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France : Veillée funèbre pour le président Pascal Lissouba à Cabestany

Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées dans la salle Crescendo à Mas Guerido à Cabestany, une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie, pour rendre un dernier hommage à l’ancien Président du Congo, Pascal Lissouba.

Créé le 2020-08-31 00:21:10

Congo : Jean Marie Michel Mokoko est sorti de l’hôpital mais pour quelle direction ?

Admis dans un « grand hôpital » turc pour des soins qui nécessitaient son évacuation sanitaire depuis Brazzaville, le général Jean Marie Michel Mokoko est désormais déclaré guéri et a quitté l’hôpital. À Ankara, l’ancien chef d’état-major des Forces Armées congolaises a été aperçu, en costume-cravate, masque sur le visage, la barrette de Grand-croix épinglée sur sa veste, se rendant à l’aéroport. Serait-ce pour un retour à Brazzaville ou en partance pour une autre destination, là est toute la question.

Le 30 juillet dernier, le général Jean Marie Michel Mokoko quittait Brazzaville pour Ankara, à bord d’un avion médicalisé.

Après un mois de traitement et des séances de rééducation, l’homme serait déclaré guéri par ses médecins et donc jugé apte à « rentrer chez lui ».

Or, la situation de Jean Marie Michel Mokoko n’est pas celle d’un malade ordinaire. Incarcéré à la Maison d’arrêt de Brazzaville, le général Mokoko en a été extrait pour cause de maladie, alors que sa peine demeure.

Des suites de la guérison du général Mokoko, de nombreuses rumeurs ont été distillées, notamment celle faisant état des dispositions prises par Louis Aliot, maire de Perpignan avec d’autres anciens Saint-Cyriens, pour accueillir le général Mokoko en France.

Son évacuation sanitaire ayant été actée par le président Denis Sassou N’Guesso qui en premier magistrat, en avait pris l’engagement devant sa famille, reste à savoir si en homme d’honneur, une valeur qui le caractérise, par delà la peine, le général Mokoko acceptera t-il d’être réduit à un vulgaire fugitif.

Alors, direction Brazzaville ou Paris pour le général Mokoko, les heures à venir lèveront un coin de voile sur la destination finale.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville.

Créé le 2020-08-30 09:37:10

France – Médias : Le magazine ‘’Valeurs Actuelles affiche son racisme et présente la député Danièle Obono en esclave

Le magazine ‘’Valeurs Actuelles’’ a publié une image au sein d’une prétendue fiction, présentant Danièle Obono en esclave en Afrique, au 18e siècle. Par delà la liberté d’expression, c’est le caractère hautement raciste de cette image qui choque.

Danièle Obono a dénoncé, samedi 29 août, une "image révoltante, avilissante, d’une violence sans nom", évoquant la caricature de Valeurs Actuelles, la représentant en esclave, enchaînée au cou. "J’étudie sérieusement la question de porter plainte", a ajouté la députée La France insoumise de Paris.

La députée dénonce une "attaque d’un organe d’extrême droite, qui se pare de la fiction pour pouvoir la mener. Ce n’est pas la première […]. On sait d’où ils viennent, on veut les faire retourner dans les poubelles de l’Histoire".

Le magazine a depuis présenté ses excuses, mais démenti tout racisme. Des excuses que n’accepte pas la députée LFI qui répond : « je ne souhaite pas m’adresser à ces personnes. Je ne débats pas avec l’extrême droite, je la combats par les idées, par le débat démocratique. Et c’est ce que je vais continuer à faire. »

Les réactions politiques de soutien à Danièle Obono ont afflué toute la journée de samedi, de son camp jusqu’au Rassemblement national, en passant par Jean Castex et Emmanuel Macron qui lui a "laissé un message".

La députée parisienne a tenu à remercier toutes les personnes qui lui ont exprimé leur soutien. "Au-delà des propos, il faut les actes. Il faut arrêter de banaliser les idées de l’extrême droite, de les reprendre à son compte et de les légitimer, d’une certaine manière", a t-elle lancé.

Les pseudos journalistes de Valeurs Actuelles ont beau se perdre en excuses et récuser tout racisme, qu’est ce qui justifierait alors leur caricature, quand on sait qu’en la matière, l’objet ne signifie pas ce qu’il représente, mais ce qu’il suggère et surtout ce qu’il crée?

Franco-gabonaise, Danièle Obono est née le 12 juillet 1980 à Libreville. Porte-parole de La France insoumise, elle est élue députée dans la 17e circonscription de Paris lors des élections législatives de 2017. Elle est secrétaire de la commission des Affaires européennes et membre de la commission des Lois de l'Assemblée nationale.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-08-30 08:00:54

Brazzaville : une scène de bagarre pour une pièce de 100 FCFA

Plusieurs jeunes de la capitale congolaise se sont battus pour une pièce de 100 FCFA alors que le pays est touché par l'épidémie de coronavirus.

Créé le 2020-08-29 22:00:00

Décès de Pascal Lissouba : Alain Akouala signe le livre des condoléances au siège de l’UPADS à Brazzaville

L’ancien ministre congolais des Zones Économiques Spéciales, Alain Akouala Atipault, s’est rendu au siège de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads), situé au quartier Diata, dans le deuxième arrondissement de Brazzaville, où il a procédé à la signature du livre des condoléances ouvert suite au décès de l’ancien Président congolais, Pascal Lissouba, lundi dernier à Perpignan en France.

Créé le 2020-08-29 21:16:23

Congo – Pascal Lissouba : Le mythe vivant de nos années de collège

En ce milieu des années 70, après notre admission au concours d’entrée en sixième, nous revenions à Mossendjo, pour la rentrée des classes.

Nous y étions déjà venus, à Mossendjo. Un séjour d’une semaine, pour y passer les épreuves du concours d’entrée en sixième ainsi que ceux du certificat d’études primaires et élémentaires. Les deux examens se déroulaient en deux sessions.

En dépit de sa renommée, notre école de Moungoundou-Sud (MGDS) n’était encore pas un centre d’examens, même si les élèves qui la fréquentaient, venaient tout de même des villages distants de quelques kilomètres à la ronde. Diba-diba, Vouka, Kissièlé ou autres. Ils arrivaient le dimanche et repartaient le vendredi, pour se réapprovisionner dans leurs villages respectifs.

Ainsi donc, admis au concours d’entrée en sixième, nous arrivions au CEG de Mossendjo. Toute la région du Niari n’en comptait que deux à l’époque. Le CEG de Mossendjo ainsi que le CEG Amar de Dolisie. Dolisie où il y avait également le lycée. Mais là, était une autre étape.

La majesté de la ville de Mossendjo vous submergeait, dès que vous traversiez la rivière Itsibou, après être descendu de la Micheline qui ralliait M’binda ou Mont-Mbello.

À Mossendjo-district, la vie avait un air permanemment festif. Le courant électrique, jusqu’à 22 heures en semaine et minuit en week-end ou encore 5 heures du matin les jours de fêtes. Des grandes avenues fréquentées par des personnes allant dans tous les sens. Les magasins Mederos et surtout Clémente, avec son slogan : « kota, tala, soumba ». Les célèbres bars « Sentimental » et « Beaux jours de Moscou », car Mossendjo c’était aussi Moscou avec ses beaux quartiers, parmi lesquels le quartier « douba-ndè », où il ne valait surtout pas y chercher noise.

Mais Mossendjo, c’était surtout ses établissements d’enseignement. Si les élèves qui fréquentaient le CFP où ils apprenaient les métiers manuels tels la menuiserie, la maçonnerie, la peinture, ou autre soudure étaient quelque peu moqués dans l’opinion, ceux du CEG de Mossendjo ainsi que de l’ENF de Mossendjo étaient portés en estime. Et pour cause, tous les anciens voyaient en eux, des personnes susceptibles de devenir d’autres Lissouba.

À notre entrée en sixième, nous n’avions pas de salle classe qui nous était spécifiquement affectée. Même si nous étions de la sixième M-1, nous étions une « classe volante ». Ce vocable désignait les classes qui ''squattaient'' les salles dont les titulaires étaient soit en permanence ou en cours d’éducation physique.

Ainsi, nous allions (toutes les sixièmes) d’une salle à une autre, en toute discipline, sans gêner ceux des niveaux supérieurs qui étaient en cours. Une attitude impensable, tellement nous leur vouions du respect.

Dans ce CEG de Mossendjo, tout jeunots que nous étions, le mythe Lissouba Pascal, s’imposa à nous et devint même la référence du succès, l’objectif que nous avions tous en ligne de mire.

- Mon cher, c’est qui ce Lissouba.

- Moi aussi, je ne sais pas. Mon père dit que c’est un savant.

- Non, tu blagues.

- C’est vrai. Mon père a beaucoup de doutes. S’il accepte quelqu’un, donc c’est vrai.

- Un savant invente des choses. Lui, il a inventé quoi.

- Beaucoup de choses. On dit même qu’il a inventé une formule pour déterminer le nombre de feuilles d’un palmier.

Ainsi, le mythe Lissouba s’imposa en nous au point de susciter des frictions, quant à la désignation de la rangée Pascal Lissouba, au milieu de Lenine et autre Karl Marx qui ne faisaient plus recette, tant nous avions une référence bien de chez nous, née à quelques encablures de notre collège et dont quelqu’un au moins, connaissait quelqu’un, qui connaissait ses parents.

En cinquième, le mythe Lissouba prit un visage. Un matin, un ami vint à l’école avec une photo découpée dans un journal. La photo en noir et blanc présentait un monsieur vêtu d’une blouse blanche, assis devant un gros microscope. En bas de la photo, il était écrit : « Pascal Lissouba dans son laboratoire de recherche ».

La photo passa de mains en mains, même celles des professeurs, qu’à la fin, quelqu’un la chaparda. Le propriétaire en pleura de toutes ses larmes, avouant qu’il l’avait prise à l’insu de son père, qui la gardait jalousement.

De cette photo, deux mots venaient de tisser davantage en nous, le mythe Lissouba. Les mots « laboratoire » et « recherche ».

Pendant le cours de sciences naturelles, nous étudions le polypode et la paramécie. Le professeur ramenait du bureau un microscope et deux blouses. Il enfilait celle qui était à sa taille et nous laissait l’autre plus petite, que nous mettions à tour de rôle, avant de regarder dans le microscope et de décrire ce que nous y voyions.

Tous ceux qui avaient regardé la photo de Pascal Lissouba dans son laboratoire de recherche, étaient tentés de reproduire la même pose, en voulant tenir les accessoires du microscope, même si le professeur interdisait formellement de toucher à quoi que ce soit, sur ce microscope.

Mais à Mossendjo, le mythe Pascal Lissouba, c’était aussi ce manguier du quartier Makengué, en allant vers le lac « le gros ».

Alors que tous les autres manguiers de la contrée fleurissaient et jamais ne gardaient des fruits, celui du quartier Makengué que l’on disait avoir été greffé par Pascal Lissouba, était le seul qui conduisait des fruits jusqu’à maturité. De grosses mangues charnues, pour lesquelles les propriétaires montaient la garde le jour et veillaient sans doute la nuit, même si de par les traditions du nzobi, le vol était peu courant.

Ces mangues, il n'en vendait pas, le propriétaire, un monsieur que l'on disait être de la famille de Pascal Lissouba. Bien au contraire. Quand elles étaient mûres, il les cueillait et en faisait goûter par tranche presque exclusivement aux élèves, en leur rappelant que cette production fruitière portait la touche de Pascal Lissouba. Un exemple que tout élève digne du CEG de Mossendjo se devait de suivre.

Ainsi donc, sortis de notre Niari forestier, nous avions grandi avec cette fascination qu’instillait en nous Pascal Lissouba. Nos fortunes professionnelles ont été diverses mais la soif de réussite intacte, même si nous n’avions pas atteint les sommités qui furent les siennes.

Quand plus tard, dans ma vie professionnelle, j’ai rencontré Pascal Lissouba et qu’il était là, bien près de moi, la fascination me renvoya à mes années de collège. Si je pouvais remonter le temps et dire à mes collègues, l’air goguenard comme brandissant un trophée face au vaincu : « je suis avec Pascal Lissouba. Je le vois régulièrement.»

Mythe de mon enfance, Adieu Pascal. Adieu monsieur le Président.

Benoît BIKINDOU/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-08-29 09:34:32

France : Le PCT invite ses militants à assister aux obsèques de Pascal Lissouba à Perpignan

Juste Prudence Oko, secrétaire chargé de la communication et porte-parole de la Fédération PCT France, invite, dans un communiqué dont une copie est parvenue à notre rédaction, ses camarades disponibles de se joindre à la famille de l’ancien Président du Congo, Pascal Lissouba, ce lundi 31 Août 2020, à 14 h 30 dans l'enceinte de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, 1 Rue de L’Horloger 66 000 Perpignan où, une cérémonie est prévue à sa mémoire.

Créé le 2020-08-28 20:43:10

Mort de Pascal Lissouba : un cahier de condoléances ouvert au siège de l’Upads à Dolisie

Après la mort de l’ancien Président du Congo, le Pr Pascal Lissouba, les populations de la ville Préfecture du Niari peuvent dès ce jeudi écrire des messages sur un registre de condoléances ouvert au siège de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads) situé au numéro 20 de l’avenue Félix Eboué, dans le premier arrondissement de Dolisie.

Créé le 2020-08-27 15:47:37

Clément Mouamba lance le projet « Eboteli » à Sibiti

Le premier ministre congolais, Clément Mouamba, a lancé ce jeudi matin, le projet « Eboteli » à l’hôpital de base de Sibiti, la ville Préfecture du département de la Lékoumou, en vue de réduire de 50% la mortalité maternelle/néonatale d’ici 2026.

Créé le 2020-08-27 14:30:15

Décès de Pascal Lissouba : sa famille exprime sa plus profonde gratitude à tous ceux qui lui ont manifesté soutiens et marques de compassion

La famille Lissouba a exprimé, dans un communiqué dont une copie est parvenue à notre rédaction ce jeudi 27 août 2020, sa plus profonde gratitude à tous ceux qui, de par le monde, lui ont manifesté soutiens et marques de compassion, à l’occasion du décès du Professeur Pascal Lissouba, ancien Président de la République du Congo.

Créé le 2020-08-27 13:50:08

Ibanga, la prison et un guérisseur nommé Pascal Lissouba (Par Papou Bonal)

Début mai 1997, dans le cadre de son programme d'activités annuelles, l'Association Jeunesse et Avenir (AJA) que dirige Mme Albertine Dibebeke et proche de la galaxie présidentielle, décide de voler au secours des populations vivant dans les villages et contrées les plus éloignées, dans la "région" de la Likouala, frontalière avec la RCA, à plus de 1000 kms à l'extrême nord de Brazzaville.

Créé le 2020-08-27 11:30:39

Coopération : Faure Gnassingbé chez Denis Sassou N’Guesso pour une visite de travail et d’amitié

Le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé est attendu, ce jeudi 27 août 2020, à Oyo dans le département de la Cuvette (nord), pour un séjour de travail et d’amitié de 24 heures. Dans cette localité, le chef de l’Etat togolais aura des entretiens, en tête-à- tête, avec son homologue congolais, Denis Sassou N’Guesso.

Créé le 2020-08-27 10:25:52

Mort de Pascal Lissouba : Paul Biya présente ses condoléances à Denis Sassou N’Guesso

Le président camerounais, Paul Biya a estimé, dans un message de condoléances à son homologue congolais, Denis Sassou N’Guesso, après le décès en France du Professeur Pascal Lissouba, ancien Président du Congo (de 1992 à 1997), que « le Congo perd un homme d’Etat et l’Afrique, l’un de ses dignes fils ».

Créé le 2020-08-27 09:15:07

Pascal Lissouba sera inhumé lundi prochain à Perpignan

L'ancien Président de la République du Congo, le Professeur Pascal Lissouba, sera inhumé, après une cérémonie religieuse, lundi 31 août 2020, à partir de 14 heures à Perpignan, dans la stricte intimité.

Créé le 2020-08-26 18:59:25

USA : Le témoignage choc d’Antoine Mabonghot après le décès de Pascal Lissouba

L’ancien Président de la République du Congo, le Professeur Pascal Lissouba est mort à l’âge de 88 ans, lundi 24 août 2020, à Perpignan en France, à la suite d'une longue maladie. Les congolais de la Diaspora ont appris avec émotion la disparition de celui qui les a guidés pendant cinq ans (de 1992 à 1997). Antoine Mabonghot qui gérait avec abnégation tous les aspects de sa protection rapprochée, salue, depuis les USA, la mémoire de l’homme d’Etat, mais aussi rend hommage à l’homme, dans sa richesse et sa complexité. Pour lui, seuls comptent, finalement, ce que l’on est dans sa vérité et ce que l’on peut faire désormais pour le Congo après la mort de Pascal Lissouba qui aimait toujours dire : « le peuple congolais n’attend qu’une seule chose : que l’on se mette à son service et non pas qu’on se serve de lui ».

Créé le 2020-08-26 16:10:59

Pour la première fois à la télévision congolaise, Pascal Lissouba dévoilait sa vision pour le Congo

Quelle verve, quelle diction, quelle narration ! Un grand homme bradé hélas par un peuple pas encore mûr. Pour la première fois à la télévision congolaise, l'ancien président de la République,  Pascal Lissouba,  décèdé le lundi dernier à Perpignan en France,  dévoilait avec luxe et détails et une clarté biblique sa vision pour son pays.

Cliquer sur la photo pour lire la vidéo.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-08-26 14:34:04

Clément Mouamba offre un groupe électrogène à la ville de Bambama

Ouf ! En 53 ans, le district de Bambama dans le département de la Lékoumou, aura enfin sa première ampoule allumée. Comme Dieu, Clément Mouamba dit : «Que la lumière soit ! Et la lumière fut. » Un groupe électrogène d’une puissance de 350KVA a été offert, récemment, par le Premier ministre congolais, à cette ville de plus de 5000 âmes.

Créé le 2020-08-26 13:37:45

"Génération sacrifiée" ? Comment le gouvernement pourrait soutenir l'emploi des jeunes de la Lékoumou

Les temps vont être durs pour les jeunes du département de la Lékoumou. Entre les petits boulots disparus, la rareté des opérateurs économiques … le marché du travail est en panne. S'ils ont été épargnés par le virus Covid-19, ils sont en revanche en première ligne face à la crise économique qui essore le pays. Et de cela, tout le monde en est bien conscient. La carte de la discrétion face à un peuple qui a faim, qui n’est pas en sécurité, qui est mal logé, mal nourrit, mal soigné, où le chômage fait un carton remarquable, où l’eau potable a fui les quartiers… ne marchera pas. Et face à cette situation compliquée, les jeunes de ce département ont soumis leurs préoccupations au chef du gouvernement, Clément Mouamba.

Créé le 2020-08-26 12:58:13

Congo : les frontières aériennes sont réouvertes

Les frontières aériennes de la République du Congo sont réouvertes, selon un arrêté du Ministère de l’Intérieur. Le même arrêté, signé le 24 août 2020, par le ministre Raymond Zéphirin Mboulou, précise cependant, que les frontières terrestres, fluviales et maritimes demeurent fermées.

Créé le 2020-08-26 12:01:40

Congo : Jacques Chirac n’est pas étranger à la défaite militaire de Pascal Lissouba en 1997 (Claudine Munari)

Pascal Lissouba est-il tombé en 1997 parce qu'il avait défié une grande compagnie pétrolière française ? Claudine Munari, directrice de cabinet du président Lissouba, qui préside aujourd’hui la Fédération de l'opposition congolaise, a déclaré, dans une interview exclusive accordée à nos confrères de Rfi, que « Jacques Chirac est bien responsable ».

Créé le 2020-08-26 00:00:37

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