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Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a reçu en audience vendredi 7 décembre 2018 le président de la l'Assemblée nationale de la République centrafricaine, Laurent Ngon Baba.
Créé le 2018-12-08 20:14:07
La crise économique ou financière oblige, le Congo ne sera pas candidat à l'organisation de la CAN 2019 de football, selon le ministre congolais des sports, Hugues Ngouélondélé.
Créé le 2018-12-08 19:37:53
Le président de l'Assemblée nationale du Congo a été choisi à l'unanimité par ses pairs, en qualité de président du parlement de la CIRGL, pour un mandat d'un an, lors de la neuvième session ordinaire de l’Assemblée plénière du Forum des parlements des pays membres de la Conférence internationale sur la région des Grands lacs (FP-Cirgl), qui s’est clôturée le 6 décembre à Brazzaville. Isidore Mvouba succède à El Hadji Ngon-Baba, l’actuel président de l’Assemblée nationale centrafricaine, élu après la destitution d’Abdoul Karim Meckassoua.
Pour Isidore Mvouba, la mission à la tête de cette organisation sous-régionale consistera, entre autres, à la redynamiser afin d’en faire un instrument digne, capable de se mettre à la hauteur de ses missions.
L’heureux élu s’est réjoui du choix porté sur sa personne et s’est engagé à tout mettre en œuvre pour apporter sa pierre à l’édifice. « C’est pour moi un insigne honneur. A cet instant précis, je mesure l’importance et la délicatesse de ma mission. Au cours de mon mandat, je m’appuierai sur notre intelligence collective, la synergie des forces et la convergence des idées qui sont la voie royale du succès. Ici et maintenant, je m’engage à assumer cette délicate et lourde fonction avec humilité et sagesse », a souligné Isidore Mvouba.
Par la même occasion, les parlementaires ont aussi élu un nouveau comité exécutif du FP-Cirgl. Le sénateur congolais, Daniel Abibi, a été porté à la tête de cette instance, en remplacement de la députée centrafricaine, Gina Sanzé.
Après avoir examiné la situation sécuritaire dans cet espace communautaire, l’Assemblée plénière a adopté quelques résolutions sur la situation politique, sécuritaire et humanitaire au Burundi, en République centrafricaine, à l’est de la République démocratique du Congo (RDC) et au Soudan du Sud dont la situation ne s’améliore pas toujours.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-07 09:52:14
Aucune étoile ne s’est ajoutée à ses pattes d’épaules, pourtant le général Jean François Ndenguet a pris du galon, dans l’exercice du commandement. Le chef de la police congolaise a été porté à la tête du Comité des chefs de police d’Afrique centrale. Il succède au général de corps d’armées Tahir Erda Taïro de nationalité tchadienne.
Le Congo assurera désormais la présidence tournante du Comité des chefs de police d’Afrique centrale (CCPAC).
Investi dans ses nouvelles fonctions, le 6 décembre à Brazzaville, à l’ouverture de la 19e session du Comité des chefs de police de la sous-région, le directeur général de la police congolaise, le général Jean François Ndengué, a été intronisé par le ministre de l’Intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphyrin Mboulou.
Parmi les dossiers qui attendent le nouveau président du CCPAC, il y a la poursuite du projet d’arrimage des textes de cette institution en vue de l’adapter aux normes communautaires pour sa gouvernance.

Le général Jean François Ndengué devrait également mener le processus de finalisation de l’Accord de coopération en matière de police criminelle avec le Comité des chefs de police d’Afrique de l’ouest ; faire démarrer le projet Interpol-Cémac pour la sécurisation des frontières extérieures.
L’autre mission consiste en la mise en circulation du passeport biométrique Cémac par les pays qui ne l’ont pas encore fait, le but étant de faciliter la libre circulation des personnes et des biens dans l'espace communautaire.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-07 08:30:00
Depuis le 1er décembre, le trafic des véhicules de plus de quinze tonnes est suspendu sur l'ouvrage de franchissement reliant les départements de la Bouenza et de la Lékoumou, en attendant les travaux de réhabilitation de ce pont dit du Niari.
Afin de préserver le pont du Niari d’une dégradation plus avancée et en attendant sa réhabilitation, les dispositions de la circulaire du premier ministre en date du 3 novembre 2017qui en interdisent l'accès aux véhicules avec un poids total à charge supérieur à quinze tonnes est entrée en vigueur.
Pour continuer d’assurer le trafic des véhicules de gros tonnages dans le sens Brazzaville-Pointe-Noire et vice versa, une déviation de contournement Madingou-Kimandou-Indo-Sibiti, en franchissant le pont de la rivière Niari dans la Bouenza, a été aménagée.
« Sur ce pont la charge autorisée est de cinquante tonnes », rappelle le directeur de cabinet du ministre de l’Equipement et de l’entretien routier, Frédéric Manieze.
En dépit de l’aménagement du dispositif de contournement et de la vulgarisation un mois durant de la mesure, de nombreux transporteurs se sont tout de même engagées sur l’axe proscrit au-delà du 1er décembre. Depuis, sur cette route étroite, ceux-ci peinent à manœuvrer, pour refluer vers la déviation.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-05 08:20:56
À Rabat où il se trouve en convalescence, le chef de l’État gabonais Ali Bongo Ondimba a reçu la visite du roi du Maroc, Mohamed VI, le lundi 3 décembre.
Profitant de l’occasion de cette visite d’amitié, le président gabonais a exprimé ses remerciements les plus fraternels à l’endroit de sa majesté le roi pour l’accueil chaleureux que celui-ci lui a réservé et l’attention qu’il lui a portée, depuis son arrivée dans la capitale marocaine.
Les deux dirigeants ont également échangé sur plusieurs sujets d’intérêt commun.
C’est un homme qui reprend peu à peu sa forme qui est apparu sur les images, les premières officiellement diffusées, depuis le malaise du président Ali Bongo Ondimba et son hospitalisation à Riyad. Des observateurs avertis ont toute de même pu constater une certaine apathie du bras droit.
Ces images ont dissipé les nombreuses rumeurs infondées qui jusque là étaient véhiculées sur la maladie du président Ali Bongo Ondimba.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-04 10:11:28
Sa cavale n’aura été que de courte durée. Le présumé assassin du commissaire de Makabandilou est arrivé à la Maison d'arrêt centrale de Brazzaville le lundi 3 décembre aux environs de 18h00. Il y a été incarcéré.
Le nouveau détenu qui serait l'auteur d'un crime passionnel devra répondre de ses actes devant la justice. Une servitude à laquelle il n’a pas daigné se dérober, encouragé par sa hiérarchie.
Le code de l’honneur en tout temps et en toutes circonstances, voila ce qui a prévalu chez cet homme, sous officier de Forces Armées congolaises, relevant de la Garde Républicaine, un corps d’élite où le respect des us et règlements militaires sont de rigueur.
Dans cette affaire qui passionne autant à charge qu’à décharge pour le présumé meurtrier, la victime aurait entretenu une relation extraconjugale avec la femme de celui-ci. Le jour du crime, la victime avait été prise en flagrant délit d’adultère, à une heure qui édictait l’outrage même. Les deux amants étaient loin de s’imaginer que les moments d’étreinte et d’euphorie amoureuses qu’ils venaient de passer, étaient ceux des adieux.
Entre honneur et déshonneur, pour une affaire qui déjà se savait, la passion à tranché jusqu’à la mort.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-04 09:15:08
Le Congo a réussi à conclure un accord avec la Chine sur la restructuration de sa dette envers ce pays. Cette dette représente 35% de la dette extérieure congolaise, suivie par celle contractée auprès des traders (30%).
Avec la conclusion de cet accord, il apparait que le pays vient de faire un grand pas vers la conclusion d'un programme avec le FMI. Reste maintenant à négocier avec les traders.
Lors de la dernière revue du FMI, au terme d’une semaine de travail avec la partie congolaise, le Chef de délégation du Fonds monétaire international, Alex Segura-Ubiergo, avait déclaré que la situation de la dette congolaise s’améliore. L’économie, de façon globale, commence à reprendre, grâce au secteur pétrolier. D’où, une évolution plus positive que prévue de la dette. Cependant restait la « soutenabilité » de cette dette. « Il faut donc poursuivre les discussions avec les créanciers extérieurs pour trouver des solutions », avait recommandé le Chef de Mission du FMI.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-04 08:32:37
Naguère principale source de recettes au budget de l’État, la filière bois y contribue dorénavant pour une part marginale. Les dernières inspections menées dans le secteur montrent une opacité monstre, notamment à l’export, dans la gestion de ce secteur pourtant porteur, au point de se demander, depuis quand dure cet état de fait et à combien s’élèveraient, tous comptes faits, les sommes détournées des caisses de l’État congolais.
Le dernier rapport de la commission de contrôle et de vérification de la gestion des recettes du service de contrôle des produits forestiers à l’exportation avait mis à jours de nombreuses disparités entre les recettes réelles engrangées par le secteur et celles réellement versées au trésor public.
Même si une certaine opinion argue le fait que la ministre de tutelle ne serait pas étrangère à ces pratiques pour le moins mafieuses, il va s’en dire que Rosalie Matondo aurait à l’évidence emprunté un sentier de brousse bien défriché par son prédécesseur.

Ainsi, ‘’continuité d’intérêts’’ oblige, on comprend aisément pourquoi la ministre de l’Économie forestière tentait de jouer la montre, auprès du premier ministre, chef du gouvernement qui sur instructions du président de la République, chef de l’Etat, l’avait enjoint, le 13 juin dernier, de prendre les dispositions pour que cette mission de contrôle se déroule sans obstacle.
« Permettez-moi d’opiner qu’en raison du principe de la solidarité gouvernementale, il aurait été souhaitable que nous ayons un entretien préalable sur le sujet avant que pareille mission ne soit commise », avait écrit la ministre Rosalie Matondo au Premier ministre, Clément Mouamba, le 16 juillet, pour globalement solliciter que soit « reconsidérée » la mission de l’IGE au SCPFE.
Dans ce courrier couvrant une page et demie, la ministre de l’Économie forestière s’étonnait, par ailleurs, de la concomitance de cette mission d’inspection avec « des délations postées sur les réseaux sociaux ces derniers jours » qui, ajoutait-elle : « visent à ternir l’image de mon département ministériel et de ma personne ». Elle souhaitait, en lieu et place de l’inspection, une réunion interministérielle qui réunirait sous l’autorité du chef du gouvernement, le vice-Premier ministre; le ministre d’État, ministre de l’Économie, de l’industrie et du portefeuille public; le ministre des Finances et du budget et elle-même.
Les conclusions de ladite commission ont montré que l’État se faisait déposséder depuis « temps non prescrit » des deniers qui lui étaient destinés de droit. Peut-être est-il temps pour le ministre Henri Ndjombo qui somme toute, avait défriché le sentier qu’aurait emprunté la ministre Rosalie Matondo qui à l’évidence n’aurait « dégusté la viande qu’en soupe », comme le dit le dicton de son terroir, de répondre aussi de la gestion de ce ministère dont il a tenu de façon inamovible le portefeuille plus d’une décennie.
Et pour cela, vivement le remaniement.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-01 18:43:52
De nombreuses compagnies forestières prises en flagrant délit de fraudes dans la filière bois avaient été sommées de s’acquitter de leur dette vis-à-vis de l’État congolais, à hauteur de 25% de la créance. Si certaines se sont exécutées, d’autres tardent à le faire. À leur endroit, des mesures coercitives ont été prises avec notamment la saisie de leurs comptes bancaires sur l’ensemble du territoire national. Voici le fac-similé du texte édictant les différentes mesures.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-12-01 09:56:14
La Coupe d’Afrique des nations de football 2019 n’aura finalement pas lieu au Cameroun, a-t-on appris vendredi de sources officielles. De nouvelles élections se tiendront samedi.
L’organisation de la 8ème Coupe d'Afrique des nations de football leur était restée ‘’en travers de la gorge’’ en 1972 avec une troisième place, derrière le Mali et La république populaire du Congo vainqueur de l’épreuve. Les camerounais espéraient étaler un autre football plus entreprenant et prendre la revanche sur leur sol, 47 ans après. Hélas, il n’en sera pas ainsi. La 32ᵉ édition de la Coupe d'Afrique des nations de football qui devait se dérouler du 15 juin au 13 juillet 2019 au Cameroun aura lieu dans un autre pays.
La Confédération africaine de football (CAF) a finalement retiré l’organisation de la CAN 2019 au Cameroun et a ouvert la porte aux candidatures des pays souhaitant organiser la compétition. Le Maroc qui faisait déjà feu de tous bois avec une quasi condescendance sur ses capacités à organiser la compétition, a d’ores et déjà fait savoir qu’il se portait candidat.
Le comité exécutif de la CAF s’est réuni vendredi à Accra, la capitale du Ghana. Il a examiné un compte rendu des deux dernières visites d’inspection de la CAF. La structure vient de réaliser une inspection sécuritaire et une inspection des infrastructures, stades et hébergements.
Le 29 septembre dernier, lors d’un comité exécutif à Charm el-Cheikh en Égypte, la CAF avait constaté «un retard important dans la réalisation des infrastructures» nécessaires à la tenue de la CAN 2019 au Cameroun.
La situation sécuritaire au Cameroun est actuellement très tendue alors que le pays subit des attaques persistantes des djihadistes de Boko Haram dans le nord du pays et un conflit en cours entre l’armée et des séparatistes dans les deux régions anglophones du pays.
De nombreux pays au sud du Sahara dénoncent une hégémonie affichée des pays du Maghreb dans les institutions de la CAF avec une réelle influence sur les décisions de la confédération sportive.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-11-30 16:37:02
Il ne fait aucun doute que la qualité des infrastructures portuaires et aéroportuaires est globalement satisfaisante dans notre pays. Cependant, le domaine routier ainsi que les transports urbains et ferroviaires nécessitent une remise à niveau significative.
Le réseau routier congolais compte près de 21.000 km de routes principales mais 1900 km seulement sont bitumés. Comme 90% du réseau n’est pas bitumé, de nombreux axes routiers ne sont pas praticables en temps de pluie. La fluidité du trafic des biens et des personnes en est affectée, ce qui est contre-productif pour l’efficacité globale des transports et pour le fonctionnement des échanges commerciaux. Car cela réduit le volume de la production agricole et industrielle commercialisée. De plus, les deux grandes villes congolaises, Brazzaville et Pointe-Noire, ne sont pas dotées en équipements modernes de transport en commun. C’est pourquoi le taxi collectif reste souvent le moyen le plus praticable de déplacement, en sacrifiant malheureusement le confort des passagers.
Dans la totalité du pays, près de 250.000 véhicules sont immatriculés et seulement 56 transporteurs (entreprises et transports) sont enregistrés par la Direction générale des transports terrestres.
L’État est donc le grand perdant de cette absence de contrôle et de l’évolution du trafic dans l’informel. Le manque à gagner est très important en matière de taxes, péages et de toute autre activité dérivée. Il faudra donc faire de gros efforts pour remettre de l’ordre dans l’identification précise des immatriculations et augmenter ainsi les recettes fiscales de notre État.
Le réseau fluvial navigable congolais est très important, mais il est paradoxalement peu exploité. Les trafics voyageurs et marchandises sont en régression constante depuis 2009.
En pratique, le transport fluvial est encore loin de tenir ses promesses en termes de contribution au développement économique général. Il faut donc agir contre la vétusté et l’insuffisance de ses infrastructures, l’inadéquation de sa maintenance, la médiocrité de son cadre réglementaire et enfin revoir les nombreux obstacles non physiques qui entravent les déplacements.
Le Congo dispose de près de 800 km de voies ferrées. Ce réseau ferroviaire est en cours de réhabilitation depuis quelques années. Des marges de progression existent au niveau de la qualité du service mais il faudra réhabiliter des parties importantes du réseau : plateformes, ballasts, ouvrages d’art.
Déjà, la priorité est donnée au transport de marchandises considéré comme plus utile pour l’activité et plus rentable. Mais, il ne faudrait pas laisser de côté pour autant les transports de voyageurs qui, à terme, véhiculent une image d’efficacité et de sécurité tant pour le monde des affaires que pour le tourisme.
Dans les années à venir, l’exploitation optimale des ressources minières nécessitera l’extension du ferroviaire, afin de permettre une évacuation efficiente de la production d’extraction. Les opérateurs privés ont un rôle essentiel à jouer pour participer au développement et à la gestion des infrastructures de transports par voies ferrées.
En 2013, la société China Railways Construction Corporation International (CRCCI) et le Ministère congolais des transports ont signé un accord de partenariat pour la réhabilitation du Chemin de fer Congo-Océan. En 2015, l’Italie s’est prononcée pour faciliter le financement de la réhabilitation du CFCO et des ports fluviaux.
Par conséquent, il est possible et souhaitable de développer des accords et des partenariats mutuellement avantageux entre notre État et les sociétés privées si l’objectif est de parvenir à l’amélioration de nos transports et de notre logistique. Cela suppose que les accords signés aboutissent à de véritables synergies et coopération permettant d’améliorer l’organisation de nos infrastructures ferroviaires.
Aujourd’hui, une grande partie des compétences essentielles à la réussite de nos transports (urbain, fluvial et portuaire, ferroviaire et aérien), et de nos infrastructures est liée au « réseau de valeur » qui est constitué par tous les partenaires dont le pays est capable de s’entourer pour compléter et amplifier ses ressources. La performance n’est plus simplement individuelle, mais devient globale et donc collective. On ne peut obtenir de la qualité dans un océan de non-qualité. La force de nos infrastructures de transport devra reposer de plus en plus sur des effets de milieu qui mettent l’accent sur le processus de création de ressources, lesquels s’inscrivent dans la dynamique renforcée de nos territoires.
La condition du renouveau de nos transports et de nos infrastructures est de prendre des distances avec une mise en concurrence exclusive par les coûts en faisant émerger une offre de spécificité articulant entreprise, coopération, formation et recherche pour créer de la valeur. C’est dire toute l’importance qui devra être accordée à la formation des jeunes, au transfert et à la diffusion des technologies.
Cependant, si notre pays veut obtenir une « performance globale » qui rende compatible efficacité et justice sociale,il devra s’appuyer sur les progrès de son système de transports et améliorer sans cesse ses processus logistiques. Il sera alors en capacité de mettre en place de nouvelles stratégies de coopération privé-public, afin de faire de l’emploi et de l’élargissement de son marché les axes majeurs de son développement.
En rédigeant cette tribune, mon souhait le plus ardent est de voir un jour un tramway qui partirait de l’aéroport Maya-Maya, longerait le boulevard Denis Sassou N’guesso jusqu’au rond-point du stade Saint Denis à M’pila, remonterait l’avenue de France en passant par la basilique Sainte-Anne de poto-poto, jusqu’au sens giratoire de la coupole (une boucle). Nous pouvons le faire.
Roger NDOKOLO Président du parti du centre UNIRR
(Union pour la Refondation Républicaine)
Créé le 2018-11-30 08:50:09
À l’occasion de la célébration de l’an 60 de la proclamation de la République, le président Denis Sassou N’Guesso a décoré un échantillon de neuf personnalités, parmi lesquelles Bahamboula Mbemba Jonas Tostao fait commandeur dans l’ordre du mérite sportif.
Au nom de la patrie reconnaissante du mérite de ses fils et filles, ainsi qu’il est désormais de coutume lors de la célébration de la proclamation de la République, le président Denis Sassou N’Guesso, a décoré neuf Congolais. Il s’agit de l’ancien ministre du gouvernement de Fulbert Youlou, Yves Isaac Ibouanga, grand officier dans l’ordre du mérite congolais ; Théophile Obenga, grand officier dans l’ordre du mérite congolais ; Daniel Nguembila, commandeur dans l’ordre du mérite congolais ; Stéphanie Gertrude Mouaya, commandeur dans l’ordre du mérite congolais ; Moyo Nzololo, officier dans l’ordre du mérite congolais ; Christelle Filla Nzololo, chevalier dans l’ordre du mérite congolais ; Martin Wassis, officier dans l’ordre de dévouement congolais ; Jonas Bahamboula Mbemba dit Tostao, commandeur dans l’ordre du mérite sportif et Tsengué Tsengué, médaille d’or d’honneur de la recherche scientifique.

En feu-follet des stades Jonas Bahamboula Mbemba, porteur du numéro 13, aura enthousiasmé des générations de supporters des Diables noirs mais aussi et surtout de l’équipe nationale, les Diables rouges, vainqueurs avec lui de la 8ème coupe d’Afrique des nations de football, Yaoundé 72.
Bahamboula Mbemba Jonas Tostao est l’un des sportifs congolais dont le nom et les exploits traversent les âges et le temps. Aussi apprécie t-il à sa juste valeur, cet hommage de la Nation.
« Je suis heureux que la nation ait pensé à moi en me décorant. Je suis toujours proche des milieux sportifs. Après mon jubilé, j’ai créé une équipe de football dénommée "Espoir du Congo". Actuellement, j’ai une académie de sport qui fonctionne timidement faute de moyens logistiques et financiers. Je profite de votre micro pour lancer un SOS à tous ceux qui aiment le football pour soutenir cette école ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-11-28 18:48:56
A Kibangou, dans le département du Niari (sud), plusieurs paysans se sont donné rendez-vous lundi, afin de tenter d’effrayer un éléphant solitaire qui saccageait leurs récoltes.
Créé le 2018-11-28 10:50:34
Les présidents français changent, l’écrivain et chercheur congolais, Michel Innocent Peya reste. Il a murmuré à l’oreille de François Hollande et voici qu'il découvre Emmanuel Macron. Deux présidents en trois ans.
Créé le 2018-11-28 10:11:54
Comme chaque fin d’année, le président de la République, Denis Sassou Nguesso s’adresse devant le parlement réuni en congrès et partant devant tous les congolais au mois de décembre. Pour cette année 2018 qui s’ouvre sur 2019 quelle sera la quintessence du discours du premier président de la nouvelle République ?
Créé le 2018-11-28 08:36:19
Ce mardi, aux alentours de 21 heures, une moto a été percutée par un véhicule à vive allure en face de la joie du Congo à Pointe-Noire. Le choc a été énorme puisque Sogni Kibity Archange, 24 ans, de nationalité congolaise, a été projeté à plusieurs dizaines de mètres et n’a été arrêté que par une voiture qui était stationnée.
Créé le 2018-11-27 21:55:47
Au grand bonheur des congolais, un premier train lourd arrive ce mercredi 28 novembre 2018 à la gare de Brazzaville en provenance de Pointe Noire. Il transporte 11 citernes de carburant.
Créé le 2018-11-27 21:01:26
La précarité inquiète. Il faut savoir tendre la main. L’ancien diplomate, Marcel Makomé, président du Parti libéral congolais (PLC/opposition), qui tisse le mauvais coton en ce moment en Europe, a sollicité l’indulgence du président congolais, Denis Sassou Nguesso pour lui sortir du bourbier du désespoir et lui permettre de refaire une très bonne santé financière.
Créé le 2018-11-27 11:12:56
Isolé depuis plusieurs années et absent des circuits de diffusion musicaux, Aurlus Mabélé s’est enfermé avec son talent et son succès. Le “Soukous” est depuis orphelin de son géniteur et de son propulseur. Le grand défenseur de la musique congolaise des années 90, en Europe, aux Antilles et en Afrique de l'Ouest, a besoin d’aide du gouvernement et des congolais généreux pour survivre et pour être à l’abri de la peur et du besoin.
Créé le 2018-11-27 09:26:06