Magazine

  • Qui sommes-nous ?
  • Contact

Menus

  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville
  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
  • L'Ambassade des États-Unis pour le soutien des initiatives éducatives, linguistiques et professionnelles destinées à la jeunesse congolaise

    - -
  • Congo – Economie-forestière : Le safoutier a réalisé le taux le plus élevé des ventes de la 9e édition de la Foire aux plants

    - -
  • Congo - La Quinzaine du Gouvernement : Anatole Collinet Makosso a été face à la presse nationale et internationale pour décortiquer l’ouvrage « En toute transparence : 2021-2026, le bilan du quinquenn ...

    - -
  • Congo – Médias : Peggy Hossié s’en est allée, une étoile a rejoint le firmament

    - -
  • Congo : une baleinière prend feu au port de Yoro à Brazzaville

  • Congo : Un véhicule de la SNPC percute et casse l’aile droite d’un avion de Canair

Rechercher :

Total : 11270 résultats trouvés.

Page 235 sur 564

L’Afrique comptait lundi 4 mai 44 873 cas confirmés de coronavirus

L’Afrique comptait lundi 4 mai 44 873 cas confirmés de coronavirus. Le Covid-19 a déjà coûté la vie à 1 807 personnes sur le continent, selon le Centre pour la prévention et le contrôle des maladies de l’Union africaine (UA).

Créé le 2020-05-04 23:47:24

Congo : Une délégation du Comité scientifique à Madagascar pour récupérer le premier lot de produits « Covid-Organics »

Une délégation du Comité scientifique près la coordination nationale de gestion de la pandémie au Congo-Brazzaville est à Madagascar pour récupérer le premier lot de produits « Covid-Organics ». Ce lot initial sera destiné en priorité aux cas de Coronavirus actifs dans notre pays.

Créé le 2020-05-04 22:58:47

Congo – Zone militaire numéro 1 : L’essor agricole du général Jean Ondaye Olessongo et ses hommes s’est davantage affiné

Lors du réveillon d’armes, le 31 décembre dernier, le président Denis Sassou N’Guesso, chef suprême des Armées commandait à la Force publique, « d’élever son niveau, dans tous les secteurs d’activités, au cours de l’année 2020 ». De même, rappelant la tradition de la Force publique à prendre part à l’effort de construction nationale, ou encore dans la production des biens et services à l’instar de la production agricole et pastorale à Kilébé-Mousia, entrée dans les annales agricoles de la Force publique, Denis Sassou N’Guesso invitait les autres commandants de zones militaires à s’inspirer de l’expérience menée dans la zone militaire numéro 1 Pointe-Noire, en matière de production agricole et animale.

Créé le 2020-05-04 20:32:46

Congo : Le gouvernement déterminé à chasser de force les douaniers retraités qui continuent à occuper diverses fonctions

Le directeur de cabinet du Ministère congolais des Finances et du budget, Henri Loundou a demandé, dans une lettre, au directeur général des douanes et des droits indirects, de lui faire parvenir sans délai, la liste nominative des cadres et agents de cette administration admis à faire valoir leurs droits à la retraite et qui continuent à occuper diverses fonctions.

Créé le 2020-05-04 17:45:11

État des infrastructures routières dans le Niari : un brouillard difficile à dissiper ?

Le diagnostic de l’état des infrastructures routières dans le département du Niari (sud) reste toujours difficile à établir. Si les dépenses d’entretien sont à la hausse depuis plusieurs années, elles semblent encore insuffisantes pour avoir un impact positif sur l’état général du patrimoine. Il se dégrade de façon lente mais constante. Et sur instruction du ministre congolais des Travaux Publics, Jean-Jacques Bouya, une équipe technique des agents des TP est sur le point de descendre dans le Niari, pour une mission d’inspection de l’état de dégradation de la route Dolisie-Kimongo-Londéla Kayes.

Créé le 2020-05-04 14:33:50

La culture en confinement, les artistes congolais tissent le mauvais coton

Le président de l’Union des Musiciens Congolais (UMC), Godefroy Magloire Bonguili, dit Pape God, a demandé au gouvernement congolais et au comité de la riposte au Covid-19, de prendre en charge les artistes musiciens congolais jusqu’à la levée des mesures de confinement liée à l’état d’urgence, pour l’instant fixée au 15 mai 2020.

Créé le 2020-05-04 13:58:11

Affaire Rocil Otouna : Le cabinet du ministre Moungalla aura-t-il soufflé le chaud et le froid ?

Imbroglio, cacophonie ou rétropédalage personne ne saurait le dire, tant le cabinet du ministre de la Communication qui s'est vêtu du raccourci du fake news, en diffusant en un jour férié un communiqué non endossé ni signé par son redacteur, donc aux allures de tract, semble ne plus savoir où donner de la tête. Pourquoi cet empressement, à produire une mise au point le dimanche, si ce n'est que l'on a tenté de rattraper une situation qui battait en brèche, par la pratique, le thème même de la journée internationale de la liberté de la presse. Hélas, c'était sans compter sur ce que Rocil Otouna avait sans conteste informé ses collègues des menaces dont il était l'objet, après une suspension de fait qui attendait d'être confirmée par la note de service y relative. Ainsi donc, la présentatrice Messilia Nzoussi qui a travaillé le week-end avec Rocil Otouna était parfaitement au courant de la situation. Ce faisant, à travers la question : «Une question qui nous touche direcetement à Télé Congo. C’est un secret de polichinelle, notre confrère Rocil Otouna a été  suspendu de la présentation du journal, quel est votre regard par rapport à cette situation ? ». Entre temps, dans une mise au point, le cabinet du ministre de la Communication et des médias précise que "M.Otouna n'a jamais été sanctionné ou relevé de sa fonction de présentateur du journal télévisé de 20h de télé Congo" et qu'il "demeure également attaché de presse et coordinateur de la cellule communication du Ministre de la Communication et des Médias ". Entre les propos de la journaliste et la mise au point du Ministère de la Communication, les congolais sont quasiment comme des chiens dans un jeu de billes.

Créé le 2020-05-04 13:00:31

Coronavirus : Le Congo organise le retour de ses ressortissants bloqués à l’étranger

Un mécanisme global et mondial pour permettre à nos ressortissants qui le souhaitent de rentrer chez eux au Congo-Brazzaville par voie aérienne va être mis en place très rapidement, a assuré le Ministère des Affaires étrangères de la Coopération et des congolais de l’étranger. Dans une lettre adressée le 30 avril dernier aux chefs de missions diplomatiques et consulaires, le secrétaire général, Cyprien Sylvestre Mamina demande, avant le 5 mai 2020, la liste des congolais temporairement bloqués à l’étranger, les références des passeports des intéressés et les billets retour (expirés ou non).

Créé le 2020-05-04 12:44:27

Congo – Affaire Rocil Otouna : Le président du Conseil Supérieur de la liberté de Communication ouvre une procédure juridique et administrative

Invité du Journal de 20 heures du dimanche 3 avril 2020 sur Télé-Congo, à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la Presse, le président Philippe M’Vouo a annoncé une auto saisine de son institution, aux fins de l’ouverture d’une procédure juridique et administrative concernant une prétendue suspension du journaliste Rocil Otouna.

En l’absence d’une version officielle, les réseaux sociaux ont fait un large écho de la suspension du journaliste présentateur Rocil Otouna.

Sur le motif de cette suspension, d’aucuns évoquent une question inconvenante et embarrassante, posée au ministre Aimée Wilfrid Bininga, invité à commenter le discours du président de la république, notamment sur le volet relatif à l’état d’urgence sanitaire.

En fait de question, le journaliste aurait relayé à l’endroit du ministre, cette question que tous les congolais se posent : « pourquoi ne voit-on pas les malades hospitalisés, atteints du covid-19 ».

Cette question aurait été interprétée comme une négation de la pandémie, et donc une faute déontologique, car ce prétendu scepticisme de la part d’un journaliste serait de nature à créer le doute dans les esprits et susciter la mise en danger de la vie d’autrui.

Si l’argument est recevable, dans sa forme tout aussi simpliste, celle des raccourcis pleins de susceptibilités, il est cependant déconnecté des us journalistiques, surtout en cette année où le thème de la journée internationale de la Presse est : «le journalisme sans crainte et sans complaisance ».

« Il n’y a pas de mauvais sujets, il n’y a que de mauvais traitements », tout comme « le problème n’est jamais dans la question, mais dans la réponse », est-il rappelé dans les rédactions des organes de Presse. Et pour un journaliste digne de ce nom, au moment où le Président de la République venait de relever le fait que de nombreux congolais doutent encore de l’existence de la maladie, il eût été de bon aloi de lever l’équivoque en posant cette question au seul ministre présent sur le plateau. Et pour le ministre, les angles d’attaque ne manquaient pas afin d’éclairer la lanterne des congolais sur ce que en dépit du fait qu’ils ne voient pas les images des malades, cela ne signifie pas leur non existence.

Plutôt que de sécher comme l’a fait le ministre, celui-ci pouvait bien évoquer, dans le cas d’espèce, le parallélisme de deux pratiques : la pratique journalistique qui a pour preuve, l’exposition du sujet de l’action, et la pratique médicale qui protège le sujet malade d’une quelconque communication sur sa maladie, sauf cas exceptionnel. L’autre aspect purement conjoncturel qu’aurait pu évoquer le ministre, c’est la dangerosité du virus et le fait que les lieux d’hospitalisation en sont fortement infectés, et outre le protocole drastique mis en place pour y accéder, y conduire des journalistes serait prendre des risques incommensurables, au point de souiller jusqu’aux caméras et micros.

À ce que l’on voit, le ministre n’était visiblement pas préparé à affronter des questions pertinentes. Il misait sans doute sur la complaisance notée bien souvent en de pareilles occasions, avec des interviews qui laissent auditeurs et téléspectateurs sur leur faim, car déconnectées des attentes réelles des millions de personnes à l’écoute.

Ce n’est ni une faute déontologique, ni faire l’apologie des fake news que de poser une question que tout le monde se pose. C’est bien au contraire une façon pour le journaliste, de soulager sa conscience, face à ceux dont il est la bouche et la voix.

C’est du manque d’information, du manque de communication sur les questions que se pose le plus grand nombre, que naissent les fake news, quand les non professionnels juxtaposent des bribes d’incertitudes nées du flou communicationnel que s’entourent parfois les institutions.

Bien souvent, les fake news suscitent la communication ou le démenti, pour restituer la vérité sur les faits erronés. Alors, plutôt que de courir après des démentis parfois maladroits, il est plus adroit, en ces temps de floraison des médias sociaux, de communiquer par anticipation, afin de contrecarrer toute manipulation communicationnelle sur un sujet donné, surtout qu’un démenti ne suffit pas à effacer tout le tort que peut causer une nouvelle erronée.

En ayant demandé et obtenu la suspension de Rocil Otouna, ce qui reste à prouver, il y a lieu de dire qu’à défaut de la force des arguments, les initiateurs de la sanction ont utilisé les arguments de la force. Libre à chacun de juger de la diète argumentaire dont ils font montre.

Quoi qu’il en soit, dans une mise au point (dont notre confrère le Troubadour a reçu copie), le cabinet du ministre de la Communication et des médias précise que "M.Otouna n'a jamais été sanctionné ou relevé de sa fonction de présentateur du journal télévisé de 20h de télé Congo" et qu'il "demeure également attaché de presse et coordinateur de la cellule communication du Ministre de la Communication et des Médias ".

Entre des propos tenus au journal télévisé de 20 heures du dimanche 3 mai 2020 et la mise au point du ministère de la Communication, il y a de quoi se perdre en conjectures, pour démêler le vrai du faux. Pourvu que s’éteigne alors le fait de la cause.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-05-03 21:36:16

Covid-19 : Les journalistes congolais appelés à diffuser la bonne information en période de confinement

Alors que les congolais sont appelés à limiter leurs déplacements et respecter le confinement, l’information face à l’épidémie de Covid-19 est plus que jamais nécessaire. Durant la semaine du 1er avril 2019, la République du Congo s’est graduellement mise à l’heure du Covid-19 en imposant, de façon successive, différentes mesures censées ralentir l’expansion de cette épidémie due au coronavirus SARS-CoV-2. Et la question du rôle des médias et de leur mission dans ces temps incertains s’est très vite posée. Dans un pays où les fake-news se propagent comme une traînée de poudre, le président du Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC), Philippe Mvouo, a fait la ronde des organes de presse publics et privés, le 2 mai, appelant les journalistes à diffuser la bonne information en période de confinement à domicile dû au coronavirus (Covid-19).

Créé le 2020-05-03 15:57:37

Après des débuts difficiles, le Congo lance ses premiers masques anticoronavirus sur le marché

L’initiative fait la fierté des congolais en plein confinement depuis le 1er avril dernier et l’admiration de la diaspora congolaise à travers le monde entier. La République du Congo, en pleine crise sanitaire, s’est lancée dans la fabrication de masques grand public 100 % congolais. Un exploit qui a permis au pays, qui comptait au 1er mai 229 cas de contamination au nouveau coronavirus contre 25 guéris et 8 décès, de rendre le port du masque obligatoire depuis le 2 mai 2020, pour les sorties dans les espaces publics fermés ou ouverts sur toute l’étendue du territoire national.

Créé le 2020-05-03 14:27:58

Un congolais Louis Stéphane Nziengué, 50 ans, décède des suites d'un AVC à Abidjan

Il est parfois des nouvelles dont on ne peut s’accommoder, tant la seule évocation des faits provoque en soi un déchirement. Originaire de Mossendjo dans le Niari (sud), Louis Stéphane Nziengué, habitant à Marcory à Abidjan en Côte d’Ivoire, est mort samedi à seulement 50 ans des suites d'un AVC, laissant en deuil de nombreux jeunes de Mbinda et de Mossendjo.

Créé le 2020-05-03 10:26:45

France : La durée de validité des titres de séjour est exceptionnellement prolongée de 6 mois

Compte tenu du contexte sanitaire, la durée de validité des titres de séjour détenus par les ressortissants étrangers en France est exceptionnellement prolongée de 6 mois. La prolongation initialement fixée à 3 mois, est étendue à 6 mois par l'ordonnance du 22 avril modifiant celle du 25 mars 2020 prise en application de l'article 16 de la loi d'urgence pour faire face à l'épidémie de Covid-19, rapporte le site officiel de l’administration française.

Créé le 2020-05-03 08:53:12

Coronavirus : La France prolonge l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 24 juillet prochain

Alors que le confinement doit prendre en partie fin le 11 mai prochain, le gouvernement français vient de prolonger l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 24 juillet 2020.

Créé le 2020-05-02 17:11:19

Confinement à Makabana : On est foutus, on ne mange maintenant plus que les oiseaux !

Alors que le confinement lié à la crise du Coronavirus doit durer jusqu’au 15 mai prochain, des habitants de la ville de Makabana (sud) se disent « foutus pour foutus », et on ne mange presque plus… ! Le confinement est une situation totalement inédite. Et le plan B reste désormais la chasse à l’ortolan, ce petit passereau prisé par certains gastronomes du département du Niari (sud). Il fait courir un risque important à la survie de l’espèce à Makabana alors que le milieu naturel de cet oiseau est menacé par le dérèglement climatique et l’urbanisation qui détruit son habitat.

Créé le 2020-05-02 15:03:33

Covid-19 : Les 6 mesures fortes de Denis Sassou N’Guesso

Le président de la République a annoncé jeudi, dans son message sur la riposte au Covid-19, des mesures fortes pour continuer la lutte contre la pandémie qui frappe le pays (229 contaminés contre 25 guéris et 8 décès). Et voici ce qu’il faut retenir :

Créé le 2020-05-02 14:02:17

L’Afrique comptait vendredi 1er mai 39 018 cas confirmés de coronavirus

L’Afrique comptait vendredi 1er mai 39 018 cas confirmés de coronavirus. Le Covid-19 a déjà coûté la vie à 1 640 personnes sur le continent, selon le Centre pour la prévention et le contrôle des maladies de l’Union africaine (UA).

Créé le 2020-05-02 12:08:05

Denis Sassou N’Guesso séduit, le Covid-Organics intéresse le président congolais

Miser sur la science africaine ou le savoir des africains pour gagner la guerre contre le Covid-19 et chasser la pandémie hors du continent. Voilà une idée géniale qui commence à faire son chemin chez les dirigeants et décideurs africains. Le numéro un congolais, déterminé à sauver la vie de ses compatriotes, a indiqué vendredi en fin d'après-midi, qu'il enverrait, dans les toutes prochaines heures, une délégation d'officiels et d'experts congolais à Madagascar avec pour mission d'acquérir d'importantes quantités de Covid-Organics, médicament à base de l'artémisia qui fait actuellement ses preuves comme traitement curatif contre le covid-19 à Madagascar. Ce pays qui ne compte aujourd'hui aucun nouveau cas de covid-19 depuis une semaine.

Créé le 2020-05-02 10:14:35

Coronavirus : le port du masque, même "maison", finalement conseillé pour tous les congolais

Il est désormais recommandé, par les autorités congolaises, le port obligatoire de masques pour les sorties dans les espaces publics fermés ou ouverts sur toute l’étendue du territoire national, même lorsque ces masques ont été "faits maison". Une première commande de 1.500.000 masques locaux a été faite chez les artisans congolais par le gouvernement en vue de leur distribution gratuite et encadrée aux populations démunies.

Créé le 2020-05-01 19:18:56

Congo – Covid-19 : Les Départements non touchés bientôt dé-confinés

Pour une seconde fois, le Président Denis Sassou N’Guesso s’est adressé à la Nation, sur la riposte au COVID-19 tout en soulignant, à nouveau, l’incidence très alarmante de cette crise sanitaire ravageuse. Le tableau qu’il en a décliné impose de consolider l’action contre le COVID-19 afin d’anéantir la chaine meurtrière de propagation.

Aussi, le président a décidé :

« - de la prorogation de l’Etat d’urgence sanitaire, conforment aux dispositions de la loi récemment adoptée à cet effet par le Parlement c’est à dire jusqu’au 10 mai 2020 ;

- de la prolongation du confinement à domicile de l’ensemble de la population, pour 15 jours, dans les mêmes conditions que celles de la première phase qui s’achève ce 30 avril 2020 ;

- la mise en œuvre, à grande échelle, du test de dépistage au coronavirus ;

- du renforcement des moyens de la riposte clinique et biologique ;

- du port obligatoire du masque pour toute personne présente dans les espaces publics fermés ou ouverts.

Le confinement actuel s’étendra du 1er au 15 mai 2020. Durant cette période, nous évaluerons l’efficacité de sa mise en œuvre.

Au cas où les résultats observés se révélaient au fur et à mesure encourageants, le gouvernement pourrait alors étudier, au même moment, un plan de déconfinement ordonné, applicable par paliers à partir du 16 mai 2020.

La réussite de la phase actuelle de confinement ainsi que le respect des gestes barrières de prévention et le renforcement de nos capacités de test de masse au COVID-19 constituent les conditions nécessaires pour évoluer vers un dé-confinement ordonné et efficient. Cette triple exigence prépare le retour progressif de notre pays à une vie normale. »

Ainsi que l’a relevé le président de la République, hormis Brazzaville et Pointe-Noire qui sont les principaux foyers de la maladie, de nombreux départements du Congo sont à ce jour pas ou très peu touchés par la pandémie du Covid-19. Ces départements pourront être rapidement dé-confinés, afin d’y garantir les activités économiques et sociales, tout en veillant à ne pas y importer des cas venant des autres départements.

Mais, pour parvenir à cette perspective, le président a prévenu : « Il nous faut préalablement continuer à assumer, dans la responsabilité, les prescriptions recommandées à ce sujet. »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-05-01 18:13:38

  • Début
  • Précédent
  • 230
  • 231
  • 232
  • 233
  • 234
  • 235
  • 236
  • 237
  • 238
  • 239
  • Suivant
  • Fin
Copyright © 2025 Les Echos du Congo Brazzaville - Tous droits réservés .