Brazzaville : Un autre bus de la société « Océan du Nord » a percuté un jeune homme

C’est un Dimanche noir pour la société de transport routier « Océan du Nord ». Un autre bus vient de percuter un jeune homme sur le viaduc. Il est mort sur le champ.

Créé le 2019-10-20 21:49:49

Démotivation sur la route du travail : faut-il partir ou rester ?

Nouvellement affecté comme directeur de l’école primaire de Mazingo à Mekambo dans la province de l’Ogooué Ivindo au nord du Gabon, ce fonctionnaire de l’éducation nationale est en route pour rallier son nouveau poste d’affectation dans des conditions ignobles et ignominieuses.

Créé le 2019-10-20 21:29:20

Spectaculaire accident sur l’axe routier Dolisie-Mbinda

Les photos du véhicule accidenté sont impressionnantes. Vendredi dernier, un jeune conducteur a perdu le contrôle de son camion de marque Mercedes immatriculé 721 KG6 alors qu'il circulait dans le sens Dolisie-Mbinda dans le Niari (sud).

Créé le 2019-10-20 20:26:38

Congo - Accident de Moukondo vers Dolisie : Clément Mouamba dépêche un hélicoptère pour évacuer les blessés les plus graves

Suite à l’accident de la circulation survenu dimanche vers la ville de Dolisie, le premier ministre Clément Mouamba a dépêché en urgence un hélicoptère à Dolisie afin d’évacuer les blessés les plus graves sur Brazzaville.

Informé très tôt de l’accident du Bus ‘’Océan du Nord’’ à quelques encablures de Dolisie et des blessures graves que présentent les victimes, lesquelles nécessitent une prise en charge dans un hôpital disposant des commodités indispensables pour y faire face, Clément Mouamba qui a suivi l’évolution de la situation d’heure en heure, a instruit le ministre de la Défense de dépêcher en urgence sur zone, un hélicoptère des Forces armées congolaises, afin d’évacuer les blessés les plus graves qui sont une dizaine au moins, sur Brazzaville.

Le médecin-chef de l’hôpital général de Dolisie où les blessés ont été pris en charge, avait un temps envisagé une évacuation sur Pointe-Noire, les conditions de leur prise en charge efficiente sur place, en traumatologie, ne l’édictant pas.

Sur place à Dolisie, le préfet a rappelé de leur repos nombre des agents préfectoraux afin de porter assistance aux accidentés, après avoir fait un don de produits pharmaceutiques à l'hôpital général de Dolisie où sont admis les blessés.

L’excès de vitesse serait à l’origine de l’accident, les pneus assez usés du véhicule manquant d’adhérence sur la chaussée sur laquelle était tombée une fine pluie ayant rendu le véhicule incontrôlable. Le bilan global provisoire de ce drame s’établit à 5 morts et 51 blessés.

Rappelons que le dimanche 20 octobre aura été une journée noire pour la société ‘’Océan du Nord’’. Alors que l’on déplorait des morts et de nombreux blessés du coté de Dolisie, à Brazzaville, la portière latérale d’un autre bus ‘’océan du Nord’’ roulant sur le périphérique s’est ouverte en pleine circulation.

Ladite portière a heurté un piéton qui marchait sur l’accotement, le tuant sur le coup. De ce coté, l’excès de vitesse a également été évoqué.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-10-20 19:13:31

Congo - Circulation routière : Effroyable accident d'un bus ''Océan du Nord'' à Moukondo vers Dolisie

Un bus de la société de transport routier ‘’Océan du Nord’’, s'est renversé dimanche matin aux environs de 9 heures, à hauteur du village Moukondo, à quelques encablures de Dolisie, dans le Niari. Le bilan est lourd, très lourd.

Le bus qui assurait la desserte Pointe-Noire-Brazzaville à fait une sortie de route quand le conducteur a abordé un virage à vive allure, selon quelques rescapés en état de parler. Emporté par la force centrifuge, le bus s'est couché. Le relief en pente l'a ensuite précipité en contrebas après plusieurs embardées, avant de s'immobilier contre un arbuste.

Même s'il n'est pas encore officiel, le bilan s'élève à 5 morts et 51 blessés. 58 personnes se trouvaient à bord du bus. Presque tous les survivants acheminés après de longs moments d'errements à l'hôpital général de Dolisie, souffrent de graves traumatismes ou de blessures diverses, selon le médecin chef de l'hôpital de Dolisie où on attend de stabiliser l'état des patients les plus graves, avant de les acheminer sur Pointe-Noire où les structures hospitalières sont mieux équipées notamment la radiologie, inopérante à Dolisie. 

Le manque de structures appropriées dans les actions de secours, notamment la prise en charge en temps et en heure des blessés, à également été lourd de conséquences, un blessé ayant expiré faute de soins immédiats.

Pour le transport des blessés du lieu de l’accident, ou pour redresser le bus, il a fallu se servir d’un tractopelle.

Encore une fois de plus, cet accident repose le problème des conditions de circulation sur l'axe Pointe-Noire-Brazzaville. Entre une route au tracé à l'évidence ‘’accidentogene’’ en certains endroits qui se caractérisent soit par une absence de visibilité ou encore par des virages en tournant-serrés au sortir de pentes abruptes et l’inconséquence de certains chauffeurs qui font fi du code de la route en n'observant pas la prudence ou n'y adaptant pas leur vitesse, la route devient un véritable mouroir. Il est peut-être temps pour les pouvoirs publics de repertorier ces endroits et d'y apporter des solutions notamment à travers des déviations plus adaptées en sens unique.

Par respect de la dignité des personnes décédées, ainsi que l'intimité des blessés, nous n'avons pas publié les images des victimes. Les images diffusées en disent long sur les sort des personnes qui se trouvaient dans ce bus.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-10-20 12:48:35

Denis Sassou N’Guesso stigmatise la pression qu’un certain nombre d’agents publics font peser sur les opérateurs économiques

Le Président de la République, Denis Sassou N’guesso a particulièrement stigmatisé, lors du Conseil des ministres qui s’est réuni vendredi à Brazzaville, la pression qu’un certain nombre d’agents publics font peser sur les opérateurs économiques exerçant dans divers secteurs de la vie nationale.

Créé le 2019-10-19 20:38:53

Dolisie : Coupures d’eau, la population gronde

La ville de Dolisie vit depuis quelques jours une aggravation des coupures d'eau. Ce précieux liquide et très vital est en mode alternatif, d’un quartier à l’autre de la ville préfecture du Niari (sud). Les populations en ont ras-le-bol.

Créé le 2019-10-19 20:03:13

Un marabout saisi la sono et chaises d’une église pour une dette impayée du pasteur en RDC

Dans la commune de Matété à Kinshasa en RDCongo, un féticheur abusé par un pasteur a saisi la sono, l’autel et les chaises de son église. Pasteur Mathieu Mutombo n’a jamais voulu solder ses dettes.

Créé le 2019-10-19 06:32:35

Port de Pointe-Noire : Des agents de SOCOMAR spécialisés dans le vol des pneus des véhicules

Au port de Pointe-Noire, la lutte contre les antivaleurs prônée par les autorités congolaises peut encore attendre. Malheureusement, il y a trop de gens malhonnêtes dans ce pays sans oublier les méthodes et techniques pour voler et nuire à son prochain.

Créé le 2019-10-19 06:18:06

Congo – Train de vie de l’État : Un décret présidentiel revoit les effectifs du personnel des représentations diplomatiques à la baisse

Un décret présidentiel signé en date du 10 octobre 2019 et publié à Brazzaville, fixe les effectifs du personnel diplomatique, consulaire et du personnel assimilé des ambassades, les missions permanentes, les consulats généraux et services techniques. Partout, les effectifs sont revus à la baisse.

Une véritable cure d’amaigrissement, c’est à tout le moins ce qui se dessine à travers le décret présidentiel qui fixe à un nombre précis, les effectifs de diplomates et personnels assimilés ou de service, dans les représentations diplomatiques ou consulaires du Congo à l’étranger. Les effectifs sont réduits au strict nécessaire, avec à l’évidence la suppression de certains postes budgétaires.

Le nombre d’agents varie entre 3 pour les consulats et 8 pour les ambassades. Seule Paris en France s’en tire avec un effectif de 16 agents, ambassadeur compris.

Toutefois, selon que les nécessités pratiques exigeraient du personnel additionnel, possibilité a été offerte aux représentations diplomatiques, notamment le chef de mission, après s’en être référées au ministre des Affaires étrangères qui le cas échéant prendra un arrêté y relatif, de recruter le personnel de certaines catégories, ceci ne devant pas excéder 20% des effectifs nommés et affectés dans les services extérieurs du ministère des affaires étrangères. Le décret précise que dans ces cas précis, le recrutement des agents locaux est réservé en priorité aux conjoints non fonctionnaires des agents faisant partie du personnel de l’ambassade, de la mission permanente ou du consulat général, aux ressortissants congolais titulaires d’un titre régulier de séjour.

Ce décret présidentiel a de quoi rappeler le vœu émis il y a deux ans de cela déjà, par Roger Ndokolo, un congolais de la diaspora, qui en son temps, parlant de l’adéquation entre les effectifs des représentations diplomatiques et les dividendes réelles pour le Congo, en terme de bénéfices multiformes, soulignait, évoquant la nécessité de « repenser le réseau des représentations diplomatiques du Congo », que : « Point n’est besoin d’une longue réflexion pour comprendre que les mêmes règles d’une bonne gestion de l’État s’appliquent mutatis mutandis à celle de la gestion des affaires internationales. Il s’agit d’atteindre l’efficacité optimum avec le minimum de moyens indispensables à cette fin.

Apparemment simple dans sa formulation, cette règle ne manque pas de complexité dans sa mise en pratique. Elle oblige à approfondir un certain nombre de questions pertinentes : d’abord quel intérêt concret et précis, présenterait pour un pays comme le Congo l’entrée en relation diplomatique avec tel autre pays ? Ensuite : cet intérêt justifierait-il l’ouverture d’une ambassade (ou d’un consulat), compte tenu des ressources nécessairement limitées du Congo et de ses priorités de développement ?

Question subsidiaire : n’y aurait-il pas d’alternatives crédibles à une représentation diplomatique permanente ? Les réponses à ces questions doivent soutenir la réflexion de nos responsables à l’heure où très justement ils ressentent la nécessité de repenser notre réseau actuel de représentations diplomatiques afin de lui donner davantage de rationalité, de consistance et de crédibilité, en relevant donc sa note d’efficacité. Avons-nous besoin d’avoir tant de représentations diplomatiques dans le monde comme cela est le cas actuellement ? Les chiffres correspondants sont bien connus des autorités, et la presse en a fait état récemment. Mais qu’en est-il du coût global de ces missions diplomatiques ? En outre, pouvons-nous évaluer le bénéfice qu’en a tiré le pays jusqu’ici par rapport aux moyens mis en œuvre et aux sacrifices consentis ? Quel est le bon profil d’un personnel diplomatique qualifié ? Nos diplomates passent-ils par un « moule institutionnel commun » qui les prépare à cette fonction ? Et combien faut-il de diplomates pour qu’une ambassade puisse fonctionner ? Leur mobilité d’un poste à un autre fait-il l’objet d’un système de rotation précis et obligatoire pour tous ? Enfin, le système d’inspection des représentations diplomatiques est-il en place et fonctionne-t-il réellement ? Que nous apprend-il sur le « rendement » de nos coûteuses ambassades ? »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-10-18 21:05:15

Congo : Le secrétaire général de l’UMP très remonté dézingue son agresseur Digne Elvis Tsalissan Okombi

Le secrétaire général de l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP), est indigné. Il déplore le glissement de comportement du président de son parti, Digne Elvis Okombi Tsalissan et s’en prend à ce dernier après leur pugilat dans un hôtel à Brazzaville. Il a délivré quelques piques à l'encontre du député de Ngo avant de lui promettre la guerre.

Créé le 2019-10-17 17:01:39

Après avoir détourné quatre milliards de francs CFA et passé neuf mois en prison le directeur général de Cogelo refusé par son personnel

Nestor Thissambot-Makosso, après avoir passé neuf mois et quatre jours en prison à cause d’une affaire de détournement de fonds au sein de l'entreprise, a voulu se réinstaller à son poste, le 15 octobre à Brazzaville, en présence d'un huissier. Les agents, en désaccord avec cette décision, ont quitté les lieux.

Créé le 2019-10-17 16:23:49

Bus : Brazzaville augmente ses prix et oublie les plus démunis

Mauvaise surprise pour les brazzavillois. Le prix de transport en commun entre le marché Total de Bacongo et le terminus de la mairie de Mfilou a de nouveau augmenté. Les receveurs de bus exigent aux clients la somme de 250 francs CFA, au lieu de 150 Francs CFA, le prix officiel.

Créé le 2019-10-17 15:49:53

Brazzaville : Pour traverser cette passerelle de fortune il faut payer 50 francs CFA par passage

Une planche de plus de 10m, sert pour le moment à favoriser les déplacements des populations des quartiers nord de Brazzaville. Il est l’œuvre des jeunes chômeurs qui doivent faire preuve de la plus grande habileté dans un pays où le sport préféré est la débrouillardise. Pour traverser cette passerelle de fortune, ils sollicitent auprès des usagers un montant forfaitaire de 50 francs CFA par passage.

Créé le 2019-10-17 15:25:10

Congo : la vidéo-choc d'un ministre qui frappe deux des membres dissidents de son parti

Coup de sang sur le chemin du dialogue national  au Congo. L'image est d'une violence incroyable et ne laisse pas de place au doute. L’ex ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement, Digne Elvis Tsalissan Okombi, député (UMP) à Ngo, dans les Plateaux, a été filmé en train de s'en prendre à deux des membres dissidents de son parti. Sur la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, il donne plusieurs coups de poing au visage d'un homme, avant que d'autres personnes ne s'interposent.

Créé le 2019-10-17 14:26:17

Congo – UMP : Violente bagarre entre Digne Elvis Okombi et deux membres dissidents de son parti

Une vive altercation débouchant sur une bagarre a eu lieu mercredi à l’hôtel Saphir de Brazzaville entre Digne Elvis Okombi Tsalissan et deux des membres dissidents de son parti. Dire que le député de Ngo n’y est pas allé de mains mortes, en ayant envoyé ses deux adversaires du jour aux urgences du CHU de Brazzaville avec de graves blessures.

La tension montait depuis quelques mois à l’Union pour un Mouvement Populaire, le parti créé par Digne Elvis Okombi Tsalissan. Entre le fondateur du parti et ceux qui lui reprochent d’en trahir les idéaux, le point de rupture a été atteint mercredi à l’hôtel Saphir en présence des membres du conseil national du dialogue, parmi lesquels, les ministres Mouambenga et Alain Akouala Atipault.

"Les positions adoptées par les camarades Lahoya et Othéré tous deux de l’aile dissidente ont été jugées comme la provocation de trop. Une velléité de disposer du parti, au nez et à la barbe de Digne Elvis Okombi qui s’en revendique toujours comme président fondateur’’, a rapporté un témoin de la scène.

Alors que l’on s’apprêtait à prendre la photo de famille immortalisant la rencontre, les uns et les autres commentant l’issue de la réunion, Digne Elvis Okombi n’a pu contenir le courroux qui montait en lui.

L’altercation qui s’en est suivie a débouché sur une "exhibition des muscles’’, Elvis Tsalissan confirmant qu’en matière de pugilat, il possède bien « les choses du village ». Ce n’était pas moins dire.

Ses adversaires du jour mis K.O, ont été envoyés à l’hosto avec une plaie ouverte à la tête pour l’un et un œil au beurre noir pour l’autre, en plus des coups encaissés.

Depuis, les images de cette altercation font le buzz sur les réseaux sociaux.

Rappelons que la scission à l’Ump est partie d’une déclaration dans laquelle ses initiateurs avec à leur tête Lahoya et Othéré reprochaient à Digne Elvis Okombi Tsalissan le mépris des valeurs prônées par le centre, leur famille politique, notamment la tolérance, le dialogue et le consensus ainsi que le non-respect des principes généraux qui déterminent la politique du parti, conformément à l’article 6 de ses statuts.

Outre ces griefs, les instances dirigeantes de l'UMP avaient également mis à la charge de leur président, Digne Elvis Tsalissan Okombi, une conduite folklorique du parti ainsi que l’absence des débats démocratiques ; la manipulation des jeunes à des fins personnelles; l’affairisme et l’inconséquence politique et idéologique; la violation délibérée des textes fondamentaux du parti.

Il était aussi reproché au président de l'UMP d'avoir signé un accord avec l'opposition alors que, selon la déclaration, aucun mandat n'avait été donné à qui que ce soit ni même au président d’engager le parti à l’intérieur comme à l’extérieur du pays dans un quelconque accord politique. Il avait en même temps été dénoncé l’opacité chronique dans la gestion des fonds du parti.

C’en faisait trop pour Digne Elvis Okombi Tsalissan qui en est venu aux poings mercredi. Ses victimes encore groggys, n’ont pas encore décidé si elles allaient engager des poursuites judiciaires pour coups et blessures volontaires.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-10-17 06:46:22

Congo : Décès du colonel Jean Michel Ebaka ancien membre du CMP

Ancien colonel à la retraite et 5ème membre dans l’ordre de préséance du Comité militaire du parti en 1977, Jean Michel Ebaka s’est éteint mercredi à Brazzaville.

Officier colonel de police à la retraite, Jean Michel Ebaka est quasiment resté sous éteignoir depuis la chute du CMP en 1979.

De ses états de service que nombre de ses promotionnaires trouvent excellents, cet officier formé en France, est présenté comme un ’’ policier de cru’’.

L’homme qui a eu un cursus purement policier, est entré dans l’armée, à l’intégration de la police dans celle-ci, sous Marien Ngouabi, au lendemain des évènements du 23 mars 1970, avec le putsch manqué de Kiganga. À cette dilution de la police dans l’armée, alors qu’il est commissaire divisionnaire, Jean Michel Ebaka aurait pu prétendre au grade de colonel, à défaut de celui de général. Par pure condescendance de l’Armée sur la police, il est ramené au grade de commandant et s’en contente.

Jean Michel Ebaka a assumé les fonctions de directeur général de la police, directeur de l’école nationale de Police, de même qu’il fut sous le président Marien Ngouabi, président de la commission de contrôle et de vérification du Parti Congolais du Travail, en même temps qu’il assurait la présidence de la ‘’commission des biens mal acquis’’. Une commission dissoute sans texte réglementaire, à la mort du président Marien Ngouabi. Certains de ses membres furent même emprisonnés. Très corporatiste, et en sa qualité de membre du CMP, Jean Michel Ebaka s’opposa à l’arrestation de ses collègues qui furent relâchés dans la foulée. Sous Pascal Lissouba, il a assumé les fonctions de préfet de la Cuvette.

À la chute du CMP, Jean Michel Ebaka est taxé d’appartenir à ‘’l’aile Yombi Opango’’, avec d’autres compagnons d’infortune dont Pierre Anga et Okongo Nicolas.

À un peu plus de 80 ans d’âge, Jean Michel Ebaka s’est éteint mercredi à Brazzaville.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-10-16 19:35:29

Brazzaville : Des passerelles de fortune

C'est le genre d'information qui ne fait pas la une des journaux, mais qui en dit long sur l'état d'un pays comme le Congo où l'on vit pauvrement. Alors que sous d’autres cieux les pluies sont attendues et accueillies avec hardiesse, à Brazzaville, elles sont source d’angoisse. Les habitants de la capitale congolaise sont désespérés et ne savent pas à quel saint se vouer pour intercéder auprès de Dieu afin d’arrêter le déluge.

Créé le 2019-10-15 15:00:07

Saison des pluies à Dolisie : Le calvaire des automobilistes

La circulation routière est en passe de devenir un véritable casse-tête à Dolisie, la ville préfecture du Niari, pour les automobilistes et les habitants de plusieurs quartiers.

Créé le 2019-10-15 14:31:05

Dolisie : Les populations pointent du doigt le manque d'éclairage public

Dans la ville de Dolisie ainsi que dans d’autres communes du département du Niari (sud), il existe manifestement plusieurs insuffisances. Des anomalies, on en trouve à chaque coin de rue.

Créé le 2019-10-15 13:39:39