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Dans une lettre manuscrite adressée au doyen des juges d'instruction du tribunal de grande instance de Brazzaville, faisant prévaloir son immunité juridictionnelle, Jean Marie Michel Mokoko dit arrêter toute participation à une procédure qui ne lui « offre aucune garantie d'une administration judiciaire équitable et surtout fiable ».
Voici le fac-similé de ladite lettre et publiée par ses avocats et parvenue à notre rédaction.


Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-03-19 12:47:01
De nombreux congolais se demandaient, d'où les « bébés noirs « tireraient leur quasi impunité, car bien souvent libérés peu après leur arrestation. Les récentes altercations survenues à Dolisie entre des policiers et des militaires ont révélé l'étendue des soutiens dont bénéficient les « bébés noirs ».
Acculés et traqués, voire tués à Brazzaville et Pointe-Noire où ils font régner la terreur, de nombreux « bébés noirs », délinquants notoire ont trouvé refuge à Dolisie et continuent d'y semer la terreur à travers les braquages et autres attaques à mains armées, dépouillant et mutilant leurs victimes.
À Dolisie, les services de police qui ont décidé d'en découdre avec ces malfrats, ont vite été confrontés à un trafic d'influence quasiment institutionnalisé autour desdits « bébés noirs ».
Un policier, témoin de la scène raconte : « Ce qui est déplorable, c'est que malgré le fait que la police les arrête, ils sont relâchés quelques temps après, parce que la plus part sont des enfants des militaires qui font prévaloir l'esprit de corps. Quand ils sont déférés au tribunal les mêmes militaires vont négocier la libération de leur progéniture ».
Et de poursuivre : « L'illustration est bien patente à Dolisie où, il y a deux semaines des policiers en service à l’hôtel de police ont subit des menaces. D'autres se sont livrés à une bagarre ouverte avec certains militaires, du fait que les policiers avaient arrêtés ces délinquants, dont la plus part étaient enfants de militaires.
Ce fut un spectacle désolant. Les insultes et les altercations ont continué jusqu'au portail et au delà, devant les passants. Les militaires proféraient des menaces à l'endroit des policiers qui avaient arrêtés les délinquants et qui refusaient de les libérer », conclu t-il.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-03-19 09:49:56
Les retraités congolais ne supportent plus d’être à ce point maltraités. Pour ce faire entendre, les cheveux blancs ont écrit au président de la République, Denis Sassou Nguesso pour lui demander la création, lors du prochain remaniement du gouvernement, d’un Ministère dirigé par eux-mêmes.
Créé le 2018-03-19 09:01:23
Le Journaliste et écrivain, Marcus Boni Teiga vient de publier un ouvrage de 176 pages aux Editions Complicités, Paris intitulé : « «L’Egypte Antique et la Vallée du Nil : L’histoire cachée de l’origine négro-africaine des Égyptiens anciens ». Un livre qui tranche la polémique sur les Egyptiens anciens et montre que, bien avant eux, il y eut d’abord la Nubie antique en guise de civilisation pionnière dont l'Egypte antique a finalement hérité.
Créé le 2018-03-19 08:14:24
Prélude aux audiences de sa session criminelle qui s'ouvre le 29 mars, la Cour criminelle de Brazzaville a siégé en audience publique le 16 mars, pour le tirage au sort des dix jurés qui siégeront aux côtés des juges. Ces jurés prêteront serment avant l’ouverture de ladite session.
Le code de procédure pénale prévoit en son article 251 que le tirage au sort des jurés se fait dix jours au moins avant le début de la session criminelle, sur la base d’une liste annuelle. Afin de de coller à l'esprit et à la lettre de cette disposition de la loi, il s’est tenue au Palais de justice de Brazzaville l’audience publique de désignation des jurés.
Sur une liste de vingt-cinq noms dont sept répondant étaient portés absents, six ont été retenus comme jurés titulaires et quatre suppléants.
Le tirage au sort s’est fait en présence d’un échantillon d’accusés accompagnés de leurs avocats pour d’éventuelles récusations au cas où les jurés présenteraient des contentieux personnels avec les accusés et pouvant de facto influencer leur appréciation des faits le long de la session criminelle.
Les accusés et les avocats n’ont pas récusé les jurés désignés. Le bâtonnier du barreau de Brazzaville en a pris acte.
Rappelons que plus d’une centaine d’affaires sont inscrites au rôle de cette session criminelle qui siégera du 29 mars à la mi mai.
Au nombre de affaires inscrites au rôle de la présente session criminelle, il y a entre autres celles concernant le général Jean Marie Michel Mokoko, André Okombi Salissa ou encore l'examen de l'abandon de poursuites contre le pasteur Ntumi.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-03-17 20:30:55
Les membres du Parti Congolais du Travail ont participé à une opération de salubrité au mausolée Marien NGOUABI, samedi.
Organisée dans le cadre des préparatifs du 41e anniversaire de la mort du Président fondateur du PCT commémoré dimanche 18 mars, cette activité qui a drainé de nombreux cadres et militants du Parti Congolais du Travail, a consisté en un nettoyage systématique de ce cadre où vécut le président Marien Ngouabi et où il repose.
Outre les responsables et militants du comité du parti de la ville Brazzaville, on y a noté la présence de la direction politique nationale, conduite par le secrétaire général du parti, Pierre Ngolo.

Dominique Ngouabi, fils du président Marien Ngouabi était également présent sur ces lieux qui ont bercé une partie de son enfance.

Le 18 mars 1977, le président Marien Ngouabi était assassiné. 41 ans après, de nombreux congolais pensent encore que de nombreuses zones d'ombre persistent sur son décès, à l'instar de celui du président Kennedy.
Chaque année en cette période, les membres du parti congolais du travail procèdent au nettoyage des lieux, prélude aux dépôts de gerbes de fleurs du 18 mars, jour anniversaire de la mort du président Marien Ngouabi.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-03-17 16:11:14
L’ex président sud-africain, Jacob Zuma sera poursuivi pour corruption, a annoncé ce vendredi le procureur général, Shaun Abrahams. Une décision du parquet qui intervient tout juste un mois après la démission du président Zuma, contraint de céder sa place sous la pression de son parti, l’ANC.
Créé le 2018-03-16 17:22:02
La révolution est en marche du côté de l’Ambassade du Congo en France. Les passeports du Congo-Brazzaville seront désormais établis à Paris après l’obtention d’une carte consulaire. Le démarrage effectif de l'opération a eu lieu jeudi dernier.
Créé le 2018-03-16 14:08:59
Des éléphants sortis de la jungle ont envahi la ville de Moungoundou-sud dans le Niari (sud) semant la terreur parmi les habitants.
Créé le 2018-03-16 13:22:10
Plusieurs quartiers de la ville de Mossendjo dans le département du Niari (sud) sont privés d’eau potable depuis dimanche dernier, ont déploré certains habitants. Cette pénurie est consécutive aux pannes mécaniques répétées au niveau des installations de la société nationale d’électricité (SNE).
Créé le 2018-03-16 12:27:14
Une personne de 3ème âge a été dévêtue, arrosée de pétrole et brûlée vive devant la foule par Souvé et Tiwame à Banda dans le Niari (sud), car accusée de sorcellerie.
Créé le 2018-03-16 11:36:36
Le torchon brûle depuis quelques semaines entre le sous-préfet de Mayoko dans le Niari (sud), Simon Pierre Sytha-Pembé et son secrétaire général, Marcel Mbitsi.
Créé le 2018-03-16 10:51:00
Le Congo, pointe à la 179e place, sur 190 pays dans le classement Doing Busness, le processus d’amélioration du climat des affaires. Cette situation commande de se doter d'un logiciel qui permettra à tout usager de créer son entreprise en très peu de temps.
La ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’artisanat et du secteur informel, Adelaïde Mougany en a fait l'amer constat le 13 mars dernier à Brazzaville, « Nous ne pouvons pas être fiers de notre mauvais classement concernant le climat des affaires ».
Aussi, l’Agence congolaise pour la création des entreprises (ACPCE) se dotera t-il d’un logiciel qui raccourcira significativement les formalités administratives inhérentes à la création d'entreprise.
« Ce que nous avons fait c’est la création d’un guichet unique où se dérouleront toutes les opérations de création d’entreprise, de modifications diverses, de la radiation et les autorisations temporaires d’entreprises. Mais cela ne peut pas se faire sans le recours aux nouvelles technologies puisqu’on veut aller vers l’informatisation pour raccourcir les délais en quelques heures », a convenu la ministre Adelaïde Mougany.
David Mbouroukounda, Consultant chez Camax et Manstrict stategy, concepteurs dudit logiciel explique : « Il s’agit d’un logiciel qui va permettre la dématérialisation du processus de création des entreprises. Il permettra aux usagers d’être en possession de leurs documents de création d’entreprise en moins de deux heures. À terme, ce logiciel permettra à tout individu, situé n’importe où de saisir les informations le concernant sur une page web, y compris des informations confidentielles sur la data center de l’ACPCE ».
Cette plate-forme sera opérationnelle dès réception des équipements par la Banque Africaine de Développement, le partenaire financier et technique du gouvernement pour ce projet.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-03-16 10:40:00
Dans la conscience collective congolaise, le mois de mars est à tort ou à raison, considéré comme celui de tous les dangers, avec un risque de reversement violents des institutions. Depuis des années, ce mois est traversé avec tous les clignotants en alerte, comme si l'on redoutait un danger quelconque, alimenté par la clameur publique.
Mars est le troisième mois de l’année dans les calendriers julien et grégorien. C’est aussi le premier mois du printemps dans l’hémisphère nord.
À l'origine du calendrier romain, le mois de mars était le premier de l'année car le retour des beaux jours marquait le début de la période de la guerre.
Mars, fils de Jupiter et de Junon, est le dieu de la guerre. Il a donné son nom à la planète Mars car celle-ci apparaît dans le ciel rouge sang, comme la guerre.
Au Congo, le mois de mars a justement pris le sens de la guerre et du sang, sinon celui des actions violentes, sans doute du fait les événements violents qui s'y produisirent, et qui on marqué l'histoire collective.
Le 23 mars 1970, le lieutenant Pierre Kinganga surnommé Sirocco tente un putsch militaire contre le président Marien Ngouabi. Sa tentative échoue. Pierre Kinganga est abattu comme d'autres « acolytes » et surtout de nombreux jeunes qu'il avait entraîné dans son aventure.
Le corps de Kinganga exposé en caleçon suscite de l'indignation auprès de nombreux congolais qui voient en cet acte une déchéance d'humanité. Une abjection qui jetait l'opprobre sur le pays.
Depuis, comme si l'histoire allait se répéter, le mois de mars se vivait comme un anniversaire macabre.
Le 19 mars 1976, le président Marien Ngouabi échappe miraculeusement à un accident d’hélicoptère. Il est porté disparu un peu plus de 48 heures, avant de réapparaître sain et sauf. Certains de ses proches ont péri dans l'accident. Dans le pays, on redoute déjà quelque chose de maléfique et de presque irrationnel qui planerait sur le mois de mars. Le pressentiment prend corps un an plus tard.
Le 18 mars 1977, le président Marien Ngouabi est assassiné. L'acte est vécu par les congolais comme le paroxysme de l'horreur politique. Jamais pareilles faits ne s'étaient produits au Congo jusqu'à ce jour.
Le 22 mars 1977, le cardinal Émile Biayenda est assassiné. Pour les congolais, cet acte qui est un véritable sacrilège, a entraîné de facto la « malédiction » du pays que l'on dit souillé par ce « sang innocent ».
Le 25 mars 1977, le président Alphonse Massamba Débat est exécuté. Il est soupçonné d'être impliqué dans la mort du président Marien Ngouabi.
On retiendra qu'en un mois, celui de mars 1977, le Congo a perdu deux présidents et un cardinal, de façon violente et dans des affaires politico-militaires. Trois personnages qui ont joué des rôles éminemment particuliers dans la vie du pays et dont la mort est vue comme une malédiction.
Depuis, ces tristes jours de mars semblent hanter la mémoire des congolais.
Comme si la nature voulait conforter cette hantise, le 4 mars 2012, l'explosion d'un dépôt de munitions ravageait le quartier de Mpila à Brazzaville. Le bilan fut effroyable. Plus de 300 personnes perdirent la vie.
Cette peur émotionnelle n'a pas quitté les congolais.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-03-16 09:49:44
La simplicité affichée et le langage franc et direct de celui qui a appris sa nomination au poste de premier ministre chef du gouvernement le 23 avril 2016, en regardant la télévision comme tout citoyen congolais, séduisent les congolais, même si des dossiers avancent peu.
Créé le 2018-03-16 09:40:59
Le président congolais, Denis Sassou Nguesso egalement président du Conseil supérieur de la Magistrature, a nommé, par décret N° 2018-102 du 14 mars 2018, des magistrats à la Cour suprême du Congo-Brazzaville.
Créé le 2018-03-15 18:39:10
Au Congo, les coups d'Etat succèdent aux coups d'Etat. Et l'épisode le plus récent, reste le soulèvement populaire tant attendu qui n’a pas eu lieu le 10 mars 2018 sur toute l’étendue du territoire national, se limitant uniquement sur les réseaux sociaux. Ce qui est évident, c’est qu’il n’y a pas de vacance du pouvoir à Brazzaville. Jour après jour, le régime du président Denis Sassou Nguesso, au pouvoir depuis 32 ans, tient la route et montre un visage de plus en plus reluisant en dépit de la crise financière qui phagocyte le pays.
Créé le 2018-03-15 17:39:58
Des équipes de l’Unicef et de l’Ambassade du Japon au Congo, ont pu passer quelques heures pour une campagne de dépistage des cas de malnutrition dans le quartier Kombé à Madibou, dans le 8ème arrondissement de Brazzaville et y ont découvert une situation très délicate. Le taux de la maladie chez les enfants de six mois à cinq ans est d’environ 10%, alors que la norme nationale est à 7%.
Créé le 2018-03-15 13:32:21
Une vague de chaleur sévit dans la ville de Pointe-Noire, la capitale économique du Congo. Les températures dépassent les 40 degrés depuis plusieurs semaines. Les agriculteurs vont être confrontés à une moisson difficile.
Créé le 2018-03-15 12:51:09
Le président de la cellule de sensibilisation et communication de la commission ad hoc mixte paritaire, Franck Euloge Mpassi, a déclaré, dans une interview accordée à nos confrères des Dépêches de Brazzaville, « qu’aucun ninja proche du pasteur Ntoumi n’est encore sorti des forêts ».
Créé le 2018-03-15 12:13:33