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Congo – Nécrologie : Décès de Jean-Robert Massamba-Débat

Fils aîné de l'ancien Président de la République, Alphonse Massamba-Débat, Jean-Robert Massamba-Débat est décédé le mardi 6 octobre 2020 à Brazzaville.

Il était admis à l’ l'Hôpital militaire des Armées Pierre Mobengo de Brazzaville, Jean-Robert Massamba-Débat s’y est éteint, victime d'un coma diabétique, selon certaines sources.

Jean-Robert Massamba-Débat assurait à ce jour, les fonctions de Directeur général de l'Agence de régulation et de transfert de fonds au Ministère des finances et du budget.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-10-06 13:08:08

Kibangou : plusieurs toitures emportées après une pluie torrentielle

La pluie torrentielle qui s’est abattue lundi sur la ville de Kibangou dans le Niari (sud) a causé plusieurs dégâts matériels. Les toitures des bâtiments abritant les écoles primaires de Moukatsou et Léboulou ont été emportées. La même pluie a endommagé une maison et des arbres fruitiers au village Ngoua 2.

Créé le 2020-10-06 12:46:14

Congo – Circulation routière : Les accidents de la route deviennent un véritable fléau

Alors que l’on déplorait un accident mortel survenu samedi à Mengo, un autre accident tout aussi spectaculaire a eu lieu dimanche à Kintélé. De plus en plus d’accidents de la circulation d’une extrême gravité sont recensées au quotidien sur les routes congolaises. Une situation qui devrait interpeller les pouvoirs publics.

Un accident de la route a eu lieu dimanche en soirée à Kintélé. L’habitacle du véhicule complètement pulvérisé témoigne de la violence du choc. Une fois de plus, la vitesse excessive et surtout la non observation du code de la route sur la conduite de nuit, seraient les causes de l’accident.

Les routes congolaises sont en passe de devenir des mouroirs, au regard de la fréquence des accidents qui s’y produises et surtout du nombre de morts qu’ils occasionnent.

Faute de statistiques des services assermentés en temps et en heure sur le nombre d’accidents, leurs causes et surtout le bilan humain qu’ils occasionnent, les différents usagers de la route continuent de se comporter comme si la conduite était un jeux et surtout le véhicule ou le cyclomoteur un jouet ou un objet de parade.

Même si les accidents de la route interviennent toujours, quelles que soient les précautions, les causes des accidents sur les routes congolaises interrogent dans la plupart des cas, sur les capacités réelles des chauffeurs à prendre le volant et surtout leur aptitude à s’adapter au trafic sur des routes à circulation intense.

C’est à croire que chacun use de son propre code de la route qu’il adapte à sa manière, sans se préoccuper des autres usagers ou même des messages envoyés par la route elle-même, à travers les panneaux – quand ils existent – ou encore par la configuration géographique de ladite route, en anticipant sur les éventuelles situations qui peuvent causer un accident, ce en interpellant l’intellect, voire l’expérience du chauffeur.

Chevauchement de la ligne continue en toute aisance, dépassement sans avoir préalablement évalué la vitesse du véhicule que l’on dépasse qui souvent accélère pour ne pas se laisser doubler, ou encore la distance pour un éventuel rabattement avant de croiser un véhicule venant en sens inverse, dépassement à un virage serré dépourvu de visibilité, course-poursuite des chauffeurs se livrant à un concours ‘’d’habileté au volant’’, sur fond de klaxon et même d’encouragements des passagers à bord, le tout parfois arrosé d’une bouteille d’alcool ‘’sifflée’’ en pleine conduite pour semble t-il « garder la forme ». Autant d’infractions graves au code de la route, qui sous d’autres cieux, vaudraient au conducteur jusqu’à une suspension du permis de conduire, à défaut de l’immobilisation du véhicule, mais qui au Congo, sont de l’ordre du naturel et qui n’émeuvent point, outre-mesure.

Quand la route est rectiligne et dégagée sur une longue distance, certains chauffeurs croient venu le moment d’évaluer à fond la vitesse du véhicule, sans se soucier qu’ils le rendraient alors plus léger et donc vulnérable à la pression du vent, surtout dans des endroits dépourvus de végétation.

 

Pour beaucoup d'entre eux, le panneau présentant une girouette qu’ils ont croisé, signifie plutôt qu’il y a un aéroport dans les environs.

C’est à se demander si nombreux de ces soi-disant ‘’chauffeurs’’, ne se limitent pas simplement à déplacer les véhicules en jouant de leur habilité, mais méconnaissent au fond l’essentiel des règles même les plus élémentaires du code de la route.

Il n’est pas étonnant de voir un conducteur s’abstenir de s’arrêter à un stop ou à un feu rouge, au prétexte qu’il n’y a pas de véhicule en face.

De même, de nombreux chauffeurs usent de vitesse excessive, sans se préoccuper des panneaux qui en limitent, ou de l’état de la route, pour d'éventuels anticipations, notamment en croisant d'autres usagers, ou encore des piétons pouvant surgir des accotements. C’est en quelque sorte une conduite d’amateurs confortée par la pratique commune. Ce qui en créée la norme applicable par tous.

À l’étranger qui s’en offusque on répond : « ici on conduit comme ça. Avec votre logique, on ne peut pas avancer. Chez nous c’est on part on part ». Sauf que ce manque de logique laisse de nombreux usagers de la route sur l’asphalte.

Dans ce véritable micmac, même les agents de la circulation routière semblent dépassés, si ce n’est que certains encourageraient à l’évidence ces comportements répréhensibles, afin de devoir sévir et s’en mettre plein les poches.

Des campagnes de sensibilisation sur les dangers des infractions au code de la route sont certes menées par les services habilités, avec parfois des illustrations aux moyens des images chocs d’accidents de la route. Cela semble hélas, ne pas produire d’effet, car dans la pratique sociale congolaise, seule une action répressive contraint au respect des prescrits édictés dans un domaine ou dans l’autre. De ce fait, des patrouilles motorisées s’imposent sur les routes nationales sur lesquelles les accidents sont désormais quasi quotidiens. La peur du gendarme que l’on peut croiser à tout moment, suscitera à coup sûr d’autres comportements.

D’autre part, l’authenticité de nombreux permis de conduire congolais étant sujet-à-caution, ou encore complaisamment délivrés, il est peut-être temps d’y mettre de l’ordre, à travers un véritable recyclage de tous les chauffeurs, quels qu’ils soient.

Plus on attend, plus la situation évolue de mal en pis, au point que si l’on y prend garde, le nombre de morts ou de mutilés sur route battra le record, par tête d’habitants.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-10-06 12:43:21

Brazzaville : Un fusil d'assaut de type PMAK retrouvé dans un égout par les agents d'Averda

Un fusil d'assaut de type PMAK créé par Mikhaïl Kalachnikov pour l’armée de l’union soviétique a été retrouvé dans un égout par les agents d'Averda lors d'un curage à Ouenzé et plus précisément sur l'avenue des chars à Brazzaville.

Créé le 2020-10-06 11:02:32

Décès de Merveille Bazonzila à Nkayi : la diaspora congolaise organise une marche d’indignation ce jeudi à Paris

Des congolais de France organisent une grande marche d’indignation ce jeudi 10 octobre 2020, à 13 heures à Paris, pour «dénoncer la barbarie policière » au Congo-Brazzaville.

Créé le 2020-10-06 10:30:43

Congo : la croissance économique serait négative avec deux chiffres en fin d’année 2020, allant de -12% à -16, 7% (Gilbert Ondongo)

Le ministre d’Etat, ministre de l’Economie, de l’industrie et du portefeuille public, Gilbert Ondongo, a déclaré, récemment à Brazzaville, que la croissance économique du pays serait négative avec deux chiffres en fin d’année 2020, allant de -12% à -16, 7%.

Créé le 2020-10-06 09:25:49

France : La ville de Melun a marché pour soutenir le Dr Mukwege, menacé de mort en RDC

Quelque 70 personnes ont manifesté jeudi dernier, depuis le parvis de la Mairie jusqu’à la préfecture à Melun en Seine-et-Marne, pour soutenir le Dr Denis Mukwege, Prix Nobel de la Paix menacé de mort en RDC, son pays. Aux côtés des élus et, de nombreux habitants ont aussi pris part au cortège.

Créé le 2020-10-05 19:28:22

Denis Sassou N’Guesso défend le port du masque obligatoire

Porter un masque en public ou pas ? Pour prononcer un discours, pour sortir, pour travailler, pour voyager, ce fut oui. Désormais, ce sera tout le temps depuis le début de la crise sanitaire. Partout, c’est masqué que le chef de l’État se présente. Une contrainte raisonnable que nous devons accepter pendant un temps.

Créé le 2020-10-05 18:41:19

Congo – CHU de Brazzaville : Le nouveau directeur général licencie le président de l'intersyndicale

L’intersyndicale du CHU de Brazzaville qui a donné tant de fil à retordre à l’ancien DG de cet établissement hospitalier vient d’être décapitée. Son président Victor Bienvenu Kouama est "la première victime" du nouveau directeur général. Il reprocherait au président de l’intersyndicale de nombreux griefs dont la seule sanction n'était que sa mise à la porte.

Serait-ce un règlement de compte ou une mesure administrative, le nouveau directeur général du CHU le canadien Denis Bernard Raiche a signifié son licenciement à Victor Bienvenu Kouama secrétaire général de la CSC et président de l'intersyndicale dudit établissement, le lundi 5 octobre.

À Victor Bienvenu Kouama, le DG reprocherait d'avoir "tenu des propos injurieux, des menaces physiques envers d'autres travailleurs"; "produit des faux et utilisé des faux en vue d'obtenir déloyalement des marchés; et "proféré des allégations mensongères à l'endroit des autorités politiques".

Très tôt lundi matin, Denis Bernard Raiche a remis la lettre de licenciement à son destinataire.

 

Ordre a été en outre donné à Victor Bienvenu Kouama de libérer son bureau. Des agents de sécurité de la SOMAC ont été chargés de faire exécuter cette décision quasiment manu militari.

On attend dans les prochaines heures la réaction des syndicats du CHU, suite à ce qu'ils considèrent déjà comme un licenciement abusif car n’ayant pas été précédé d’un préavis ou une procédure disciplinaire préalable.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-10-05 16:30:40

Dolisie : Un bébé retrouvé dans un sachet et jeté dans une poubelle au quartier Bacougni

Une découverte macabre. Des riverains ont trouvé le corps d’un bébé emballé dans un sachet et jeté dans une poubelle dans la rue Diessé au quartier Bacougni à Dolisie dans le Niari (sud).

Créé le 2020-10-05 10:59:52

À Pointe-Noire, le dernier hommage au Professeur Pascal Lissouba

Du côté de la raffinerie, à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, une dernière veillée funèbre a été organisée le week-end dernier et a rassemblé plusieurs ponténégrins derrière quelques membres de la famille du Premier président congolais élu au suffrage universel direct dans un scrutin ouvert et décédé le 24 août dernier à Perpignan en France.

Créé le 2020-10-05 09:56:28

PCT : Brice Itoua fait son entrée au secrétariat fédéral de Pointe-Noire

Guerrier. C’est l’adjectif qui vient lorsqu’on rencontre ce jeune militant de base du Parti Congolais du Travail (PCT) au débit mitraillette, capable, avec un plaisir évident, de vous défendre, avec luxe et détails et une clarté biblique, en quelques minutes, la vision du Président congolais, Denis Sassou N’Guesso, celle de contribuer, sans économiser le moindre effort, à amener le Congo le plus loin possible sur le chemin du développement. Le jeune entrepreneur de la ville océane, a été élu Secrétaire aux affaires économiques à l’issue de l’assemblée générale élective présidée par le secrétaire général du parti au pouvoir, Pierre Moussa, samedi dernier à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo.

Créé le 2020-10-05 08:58:41

Congo : Nkayi pleure Merveille Bazonzila tuée par la gendarmerie

Nkayi paye parfois cruellement le revers de la médaille. La cité sucrière située à environ 300 kilomètres de Brazzaville, dans le sud-ouest du Congo, a perdu l’une de ses 71 620 âmes. Merveille Bazonzila est partie beaucoup trop tôt. Elle n’avait que 22 ans. Son décès qui plonge toute une ville dans la tristesse est survenu suite aux sévices subis dans un poste de gendarmerie. Cette semaine, la douleur étreint toute une ville qui pleure sa fille trop tôt, trop vite, disparue, au nom de la bêtise humaine.

Créé le 2020-10-04 10:51:14

France : Anne-Cécile Makosso-Akendengué fête les 10 ans de son roman « Ceci n’est pas l’Afrique » samedi prochain à Paris

L’écrivaine franco-gabonaise, Anne-Cécile Makosso-Akendengué organise une causerie-dédicace samedi 10 octobre 2020 à l’Espace Harmattan dans le 5ème arrondissement de Paris à 19h, pour fêter, malgré la pandémie du coronavirus qui phagocyte la ville lumière, les 10 ans de son roman intitulé « Ceci n’est pas l’Afrique » paru aux Editions l’Harmattan en avril 2010 et dont le nombre de lecteurs ne cesse de grandir.

Créé le 2020-10-04 09:35:29

RDC – Musique : L’artiste Koffi Olomidé a perdu sa mère

Triste nouvelle pour la star de la musique congolaise et africaine Koffi Olomidé. La légende de la musique a perdu sa mère samedi 3 octobre 2020. En pleur face à la tragédie qui le frappe, Koffi Olomidé a annoncé la nouvelle via les réseaux sociaux.

«À toi les fleurs, à nous les larmes. Maman, ce 03 octobre Dieu a décidé que tu ailles retrouver Papa. Je rends grâce à Dieu Maman… tant je t’aime. En moi tu seras toujours et à tout jamais…. Repose en paix Mama Amy. »

Par ces mots, dans une voix empreinte d’émotion, Koffi Olomidé a annoncé le décès de sa maman à qui il a rendu un vibrant hommage, dans une vidéo mise en ligne.

''La terre est dépeuplée, la vie n’a plus de sens, ma mère, ce samedi 3 octobre, a été rappelée à Dieu. Certainement que Dieu a voulu qu’elle aille à côté de son mari, mon papa, qui lui est parti depuis 2016. N’essayez pas d’imaginer ma souffrance, n’essayez pas d’imaginer ma peine, vous n’arriverez jamais à saisir la dimension. Je ne souhaite à personne sur terre de ressentir ce que je ressens aujourd’hui, je ne savais pas que ça serait ainsi'',  a conclu Koffi Olomidé, en pleurs.

La cause du décès n'a pas été évoquée. 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-10-03 17:48:26

Congo –France – Diplomatie : Jean Claude Gakosso reçu par Jean Yves Le Drian à Paris

En séjour de travail en France, le ministre congolais des Affaires étrangères, Jean Claude Gakosso a été reçu par son homologue français Jean Yves Le Drian, le vendredi 2 octobre au Quai d’Orsay. Les 80 ans du manifeste de Brazzaville ont été au centre de leurs entretiens.

Brazzaville capitale de la France Libre, il y a 80 ans, le 27 octobre 1940, le général De Gaulle lançait en terre congolaise d’Afrique, le Manifeste de l'effort français dans la guerre.

L'appel fut porté par les territoires de l’empire colonial français qui déployèrent leurs hommes sur les divers fronts où la France était engagée.

Les préparatifs de la célébration, à Brazzaville, des 70 ans de ce Manifeste ont permis aux deux ministres, de feuilleter des pages de cette histoire qui a autant changé le destin de la France et des colonies.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-10-03 10:33:54

Covid-19 : les habitants de Nkayi font la grève des masques protecteurs, le maire tente de calmer la situation

Nkayi, la quatrième ville du Congo, est en grève du port du masque contre le COVID-19. Ses habitants ont décidé, depuis quelques jours, de ne plus en porter en guise de protestation contre le décès d’une jeune femme de 22 ans, interpellée et bastonnée par la gendarmerie pour n’avoir pas porté son masque.

Créé le 2020-10-03 09:27:28

L’extraction de l’or à Kingoué par les chinois : un désastre écologique trop peu dénoncé

Il s'agit de la plus grande catastrophe écologique dans le département de la Bouenza (sud). Les critiques se multiplient contre l’exploitation aurifère par la société chinoise G. Mines Congo à Kitou dans le district de Kingoué. Des voix s’élèvent au sein de la population, mais aussi chez les autorités départementales, dont le Préfet Jules Monkala Tchoumou.

Créé le 2020-10-03 09:07:03

Congo – Circulation routière : Grave accident au péage de Mengo

Un accident s’est produit non loin du péage de Mengo vers Pointe-Noire, samedi 3 octobre, peu avant 7 heures du matin. La violence du choc fait craindre un lourd bilan de l’accident.

L’accident s’est produit à Vindoulou plaque 50, non loin du péage de Mengo sur la RN1 entre un bus de transport de voyageurs de la société Trans-Bony Voyages assurant la liaison Pointe-Noire-Brazzaville, en partance pour Brazzaville et un bus de l'armée, ralliant le camp de Makola.

Sur une chaussée rendue glissante par la pluie, le bus militaire a percuté de plein fouet celui de trans-Bony à l’arrêt.

La violence du choc a été telle que des passagers ont été éjectés de leurs sièges. Certains se sont empalés sur la de la ferraille libérée par la collision.

Même si le bilan de l’accident n’est pour l’heure pas disponible, on délore au moins un mort ainsi que de nombreux blessés.

Il est à craindre que ce bilan soit très lourd, vu le nombre de véhicules des pompes funèbres déployés sur le lieu de l'accident. Certaines sources évoquent 7 morts.

Des témoins ont déploré le fait que plutôt que de venir en aide aux accidentés, de nombreuses personnes ont préféré les mitrailler avec leurs téléphones pendant que ceux-ci, geignant de douleur, appelaient à l’aide.

Pour de nombreux observateurs, un accident d’une telle violence à un point de péage où la vitesse est pourtant modérée parait paradoxal. Cela témoigne une fois de plus de l’inobservation de règles de conduite sur les routes congolaises où de nombreux conducteurs brillent par une méconnaissance du code de la route, ce qui fait d’eux de potentiels dangers pour les autres usagers.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-10-03 08:41:05

Congo – Police : Une mère de six enfants coupable d’infanticide à Dolisie

La police nationale a mis aux arrêts madame Princia Kimia Pombo, le jeudi 1er octobre à Dolisie. Celle-ci serait accusée d’infanticide.

Agée de 35 ans et mère célibataire de six enfants, Princia Kimia Pombo est accusée d’avoir donné la mort à son bébé, pourtant né en apparente bonne santé.

Après avoir donné naissance à son bébé de sexe féminin le mercredi 30 septembre dans la soirée au quartier Pinaret ‘’l’eau claire’’ à Dolisie, dame Kimia Pombo s’en est débarrassée, en le jetant dans une fosse sceptique.

Ce crime crapuleux a été découvert le jeudi 1er octobre par la police. Mise devant le fait accompli, dame Kimia Pombo a avoué son forfait.

Les interrogatoires menés par les services de police ont permis de mettre en lumière le fait que dame Kimia Pombo en serait à son deuxième infanticide.

Interrogée sur les raisons de ces infanticides récurrents, dame Kimia Pombo a confié avoir tenté en vain d’avorter, avant de se résoudre à garder la grossesse, car craignant pour sa vie.

Cette témérité serait motivée par les difficultés qu’elle éprouverait à nourrir déjà toute seule six enfants dont les papas ne s’occupent pas. Garder ses nouveau-nés en vie serait les soumettre à de lourdes peines ou différer leur mort, a t-elle assuré en larmes.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2020-10-01 14:24:07

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