Magazine

  • Qui sommes-nous ?
  • Contact

Menus

  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville
  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
  • L'Ambassade des États-Unis pour le soutien des initiatives éducatives, linguistiques et professionnelles destinées à la jeunesse congolaise

    - -
  • Congo – Economie-forestière : Le safoutier a réalisé le taux le plus élevé des ventes de la 9e édition de la Foire aux plants

    - -
  • Congo - La Quinzaine du Gouvernement : Anatole Collinet Makosso a été face à la presse nationale et internationale pour décortiquer l’ouvrage « En toute transparence : 2021-2026, le bilan du quinquenn ...

    - -
  • Congo – Médias : Peggy Hossié s’en est allée, une étoile a rejoint le firmament

    - -
  • Congo : une baleinière prend feu au port de Yoro à Brazzaville

  • Congo : Un véhicule de la SNPC percute et casse l’aile droite d’un avion de Canair

Rechercher :

Total : 11270 résultats trouvés.

Page 377 sur 564

Liberia – Investiture : Mister Georges a prêté serment

George Weah a été officiellement investi président du Liberia à l'issue de sa prestation de serment devant des milliers de partisans en liesse et de nombreux chefs d’État africains, parmi lesquels Denis Sassou N'Guesso du Congo. Ce transfert de pouvoir entre deux présidents élus est le tout premier dans ce pays, depuis 1944.

L'homme des stades a eu pour stade comme cadre de son investiture dont la cérémonie s'est déroulée au stade Samuel-Kanyon-Doe, une enceinte de trente-cinq mille places bondée en périphérie de la capitale.

Le drapeau libérien a été abaissé puis hissé pour marquer la transition avec la présidente sortante, Ellen Johnson Sirleaf, 79 ans, première femme élue chef d’État en Afrique en 2005, face à George Weah.

Le nouveau chef de l’État, vêtu d'une tunique blanche, a prêté serment sur la bible devant le président de la Cour suprême, Francis Korkpor qui a pris acte du serment et l'a déclaré investi dans ses fonctions.

De nombreux chefs d’État ont assisté à la cérémonie, notamment le congolais, Denis Sassou N'Guesso, l'ivoirien Alassane Ouattara, le sénégalais, Macky Sall, le gabonais, Ali Bongo le sierra-léonais, Ernest Bai Koroma, le togolais Faure Ngassingbé, la vice-présidente gambienne, Fatoumata Tambajang, et le footballeur vedette camerounais, Samuel Eto'o ou encore l’entraîneur Arsène Wenger.

"J'ai passé beaucoup d'années de ma vie dans des stades, mais le sentiment que j'éprouve aujourd'hui est incomparable", a déclaré, le nouveau président devant une foule enthousiaste.

"Unis, nous sommes certains de réussir en tant que nation. Divisés, nous sommes certains d'échouer", a ajouté George Weah, qui est seulement, après Samuel Doe (1980-1990), le deuxième président de la plus ancienne république d'Afrique à ne pas appartenir à l'élite "américano-libérienne" descendant d'esclaves affranchis qui y domine la vie politique depuis cent soixante-dix ans.

Le nouveau chef de l’État a placé son mandat sous le signe de la lutte contre la corruption. "Nous devons y mettre fin. Nos fonctionnaires doivent avoir un salaire décent", a-t-il dit.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-01-22 20:46:52

Congo – Vie urbaine : Découverte du cadavre d'un homme au voisinage du camp Comus à Brazzaville

Le cadavre d'un homme apparemment la trentaine a été découvert dans l'herbe sur le mur de clôture du camp Comus au quartier Moukondo, à Brazzaville la capitale congolaise.

L'homme qui à première vue aurait été victime de sévices corporelles a été découvert gisant dans l'herbe où il a été vraisemblablement déposé après son décès car on y note aucune trace de sang.

Son corps sommairement vêtu présente des traces de coups. Et pour les populations ayant fait la macabre découverte, de désigner le camp de police qui jouxte le lieu de la découverte comme l'endroit d’où serait commis le forfait.

Autrement, nombreux se demandent, comment de tierces personnes se seraient-elles hasardées au voisinage de ce lieu où se tiennent de tout temps des hommes en armes susceptibles de tirer sans sommations tard dans la nuit, en y commettant leur forfait. Ils louchent plutôt sur les maîtres de céans qui se seraient débarrassés d'un homme n'ayant pu supporter les sévices auxquelles il aurait été soumis.

Des dires confortés par les marques des empreintes de semelles de chaussures militaires essaimées sur les lieux.

Dans un de ses rapports constitués sur la base de preuves et témoignages, l’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH), attirait déjà, il y a quelques années, l’attention du gouvernement sur l’irrégularité des procédures et les dérapages constatés lors des arrestations de personnes au camp Comus.

Sans doute le procureur de la république va t-il se saisir de cette affaire et diligenter une enquête afin de faire la lumière sur ce décès à proximité d'un endroit où tout citoyen se sentirait des plus protégé.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-01-22 10:53:54

RDC – Situation politique : Encore des morts à Kinshasa, entre Joseph Kabila et l'Église Catholique, c'est désormais la guerre

L'histoire serait-elle en train de se répéter en RDC ? Dire qu'on en revient au remake du conflit Mobutu-Cardinal Malula. Mais cette fois ci, sans doute par manque de pondération, Joseph Kabila ne fait pas dans la dentelle vis à vis du Cardinal Laurent Monsengwo, et déjà, les morts se comptent par dizaines.

Deux sorties des mouvements laïques de RDC, deux répressions sanglantes. La fin de mandat de Joseph Kabila dont l'Église de RDC demande qu'elle soit actée, charrie des flots de sang, au point que le pape qui se dit très inquiet, prend fait et cause, pour ses ouailles martyres.

"Aujourd'hui, des nouvelles très inquiétantes me parviennent de la République démocratique du Congo. Prions pour le Congo", a déclaré le souverain pontife depuis Lima, en référence à la répression des marches interdites lancées par un collectif catholique contre le maintien au pouvoir du président Joseph Kabila.

"Je demande aux autorités, aux responsables et à tous dans ce pays bien-aimé qu'ils mettent en œuvre tous leurs efforts pour éviter toute forme de violence et chercher des solutions en faveur du bien commun", a ajouté le pape François.

La contestation du régime du président Kabila est incarnée par un proche du pape, le cardinal et archevêque de Kinshasa Laurent Monsengwo.

Dimanche soir alors que le calme était revenu, la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) avançait un bilan provisoire de six morts à Kinshasa, avec des "allégations d'autres victimes", selon sa porte-parole.

La Monusco a estimé que l'usage de la force avait été disproportionnée, avec des tirs de lacrymogènes mais aussi de balles réelles, parfois en rafales, selon les témoins de la mort d'une jeune femme.

Des observateurs des Nations unies déployés sur le terrain ont eux-mêmes été "menacés et molestés" à Kinshasa, selon la porte-parole de la Monusco, qui les avait déployés pour instruire "d'éventuelles violations des droits de l'homme".

Les Nations unies font aussi état de 57 blessés chez les civils et 111 arrestations à Kinshasa et dans les autres grandes villes (Goma, Beni, Kinsangani, Lubumbashi).

De leur côté, les autorités congolaises parlent de deux morts à Kinshasa et de neuf policiers blessés, dont deux grièvement, selon le bilan du porte-parole de la police nationale.

Une des victimes a été tuée d'un tir à bout portant par un policier, qui a été arrêté et déféré devant la justice, a affirmé une source proche de la présidence.

Le 31 décembre, six personnes avaient été tuées dont cinq à Kinshasa lors de la dispersion d'une marche similaire, d'après les Nations unies et la nonciature apostolique, aucune d'après les autorités congolaises.

À Kinshasa, une jeune femme de 24 ans est décédée après un tir en rafales à l'entrée de l'église Saint-François-de-Salles dans la commune de Kintambo. Le décès a été confirmé par le père de la jeune fille, qui dit être officier de police. Il s'agit également du deuxième décès reconnu par les autorités, avec l'homme tué à bout portant.

Les autorités congolaises avaient une nouvelle fois interdit ces marches à l'appel du "comité laïc de coordination", qui a le soutien de l'épiscopat et de la nonciature (l'ambassade du Vatican).

Les organisateurs demandent au président Kabila, dont le dernier mandat a pris fin en décembre 2016, de s'engager publiquement à quitter le pouvoir.

Les prochaines élections présidentielles ne sont pas prévues avant le 23 décembre. Depuis les répressions du 31 décembre, l'Église catholique avait durci le ton contre le régime de Joseph Kabila, au pouvoir depuis l'assassinat de son père en 2001.

Le cardinal et archevêque de Kinshasa avait dénoncé entre les deux marches la "barbarie" de la répression et demandé à ce "que les médiocres dégagent".

Sur le terrain, les marcheurs de ce dimanche se sont montrés plus déterminés face aux policiers armés que le 31 décembre.

Dans le centre de Kinshasa après la messe, plusieurs centaines de personnes avec des rameaux et des bibles ont marché sur deux kilomètres entre la paroisse Christ-Roi vers la place Victoire avant de se heurter aux forces de l'ordre. Ils portaient des crucifix et des chapelets et chantaient en lingala "Maman Marie, viens sauver le pays".

Des curés et un des leaders de l'opposition, Vital Kamerhe, avaient pris la tête du cortège. D'abord inactive, la police a tiré des gaz lacrymogènes, auxquels les manifestants ont répondu par des jets de pierre.

Dans les provinces, onze personnes ont été blessées à Kisangani (nord-est), selon la Monusco. Dans cette ville, des marches ont tenté de se reconstituer après leur dispersion. 

La RDC interdit toute manifestation depuis les journées sanglantes de septembre 2016, qui avaient fait des dizaines de morts parmi les manifestants réclamant le départ de Joseph Kabila d'ici la fin de l'année.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-01-22 09:26:19

Congo : Le gouvernement et les ex-rebelles du Pool envisagent une levée du mandat d'arrêt contre le Pasteur Ntoumi

Le gouvernement et les ex-rebelles du Pool au Congo-Brazzaville ont envisagé une levée du mandat d'arrêt contre le chef rebelle le Pasteur Ntoumi, a indiqué samedi leur commission paritaire chargée de mettre en œuvre un accord de paix du 23 décembre.

Créé le 2018-01-21 18:21:44

CHAN 2018 : Le Congo s’est qualifié pour les quarts de finale en battant le Burkina Faso (2-0)

Le Congo-Brazzaville s’est qualifié pour les quarts de finale en battant le Burkina Faso à Agadir le 20 janvier (2-0).

Créé le 2018-01-21 18:01:54

Erosions à Brazzaville : Les travaux de construction des canaux de drainage ont débuté au quartier Ngamakosso

L’entreprise CRBC (China road and bridge corporation) vient de commencer les travaux de construction des canaux de drainage avec des canalisations au quartier Ngamakosso, dans le sixième arrondissement, Talangaï à Brazzaville afin de mieux résister aux érosions devenues récurrentes dans le secteur.

Créé le 2018-01-21 17:49:47

Paris (Quai d’Orsay) – Conférence sur le climat : l’Écrivain Congolais Michel Innocent PEYA vend le fonds bleu et la vision verte de Denis Sassou Nguesso

Créé le 2018-01-21 15:21:04

Crise en Libye : L’UA fait le point à Denis Sassou Nguesso

Président du comité de haut niveau des chefs d’Etat de l’Union africaine (UA) sur la crise en Libye, le chef de l’Etat congolais a échangé le 18 janvier, à Brazzaville, avec le conseiller stratégique du président de la commission de l’UA, Mohamed El Hacen Lebatt, porteur d’un message de sa hiérarchie. Le président de la commission de l’UA a tenu à informer le chef de l’Etat congolais des derniers développements de la situation en Libye, peu avant le prochain sommet des chefs d’Etat de l’union prévue du 28 au 29 janvier à Addis-Abeba, en Ethiopie.

Cliquez sur la photo pour lire la vidéo.

Créé le 2018-01-19 18:15:04

Congo : Heurts entre la police et les élèves du collège de l’Unité à Dolisie

Lors des obsèques d’un élève du collège de l’Unité, jeudi à Dolisie, les apprenants de cet établissement scolaire de la ville préfecture du Niari (sud) s'en sont pris aux forces de l'ordre.

Créé le 2018-01-19 12:37:01

Congo : Les Etats-Unis se réjouissent de l’accord de paix de kinkala

L’ambassade des Etats-Unis au Congo se félicite, dans un communiqué, des efforts pour un retour de la paix en cours dans le département du Pool (sud), saluant par la même occasion, la mise en place du Comité ad hoc chargé d’examiner les différents points inscrits dans l'accord de Kinkala du 23 décembre dernier.

Créé le 2018-01-19 11:15:02

Congo : Un camion de distribution prend feu en pleine circulation au village Les Saras

Un camion de distribution dont le propriétaire n’a pas encore été identifié, a pris feu au village Les Saras dans le Mayombe (sud), pendant qu’il roulait vers Dolisie dans le Niari, a-t-on appris de sources concordantes.

Créé le 2018-01-19 10:41:46

Exploitation artisanale de l’or : Les jeunes de Mayoko dedans !

L’exploitation artisanale de l’or connait un boom sans précédent à Mayoko dans le Niari (sud), malgré son corollaire de dégâts humains et surtout environnementaux. Sous un soleil d’aplomb, des dispositifs gisent sur l’aire inexploitée de surfaces cultivables, transformées en carrière pour la circonstance, ou plutôt pour la cause de chercheurs d’or sans scrupule et sans licence- des puits d’or. Moins nombreuses, des tentes de fortune sont dressées pour abriter les infortunés « mineurs ».

Créé le 2018-01-19 10:13:03

Congo – Négociations sur la crise du Pool : Le pasteur Ntoumi va quitter son treillis

L'un des points cruciaux sur lequel achoppent les négociations en cours à Brazzaville, c'est le cas personnel du pasteur Ntoumi, eut égard aux poursuites lancées à son encontre. La question est en passe d'être réglée, même s'il reste à fixer les modalités de son statut d'ex combattant.

Même si elles se déroulent à huis clos, au fur et à mesure qu'elles avancent, les négociations sur la paix au Pool dégagent l'immensité du désastre dans le département, et dessinent avec force-détails, les responsabilités des uns et des autres, au point de dire : « tout le monde est coupable ».

Il ne prend physiquement pas part aux négociations, pourtant le pasteur Ntoumi bénéficie bien d'un briefing permanent sur ce qui se dit. Ses délégués qui lui font régulièrement le point sur le déroulement des débats et les avancées obtenues, passent par des relais de communication qui transitent par l'extérieur du pays, avant de rallier les forêts du Pool, rendant inopérant tout traçage du signal.

Malgré les négociations l'homme n'est pas moins précautionneux. « On ne se laisse jamais mordre deux fois par le même serpent », disent ses représentants.

De par la force de l'argumentaire, la concision des faits et leur matérialité sur le terrain, il va s'en dire, que même si ses hommes faisaient le coup de feu contre l'armée, le pasteur Ntoumi constituait également, jour après jour, un dossier à charge contre la Force publique, de la situation sur le terrain au regard des moyens disproportionnés engagés, et leurs effets indus, réduisant du même coup les actions des ninjas nsiloulou à des « actes d’autodéfense ».

Jours. Lieux. Actions. Bilans humains. Bilans matériels. Tout a été consigné. En somme, des mémoires chronologiques de la guerre, avec parfois des clichés réalisées avec des téléphones portables sur les théâtres d'opérations.

Et les langues se délient pour dire l'évidence, parfois la mort dans l'âme.

« Des villages incendiés, des arbres fruitiers abattues à la tronçonneuse, pour dit-on nous couper de tout ravitaillement. Le bétail et la volaille prélevés et décimés en guise de ration de guerre pour les soldats. Les jeunes gens trouvés dans les villages arrêtés. Certains étaient abattus sur place, d'autre amenés pour des interrogatoires dont ils ne sont jamais revenus...»

« Nous avons la liste des personnes disparues que nous mettons à votre disposition. La commission mixte peut descendre sur le terrain et imputer les disparitions en fonction des forces en présences à tel ou tel autre endroit... »

« Nous avons la liste des villages systématiquement ou partiellement détruits. La commission pourra évaluer quel type d'arsenal a causé ces dégâts et qui l'a en dotation et dire le cas échéant si ces destructions représentaient une avancée militaire ou s'agissait-il de la politique de la terre brûlée ».

Un dossier qui n’exonère pas la Force publique de tout reproche, car des dommages collatéraux, on est passé aux bavures. Et son poids dans la balance, vaut pour tous, de « laver le linge sale en famille ».

Hors du Congo, les soutiens et cellules intellectuelles du pasteur Ntoumi suivent également de très près les discussions et recommandent de « tenir bon ».

Leur dernier haut « fait d'arme », la déclaration du pasteur Ntoumi, rédigée d'un autre continent, transcrite au moyen de sa valise satellitaire domiciliée au Canada et lue par lui dans la forêt, vers 16 heures, en témoignent le chant des oiseaux et des moucherons en fond sonore, a produit l'effet escompté.

Cette déclaration est bien une pierre d’achoppement dans les discussions.

Quels que soient les griefs que les uns reprochent aux autres et ce, vise-versa, la volonté de se surpasser l'emportent sur les ressentiments qui auraient pu y prévaloir, ce avec une dose de spiritualité, avec un « esprit de pardon » affiché, « dans le souci de contribuer à rétablir et à consolider la Paix, l'Unité nationale et la Démocratie en République du Congo », ainsi que le stipule le préambule de l'accord de Kinkala.

Tous les négociateurs ont à l'esprit que « la paix par les armes est une guerre en sursis ». Il se sont alors armés de courage, afin de ne pas « laisser aux mains de la force, la solution des conflits que la raison peut résoudre. » Qui plus est, entre fils et filles d'un même pays.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-01-19 07:51:56

Congo : Des maisons détruites par une pluie torrentielle au village Mboukoulou

Plusieurs maisons dont on ignore encore le nombre exact ont été écroulées et d’autres ont des toitures enlevées par le vent de la pluie torrentielle qui s’est abattue ce jeudi matin sur le village Mboukoulou dans le district de Louvakou (sud).

Créé le 2018-01-18 12:56:33

France : La carte bancaire fait aussi son entrée dans les églises des pasteurs congolais

La quête numérique. Plusieurs églises tenues par des pasteurs congolais de Kinshasa ou de Brazzaville, en région parisienne, ont franchi le pas depuis quelques mois. Un service rendu aux fidèles utilisant de moins en moins les billets et les pièces de monnaie. Qui ne s’est pas retrouvé un jour, au cœur d’une célébration, sans pièce à déposer dans la corbeille passant de main en main ?

Créé le 2018-01-18 12:11:34

CAN de handball 2018 : Le Gabon s’offre le Congo (27-22)

Le Gabon s’est imposé mercredi soir à Libreville, contre le Congo-Brazzaville (27-22) en ouverture de la 23ème édition de la Coupe d’Afrique des nations de handball version séniore qui se jouera dans la capitale gabonaise du 17 au 27 janvier 2018.

Créé le 2018-01-18 11:35:04

Congo – Vœux du nouvel an : Claudine Munari souhaite « un nouveau Congo » pour ses compatriotes

Obéissant à la tradition des vœux pour le nouvel an, la présidente de la Fédération de l'opposition IDC-Frocad-J3M, Claudine Munari, a diffusé un message le 17 janvier à Brazzaville. Elle y réitère son credo : « Un autre Congo est possible ».

Dans ce message qui épouse les points de vues de tout temps défendus par la plate-forme qu'elle dirige, Claudine Munari a d'emblée rappelé ce qui a ses yeux a été l'année 2017 pour le Congo. Une année dont elle dresse un bilan des plus néfaste au plan politique, sécuritaire, social, économique et financier.

Pour Claudine Munari, cette situation est la résultante de l'entêtement de l'État.

À propos du conflit du Pool, elle écrit : « La fédération de l'opposition congolaise, « opposition politique extraparlementaire », et tous ses dirigeants sont réellement satisfaits de voir s'éloigner le spectre des violences gratuites contres des personnes qui ne demandent qu'à vivre leurs vies. Mais, notre ressentiment reste entier, cette guerre n'aurait jamais dû avoir lieu ».

Reprenant à son compte le mot « rupture », Claudine Munari a conclu : « Notre pays va mal. Sur tous les plans, il a besoin de solutions qui partent d'une volonté de bien faire, non pas d'un besoin effréné de domination et de puissance ».

Comme premier chantier pour la nouvelle année, Claudine Munari, égale à elle même, a donné le ton : « Le premier trimestre de l'année 2018 ne sera pas celui au cours duquel nos compagnons de lutte seront sacrifiés dans des parodies de procès. Ou bien il seront libérés, ou bien on nous condamnera avec eux ».

Enfin, de souhaiter, « que 2018 tourne la page des souffrances passées, qu'elle soit une bonne et heureuse année pour tous nos concitoyens ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-01-18 10:14:30

Congo : Le ministre de l’Intérieur Raymond Zéphirin Mboulou prône la paix avec l’opposition

Le ministre congolais de l’Intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou a adopté un ton conciliateur mercredi à Brazzaville, à l’égard de l’opposition, dans le discours qu’il a prononcé à l’occasion de la première réunion de la Commission ad hoc mixte paritaire, composée de douze représentants du gouvernement et de douze autres du pasteur Ntoumi.

Créé le 2018-01-18 09:17:34

Congo – Marchés publics : Jean Didier Elongo interpelle les maîtres d'ouvrage et récuse les incriminations portées contre sa structure

Le directeur général du Contrôle des marchés publics (DGCMP), Jean Didier Elongo, a interpellé, le 17 janvier à Brazzaville, tous les maîtres d’ouvrage et le maître d’ouvrage délégué de lui faire parvenir, après le vote du budget, les plans annuels de passation des marchés publics. Un document indispensable, avant la mise en mouvement leur marché.

Jean Didier Elongo qui entend remettre de l'ordre dans le processus, a dit sa fermeté pour cette année. Aucun marché non planifié ne sera mis en mouvement.

« Un marché non planifié est nul. Ce document étant obligatoire car il est la pièce maîtresse qui planifie les marchés du secteur concerné de l’année », a-t-il précisé.

Jean Didier Elongo a par ailleurs indiqué qu’au début de chaque année, les maîtres d’ouvrages que sont les ministères sectoriels, les conseils départementaux, les établissements publics, les mairies et autres investisseurs majoritaires de l’État, envoient les plans annuels de passation des marchés à la DGCMP pour validation.

« Une fois le plan validé, il est renvoyé chez le maître d’ouvrage qui a son tour l’envoie à l’Agence de régulation des marchés publics pour publication », a-t-il confié.

Récusant les velléités d'enrichissement et de détournement au travers des dits marchés publics, qui lui sont imputées, Jean Didier Elongo a démontré que sa direction générale ne participe nullement aux transactions financières qui se font entre le maître d’ouvrage et l’opérateur économique retenu par celui-ci pour exécuter un chantier.

Après le visa, le DGCMP envoi le marché auprès de l’autorité régulatrice qui est selon le montant, soit le ministère des finances soit la présidence de la République. Tant que le marché n’est pas approuvé, celui-ci reste à l'étape de projet. C'est son approbation qui lui donne une force exécutoire.

Et de conclure : « Une fois approuvé, le marché devient la propriété de l’opérateur économique qui l’injecte dans le circuit de la dépense. Il se fait payer au trésor public pour exécuter ledit marché de connivence avec le maître d’ouvrage ou le maître d’ouvrage délégué qui organise ainsi les réceptions d’ouvrage auxquelles la DGCMP ne participe pas ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-01-18 08:35:32

Congo : Une forte pluie cause un mort et des dégâts matériels importants à Kimongo

La pluie diluvienne du 16 janvier 2018, a causé la mort d’un élève du collège de Kimongo dans le Niari (sud), Jorny Ngatseké, 22 ans. Il a été frappé par la foudre. D’autres élèves, 4 au total ont été grièvement blessés et admis à l’hôpital de référence de Dolisie pour des soins intensifs.

Créé le 2018-01-18 08:18:00

  • Début
  • Précédent
  • 372
  • 373
  • 374
  • 375
  • 376
  • 377
  • 378
  • 379
  • 380
  • 381
  • Suivant
  • Fin
Copyright © 2025 Les Echos du Congo Brazzaville - Tous droits réservés .