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Le président de la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la fraude, Lamyr Nguelé a encore du pain sur la planche. Plusieurs secteurs coincent encore dans ce processus d’éradication de la corruption. Entre autres, le secteur des marchés publics, l’exploitation forestière, les douanes, les impôts et le trésor. Toutes choses qui témoignent que les populations congolaises sont résistantes aux changements de mentalités. À cela s’ajoutent les lenteurs administratives qui concourent à l’expansion de la corruption au Congo.
Créé le 2018-01-10 10:58:12
Une délégation de la Conférence des évêques de RDC (la Cenco) a traversé le fleuve pour être reçue par le président Denis Sassou Nguesso, mardi à Brazzaville.
Actuellement à la tête de la CIRGL et aussi en charge du suivi de l'accord-cadre pour la paix et la sécurité en RDC, le président congolais Denis Sassou Nguesso s'est entretenue, le 9 janvier à Brazzaville, avec la délégation de la Cenco, conduite par Mgr Marcel Utembi Tapa.
Cette rencontre fait suite à la répression de la marche du 31 décembre initiée par les laïcs catholiques, la Cenco, et aux conséquences qui en ont découlé.
À l'issue de l'audience, le porte-parole la Cenco, l'abbé Donatien Nshole, a mis en garde sur le fait « qu'il ne faut pas sous-estimer la situation, et dans ce contexte de crise, les voisins de la RDC ont un rôle à jouer, pour satisfaire les aspirations du peuple congolais et ainsi éviter le pire ».
À en croire la Cenco, le nouveau calendrier électoral qui prévoit une présidentielle fin 2018 est « tenable ».
Mais pour que ces élections soient crédibles et sortir durablement de la crise, il faut assainir le climat politique... et prendre les mesures prévues dans l'accord de la Saint-Sylvestre. C'est aussi ce que réclamaient les manifestants le 31 décembre.
De son côté, le président Denis Sassou N'Guesso qui s’est montré très attentif au message délivré par ses hôtes leur a livré à son tour un message d'« apaisement ». Le chef de l’État congolais a dit « qu'il ne se comporterait pas comme s'il ne voyait pas venir les choses », et déclaré qu’il ferait tout ce qui est de son pouvoir pour que les élections aient lieu en RDC en décembre 2018.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-01-10 07:58:03
Le président du Sénat congolais, Pierre Ngolo a pris l’engagement ce mardi, lors d’un échange de vœux de Nouvel An avec les sénateurs, à Brazzaville, de combattre les antivaleurs, un mal qui ronge aussi bien l’administration publique que la chambre haute du parlement.
Créé le 2018-01-09 16:39:05
La pluie diluvienne qui est tombée dimanche soir dans la partie nord de Brazzaville, a aggravé l’évolution de la grande érosion du quartier Ngamakosso, dans le 6ème arrondissement de la capitale congolaise, occasionnant, l’affaissement de plusieurs maisons et contraignant ainsi plusieurs familles à dormir à la belle étoile.
Créé le 2018-01-09 11:08:03
« Comment allons-nous faire pour réparer les installations en état de délabrement très avancé alors qu’elles n’ont même pas encore totalisé cinq ans d’existence ?», s’est interrogé le ministre des Sports et de l’éducation physique, Hugues Ngouélondélé, s’adressant aux représentants des sociétés chinoises en charge de la construction de la plupart des stades qui ont abrité ou non les 11es Jeux africains.
Juste après sa prise de fonctions, le ministre des Sports et de l’éducation physique a fait la ronde des installations sportives à travers le pays. Décapage des carreaux, bâtiments, plafonds, tartans et autres compartiments, le constat a été amer.
Le 8 janvier face aux représentants de la société Zhengwei, qui a construit le plus grand nombre d’infrastructures, Hugues Ngouélondélé n’y est pas allé par quatre chemins. « Il s’agit d’un défaut de construction. La réparation est urgente pour permettre aux Congolais de pratiquer le sport dans de bonnes conditions », a-t-il déclaré, en demandant aux responsables des entreprises chinoises de proposer des pistes de solutions pour que réparation soit faite en compagnie des techniciens du ministère.

La partie chinoise n’a pas donné de réponses à l’immédiat. Elle a plutôt demandé une rallonge de deux semaines de réflexion.
C’est donc le 23 janvier que les représentants de ces entreprises rencontreront le ministre des Sports et de l’éducation physique pour définir la démarche à suivre. Hugues Ngouélondélé a mis à leur disposition le rapport de sa mission d’inspection faite département par département.
En rappel, après la descente du ministre sur le terrain, ces représentants ont effectué le même travail. Le constat a été le même de part et d’autre. Il reste qu’une solution soit trouvée.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source Adiac
Créé le 2018-01-09 08:40:43
Adel al-Joubeir, émissaire du roi Salman a été reçu par le président congolais Denis Sassou Nguesso, le 8 janvier à Brazzaville. Les questions d’intérêt commun, la lutte contre le terrorisme en Afrique, la situation en Libye ont été au centre de l’entretien que le président congolais a eu avec le ministre des Affaires étrangères de l’Arabie Saoudite.
Le chef de la diplomatie saoudienne s’est réjoui des « bonnes perspectives » qui marquent la coopération bilatérale entre les deux pays, soulignant que le Congo et l’Arabie Saoudite peuvent œuvrer ensemble dans le secteur pétrolier et « accroître des investissements dans le domaine du commerce » au bénéfice des deux États.
Les deux parties ont en également passé en revue plusieurs questions d’ordre régional et international. « Nous avons évoqué beaucoup de sujets, notamment en ce qui concerne la politique, la sécurité et la stabilité », a déclaré Adel Ben Ahmed al-Joubeir, à l’issue d’une longue entrevue avec le président de la République.
« Nous avons convenu de trouver des solutions en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme, qui est maintenant une menace pour le Sahel, mais aussi pour l’Afrique en général », a-t-il affirmé.
À ce sujet, Adel Ben Ahmed al-Joubeir a indiqué que l’’Arabie saoudite travaille conjointement avec les États-Unis, la France et l’Allemagne « pour trouver des solutions dans la zone du Sahel ».
Le chef de la diplomatie saoudienne a estimé que « la solution à ces différents problèmes passe aussi par la stabilisation de la situation en Libye ».
« Nous avons émis le souhait de réunir nos envoyés spéciaux – celui du Congo, de l’Europe et de notre pays – afin de conjuguer des efforts pour trouver une solution » à la crise libyenne de manière à ce que ce pays puisse renouer à une vie normale et dispose d’un gouvernement « stable» après les prochaines élections.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-01-09 08:21:08
Dans une interview diffusée sur les antennes de Radio-Congo dimanche, Alain Akouala Atipo a plaidé pour une clémence présidentielle en faveur de Jean Marie-Michel Mokoko et André Okombi Salissa.
Lors du message du président Denis Sassou N'Guesso devant le parlement réuni en congrès, le 30 décembre dernier à Brazzaville, de nombreux congolais espéraient l'annonce de mesures de clémence de la part du chef de l'État congolais, à l'endroit de certains compatriotes incarcérées pour divers motifs, notamment liés à l'atteinte à la sûreté de l'État.
Abordant la question, Denis Sassou N'Guesso avait émis le vœux que la justice passe, déclarant en substance : « Puisqu’il est question de la justice, tout en respectant le principe intangible de la séparation des pouvoirs prescrit par la Constitution, j’émets le vœu, en tant que garant des institutions, que s’ouvre, courant premier trimestre de l’année 2018, le procès des citoyens actuellement en garde à vue prolongée, accusés d’avoir troublé l’ordre public ou porté atteinte à la sûreté de l’État, au terme des scrutins référendaires et présidentiel de 2016. »
Même si les mesures de clémence présidentielle, en l’occurrence la grâce qu'il peut accorder à des tiers déjà condamnés, relèvent d'un pouvoir discrétionnaire, l'ancien ministre des Zones économiques spéciales Alain Akouala fonde son argumentaire sur « le sens de l'apaisement et de la consolidation politique », des leviers dont dispose le chef de l'État.
Les propos d'un ancien ministre et qui plus est, sur la radio nationale n'ont pas manqué de mettre en parallèle le sentiment de « deux poids, deux mesures » entre les cas Mokoko et Okombi par rapport au pasteur Ntoumi, dont les poursuites, au regard de l'accord de Kinkala, sont à l'évidence abandonnées, même si celui-ci a entre autres revendications, demandé la libération des personnes précitées.
Reste que s'inscrivant sur l'esprit du message du Président de la république qui semble « gêné » de « la garde à vue prolongée de certains citoyens », le procureur de la république, à défaut d'abandonner les charges et les poursuites, ordonne une liberté provisoire pour ces détenus qui le cas échéant resteront à la disposition de la justice, pour un procès devant s'ouvrir courant le premier trimestre 2018.
Détenu depuis janvier 2017, André Okombi Salissa est poursuivi pour « détention d'armes et tentative d'atteinte à la sécurité intérieure de l’État».
Le général à la retraite Jean-Marie Michel Mokoko a été inculpé pour « atteinte à la sûreté intérieure de l’État », et est détenu depuis plus d'un an déjà. Avec lui, sont également détenus des proches tels, l’ancien président du Conseil supérieur de la liberté de communication, Jacques Banangandzala, Anatole Limbogo Ngoka, Jean Ngouabi.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-01-08 11:01:44
Le coordonnateur national de la fédération congolaise des droits de l’homme, Germain Céphas Ewangui, a demandé au président congolais, Denis Sassou Nguesso de sauver l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville d’une année blanche.
Créé le 2018-01-06 14:52:51
Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a déploré ce samedi, à Brazzaville, la mauvaise utilisation des réseaux sociaux par les congolais.
Créé le 2018-01-06 14:22:54
Une voiture de marque Toyota RAV4 a été consumée par les flammes sur la route Moukondo-Kombo à hauteur du quartier le Bled, vers l'arrêt dit capitaine samedi.
La conductrice au volant d'une Toyota RAV4 de couleur grise n'a pas eu le temps de soigner le stationnement de la voiture dont la fumée inonde déjà l'habitacle, qu'elle en est sortie, comme si elle avait le feu aux trousses.
Bien sûr qu'il y avait le feu. À travers l'intense chaleur qui déjà léchait ses pieds aux niveaux des pédales, la conductrice avait vite compris que son moteur était en feu et qu'il n'y avait plus rien à faire, que de s'en échapper.
Selon les témoins, la jeune femme a précipitamment arrêté un taxi, abandonnant là, son véhicule qui fumait du capot.
Quelques jeunes présents sur les lieux ont tenté en vain d'ouvrir le capot d'où s'échappait déjà un feu ardent. En quelques instant, la voiture est devenue un brasier incandescent. Une gigantesque boule de feu dont même les pompiers n'ont pu venir à bout.
« Nous n’avons pas pu sauver la voiture. Le feu a été trop rapide », a dit l’un d’eux. Même les pompiers n’ont rien pu.
Ceux qui ont assisté de plus près à la scène rapportent que la conductrice marmonnait paniquée, ça sent de l'essence !
Même si l’origine de cet incendie est restée un mystère aux yeux des populations, tout porte à croire qu'une diorite défectueuse ait pu libérer de l'essence qui aurait provoqué l'incendie.
Cet incident pose une fois de plus le problème de la formation des chauffeurs et autres conducteurs de véhicules dans les villes congolaises.
Beaucoup d'entre-eux se limitent simplement à déplacer les véhicules, plutôt qu'à conduire, car ils méconnaissent jusqu'aux règles élémentaires du code de la route, et des signaux de danger, même s'ils sont détenteurs d'un « permis de conduire ».
Pour ceux-là, le contrôle et l'entretien usuel, tels le niveau d'eau ou le niveau d'huile, encore moins lire les voyants sur le tableau de bord restent l'affaire des mécaniciens. La seule jauge qu'ils savent lire c'est celle indiquant le niveau de carburant.
Sans doute un voyant avait averti du danger imminent. Mais, a t-il été interprété par la conductrice ?
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-01-06 11:29:51
Le ministre congolais des Postes, de la communication et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo, a inauguré récemment un centre socio-culturel moderne de la commune d’Abala dans le département des Plateaux.
Créé le 2018-01-06 10:56:00
Sur les eaux sombres et boueuses de la rivière Oubangui, un affluent majeur du fleuve Congo qui percent la forêt équatoriale, plusieurs chômeurs de la ville d’Impfondo, la capitale départementale de la Likouala (nord) qui compte près de 20 000 habitants, ont choisi l’extraction du sable pour survivre.
Créé le 2018-01-06 10:01:13
On croyait le phénomène éradiqué ou en passe de l'être avec l'opération « Uppercut ». Hélas, il n'en est rien. Les « bébés noirs » restent actifs et continuent de sévir.
Annoncée à grands renforts médiatiques, l'opération « Uppercut » visant à sécuriser les villes de toutes incivilités et actes de banditisme pendant les fêtes, n'aurait pas eu un réel impact, aux dires des populations qui continuent de subir les assauts des bébés noirs.
Si dans l'ensemble la quiétude a été préservée dans les villes et grands centres urbains pendant les fêtes, la terreur des bébés noirs a ressurgi aussitôt après à Brazzaville comme à Pointe-Noire où des agressions sont signalées dans les quartiers périphériques de Nkombo, Massengo, Mfilou ou Ngoyo.
Pour les populations, la trêve constatée ces deux dernières semaines s'explique par le fait que « les bébés noirs étaient aussi partis « manger » les fêtes. Les fêtes passées, ils ont repris leurs activités et veulent rattraper le temps perdu ».
En fait de temps à rattraper, c'est le violence des attaques qui inquiète. Celles menées jeudi dernier à Mfilou dans le 7ème arrondissement de Brazzaville auraient fait de nombreuses victimes.
L'angoisse des populations est si grande que ces attaques ont été perpétrées au crépuscule, 18 heures, un moment où la vie est encore bien intense dans les rues et avenues.
Au nombre des victimes, on compte l’angliciste Daniel Mboungou Mayengué qui s'en est sorti avec un traumatisme au crâne, quelques points de sutures sur la tête ainsi que de multiples contusions. Des blessures occasionnées par des attaques à la bouteille dont il a été la cible de la part de ces malfrats.
Daniel Mboungou-Mayengué: "C'était atroce, j'ai cru ma dernière heure venue"
Pour d'autres victimes, les blessures seraient encore plus graves et le pronostic vital serait engagé.
La colère dans la population de Mfilou est d'autant plus grande, qu'il y a quelques semaines à peine, police et bébés noirs avaient conclu une espèce de pacte citoyen, appelant à la fin des activités de bébés noirs des différentes « écuries » présentes à Mfilou.
Et de dire leur courroux : « au lieu d'arrêter les bandits qui volent, violent et tuent, la police négocient avec eux. C'est une façon de les entêter. Les mêmes bébés noirs qui avaient juré d'abandonner le banditisme ont repris leurs activités et c'est la population qui souffre à présent ».
La souffrance est d'autant plus grande que d'autres n'hésitent plus à prendre le raccourci de la compromission, osant même une accointance entre les bébés noirs et certains policiers « ripoux » qui leur assureraient l'impunité.
Pour d'autres encore, à l'instar de cet homme, la soixantaine révolue ; « la police ne veut pas se donner les moyens de régler le problème. Ce ne sont pas les discours devant les caméras, à la radio et à la télévision qui vont éradiquer le banditisme. La police et la justice sont trop laxistes. Il faut des véritables actions coup de poing. Faire comme disait Mao : « À violence réactionnaire, il faut opposer la violence révolutionnaire ». C'est le seul message que les bandits entendent. Le reste, c'est de l'eau sur des plumes de canard ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-01-06 10:00:07
La police nationale fait d’énormes sacrifices pour la sécurité des congolais. Cependant, il y a des pratiques aux antipodes des valeurs et missions de cette force de l’ordre. Le racket est devenu monnaie-courante dans presque tous les carrefours de la capitale politique Brazzaville et la capitale économique Pointe-Noire. Les policiers chargés de réguler la circulation routière s’y donnent à cœur-joie.
Créé le 2018-01-06 09:50:23
La pluie qui s'est abattue la nuit du 3 au 4 janvier a causé des nombreux morts dans les communes de Ngaliema, Bandalungwa, Barumbu, Limete et Selembao à Kinshasa, la capitale de la RDC.
Créé le 2018-01-05 15:59:33
Frayeur cette nuit à Bouaké dans le centre de la Côte d’Ivoire avec des tirs entendus au niveau du camp du 3e bataillon.
Créé le 2018-01-05 15:47:10
Au sujet de la guerre qui paralyse le département du Pool (sud) depuis avril 2016, le président congolais, Denis Sassou Nguesso a reconnu, en sa qualité de Chef suprême des Armées, le manque de soutien logistique aux troupes présentes sur le terrain des hostilités afin de neutraliser le chef de la rébellion, le pasteur Ntoumi et ses ninjas nsiloulous.
Créé le 2018-01-05 15:21:20
Le Congo-Brazzaville, logé dans le Groupe A, affrontera le Gabon le 17 janvier prochain à 17h30, à Libreville, dans le cadre de la Coupe d’Afrique des nations 2018 masculine de handball.
Créé le 2018-01-05 14:20:28
Le premier ministre congolais, Clément Mouamba a rencontré hier, à Brazzaville, les Diables Rouges avant leur départ pour le Royaume chérifien où ils disputeront le Championnat d’Afrique des nations (Chan).
Créé le 2018-01-05 12:12:11
Les Diables rouges du Congo quittent Brazzaville ce vendredi 5 janvier pour Rabat au Maroc pour une mise au vert d’acclimatation.
Créé le 2018-01-05 11:38:12