. L'attente du remplissage du véhicule se fait autour d'une bouteille ou plusieurs bouteilles d'alcool. C'est pour dit-on être en forme sur la route.

Le phénomène est encore plus criard chez les conducteurs de véhicules poids lourds où le « lourd » du véhicule serait proportionnel au « fort » de l'alcool consommé. Et les conséquences sont vite arrivées.

D'autre part, même si le contrôle technique a été rendu obligatoire au Congo, ils sont encore nombreux à s'en détourner, parfois à travers un circuit de corruption qui met à jour les contre-visites, au moyen des vignettes trafiquées.

Par méconnaissance, de nombreux usagers doutent même du fait que le contrôle technique automobile permet de déterminer l’état des organes principaux de sécurité du véhicule susceptibles de provoquer des accidents de la circulation.

Quant aux contrôles routiers de police, fortement concentrés en ville, ils sont moins étendus sur les routes départementales où les chauffeurs se croient tout permis.

Les agents de la circulation n'ont souvent d'yeux que pour la surcharge ou le dossier du véhicule, plus « rentable », plutôt que l'état du véhicule, encore moins celui du chauffeur. Rarement un véhicule est immobilisé pour ces motifs.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-19 09:00:39

Congo – Panne Internet : Début des réparations du câble WACS

Le Congo est privé du signal internet via la fibre optique depuis une semaine, suite à une avarie sur le câble WACS. Les travaux de réparation de ce câble sous-marin débutent ce lundi.

Un point dans l'océan, le bateau du consortium WACS parti du Cap, en Afrique du sud depuis le 13 juin, mouille déjà dans les eaux congolaises à quelques « brasses » de Pointe- Noire.

Les opérations de maintenance du câble sous-marin vont commencer probablement mardi, après une évaluation de la panne par les techniciens.

Le câble ayant été coupé par l'ancre d'un bateau, il a sans doute été tiré avant d'être sectionné. Il s'agira donc d'évaluer l'ampleur des dégâts ainsi que les interventions appropriées avant de commencer le travail proprement dit.

Selon l'administrateur général de Congo Télécom, deux cas de figures sont à envisager : soit la réparation du câble au moyen de la soudure, ou son remplacement en ses deux points de connexions.

Dans l'un ou l'autre cas, le travail a effectuer reste fastidieux et la durée de l'intervention dépendra de l'étendue des dommages constatés.

Les premières évaluations font apparaître que la «  coupure du câble a d'abord touché sa partie cuivre, l’endroit où passe le courant pour alimenter les répéteurs en mer ».

Dans le meilleur des cas, le retour à la normale peut intervenir le 25 juin. Autrement, il faudra se plier aux aléas d'une réparation qui s'apparentera à une navigation à vue. D'où la prudence évoquée, d'un délai de réparation estimé précédemment entre 2 à 7 semaines.

Une attente qui risque d'être bien longue pour de nombreux usagers du net.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-19 07:04:51

Congo – Boxe : Les 18èmes championnats d'Afrique se sont ouverts à Brazzaville, en version masculine et féminine

Les pugilistes de près d'une trentaine de pays prennent part aux 18èmes championnats d'Afrique de boxe qui se sont ouverts samedi à Brazzaville.

La cérémonie solennelle d'ouverture qui a eu pour cadre le gymnase Nicole Oba de Talangaï dans le 6ème arrondissement, a été placée sous la présidence du premier ministre congolais, Clément Mouamba.

Après le défilé des athlètes, les différentes allocutions ont mis en lumière l'essor sportif qu'a tracé le Congo, avec la réalisation des infrastructures sportives de haute facture à la faveur des 11èmes jeux africains. Ces infrastructures sont désormais un cadre d'attractivité pour l'organisation des manifestations sportives internationales.

Pour le président de la fédération africaine de boxe Bayor Kelani, « le nombre important de participants rassure sur le crédit accordé à ces championnats, qualificatifs pour les championnats du monde 2017 à Hambourg en Allemagne.

34 pays engagés, 349 athlètes ont répondu présent. Ils se disputeront les 40 places qualificatives pour Hambourg.

En souhaitant aux athlètes une cordiale bienvenue au Congo et le succès de cette grande fête de la boxe africaine en version AFBC, le premier ministre Clément Mouamba a au nom du président de la république Denis Sassou N'Guesso prononcé le mot d'ouverture.

Dans le serment de l'athlète, le pugiliste congolais choisi pour le lire , a promis « de combattre en toute loyauté, en plaçant par dessus tout, le respect de l'adversaire ».

Le juge qui a suivi, a promis au nom de ses pairs, de faire « preuve d'impartialité et de loyauté pour le triomphe de la boxe africaine ».

Deux combats d'exhibition ont clos la cérémonie d'ouverture.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-17 21:51:47

Congo - Législatives 2017 : Le ministre de l'intérieur a effectué une revue du dispositif technique à Kinkala

Dans le cadre de ses activités de contrôle, prélude aux élections du 16 juillet prochain, le ministre de l'intérieur a effectué un déplacement à Kinkala jeudi.

En vue d'assurer le bon déroulement des élections législatives, départementales et locales, le ministre Raymond Zéphyrin Mboulou a entrepris de faire la ronde de certaines entités administratives, afin d'évaluer le matériel technique disponible et envisager si nécessaire le complément indispensable.

Dans le département du Pool, de nombreux électeurs sont dans l'expectative du fait des troubles en cours dans certaines localités.

Ces troubles ont généré un déplacement massif des populations, rendant quasiment impossible l'organisation des élections dans les localités concernées. Cependant, le département ne connaît pas la même situation dans sa partie septentrionale.

Autant le ministre a fait le point avec les autorités départementales sur les moyens techniques disponibles, autant il a instruit lesdites autorités de ce que le gouvernement s'emploiera à organiser les élections partout où cela sera possible. C'est aussi de son seul ressort que seront traités les cas des circonscriptions où il sera impossible de les organiser.

À chaque élection, le matériel électoral non périssable, à savoir les urnes ou les isoloirs ayant précédemment servi est rarement retrouvé ou maintenu en état d'être utilisé à nouveau. Son remplacement nécessite d'investir encore de fortes sommes d'argent.

Désormais, a promis le ministre Mboulou, les agents responsables du matériel électoral devront le gérer par une comptabilité-matière des biens administratifs et rendre compte le cas échéant.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-16 09:06:41

Congo – Emplois : La Fondation Perspectives d'Avenir soutient les jeunes porteurs de projets

La Fondation Perspectives d'avenir et le ministère des Petites et Moyennes entreprises ont signé un accord de partenariat jeudi à Brazzaville.

Cet accord destiné à soutenir les jeunes défavorisés et porteurs de projets en vue de leur autonomisation a été paraphé par Denis Christel Sassou N'Guesso, président de la FPA et Adélaïde Mougany, ministre des Petites et Moyennes entreprises, de l'artisanat et du secteur informel.

L'exécution dudit projet vise entre autres actions, à la préparation des jeunes pour leur intégration dans la vie professionnelle mais aussi développer en eux l'esprit d'entreprise et d'initiative entrepreneuriale.

À travers ce nouveau chantier à l'endroit des jeunes, Denis Christel Sassou N'Guesso s’inscrit une fois de plus dans cette dynamique désormais référencée de l'appui à l'autonomisation professionnelle des jeunes pour laquelle sa fondation s’investit dans une réelle perspective d'avenir.

La ministre Adélaïde Mougany a estimé que cet accord qui vient mutualiser les efforts, permettra d'atteindre l'ambition d'être développeur d'idées, découvreur de projets, détecteur de talents ou encore provocateur de vocations.

Ce projet porteur bénéficiera de l'appui de la Banque africaine de développent. De bon augure pour son aboutissement.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-16 07:36:19

L’Italie condamne les attentats terroristes dans le Pool et demande une aide humanitaire en faveur des déplacés

L’ambassadeur d’Italie au Congo, Andrea Mazzella a condamné à Brazzaville, les attentats terroristes qui continuent de faire des victimes innocentes dans le département du Pool (sud).

Créé le 2017-06-16 06:33:02

France : Nathalie Kosciusko-Morizet a perdu connaissance après une agression à Paris

La candidate Les Républicains, Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM) a été agressée ce jeudi matin alors distribuait des tracts en vue du second tour des législatives pour la 2e circonscription de Paris.

Créé le 2017-06-15 18:02:04

Législatives de juillet 2017 : L’UPADS présente 43 candidats dans 8 départements

La politique de la chaise vide et le boycott ne font pas bon ménage avec L’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS). Le parti de Pascal Lissouba a décidé de présenter 48 candidats aux élections législatives du 16 juillet prochain dans 8 départements du Congo.

Créé le 2017-06-15 14:51:21

Congo – Justice : « L'envoyé » du pasteur Ntoumi incarcéré à la maison d'arrêt centrale de Brazzaville

Alors que sa famille disait être sans nouvelle de lui depuis un mois déjà, Jean Gustave Ntondo est désormais incarcéré à la maison d'arrêt de Brazzaville.

Entendu depuis le 18 mai dernier, à la direction générale de la surveillance de territoire, dans le cadre d'une enquête préliminaire, pour complicité d'actes terroristes, Jean Gustave Ntondo à été déféré jeudi, devant le Doyen des juges d'instruction qui lui a signifié son placement en détention  à la maison d'arrêt de Brazzaville.

Déjà été arrêté puis libéré à deux reprises, Jean-Gustave Ntondo a toujours été présenté comme l'émissaire du Pasteur Ntoumi dans la capitale congolaise afin d'y mener des négociations pour résoudre la crise du Pool.

Cette allégation d'éventuelles négociations a de tout temps été récusée par le gouvernement qui soutient qu'aucune initiative de ce genre n'a été entreprise par lui, de quelque manière que ce soit.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-15 12:51:41

Congo – Avarie câble WACS : Vers l'érection d'un « pont internet » entre Brazzaville et Kinshasa

Ce n'est pas le « pont sur le Congo » dont avait rêvé Franklin Boukaka, pourtant ça y ressemble : « Le pont du net ».

Le gouvernement congolais a entamé le 14 juin des discussions avec les autorités de République démocratique du Congo, dans le but de relancer sa fourniture internet interrompue suite à la coupure du câble WACS à Pointe-Noire.

2 à 7 semaines de travaux sont évoquées par les spécialistes, pour remettre en état la connexion internet au Congo, via le câble en fibre optique endommagé.

Face à ce délai jugé trop long pour les nombreux usagers du net désormais affectés par la panne, le Congo envisage de rétablir la connexion internet grâce au câble fluvial immergé, qui existe entre les villes de Brazzaville et Kinshasa.

L’interconnexion par cette infrastructure devrait relancer et renforcer la fluidité internet en faveur des usagers des deux métropoles.

Les cadres de la société Congo Télécom séjournent à cet effet à Kinshasa. Les techniciens de la Société congolaise des postes et télécommunication (SCPT), la société officielle de RDC et ceux de Congo Télécom travaillent, à la demande du consortium WACS, pour acheminer le trafic du Congo par la station terminale de Moanda au sud-ouest de RDC.

Cette station qui dispose d’une liaison supplémentaire semi-direct permettra de « dépanner » le Congo-Brazzaville en flux internet, en attendant le retour à la normale, avec les réparations du câble WACS endommagé.

Ce partenariat sur les infrastructures de communication entre Brazzaville et Kinshasa, vient raffermir une fois de plus les relations d'échange de services qui de tout temps, existent entre le Congo et la RDC.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-15 10:02:29

Congo – Médias : Un atelier didactique, pour la formation des journalistes sur le processus électoral

À l'approche des élections législatives, départementales, et locales, un atelier de formation des journalistes sur le processus électoral a eu lieu à Brazzaville, sous l'égide du ministère de la Communication, du CSLC, du PNUD et de l'Unesco.

Dans de nombreux pays africains, les élections sont souvent source de violences socio-politiques.

Devant rendre compte des activités électorales depuis la période des campagnes, celle des votes ainsi que des résultats, avec le cas échéant des revendications, voire des troubles inhérents à ceux-ci, le journaliste est un acteur essentiel du processus.

Même si les causes fondamentales de ces situations déplorables sont le manque de culture du débat contradictoire et de l’acceptation de la défaite des urnes, pour assouvir leurs desseins de contestation et pousser le peuple à la révolte, voire l'inciter à la violence, les candidats utilisent bien souvent la presse. Alors, le journaliste devient un catalyseur, le vecteur par lequel le mal arrive.

Mais alors quel doit être la mission des médias dans ces périodes sensibles pour préserver la paix, la stabilité et la quiétude.

C'est pour mettre les journalistes et autres professionnels des médias face à leur responsabilités, et aussi leur donner des outils indispensables au balisage de leur action, que le ministère de la Communication, le Conseil supérieur de la liberté de communication et le PNUD ont rappelé ces fondamentaux souvent éludés, ou compromis par « le feu de l'action » politique, alors que les médias sont appelés à jouer un rôle déterminant pour accomplir avec impartialité, efficacité et professionnalisme, la mission d’information qui est la leur. 

Une vue des participants

L’intervention des médias dans l’organisation des élections est indispensable pour la simple raison qu’une élection juste, équitable, transparente et démocratique tient compte de deux facteurs essentiels que sont le climat et l’accessibilité aux informations.

L’électeur ayant besoin d’aller voter dans un climat propice doit avoir des informations sur les candidats et partis politiques, de même que leur programme de société afin de faire un choix éclairé et responsable. Il en est de même à la publication des résultats, moment sensible où le journaliste doit faire preuve de tempérance et surtout de hauteur de vue.

Étant la courroie de transmission entre les candidats et les électeurs, son rôle de contre-pouvoir et d’observateur indépendant doit être joué avec déontologie et une très grande impartialité.

En tout état de cause, une information exacte, vérifiée, équilibrée, neutre et respectueuse de la dignité humaine découle du degré de professionnalisme avec lequel elle est traitée.

Au cours de cet atelier, il a été également abordé la question de la subordination des journalistes à des personnalités politiques, moyennant finances. Cet état de fait bouscule bien souvent la capacité du journaliste à livrer aux électeurs une information objective, instructive et constructive traitée dans la plus parfaite orthodoxie.

La photo de famille

Cet atelier qui n'est pas le premier du genre, s'est voulu comme une piqûre de rappel pour les professionnels des médias appelés à garantir l'équilibre social à travers leur plume, leur micro ou l'objectif de leur caméra, en période électorale.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-15 08:05:05

Le FMI s’engage à tirer le Congo du bourbier du désespoir

Le chef de la délégation du Fonds Monétaire International(FMI), Abdelaziz Waney, a pris l’engagement, mardi, au nom de son institution à aider le Congo dans la formulation d’un programme économique pour jeter les bases d’une croissance durable.

Créé le 2017-06-14 11:08:44

La Fondation Mwimba Texas félicite Sassou Nguesso d’avoir accepté de travailler avec un albinos, en la personne de Thierry Moungalla

Le Président de la Fondation Mwimba Texas, le catcheur albinos Alphonse Mwimba Makiese Texas, a félicité les autorités congolaises dont le Président de la République Denis Sassou Nguesso qui est, selon lui, un grand albinosphile, pour avoir accepté de travailler avec un albinos, en la personne du ministre Thierry Moungalla.

Créé le 2017-06-14 08:30:19

Congo – NTIC : L'absence du signal internet peut durer jusqu'à 7 semaines

Depuis le week-end dernier, le signal internet est interrompu au Congo-Brazzaville, suite a un problème sur le câble dit WACS. Pour les professionnels des nouvelles technologies de l'information et de la communication essentiellement drainées par internet, les désagréments et le manque à gagner se font déjà sentir.

Le gouvernement de la république du Congo se veut rassurant et essaie de conforter tant soit peu tous les utilisateurs du net, désormais gagnés par la morosité.

Cette panne de réseau montre combien l'outil internet a intégré les mœurs congolaises, dans différents secteurs de la vie socioprofessionnelle, économique, ou dans les relations humaines.

Désormais, de nombreux congolais desservis par la fibre optique, se retrouvent comme des naufragés sur une île déserte.

Sur Twitter, le ministre Thierry Moungalla a confirmé que la panne internet au Congo est due à une avarie du câble fibre optique, à 12 kilomètres au large de Pointe-Noire. Il a ajouté que les opérateurs de télécoms étaient mobilisés pour rétablir ledit câble.

Dimanche, les abonnés de la société MTN ont connu les pires désagréments avec une absence totale du signal à l'international et sur internet.

Dans un communiqué, la société MTN a précisé que cette panne était due à l'ancrage d'un bateau de pêche qui a sectionné le câble sous marin.

Les délais de remise en état seraient estimés entre 2 et 7 semaines, car il faudra mobiliser sur zone un dispositif logistique très lourd.

« La soudure et la reconnexion de la fibre est une opération fastidieuse qui demandera l'intervention d'un bateau et des équipes spécialisées », ajoute MTN.

Entre-temps, les usagers du net devront prendre leur mal en patience.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-14 08:17:19

Congo – Législatives 2017: 151 sièges pour très peu de candidats, va t-on vers une crise institutionnelle ?

Des urnes vides, des bureaux de vote sans électeurs pour des circonscriptions sans candidats, c'est ce qui risque d'arriver le 16 juillet, si l'on y prend garde. Le ministère de l'Intérieur pensait bien faire en montant les enchères sur les places à la députation, aux locales et aux départementales. Il semble désormais être pris dans son propre piège. Par ces temps de vaches maigres, 1.500.000 francs CFA, ça freine les ardeurs.

Le ministère de l'intérieur a beau se dédire, sur la date de clôture des dépôts de candidatures aux législatives, locales et départementales, fixée par lui pour le 11 juin et repoussée par le même lui au 13 juin, le compte n'y est toujours pas.

À l'expiration de la date de dépôt des candidatures, toutes élections confondues, moins d'une centaine de dossiers auraient été reçus par les services habilités de la direction générale des affaires électorales.

À la date initiale de clôture du dépôt des dossiers, sur les 151 sièges de députés à pourvoir, le nombre d'impétrants n'atteignait même pas la moitié des sièges. C'est encore pire pour les conseillers départementaux et locaux, avec pour toute la république, un nombre de sièges à pourvoir, 5 à 6 fois plus que celui des députés.

Si d'aventure, on atteignait au moins le nombre de dossiers correspondants aux sièges de députés à pourvoir, quel crédit aurait une élection sans enjeu compétitif, sans débat programmatique ou idéologique. Une élection où dans la circonscription le député serait élu par manque d'adversaire.

En voulant placer l'argent avant les raisons républicaines et démocratiques, celles de l'égalité des chances pour tous, le ministère de l'Intérieur a sans le vouloir, crée une situation inédite avec, en ligne de mire, une crise institutionnelle à la clé.

Qu'on se le dise! Comment asseoir la nouvelle république, si l'une des pièces maîtresse, émanation représentative du peuple, chargée de voter les lois et de contrôler l'action du gouvernement est absente du puzzle.

Et puis, même si le ministère se dédisait de nouveau, en allongeant une fois de plus la date de clôture du dépôt des dossiers, ou en ramenant les frais de candidature à un prix raisonnable, c'est toute son autorité et sa crédibilité qui s'en trouveront entamées.

Alors que l'actuelle assemblée nationale est en fin de mandat, sa caducité risque de déboucher sur un vide juridique.

Du coté de la cour constitutionnelle, il est peut-être déjà temps de plancher sur les solutions de rechange.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-14 06:55:46

Congo – « Affaire Minusca » : Le ministre congolais de la défense rompt le silence

Des allégations sorties des notes internes des armées, faisant état des écarts de comportements des soldats congolais de la Minusca, ont été distillés dans la presse et les réseaux sociaux, au point de porter le discrédit sur les Forces Armés Congolaises dont l'engagement en Centrafrique a toujours été marqué du sceau du sacrifice et du sens du devoir.

Même si l'Armée se veut être « la grande muette », le ministre de la Défense nationale du Congo, Charles Richard Mondjo est sorti de sa réserve et plaide pour la poursuite d’une relation saine avec les Nations Unies dans le cadre des mécanismes diplomatiques qui régissent les accords entre les parties.

Comme cela a été le cas par le passé, des procédures judiciaires sont en cours au Congo pour traiter les cas d’indiscipline dénoncés.

« Certes il y a eu, dans l’accomplissement de la mission, des allégations portées contre nos unités, mais aussi contre celles de beaucoup d’autres pays engagés sur le terrain.

En ce qui nous concerne, nous avons toujours réaffirmé le principe de tolérance zéro quant à l’action des forces sur le terrain.

C’est pour cela que le gouvernement congolais, lorsqu’il a été saisi de ces allégations, a pris les dispositions qui étaient nécessaires pour conduire des enquêtes et infliger des sanctions disciplinaires aux présumés auteurs.

Les résultats de ces enquêtes ont été communiqués aux Nations unies.  Des procédures judiciaires sont en cours au niveau national, et nous ne voudrions pas ici porter des jugements sur les affaires pendantes devant les juridictions. »

Bertrand BOUKAKA/Source : Adiac

Créé le 2017-06-13 10:12:11

Législatives à Mbinda : Marcel Leouobo le député des solutions et des engagements tenus

Pour les habitants de la communauté urbaine de Mbinda (sud), leur député, c’est Marcel Leouobo candidat à sa propre succession aux législatives de juillet prochain sous la bannière du Parti Congolais du travail (PCT, parti au pouvoir).

Créé le 2017-06-13 10:05:54

Congo-Licenciements abusifs : Les inspections du travail ne font pas leur travail

Vivien Manangou, ex porte-parole de l’opposant congolais Parfait Kolelas,  dresse un état des lieux sidérant sur la situation des licenciements abusifs dans les entreprises qui ont pignon sur rue à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo. Selon lui, les inspections du travail ne font pas leur travail de surveillance et de vérification de toutes les procédures des licenciements. Les salariés sont délaissés et les emplois ne sont plus protégés dans la ville océane où 50.000 emplois ont été détruits en 2016.

Créé le 2017-06-13 08:24:01

Congo – Services publics: SNE et SNDE, deux entreprises unies dans la mise en danger d'autrui ?

La Société Nationale d'Électricité et le Société Nationale de Distribution d'Eau sont deux entreprises sur lesquelles repose en grande partie le quotidien des congolais, surtout dans les grands centres pourvus en réseaux d'eau et d'électricité. Pour de nombreux congolais, ces sociétés sont également à l'origine de nombreux désagréments mettant parfois en danger la vie humaine.

Brazzaville, arrondissement 5 Ouenzé. Une mère de famille vient de décéder après avoir mis les pieds dans l'eau qui innonde sa concession, suite à la pluie qui s’abat sur la ville.

La cause du décès est là, visible et s'offre à tous comme une arme du crime car la mère de famille a succombé à une électrocution causée par des fils décrochés du poteau par un camion depuis plusieurs semaines déjà.

Les fils qui traînaient par terre au vu et au su de tous étaient restés sous tension, malgré les démarches répétées du chef de quartier et autres habitants, auprès des services compétents de la société d'électricité, pour remédier à cette situation qui mettait en danger la vie des populations.

Des drames de ce genre sont légion à travers les villes congolaises. Ils se terminent parfois dans l'indifférence des autorités des services concernés.

Pas d'enquête, même si la police arrive sur les lieux du « crime », en compagnie des responsables de la SNE. Les notes prises par les policiers resteront sans suite. Personne ne sera condamné, même pour la forme, car aucun procès n'aura lieu.

La famille enterre son mort, coupable du « décès par imprudence », et la vie continue.

Même dans ses prestations de services, dans de nombreuses villes, les clients de la SNE ont l'impression de se faire rouler sur la qualité du produit dont ils payent les prestations.

Rarement, la fourniture d’électricité obéit à une constance qui assure le bon fonctionnement des appareils électroménagers. Depuis, sont apparues dans toutes les maisons, des stabilisateurs de tension, pour se prémunir des charges intempestives d'un courant parfois mal calibré, acheminé par des cables de diverses sections qui s'echevêtrent en toile d'araignée, au point qu'ils sont souvent cause d'incendie.

Climatiseurs, réfrigérateurs ou autres congélateurs, très sensibles, ont désormais une durée de vie plus courte que celle de l'obsolescence programmée par le constructeur. Les téléphones portables perdent régulièrement leurs batteries rendus hors d'usage du fait de la qualité du courant.

Que dire des coupures et autres délestages qui décongèlent et recongèlent autant de fois les vivres en réserve mis au frais, coupant la chaîne du froid, avec des incidences sur la santé des consommateurs qui pour des raisons économiques, ne peuvent jeter l'essentiel de leurs victuailles à la poubelle.

Pourtant, le mois fini, ils auront leur facture d’électricité dont il faudra s'acquitter dans les délais.

À coté de la SNE, sa sœur homonyme, la SNDE, s'illustre également par les mêmes travers, de par la qualité des services rendus, et du produit mis à disposition des populations.

Quand les robinets ne sont pas des monuments d'ornement dans les parcelles, du fait de l'irrégularité de la fourniture d'eau, le liquide qui en sort est tel un filet qu'il faut parfois veiller une nuit entière pour en recueillir la quantité indispensable à ses besoins. C'est après que l'on en examine la qualité.

Dans presque toutes les villes du Congo, l'eau fournie par le réseau de distribution de la SNDE, passe presque pour être un poison en vente libre et à la portée de tous.

Si cette eau assure les besoins en toilette, lessive ou vaisselle, beaucoup de familles ne la consomment pas en l'état.

À la SNDE, on semble méconnaître les qualités physiques d'une eau potable : incolore, inodore, sans saveur et sans particules.

Désormais, des robinets coule un bouillon rempli de sédiments, au point que les usagers se demandent si l'eau qu'on leur sert est traitée. Et la situation est quasi nationale.

Pour les enfants, voire les adultes qui ne sont pas à l'eau minérale, les cas de diarrhées hydriques sont devenus endémiques.

Même pour la toilette, il n'est pas rare que des corps sensibles éprouvent des démangeaisons après une douche.

Pour leur besoins essentiels en eau, tels la lessive, ou le bain, beaucoup de riverains des cours d'eau qui traversent la ville ont renoué avec des habitudes disparues naguère, du fait de la dangerosité de la fréquentation desdits cours d'eau.

Désormais à Brazzaville, la Tsiémé, Mfilou ou le Djoué attirent à nouveau du monde avec de temps en temps des cas de noyade.

Que dire du manque d'entretien du réseau, avec des tuyaux qui éclatent de partout, innondant la ville et attendent bien longtemps avant d'être réparés, sauf dans les endroits où le président de la république est susceptible de passer.

Le premier ministre a lancé dernièrement un appel de ressaisissement à certaines entreprises. Puisse la SNE et la SNDE, s'amender dans leurs prestations, pour le bien-être des congolais.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-06-13 08:16:30

Congo – NTIC : La coupure du câble WACS prive les congolais d'internet

Les congolais usagers d'internet n'ont plus accès à la toile depuis le week-end écoulé. Une rupture du câble sous-marin WACS serait à l'origine de cette absence de signal.

Selon le ministre des Postes et Télécommunications, Léon Juste Ibombo, tout est mis en œuvre par Alcatel, afin de rétablir la connexion, évoquant un câble défectueux sans toutefois donner la date du rétablissement du service.

Le câble sous-marin en fibre optique WACS autrement dit, West African Cable System, long de 14 000 kilomètres, assure le trafic du flux internet de Londres au Cap en Afrique du Sud. Il dispose de 15 points de connexions desservant différents pays, notamment le Congo dont le point est situé à Matombi, aux environs de Pointe-Noire.

Depuis cette panne, la connexion aux réseaux sociaux tels facebook ou whatsApp demeure non fonctionnelle au Congo. Les opérateurs de téléphonie ont reporté l'essentiel de leurs activités par voie satellitaire.

D'aucuns se demandent si cette panne affecte également d'autres pays.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-12 17:07:06

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