Le ministre congolais de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla, a déclaré que « le Congo a perdu un homme de valeur, et l’Etat est prêt à s’associer à l’organisation de ses obsèques ».
« Chez nous les bantous, il y a un principe de base, quelques soient les fonctions et les dignités occupées par le défunt, c’est à la famille biologique d’indiquer quelles sont ses volontés, notamment les obsèques. L’Etat reste attentif à la position de la famille", a souligné le porte-parole du gouvernement.
Elu en 1992, Pascal Lissouba qui avait promis de faire du Congo une « petite Suisse » a connu un règne plein de violences politiques et militaires.
En 1997, Lissouba fut débarqué par son prédécesseur, Denis Sassou N’Guesso au terme de 5 mois de guerre civile.
Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville