Total : 11269 résultats trouvés.
Page 215 sur 564
Tant pis si, pour un téléphone, une baguette de pain ou quelques billets, ils doivent sortir la machette. Violents et sans états d’âme, les « Kuluna », une bande de hors-la-loi, de jeunes incontrôlables identifiés comme tels, depuis le milieu des années 2000, sèment la terreur dans les rues de Brazzaville. L’un d’entre eux, la vingtaine révolue, accusé de tentative de vol, a été tué sur le champ ce mercredi matin à Talangaï, dans le 6ème arrondissement de la capitale congolaise, par des riverains fâchés et en effervescence.
Créé le 2020-10-14 09:50:51
À l'occasion de la 3ême journée du championnat de Handball D2 féminine, le club HB Octeville-sur-Mer (HBO) a fini par s'imposer à Noisy le Grand (30-26). Une victoire en grande partie due à l’insaisissable Jocelyne Mavoungou, originaire du Congo-Brazzaville, auteure de 8 buts.
Créé le 2020-10-14 08:49:31
Le président de la République ne cesse d’appeler à une véritable relation de confiance entre la Force publique et le peuple. Ce précepte rappelé dans ses différentes adresses à la Force publique et notamment lors du réveillon d’Armes, semble ne pas intéresser certains agents de la Force publique qui s’illustrent hélas par de nombreux abus, vis-à-vis des populations. Cette attitude de certains éléments marginaux, jette hélas l’opprobre sur une institution fort respectable.
« L’armée est une école de discipline, de courage et d’honneur », écrivait Clémenceau. C’est dire que les éléments de la Force publique et leurs chefs sont au quotidien, astreints à un dépassement de soi, dans l’accomplissement du devoir, ce en toute discipline.
Parlant justement de discipline, le même Clémenceau relevait que « la discipline est le force principale des armées ». La discipline qui est basée en grande partie sur le respect des règles. Entendu que cette discipline se traduit par l'application des règlements et des lois, l'exécution des ordres donnés par des supérieurs et le respect du code de l’honneur.
Ainsi, qu’il s’agisse de la Défense Opérationnelle du territoire (DOT), pour les militaires ou de garantir leurs droits aux citoyens, en leur assurant la quiétude et en veillant à la libre circulation des personnes et des biens pour les policiers, ces corps de métiers réunis sous le vocable ‘’Force publique’’ ont une seule mission qui, disons-le de façon triviale, c’est d’être au service du peuple. L’on peut dire par extension, que c’est le Peuple qui est l’employeur de la Force publique.
Pour ce Peuple et la terre où il vit, les Hommes en uniformes s’engagent sous les Drapeaux. Pour ce Peuple, ils sont prêts à aller jusqu’au sacrifice suprême.
Oui ! Cela, apparait pour nombre de congolais, juste dans des mots. Les paroles que toutes les unités de la Force publique prononcent en de fastidieux serments empreints de gravité et d’émotion, mais qui sont oubliées une fois les cérémonies de prises d’Armes terminées.
Car, comment comprendre que la relation entre les populations et la Force publique devienne de plus en plus conflictuelle, avec certains agents qui confondent le respect qui leur est voué, en tant que dépositaires de l’autorité, à une faiblesse dont ils se servent pour mâter, détrousser, racketter et même humilier sans ménagement.
Si les abus d’autorité auprès des civils sont marginaux de la part des militaires, les policiers eux, par contre, sont au ''tableau du déshonneur'' des débordements au quotidien et ceux de la police routière en tiennent la palme.
Auprès d’un usager interpellé pour une infraction au code de la route, beaucoup de policiers manquent de courtoisie et commencent d’emblée à sermonner le contrevenant, parfois sans une once de respect pour la personne, visiblement dépouillée de toute dignité.

Quand cette personne tente de se justifier ou de se rebeller eu égard au ton discourtois du policier, tout dérape entre un policier chez qui la maîtrise de soi est totalement absente, et un contrevenant qui refuse l’humiliation, en dépit du fait que l’homme devant lui, est détenteur de l’autorité.
Alors la répression est brutale. « Je vais te faire voir qui je suis ». Et l’homme a beau se justifier, personne ne lui accordera la moindre attention ni la simple écoute, son ‘’crime de lèse-majesté’’ lui valant carrément des déboires qu’il ne sera pas prêt d’oublier.
Les agents de la Force publique seraient-ils donc autorisés à s’adonner à toutes sortes d’exactions vis-à-vis des tiers, profitant de leur statut, sans avoir à en répondre ?
Pourtant, en maintes occasions, notamment pendant les fêtes de fin d’année ou lors de grands évènements, le pacte républicain qui lie la police à la population s’affine davantage, montrant du même coup la grandeur et la servitude de la Force publique, à travers son sens du devoir, ce pour sécuriser conforter et garantir la paix des populations où qu’elles soient, sur l’ensemble du territoire national.
Des dispositions particulières sont caractérisées en ces périodes, par une présence constante et visible des agents de la Force publique pour des actions de prévention et de dissuasion.

Une attitude qui force l’admiration des populations, tant elles trouvent des hommes en uniformes presque transformés.
Aide à la traversée des piétons, appel à la modération de la vitesse ou à s’astreindre d’un stationnement gênant, en direction des automobilistes. Invite aux personnes fortement alcoolisées à rentrer, au besoin en les raccompagnant.
En ces moments là, on rencontre des policiers courtois, attentifs et surtout à l’écoute. Pédagogues plutôt que répressifs sur les petites incartades, au point que certains se demandent si les policiers qu’ils croisent sont les mêmes qui sont toujours là.
La Force publique est au service du Peuple et elle mérite le respect pour les sacrifices qu’elle consent, pour ce même peuple. Pourtant, elle a en son sein, quelques ‘’brebis galeuses’’ qui faute de s’astreindre aux lois et règlements de l’institution à laquelle ils appartiennent, en avilissent la réputation et la couvrent de discrédit.
Leurs actes répréhensibles sont des détails, comparés aux hauts faits d’armes de la Force publique. Des détails, certes. Mais, « quand un détail devient un symbole, peu importe qu’il soit infime ». (Gilbert Cesbron dans Journal sans date)
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2020-10-13 18:26:18
Le coordonnateur du comité de pilotage de l’Université Denis Sassou-N’Guesso (UDSN) de Kintelé, le Pr Théophile Obenga, a informé ce lundi à Brazzaville, le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba, du niveau d’exécution des travaux de construction de ce grand temple du savoir dans la sous-région Afrique centrale.
Créé le 2020-10-13 16:43:57
Le confinement aura-t-il été une parenthèse sur les routes congolaises ? Oui, incontestablement. Peu de voitures, c’est forcément moins d’accidents. Mais avec beaucoup de voitures les routes ont fait émerger de mauvaises habitudes ces derniers temps. De la sensation de liberté au sentiment d’impunité… jusqu’à la sortie de route, parfois mortelle. Ce mardi, un accident de la route a fait deux morts et de nombreux blessés sur la route nationale. Il s’agit d’un bus du transporteur Océan du Nord qui enregistre quasiment trois accidents mortels en un mois. Un vrai record !
Créé le 2020-10-13 16:14:47
L’Association CADM (Club des Amis pour le Développement de Moungoundou-sud) a procédé récemment à la distribution des kits scolaires à tous les élèves régulièrement inscrits du Cp1 au CM2.
Créé le 2020-10-13 15:29:14
Virginie Nkouka, la première femme congolaise à avoir conduit un grand bus de 12,5 mètres en s’imposant dans un milieu d’hommes a obtenu haut la main son permis poids-lourds.
Créé le 2020-10-13 14:49:52
Au moins deux personnes ont perdu la vie à la suite de pluies violentes et de graves inondations dans les districts d’Impfondo, Epéna, Liranga et Bétou dans le département de la Likouala où, la crue a atteint un niveau sans précédent, provoquant aussi des dégâts impressionnants car soixante-treize villages sont inondés.
Créé le 2020-10-13 14:24:39
Insultes, uppercut, la députée de la circonscription électorale de Divenié dans le Niari (sud), Marianne Yogo-Maganga a été victime d’une attaque d’une violence sans nom à son domicile, de la part de Martin Moundounga, 43 ans, de nationalité congolaise.
Créé le 2020-10-13 13:29:58
La rentrée scolaire a commencé sur toute l’étendue du territoire national. Cette rentrée est particulière puisqu'elle suit une année scolaire 2019-2020 fortement perturbée par la pandémie de Covid-19 et les mesures de confinement.
Créé le 2020-10-12 20:36:12
Vadim Osted Mvouba a été élu premier secrétaire de la Force montante congolaise (FMC), à l’issue du premier congrès extraordinaire de ce mouvement politique tenu les 9 et 10 octobre 2020 à Brazzaville et placé sous le thème : « Membres et sympathisants de la Force montante congolaise, mobilisons-nous dans l’unité, la cohésion et la discipline pour arrimer notre organisation aux recommandations du 5e congrès ordinaire du Parti congolais du travail afin de défendre les intérêts moraux et matériels de la jeunesse congolaise ».
Créé le 2020-10-12 18:12:27
Décédé le 30 mars à Paris et mis en terre, à titre provisoire, le 10 avril 2020 au cimetière de Bagneux en France, le général Jacques Joachim Yomby Opango, ancien président de la république de 1977 à 1979, ancien Premier Ministre de 1993 à 1996, rejoindra la terre de ses ancêtres pour des obsèques nationales, en ce mois d’octobre.
Le moment est enfin venu pour Jacques Joachim Yomby Opango de recevoir l’hommage de la Nation et de reposer à tout jamais sur la terre qui l’a vu naître, la terre de ses ancêtres.
L’exhumation du corps de l’ancien président congolais aura lieu le mardi 27 octobre 2020.
Après une dernière veillée à Paris, la dépouille mortelle du président Jacques Joachim Yomby Opango sera acheminée à Brazzaville, le jeudi 29 octobre par le régulier d’Air France.
L’hommage de la Nation qui interviendra le vendredi 30 octobre, sera précédé par la cérémonie d’adieu des Anciens Enfants de Troupes AET, à l’Ancien.
Puis s’en suivra le départ pour Owando où le président Jacques Joachim Yomby Opango sera inhumé le samedi 31 octobre, après une messe des suffrages.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2020-10-12 15:09:23
C’est en quasi VRP de l’action écologique et ambassadeur de fait de la sauvegarde du massif forestier du Bassin du Congo que l’écrivain-chercheur congolais, Dr Michel Innocent Peya a pris part à la 3ème édition du Forum mondial Normandie pour la paix, les 1er et 2 octobre 2020, à l’Abbaye aux Dames à Caen. Discret, préférant avancer ses idées plutôt que sa personne, le véritable porte étendard dans la diffusion des idées du combat écologique que mène le président congolais, Denis Sassou N'Guesso, pour la protection de la planète a encore marqué les esprits à ce Rendez-vous annuel, ce lieu de réflexion et d’échanges autour des tensions dans le monde et de la construction de la paix animé par des experts en géopolitique, aux côtés de représentants de gouvernements, du monde académique et de la société civile.
Créé le 2020-10-10 21:49:39
La Gambie engrange de la confiance. Les Scorpions se sont imposés sur les Diables Rouges du Congo (1-0), ce vendredi à Faro, au Portugal.
Créé le 2020-10-09 21:08:01
Les problèmes financiers et humains du Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville sont nombreux. La dégradation des soins est préoccupante, faute de plateau technique. Le service de réanimation n'a plus aucune machine permettant l'intubation des patients. Idem pour l'unité neurovasculaire où il manque des scopes et appareils à tension. Que dire du bloc opératoire ? Ici, on opère les malades les portes ouvertes, faute de climatisation des salles et parfois avec des lampes torches faute d’électricité. Le fer à repasser du service de buanderie et de laverie du CHU de Brazzaville est en panne depuis plusieurs jours, a-t-on appris auprès du président de l’intersyndicale, Victor Bienvenu Kouama.
Créé le 2020-10-09 20:34:32
L’université privée de Marrakech au Maroc menace d’arrêter la délivrance des prestations : scolarité, résidence et restauration à l’endroit des étudiants congolais envoyés par le Ministère de l’Enseignement technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, si aucun paiement n’est effectué d’ici au 30 octobre prochain, indique la note signée, le 7 octobre dernier, par la directrice des opérations de ladite université, Fatima Zohra El Mehdi.
Créé le 2020-10-09 11:23:21
Brazzaville, c’est 1,696 millions d’habitants et longtemps dépourvue de moyens de transport publics dignes d’une agglomération moderne. Pour la majorité des brazzavillois, éparpillés dans les neuf arrondissements qui composent la capitale congolaise, se déplacer relève souvent du cauchemar ou de l’épreuve de gymnastique. Pour monter à bord d’un taxi-bus, il faut batailler : bousculades, tiraillements, insultes… Certains n’hésitent pas à entrer par la fenêtre, et le chauffeur ne démarre que lorsque les clients sont entassés comme des sardines sur des bancs. Un vrai capharnaüm. Des scènes à la limite impudiques et ignobles pour des hommes et des femmes d'âge respectable.
Créé le 2020-10-09 10:11:11
L’intersyndicale du Centre hospitalier universitaire de Brazzaville (CHUB) a décidé ce jeudi 8 octobre 2020, d’observer une grève générale, sans service minimum à compter du lundi 12 octobre prochain.
Créé le 2020-10-08 19:50:53
Chanel Mboungou Ngoueté, ancien militaire, de nationalité congolaise, a été interpellé par des éléments la police de Mbinda dans le Niari (sud) avec 110 grammes d’or.
Créé le 2020-10-07 18:23:36
Le garrot se resserre et les populations du village Moukondo, situé à un jet de pierre de Louvakou dans le Niari (sud), commencent à étouffer. Les coups de gueule des parents d’élèves se bousculent en effet de toute part. Les raisons de la colère : trois sociétés forestières, notamment Taman-Industrie, Sicofor et MSGS ont érigé un parc de déchargement des grumes dans la cour de l’unique école primaire de leur village sans une autorisation préalable.
Créé le 2020-10-07 17:35:49