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Dans un entretien avec la ministre du Plan, de la statistique et de l'intégration régionale, Ghislaine Ingrid Ebouka Babakas, le nouveau directeur de la Banque mondiale au Congo, Jean Christophe Carret, a précisé que son institution appuyait les discussions que le Congo mène avec le FMI.
En marge des pourparlers avec le Fonds monétaire international, le gouvernement congolais mène également des discussions avec la Banque mondiale et la Banque africaine de développement sur le budget 2018, les finances publiques et la gestion de l'endettement.
Cet apport vise, selon Jean Christophe Carret, à « faciliter la coordination des dialogues et les soutiens respectifs ». De même, Jean Christophe Carret a réaffirmé le soutien de son institution au Plan national de développement, PND.
À propos du PND justement, Jean Christophe Carret a annoncé un appui budgétaire de son institution, « afin de permettre au Congo de maîtriser le cadre macroéconomique, de reformer un certain nombre de secteurs stratégiques, afin de diversifier son économie », en dépit de la baisse des cours du pétrole.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-04-09 11:53:34
Même si la tension qui jamais n'était montée, semble apaisée à Brazzaville suite au tweet du ministre Benjamin Griveaux, personne ne comprend l'opportunité de ce message du porte-parole du gouvernement français, qui est de nature à jeter un froid dans les relations entre son pays et le Congo-Brazzaville.

Le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement congolais, Thierry Moungala ne s'en laisse pas compter, quand il s'agit de ''remettre les pendules à l'heure''.
À son homologue Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement français qui a dans un tweet, eu des propos diplomatiquement peu convenant sur le Congo, le ministre Moungalla a dans un tweet en réponse, demandé à celui-ci de « préciser sa pensée sur le Congo ».

Quoique laconique, le tweet du ministre congolais semble avoir poussé le ministre français dans ses derniers retranchements, tant celui-ci a à l'évidence « rendu les armes », car s'étant avisé que les termes de son tweet dont il savait pertinemment le caractère public, froissent quelque peu les relations entre les deux États, alors qu'officiellement, entre le Congo et la France, il n'y aurait pas « de l'eau dans le gaz ».
Suite à ces propos tenus par une personne que l'on ne peut dissocier de la personnalité politique et surtout du rôle gouvernemental qu'elle incarne, le gouvernement congolais n'a pas encore adressé de protestation officielle, par le biais de l'ambassade de France à Brazzaville, tout comme l'ambassadeur de France n'a pas non plus été appelé pour une mise au point, par le ministre congolais des Affaires étrangères. De même à Paris, l'ambassade du Congo en France n'a nullement protesté.
Sans doute côté congolais, on minimise cet incident, davantage conforté par le dicton populaire : « Jamais l'eau bouillante ne brûle le linge ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-04-09 10:30:45
Voilà un militaire qui a de la suite dans les idées. Dimanche, des riverains surprennent vers 17 h 45, au quartier Baloumbou à Dolisie dans le Niari (sud), un militaire en train de s’affairer sous le capot d’une Toyata Hilux double cabines. Le jeune soldat de 2ème classe de l’armée congolaise était en train de déconnecter les fils de la batterie pour la voler.
Créé le 2018-04-09 08:34:19
Le Congo-Brazzaville et l’Afrique du Sud ont fait part d’un certain intérêt pour l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations féminine 2020, qui sera sans doute la première à regrouper 16 équipes contre 8 actuellement.
Créé le 2018-04-09 07:15:47
La cérémonie d’inauguration du nouveau siège de la Banque sino congolaise pour l’Afrique (BSCA) aura lieu ce mardi 10 avril 2018, à Brazzaville, sous la très haute autorité du Président de la République, Denis Sassou Nguesso. Cette banque a pour vocation d’aider les investisseurs chinois et les opérateurs économiques congolais et africains à réaliser leurs transactions sur le marché chinois.
Créé le 2018-04-09 06:41:48
Les joueurs de V Club de Kinshasa se congratulent après le but de Fabrice Goma à la 87ème minute face au Cercle sportif La Mancha de Pointe - Noire samedi, au stade des Martyrs de Kinshasa, la capitale de la RDCongo, en match aller du tour de cadrage de la 15ème édition de la Coupe d’Afrique de la CAF.
Créé le 2018-04-08 13:16:35
Créée en 1998 et née de la cendre de Hydro-Congo, la Société Nationale des Pétroles du Congo (SNPC) fête ses 20 ans d’existence le 23 avril prochain. En prélude à cet anniversaire, le nouveau directeur général, Maixent-Raoul Ominga, qui tient à marquer l’événement de manière festive, a mis en place une grande commission d’organisation ayant pour mission de mettre les petits plats dans les grands pour la réussite de la fête de cette entreprise qui demeure jusqu'à présent la seule société publique congolaise exerçant les activités pétrolières.
Créé le 2018-04-08 07:41:10
Le gouvernement congolais convaincu que la meilleure façon de permettre aux citoyens congolais, notamment les fonctionnaires, les étudiants et les retraités de mieux vivre consistait à « réparer l’économie ». Mais, il admet son erreur : « la crise économique et financière causée par l’effondrement des cours du baril de pétrole sur le marché international, ne permet plus au gouvernement de tenir ses engagements », ont reconnu, devant les députés, le vice-Premier ministre, chargé de la Fonction publique, de la réforme de l’Etat, du travail et de la sécurité sociale, Firmin Ayessa et le ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua.
Créé le 2018-04-07 18:21:00
Le ministre congolais de l’Intérieur, de la décentralisation et du développement local, Raymond Zéphirin Mboulou, a fait savoir aux députés congolais que le phénomène des « bébés noirs » était en régression, grâce aux actions répréhensives menées par la police.
Créé le 2018-04-07 17:41:36
Le vice-Premier ministre congolais, chargé de la Fonction publique, de la réforme de l’Etat, du travail et de la sécurité sociale, Firmin Ayessa a déclaré vendredi devant les députés, au palais du parlement à Brazzaville, que l’Etat doit, à ce jour, plus de douze mois d’arriérés aux retraités, n’avançant aucune date sur un éventuel paiement. Son homologue de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua, a lui aussi tenté d’éclairer la lanterne de l’Assemblée nationale sur les arriérés de plus d’un an des bourses dus aux étudiants congolais.
Créé le 2018-04-07 17:00:20
Le « Rapport Brazza », rédigé en 1905 par Pierre Savorgnan de Brazza, sera bientôt édité dans une version BD. Document unique sur le système colonial français, il est plus gênant pour la France puisqu’il décrit les exactions criminelles dont elle s’est rendue coupable dans sa colonie congolaise.
Créé le 2018-04-07 10:19:05
La ville de Bakoumba dans la province du Haut-Ogooué au Gabon a accueilli vendredi la cérémonie de lancement officiel de l’interconnexion en fibre optique entre le Congo-Brazzaville et le Gabon, en présence du ministre gabonais de l’Economie numérique, Alain Claude Bilie By Nze, et son homologue congolais, Léon Juste Ibombo.
Créé le 2018-04-07 08:35:47
Des dizaines d’enseignants travaillant dans des écoles publiques de Ngoua 2, près de Kibangou dans le Niari (sud), ont boycotté la réouverture des classes pour la rentrée scolaire du 2ème trimestre.
Créé le 2018-04-07 08:06:24
«Ne me fais pas ça », a crié la maîtresse nue et en pleurs. L’épouse trompée n’a pas hésité une seule seconde à la mettre à la porte. Au passage, elle a pris le soin, avec son téléphone portable, de filmer l’ensemble de la scène qui s’est déroulée jeudi dernier dans l’arrondissement II Mvoumvou à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo.
Créé le 2018-04-07 07:31:20
Cinq (05) présumés voleurs de moutons, Toni Kala, 36 ans, Jedrac Mouleri, 36 ans, Ridel Molonga, 26 ans, Coulor Ngoma, 29 ans, et Fils Christ Mboya, 23 ans, tous de nationalité congolaise, se sont faits pincer au village Kikassa 1 par les gendarmes de la ville de Kimongo dans le Niari (sud).
Créé le 2018-04-07 07:02:09
Avant de soutenir la relance de l’économie congolaise, la délégation du FMI, présente à Brazzaville depuis le 3 avril 2018, exige des réformes et la restructuration de la dette nationale.
Créé le 2018-04-06 19:20:20
Ereinté par la chute des cours du brut à partir de 2014, le Congo, pays pétrolier, n’a plus les moyens de rembourser sa dette. Beaucoup d’acteurs sont donc en embuscade, attirés par les rendements futurs de cette dette qu’ils sont prêts à racheter avec une grosse décote dans l’espoir de gagner de l’argent au moment de la restructuration. Des fonds à l’affût, et aussi des acteurs plus inattendus parmi lesquels la banque russe VTB, alliée au pétrolier Rosneft qui serait prête à racheter la dette privée du Congo, a-t-on appris des sources concordantes.
Créé le 2018-04-06 10:15:54
Le conseil municipal de la ville capitale avait pris une délibération visant à fermer les marchés pirates qui encombrent les artères principales, les rues et avenues. Alors que l'opération dite de ''déguerpissement'' était sur le point de démarrer, le maire Christian Roger Okemba en a sursis l'exécution par voie de communiqué diffusé dans les médias, sans en donner les raisons.
Guy Marius Okana, premier adjoint au maire de Brazzaville, avait annoncé le 22 mars, au cours d’un échange avec les responsables des associations et les syndicats des commerçants des marchés, le lancement à compter du 1er avril de l’opération de déguerpissement des marchés parallèles qui squattent anarchiquement le domaine public.
Il avait, à cette occasion interpellé les occupants des domaines publics de libérer ces espaces et regagner l’intérieur des marchés, car en rapport avec la note de service du maire de Brazzaville, cette opération serait bientôt lancée.
En fait d'opération, le lancement de celle-ci à été renvoyé sine die par le maire, à travers un communiqué lu à la radio et à la télévision publiques.
Même si nulle raison n'a été avancée sur l'abandon de cette mesure de salubrité, pour des marchés qui parfois aliènent les domaine public de circulation des usagers de la route, beaucoup pensent que le maire a voulu préserver la paix sociale car ces opérations menées parfois avec brutalité, avec le concours des forces de police, peuvent être du genre à déclencher des explosions sociales.
Suite à la situation économique que traverse le pays, de nombreuses personnes se sont improvisées à la vente de tels ou tels autres articles, à même les rues et surtout le soir après leur service, pour arrondir les fins du mois, en attendant un hypothétique salaire.
De nombreux vendeurs occupants les rues et avenues ont salué la décision du maire, voyant en elle l'attitude d'une personne qui vit dans la cité et qui est confrontée à ses réalités, alors que ses prédécesseurs décidaient envers et contre tout, à travers le prisme déformant de leurs bureaux.
Comme pour rendre au maire les civilités de sa compréhension, les vendeurs desdits marchés, tel celui de ''Dragages'' à Talangaï, procèdent au nettoyage des espaces occupés, aussitôt les activités terminées.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-04-06 10:13:28
Lors de la réunion du jeudi 5 avril 2018, Gilbert Ondongo, ministre d’État, ministre de l’Économie, de l’industrie et du portefeuille public, a proposé un projet de loi, soumis à l’examen du Conseil des ministres, portant sur la création du Centre national d’information économique et de conseils en gestion.
Outre l’assistance aux entreprises publiques et aux collectivités locales, missions traditionnelles du Centre national de gestion (Cenages) qu’il est appelé à absorber, le Centre aura pour missions de collecter, d’affiner et d’analyser les informations et données à caractère microéconomique et financier qui doivent permettre à l’État de prendre les bonnes décisions macroéconomiques.
Le Centre national d’information économique et de conseils en gestion aura pour vocation de permettre, en premier lieu, à l’État et aux potentiels investisseurs de suivre et de connaître l’évolution économique et financière des entreprises et, en second lieu, de rendre disponible et accessible l’information les concernant, et ce, en vue de favoriser leur accès au crédit bancaire.
Après discussion, le Conseil des ministres a approuvé le projet de loi portant création d’un établissement public à caractère administratif dénommé Centre national d’information économique et de conseils en gestion. Il sera transmis au parlement pour adoption.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-04-06 08:55:07
Un corbillard qui n'assurait pas de convoi funèbre est entré en collusion avec un véhicule poids lourd en stationnement sur l'accotement, jeudi sur une artère de la capitale Brazzaville. Protégés par les airbags qui se sont déclenchés à l'issue du choc, le chauffeur et le passager à bord s'en sont tout de même sortis avec de graves blessures. Leurs jours ne seraient pas en danger.

Le corbillard M10 des pompes funèbres municipales de Brazzaville affichera désormais au registre du matériel indisponible. Un choc d'une violence inouïe l'a complètement pulvérisé, le rendant instantanément à l'état d'épave.

En s'encastrant à l'arrière d'un véhicule poids lourd à l'arrêt, le chauffeur du corbillard qui selon des témoins, roulait en excès de vitesse, semblait ne pas avoir le cœur à l'ouvrage, car dépourvue du minimum d'attention indispensable à la conduite, dans un trafic pas du tout fluide.

Certains arguent que le chauffeur n'était pas dans un meilleur état psychologique, car ayant été sermonné auparavant par son supérieur hiérarchique. Ce qui en soi n'est pas une excuse en cas d'accident. Heureusement qu'il n'a pas causé de dommages à un tiers.
Cet accident de corbillard pose une fois de plus le problème des véhicules dits prioritaires, qui, même quand les circonstances ne l'édictent pas, roulent en excès de vitesse, sirène hurlante et gyrophares allumés.
Le code de la route prescrit pourtant que c'est lorsqu'ils sont en opérations ou dans une situation d'urgence que les ambulances, véhicules de police ou de pompiers, acquièrent un caractère prioritaire dans la circulation, les autres véhicules étant tenus de leurs faciliter la fluidité du trafic. Autrement, ils roulent comme tout autre véhicules.
Dans la logique du code de la route, les corbillards ne font pas partie des véhicules prioritaires. C'est l'usage culturel du respect dû aux morts qui leur assure cette priorité.
Hélas, au Congo, le code de la route s'adapte bien souvent à l'humeur du conducteur, voire du policier qui régule la circulation. Chacun déplace son véhicule selon qu'il peut, pour le conduire à bon bord, qu'importe pour certains, l'observance des règles, même élémentaires du code de la route.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-04-06 08:02:53