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Depuis plusieurs années, la stabilité́ du pont suspendu de la rivière Niari, situé à un jet de pierre de la ville de Makabana (sud), n’est plus garantie. L'Etat puis le CFCO n'ont pas engagé de travaux pour des raisons financières, alors que des trains voyageurs et des marchandises, des camions et des tracteurs circulent toujours jours et nuits. L’entretien des ponts et des ouvrages d’art est une mission qui se conduit à long terme. Il s’agit d’un patrimoine capital pour le bon fonctionnement d’un territoire ainsi que pour le transit des personnes et des marchandises. Leur bonne santé et leur opérabilité sont donc une priorité. Voilà pourquoi le DG des Travaux Publics est descendu sur place pour une inspection visuelle rapide afin de recenser les désordres et détériorations visibles : fissures, rouilles, éclatements, etc. avant de donner un avis argumenté sur la santé de l’ouvrage et les potentielles évolutions. Cet avis se construit sur un regard sur toutes les parties de l’ouvrage.
Créé le 2020-05-27 21:51:28
Au Congo-Brazzaville, la crise du covid-19 a affiché des évidences tant organisationnelles que structurelles qui ont révélé la fragilité d’un tissu économique largement dépendant des importations. Gérer c’est prévenir dit-on. L'opportunité nous est donnée de réformer la chaine de valeur. A l'horizon de ce constat, nous proposons :
Créé le 2020-05-27 11:11:55
Elle marche Carelle Moukémaha, juriste conseil et fondatrice de la Web-TV Inspirante. Au-devant d’une lutte multicolore, aux mille visages et de toutes les religions, elle s’élance à grands pas avec courage et abnégation sur des thématiques nationales. La jeunesse et l’égalité femme-homme sont deux sujets sur lesquels elle travaille avec véhémence et ce depuis plusieurs années. Une femme forte, fière et jamais fatiguée de prouver son intérêt pour la politique, et pour les sujets de l’égalité femme-homme. Carelle Moukémaha, en dépit de la crise sanitaire qui phagocyte la France, a accepté de nous parler de son engagement politique auprès du président français, Emmanuel Macron et de son combat de concrétiser ses projets pour s’impliquer davantage, nonobstant les contraintes et impératifs catégoriques de sa vie professionnelle, auprès de la jeunesse de France.
Créé le 2020-05-26 19:24:39
Jésus fut emmené par l’Esprit dans le désert, pour être tenté par le diable. Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim. Mais Prahlad Jani a fait plus. Le yogi indien mondialement connu pour avoir affirmé n'avoir pas mangé ou bu depuis 80 ans, est mort ce mardi à l'âge de 90 ans. Il est donc parti avec ses secrets et pas les moindres.
Créé le 2020-05-26 13:55:38
La ville de Mossendjo est privée d’électricité depuis plusieurs jours. Pour cause, le manque de gas-oil au niveau du groupe électrogène de l’antenne de la société Energie Electrique du Congo (E²C) qui alimente la deuxième ville du Niari (sud).
Créé le 2020-05-26 13:24:58
Incroyable mais vrai ! La crise politique couve en République démocratique du Congo (RDC) où des députés en sont venus aux mains lundi à l'Assemblée nationale avant le vote de la destitution d'un proche du chef de l'Etat Félix Tshisekedi de son poste de premier vice-président de la chambre basse. La présidente de l'Assemblée, Jeanine Mabunda qui a mis en cause les élus de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti du président de la République Félix Tshisekedi, minoritaire au Parlement, a suspendu la séance en début de soirée en voyant une bonne vingtaine de députés qui s'empoignaient violemment au pied de son perchoir.
Créé le 2020-05-26 11:32:37
Au Congo, la reprise des cours à partir du 1er juin prochain pour permettre de compléter le volume horaire requis, selon la norme pédagogique d'une année scolaire régulière, avant que les élèves ne fassent les examens, nécessite la mise en place des consignes sanitaires. Nettoyage, désinfection, distanciation, parcours... l’Association Solidarité Universelle Monde « ASU Monde » à travers son antenne FSU Monde Congo a procédé, avec le soutien de ses partenaires privilégiés (ONG Butterfly, Graphics Design, la clinique Pasteur de Moungali, et la Mairie de Djiri), à la désinfection en profondeur du complexe scolaire Emonaya à Kombo dans le 9ème arrondissement de Brazzaville, afin d'enrayer la propagation du Covid-19 et de préparer minutieusement les locaux pour assurer la sécurité des enseignants et des enseignés.
Créé le 2020-05-26 11:05:06
Le nom de Maniémo est utilisé par nostalgie pour désigner cette zone géographique qu'on appelle aussi, et le plus souvent, Malolo 2 ou la Sofico-Malolo. Pour la petite histoire de cette partie du territoire congolais, Malolo se traduit en langue française par « les papayes ». Et l'origine de cette appellation vient de la forêt-galerie qui sépare la plaine de Malolo 2 de celle de Malolo1. À noter que Malolo 1 est également appelé Malolo-Carrefour. C'est le village qui est situé à 48 km de Dolisie sur la RN3 ou Route du Gabon, reliant le sud du Congo-Brazzaville au sud du Gabon.
Créé le 2020-05-25 18:07:01
De nombreux africains se sentent désabusés avec la polémique née de la ‘’dangerosité de l’utilisation de la chloroquine’’, ainsi que de son dérivé, l’hydroxychloroquine. Le sentiment est presque à la révolte, surtout pour ceux d’un grand âge, eux qui en ont presque été gavés à tout va, tant de façon préventive que curative, au long des ans, à travers la nivaquine. L’action durait depuis des siècles.
Sous toutes ses présentations, la chloroquine est entrée dans les mœurs des africains, bien avant et au lendemain des indépendances avec des « campagnes de nivaquinisation » menées sous l’égide de l’OMS dans les villes et villages et de l’UNICEF, dans les écoles.
Au Congo, le processus de nivaquinisation a eu cours jusqu’au début des années 80, avant que les promotions de la moustiquaire puis de la moustiquaire imprégnée d’insecticide ne prennent le relais et ne mettent sous éteignoir la chloroquine, remplacée par d’autres molécules, non pour sa dangerosité aujourd’hui évoquée, mais pour la résistance du plasmodium, microbe du paludisme, à cette molécule devenue sans effets curatif ou préventif.
Même si le champ de nos connaissances s’élargit sans cesse, et que des faits anciens s’éclairent parfois de lumières nouvelles qui en modifient l’aspect, les africains doivent-ils dorénavant admettre qu’ils ont été volontairement empoisonnés au long des ans, par ceux qui fabriquaient le médicament et disposaient des laboratoires de contrôles, pendant qu’eux étaient des passifs consommateurs, faisant confiance à l’européen dont la mission dite civilisatrice, se doublait de la mission humanitaire ? Autrement, pourquoi la chloroquine administrée presque sans contre-indication aux africains, - sauf pour les femmes en grossesse de moins de 12 semaines - pourquoi donc cette chloroquine serait-elle dangereuse pour les occidentaux, au point d’ouvrir quasiment une guerre de tranchés entre les différents chercheurs, appuyés par les laboratoires associés.
À propos de cette molécule, il est désormais évoqué que la chloroquine, comme l’hydroxychloroquine, n’ont jamais été prise à la légère par les médecins et les chercheurs. Le composé fait l’objet d’une forte pharmacovigilance. Il est connu pour ses effets secondaires dangereux, à différentes échelles de gravité. On relève de l’hypoglycémie chez les personnes diabétiques et des problèmes sanguins comme de l’anémie. L’administration du composé peut aussi aggraver les risques d’épilepsie et de problèmes neurologiques, ainsi que provoquer une dégénérescence visuelle.
D’autre part, les effets d’arythmie cardiaque provoqués par la prise de chloroquine ne seraient-ils découverts que de nos jours, avec le Covid-19 ?
À moins que les enjeux financiers ne soient au dessus de la santé des malades, comment donc justifier qu’en dépit de sa dangerosité reconnue, la chloroquine fut alors systématiquement administrée aux africains, au point même d’en vulgariser la vente, jusque dans les boutiques de quartiers, avant que n’intervienne la réglementation sur la vente des médicaments.
La recherche d’un médicament contre le covid-19 a montré à la face du monde, que même quand ils luttent tous pour la même cause, les scientifiques ne parlent toujours pas le même langage. Une évidence s’est au moins dégagée en filigrane : chacun prêche pour sa chapelle, celle de la provenance de l’argent des crédits de recherche, représentée par les laboratoires pharmaceutiques.
Alors, bien naïf, celui qui croit qu’entre l’argent et les raisons sanitaires, le choix est fait en toute innocence.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2020-05-23 21:42:51
C’est dans la joie et la gaieté que les femmes ou mères de familles de cette petite bourgade située à un jet de pierre de la ville de Mayoko dans le Niari (sud), se donnent rendez-vous tous les jours à la rivière Lehala. Pour elles, pêcher les « Bawetchi », un poisson d’eau douce très prisé dans la contrée, est devenu un art, une passion, au point où elles mènent cette activité tous les jours et parfois jusqu'au soir. Elles fournissent en alimentation de la population depuis la nuit des temps. Cette recherche du poisson a fasciné. Aujourd’hui, les femmes dépensent toutes leurs énergies pour assurer la survie du groupe familial.
Créé le 2020-05-23 21:28:08
Pas de guerre sans soldats. Dans la lutte de longue haleine engagée contre le Covid-19 au Gabon, une armée en blouse blanche livre bataille, jour après jour, face à un ennemi toujours insaisissable. Un combat exigeant, incertain, souvent épuisant, qui suppose risques et sacrifices. Parmi les professionnels propulsés en première ligne, le personnel du Samu social gabonais dirigé avec la plus extrême maestria par le Dr Wenceslas Yaba. Ce que l’on vit jour après jour est hallucinant, presque irréel. Le flux continue d’augmenter, ça n’arrête pas. Heureusement, il n’y a pas de carence en effectifs, en médicaments et en masques protecteurs. Du personnel compétent et disponible sur l’ensemble du pays.
Créé le 2020-05-22 22:35:08
Sam Talanis a décidé d’offrir, le 28 mai prochain, une jolie surprise à ses fans en dévoilant un clip inédit pour son morceau «Congo boléros » alors que les férus de la musique congolaise et africaine se souviennent encore de son prix de meilleur artiste congolais de la Diaspora 2019.
Créé le 2020-05-22 21:26:11
Le ministre Charles Nganfouomo a procédé vendredi, à l’intronisation de Dieudonné Bantsimba, nouveau maire de Brazzaville, élu le vendredi 22 mai. Ce cadre expérimenté et fin connaisseur des enjeux qui l’attendent, est installé à l’Hôtel de ville pour un mandat de deux ans au moins.
Le Conseil Municipal et Départemental de ville de Brazzaville a procédé à l’élection de son président, après l’éviction de Christian Roger Okemba pour cause de détournement de fonds municipaux. En attendant cette élection, l’intérim était assurée par Guy Marius Okana qui n’a hélas pas bénéficié de la confiance du Parti Congolais du Travail.

L’élection du nouveau maire de la ville de Brazzaville était déjà dépouillée de tout suspens, tant la majorité municipale conduite par le Parti Congolais du Travail avait acté que le nouveau maire sortirait de ce parti.
À l’issue du vote à candidat unique, 98 des 101 conseillers municipaux ont porté leurs suffrages sur Dieudonné Bantsimba, 3 conseillers ayant voté blanc.

Dieudonné Batsimba est âgé de 63 ans. Il est réputé pour être un homme discret et travailleur. Il fait partie des membres influents du comité central du Parti Congolais du Travail qui le présentait comme le candidat du consensus.
Agent de la mairie admis à la retraite, Dieudonné Bantsimba sert de lien entre les jeunes et l'ancienne génération.

C’est au début des années 90, qu'il fait ses débuts au sein des instances de la mairie, avant d'être nommé en 2012 directeur de cabinet du ministre de l'Aménagement, de l'Équipement du territoire et des Grands Travaux, aux côtés de Jean-Jacques Bouya.
Plusieurs fois Directeur de la gestion foncière urbaine, Dieudonné Bantsimba est régulièrement sollicité pour son expérience et sa grande connaissance dans le domaine de l'urbanisme. L’homme avait été chargé de mission et responsable du projet de cadastre national auprès du chef de l’État.
Dieudonné Bantsimba est titulaire d'un 3ème cycle de l'Institut de l'Urbanisme de Paris (France) et détenteur d'un diplôme d'études approfondies en géographie urbaine. Il a une réelle connaissance des dossiers sensibles de la mairie et à la Délégation générale des Grands Travaux.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2020-05-22 20:56:38
Le geste est simple et la consigne maintes fois répétée : se laver les mains avec de l’eau et du savon est une règle d’hygiène de base qui sauve des vies face à la maladie de Covid-19. Mais pour plusieurs congolais vivant sans accès à l’eau potable, ce conseil de bon sens est impossible à mettre en œuvre au quotidien : comment se laver les mains régulièrement si vous n’avez pas d’eau à disposition ? Nous ne sommes pas tous égaux face à la crise sanitaire. Le virus met en lumière les inégalités existantes et risque de les accentuer encore davantage. Cette crise agit comme un miroir grossissant des inégalités sociales. Et pour faire face à l’urgence de ceux qui n’ont rien, l’Association Solidarité Universelle Monde « ASU Monde », a procédé mardi à une remise, à travers son antenne du Congo, de masques , de vivres, de linge et des réservoirs d’eau de 1000 litres au profit des personnes démunies du quartier Kombo à Djiri dans le 9ème arrondissement de la capitale congolaise.
Créé le 2020-05-21 22:35:24
Il avait tenu le haut de l’affiche aux côtés d’autres jeunes prodiges des années 90, l’artiste musicien Dieudonné Samba, dit Sambadio est malade, très malade. L’artiste traine depuis plus d’un an, un cancer qui nécessite une prise en charge médicale onéreuse, à laquelle ni lui, ni sa famille ne peuvent subvenir désormais. En désespoir de cause, Sambadio réitère son cri de détresse à l’endroit des personnes de bonne volonté, à même de l’aider.
Créé le 2020-05-21 19:01:43
Lors de sa visite d'État à Paris en France, le Président Denis Sassou-N’Guesso avait demandé aux Congolais de la Diaspora qui excellent dans leurs domaines de qualifications de bien vouloir rentrer, afin d’apporter leur contribution au développement du pays". Ce fût un appel vibrant et retentissant entendu par beaucoup de nos compatriotes qui depuis sont rentrés au pays pour justement apporter leur expertise dans des domaines d'activités divers et variés. Répondant à cet appel Présidentiel chaque Congolais se devait faire la part des choses. En ce qui me concerne, mon choix fut porté sur la rédaction d'un ouvrage sur la Diplomatie, pour apporter ma contribution dans ce domaine, sachant que je suis Diplomate de formation.

La vie des nations nous enseigne qu'aucun pays au monde, ne peut se développer sans la formation des hommes pour relever le défi du développement. Or la crise économique très dure qui met à mal les finances du pays; conséquence de la chute drastique des cours du pétrole, amoindrit les entrées d’argent dans les caisses de l'état, réduisant du coup la marge de manœuvre du gouvernement du Congo pour octroyer les bourses d'études et la formation des agents diplomatiques.
C'est dans cette optique, après une profonde analyse que j'ai trouvé nécessaire d'apporter ma contribution au bon fonctionnement de la Diplomatie Congolaise en publiant cet ouvrage qui sera comme un livre de chevet, dans la vision de l'ancien Président Américain John Kennedy qui écrivait " Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays".
C'est pourquoi j'apporte ma modeste contribution en mettant à la disposition de la Diplomatie Congolaise cet ouvrage pour permettre aux diplomates Congolais de compléter leurs connaissances, de bien cerner les différents enjeux des dispositions de la Convention de Vienne de 1961 en analysant leur évolution et leur problématique, de développer les principes universels qui constituent le socle des institutions Diplomatiques.
Dans cet ouvrage, je souhaite enfin simplement mettre à la disposition des diplomates, une base d 'informations et un fil directeur pour ceux que la nécessité professionnelle ou la curiosité intellectuelle inciterait à une recherche plus approfondie sur des questions diplomatiques. Ils trouveront des réponses et des explications sur des notions universelles de la pratique Diplomatique à défaut d'aller suivre une formation dans une académie Diplomatique à l'étranger.
Le lecteur trouvera par exemple, quelles sont les fonctions diplomatiques du chef de l'État, le rôle et les fonctions du ministre des affaires étrangères, la fonction diplomatique de l'information, la procédure d'agrément, la lettre de créance, mais aussi bien d'autres notions comme l'incontournable Convention de Vienne de 1961 qui est un ensemble de règles servant à la dévolution de l'action Diplomatique internationale.
La note diplomatique du 25 Janvier 2015 du ministre des affaires étrangères M. Jean-Claude Gakosso, sur instructions du Président Denis Sassou-Nguesso, visait d'abord à rappeler les anciens diplomates en poste mais surtout à redéployer un nouveau réseau diplomatique du Congo en tenant bien entendu compte du principe de la réciprocité. C'est une nécessité pour l'efficacité par rapport à l'évaluation qualitative et quantitative des missions diplomatiques du Congo, d'où l'importance du maintien et du resserrement des partenariats stratégiques avec des pays amis pouvant contribuer efficacement à la diversification de l'économie Congolaise et surtout le renouvellement des cadres Diplomatiques bien formés, plus compétents ayant une parfaite analyse et une bonne compréhension de différents enjeux diplomatiques et stratégiques pour assurer la bonne marche de la Diplomatie Congolaise.
Par Juste Macaire OWONDO
Diplomate et auteur du Guide du Diplomate Congolais
Créé le 2020-05-21 17:49:05
Dans le contexte épidémiologique dû au Covid-19, le ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean-Richard Itoua, a évoqué le 18 mai à Brazzaville, l'option de déployer un plan de continuité pédagogique dont l’objectif est de poursuivre la formation des étudiants et étudiantes de l’Université Marien Ngouabi grâce à l'enseignement à distance.
Créé le 2020-05-19 20:57:07
Les patrouilles mixtes de la force publique ont été effectuées dans les artères de la ville de Dolisie (sud). Au total soixante-cinq (65) personnes ont été interpellées pour non port de masque protecteur et conduites à la direction départementale de la sécurité civile du Niari pour des travaux d’intérêt général (TIG). C’est à cette occasion que Serge Moafoumbi, 48 ans, adjudant des Eaux et Forêts, interpellé aux environs de 17 heures, dans sa parcelle, en face du stade municipal « Paul Sayal Moukila », pendant qu’il jouait au jeu de Ludo avec son collègue, a fait une crise.
Créé le 2020-05-19 14:09:54
Depuis le 15 mai dernier, nous pouvons tristement affirmer que cela fait 29 années que la France n’a pas connu de femme Premier Ministre. La dernière en date et la seule de l’histoire politique française à avoir occupé ces fonctions est Edith Cresson du 15 mai 1991 au 2 avril 1992.
Créé le 2020-05-19 10:56:59
Pour faire face à cette crise sanitaire du Coronavirus qui exacerbe la fracture sociale, le président de la Fédération congolaise de football (Fécofoot), Jean Guy Blaise Mayolas a remis le 15 mai dernier à Brazzaville, des chèques aux clubs des Ligues 1 et 2, sans oublier les joueurs et joueuses des équipes nationales qui évoluent au pays.
Créé le 2020-05-18 11:51:15