Dans une lettre manuscrite adressée au doyen des juges d'instruction du tribunal de grande instance de Brazzaville, faisant prévaloir son immunité juridictionnelle, Jean Marie Michel Mokoko dit arrêter toute participation à une procédure qui ne lui « offre aucune garantie d'une administration judiciaire équitable et surtout fiable ».
Voici le fac-similé de ladite lettre et publiée par ses avocats et parvenue à notre rédaction.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville