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Brazzaville : Interventions chirurgicales gratuites de la cataracte en décembre prochain

Les experts de la mission médicale chinoise procèderont à des interventions chirurgicales gratuites de la cataracte au mois de décembre prochain à l’hôpital de l’Amitié Sino-Congolaise de Mfilou.

Créé le 2018-11-21 19:01:56

Retards au travail : Un dispositif de contrôle et d’identification pour les agents du Ministère des Finances et du Budget

Le ministre congolais des Finances et du Budget, Calixte Nganongo, a lancé un appel, mardi 20 novembre 2018 à Brazzaville, à tous les cadres et agents des régies financières, de saisir cette deuxième chance pour rompre avec les vieilles pratiques et les antivaleurs, du genre retards au travail ou départs du travail avant l’heure, en abandonnant seuls leurs chefs hiérarchiques au bureau.

Créé le 2018-11-21 17:06:12

Dolisie : Opération de déguerpissement forcé des commerçants par les forces de l’ordre

Une opération de déguerpissement forcé des commerçants a eu lieu très tôt ce mardi 20 novembre 2018 aux abords du grand marché et à l’entrée de la rue Sibiti à Dolisie. Plusieurs marchands ont été contraints par des éléments de la Police à regagner le grand marché de la ville préfecture du Niari (sud).

Créé le 2018-11-20 20:11:52

CFCO : Reprise du trafic Pointe-Noire - Mbinda

Le trafic ferroviaire revient à la normale ce mardi entre Pointe-Noire et Mbinda, une pause laissant la place à quelques jours au déraillement du train minéralier entre la gare de Mossendjo et le PK Moutébé dans le Niari (sud).

Créé le 2018-11-20 18:43:46

Congo : Conseil des ministres. Le remaniement attendra encore

Le conseil des ministres se réunira ce mercredi 21 novembre 2018 à 10h au Palais du Peuple à Brazzaville sous la haute autorité du Président de la République, Denis Sassou Nguesso.

Créé le 2018-11-20 17:54:00

Brazzaville va-t-il libérer le général Jean-Marie Michel Mokoko ?

L’hypothèse paraît peu probable, au lendemain de la déclaration du Groupe de travail sur la détention arbitraire, un organisme placé sous la tutelle du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Le gouvernement reste ferme. « Les droits de la défense ont été respectés : M. Mokoko a saisi les juridictions congolaises et a fait un pourvoi en cassation. Aujourd’hui, cette affaire est définitivement jugée et ne peut faire l’objet d’une intervention extérieure. On nous reproche de nous être immiscés dans le processus judiciaire et, paradoxalement, cette instance qui nous condamne nous demande de violer la loi une dernière fois en libérant le général Mokoko. Nous le contestons ! », a déclaré le ministre congolais de la Communication et porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla.

Créé le 2018-11-20 17:12:36

Mossendjo : La population juvénile rongée par le chômage

Mossendjo, une commune située dans le département du Niari (sud), ne constitue pas l’exception, en comparaison à d’autres villes du Congo, en matière de chômage.

Créé le 2018-11-19 19:53:49

La société SADEM s'intéresse au coltan de Mayoko

La société SADEM représentée par M. Ngani et les sages de la ville de Mayoko dans le Niari (sud) sont en pourparlers concernant l'exploitation du coltan, un minerai qui entre dans la fabrication des téléphones portables.

Créé le 2018-11-19 18:46:44

Congo – Sécurité publique : Plusieurs crimes crapuleux enregistrés dans le périmètre urbain de Brazzaville

Depuis quelques jours, des assassinats et autres crimes dont le mode opératoire tranche d’avec celui des « bébés noirs », sont enregistrés à Brazzaville, et même à Pointe-Noire. Tirant prétexte de la crise que traverserait le pays, des personnes mal intentionnées, ayant des capacités de nuisance, opèrent désormais dans l’ombre, n’hésitant pas le cas échéant, à ôter la vie de ceux dont ils croisent la route.

En une semaine, Brazzaville a connu deux faits d’extrême violence, signalés. L’assassinat d’un vigile et celui d’un officier de police. Le vigile a été assassiné dans la nuit de mercredi à jeudi 15 novembre, dans les locaux de western union de Moukondo, non loin de la station d'essence Total, sur l'avenue menant à Mfilou.

Sans doute surpris par ses agresseurs, celui-ci a été ligoté et bâillonné, avant d’être exécuté. Western union n’a pas communiqué sur le butin emporté qui serait à l’évidence la raison de cette agression mortelle, un vol à mains armées, comme on en commet de plus en plus dans la ville capitale.

Le capitaine Gérald Okabando, commissaire de police de Makabandilou dans le 9ème arrondissement Djiri, a été abattu par balle dimanche, aux environs de 1heure du matin. Les raisons et les auteurs de ce forfait ne sont pas encore connus.

Autant de faits qui s’ajoutent aux agressions désormais quotidiennes des « bébés noirs » et plongent les populations dans un sentiment d’insécurité généralisée.

À l’approche des fêtes de fin d’année et du nouvel an, le tableau risque d’être des plus sombres au plan sécuritaire, si des actions d’envergure ne sont pas menées par la Force publique, avec pourquoi pas, l'apport des Services de Renseignement, car la menace est d'envergure.

La réactivation de la loi Portela, L’intensification des patrouilles pédestres et motorisées impliquant autant la police, la gendarmerie et exceptionnellement l’armée, seraient une riposte appropriée face à ce grand banditisme qui si l’on y prend garde, risque de transformer certains endroits de nos villes et communes en des zones de non-droit.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-19 10:38:08

Grève à l’Université Marien Ngouabi : L’intersyndical à l’offensive

Créé le 2018-11-18 22:44:41

Congo - Potentialités énergétiques : Denis Sassou N’Guesso a conféré avec le président du groupe chinois Geipco

Reçu en audience par le président Denis Sassou N’Guesso, le président de Global energy interconnnection development and coorporation organization (Geipco), Liu Zhenya, a annoncé, le 17 novembre à Brazzaville, l’intention de son groupe d’accompagner le Congo dans la construction des barrages hydroélectriques en vue de l’exportation de l’électricité.

« Nous avons fait le rapport de notre travail au président de la République. Nous avons présenté l’interconnexion énergétique en Afrique et au Congo », a confié Liu Zhenya.

Le potentiel hydroélectrique du Congo serait évalué à quelque 25 000 MW, a indiqué Liu Zhenya, ajoutant que la mise en valeur des ressources énergétiques permettrait d’augmenter la production nationale et favorisera le développement des mines de fer ainsi que de potasse.

« Avec le développement de l’industrie, on pourra avoir quatre-vingt-quinze milliards de dollars par an à la fin de l’année 2050. Cela permettra d’augmenter les recettes fiscales et de créer plus de sept mille emplois par an », a-t-il soutenu.

Le groupe Geipco entend ériger les centrales hydroélectriques dans le bassin du Kouilou et dans la zone du fleuve Congo.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-17 21:13:14

Congo – Faits de société : Un mariage qui fera date dans la mémoire collective à Mouyondzi

Le couple M... avait choisi de convoler en juste noces. Faute d’argent, il avait convenu d’effectuer son tour de ville à bord d’un pousse-pousse. Un fait certes anodin, qui au-delà des sarcasmes, s’est inscrit dans la mémoire collective à Mouyondzi, comme celui du triomphe d’une ingéniosité qui marquera l’histoire et le temps.

Le mariage a eu lieu il y a quelques semaines déjà, pourtant l’éclat de sa cocasserie est loin de s’être éteint à Mouyondzi où tout le monde l’évoque désormais en référence lors des mariages.

Plutôt que de louer une voiture, ce dont il n’avait pas les moyens, le couple M… qui tenait bien à son tour d’honneur en ville, avait choisi de « faire simple » et s’est attiré la curiosité et pourquoi pas l’admiration de tous ceux qui croisaient le cortège.

Un pousse-pousse peint en rose, sommairement décoré, un canapé pour banquette, et le « carrosse » des mariés pouvait effectuer le tour d’honneur, escorté par quelques amis et invités à motocyclettes, sous les rires et applaudissements de ceux dont ils croisaient le chemin et qu’ils saluaient fièrement.

Il y a ainsi dans la vie des sociétés, de faits qui bien souvent marquent la mémoire et deviennent des références pour les autres évènements.

Et le mariage en pousse-pousse de Mouyondzi est un évènement dont on parlera bien longtemps, après même que les mariés eurent disparu. Peut-être que leur progéniture portera en référence le sceau du mariage en pousse-pousse de leurs parents.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-17 11:50:28

Congo – Justice : Libération en masse de prisonniers à la Maison d’arrêt de Brazzaville

Selon notre confrère ‘’Le Troubadour’’, une libération est imminente pour plus d'une centaine de prisonniers incarcérés à la Maison d’arrêt de Brazzaville.

« De sources dignes de foi, près de 170 prisonniers de la maison d'arrêt centrale de Brazzaville vont retrouver la liberté dans les heures qui viennent. Cette mesure serait prise dans le but de désengorger cette prison. Les principaux bénéficiaires de cette mesure seraient des petits délinquants. », annonce notre confrère.

Si cette opération est confirmée, elle viendrait régler un problème récurent souvent posé par les associations des Droits de l’Homme et même l’administration pénitentiaire, celui de la surpopulation carcérale.

La Maison d’arrêt de Brazzaville est exploitée bien au-delà de ses capacités d’accueil. Cela dégrade outrageusement les conditions carcérales des détenus.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-17 10:51:33

Congo – « Prétendu génocide des laris » : Le gouvernement congolais fait une mise au point depuis Genève

Le séjour de la délégation congolaise ayant pris part à l’Examen Périodique Universel sur les droits de l’homme à Genève, a été l’occasion pour les ministres Thierry Moungalla de la Communication et des Médias, et Aimé Ange Bininga de la Justice et de droits humains, chargé des peuples autochtones, de faire une mise au point sur les allégations contenues dans le livre de maître Dominique Nkounkou, sur le « génocide des laris au Congo», lors d’une conférence de presse.

« Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures ».

Ces mots du Ministre Thierry Moungalla empruntés à Mark Twain, résument à l’évidence la cabale médiatique dont le Congo a été l’objet, notamment sur les réseaux sociaux, sur fond du livre de maître Dominique Nkounkou, sur le « génocide des laris » qui aurait eu cours dans le département du Pool, pendant la crise armée qu’a connu ce département, et bien avant même, à en croire l’auteur.

Face à la presse helvétique, aux questions de plus en plus pertinentes mais hélas « fondées sur le faux d’une opinion biaisée », Thierry Moungalla et Aimé Ange Bininga, assistés de l’ambassadeur Aimé Clovis Guillond, ont avec force-détails, récusé « un livre truffé de contre-vérités et d’élucubrations mensongères ».

Les deux ministres qui ont axé leur argumentaire sur « des faits concordants d’une supercherie, vérifiable par qui le veut », ont conclu sur ce que « ce livre est un ramassis de faits épars nés de l’imagination d’un homme, juxtaposés les uns les autres et accolés à un département du Congo, peuplé en majorité par une ethnie référencée, l’ethnie lari, dans le seul but de salir le pays et ses dirigeants, et ramasser de facto les dividendes politiques qui en découleraient ».

Aussi, Thierry Moungalla et Aimé Ange Bininga ont informé des dispositions prises par le Congo et des suites judiciaires qu’il entend donner à cette affaire.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-11-16 11:37:55

Congo – Grève à l’Université Marien Ngouabi : Le ministre Bruno Jean-Richard Itoua passe par la presse pour s’adresser aux syndicats

Le ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean-Richard Itoua, a animé une conférence de presse axée sur la situation de grève que connaît l’Université Marien Ngouabi, le 15 novembre à Brazzaville. À travers les journalistes, Bruno Jean-Richard Itoua a rassuré le personnel gréviste que la grève ou la situation de l'université publique était traitée sérieusement par le gouvernement.

À l’appel de l’intersyndicale, les travailleurs de l’Université Marien-Ngouabi sont en grève depuis le mois de septembre dernier, suite à la non-prise en compte de leur cahier des charges. En effet, les revendications des agents portent, entre autres, sur le paiement des arriérés de salaires et des heures supplémentaires ainsi que le versement de la contrepartie de l’Etat. Selon le ministre Bruno Jean-Richard Itoua, la situation qui se pose actuellement n’est pas un problème d’arriérés et des heures à payer.

« La question qui se pose est celle de l’autonomie financière de l’Université Marien-Ngouabi qui n’est pas un sujet conjoncturel mais structurel. Tous les intellectuels qui y travaillent devraient s’en saisir pour faire des propositions sérieuses au gouvernement de façon à résoudre cette question définitivement», a rappelé le ministre, appelant l’intersyndicale au ressaisissement.

Répondant aux syndicats, il a indiqué que depuis plus de dix ans, il y a des grèves récurrentes chaque année pour des mêmes raisons. Conscient des effets de la grève auprès des travailleurs et des étudiants, il a dit que la responsabilité revenait à l’intersyndicale qui avait renoncé aux négociations et non au gouvernement.

« Nous traitons de la situation de l’Université Marien Ngouabi au fond structurellement et conjoncturellement. Nous travaillerons à ce que, autant que possible, les peines que subissent les travailleurs se résolvent. Donc, il n’y a pas de grève oubliée mais nous voulons voir des syndicats présents au rendez-vous de la réflexion sérieuse, stratégique, structurelle », a-t-il confié.

Le ministre de l’Enseignement supérieur a, par ailleurs, regretté le fait que les syndicats ont refusé d’autoriser un service minimum pour permettre le traitement de certains dossiers. L’autre main tendue consistait à l’organisation de la rentrée académique en octobre, soit vingt ans après. Hélas ! toutes ces sollicitations ont été balayées, a-t-il indiqué.

Revenant sur les quatre mois de grève passés en 2017, Bruno Jean-Richard Itoua estime qu’il n'en sera pas question cette année.

« Nous sommes déjà à deux mois, nous allons tout faire pour très rapidement résoudre la situation, celle d’un dossier jugé capital, primordial par le gouvernement. Nous espérons que nous aurons la compréhension des syndicats et des travailleurs. Pour moi, trois mois c’est le maximum. J’espère qu’ils seront compréhensifs comme ils l’ont été l’année dernière. Dès que nous serons prêts, nous allons reprendre les négociations avec l’intersyndicale », a expliqué le ministre, annonçant une nouvelle réunion la semaine prochaine avec le Premier ministre pour en trouver de solutions.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source Adiac

Créé le 2018-11-16 10:26:13

A Madingou, deux jeunes ont été arrêtés pour avoir volé deux pains et deux boites de sardines

Il n’y a pas de petit larcin au Congo-Brazzaville. Deux jeunes de nationalité congolaise, Arsène T. (18 ans) et Guilain M. (20 ans) ont été arrêtés par la police de la ville de Madingou dans la Bouenza (sud) après avoir pris illégalement deux pains et deux boites de sardines sur l’étal d’un magasin appartenant à un commerçant malien.

Créé le 2018-11-16 06:10:53

Dolisie : Le directeur départemental de l’économie forestière du Niari fait don de 50 tables bancs à l’école primaire du grand marché

Le directeur départemental de l’économie forestière du Niari, Charles Ipari a fait don de cinquante (50) tables bancs à l’école primaire du grand marché de Dolisie (sud).

Créé le 2018-11-16 05:27:47

Hold-up à Dolisie : Près de 200 mille Fcfa volés chez un commerçant

Au moins 200 mille Fcfa ont été volés dans la nuit de mardi à mercredi dans la boutique Elveth 2 à Dolisie dans le Niari (sud).

Créé le 2018-11-16 05:11:29

Un agent de la SNE venu couper le courant séquestré dans un WC par la population à Pointe-Noire

Après des échanges de parole très violents, quelques jeunes du quartier culotte à Pointe-Noire ont décidé de punir un agent de l’ancienne SNE, venu couper l’électricité sans préavis à cause des factures impayées. Il a passé près de trois heures enfermé dans un WC avant d’être remis en liberté par la population.

Créé le 2018-11-16 05:01:31

Congo : Un gorille blessé agresse sauvagement un homme à Zanaga

Un quadragénaire, rentrant d'une partie de chasse, a été sauvagement agressé jeudi, par un gorille très affolé par des blessures qui venaient de lui être infligées par un autre chasseur.

Créé le 2018-11-16 04:43:23

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