Magazine

  • Qui sommes-nous ?
  • Contact

Menus

  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville
  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
  • Jeunesse congolaise : Entre inconscience et insouciance, l’urgence d’un réveil collectif (Par Jean-Jacques Jarele Sika)

    - -
  • L'Ambassade des États-Unis pour le soutien des initiatives éducatives, linguistiques et professionnelles destinées à la jeunesse congolaise

    - -
  • Congo – Economie-forestière : Le safoutier a réalisé le taux le plus élevé des ventes de la 9e édition de la Foire aux plants

    - -
  • Congo - La Quinzaine du Gouvernement : Anatole Collinet Makosso a été face à la presse nationale et internationale pour décortiquer l’ouvrage « En toute transparence : 2021-2026, le bilan du quinquenn ...

    - -
  • Congo : une baleinière prend feu au port de Yoro à Brazzaville

  • Congo : Un véhicule de la SNPC percute et casse l’aile droite d’un avion de Canair

Rechercher :

Total : 11271 résultats trouvés.

Page 313 sur 564

Crise du Pool : Denis Sassou Nguesso fait le point aux sages du Niari et de la Bouenza à Oyo

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso, en séjour de travail à Oyo dans le département de la Cuvette (nord) depuis le mardi 30 octobre dernier, a devisé avec les sages du Niari et de la Bouenza (sud), notamment sur le processus de paix engagé dans le département du Pool après la signature de l’accord du 23 décembre, à Kinkala, mettant un terme aux violences qui secouent ce département depuis avril 2016.

Créé le 2018-11-02 12:14:05

Le Maroc impose des restrictions de voyage aux ressortissants du Congo-Brazzaville

Le Maroc impose de nouvelles restrictions de voyage aux ressortissants du Congo-Brazzaville depuis le 1er novembre 2018. Le Congo qui était jusqu’ici exempté de visa.

Créé le 2018-11-02 10:38:16

Manque de cimetière public à Brazzaville

Pour le simple mortel brazzavillois, être inhumé dans sa ville est devenu la croix et la bannière tant les places sont rares et chères. Depuis la fermeture du cimetière d'Itatolo, la ville capitale ne dispose plus d’endroit public pour enterrer les morts.

Créé le 2018-11-01 17:25:09

Denis Sassou Nguesso à Oyo pour honorer la mémoire de ses regrettés parents

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso est arrivé mardi 30 octobre 2018 à Oyo dans le département de la Cuvette (nord) pour une visite de travail.

Créé le 2018-11-01 12:00:05

Congo – Littérature : Cérémonie de dédicace du roman « Il est déjà demain » de Henri Lopes

Sur l’une des rives du fleuve Congo, sur ces terres où est née l’essentiel de la substance de son roman autobiographique, Henri Lopes a présenté l’ouvrage ‘’Il est déjà demain’’, avant de le dédicacer. La cérémonie s’est déroulée au Radisson Hôtel de Brazzaville, en présence du monde littéraire, et de nombreux invités.

Peut-être, est-il ici, le lieu de témoigner de ce livre dont j’ai tiré le plus grand bien.

« Il est déjà demain ». Le titre du roman de Henri Lopes rappelle les paroles de cette chanson si mélancolique de Georges Moustaki : « … Mon enfance est si loin, il est déjà demain. Passe, passe le temps, il n’y en a plus pour très longtemps ».

En lisant le livre de Henri Lopes (un autre chef-d’œuvre, comme il sait en produire sans tam-tam), ceux qui comme moi sont nés dans la décennie 60-70 rouvrent des pages d’histoire dont les faits s’inscrivaient en pointillés dans leur mémoire d'adolescents secoués par des évènements dont ils comprenaient vaguement le sens et la portée.

Soudain, ces faits prennent forme, avec un brin de mélancolie, comme si l’on résolvait enfin une énigme pour laquelle on a trimé au long des ans.

C’est bien une espèce de pleurer-rire que de remonter ce temps dont les clichés en sépia revoient à chacun une partie de lui-même, celle de son histoire, l’histoire commune.

Soudain, on comprend mieux les Hommes, Les Choses, les Idées et les Faits dont la narration n’est pas seulement « un récit des évènements passés », mais un substrat qui illumine un destin commun.

Véritable roman à tiroirs, il suffit pour le lecteur (surtout congolais ou africain) d’en tirer un, et d’y trouver autant de choses dépoussiérées par l’auteur et qui à coup sûr, renvoient au lecteur un peu de cette image de lui-même derrière laquelle il courrait en vain depuis si longtemps.

À 15 ans, mon professeur de français qui avait décelé mon goût pour la lecture, me prêtât le recueil de nouvelles ‘’Tribaliques’’ de Henri Lopes. Fasciné par cette thématique qui épousait mon quotidien, j’adoptais alors l’auteur comme un de mes écrivains congolais favoris, avec Sony Labou Tansi bien-sûr, des années plus tard.

J’ai relu Tribaliques avec un regard d’adulte, et la thématique demeure actuelle.

À la cinquantaine bien sonnée, l’auteur dissipe enfin mes doutes et mes errements, sur des pans entiers des faits qui ont marqué et façonné une partie de ma vie d’homme et de citoyen du pays qui m’a vu naître.

À travers l’histoire moderne du Congo, sans doute, ne savons-nous pas, où nous allons. Avec ''Il est déjà demain’’, Henri Lopes nous montre au moins, d’où nous venons.

Guy Tirolien ne disait-il pas dans la préface d’un ouvrage de l’auteur : « Bravo Henri, continue de nous jouer de la bonne musique ». Et celle de ‘’Il est déjà demain ‘’ se savoure avec un zest de mélancolie, comme savent en procurer les chefs-d’œuvre.

Benoît BIKINDOU/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-01 11:04:37

Loudima : Trois jeunes congolais interpellés pour tentative de sabotage d’un engin de la société SADEP

Benoit Mabandza, 48 ans, Serge Mbako, 37 ans et Saturnin, 39 ans, ont été interpellé mercredi par des policiers pour tentative de sabotage d’un engin de type Caterpillar D7 G, appartenant à la société SADEP, en charge de l’exploitation du bois à Loudima dans le département de la Bouenza (sud).

Créé le 2018-11-01 09:31:32

Congo - Toussaint : Et si la mort n’était rien ?

En ce 1er novembre, jour où les vivants honorent les morts, beaucoup de parents accusent encore la douleur due à la séparation d’avec l’Être cher, comme si l’on rouvrait une plaie qui tarde à se cicatriser. Et si cette attitude attristait davantage l’âme de nos chers disparus dont « seul le corps est mort » ?

Puissions-nous méditer ce texte souvent attribué à tort à Charles Péguy, comme un message d'outre-tombe.

''La mort n'est rien,

je suis seulement passé, dans la pièce à côté.

Je suis moi. Vous êtes vous.

Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.

Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,

parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.

N'employez pas un ton différent,

ne prenez pas un air solennel ou triste.

Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.

Priez, souriez,

pensez à moi,

priez pour moi.

Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été,

sans emphase d'aucune sorte,

sans une trace d'ombre.

La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.

Le fil n'est pas coupé.

Pourquoi serais-je hors de vos pensées,

simplement parce que je suis hors de votre vue ?

Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.''

Canon Henry Scott-Holland (1847-1918) 

Transcription : Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-01 09:14:11

Dolisie : Vente clandestine des boissons alcoolisées au lycée Justin Victor Sathoud

La consommation de l’alcool prend une tournure inquiétante dans plusieurs établissements scolaires de la capitale départementale du Niari (sud). Les vendeurs des pains et divers aux alentours du kiosque de la Boulangerie SAB vendent clandestinement les boissons alcoolisées aux enseignants et élèves du lycée Justin Victor Sathoud de Dolisie.

Créé le 2018-11-01 09:01:09

Banda : La population du village Diambala en colère détruit le pont sur la rivière Louila

Dans le district de Banda dans le Niari (sud), les habitants du village Diambala en colère ont détruit le pont sur la rivière Louila afin d’empêcher les véhicules de l’exploitant forestier congolais, René Yoka de sortir du périmètre d’exploitation pour non-respect du cahier de charges.

Créé le 2018-10-31 11:36:01

Musique : Sam Talanis revient au turbin avec un album plus éclectique

Il n’est pas coutume pour Sam Talanis de dévoiler à compte-goutte, les petits secrets sonores de ses albums. Cette fois-ci, c’est bien une autre méthode et une stratégie totalement différente que le chanteur de «Black Blanc Beurre » met en pratique. La nouvelle devrait ravir ses très nombreux fans. L’artiste revient en force avec un album éclectique qui va être un gros tournant dans sa carrière musicale.

Né au Congo-Brazzaville, Sam Talanis vit en France depuis une vingtaine d’années. Il est passionné de musique depuis son jeune âge. Initié aux musiques et aux fêtes des villages, aux sons de la forêt, ce médecin de formation a réussi à combiner les genres. La poésie de ses textes, ses métaphores subtiles, ses mélodies légères d’apparence faciles, alliant rumba et reggae au service de sa passion qui est la musique, font de lui un artiste hors pair.

Il est auteur de deux albums autoproduits, «Pèlerinage For Africa», «Cri d’amour» pour le Congo, opus ayant reçu en 2008, le prix Tam Tam d’Or du meilleur album de la diaspora congolaise. Sam Talanis a réédité la même prouesse en 2012 avec son deuxième album, «Vice Versa», couronné également par le prix Tam Tam d’Or.

Pour la sortie imminente du nouvel opus du chanteur franco-congolais intitulé «Symbiose », nous l’avons rejoint dans Paris pour une interview !

Créé le 2018-10-31 10:16:25

Congo – Santé : Il n’y a pas de cas d’ébola avéré ou déclaré au CHU de Brazzaville

Depuis mardi 30 octobre au matin, un message signé du nom d'Obolo Osseté J.C circule dans les réseaux sociaux, faisant croire aux Brazzavillois, qu'un cas d'Ebola serait suspecté au CHU de Brazzaville. Ceci relève d’une pure fantaisie, un fake-news, comme il en naît de plus en plus sur le net et visant le Congo.

Le gouvernement de la république va communiquer en son temps, pour tordre le cou à une rumeur qui relève d’une plaisanterie de mauvais goût.

Des charlatans du net surfant sans doute sur l’effet halloween qui n'intègre vraiment pas les mentalités congolaises, ont cru plaisanter sur un sujet dangereux, en véhiculant l’information selon laquelle, un cas de virus ébola serait mis en quarantaine au CHU de Brazzaville.

Dans les mesures de prévention que le plaisantin recommande, il est demandé aux autres malades ou populations riveraines du CHU, de s’abstenir de respirer cet air qui serait contaminé.

Cette allusion à l’astreinte de la respiration, devrait interroger sur l’état de santé mentale de cet individu et relever qu’il s’agit une fois encore, d’une volonté de nuire, en ciblant un sujet susceptible de créer la psychose dans la ville, et partant dans le pays. Mais, pourquoi ?

Voici à cet effet, le communiqué des autorités compétentes. Il est signé du directeur général de la santé, le docteur Jean-Vivien Mombouli.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-30 14:40:20

Congo – Diplomatie : La secrétaire générale de l’OIF attendue à Brazzaville

Elle avait séjourné il y a quelques jours dans la capitale congolaise en candidate au poste de secrétaire générale de la francophonie, elle y revient en secrétaire générale de ladite organisation. Louise Mushikiwabo est attendue à Brazzaville ce mercredi 31 octobre.

La diplomatie congolaise est bien active et partout où les besoins de la cause africaine se font sentir, le président Denis Sassou N’Guesso ne manque pas de s’impliquer pour le triomphe de celle-ci.

Lors du dernier sommet de la francophonie à Erevan, l’Afrique a parlé d’une même voix et contribué à porter à la tête de l’organisation, une de ses filles, en la personne de Louise Mushikiwabo.

Dans cette entreprise, des dirigeants pouvant fédérer les avis et jouissant d’un certain charisme auprès de leurs pairs, ont pesé de tout leur poids, à l’instar du président Denis Sassou N’Guesso qui n’a ménagé aucun effort et œuvré pour l’unanimité africaine et bien au-delà, autour du nom de Louise Mushikiwabo.

Le séjour de la secrétaire générale de l’OIF à Brazzaville peut bien se résumer en un seul mot, auprès de Denis Sassou N’Guesso et du peuple congolais : « Merci ! ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-30 12:34:30

Dolisie : 11 élèves tombent en transe au lycée technique

Après les villes de Brazzaville et Mossaka, frappées par le phénomène d’agoraphobie, il y a quelques jours, c’est au tour de Dolisie dans le Niari (sud), où des élèves du lycée technique, sont tombés en transe.

Créé le 2018-10-30 12:20:47

Mossaka : Plusieurs élèves se sont évanouis à la suite d’un malaise

Les activités pédagogiques au sein des établissements scolaires de la ville de Mossaka dans le département de la Cuvette (nord) ont été suspendues, suite à un malaise vagal entrainant l’hospitalisation de dix élèves, a-t-on appris auprès du président de l’Apeec, Christian Grégoire Épouma.

Créé le 2018-10-30 11:41:08

Côte d’Ivoire : Serait-ce la fin de « l’entente cordiale » Ouattara–Bédié – Soro ?

Le Président Alassane Ouattara est en froid avec Soro Guillaume et Henri Konan Bédié, ses alliés contre Laurent Gbagbo lors de la crise de 2010. C’est à tout le moins ce qu’aurait rapporté le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, qui a récemment séjourné en Côte d’Ivoire.

Le Président Alassane Ouattara n’adresserait plus la parole à Henri Konan Bédié, son ancien allié au sein du RHDP. Ces deux personnalités de la politique ivoirienne se déchiraient sur la question de l’alternance à la tête de la Côte d’Ivoire.

Alors qu’ils avaient pour projet de fondre leurs deux partis le RDR et le PDCI au sein du RHDP où ils allaient présenter un candidat commun à la présidentielle de 2020, de graves divergences sur le sujet auraient provoqué le divorce entre ces deux houphouetistes.

Le Président Alassane Ouattara souhaite que le PDCI rejoigne le RHDP où dans le cadre d’une primaire, un candidat de cette majorité présidentielle serait désigné pour l’élection présidentielle de 2020. Refus sec et catégorique de Henri Konan Bédié qui dit que le PDCI a assez soutenu le RDR pour son obtention de deux mandats présidentiels à la tête de la Côte d’Ivoire et que ce dernier doit absolument lui renvoyer l’ascenseur.

La situation est depuis bloquée à un point que le PDCI a claqué la porte du RHDP et forme en ce moment même de nouvelles alliances avec des partis de l’opposition.

Du côté de Guillaume Soro considéré comme dauphin du Président Ouattara au sein du RDR, les choses ne sont pas non plus simples. Depuis les mutineries à l’intérieur du pays et les nombreuses armes de guerre saisies chez son chef de protocole, l’homme serait tombé en disgrâce auprès du président Ouattara et ses proches.

Brillant par son absence, comme Henri Konan Bédié, à l’AG constitutive du parti unifié RHDP, Soro Guillaume ne participe presque plus à la vie de ce nouveau parti qui vient d’absorber le RDR. Il a même défié le RHDP auquel il est censé appartenir en apportant son soutien à des candidats indépendants lors des élections locales du 13 octobre 2018 dernier.

Ces tensions entre ces trois leaders font planer sur la Côte d’Ivoire de fortes tensions qui pourraient se traduire par une prochaine crise en 2020. Jean-Yves Le Drian qui a fait le déplacement à Abidjan, puis à Yamoussoukro, se serait inquiété de cette situation en France.

Des hommes d’affaires installés à Abidjan, avec qui il a échangé durant son séjour en Côté d’Ivoire, auraient confirmé les craintes d’un lendemain douloureux pour les Ivoiriens. 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-30 11:34:38

Mvouti : Elle soigne la faiblesse sexuelle en ayant des rapports intimes avec ses patients

Des centaines d’hommes souffrant ou pas de faiblesse sexuelle, se dirigent dans la localité de Mvouti dans le Mayombe, où une guérisseuse soignerait cette maladie en ayant des rapports intimes avec ses patients. Le secret consiste juste à jouir dans le sexe de la tradipraticienne, a-t-on appris des sources concordantes.

Créé le 2018-10-30 10:42:48

Congo – Hystérie collective : « Plus de ministres dans les établissements scolaires »

Afin de canaliser les crises hystérie notées ces derniers temps en milieu scolaire et d’arrêter la psychose émanant de ces faits, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Anatole Collinet Makosso, a échangé avec les associations des parents d’élèves et étudiants ainsi que les responsables des établissements publics, le 27 octobre à Brazzaville. Entre autres mesures, les officièls vont surseoir toute descente dans les établissements scolaires.

Le phénomène d’agoraphobie noté la semaine dernière au CEG-lycée Nganga-Edouard et au lycée technique industriel 1er-mai a été au cœur des échanges entre le ministre Anatole Collinet Makosso et les responsables des établissements, ainsi que les partenaires du monde de l’éducation.

Quelques mesures devant conduire à la dédramatisation et à l’apaisement, ont été mises sur pied. Pour une prise en charge systématique et rapide des éventuels cas, il a été envisagé la mise en place, dès le 29 octobre, des points focaux de santé dans les établissements, en partenariat avec le ministère de la Santé.

« Pour éviter de contagion émotionnelle, il faut qu’il y ait moins d’attroupements autour de l’élève qui aurait piqué la crise. Il faut que l’école fonctionne. Nous devons tout faire pour ne pas permettre que s’installe dans l’opinion une folie scolaire », a insisté le ministre, récusant tout lien entre la caravane de la jeunesse et l’hystérie collective.

Appelant les chefs d’établissement à ramener la quiétude et à être en éveil en cas d’extension de la crise, Anatole Collinet Makosso a rappelé que le Congo n’était pas le premier pays frappé par ce phénomène.

Peu avant cette rencontre avec les dirigeants des écoles, Anatole Collinet Makosso et son collègue de l’Enseignement technique et professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi, Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint-Eudes, ont échangé avec l’Association des parents d’élèves et étudiants du Congo (Apeec) et les syndicats des étudiants.

« Nous avons suggéré et obtenu en tant que parents, auprès du gouvernement, que pendant cette crise, qu’on évite de retrouver les officiels, qu’on laisse l’école à ses responsables pour éviter les colporteurs des nouvelles. Nous avons été aussi informés que cette crise, partout où elle a été observée, il n’y a pas eu des cas de décès », a confié le président de l’Apeec, Christian Grégoire Épouma.

Outre Brazzaville, des cas d’agoraphobie ont été signalés à l’intérieur du pays, notamment à Mossaka.

« À Mossaka, à plusieurs kilomètres de Brazzaville, il y a eu dix cas. Cela veut dire que c’est une crise qui doit interpeller les autorités », a insisté Christian Grégoire Épouma.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-30 10:15:03

Education : La Diaspora de Divenié veut réhabiliter l’école Batchy Pierre François…

Préoccupée par l'état de délabrement très avancé de l’école Batchy Pierre François (ex école Boundza ou Catholique de Divenié), la Diaspora de Divenié a réuni 732.612.000 FCFA pour tenter de réhabiliter cet établissement scolaire situé dans le département du Niari (sud).

Créé le 2018-10-30 10:10:16

Congo – Dette extérieure : Ouverture imminente des négociations avec la Chine

Il s’ouvrira à partir du 5 novembre, des négociations sino-congolaises portant sur le règlement du problème de la dette du Congo vis-à-vis de la Chine. Le ministre congolais des Finances et du budget, Calixte Nganongo et l’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin ont débattu du sujet, lors d’un tête-à-tête, le 29 octobre à Brazzaville.

Suite aux échanges entre les présidents Denis Sassou N'Guesso et Xi Jinping, lors du dernier voyage du président congolais en Chine, les experts des deux pays vont se retrouver, pour tabler sur les conditions de « soutenabilité » de la dette congolaise à l’égard de la Chine.

Le ministre des Finances et du budget, Calixte Nganongo, et l’ambassadeur de Chine en République du Congo, Ma Fulin ont balisé le cadre, pour permettre de traiter de cette dette qui constitue l’un des goulots d’étranglement pour l’aboutissement du dossier du Congo auprès du Fonds monétaire international.

Pour les deux parties, le temps presse, ainsi que l’a relevé l’ambassadeur chinois : « La Chine propose de commencer tout de suite des négociations avec la partie congolaise sur la question de la dette. Le ministre et moi sommes convenus de nous retrouver durant ce délai pour régler une fois pour toute le problème », a-t-il indiqué.

La dette extérieure congolaise est estimée à 5 329 milliards de francs CFA, soit 110% du produit intérieur brut du pays. Près d’un tiers de cette obligation est détenu par le partenaire chinois, environ 34,1% du montant global.

« C’est un problème qui a beaucoup gêné non seulement le développement du Congo mais également la coopération entre les deux pays. Donc il faut en finir avec ce problème dans un meilleur délai », a assuré Ma Fulin.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-30 09:18:02

Denis Sassou Nguesso attendu le 11 novembre prochain à Paris

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso est attendu en France, à l’occasion de la première édition du Forum de Paris sur la Paix qui se tiendra du 11 au 13 novembre 2018 à la Grande Halle de La Villette, un siècle après l’armistice de la guerre qui devait être « la der des ders ».

Créé le 2018-10-30 08:47:55

  • Début
  • Précédent
  • 308
  • 309
  • 310
  • 311
  • 312
  • 313
  • 314
  • 315
  • 316
  • 317
  • Suivant
  • Fin
Copyright © 2025 Les Echos du Congo Brazzaville - Tous droits réservés .