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Congo : Sentiment d’insécurité à Dolisie, l’exaspération des riverains et des commerçants

Depuis plusieurs mois, des riverains et commerçants de la ville de Dolisie dans le Niari (sud) dénoncent la dégradation de l'état de leurs quartiers avec des groupes communément appelés « Américains » ou « Arabes » qui s'alcoolisent, braquent à mains armées, agressent physiquement ou verbalement à longueur de journée.

Créé le 2020-09-23 07:42:32

Grève des blouses blanches à Dolisie : patients et soignants méritent mieux que cela

Comment prendre soin des autres sans prendre soin de soi ? Cette semaine s'annonce noir à l’hôpital général de Dolisie dans le Niari (sud). La colère agrège des profils très variés qui dénoncent le non-paiement d’au moins 6 mois d’arriérés de salaires sur 16 et la gestion scabreuse du DG de cette structure hospitalière, M. Mpompolo.

Créé le 2020-09-23 06:33:11

Le FLEC-FAC sollicite les bons offices de Denis Sassou N’Guesso et de l’ONU pour relancer le processus de paix au Cabinda

La direction politico-militaire du FLEC-FAC sollicite, dans un communiqué dont une copie est parvenue ce lundi à notre rédaction, les bons offices du président congolais, Denis Sassou N’Guesso et du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres pour relancer le processus de paix au Cabinda. Les Echos du Congo-Brazzaville publient l’intégralité dudit communiqué.

Créé le 2020-09-21 20:07:28

Congo – Infrastructures : La dégradation de la route Ketta-Sembé pose le problème de la fiabilité de certains ouvrages réalisés dans le pays

Quelle est le délai de garantie d’une route nouvellement façonnée ? Quelle en est la durée de vie, avant que ne soient réalisés sur celle-ci, des travaux d’envergure, aux fins de la pérenniser ? La construction des routes congolaises obéit-elle à des études géologiques, environnementales et climatiques conséquentes ? Les entreprises intervenant dans la construction des routes au Congo, sont-elles à la hauteur des missions qui leurs sont confiées ? Qui doit rendre des comptes en cas de malfaçons avérées ? Autant de questions et bien d’autres encore, alimentent les conversations des congolais, après la dégradation de la route ‘’flambant-neuve’’, Ketta-Sembé. Dire qu’une fois de plus, l’État congolais est placé devant un fait accompli de tromperie, sur la qualité d’un ouvrage sur lequel reposaient de grands espoirs et réalisé à coût de milliards.

Les routes congolaises sont-elles réalisées selon les règles de l’art, au point d’en garantir une longévité qui ne tiendrait qu’à un entretien d’usage et moins onéreux ? L’assertion est bien difficile à soutenir, tant la dégradation de nombreux ouvrages réalisées à grands frais, intervient avant même que ne soit terminé le remboursement des emprunts ayant servi à leur réalisation.

La désagrégation de la couche de roulement sur près de 13 kilomètres sur la route Ketta-Sembé renvoie aux non initiés en matière de ponts et chaussées, l’image d’un travail à la limite bâclée, si ce n’est qu’il a été réalisé en totale méconnaissance du milieu géographique ou pluviométrique, pour en accommoder les caractéristiques techniques à la route ainsi construite.

Lorsque, il y a quatre ans, le président Denis Sassou N’Guesso lançait la construction de cette route, il était loin de s’imaginer que celle-ci ne tiendrait que le temps de la fête de sa mise en service. Désormais, tous les discours vantant la qualité d’un ouvrage réalisé selon ''les techniques appropriées'', sont démentis par une réalité qui s’impose là, toute nue, révélant la surenchère à travers une lamelle de bitume posée à même de la terre argileuse compactée et qui s’est décapée pour peu que la pluviométrie de la région a retrouvé ses volumes initiaux et quasiment normaux. QUELLE INCURIE ?

Tout le monde sait que la certification des ouvrages et leur agrément, ainsi que la validation des ouvrages réalisés, jusqu’à leur réception provisoire, avant la réception définitive, obéit à un protocole drastique, conduit tout au long de la réalisation dudit ouvrage.

C’est donc dire que les problèmes de pluviométrie, d’instabilité des sols voire même l’impact du rayonnement solaire sur l’asphalte ont été étudiés, pour aboutir à une expertise ayant produit l’ouvrage ainsi réalisé.

Dans le cas d’espèce, l’entreprise chinoise, Sino-hydro Tianjin Engineering Corporation Ltd et les différents services ayant certifié l’ouvrage réalisé, doivent rendre des comptes et à défaut d’une commission d’enquête au parlement sur la question, le procureur de la République devrait en toute logique ouvrir une information aux fins de faire la lumière sur ce qui apparait fort bien comme un abus de confiance dans la réalisation d’un ouvrage d’art.

‘’Ouvrage d’art’’, cette expression a de quoi être revue à minima, au regard de nombre d’ouvrages réalisés au Congo et qui sont sujet à caution.

Les réalisations laissent même planer le doute sur leur coût réel ou sur l’impartialité dans l’octroie des marchés aux entreprises adjudicataires qui en dépit de leurs contre-performances sur des réalisations antérieures, concourent encore et gagnent d’autres marchés, plus imposants que les précédents, hélas bâclés sinon ratés.

En parlant de la dette congolaise, une grande partie de celle-ci a été contractée pour la réalisation des infrastructures de base, au nombre desquelles, les routes. Mais, que vaut le remboursement d’une dette, si l’objet du remboursement n’existe plus, ou que l’on doit à nouveau s’endetter, pour consolider ce pourquoi on s’est déjà endetté ?

Si sous d’autres cieux, il existe un dépôt de garantie qui correspond à un pourcentage prélevé sur le montant global de l’ouvrage réalisé et libérable après un certain délai d’approbation certifié par des études conséquentes sur l’ouvrage, cette pratique semble absente au Congo où l’Etat se voit obligé d’investir à nouveaux.

Peut-être, le moment est-il venu pour certains, de rendre véritablement des comptes…

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-09-21 18:36:10

Congo – Circulation routière : Encore un accident mortel sur la Nationale 2

Un bus de transport en commun assurant sa desserte sur la Nationale 2 a fait une sortie de route lundi, peu après midi, à quelques encablures de la localité de Ngo, alors qu’il ralliait Brazzaville. On déplore des morts et de nombreux blessés.

La route a encore tué lundi 21 septembre sur la Nationale 2, quand un bus qui selon les témoins, appartient à la société ''Océan du Nord'', a fait une sortie de route, terminant sa course sur l’accotement, après plusieurs tonneaux.

La violence du choc a occasionné de nombreux dégâts sur le véhicule, entamant du coup l’intégrité physique des occupants.

Selon les témoins, trois personnes seraient décédées sur place, dont l’une a eu le bras amputé. Deux autres seraient décédés durant leur transport à l’infirmerie de Ngo où ont été acheminés les blessés. Une infirmerie démunie de tout, pour administrer les premiers soins aux accidentés.

Le chauffeur aurait perdu le contrôle de son véhicule, après avoir heurté un enfant traversant la voie, à hauteur du village Impilantsa. La vitesse excessive, sur une route dont le piteux état oblige le conducteur à slalomer entre trous béants et autres nids de poules serait la cause de l’accident.

Des blessés ont confié que le conducteur était encouragé à appuyer sur le champignon, par nombre de voyageurs qui souhaitaient rentrer à Brazzaville, avant le début du couvre-feu, autrement ils auraient été forcés de passer la nuit en rase-campagne. Voila qui pour eux, donne un sens au dicton : « mieux vaut tard que jamais ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-09-21 14:01:32

L’interdiction d’exporter le bois sous forme de grumes par tous les pays du Bassin du Congo va entrer en vigueur dès janvier 2022

Dix ans après le Gabon, la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (Cémac) se prépare à interdire les exportations des grumes et à lancer des zones économiques spécialisées dans la transformation du bois, à l’image de la zone de Nkok, près de Libreville.

Créé le 2020-09-21 10:32:56

Congo : 35 000 étudiants de l’Université Marien Ngouabi reprennent les activités ce lundi après six mois de fermeture

Après six mois d’interruption imposée par le coronavirus, les étudiants de l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville renouent avec le chemin de l’école ce lundi 21 septembre 2020.

Créé le 2020-09-21 10:08:36

4 ans sans bourses, les étudiants congolais du Togo très fâchés crient leur ras-le-bol

Le gouvernement congolais connu pour sa propension à faire du Congo une nation émergente, est en passe de créer un foyer inutile de tension au Togo. Depuis 4 ans, des étudiants congolais n’ont pas perçu leurs bourses. Et malgré maintes tentatives de rallier les autorités congolaises à leur cause, le Ministère des Finances traîne les pieds. Impuissants face à cette torture, ces étudiants désœuvrés estiment que «le Ministère congolais des Finances continue de faire la sourde oreille».

Créé le 2020-09-21 09:38:30

L’autonomisation des femmes congolaises commerçantes magnifiée par Alain Akouala

L’ancien ministre congolais des Zones Économiques Spéciales, Alain Akouala Atipault a encouragé ce dimanche, l’autonomisation des femmes congolaises commerçantes, à l’occasion d’une visite inopinée au passage à niveau de CFCO au Boulevard Alfred Raoul à Brazzaville où elles exercent leurs activités.

Créé le 2020-09-20 20:28:10

Le capitaine des Diables Rouges du Congo Junior Loussokou signe en D4 espagnole !

Il n’est pas fréquent de voir le capitaine d’une équipe nationale africaine évoluer dans les divisions inférieures en Europe, et pourtant le milieu de terrain et capitaine des Diables Rouges du Congo, Junior Loussoukou, quitte le Stade Tunisien pour la très modeste formation d'Aguilas FC, en D4 espagnole.

Créé le 2020-09-20 19:21:34

Congo – Univers carcéral : Faute de places en prison, de dangereux délinquants sont remis en liberté

S’il est un secteur où la construction des infrastructures est quasi inexistante, l’univers carcéral tient sans conteste, la palme au Congo. Aussi, faute de places pour leur détention, de nombreux délinquants sont régulièrement remis en liberté par l’appareil judiciaire. Une pratique qui provoque l’ire des services de police, hélas confrontés aux mêmes récidivistes.

Les services judiciaires congolais ont relâché un peu plus de trois cents délinquants, cambrioleurs et autres malfrats depuis le début de l’année, ce pour désengorger les prisons à cause de la pandémie de Covid-19.

Si cette mesure édictée par des raisons dites humanitaires, afin des préserver des vies humaines, obéit aux standards internationaux, il n’en demeure pas moins que nombre de délinquants remis en liberté récidivent, parfois avec une extrême cruauté et se retrouvent à nouveaux dans les filets de la police.

Ainsi, le triptyque arrestation – déferrement - libération, devient pour les policiers chargés de la répression du crime, une réalité qui se vit au quotidien, tant les hommes se retrouvent régulièrement face à des malfrats qu’ils ont parfois eu du mal à appréhender et dont les faits à eux reprochés sont d’une extrême gravité, notamment des actes attentatoires à la vie d’autrui, en ce qui est des « bébés noirs » qui constituent la grande masse des malfrats « remis en liberté, faute de structures adaptées ou de places de détention ».

Depuis quasiment les indépendances, le Congo fonctionne avec des structures carcérales qui n’ont ni suivi l’évolution démographique, ni les conséquences des nouveaux fléaux qui de facto conduisent à de nombreuses arrestations et de surcroît, à des condamnations exponentielles, nécessitant des emprisonnements, presque dans les mêmes proportions.

Tant pour le policier qui se sent presque nargué, que pour le citoyen agressé une fois de plus par un malfrat dont il a suivi l’arrestation à la télévision, mais hélas remis en liberté en toute impunité, la pilule semble difficile à avaler, quelle que soit l’humanisme des raisons invoquées par la Justice, dont le rôle est aussi celui de punir, afin de protéger le reste de la société, de la menace de ces individus dangereux.

Au Congo, aucune étude sérieuse ne permet d’évaluer le nombre de places en prison par tête d’habitants et les moyens mis en œuvre pour harmoniser les ratios dans les prisons existantes où la surpopulation carcérale est la norme.

Conséquence de ce manque de structures carcérales, les lieux de garde-à-vue sont très souvent transformés en lieux de détention, au mépris même des lois et règlements en la matière.

Même au plus fort de l’embellie financière qu'a connue la pays, la construction des prisons a été absente de l’agenda gouvernemental.

Peut-être nombre de responsables devraient-ils lire la pièce « Antoine m’a vendu son destin » de Sony Labou Tansi, pour comprendre que l’amélioration des conditions carcérales est une entreprise qui bénéficie à tout citoyen quel qu’il soit, car selon les aléas de la vie, chacun peut se retrouver en prison, passant de la grâce à la disgrâce.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-09-20 17:37:18

Congo : Après 6 mois sans salaires, les enseignants volontaires menacent de boycotter l’année scolaire 2020-2021

Les enseignants volontaires ont fait un concert de casseroles jeudi dernier, sous la pluie, devant le Ministère des Finances pour se faire entendre. Ils revendiquent le paiement de six mois de bourses impayées et promettent de ne pas reprendre le chemin de l’école au titre de l’année scolaire 2020-2021 si la situation n’est réglée.

Créé le 2020-09-20 10:17:15

Le Congo reçoit une perfusion financière de la part d’un groupe de banques pour régler une partie de sa dette intérieure

Un groupe de banques (BGFI Bank, Ecobank, LCB et BSCA ) figurant parmi les créanciers du Congo et réunies au sein d’un groupement d’intérêt économique dénommé Club de Brazzaville a résolu de mobiliser 300 milliards de FCFA en faveur des entreprises congolaises.

Créé le 2020-09-20 09:58:57

Congo : La Fondation Congo-Assistance fait don d’une ambulance tout terrain à la ville de Makabana

La ville de Makabana dans le Niari (sud) dispose ainsi d’une ambulance tout terrain afin d'évacuer les cas graves vers la ville la plus proche (Dolisie) ayant un plateau technique plus élevé. Pour répondre aux besoins des malades, elle a lancé auparavant un appel à contribution pour l’achat d’un tel véhicule. En un temps record, elle a atteint son objectif grâce au don de la Fondation Congo-Assistance.

Créé le 2020-09-20 09:33:04

Congo : La route s'effondre, la population de Sembé sous le choc

Incroyable mais vrai ! La circulation sur la route de Sembé une localité du Nord-Ouest de la République du Congo, située dans la région de la Sangha est désormais impossible suite à un effondrement partiel. Un tronçon de route Sembé-Ouesso fissuré sur plusieurs mètres ! Voilà le visage que présente cette nouvelle route qui ouvre une nouvelle ère dans les échanges socio-économiques entre le Congo et le Cameroun. Les fortes pluies de ces dernières semaines l'ont sans doute amplifié.

Créé le 2020-09-20 08:51:40

Les agents de la Société des postes et de l’épargne du Congo en grève générale illimitée à partir du 21 septembre prochain

Les agents de la Société des postes et de l’épargne du Congo (Sopéco) ont décidé, lors d’une assemblée générale extraordinaire, le 17 septembre à Brazzaville, d'une grève générale illimitée à partir du 21 septembre prochain, suite au non-paiement de vingt mois de salaires. Ils exigent le paiement de cinq mois en vue d’éponger les impayés à ce jour.

Créé le 2020-09-19 11:10:21

La 6ème édition du Championnat d’Afrique des nations (Chan) du 16 janvier au 7 février 2021 au Cameroun

La compétition initialement prévue du 4 au 25 avril 2020 a été reportée en raison de la pandémie de Covid-19. Réservée uniquement aux joueurs évoluant dans les championnats de leurs pays respectifs, la compétition mettra aux prises seize sélections en vue de succéder au Maroc tenant du titre.

Créé le 2020-09-19 10:52:55

Journée Fifa : les Diables rouges du Congo pourraient en découdre avec la Gambie le 9 octobre prochain au Portugal

Pour mieux préparer les prochaines journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), et selon le programme qui reste encore à confirmer, les Diables rouges du Congo pourraient en découdre le 9 octobre prochain avec la Gambie. Ce match qui constitue un véritable test pour l’équipe nationale de football pourrait se jouer au Portugal.

Créé le 2020-09-19 10:33:57

La croissance économique de la CEMAC serait médiocre en 2020

Selon la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), la croissance économique de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) se situerait à –5,3 % en 2020 contre +2,3 % en 2019.

Créé le 2020-09-19 10:09:23

COVID-19 : la communication, outil de riposte des chefs des villages et quartiers de Moungoundou-nord

Protéger, aider, expliquer. À ces trois mots d’ordre, les chefs des villages et quartiers de Moungoundou-nord dans le Niari (sud) pourraient ajouter un quatrième : communiquer. Face à la menace que fait peser la COVID-19 au Congo et dans leur département et villages, ils exploitent tous les canaux à leur disposition pour atteindre les populations et partager des informations précises sur le virus et ses effets.

Créé le 2020-09-19 09:13:52

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