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Grosse frayeur à l’école primaire de Moungoundou sud dans le Niari (sud). Les élèves ont été surpris, lundi dernier, vers 10 heures, par une visite pas comme les autres. Il ne s’agit guère d’un inspecteur ni d’une quelconque personnalité venant suivre le cours du jour présenté par leur enseignant. Et pour cause, une couleuvre d’une longueur d’un mètre s’est faufilée entre les tables avant de rejoindre la poutre de la salle de classe où elle trouva refuge.
Créé le 2018-02-28 12:05:33
Le président du Sénat et celui de l’Assemblée nationale, Pierre Ngolo et Isidore Mvouba ont procédé, le 27 février, à la visite du chantier du futur siège du Palais du parlement.
Accompagnés du ministre de l’Aménagement du territoire et des grands travaux, Jean-Jacques Bouya, de l’ambassadeur de Chine au Congo, Xia Huang et d'autres personnalités, les présidents des deux chambres ont commencé la visite par un échange avec la partie chinoise au cours duquel celle-ci a présenté l’ouvrage en construction avant la visite des lieux.
« Nous venons de visiter un grand symbole de la force des relations qui existent entre nos deux pays, la République populaire de Chine et la République du Congo. Ce chantier se fait grâce à un apport, un sacrifice de nos partenaires. Il est un don de la Chine au Congo et un grand don. Il est évalué à 34 milliards 500 millions de CFA. Ce n’est pas rien surtout en cette période où la conjoncture est difficile. Les travaux ici évoluent sans problème et nous sommes très contents. Nous disons merci à nos amis chinois. Notre espoir est que dans les délais fixés le parlement congolais aura un siège, ce qui est un grand pas », a déclaré le président du Sénat.
Pour sa part, le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba, a confié que « ce nouveau siège du parlement arrive à point nommé et au regard de la présentation qui a été faite, nous avons hâte d’y intégrer le plus vite possible ».
Ce chantier occupe une surface totale de 47 000 m2. La surface de construction est d’environ 24 000 m2 avec 23 589 m2 de construction superficielle et 411m2 de construction souterraine comprenant les bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat.
Les travaux sont exécutés par la société Jiangsu provincial corporation (JPC) pour une durée de 3 ans. Le chantier sera livré en 2020.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-28 11:08:24
Ce n’est pas la fête pour Nazaire Mboungou, 21 ans, de nationalité congolaise. Pourtant, jeudi dernier, il célébrait son anniversaire en famille. Vendredi après-midi il a été interpellé par les policiers de Makabana dans le Niari (sud). Rien de catastrophique, une «petite affaire », concède son père Philippe Mboungou : « Il a tenté de voler une boîte de conserve chez un commerçant malien de la ville ».
Créé le 2018-02-28 09:45:38
Pour tous ceux qui désirent se rendre à Dolisie, il faut se munir de patience et de foi. Désormais, il faut toute une journée de route non-stop pour pouvoir rallier la capitale départementale du Niari à partir de la ville de Kimongo (sud). Les 4 heures d’avant n’appartiennent désormais qu’au passé.
Créé le 2018-02-28 09:24:05
Pour des raisons de modernisation de sa plate-forme, le média en ligne, Les Echos du Congo Brazzaville, a revu sa page d’accueil avec la même audace : mieux informer ses lecteurs pour un futur meilleur.
Créé le 2018-02-27 17:19:34
La route du quartier Ngamakosso au nord de Brazzaville s’est coupée en deux sur un tronçon d’au-moins 100 mètres. Le délabrement a été causé par la pluie diluvienne qui s’est abattue dans la nuit du 18 au 19 février 2018 sur la capitale du Congo.
Créé le 2018-02-27 16:00:26
Deux jours après la pluie torrentielle qui a tué quatre personnes au village Les Bandas dans le district de Louvakou (sud) sans oublier plusieurs dégâts matériels, le préfet du département du Niari, André Ovu est venu exprimer la solidarité nationale aux sinistrés et poser ses deux mains sur les épaules des familles cruellement éprouvées.
Créé le 2018-02-27 15:07:13
Pendant plusieurs décennies, on ne savait pas grand-chose du département de la Sangha (nord), si ce n’est qu’elle était en grande partie recouverte d’une dense forêt primaire, sillonnée de cours d’eau et relativement plate, à l’exception de sa partie ouest, avec le mont Nabemba (1 100 m), le plus haut du pays. À part les forestiers, le département attirait peu d’investisseurs, principalement à cause de son enclavement.
Créé le 2018-02-27 14:04:45
C’est le soulagement à Brazzaville. Plusieurs citernes de carburant en provenance de Pointe-Noire, la capitale économique du pays, et appartenant à la société SCLOG, défilent depuis ce mardi matin, pour le ravitaillement de la ville capitale qui se pose depuis plusieurs mois, depuis notamment la multiplication des attaques et braquages sur l'axe Brazzaville-Loutété sans oublier la destruction d’une bonne partie du chemin de fer dans le département du Pool (sud) par les ninjas nsiloulous du pasteur Ntoumi.
Créé le 2018-02-27 13:14:55
Le conseil des ministres se réunira ce mercredi 28 février 2018 à 10h au Palais du Peuple sous la haute autorité du Président Denis Sassou N'Guesso. Les dossiers économiques sont pour l'essentiel inscrits à l'ordre du jour.
De la relance de l'économie à la diversification de l'économie, sur fond de réduction des cours du pétrole, le gouvernement congolais s'emploie depuis quelques temps à redresser les équilibres macroéconomiques, en dépit de la situation difficile.
Les réflexions menées lors du conseil de cabinet du 15 février dernier seront portées sur la table du conseil des ministres, afin d'y donner corps.
Il va s'en dire, qu'en dépit de la situation économique fortement dégradée, du fait des cours des matières premières dont le Congo est fortement tributaire, il subsiste des raisons d’espérer une embellie à cours terme.
De nombreux indicateurs présentent des signaux positifs quant à la reprise, même si le Congo tarde à finaliser son programme avec le fonds monétaire international.
La réduction du train de vie de l'état, l'apport de certaines niches longtemps maintenues en friche, le regain quantitatif dans la production pétrolière, les probants résultats des régies financières, participent d'une assiette qui sans être à l'équilibre, atténue tant soi peu les effets de la crise.
Reste que la lutte contre la corruption et autres anti-valeurs désormais lancée, freine la saignée des finances de l'État. Le conseil des ministres ne manquera sans doute pas de s'y pencher.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-27 11:51:28
Nul n'est prophète chez soi, l'auteur poursuit sans relache et sans compromission son engagement, celui de traduire dans les faits la vision écologique et climatique du Président Denis SASSOU NGUESSO au profit de l'Afrique et le reste du monde.
Pour viser large et voir grand, il faut toujours penser à l'international, disait Indira Priyadarshini Gandhi. C’est donc dans cette optique que « Le Fonds bleu : Mécanisme de financement et de gestion du Bassin du Congo pour la protection de l’environnement mondial », un livre tiré de son mémoire de recherche pour l’obtention d’un D.E.S.S (diplôme d'études supérieures spécialisées) à l'Institut Européen de Hautes études Economiques et de Communications à Bruxelles en Belgique sur le thème : "Nécessité du Fonds Bleu pour la protection du bassin du Congo contre le réchauffement climatique". a été traduit en plusieurs langues.
Créé le 2018-02-27 11:08:41
Alors que la tension monte à l'approche du match retour PSG – Réal Madrid mardi 6 mars, l'équipe de la capitale française entretient le suspens sur son effectif disponible.
Le Paris Saint-Germain a publié tard lundi sur son site Internet, un communiqué médical visant à donner des nouvelles de Neymar et Marquinhos, tous les deux blessés.
Pour Neymar, les examens complémentaires (échographie et scanner) ont confirmé le premier diagnostic, à savoir une entorse antero externe de la cheville droite.
Toutefois, il faut y ajouter l'existence d'une fissure du cinquième métatarse, ce qui pourrait compliquer la guérison de l'ancien Barcelonais.
Aucune estimation d'indisponibilité n'est fournie par le club de la Capitale, qui maintient donc le suspense quant à la participation de Neymar au 8eme de finale retour de Ligue des Champions face au Real Madrid.
Le même doute subsiste pour Marquinhos. Titulaire face à Marseille, le défenseur souffre lui d'une lésion musculaire de grade 1 du quadriceps gauche.
Le grade 1 correspond au stade de gravité le moins élevé.
On se dirige donc vers un feuilleton qui durera toute la semaine, pour savoir si les deux internationaux brésiliens seront en mesure de tenir leur place, mardi prochain au Parc des Princes.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-27 10:54:10
Cambrioler peut être risqué. Un individu qui « visitait » la maison de Daniel Mboungou Mayengué, ancien présentateur du journal en Anglais sur Radio et Télé Congo, l'a appris à ses dépens. Selon des informations, il a réussi à faire fuir le malfrat, qui tentait de s'introduire très tard chez lui alors qu'il n'était pas encore dans les bras de Morphée.
Créé le 2018-02-27 10:19:43
La prochaine conférence des maires francophones se déroulera à Brazzaville en juin 2018. L'annonce en a été faite au maire de la ville-capitale, Christian Roger Okemba, par la représentante de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), Suze Percy Filippini, le 26 février.
« Notre session de travail a porté sur la planification du forum des maires francophones qui aura lieu en juin prochain. La mairie de Brazzaville a signé le pacte de Milan et le maire a fait un plaidoyer formidable pour cette ville, qui joue son rôle dans le cadre des objectifs à atteindre. L’idée de ce pacte est de faire le lien entre le milieu rural et la ville, c’est-à-dire faire en sorte que les villes puissent nourrir les habitants des villes. Brazzaville s’est lancé dans ce défi et a gagné ce pari grâce au dynamisme du maire de la ville » a indiqué Suze Percy Filippini.
Un comité mixte composé d'experts de la Fao et de la mairie de Brazzaville est mis en place pour examiner des questions logistiques et organisationnelles.
La tenue de cette conférence épouse l’initiative de l’agriculture urbaine lancée par la mairie de Brazzaville.
« C’est un grand défi pour la ville de Brazzaville, car parmi les axes de forum, on évoquera le pacte de Milan. Le principe est simple, une maison, un jardin. Il faut que nos hôtes visitent et qu’ils découvrent effectivement Brazzaville qui, est une ville où l’agriculture urbaine connaît un essor », a confié Christian Roger Okemba.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-27 09:06:16
Les Diables rouges locaux menaçaient de ne pas jouer leur match des quarts de finale contre la Libye au Maroc pour l’affaire des primes. Pour arrêter avec ce genre de glissement des comportements, le ministre congolais des Sports et de l’éducation physique, Hugues Ngouélondélé à penser à un règlement intérieur en guise de code de bonne conduite en vue de mettre de l’ordre dans le comportement des joueurs appelés en sélection nationale.
Créé le 2018-02-27 01:32:23
La population de la ville de Divenié dans le Niari (sud) est tombée dans l'émoi dimanche à cause des maisons complètement détruites par une pluie diluvienne sans oublier les toitures de deux bâtiments du collège de la ville emportées et le bâtiment administratif de l'école primaire de Bouandza 2 partiellement détruit.
Créé le 2018-02-26 15:47:26
Le bâtiment qui abrite le Commissariat de police de la ville de Louvakou (sud) s’est effondré à cause d’une pluie diluvienne qui s’est abattue sur la ville dans la nuit du samedi à dimanche.
Créé le 2018-02-26 14:26:23
Quatre présumés dealers ont été interpellé samedi par la police de la ville de Mossendjo dans le Niari (sud) et placés en garde à vue suite à l’enquête pour détention et consommation du chanvre indien.
Créé le 2018-02-26 13:42:35
Des fraudes massives sont constatées dans la gestion de la solde des militaires et gendarmes. Le ministre des Finances et du budget, Calixte Ganongo, a révélé le 24 février à Brazzaville au cours d’une visite au Centre autonome de décompte de la solde (CADS), que l’installation du logiciel calculateur de solde militaire fera gagner en économie sur ces fraudes.
Selon le ministre Calixte Ganongo, la fiabilité du logiciel calculateur, qui est un système de sécurité confortable, arrive à point nommé pour instaurer la transparence au ministère de la Défense aussi bien qu’au ministère des Finances qui attendent une meilleure gouvernance en matière de solde, après le recensement de tous les agréments enregistrés à la direction générale de l’administration et des finances (DGAF).
« Ce logiciel calculateur de solde militaire présenté par Pascal Fonteneau vise donc la mise en œuvre d’une fonction solde sécurisée, rénovée et moderne. Pour son application dans le milieu militaire, le calculateur de solde permettra, par la justesse et l’intégrité des informations saisies, de maîtriser les effectifs administrées et soldées par le référencement exact du nombre des militaires et des gendarmes », a-t-il expliqué.
Pour plus de traçabilité dans le secteur des hommes en uniforme, Pascal Fonteneau a développé plusieurs fonctions « avec toutes les dernières technologies » a-t-il confirmé.
Il a ainsi épinglé; parmi les données phares : la garantie sécuritaire bancaire, les déclarations de situation individuelle (DSI), des fiches témoins, des listings de travail et de contrôle pour gérer les paramètres de solde qui ont été opérés et un écart de solde pour retrouver toutes les opérations faites.
Le directeur général de l’administration et des finances, Alain Yves Aignan Mpara, a affirmé que ce Centre va devoir fonctionner avec un « Harpon » de 15 agents formés idéalement en attendant son encrage définitif au sein de la direction générale de l’administration et des finances .
Cette réalisation s’inscrit dans le cadre du projet « Gestion Administrative et Financière » menée en partenariat entre le ministère de la Défense du Congo et la coopération militaire française. Elle vise aussi la restitution au président de la République des résultats fiables de la revue des personnels de la Défense nationale effectuée en 2012.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-26 11:32:42
Placée sous le thème « le phénomène bébés noirs à Brazzaville, causes, manifestation, conséquences et approches de solutions », une journée scientifique a été organisé à Brazzaville, le 24 février dernier, pour comprendre les rationalités qui sous-tendent le phénomène et proposer des réponses susceptibles d’en atténuer les conséquences.
Le directeur du Centre de recherche et d’études en sciences sociales et humaines (CRESSH), Maxim Akanis Akanokadia, a indiqué, que la tenue de la journée scientifique était une réponse aux multiples questions que la société se pose sur le phénomène des « bébés noirs ». Il a ardemment souhaité voir ce phénomène être totalement éradiqué.
Lors des exposés, les intervenants, ont esquissé quelques pistes pour mettre un terme au phénomène « bébés noirs ». Ils ont évoqué la nécessité des actions concertées entre les différents secteurs de la vie éducative, notamment la famille, l'école et les pouvoirs publics.
Le colonel de police Bozok, sociologue et universitaire a indiqué que les parents et les institutions devraient opter pour l’éducation des enfants pour qu’ils comprennent le sens du respect de la vie. « Jusque-là, la force publique semble être seule, dans la lutte contre ce phénomène. Toutes les institutions devraient s’impliquer pour éradiquer le phénomène bébés noirs », a-t-il fait savoir.

Pour contenir le phénomène des bébés noirs, il faut renforcer l’action « éducative des enfants, il faut punir les délinquants en appliquant la loi. Il faut créer des centres de détention où se feront l’insertion et la réinsertion professionnelle des délinquants arrêtés avant de les mettre en liberté », assure t-on.
À propos de la récidive résultant du fait que les « bébés noirs » arrêtés se retrouvent à nouveau en liberté, le juriste Godefroy Moyen a souligné qu’il n’y a aucun obstacle à ce que les bébés noirs ne soient pas présentés devant un juge d’instruction. « Ils sont responsables des actes qu’ils posent et devraient être reconnue responsables de leurs actes selon la loi. Il faut simplement renforcer la capacité d’accueil des prisons pour recevoir tous ceux qui sont arrêtés. Il n’y a pas de vide juridique en la matière », a-t-il précisé.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-02-26 10:59:43