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Congo : Un trafiquant de drogue congolais tué par des gendarmes gabonais à Nyanga

Des gendarmes gabonais ont été contraints, samedi soir, de faire usage de leurs armes de service lors d'une intervention. Ils cherchaient à arrêter au village Ngongo, près de Nyanga dans le Niari (sud) François Bounzana, 30 ans, de nationalité congolaise, habitant la ville de Mouila en République gabonaise, avec une quantité très importante du chanvre indien, considéré comme une drogue douce.

Créé le 2018-10-10 04:30:47

Congo : Le gouvernement divulgue une liste de 56 fonctionnaires surpris dans différents restaurants et bars aux heures de travail

Le Conseil des ministres qui s'est réuni le samedi 6 Octobre 2018 fait babiller à Brazzaville. Le gouvernement a divulgué une liste de cinquante-six (56) noms d'agents et fonctionnaires d'Etat surpris dans différents restaurants et bars de Brazzaville aux heures de travail, au cours d'opérations de police menées les 26 et 27 septembre 2018.

Créé le 2018-10-09 17:09:42

Congo – Santé : La menace d'une nouvelle grève au CHU de Brazzaville suscite l'inquiétude de la population

Au cours de son assemblée générale du 2 octobre dernier, la Fédération nationale des agents de la santé et des affaires sociales (FENASAS) avait émis un préavis de grève avec pour date butoir le 12 octobre. À l'approche de cette date, l'inquiétude monte auprès des Brazzavillois et surtout des malades internés au CHU avec des pathologies lourdes.

Personne n'a jamais dressé le bilan humain de la dernière grève observée au CHU de Brazzaville. Il va s'en dire qu'en l'absence de tout service minimum avec une quasi fermeture de tous les services, ce fut une véritable hécatombe.

La FENASAS assure qu'une fois déclenchée, la grève serait illimitée et sans service minimum, ce jusqu'à la satisfaction de ses revendications qui tiennent entre autres, au départ de tous les directeurs généraux des hôpitaux, ainsi que le payement bloqué de 3 mois d'arriérés de salaires.

Même si les autres syndicats de la santé n'épousent pas l'option d'une « grève sauvage » comme la précédente, il va s'en dire qu'un arrêt de travail en milieu hospitalier, quelles qu'en soient les proportions, désorganise les prestations de soins vis à vis des malades. Et les conséquences s'en ressentent en un bilan macabre.

Alors qu'une grève est déjà observée en sourdine au niveau des établissements de collectes de sang, rendant rare ce produit si précieux, et ayant arrêtée nette une campagne volontaire de don de sang à laquelle souscrivaient pourtant les populations, la grève du CHU de Brazzaville risque de porter l'estocade à une population déjà meurtrie.

C'est désormais aux pouvoirs publics d'arrêter à temps, cette machine infernale de destruction massive qu'est la grève en milieu hospitalier, tel le CHU.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-09 10:19:10

Congo – Enseignement technique : Le lycée informatique de Diata propose une maîtrise du numérique dans sa globalité

Son promoteur garde le triomphe modeste, pourtant en cette rentrée des classes 2018-2019, la filière d'enseignement des sciences et technologies de l'information et du numérique qu'il vient de lancer, comble à coup sûr un vide et suscite déjà l'admiration des connaisseurs qui y voient un cadre idéal pour la formation de l'élite en la matière.

Situé au numéro 41 de l'avenue du 5 février à Diata, le lycée informatique éponyme est logé au cœur du complexe scolaire Germa Hadassa.

Le Groupe Germe-Congo qui jusque là prestait dans la garderie d'enfants, la maternelle et le primaire, s'est collé à l'ère du temps, à travers les filières que son lycée propose.

Ouvert aux élèves des séries G1, G2, G3, T1, F2 et F3, le lycée assure un cycle allant de la seconde en terminale pour les filières :

H1 Système d'information et de Gestion d'Administration ;

H2 Système d'information de Gestion ;

H3 Système d'information et Numérique ;

H4 Maintenance des Systèmes informatiques ;

H5 Réseaux et Télécommunications ;

H6 Infographie.

Doté d'un matériel didactique de pointe et  en nombre, avec des enseignants de qualité dans la dispense des cours et la transmission du savoir, le lycée informatique de Diata entend bien relever le défi de l'excellence en la matière, surtout que de l'avis de nombreux parents, les frais d'écolage sont convenables, au regard des prestations proposées aux élèves.

Le lycée des métiers de l'informatique de Diata garanti à ses apprenants une formation de qualité pour les rendre plus compétitifs sur le marché de l'emploi à travers une maîtrise du numérique dans sa globalité.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-09 09:10:11

Congo – Parlement : Le projet de loi de finances 2019 à l'ordre du jour des sessions parlementaires

Le président du Sénat, Pierre Ngolo et le vice-président de l'Assemblée nationale Léon Alfred Opimba ont respectivement présidé les conférences des présidents des commissions et groupes parlementaires de leurs chambres, le 8 octobre à Brazzaville. Il s'est agit de dégager l'ordre du jour de la 4ème session ordinaire et budgétaire.

Même si elle compte sensiblement le même nombre d'affaires inscrits à son ordre du jour, à l'Assemblée et au Sénat, soit 12 pour l'Assemblée nationale et 11 au Sénat, cette session se veut avant tout budgétaire, avec en ligne de mire, l'examen du projet de la loi de finances 2019.

Outre le budget de l'État, les deux chambres plancheront également sur leurs propres budgets de fonctionnement. De même elles examineront d'autres affaires à caractère judiciaire, administratif ou économique.

La 4ème session donnera lieu, tant à l'Assemblée nationale qu'au Sénat, à de séances de questions orales au gouvernement, avec débats.

À l'issue du conseil des ministres du samedi 6 octobre, il s'est dégagé que, « le gouvernement, soucieux de conduire une politique budgétaire rigoureuse, axera son action sur : La sécurisation optimale des ressources publiques ; la maîtrise des dépenses publiques, en privilégiant leur plus grande efficacité ; la viabilité de la dette publique, en vue de la rendre soutenable. À cet effet, le budget de l’État exercice 2019 est arrêté, en recettes et en dépenses, à la somme de deux mille trois cent huit milliards sept cent quatre-vingt-dix-huit millions de Francs CFA.

Le niveau prévisionnel de l’excédent budgétaire est quant à lui attendu à 569 milliards 840 millions de Francs CFA, ce qui permettra de résorber le déficit en ressources de trésorerie. »

Le premier ministre, chef du gouvernement Clément Moumba, a fait constaté que le Congo sortait lentement mais sûrement des « années budgétaires noires », espérant que l’augmentation du budget de l’État en volume augurait d’une reprise progressive de la croissance tirée par les secteurs pétrolier et non pétrolier, même si, bien entendu, les marges ainsi dégagées devront être affectées en priorité à la réduction des déséquilibres internes.  

Une ligne soutenue par le président Denis Sassou N’Guesso qui a souligné l’impératif constitutionnel de transmission du projet de budget 2019 au parlement à la date du 8 Octobre 2018, délai de rigueur, tout en se félicitant du fait que le texte permettrait à l’État d’être en ordre de bataille dans le combat pour le redressement économique et le développement de notre pays.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-09 08:10:01

Congo – Aviation : « Check » de reprise pour les avions ECAir

Suite à un partenariat signé avec la compagnie Ethiopian Airlines pour la formation des équipages et la maintenance de ses appareils, le ciel semble soudain s'éclaircir pour le transporteur congolais ECAir, en cessation d'activité depuis le mois d’octobre 2016, pour cause de trésorerie.

Passant à la phase pratique dudit partenariat dont le grand public ignore pour l'instant le détail des clauses, un avion de la compagnie ECAir a décollé de Brazzaville pour Addis-Abeba où celui-ci sera soumis à une vérification complète, afin de certifier son aptitude à effectuer des vols commerciaux. Il en sera de même pour les trois autres appareils de la compagnie, jusque là cloués sur le tarmac de l'aéroport international de Maya-Maya à Brazzaville.

Ces révisions, préalables à une reprise des activités commerciales de la compagnie congolaise, viennent corroborer la promesse faite par le ministre des Transports et de la marine marchande, Fidèle Dimou devant le Sénat, le 23 mars dernier, lors de la séance des questions orales au gouvernement avec débat.

«ECAir existe, elle n’a jamais été liquidée. Ce n’est nullement l’intention du gouvernement. Elle constitue notre fierté nationale, il nous faut la relancer. Comme tout le monde peut le constater, quatre avions sont stationnés en ce moment à l’aéroport Maya-Maya », déclarait-il devant les sénateurs.  

Avant de rallier les hangars de maintenance de la compagnie Ethiopan Airlines, les avions ont été examinés par des techniciens agrées, qui ont confirmé leur bon état.

Si la nouvelle est accueillie avec euphorie par de nombreux congolais qui voient en cette compagnie un fierté nationale, beaucoup émettent le souhait de voir s'opérer un changement à la tête de cette celle-ci, la direction sortante ayant brillé par une incompétence notoire en matière de management et de gestion.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-08 14:09:29

Congo – Lutte contre les antivaleurs : Les services de police instruits pour lutter contre l'absentéisme au travail

« Ils viennent en retard, il repartent en avance et ils augmentent les chances d'être payés. » Ces propos de Denis Sassou N'Guesso dénonçant l’absentéisme des fonctionnaires congolais, qui remontent à de nombreuses décennies déjà, semblent être remis au goût du jour. Désormais, les services de police ont entre autres missions, celle de traquer les agents de l'État qui se trouveraient ailleurs que sur leur lieu de travail, aux heures de service. Le conseil des ministres en rendra compte au peuple.

Entendre son nom lors du compte rendu du conseil des ministres était jusque-là signe de promotion à travers une nomination à une haute fonction. Désormais, il faudra s'habituer à la lecture des noms des agents indélicats. Ceux « débusqués » dans quelques lieux de jouissance du pays, aux heures de service.

Si la méthode rappelle la touche martiale du Comité Militaire du Parti CMP des années 1977-1979, il n'en demeure pas moins qu'elle expose à la face du pays tout entier des hommes et des femmes qui en porteront longtemps les stigmates, ce qui est d'un effet pédagogique hautement porteur. Pour le mois de septembre 2018, le ministère des Finances remporte la palme des cadres les plus indélicats.

Ainsi, le conseil des ministres du samedi 6 octobre a suivi la « Communication sur la situation des fonctionnaires et autres agents de l’État non assidus sur leur lieu de travail ou pris en flagrant délit dans des lieux de jouissance et loisirs durant les heures de travail.

Le ministre de l’Intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou a rendu compte aux membres du Conseil des ministres des résultats de la mission confiée par le président de la République aux services de police, mission en deux volets, à savoir : Présence et assiduité à leur poste de travail des agents et fonctionnaires de l’État travaillant dans les ministères ; Vérification de la présence indue de fonctionnaires et autres agents de l’État dans des lieux de jouissance (bars, dancings, restaurants.…) et ce, aux heures de travail.

Sur le premier point, et rendant compte de la mission confiée à ses services, mission qui s’est déroulée fin septembre 2018, le ministre Mboulou a fait le constat que la grande majorité des départements ministériels connaissait un absentéisme important, des arrivées tardives et des départs anticipés des agents pourtant tenus à la ponctualité et à l’assiduité au travail.

Le Conseil des ministres déplore cette situation et rappelle solennellement à tous les agents et fonctionnaires concernés que les valeurs sur lesquelles doivent se fonder l’harmonie dans notre République sont, en premier lieu, le goût et l’assiduité au travail.

Le Conseil souligne, en outre, qu’au moment où l’État, malgré la crise financière aiguë traversée par notre pays, s’efforce de mobiliser chaque mois des dizaines de milliards de Francs CFA pour assurer le traitement régulier des fonctionnaires et agents de l’État, il apparaît particulièrement choquant de relever un tel état de fait. Il souligne que la lutte contre les antivaleurs est un combat quotidien et commence par le respect de comportements civiques, en rapport avec le souci commun et légitime de mobilisation au profit des Congolaises et Congolais, lesquels ont droit à un service public disponible et respectueux de la règle commune.  

Sur le second point, le ministre Mboulou a rendu compte des résultats des opérations et investigations menées, dans les lieux de jouissance de Brazzaville et ce, au ours des journées des 26 et 27 septembre 2018. Il en ressort que cinquante-six agents et fonctionnaires d’Etat ont été pris en flagrant délit de présence sur ces lieux et ce, aux heures de travail qui leur sont en principe dévolues.

Pour l’édification du peuple et sans que cela ne soit perçu comme un acte de délation, le Conseil des ministres a décidé de rendre publiques les identités, administrations ou structures d’origine des agents ainsi débusqués, tout comme les lieux de jouissance où ils ont été surpris. Il s’agit de :

Pour l’ex-Société nationale d’électricité : Christian Mampouya, au Restaurant « Mère Annie», vers la boulangerie de la Plaine.

Ministère du Commerce : Cacharel Nkoua, dans un restaurant du beach de Brazzaville. CNSS : Gabriel Bouesso, Giresse Malonga, Mme Samba née Kimbembé, au restaurant de la gare ferroviaire ; Eric Ongala, Diane Ngambou, au beach de Brazzaville.

Primature : Issabou Mvouti et Pouat Say Nguié, au beach de Brazzaville.

Mairie de Brazzaville : Paul Madzou au restaurant « Mami Wata ». 

Ministère des Finances : Raphael Kiamba, Pierre Simon Louvilola et Jean Miyengui, à la pâtisserie Mandarine. Diane Okemba, Mariol Bangassi et Garcia Malonga au beach. Savy Onda, Bertrand Yoka, Ngatsala Yombi, Asso Ngapoula, Itoua Atipo, Sita, José Itoua, au restaurant « Ile de France ». Trésor Makita, Roch Oviendo, Ondze et Okouenguele, au restaurant « Mère Carine » à Faco peintures. Régis Taty, au restaurant « Vieux Samy ».

Ministère de la Santé : Nicolas Mayina à la Mandarine. Nzitoukoulou au beach.

Université Marien-Ngouabi: Dame Matala à la Mandarine.

Ministère de l’Economie forestière : Serge Mazaba, à la Mandarine.

Ministère de l’Enseignement primaire et secondaire : Franchela Ngayo, à la Mandarine.

Ministère de la Justice : Georges Mayitoukoulou, au beach. ANAC : Montoly, au beach. SNPC : Patrick Iwangou, au beach.

CRF : Daniela Miafoutila, Ngangoué, Prince Essami, Patrick Otina, Jules Ndembolo, Fils Ngajieni Oba, Patience Okagnia, Jacques Oyouma, Apendi Ondze, tous au restaurant « Ile de France », Ulrich Boubouaka, Darlich Mongo, Obosso Mekoyo, Athanase Ngassaki et Kabi au restaurant « Mère Carine ». Stevy Okoua au restaurant Vieux Samy.

Ministère de la Communication : Josdel Nganga, au restaurant Startimes.

Ex-SNDE (Congolaise des eaux) : Villiers Ongagnia, au restaurant Startimes. Claude Moukengo, Roger Boukaka et Joachim Massamba, au restaurant « Mama Mapassa ».

Compte tenu du caractère exemplaire que le Conseil des ministres entend  donner à cette publication et afin d’édifier nos compatriotes sur le respect des règles du service public, qui ne sont que celles du « service au public », il a été décidé que les dirigeants des ministères, administrations, établissements publics et entreprises concernées devront procéder sans délai à la convocation des conseils de discipline, conformément aux textes en vigueur ainsi qu’à la comparution des agents ainsi identifiés.»

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-06 22:11:10

Congo – Finance publiques : Le budget 2019 épouse les contours de la crise

À l'issue du conseil des ministres tenu samedi 6 octobre sous la haute autorité du président Denis Sassou N'Guesso, le budget de l'État exercice 2019 est arrêté, en recettes et en dépenses, à la somme de deux mille trois cent huit milliards sept cent quatre-vingt-dix-huit millions de Francs CFA. Le niveau prévisionnel de l’excédent budgétaire est quant à lui attendu à 569 milliards 840 millions de Francs CFA, ce qui permettra de résorber le déficit en ressources de trésorerie.

« Présentant le projet de loi de finances pour l’année 2019, le ministre Nganongo a d’emblée exposé les projections de conjoncture faites par les principaux analystes mondiaux pour l’année à venir. Il en ressort les points suivants :

Sur le plan international : l’économie mondiale devrait connaître une croissance vigoureuse, avec un taux estimé à 3,9% par le Fonds monétaire international (FMI) pour 2018 comme pour l’année prochaine, croissance affirmée dans les pays avancés, y compris la Chine.

Cette croissance devrait être affermie par celle des pays émergents et en développement et ce, en grande partie grâce au redressement des cours mondiaux des principaux produits de base soumis à exportation.

Sur le plan national : dans un environnement dominé par la poursuite des négociations avec le FMI, le projet de loi de finances 2019 s’inscrit dans le cadre d’un programme restrictif qui vise le rétablissement des équilibres, grâce à un ajustement budgétaire qui devrait favoriser une relance économique à moyen terme.  

Le gouvernement table sur les hypothèses macroéconomiques suivantes : en tout premier lieu, il évalue le taux de croissance à 3,7% fin 2019, contre 2% à fin 2018, embellie due à un raffermissement du secteur hors pétrole qui devrait renouer avec la croissance, après une période de récession, ce qui devrait avoir un impact positif sur la fiscalité, situation renforcée par une lutte résolue  contre l’incivisme fiscal et la fraude douanière, le renforcement des capacités des régies financières ainsi que la limitation des exonérations aux seules exceptions légales.

Les recettes pétrolières sont calculées sur la base d’une production de 131 millions 983 mille barils pour 2019, pour un baril de Brent revu à 72,806 dollars. Avec une décote de 2,806 dollars américains et un dollar dont le cours est fixé à 575 francs CFA, le brut congolais sera vraisemblablement vendu à un prix moyen de 70 dollars.

Malgré ces prévisions positives, le gouvernement, soucieux de conduire une politique budgétaire rigoureuse, axera son action sur : La sécurisation optimale des ressources publiques ; La maîtrise des dépenses publiques, en privilégiant leur plus grande efficacité ; La viabilité de la dette publique, en vue de la rendre soutenable.

À cet effet, le budget de l’État exercice 2019 est arrêté, en recettes et en dépenses, à la somme de deux mille trois cent huit milliards sept cent quatre-vingt-dix-huit millions de Francs CFA.

Le niveau prévisionnel de l’excédent budgétaire est quant à lui attendu à 569 milliards 840 millions de Francs CFA, ce qui permettra de résorber le déficit en ressources de trésorerie.

Ainsi, dans ses grandes masses, le budget de l’État exercice 2019 se présente ainsi qu’il suit :

Budget de l’État 2019 :2308 milliards 798 millions de Francs CFA.

Budget général: 2226 milliards 175 millions de Francs CFA.

Recettes budgétaires :2226 milliards 175 millions de Francs CFA dont :

Recettes fiscales : 822 milliards 734 millions de Francs CFA.

Dons et legs et fonds de concours : 31 milliards de Francs CFA.

Autres recettes : 1372 milliards 441 millions de Francs CFA.

Dépenses budgétaires :1656 milliards 335 millions de Francs CFA dont, Charges financières de la dette : 121 milliards de Francs CFA.

Dépenses de personnel :374 milliards de Francs CFA.

Dépenses de biens et services :187 milliards de Francs CFA.

Dépenses de transferts :597 milliards 435 millions de Francs CFA.

Dépenses d’investissement :339 milliards 700 millions de Francs CFA.

Autres dépenses : 37 millions de Francs CFA .

Excédent budgétaire prévisionnel : 569 milliards 840 millions de Francs CFA.

Budgets annexes : 16 milliards 16 millions de Francs CFA.

Ressources : 16 milliards 16 millions de Francs CFA dont :

Recettes fiscales : 3 milliards 66 millions de Francs CFA.

Autres recettes : 12 milliards 950 millions de Francs CFA.

Charges : 16 milliards 16 millions de Francs CFA.

Comptes spéciaux du Trésor : 66 milliards 607 millions de Francs CFA.

Ressources : 66 milliards 607 millions de Francs CFA dont; Recettes fiscales : 11 milliards 200 millions de Francs CFA.

Cotisations sociales : 54 milliards 897 millions de Francs CFA.

Autres recettes : 510 millions de Francs CFA.

Charges : 66 milliards 607 millions de Francs CFA

Enfin, la loi de finances pour l’année 2019 projette un déficit de trésorerie estimé à 1024 milliards de Francs CFA qui fera l’objet d’un financement selon les modalités suivantes : Financement intérieur (apport solde budgétaire) : 569 milliards 840 millions de Francs CFA Financement extérieur (apport bailleurs de fonds internationaux) : 454 milliards 160 millions de Francs CFA.

Le premier ministre chef du gouvernement Clément Moumba, a constaté que le Congo sortait lentement mais sûrement des « années budgétaires noires », espérant que l’augmentation du budget de l’État en volume augurait d’une reprise progressive de la croissance tirée par les secteurs pétrolier et non pétrolier, même si, bien entendu, les marges ainsi dégagées devront être affectées en priorité à la réduction des déséquilibres internes.  

Prenant à son tour la parole, son Excellence Denis Sassou N’Guesso, président de la République, chef de l’État, tout en soulignant l’impératif constitutionnel de transmission du projet de budget 2019 au parlement à la date du 8 Octobre 2018, délai de rigueur, s’est félicité du fait que le texte en discussion permettrait à l’État d’être en ordre de bataille dans le combat pour le redressement économique et le développement de notre pays. »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-06 21:16:00

Congo – Gouvernement : Réunion du conseil des ministres ce samedi

Le conseil des ministres se réunira ce samedi 6 octobre 2018 à 10h au Palais du Peuple à Brazzaville sous la haute autorité du Président Denis Sassou Nguesso.

Créé le 2018-10-05 05:41:28

Pétrole : Le prix du panier de l’Opep passe à 83,64 dollars soit 47 682 francs CFA

Fixé à 83,23 dollars il y a quelques jours, le prix du baril de référence du brut de l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (Opep) est passé à 83,63 dollars, soit 47 682 francs CFA, depuis le 2 octobre 2018. Cette hausse est due, selon les analystes, à la forte demande et à la politique coordonnée de l’Opep et de la Russie.

Créé le 2018-10-05 05:23:34

Congo : Interdiction aux policiers et militaires de fréquenter les débits de boisson et marchés en tenue de service à Dolisie

La Police Militaire de la zone Militaire de Défense N° 2 a effectué une patrouille , jeudi, dans la ville de Dolisie dans le Niari (sud),  afin de traquer et interpeller tout agent de la force publique qui se retrouverait dans les débits de boisson et marchés en uniforme.

Créé le 2018-10-05 05:01:08

Congo – Ministère du Commerce : Une circulaire du ministre N'Silou interdit de promouvoir la consommation immodérée d'alcool

En date du 2 octobre 2018, le ministre d'État, ministre du Commerce, des Approvisionnements et de la Consommation, Claude Alphonse N'Silou, a pris une circulaire interdisant les promotions de ventes de boissons alcoolisées, incitant les populations à une consommation immodérée. Cette circulaire saluée dans l'opinion est déjà le début de la lutte contre l'alcoolisme qui crée des ravages comportementaux dans la société congolaise.

Depuis quelques temps, se justifiant du fait que le pouvoir d'achat des congolais s'est déprécié avec la crise économique, de nombreux producteurs ou importateurs de boissons alcoolisées ont opté pour des campagnes de promotion de leurs produits. À travers des publicités tapageuses sur les médias, ainsi que des ''gestes commerciaux'' ils proposent à la vente les boissons alcoolisées à des prix dégressifs proportionnels à la quantité achetée. Ainsi la bière vendue à 500 francs l'unité, est proposée en lot de trois pour 1200 francs.

Cette politique de marketing donne au consommateur l'impression d'avoir fait une économie sur la quantité du produit acquis et pousse davantage à la consommation, avec le sentiment d'y gagner.

Cette pratique relayée par la publicité pousse de nombreuses personnes à s'adonner à l'alcool à peu de frais pensent-elles, et aucune mention n'est hélas faite de ce que « l'abus d'alcool est dangereux pour la santé ».

Dans d'autres pays, le langage publicitaire sur l'alcool est extrêmement limité. Il est par exemple interdit de représenter quelqu’un en train de consommer de l’alcool, seule l’origine, le nom et les composants peuvent être évoqués.

Dans l'opinion, de nombreux citoyens dénoncent la propension effrénée des jeunes à l'alcool, dans lequel ils baignent leur oisiveté.

Au Congo-Brazzaville la prévalence de la consommation d'alcool est estimée à 61% chez les jeunes adultes et à un peu plus de 25% chez l'adolescent.

Cette initiation précoce à l'alcool prend des proportions inquiétantes. Les ivresses, conséquence la plus visible de l’alcoolisation, semblent en augmentation chez les jeunes adolescents. Consommer l'alcool est même devenu un critère « d'affirmation » ou de « maturité ». Et on s'en vante. « Je suis well ». « Nous avons baillé sans blague, la bouteille s'est renversée » …

Si au niveau des comportements addictifs de ces adolescents, il est trop tôt d'évoquer les maladies causées par l'alcool dont la cirrhose et l'hypertension artérielle, l'ivresse alcoolique en milieu homogène, garçons et filles, induit d'autres fléaux tous aussi dangereux que l'alcoolisation.

Les conséquences de cette précocité sont graves. À court terme, les adolescents alcoolisés sont plus victimes d’accidents. Ils sont également plus vulnérables aux violences sexuelles, comme victimes mais aussi comme auteur.

Les comportements sexuels à risques, les viols, voire la pratique précoce des prostituées pour les garçons ou de la prostitution pour les filles s'invitent parfois sans protection systématique.

À moyen et long termes, la précocité de contact avec l’alcool est associée à une plus grande dépendance vis-à-vis de l’alcool à l’âge adulte, déstructurant la cellule familiale. Violences conjugales, ébriété chronique pouvant avoir des conséquences sur la progéniture. Ne disait-on pas « les enfants d'un alcoolique naissent tarés » ?

Quand on ajoute aux raisons évoquées, le manque de réglementation drastique dans la vente, voire la consommation d'alcool, avec parfois des établissements scolaires qui jouxtent des débits de boissons où les élèves même en tenue peuvent s'attabler et consommer, l’adolescent est livré à une situation de véritable tourmente. 

La consommation ''immodérée'' d'alcool dans la société congolaise sera, si l'on n'y prend garde, non seulement un problème de santé publique, mais aussi un problème sociétal aux conséquences dévastatrices.

La circulaire du ministre Silou vient, corriger une méprise, à l’instar des textes telle « la loi Portelat » qui régissait le cadre comportemental des jeunes et adolescents, jamais abrogée mais plus jamais appliquée.

Pourvu que les autres corps de l'État, notamment le ministère de l'intérieur agissent en synergie, pour essayer de sauver du citoyen congolais, ce qui peut encore l'être, vis à vis de cette alcoolisation à outrance.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-04 09:49:00

Congo – Pointe-Noire : Le Conseil départemental et municipal interdit de vente les terrains situés sous les lignes haute tension

De nombreux quartiers de Pointe-Noire sont traversés par des lignes électriques à haute tension qui passent au dessus des habitations. Pour protéger la santé des citoyens mais également lutter contre l’occupation anarchique, le conseil départemental et municipal a décidé de réglementer l’urbanisation sous ces lignes.

Dans un communiqué rendu public récemment, son bureau exécutif a informé les citoyens et plus particulièrement les propriétaires terriens, qu’il était désormais strictement interdit d’occuper ou de vendre les terrains situés dans l’emprise du couloir à haute tension, transportant l’énergie électrique de l’usine à gaz de Côte-matève à la centrale de Mongo Kamba.

Ces terrains avaient fait l’objet d’une expropriation par la commission d’enquête parcellaire, à partir de l’année 2008. « Par conséquent, tous ces terrains pour lesquels leurs propriétaires avaient touché une indemnité sont devenus la propriété de l’État. Il est ainsi donc demandé à tous les occupants actuels de libérer sans délai lesdits terrains, sous peine de sanction », stipule le communiqué.

Cette initiative devrait également inspirer le conseil municipal de la ville de Brazzaville où des situations analogues sont observées en toute dangerosité.

Au quartier Sadelmy, dans le 7ème arrondissement Mfilou, la ligne haute tension connectée à la centrale de Tchélampo, longe la principale artère du quartier, en passant par dessus le marché de Sadelmy, au terminus de la ligne des bus. Elle est presque à fleur de tête.

Si les poteaux implantés par la société d'électricité à Sademy diffèrent de ceux généralement utilisés pour le transport de très hautes et hautes tensions, ce qui choque davantage, c'est leur taille. Elle avoisine à peine celle du deuxième étage d'une maison en hauteur.

« Danger de mort » ! Cet avertissement est de tout temps inscrit sur des poteaux électriques de haute tension ou sur des niches voire des transformateurs électriques. À Sadelmy, rien de tel n'a été apposé. Tous est fait comme si ce courant était inoffensif. Par endroits, les câbles rasent les toits des maisons, ou se faufilent sous les feuillages des arbres fruitiers.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville    

Créé le 2018-10-04 07:57:17

Congo : La rentrée des classes est loin d’être effective dans le Niari

Le premier jour de la rentrée des classes dans le Niari (sud) a été marqué par une présence massive d'enseignants alors que de nombreux apprenants traînent encore le pas.

Créé le 2018-10-04 05:20:53

Denis Sassou Nguesso fait émerger une nouvelle génération de leaders politiques

C’est un coup très audacieux, très courageux de la part du président congolais, Denis Sassou Nguesso, mais qui s’inscrit dans l’histoire congolaise, ce n’est pas le premier et ce ne sera sans doute pas le dernier. Pour préparer une nouvelle génération de dirigeants aptes à affronter un monde sans cesse en évolution, le premier président de la nouvelle République est déterminé à faire émerger une nouvelle génération de leaders politiques dont de nombreux «enfants » de ses anciens compagnons de route.

Créé le 2018-10-04 04:59:18

Une congolaise en provenance de France a été retrouvée morte dans une chambre d’hôtel à Brazzaville

Une congolaise en provenance de France et en séjour à Brazzaville, a été retrouvée morte dans une chambre d’hôtel à Moukondo.

Créé le 2018-10-03 16:31:00

Denis Sassou Nguesso a pris part à la fête de l’indépendance de la Guinée

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a pris part, mardi, aux festivités marquant le 60ème anniversaire de l’indépendance de la Guinée Conakry, avec ses autres pairs africains.

Créé le 2018-10-03 16:02:34

Congo – Handball : Faute de visa, les diables rouges dames se préparent à Brazzaville

Alors qu'elle est en préparation pour la CAN Handball de décembre, l'équipe des diables rouges dames qui devait effectuer un voyage en Europe reste finalement au Congo, faute de visa.

Les Diables rouges dames ne poursuivront pas leur préparation en Hongrie. L'ambassade de France a refusé le visa à la délégation congolaise forte d'un peu plus de 35 personnes. Ce refus motivé est la conséquence des ''sportifs'' qui fuient quand ils arrivent en Europe.

Cette situation perturbe le programme dans la préparation de la CAN de décembre, challenge Édith Lucie Bongo, obligeant les responsables du sport de voir ailleurs, mais où ?

Coté joueuses, où on a remarqué que le nombre d’athlètes aurait ''maigri'' d'une dizaine de joueuses après la décision de l'ambassade de France, on se défend d'être la cause du refus de visa. Les joueuses arguent que « les délégations sont parfois alourdies par des pseudo joueuses qui n'ont jamais touché au ballon de leur vie, parents de X ou Y. Elles sont insérées sur les listes en « Ngoulous » autrement dit clandestins, dans le but de rester en Europe où leurs passeports leurs sont restitués à l'arrivée, alors que ceux des autres joueuses sont conservés par les responsables jusqu'au retour. »

Cette pratique de certains dirigeants a fini par jeter l'opprobre sur des sportifs qui ne s'y adonnent plus depuis de nombreuses années déjà, affirme t-on.

Le plan ''B'' aurait été l'Europe de l'Est. Là aussi, le soleil ne se lève plus dans l'est de l'Europe où naguère, les pays ''progressistes'' d'Afrique comme le Congo étaient accueillis à bras ouverts. Plus question, sinon une fin de non recevoir partout. Les temps ont changé.

Le Congo est passé au plan ''C'' et le regroupement est complet à Brazzaville avec 26 athlètes venues du Congo et de l'étranger qui y poursuivent la préparation. Gros paradoxe, quand on sait que le nombre de joueuses devant se rendre initialement en Europe dépassait d'un cheveux la trentaine, sans celles de la diaspora qu'elles auraient trouvées sur place.

En désespoir de cause et sans doute pour ne pas avoir à en répondre en très haut lieu, sur cette préparation à minima, le Danemark est retenu en plan ''D'' pour la fin de préparation programmée en novembre. « Le ministère des Sports est avec vous », a dit son chef. Voilà qui devrait réconforter les handballeuses.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-03 12:47:13

Congo – ONU : Le contingent congolais de police constituée sous étendard onusien a pris ses quartiers à Bangui

Forte d'un peu plus de deux cent hommes et femmes, l'Unité de police constituée (UPC) a quitté Brazzaville le 2 octobre pour Bangui, dans le cadre de la mission de paix en République Centrafricaine (RCA).

Placé sous l’égide des Nations Unies, le contingent est constitué de policiers et des gendarmes, qui seront déployés non seulement dans la capitale centrafricaine, mais aussi dans les environs. Dans le cadre de la préparation du contingent congolais, un stage avait été organisé en collaboration avec les experts des Nations Unies, conformément aux standards de cette institution en matière de préparation des troupes. 

Six mois durant, ces agents de la Force Publique congolaise ont accru leurs capacités opérationnelles en renforçant leurs connaissances dans des opérations de maintien de la paix et de règlement des conflits; de la formation technique et pratique au maniement de certaines armes spécifiques, non en dotation dans les Forces armées et la police congolaises; de l’instruction tactique au maintien de l'ordre et les techniques d’intervention professionnelle; de la sensibilisation au droit international humanitaire et au droit international des droits de l’homme; de la connaissance de la gestion du matériel. 

Avant de quitter Brazzaville, la hiérarchie militaire a recommandé à ces hommes, placés sous le commandement du colonel Honoré René Tchikaya, de faire preuve d’un niveau élevé de discipline, de tolérance, de patience, de jugement et de bon sens dans un environnement multiculturel et multinational. 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-10-03 10:40:31

Mayoko : une collision entre deux-roues fait un mort au village Léhala

La collision entre deux motos (Djakarta) au village Lehala, à un jet de pierre de Mayoko dans le Niari (sud), a fait un mort. L'accident s'est produit mardi à 17h.

Créé le 2018-10-03 05:43:40

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