Total : 11270 résultats trouvés.
Page 372 sur 564
Les USA sont déterminés à débloquer une enveloppe de 30 millions de dollars, soit environ 15 milliards de FCFA, pour financer les cantines scolaires à travers le Programme alimentaire mondial (PAM).
Créé le 2018-02-14 19:02:54
Le ministre congolais des Postes, Télécommunications et de l'Economie Numérique, Léon Juste Ibombo a procédé mardi 13 février 2018, au lancement de la plateforme de sensibilisation sur la sécurité numérique (PSSN) en vue de promouvoir la culture de la cybersécurité et vulgariser les bonnes pratiques de sécurité du numérique au Congo.
Créé le 2018-02-14 18:06:57
Au Congo-Brazzaville, la crise touche tous les secteurs d’activités partant du public au privé. Et pourtant, le pays avait 4.000 milliards de francs CFA de budget annuel, 5% de taux de croissance et 1.000 milliards d’épargne budgétaire en 2013. Comment sauver le pays de ce marasme économique ? Le président de l’Union pour la refondation républicaine, parti du centre, Roger Ndokolo dont la seule ambition a toujours été l’amélioration du bien-être du peuple congolais, propose de rompre avec « la corruption, la fraude, la concussion, le trafic d’influence et le laxisme » pour afin tirer le Congo du bourbier du désespoir.
Créé le 2018-02-14 11:38:19
Un mini sommet se tient ce 14 février à Kinshasa, regroupant les Présidents Denis Sassou N’Guesso du Congo-Brazzaville, João Manuel Gonçalves Lourenço d’Angola et Joseph Kabila Kabange de la République démocratique du Congo.
Cette rencontre est initiée par Denis Sassou N’Guesso, en sa qualité de Président en exercice de la Conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL) et Président du Mécanisme de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC.
Les débats entre les trois Chefs d’État tourneront autour des questions liées à la paix et la sécurité dans la région des Grands Lacs. Il pourrait s’agir de la poursuite des discussions entamées le 9 décembre dernier à Brazzaville.
Parmi les sujets qui avaient été évoqués à cette occasion par les trois Chefs d’État, figuraient la publication du calendrier des élections en RDC et l’aboutissement du processus électoral au Kenya avec l’élection du Président Uhuru Kenyatta.
S'agissant de la RDC, les Présidents Denis Sassou N’Guesso et João Laurenço avaient été très clairs avec leur homologue Joseph Kabila Kabange, en exprimant leurs grandes inquiétudes sur la situation politique qui prévaut dans ce pays.
«La RDC est la mère de toutes les crises. Car, ce qui s'y passe affecte toute la région des Grands Lacs», déclarait récemment le ministre angolais des Affaires étrangères, Manuel Domingos Augusto.
Aux yeux des Présidents Denis Sassou N’Guesso et João Laurenço, ainsi que de plusieurs observateurs de cette situation d'ailleurs, la tenue des élections à la date fixée par la commission électorale, c’est-à-dire le 23 décembre 2018, est une condition sine qua non pour la paix en RDC.
Le Comité laïc de coordination, initiateur des marches des chrétiens, exige que le Président Kabila ne se présente pas à la prochaine présidentielle, pour avoir terminé ses deux mandats constitutionnels.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source Portail 242 info
Créé le 2018-02-14 10:23:44
« Une fois n'est pas coutume », pourtant le détail de cette Saint Valentin est tout un symbole en ce 14 février 2018. Le soir, temps des amoureux coïncide avec celui du derby Réal Madrid – Paris Saint-Germain, avec Cristiano Ronaldo d'un coté et Neymar de l'autre. Entre l'amour conjugal et l'amour du ballon rond, l’exception va confirmer la règle, surtout en ces temps de crise.
Une Saint Valentin à la maison, et qui plus est avec un conjoint devant la télé, des nombreuses femmes s'apprêtent à la vivre comme un cauchemar, en ce 14 février, consacré aux amoureux.
Pour de nombreux congolais dont les dépenses obéissent désormais à des calculs drastiques pour nouer les deux bouts de mois devenus à rallonge, toute occasion d'économiser est la bienvenue. Et, une sortie de moins est également une dépense de moins, même si c'est pour le triomphe de l'amour.
Depuis que, faute d'argent, certains hommes congolais ont rompu d'avec les « bureaux annexes », surtout sans enfants, ils se consacrent au foyer légitime, avec une rigueur de gestion désormais transparente, afin de ne pas donner au partenaire, l'illusion d'une bourse toujours garnies.
En cette Saint Valentin 2018, les choses semblent réduites au strict minimum pour beaucoup d'hommes qui font comprendre à leur partenaire que ce ne sera pas la dernière, qu'il y en aura d'autres et que l'on fêtera à l'évidence avec faste.
Entre le téléphone fermé, pour ceux qui « trop embrassent », et l'affiche footballistique planétaire Réal-Psg, les dieux de l'amour sont à l'évidence partagés et c'est de bon augure.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-14 09:54:46
L'arrestation de Jean Didier Elongo, un homme du sérail est favorablement accueillie par les congolais qui espère que le président Sassou a enfin compris leur souhait, celui de voir être sanctionnés tous ceux qui s'illustrent par les anti-valeurs qu'il a de tout temps dénoncées.
« La rupture doit se compléter de la rigueur, afin que la sanction s’impose à tous les échelons de la hiérarchie sociale, économique et administrative», disait Denis Sassou N'Guesso.
« Encore un discours, encore des mots et des paroles, toujours les mêmes et qui ne produisent rien, car le président ne dénonce pas, il agit », s'était emporté Pascal Tsaty Mabiala, commentant le message du président Denis Sassou N'Guesso, devant le parlement réuni en congrès.
Au regard des événements de ces derniers jours, le chef de l'opposition doit à coup sûr regretter le verbatim utilisé, pour constater que quelque chose bouge dans le pays. Et cela va bien dans le sens du souhait de la majorité des congolais, celui de « voir Sassou sanctionner ».
De partout, les discussions vont bon train dans l'opinion où le mot « enfin ! » est prononcé pour commenter l'interpellation de Jean Didier Elongo, un homme du sérail en matière économique.
On en espère bien d'autres, et de dire : « c'est ce que l'on attendait du président. Qu'il sanctionne ceux qui sont en faute et congratule les méritants afin que la république soit exemplaire et que cesse le vol ».
Cette république exemplaire, débarrassée des oripeaux de la corruption, de la gabegie et autres anti-valeurs, Denis Sassou l'avait appelée de tous ses vœux, le 30 décembre dernier, mettant chacun devant ses responsabilités.
À la DGST où le message a été entendu 5 sur 5, on s'est débarrassé de certains complexes d'affinités qui empêchaient parfois que des enquêtes initiées aboutissent, pour des personnes dont l'image était à l'évidence préservée.
Désormais, le pôle économique et financier de la DGST travaille sans discontinuer, sur la base des indices probants qui deviennent des dossiers dévoilant un enrichissement illicite sur lequel de nombreux congolais devront se justifier.
Beaucoup de ceux qui sont désormais dans le collimateur de la DGST, regrettent l'étalage qu'ils ont fait de leur pseudo richesse, avec des constructions évaluées à plusieurs milliards de Francs, des parcs automobiles qui se chiffrent en centaines de millions, sans compter le train de vie et la smala de foyers à gérer, aux quatre coins du pays.
Désormais, comme tous les congolais, la DGST pose les mêmes questions. « À combien s'élève votre salaire. À combien se chiffrent vos investissements. Quelles sont vos autres sources de revenus. Depuis combien de temps travaillez-vous, pour avoir amassé pareille fortune ... »
Reste que la Justice devra accompagner l'action des services de renseignement, et le conseil de la Magistrature du 20 février promet un véritable rappel à l'ordre pour l'institution devant garantir la lutte contre la corruption, la gabegie et toutes les anti-valeurs qui minent le développement national.
«Près de deux ans après l’énoncé de cette directive (rupture), je réitère mes propos pour dire que la rupture concerne la lutte contre les anti-valeurs. C’est la primauté du droit et de la justice sur l’arbitraire et l’impunité. Ce postulat tire son objectivité de l’application du principe de la sanction», disait le président de la république. Nous voici passés de la parole aux actes.
L'opération est désormais lancée. Elle sonne la fin de l'impunité pour les auteurs de crimes économiques. Pourvu qu'elle ratisse large...
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-14 08:36:59
A cause d'un SMS intercepté par cette épouse jalouse, son mari a failli perdre la vie. Françoise Mavoungou, 47 ans, a tenté de trancher la gorge de son époux avec un couteau de cuisine. Fort heureusement, la victime a survécu à cette agression au quartier Mvoumvou à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo.
Créé le 2018-02-13 13:45:01
Panique générale à Dolisie dans le Niari (sud). Des tentatives d’extorsions d’argent et de viol de femmes et de jeunes filles ont été signalées, selon la police ayant une connaissance de première main de la situation.
Créé le 2018-02-13 12:42:18
Par un décret publié à Brazzaville, le Président Denis Sassou N'Guesso a convoqué le Conseil Supérieur de la Magistrature en session ordinaire pour le 20 février 2018. Cette convocation s'inscrit en droite ligne de la volonté du chef de l'État congolais, de réformer de la justice, exprimée dans son message sur l’état de la Nation devant le Parlement réuni en congrès.

La session du Conseil Supérieur de la Magistrature qui se tiendra prochainement à Brazzaville est vivement attendue de tous.
Dans son message du 30 décembre dernier, le président Denis Sassou N'Guesso en avait esquissé les grandes approches, pour «insuffler plus d’efficacité à la justice congolaise gangrenée par la corruption».
Aussi, il sera question à cette rencontre, d’examiner les questions liées au fonctionnement de la justice dans le pays et de la lutte contre la corruption qui ronge les institutions de la République, avait-il expliqué dans son message.
Le Chef de l’État a prescrit que la lutte contre la corruption soit menée dans tous les secteurs de l’État et plus particulièrement au niveau des régies financières et les magistrats en sont les principaux garants.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-13 10:08:33
Le Japon a octroyé lundi 12 février au Congo, selon un accord de don, une aide de 2,75 millions de dollars (plus de 1,3 milliard de FCFA) destinée au financement d'un projet de promotion des moyens de subsistance durable dans le département du Pool (sud) en faveur de ses populations vulnérables qui sortent d'une latente crise.
Créé le 2018-02-13 09:20:36
Jean Didier Elongo n'a pas sa langue dans la poche, surtout en matière de partage de responsabilités. À la DGST où il est entendu, et où il vient de passer sa troisième nuit, l'homme s'est montré bien loquace, plaçant le ministre Gilbert Ondongo au cœur d'un système dont lui ne serait qu'un des maillons.
Le ministre Gilbert Ondongo devrait être entendu dans les heures qui viennent par les enquêteurs de la DGST sur des dossiers portant sur des marchés liés au fonctionnement du Chu à l'époque où il était ministre des finances. C'est sur ces mêmes dossiers que Jean Didier Elongo est entendu à la DGST depuis trois jours.
Les enquêteurs ont mis à jour un système de détournement de fonds publics savamment organisé par un réseau bien outillé de « gros bonnets ».
Vraisemblablement, Jean Didier Elongo devrait être déféré à la maison d'arrêt centrale de Brazzaville.
Et si madame Ambiéro qui en son temps, dénonçait un système mafieux dans la gestion du CHU avait raison ?
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-13 09:14:28
Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba entame ce mardi une tournée africaine dans quatre Etats membres de la CEEAC. Objectifs de ces consultations avec ses pairs de la sous-région : discuter de sujets d’intérêt commun relatifs au fonctionnement de la communauté d’une part en vue du renforcement de la coopération bilatérale entre le Gabon et ces pays amis d’autre part.
Créé le 2018-02-13 08:51:58
Depuis plus de deux jours déjà, le directeur général du Contrôle des marchés publics, Jean Didier Elongo est entendu à la DGST. L'homme qui disait serein, « y aller pour répondre aux questions », n'en est toujours pas ressorti et ce n'est pas bon signe.
Le 17 janvier dernier Jean Didier Elongo expliquait devant la presse que sa direction générale ne participe pas aux transactions financières qui se font entre le maître d’ouvrage et l’opérateur économique retenu par celui-ci pour exécuter un chantier. Aussi assurait-il que tout ce qui se disait sur lui n’était pas fondé, car il n’intervient pas dans la transaction financière dans la procédure d’octroi des marchés publics.
En dépit de ces dénégations spontanées, l'homme a tout de même été convoqué à la DGST où il est toujours entendu, non pas pour des dossiers liés aux grands travaux, mais sur le Centre hospitalier universitaire de Brazzaville.
Depuis quelques temps, les agents de la DGST ont révolutionné leurs méthodes de travail. Ils accumulent préalablement les éléments de preuve avant une quelconque interpellation, plaçant de facto l’intéressé devant le fait accompli. S'en suivent les aveux.
Informé d'une éventuelle convocation à la DGST, Jean Didier Elongo avait improvisé une « communication-déminage » qui aura conforté le dicton : « qui s'excuse, s'accuse ».
Selon quelques indiscrétions, « Jean Didier Elongo est mal barré» et il ne fait aucun doute qu'il sera dans les prochains jours déféré devant le procureur de la république qui lui signifiera son placement à la Maison d'arrêt, tant les éléments à charge contre lui constituent un dossier bien lourd.
Dans cette affaire, outre Jean Didier Elongo, des médecins chevronnés et des cadres ayant exercé au ministère de la Santé sont dans le collimateur des agents de la DGST.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-13 08:00:13
La chute drastique des prix du pétrole au niveau international expliquerait toute la lenteur de l’ensemble des chantiers engagés par le gouvernement congolais à travers le pays. Le marché central de Pointe-Noire subit les mêmes affres de cette crise financière. Le chantier est au point mort depuis son lancement en juin 2017, alors que le délai d'exécution est fixé à vingt-quatre mois.
Créé le 2018-02-12 14:16:41
Le mensonge est aujourd’hui devenu un moyen très utilisé pour discréditer afin d’écarter ou d’éliminer un homme ou une femme qui peut devenir une alternative crédible. Depuis l’aube des temps, le mensonge a toujours été utilisé en politique, mais les réseaux sociaux en ont fait aujourd’hui une arme redoutable. Il suffit d’une petite insinuation, rien de tangible, une large amplification et voici l’autre couvert d’opprobre. Les tribunaux sont engorgés par les procès en diffamation. Les condamnations se succèdent. Mais tant pis ! Le mal est fait. Le but est atteint.
Créé le 2018-02-12 13:14:52
Le mensonge est aujourd’hui devenu un moyen très utilisé pour discréditer afin d’écarter ou d’éliminer un homme ou une femme qui peut devenir une alternative crédible. Depuis l’aube des temps, le mensonge a toujours été utilisé en politique, mais les réseaux sociaux en ont fait aujourd’hui une arme redoutable. Il suffit d’une petite insinuation, rien de tangible, une large amplification et voici l’autre couvert d’opprobre. Les tribunaux sont engorgés par les procès en diffamation. Les condamnations se succèdent. Mais tant pis ! Le mal est fait. Le but est atteint.
Créé le 2018-02-12 13:14:52
L’administrateur-maire du 2e arrondissement de Brazzaville, Simone Loubienga vient de lancer l’opération d’assainissement des grandes artères et autres lieux publics, le premier samedi de chaque mois à Bacongo.
Créé le 2018-02-12 11:39:30
Asante Kotoko du Ghana a dominé dimanche CARA du Congo –Brazzaville sur un score de un but à zéro (1-0) dans le cadre du tour préliminaire aller de la Coupe de la Confédération CAF.
Créé le 2018-02-12 10:10:26
Une jeune fille prostituée, la vingtaine révolue, a été violée, poignardée et étranglée à mort dans le périmètre du lycée de la ville de Nkayi dans le département de la Bouenza (sud).
Créé le 2018-02-12 09:42:37
La Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH) a adressé ce samedi 10 février une lettre ouverte au président congolais, Denis Sassou Nguesso pour demander la libération de Noël Miananzambi Boyi, un activiste des droits de l'homme qui serait arbitrairement détenu depuis un peu plus d'une année à cause de ses accointances avec le pasteur Ntoumi.
Créé le 2018-02-10 22:53:32