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Le 3ème sommet “Transform Africa” s'est déroulé du 10 au 12 Mai 2017 à Kigali au Rwanda. La délégation congolaise était conduite par le ministre de la Communication et de Médias, Thierry Moungala, représentant le président Denis Sassou Nguesso.
Plusieurs leaders africains dont les présidents Mahamadou Issouffou du Niger, Ibrahima Boubacar Keita du Mali et Ismaïl Omar Guelleh de Djibouti, ont pris part jeudi à Kigali, aux cotés de leur homologue rwandais, Paul Kagamé, à l’ouverture officielle de la troisième conférence de Transform Africa Summit qui s'est tenue sous le thème «Villes Intelligentes, Développement accéléré».
La rencontre s'est voulue une plate-forme leader de la communauté des TIC en Afrique pour l’accélération de la révolution numérique en cours sur le continent. Un moment pour ces dirigeants de jeter les bases d'une intégration durable à travers les opportunités qu'offrent les nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Cette volonté de faire de l'Afrique un continent connecté doit reposer ; selon ces leaders sur des politiques inclusives et un système éducatif basé sur les nouvelles technologies.
Représentant personnellement le président Denis Sassou Nguesso à ce sommet et tablant sur la volonté des dirigeants et du gouvernement congolais à anticiper l’urgence d’une interconnexion entre les différents pays d’Afrique pour promouvoir l’échange des expériences dans le domaine du digital, le ministre Moungala a relevé les avancées entreprises par le Congo en matière de nouvelles technologies.
Une vue de travaux: le ministre Moungala, chef de la délégation congolaise
Le maillage du pays en fibre optique ainsi que l'arrimage aux technologies digitales de nouvelles générations impulsent le Congo vers une modernité qui trace pour les populations, un « chemin d'avenir » dans les secteurs porteurs.
À ce forum où ont pris part un peu plus de 4000 participants venus de divers pays, le ministre Moungala était entre autres membres de la délégation, accompagné de jeunes entrepreneurs congolais investis dans le domaine des TIC.
C’est la 2ème fois consécutive que le Rwanda abrite un tel événement.
Le ministre Moungala avec Louise Mushikiwabo, cheffe de la diplomatie rwandaise
Le séjour rwandais du ministre Tierry Moungala a également été une occasion de conforter les relations que le Congo entretien avec les pays amis, ce à travers des discussions franches et constructives avec les membres d'autres délégations.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-05-12 09:27:17
Par décret du président de la république du Congo, daté du 11 mai, le corps électoral est convoqué le 16 juillet, sur l'ensemble du territoire national.
Les législatives 2017 seront couplées aux élections locales, une procédure jugée moins onéreuse et plus pratique que des scrutins séparés. Entre-temps, les opérations de révision extraordinaire des listes électorales ont commencé le 10 mai sur l’ensemble du territoire national.
À Brazzaville, ainsi qu'à l’intérieur du pays, tous les bureaux d’enrôlement sont installés dans les sièges des mairies d’arrondissements et des sous-préfectures.

Cette innovation est fortement boudée par les populations qui sont parfois confrontées à des difficultés de transport pour se rendre au siège de la mairie d’arrondissement ou de la sous-préfecture.
La situation est plus grave à l’intérieur du pays où tous les bureaux d’enrôlement sont installés dans les sièges des sous-préfectures alors qu'auparavant, ils étaient installés dans les villages et les quartiers.
Des points d'enrolement et de révisions éloignés, ne favorisent pas l'affluence
L’objectif de la révision extraordinaire des listes électorales est de soustraire de celles-ci les personnes décédées ou ayant changé d’arrondissement ou de village de résidence et d’insérer les jeunes âgés de dix-huit ans et plus.
À la fin de l’opération, la commission électorale souhaite élaborer des monographies qui n’appellent pas à des contestations. Cela est loin d'être gagné, car la concentration des points d’enrôlement ramenés aux seuls grands centres à l'éloignement parfois dissuasif, préfigure un corps électoral loin de refléter la réalité du terrain.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-05-12 08:06:39
Alors que le ministre des Postes et Télécommunications Léon Juste Ibombo avait pris une note de service mettant fin aux fonctions de Yves Castanou à la tête de l'ARPCE le 10 mai, le premier ministre a publié une circulaire qui annule cette disposition le 11 mai, déjugeant son ministre.
Ainsi que nous l'écrivions dans notre précédente publication à propos de l'éviction de Yves Castanou : « Si son limogeage souffre d'une quelconque entorse juridique, l'homme ne manquera pas d'activer ses réseaux, Dieu seul sait, s'il en a des plus confortant. »
La suite des événements semble nous donner raison. Dans la foulée du limogeage de Yves Castanou et de la nomination de Henri Yandza Mouelé, ingénieur électronicien en remplacement, dans un véritable rappel à l'ordre, le premier ministre Clément Mouamba a rapporté la note ministérielle, la jugeant en violation avec les textes en vigueur, sur les nominations aux hautes fonctions, rendant du coup nulle et de nul effet, la nomination prononcée par le ministre Ibombo.
La circulaire du premier ministre. Pourqoui maintenant, pour un constat qui court?
Il est vrai que la note de service prise par le ministre des postes et télécommunications souffrait d'un vice de forme administrative, car nommé en conseil des ministres, et par décret présidentiel c'est par ce seul canal que Yves Castanou se verra destitué, ce qui ne semble pas être à l'ordre du jour, quoique son maintient à la tête de l'ARPCE, n’obéisse plus au cadre réglementaire.
D'autre part la méthode quelque peu cavalière du premier ministre étalant au grand jour un constat relevant du manque de coordination gouvernementale montre que lui non plus ne semble rien contrôler et sonne comme un aveu d'échec.
Enfin, même si le cas Yves Castanou se doit d'être tranché en conseil des ministres et sa révocation ou son maintient ne résultant que du ressort du président de la république ou du premier ministre, il n'en demeure pas moins que cela se fait en principe en concertation, sinon sur proposition du ministre de tutelle qui apparemment est désormais déclaré hors circuit dans cette affaire.
La note de service du ministre Ibombo déclarée nulle et de nul effet par le PM
Désormais, entre le fond et la forme des procédures, il y un vainqueur, Yves Castanou et surtout deux grands perdants, le ministre Léon Juste Ibombo dont l'autorité s'en trouve réduite à néant, vis à vis d'un directeur sur qui il est sensé exercer la tutelle, mais surtout le premier ministre qui montre par la présente qu'il n'a pas la réelle maîtrise des membres du gouvernement.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-05-12 06:44:48
Nommé par décret présidentiel, suite à une proposition du conseil des ministre, le directeur de l'Agence de Régulation des Postes et des Communications Électroniques, Yves Castanou a été relevé par note de service signée du ministre Léon Juste Ibombo, le 10 mai 2017.
Remplacement de fin de mandat ou limogeage en règle, tout est-il que Yves Castounou occupait ce poste depuis 2010, à la création de l'agence, pour un mandat censé durer 6 ans.
Le ministre Ibombo a dans la même note de service, nommé le remplaçant de Yves Castanou, en la personne Henri Yandza Mouelé, un ingénieur électronicien.

Instituée par la loi n°11-2009 du 25 novembre 2009, l'ARPCE est un établissement public administratif, doté de la personnalité juridique et de l'autonomie financière. Elle est placée sous la tutelle du Ministère en charge des Postes et des Communications Électroniques.
Ingénieur télécoms formé en France et au Canada, ancien cadre de Lucent Technologies à Denver (États-Unis), ex-entrepreneur dans le e-business, issu d’une grande famille de Pointe-Noire, Yves Castanou a mené bien de batailles, du fait que son agence bénéficie de par la loi de son autonomie financière et de sa personnalité juridique.
« L’ARPCE reverse au Trésor le produit des redevances de régulation, mais c’est elle qui le fait directement, à l’instar de ce qui se pratique en Afrique anglophone. Sinon, l’arbitre que nous sommes n’a plus la capacité d’être neutre, et c’est la porte ouverte à la corruption du régulateur par les opérateurs privés », s'est-il toujours défendu vis à vis de sa tutelle ministérielle, parfois jusqu'au risque d'insubordination, le pactole de l'ARPCE fait de redevances et autres licences d'exploitations des sociétés de téléphonie étant la pomme de discorde.
Fort de son autonomie financière, Yves Castanou a puisé dans le vivier des cadres congolais de la diaspora pour étoffer son staff et entrepris la construction du siège de l’ARPCE disponible depuis 2013, pour plus de 6 milliards de F CFA.

L’agence a mené à bien une difficile campagne nationale d’identification des abonnés à la téléphonie mobile, mis en place la numérotation à neuf chiffres, recouvré avec succès les redevances (auprès des pétroliers Total et Eni notamment) et défini les normes sécuritaires obligatoires pour les sites de télécoms, non respectées pour 80 % des pylônes implantés au Congo.
Alliant travail et activités spirituelles, car il est également pasteur, Yves Castanou n'est pas homme à se laisser faire sans lever le bout du doigt. D'autres ministres ont tenté en leur temps de mettre des hommes de confiance à sa place, en vain.

Si son limogeage souffre d'une quelconque entorse juridique, l'homme ne manquera pas d'activer ses réseaux, Dieu seul sait, s'il en a des plus confortant.
Cela augure le cas échéant un bras de fer entre pasteurs, le ministre Léon Juste Ibombo l'étant lui aussi en dehors des heures de service.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-05-11 11:33:03
Des automobilistes passant dans une zone d'activités à Clermont-Ferrand (France) mercredi à la mi-journée, sont tombés nez-à-nez avec un pachyderme échappé d'un cirque.
Créé le 2017-05-11 09:15:30
La 12ème « Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions » a été célébrée sous le signe des valeurs fondamentales de la République Française. Nous avons assisté à la cérémonie de Savigny-le-Temple en Seine et Marne.
Un bloc de granit portant une plaque présentant deux mains libérées de leurs chaînes, c'est au pied de cette stèle en mémoire de l'abolition de l'esclavage, dressée à l'angle de l'avenue Victor Schoelcher, dans le quartier dit des Droits de l'Homme de Savigny-le-Temple que s'est déroulée la cérémonie seine-et-marnaise.

Le préfet du département, Jean-Luc Marx, le délégué interministériel à l'égalité des chances pour les Français d'outre-mer, Jean Marc Mormeck, la maire de Savigny-le-Temple, Marie-Line Pichery, les élus, les anciens combattants, les associations de la ville ainsi que les citoyens ont marqué de leur présence la perpétuation de cette « œuvre de vérité, l'abolition de la traite et de l'esclavage. »
Dépots des gerbes de fleurs par les différentes autorités présentes à la cérémonie.


Après la minute de silence en mémoire des victimes, puis la déclame du poème « Debout la négraille » d'Aimé Césaire, sur fond des chants du groupe de gospel, est venu le temps des allocutions.

Dans la première, madame la maire de Savigny-le-Temple qui a dépeint cette tragédie ancrée dans la mémoire collective, a rendu hommage aux hommes et femmes, au nombre desquelles Christiane Taubira, qui se sont battus afin que nul n'oublie.

Puis elle a mis en garde sur ce que le repli identitaire et la haine de l'autre ou les maltraitances sont les prémices d'un esclavage moderne que tous doivent combattre.
Lui succédant, le préfet de Seine-et-Marne Jean-Luc Marx a appelé au devoir de mémoire. « Il faut se souvenir et informer les jeunes générations de ce que fut la traite et l'esclavage. Il faut songer aux souffrances endurées, aux déportations brutales, aux humiliations subies, aux violences infligées et à la cohorte innombrable de morts anonymes. »

Puis de citer Victor Schoelcher : « Que l'esclavage soit ou ne soit pas utile, il faut le détruire ; une chose criminelle ne doit pas être nécessaire. La violence commise envers le membre le plus infime de l'espèce humaine affecte l'humanité toute entière. La liberté d'un homme est une parcelle de la liberté universelle, vous ne pouvez toucher à l'une sans compromettre tout à la fois ».

Jean-Luc Marx a formulé le vœux que la portée citoyenne de cette commémoration puisse prendre une dimension universelle qui trouve son prolongement au delà de la France, dans la lutte contre les esclavages contemporains. Il a rappelé que « les formes d'asservissement modernes sont les réseaux de prostitutions, le travail des enfants et l'immigration clandestine qui continuent aujourd'hui encore, d'insulter la dignité humaine ».
Exécution de l'hymne national « La Marseillaise ». La cérémonie s'est achevée par une soirée de chants et danses du « voyage de non retour », au collège de La Grange du Bois, avec surtout des textes d'Aimé Césaire qui ont continué de résonner en écho.

« La négraille assise
inattendument debout
debout dans la cale
debout dans les cabines
debout sur le pont
debout dans le vent
debout sous le soleil
debout dans le sang
debout et libre …. »
Reportage à Savigny-le-Temple de Benoît BIKINDOU
Créé le 2017-05-11 09:03:23
Nous vivons ensemble et nous mourons ensemble. Un couple, marié depuis 62 ans, est mort main dans la main le 21 avril dernier, dans l'appartement de sa résidence située à Lake Jackson, au Texas (Etats-Unis).
Créé le 2017-05-11 08:43:12
Pour permettre à la zone Cémac de rétablir les équilibres macroéconomiques avec sérénité, les experts financiers de la sous-région ont invité les Etats membres de la CEMAC à établir les passeports CEMAC avant le 31 décembre 2017.
Créé le 2017-05-11 07:29:42
Un rituel devenu immuable le 10 mai. Le président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso a honoré la mémoire de sa défunte mère, Émilienne Mouébara, en déposant une gerbe de fleurs sur sa tombe au cimetière familial d’Oyo, dans la Cuvette, ainsi qu'il le fait en cette date.
Accompagné de son épouse, Antoinette Sassou N’Guesso, le chef de l’État congolais était assisté de ses proches parents, amis et connaissances ainsi que du Premier ministre Clément Mouamba et de quelques membres du gouvernement.
En séjour à Oyo depuis le 8 mai, Denis Sassou N’Guesso s’est entretenu mardi, pendant quelques heures, avec son homologue togolais, Faure Gnassingbé qui était en escale avant de poursuivre son voyage pour Kigali au Rwanda.
Arrielle KAMBISSY
Créé le 2017-05-11 06:42:46
Situation d'émeute à Mouyondzi dans la Bouenza ce mercredi, suite au décès d'une fillette tuée par un projectile tiré par des policiers qui voulaient contraindre le père de la victime à obtempérer.
Le drame s'est noué, alors que le père de la fillette opposait une résistance aux injonctions des policiers venus interpeller.
Décidé de faire plier le « récalcitrant » qui faisait usage de sa carabine ''calibre 12'', les policiers ont ouvert le feu.
Dans cet échange de tirs, l'enfant qui se tenait aux cotés de son père a été malencontreusement atteint. Touché à la tête, la fillette est décédée sur le coup, baignant dans son sang.

Dans un moment de flottement, les policiers ont laissé le corps à la vue des populations qui ont accouru au commissariat déserté entre-temps par ses occupants.

La vue du macchabée a ravivé la colère des jeunes qui ont crié vengeance, en incendiant le commissariat ainsi que quelques logements des membres de la Force publique.


D'autres jeunes se seraient emparés des armes et munitions abandonnées au commissariat par les policiers en fuite. Des renforts partis de Loutété et Nkayi sont arrivés à Mouyondzi où la situation est loin d'être calmée.
Un autre détachement de la police nationale de Dolisie dans le département du Niari s’active pour aller en renfort à Mouyondzi.
Face à la situation, les autorités locales ont convoqué une réunion d’urgence pour appeler à l’apaisement, plaçant du même coup la ville sous couvre-feu.
Beaucoup redoutent un embrasement susceptible de raviver les vieux démons.
Le nouveau préfet du département de la Bouenza, lui-même ancien policier, a enjoint la Force publique à agir avec tact et méthode dans le rétablissement de l'ordre.
Arrielle KAMBISSY
Créé le 2017-05-10 16:01:41
Vulgariser la culture de paix, d’entraide, d’amour du prochain et d’unité, promouvoir et développer les activités génératrices de revenus, lutter contre la pauvreté et le VIH/Sida, œuvrer pour le développement de l’Agriculture, créer des logements écologiques pour les personnes sans-abris en Afrique, former les jeunes africains aux métiers de l’aide à la personne, lutter contre le racisme…, tels sont les principaux objectifs de l’association Vivons Ensemble (L’AVIE) qui a procédé lundi 8 mai 2017 à sa sortie officielle à Montmagny, commune du département du Val-d'Oise, dans la région Île-de-France.
Créé le 2017-05-10 12:41:50
Reconnaissable d'entre mille de par sa taille, ses cheveux hirsutes et ses lunettes, la conseillère presse et communication d'Emmanuel Macron, aura joué un rôle clef dans la campagne présidentielle, jusqu'à la victoire.
Au sein de la « mécanique Macron », elle est le rouage essentiel. Celui qui permet de se mettre effectivement « en marche ».

Dans la marche pour la victoire d'Emmanuel Macron, Sibeth Ndiaye est absolument partout. Au front avec les médias, mais aussi sujet d’attention de ceux-ci.
La chargée des relations presse d’Emmanuel Macron était incontournable dans le documentaire diffusé lundi 8 mai sur TF1, s’attachant à montrer les « coulisses d’une victoire ».
Dévouée corps et âme au mouvement, dotée d'une excellente rhétorique, l’ex-militante acharnée, qui a gravi petit à petit les échelons au sein de l’organisation d’un mouvement politique, fait partie du cercle très restreint de jeunes fidèles que le nouveau chef de l’État aime appeler ses « enfants ».
Toutes les images dévoilées par le reportage expliquaient une chose concise : Sibeth Ndiaye ne lâche pas son poulain d’une semelle, le débriefant après chaque situation et démêlant chaque contexte sentant le souffre.

Si l’élu de la nation était une pierre précieuse, il lui manquait simplement un diamantaire pour le polir au mieux. Ce diamantaire, c’est elle.
Naturalisée française en 2016, Sibeth Ndiaye jouit auprès d' Emmanuel Macron d'une confiance mutuelle basée sur de différents vœux de transparence et de fidélité politique.
Une anecdote racontée par la jeune femme ne trahit pas cet esprit : « Je me rappelle toujours avec émotion qu’au décès de ma mère, il avait eu la délicatesse de m’offrir un livre de Roland Barthes, ‘Journal de Deuil’. Il m’a servi de livre de chevet pendant de longs mois ».
Obtiendra t-elle un poste au gouvernement ? « C’est à lui de vous le dire, pas à moi » assure l’intéressé, qui avoue par ailleurs qu’ « être élu n’est pas l’alpha et l’omega de l’engagement politique ».
À 37 ans, Sibeth N'Diaye, née de père sénégalais et de mère togolaise, fait partie du premier cercle des collaborateurs d'Emmanuel Macron présents à la fondation d'En Marche ! Attachée de presse du ministre de l’Économie, elle a participé aux réunions préparatoires ultra-secrètes dans l'appartement privé de Bercy avant le lancement du nouveau mouvement politique, le 6 avril 2016.
Benoît BIKINDOU
Créé le 2017-05-10 09:42:57
La demande des populations devenait pressante et l'idée en elle même saugrenue avec un poste de péage en pleine agglomération. Les autorités préfectorales et l'administration routière ont enfin entendu raison et supprimé le poste en le démantelant.
Le combat des populations vivant au delà de la ''Côte Mateve'' à Pointe-Noire a été rude, il a fini par payer.
Avec un poste de péage en forme de checkpoint, il leur fallait débourser pour le franchissement, selon qu'ils y passaient autant de fois dans la journée. Les véhicules légers devaient s’acquitter d’une taxe de 500 FCFA dans chaque sens (mille francs pour un aller et retour), 1000 francs pour les 4x4 et les taxis, bien plus encore pour les poids lourds.

La pratique avait fini par exaspérer les populations ainsi soumises à une restriction de mouvements. Nulle possibilité pour les bus de desservir la zone. Une course de taxi se monnayant péage y compris, une situation intenable.
Le député Raymond Isaac Follo de la circonscription de Ngoyo, a mené un interminable combat en vue du démantèlement de ce barrage jugé comme une marque d'injustice pour des populations vivant un quartier en pleine croissance et appelées à vaquer aux occupations du quotidien.
La préfecture et la mairie de Pointe-Noire ont ont enfin décidé de la démolition du poste de péage de Côte Matève le 8 mai.

Depuis 2012 le village de Ngoyo est devenu un arrondissement de Pointe-Noire. En plus, la localité de Tchamba Nzassi située au delà, était devenue un district de la préfecture de Pointe-Noire. Une raison suffisante pour déboulonner ce poste de péage.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-05-10 07:32:24
Il était chez le doyen des juges d'instruction mardi. Il en est ressorti comme il y était entré, avec sa condition de « détenu provisoire ».
Jean Marie Michel Mokoko reste en détention à la Maison d’arrêt de Brazzaville, ainsi en a décidé le doyen des juges du tribunal de grande instance de Brazzaville.
Entouré de ses avocats qui dans leur plaidoyer, sont revenus avec force-détails sur la nécessité d'accorder la liberté provisoire à leur client, en attendant son procès, l'ancien candidat à la présidentielle est apparu visiblement en bonne forme et serein, tantôt souriant.
Dans ses conclusions, le doyen des juges a notifié aux avocats et à l’intéressé que les motivations de mise en liberté provisoire de tout temps soutenues par la partie défenderesse relatives aux conditions d'incarcération jugées drastiques de Jean Marie-Michel Mokoko s'étaient éteintes, suite à l'injonction de la cour suprême, « d’améliorer autant que faire ce peu » lesdites conditions. Ce qui était désormais le cas.
Accompagné de ses avocats et encadré par quelques gendarmes et policiers, Jean Marie-Michel Mokoko qui n'était nullement entravé a regagné à pied, sa cellule à la Maison d'arrêt.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-05-10 06:20:49
L’administrateur du territoire de Mweka, Jean Shesh et le vice-gouverneur de la province, Justin Milonga, sont allés jusqu’à menacer les conjoints et les enfants des journalistes pour les faire taire. RSF et JED condamnent ces atteintes flagrantes à la liberté de l’information, indignes d’un gouvernement démocratique, et appellent les autorités de la RDC à cesser ce harcèlement à l’égard de la presse.
Créé le 2017-05-09 16:55:45
Le Premier ministre congolais, Bruno Tshibala a publié, ce mardi à Kinshasa, son gouvernement composé de 59 membres, soit huit de moins que celui de son prédécesseur, Samy Badibanga.
Créé le 2017-05-09 16:21:57
La ligne, longue de 285 kilomètres, passée sous gestion CFCO au début des années 2000, n’est plus sous surveillance renforcée depuis 1991 du fait de l'état général de ses composants. La voie étant donc en mauvais état, le train Mbinda s’arrête donc de rouler jusqu’au 11 mai prochain pour des raisons techniques.
Créé le 2017-05-09 11:22:26
Confrontée à une forte expansion urbaine, Brazzaville, la capitale congolaise peine à fournir le vital liquide à l’ensemble de ses habitants depuis plusieurs années maintenant. Si plusieurs mesures ont été annoncées pour redresser le tir, les résultats se font toujours attendre. Et le quartier Massengo, à la sortie nord de Brazzaville, vit depuis quelques semaines une aggravation des coupures d’eau.
Créé le 2017-05-09 09:35:36
Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a félicité Emmanuel Macron pour sa large victoire lors de l'élection présidentielle française du 7 mai dernier.
Créé le 2017-05-09 08:46:14
On ne le dira jamais assez. Au Congo, malgré la rupture prônée par le président Denis Sassou Nguesso, il y a des gens qui n’ont cessé de ramer à contre sens. Ici un semblant de bitume, puis le sable ! Ensuite du bitume, et encore une fois la terre ! C’est le triste spectacle auquel assistent, impuissants, les usagers des routes des quartiers de Brazzaville, qui sont dans un état de dégradation très avancée, en dépit des réhabilitations qui y ont été effectuées.
Créé le 2017-05-09 08:15:26