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Transport : Difficile de circuler entre Mbinda et Mayoko

Circulez reste compliqué entre Mbinda et Mayoko dans le Niari (sud) ! Les dégâts sont là, sous nos yeux, sur les routes. Les arbres, les sols et les chaussées qui ont été fragilisés par des semaines et des semaines de pluies depuis les mois d’octobre et novembre 2018 n'ont pas résisté à cette ultime dépression. Pour les téméraires il faut s'armer de courage de patience et surtout de perspicacité pour tenter d'affronter cette piste d'éléphants qui se transforme à la première averse en patinoire.

Créé le 2018-11-27 08:25:38

La réhabilitation des trois ponts détruits dans le Pool a coûté un milliard neuf cents millions de frs CFA

Pour les contribuables congolais, la réhabilitation des trois ponts détruits, tous situés entre les localités de Kinkembo et Loulombo (département du Pool) vous a coûté un milliard neuf cents millions de frs CFA, selon le compte rendu du Conseil des ministres de ce lundi 26 novembre 2018.

Créé le 2018-11-26 21:14:09

Brazzaville : Cérémonie marquant le 60ème anniversaire de la proclamation de la République du Congo ce mercredi

Les congolais seront mobilisés à la place de la République, anciennement place de Centre culturel français autour du président Denis Sassou Nguesso ce mercredi, pour la cérémonie marquant le 60ème anniversaire de la proclamation de la République du Congo.

Créé le 2018-11-26 11:00:10

Congo – Police nationale : Le général Jean-François Ndenget rentre au bercail sur ses deux pieds

Après un séjour au Maroc pour de raisons médicales, le général Jean-François Ndenget est rentré au Congo par Ollombo avant de se rendre à Obouya. Ceux qui le donnaient pour mort sur les réseaux sociaux ont dû boire leur honte jusqu’à la lie.

Les populations d’Obouya ont accueilli dans la liesse le général Jean-François Ndenget dimanche. Comment pouvait-il en être autrement, quand de nombreuses rumeurs relayées sur le net faisaient état du décès de l’enfant du pays.

«Le général Jean François Ndenguet est mort dans un avion médicalisé ». Pourtant, un « fake news », une farce macabre dont le net a désormais le secret. Ceux qui se partageaient ces ragots via whatsApp, affirmaient mordicus tenir l’information de source sûre, au point de créer le doute dans la population.

Les mots de Mark Twain sont bien évocateurs : « Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures ». 

Le retour au pays du directeur général de la police, qui n’a jamais fait mystère de ce qu’il suivait des soins médicaux au Maroc, rabat le caquet à ceux qui chantaient le requiem de sa mort, et fait dire à certains de ses proches, « pourquoi chercher un vivant parmi les morts ? »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-25 16:04:03

Congo – Littérature : Hem'sey Mina signe le recueil de nouvelles " Trait d'union, du Nord au Sud''

Après le récit « J’ai rêvé d’une entreprise 4 étoiles » publié en 2014 aux éditions l’Harmattan et le roman « Sur la photo, c’était presque parfait » publié en 2016 à La Doxa éditions, Hem'sey Mina, auteur franco-congolais, finaliste du prix Sylvain Bemba revient avec un recueil de nouvelles de haute facture : " Trait d'union, du Nord au Sud'' paru aux éditions ''Les lettres mouchettées''.

Ce recueil de trois nouvelles est d’une thématique qui épouse les contours de l’ère du temps.

'' Un couple franco-belge séjourne à Copenhague dans une famille dont l’époux est originaire du Nigéria. La Belge et le Nigérian portent une archéologie migrante singulière : le souvenir de la terre d’origine déterre des émotions enfouies. Une jeune femme médite, le jour de la journée internationale de la femme, sur ses détresses et désespoirs dans un monde où il faut presque se vendre pour exister. Entre le sexe, le mariage, et l’amour, elle laisse entrevoir que souvent tout n’est que question d’intérêt dans la vie. La troisième nouvelle présente un jeune adolescent à la quête de ses racines.

Que ce soit à Copenhague, Kinshasa, Arlon, Abuja, Yaoundé, Gatineau ou Brazzaville, les questionnements autour de l’immigration, de l’identité, de l’intégration ou de l’exil demeurent les mêmes. Chaque personnage de ses trois nouvelles nous enseigne que s’exiler n’est pas toujours commode. Parfois égarés, mais toujours captivants, ils remuent ciel et terre pour exister.

Dans ce recueil comme un clin d’œil aux questions de migrations, des hommes et des femmes, essentiellement des jeunes, se cherchent et cherchent leurs origines, leurs histoires, leurs racines.''

Finaliste du prix du premier roman Sylvain Bemba, Hem'sey Mina est apparu dans le monde littéraire congolais en 2014 avec le récit « J’ai rêvé d’une entreprise 4 étoiles ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-24 22:30:32

Congo – Gouvernement : Le conseil des ministres du 26 novembre serait-il celui des adieux ?

Les membres du Gouvernement se réuniront en Conseil des ministres le lundi 26 novembre 2018, sous l'autorité du Président de la République, Chef de l'État, Son Excellence Denis Sassou N'Guesso. Cette réunion non inscrite à l’agenda gouvernemental ne manque pas d’alimenter les conversations sur l’imminence d’un remaniement du gouvernement.

Toujours annoncé dans l’opinion depuis plus d'un an, pourtant jamais opéré, le changement de l’équipe gouvernementale s’est invité soudain dans les conversations des congolais, avec l’annonce ce week-end, d’un conseil des ministres devant se tenir le lundi 26 novembre, soit 5 jours après le conseil des ministres du mercredi 21 novembre dernier.

Qu’est ce qui justifierait ce second conseil des ministres en moins d’une semaine, là est toute la question et de nombreux congolais se la posent, surtout que l’ordre du jour dudit conseil n’a nullement été précisé. Seul Denis Sassou N’Guesso qui redisons-le, en ’’ Maître du temps et des horloges’’ détient la clé de l’énigme.

Dire que le week-end sera long pour les congolais, mais surtout les ministres quelque peu pris de court. Des indiscrétions font ressortir qu’en cas de remaniement, personne d’entre eux ne sait s’il sort ou il reste, surtout que lors du conseil des ministres du 21 novembre, le président de la république aurait vertement sermonné certains ministres mis devant le fait accompli dans la gestion calamiteuse de leurs départements ministériels. Ceux-là, qui se savent à coup-sûr sur un siège éjectable passeront à l’évidence un week-end d’angoisse.

Alors, au cas où ce conseil des ministres de lundi serait-il celui des adieux, et que dans la foulée, le premier ministre Clément Mouamba rendrait son tablier, qui partirait, et qui resterait?

Il va s'en dire que le nouveau gouvernement, dont le volume reflétera celui du moule des institutions de Breton-Woods, sera une équipe resserrée, faite davantage de technocrates que de « politiques ». La particularité en sera, la concentration des portefeuilles par pôles d’intérêts.

Ainsi, de nombreux membres de l'équipe actuelle ne seront pas reconduits dans la nouvelle dont la première différence se lira aux émoluments qui seront quasiment divisés de moitié.

Alors qui partira du gouvernement ?

Un renouvellement en profondeur s'impose, selon les congolais, afin de ne pas toujours voir les mêmes personnes en pane d'imagination et de créativité aux mêmes places.

Des indiscrétions font ressortir le fait que de nombreux ministres, compagnons de route de longue date du président de la république aimeraient prendre leur retraite et ils le lui ont fait savoir. Ils sont cinq ou six et parmi eux on citerait le ministre Pierre Oba des Mines et de la géologie, bien décidé à prendre du repos.

D'autres dont les noms sont régulièrement cités dans des enquêtes en cours vont à l'évidence partir du gouvernement. Leur présence qui y perdure est déjà contre-productive, du point de vue de l'image dont ils lestent désormais l'équipe gouvernementale, notamment dans la lutte contre les antivaleurs.

À leur corps défendant, leur sortie du gouvernement leur permettra plus de liberté devant la justice pour le cas échéant, défendre leur honneur jeté en pâture, sinon répondre des faits dans lesquels ils sont cités. Sur ce plan, les plus indexés sont les ministres Jean Jacques Bouya, Gilbert Ondongo ou Emile Ouosso. Depuis quelques semaines, les noms des ministres Alphonse Nsilou et Rosalie Matondo s’y sont ajoutés en filigrane.

L'élagage du gouvernement concernera également ceux et celles qui se seront simplement illustrés par la médiocrité dans la tenue de leur ministère. Dans de nombreux secteurs les résultats parlent d'eux mêmes.

Puis, il y a ceux dont l'inexpérience et les tâtonnements, voire le manque d’ingéniosité, ont conduit à une perte de temps qui se résume à une absence de résultats.

Pour les entrants, aux cotés de ceux qui resteront, et qui sans doute se compteront cette fois-ci du bout des doigts, il faudra adjoindre d'autres à l'évidence très outillés dans leur domaine de compétence et engagés dans l'action, avec une probité et un sens de l'état irréprochables.

Il n'est pas exclu que des personnalités qui avaient quitté le gouvernement y reviennent, tout comme seraient pressentis des cadres issus de la diaspora pour y entrer.

Quant au premier ministre, la crise économique en cours et les moyens de la résorber conduiront à l'évidence à la prise de mesures et de décisions impopulaires que le nouveau chef du gouvernement devra assumer, comme une thérapie de choc, douloureuse mais indispensable et au final salutaire.

Les qualités managériales de cet homme devront se refléter dans sa capacité à conduire une équipe d’hommes et de femmes rompus à la tâche et animés de l’idéal de la reconstruction du pays, le tout sous l’action éclairée du chef de l’État.

Quoi qu'il en soit, bien malin celui qui sait ce que Denis Sassou N'Guesso entend dire aux ministres, qui eux-mêmes semblent déboussolés.

Alors, on attend. Et vivement lundi !

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-24 11:18:27

Joyeux anniversaire : Denis Sassou Nguesso fête ses 75 ans aujourd’hui

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso, célèbre aujourd'hui son 75ème anniversaire. Le nombre d'hommages en ligne témoigne de l'incroyable popularité dont il jouit au Congo et dans le reste du monde.

Créé le 2018-11-23 17:59:49

CFCO : Le train sifflera à nouveau bientôt entre Pointe-Noire et Brazzaville

C’est un nouveau pas décisif dans la relance de l’économie nationale qui est en passe d’être franchi. Les équipes techniques du Chemin de fer Congo Océan (CFCO) s'emploient aux derniers réglages en vue de la relance de la circulation des trains entre les deux plus grandes villes du pays, interrompue depuis environ deux ans.

Créé le 2018-11-23 16:35:40

Congo – Douanes : Suppression des exonérations exceptionnelles

À travers un texte signé et publié le 22 novembre à Brazzaville, le ministre des Finances et du Budget a mis fin aux exonérations douanières sur les marchandises importées. Voici le fac-similé du texte, tel que reçu par notre rédaction.

Même si le coût global des exonérations n’a jamais été évalué, celui-ci ressort tout de même un manque à gagner qui se chiffre en dizaines de milliards de Francs CFA pour l’État.

Bien souvent les économies réalisées par les sociétés sur l’exonération de douane des marchandises, ne sont pas répercutées sur les prix auprès des consommateurs, donnant à l’État l’impression de s’être fait flouer.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-23 10:26:30

Congo – Aviation civile : Redécollage imminent pour ECAir

Au cours de la séance des questions orales au gouvernement avec débats, du 22 novembre à l’assemblée nationale, la situation de la compagnie ECAir a entre autres questions, été évoquée. Le ministre Fidèle Dimou a informé la représentation nationale de la reprise prochaine des activités de ladite compagnie aérienne.

Répondant aux préoccupations des députés, le ministre des Transports, de l’aviation civile et de la marine marchande, Fidèle Dimou, a fait savoir que la relance des activités d’Équatorial Congo Airlines est éventuelle et même imminente.

« Les quatre avions qui étaient cloués au sol à l’aéroport de Maya-Maya sont actuellement à Addis-Abeba en Ethiopie pour certains, et d’autres à Johannesburg en Afrique du sud, pour subir un entretien technique. La reprise des vols se prépare. Au plan administratif, la reprise des services se fait progressivement », a indiqué le ministre des Transports.

Ces check-up de reprise font suite à un partenariat signé avec la compagnie Ethiopian Airlines pour la formation des équipages et la maintenance des appareils, pour le transporteur congolais ECAir, en cessation d'activités depuis le mois d’octobre 2016, pour cause de trésorerie.

Si la nouvelle est accueillie avec euphorie par de nombreux congolais qui voient en cette compagnie une fierté nationale, beaucoup émettent le souhait de voir s'opérer un changement à la tête de cette celle-ci, la direction sortante ayant brillé par une incompétence notoire en matière de management et de gestion.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-23 09:26:45

Michel Innocent Peya dédicace ses oeuvres et traduit la vision écologique de Denis Sassou Nguesso à Emmanuel Macron, Christine Lagarde (FMI) et Antonio Guterres (ONU)

L’écrivain et chercheur congolais, Michel Innocent Peya a dédicacé ses ouvrages "Le Fonds Bleu", "Vision verte de Denis Sassou Nguesso" et « Bombe ‘‘N’’ » au président français, Emmanuel Macron,  à la directrice général du FMI, Christine Lagarde et au premier secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, en marge du Forum de Paris sur la paix.

Créé le 2018-11-22 20:52:39

Diplomatie : Trois ambassadeurs présentent leurs lettres de créance au président Denis Sassou Nguesso

Trois ambassadeurs accrédités au Congo ont présenté leurs lettres de créances au président de la République, Denis Sassou Nguesso ce jeudi 22 novembre 2018.

Créé le 2018-11-22 17:32:24

Les ministres de la Culture de la CEEAC en conclave du 27 au 30 novembre à Brazzaville

Les ministres de la Culture de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), seront en conclave du 27 au 30 novembre 2018, à Brazzaville, la capitale congolaise, pour réfléchir sur les moyens à mettre en œuvre pour que la culture et ses activités connexes deviennent de véritables leviers pourvoyeurs de devises en Afrique centrale.

Créé le 2018-11-22 17:02:08

Congo – Dette intérieure : Des créanciers fictifs pour plus de la moitié de l’ardoise

Lors d’une rencontre avec les cadres de son département, le 20 novembre à Brazzaville, le ministre des Finances, Calixte Nganongo, a fustigé le volume des créanciers « fictifs » décelés dans le cadre de l’opération d’audit de la dette intérieure.

Les rapports d’audit de la dette intérieure filtrent au compte-gouttes, alors qu’ils sont attendus par les partenaires du FMI (Fonds monétaire international).

Depuis le mois de mars de cette année, le gouvernement avait engagé les cabinets Ernst &Young et Cacoges pour diagnostiquer le stock de la dette locale. Ils doivent produire un fichier unique du passif de l’Etat allant du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2016.

Les deux cabinets en charge de l’audit devraient, en effet, passer au peigne fin les archives de la dette puis la liste des opérateurs économiques avant de les lier aux écritures comptables justifiant les créances.

En raison des difficultés qui ont émaillé l’enquête, les auditeurs ont sollicité un délai supplémentaire, afin de peaufiner leur enquête.

Le ministre des Finances et du budget qui veut ouvrir un front contre les fraudeurs, a décidé de lever le voile sur les premiers résultats d’audit. « Je viens d’apprendre à la faveur des résultats de la première étape au niveau de l’audit de la dette intérieure que 50% des créanciers ne viennent plus réclamer leurs fonds. Cela signifie que l’Etat avait affaire à des créances fictives », a déclaré Calixte Nganongo sans avancer les chiffres exacts de cette dette.

Il faut noter que la détermination de la masse de la dette congolaise est l’une des recommandations formulées par le FMI dans le cadre des négociations avec le gouvernement. Une délégation de l’institution financière conduite par son conseiller Afrique, Alex Segura-Ubiergo, vient d’achever une mission de près de dix jours à Brazzaville. Les émissaires du FMI ont exhorté le gouvernement à finaliser un accord avec ses créanciers en vue de réduire le poids du passif de l’Etat.

Outre la question de la dette, la mission du FMI a insisté sur la poursuite de la lutte contre la corruption et la fraude.

Le ministre Calixte Nganongo a dû employer des mots durs contre les fraudeurs. « Certains s’accordent à contourner toutes les mesures prises ; nous attendons l’adoption des réformes pour faire la chasse aux sorcières. Personnellement, je serai intraitable vis-à-vis des fraudeurs », a-t-il averti.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source Adiac

Créé le 2018-11-22 11:04:03

Congo – Quartier Makandilou : Le commissaire de police serait tombé sous les balles d’un adjudant de la ‘’GR’’

Les habitants de Makabandilou, à Djiri, le neuvième arrondissement de Brazzaville, se sont réveillés dimanche 18 novembre sur une nouvelle terrifiante, celle de la découverte du corps sans vie du commissaire de police de leur quartier, le capitaine Gérard Okabando criblé de balles, à quelques encablures du Commissariat.

Alors que l’on pensait à un règlement de comptes ou à une action de quelques bandits qui se seraient vengés en attentant à la vie du commissaire de police, selon les témoignages recueillies par les enquêteurs, il est désormais établi que l’assassin du capitaine Gérard Okabando serait un adjudant de la Garde républicaine. Le crime aurait un mobile passionnel.

Les coups de feu entendus dans la nuit du samedi 17 au dimanche 18 novembre par les habitants du voisinage de l’endroit de la commission du crime avaient été précédés d’une altercation verbale, preuve que l’assassin connaissait la victime à qui il avait à l’évidence tendu une embuscade.

Certains témoins arguent que le différend fatal serait né de ce que l’adjudant qui soupçonnait son épouse d’entretenir une relation extraconjugale avec le commissaire, avait feint de s’absenter du domicile, en prétextant être de garde à son service.

Avec la complicité de quelques informateurs à sa solde, celui-ci était mis au courant des faits et gestes de son épouse, sortie quelques temps après son départ, avec le commissaire.

Au moment où celui-ci ramenait sa dulcinée, peu avant le lever du jour, avant le retour de l’époux cocu, l’étau s’est resserré sur les deux tourtereaux.

Après une brève altercation, l’adjudant qui avait selon toute vraisemblance prémédité son geste, a ouvert le feu avec son arme de service, touchant sa victime de plusieurs balles.

Sans défense, car ayant abandonné son arme de poing dans la voiture alors qu’il raccompagnait sa maîtresse, l’homme qui n’a pu opposer de résistance serait décédé sur le coup.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-22 10:34:43

Congo – Faits de société : De plus en plus de jeunes mères allaitantes enclines à l’alcool

Elles ont de bébés qu’elles allaitent au sein, faute de pouvoir les nourrir autrement, par manque de moyens financiers, de nombreuses filles-mères congolaises sont hélas portées en même temps vers l’alcool. Une addiction qui n’est pas sans conséquences pour le nourrisson.

« Cet enfant est mon pire cauchemar. Il pleure à longueur de journée, au point que je ne peux vaquer à mes occupations ».

De nombreuses filles-mères ont fait le constat d’un comportement quasi anormal auprès de leur bébé qui pleure constamment, souffre de maux de tête, accuse une sensation de vertige et tombe ou dort pendant longtemps, voire manque d’appétit.

Si ces mères qui parfois élèvent seules leur progéniture, s’inquiètent tant soit peu de ces phénomènes qu’elles trouvent assez bénins pour consulter un médecin, elles sont loin de réaliser qu’elles sont à l’origine de ces troubles. Car, « quand maman boit, bébé trinque ».

Autant il est proscrit pour la femme enceinte de consommer de l’alcool, autant celle qui allaite devrait aussi s’en affranchir, car les conséquences sur le bébé sont les mêmes. L’alcool est la ''première cause de handicap mental non génétique’’, assurent les spécialistes.

L’état des connaissances actuelles ne permettant pas de définir un seuil au-dessus duquel la consommation d’alcool devient très dangereuse pour le bébé né ou à naître, les autorités sanitaires recommandent de s’abstenir de boisson alcoolisée durant toute la grossesse mais aussi pendant la période d’allaitement.

Boire ou allaiter, à maman de faire le choix pour sauvegarder la vie de son bébé.

Même si la maman croît trouver l’oubli et noyer ses soucis au fond d’une bouteille de bière, c’est bien son bébé qu’elle y noie.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-22 09:38:53

Congo : 60 000 enfants menacés de malnutrition

En dépit des progrès significatifs enregistrés dans la réduction de la prévalence de la malnutrition au Congo, 30% en 1990 à 21% en 2015, la route à parcourir reste encore longue car selon les résultats de certaines enquêtes, encore un enfant âgé de moins de 5 ans sur 4 souffre de retard de croissance, c’est-à-dire de malnutrition chronique, selon la représentante de l’Unicef au Congo, Micaela Marques De Sousa.

Créé le 2018-11-21 20:55:48

Congo : Denis Sassou Nguesso pour la réduction des missions des ministres à l’étranger

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a attiré à nouveau l’attention des membres du gouvernement sur le nombre de missions à l’étranger au sujet desquelles il avait déjà requis la réduction, pour que l’action du gouvernement soit plus portée vers le travail de proximité au profit du peuple.

Créé le 2018-11-21 20:32:58

Kimongo : Il agresse son rival à coups de tesson de bouteille

Le triangle amoureux aurait pu tourner au drame. Mardi 20 novembre 2018, vers 1 h 50 du matin, un homme de 40 ans débarque chez son ex-compagne à Kimongo dans le Niari (sud) quand il s’aperçoit qu’il a été remplacé. Il agresse alors son ancienne amie âgée de 36 ans à coups de poing, puis il s’en prend à son rival avec un tesson de bouteille notamment au visage.

Créé le 2018-11-21 20:05:47

Congo : Le gouvernement demande la cessation de service pour tout fonctionnaire admis à la retraite

Le ministre congolais des Finances et du Budget, Calixte Nganongo, a demandé, à travers la circulaire N° 0182/MFB-CAB du 15 novembre 2018, à tous les directeurs généraux d’établir des attestations de cessation de service à tous les fonctionnaires admis à la retraite.

Créé le 2018-11-21 19:40:31

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