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Sur les mâts d’un bâtiment administratif du deuxième arrondissement de Pointe-Noire, la capitale économique du pays, le drapeau du Congo fait pâle figure. Au gré de l’usure et sous les attaques des rafales de vent, le drapeau s’est manifestement déchiré au point de n’être plus visible qu’en partie devant ce bâtiment officiel.
Créé le 2018-09-21 14:12:47
Le bus des Diables noirs transportant les joueurs de la section football de retour de leur lieu d'entraînements a essuyé des jets de pierre, vendredi 21 septembre aux environs de 14 heures 15, dans le deuxième arrondissement de Brazzaville.
Alors qu'il roulait entre le croisement des avenues Matsoua et Cinq chemins dans le quartier Bacongo où la population est pourtant en majorité acquise au club, le bus des Diables noirs a été l'objet d'un caillassage d'une violence telle que deux vitres latérales ont éclaté sous l'impact des projectiles qui auraient pu causer de graves dommages corporels à quelques occupants du bus.
Les débris de verres ont provoqué des coupures à certains joueurs et quelques membres du staff technique. Les blessés ont été pris en charge pour des soins.

La police arrivée sur les lieux n'a pu mettre la main sur les agresseurs. Des jeunes gens, selon des témoins. Ils se sont enfuis après avoir balancé d'imposants cailloux contre le bus.

Cette agression, en plein jour et en une heure de pointe, dans un quartier résidentiel, densément peuplé, pose une fois encore le problème des agressions somme-toutes gratuites, qui deviennent la règle auprès de certains jeunes congolais.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-21 13:17:43
Le Conseil des ministres qui s’est réuni jeudi 20 septembre 2018 au Palais du peuple, sous la très haute autorité du président de la République, Denis Sassou Nguesso, propose de dissoudre l’actuelle Commission nationale de lutte contre la corruption, ainsi que l’Observatoire anti-corruption, afin de les remplacer par une Haute autorité de lutte contre la corruption (HALC) afin d’atteindre l’objectif de rupture avec les mentalités déviantes et les comportements négatifs du passé, et dans le souci de prévenir et réprimer plus efficacement les actes de corruption, de concussion et de fraude.
Créé le 2018-09-21 03:29:06
Le ministre des Transports, de l’aviation civile et de la marine marchande a déposé, le 19 septembre à Brazzaville, une gerbe de fleurs sur la stèle des victimes de l'attentat du DC 10 d'UTA. La cérémonie de recueillement s’est déroulée en présence des délégués de plusieurs familles des disparus.
Une gerbe de fleurs aux couleurs de la république déposée au pied de la stèle sur laquelle sont gravés les noms des victimes, par ce geste, le ministre Fidèle Dimou a ravivé le souvenir de la nation et de tous pour ces morts que nul n'oublie.
« C’est un devoir de mémoire. Il y a vingt-neuf ans que le Congo a perdu ses compatriotes, nous ne l’avons pas oublié. Chaque fois, nous devons nous souvenir d’eux et leur dire, là où ils sont, que nous ne pouvons pas les oublier », a déclaré le ministre Fidèle Dimou.
Le ministre a ensuite salué les parents de victimes présents à la cérémonie, en qui, vingt-neuf ans après, l'émotion reste vive et la douleur intense. Fidèle Dimou leur a témoigné de la compassion de la république et de ses autorités.
« Aux parents, nous disons que la République compatit avec eux, elle les soutient dans leur douleur et leur peine est également partagée. Qu’ils continuent à être forts et à vivre dans l’espérance », a t-il conclu.

Le vol UT-772 DC 10 d'UTA avait été victime d'un attentat terroriste le mardi 19 septembre 1989. L'avion qui ralliait Brazzaville à Paris via Ndjamena, avait explosé au dessus du désert du Ténéré, au Niger. Cent soixante-onze passagers et membres de l'équipage avaient péri.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-20 09:56:24
Quelques jours après la descente de la ministre de la Santé et de la population, Jacqueline Lydia Mikolo, à Pointe-Noire et dans le Kouilou, où elle était allée s'enquérir de la situation sur le terrain et sensibiliser les différents services sur le plan de riposte contre l'épidémie, le Congo a réceptionné les premiers lots de vaccins contre la fièvre jaune.
Le gouvernement congolais a acquis, avec l’appui des partenaires comme l’Alliance mondiale du vaccin, l’Unicef et l’Organisation mondiale de la santé, un peu plus d'un million de doses du vaccins antiamarils, reçues le 19 septembre à Brazzaville.

Ces produits réceptionnés par le médecin chef du Programme élargi de vaccination, le docteur Armand Mourou Moyoka, sont acheminés en priorité à Pointe-Noire et dans le Kouilou, départements dans lesquels l’épidémie de la fièvre jaune a été officiellement déclarée le 23 août dernier.
La campagne de vaccination débutera le mardi 25 septembre prochain dans les différents centres.
L’âge de la population concernée varie entre neuf mois et plus. Les femmes enceintes, les femmes allaitantes et les enfants de moins de six mois ne sont pas concernés.
Les pouvoirs publiques demandent à toutes les personnes concernées de se faire vacciner, afin d'éviter la survivance des foyers de la maladie.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-20 08:59:17
L’ancien président ghanéen, Dramani Mahama s’est entretenu, le 19 septembre à Brazzaville, avec le président congolais, Denis Sassou Nguesso sur plusieurs sujets parmi lesquels les négociations entre le Congo et le Fonds monétaire international (FMI).
Créé le 2018-09-20 05:32:33
Malgré une croissance économique vigoureuse cette dernière décennie, 60 % des jeunes de 25 à 49 ans sont toujours sans emploi et déclarent avoir des difficultés de recrutement dans les entreprises qui ont pignon sur rue au Congo-Brazzaville.
Créé le 2018-09-20 05:01:33
La libération de l’opposant Paulin Makaya a été saluée, par l'ensemble de ses militants et sympathisants à Dolisie dans le département du Niari (sud).
Créé le 2018-09-20 04:42:03
Le sous-préfet de la ville de Makabana dans le Niari (sud), Yves Tsiba a lancé une opération de contrôle des effigies du président de la République Denis Sassou Nguesso dans tous les commerces de la ville.
Créé le 2018-09-20 04:13:37
L’ambassadeur chinois, Ma Fulin a rencontré mardi, à Brazzaville, le ministre congolais de l’Intérieur, Raymond Zéphyrin Mboulou pour l’inciter à attacher une plus grande importance à la sécurité des citoyens et des entreprises chinoises au Congo et prendre des mesures concrètes pour arrêter et punir les assaillants non identifiés qui ont tué deux chinois dans un braquage à mains armées sur la nationale n°2 .
Créé le 2018-09-20 03:39:58
La Lettre du Continent dément avoir publié un article mardi sous forme « d’alerte », prêtant des propos peu diplomatiques au président chinois, Xi Jinping sur le Congo-Brazzaville.
Créé le 2018-09-19 18:22:46
Un prétendu article publié par ''La Lettre du Continent'', retraçant l'entretien entre le président chinois Xi Jinping et congolais Denis Sassou N'Guesso, sur la dette congolaise, alimente le net depuis quelques jours. À la vérité, cet article est un faux, sorti de quelques officines de hackers.
Il ne se passe pas un jour sans que les amateurs de ''fake-news'' ne sortent de leurs laboratoires des informations farfelues, dans le seul but de discréditer le Congo et ses responsables. De nombreux sites d'information sur le Congo, reprennent hélas allègrement ces ''faux'', versant de facto dans la désinformation.
Le dernier fait en date, est cet article intitulé ''Pékin met Brazzaville sous pression'' attribué au site ''La Lettre du Continent''.
Cet article écrit dans un français de débutants avec quelques fautes qui montrent le niveau d'orthographe approximatif de ses concepteurs, est un faux grossier, bien loin de la réalité, tant il mentionne entre autres faits, la présence à Pékin d'un ministre qui n'était pas de la délégation présidentielle congolaise.

D'autre part, le dernier article sur le Congo-Brazzaville publié par ''La Lettre du Continent'' est intitulé '' Sassou nettoyeur … de dette'', mis en ligne le 19 septembre. Le précédant, datant du 14 septembre est titré : ''Les comptes de l'ambassade à Paris libérés''.
On ne le dira jamais assez, l'information par le net, est désormais assimilable à un couteau. Armez-en un chirurgien et un assassin, chacun s'en servira différemment.
Aux lecteurs d'être dorénavant plus vigilants, en démêlant le vrai du faux.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-19 11:06:57
Dans les quartiers populaires des grandes villes du Congo-Brazzaville, les opérateurs privés ont fortement développé le secteur de l’immobilier. Les endroits nouvellement choisis comme Massengo ou Kintélé à Brazzaville, Nanga, Ngoyo, Warf ou Mpita à Pointe-Noire voient émerger de belles maisons de luxe. Certains particuliers font appel à des ingénieurs étrangers, chinois notamment, pour construire des villas très « attractives », c’est-à-dire au meilleur rapport qualité/prix sur le marché. Cependant, après cinquante-sept ans d’indépendance, une trop grande partie de la population congolaise vit encore dans des quartiers insalubres. Les maisons sont construites en matériaux non durables et sont exposées à des risques d’intempéries récurrents.
Comme dans de nombreux pays d’Afrique ou d’Europe, les prix des loyers au Congo suivent la loi de l’offre et de la demande. Dans les quartiers résidentiels de Brazzaville, le loyer pour un appartement 5 pièces est de 400.000 F CFA et de 750.000 F CFA pour une villa.
À Pointe-Noire, les prix des locations sont encore plus élevés. De plus, il est nécessaire de disposer d’un groupe électrogène et d’ajouter des frais de gardiennage, de jour comme de nuit. Il existe à Brazzaville des logements dont le coût à l’acquisition s’élève à 65 millions de francs CFA.
Lorsqu’on sait qu’un cadre gagne en moyenne 422.000 francs CFA par mois (et que le pouvoir d’achat du Congolais moyen est d’environ 150.000 francs CFA par mois), on imagine mal comment les membres des classes moyennes pourraient acquérir de telles maisons en location/acquisition.
Malgré un développement très significatif de l’immobilier, les Congolais ont du mal à trouver un logement décent et à un prix raisonnable. Les logements construits par l’État à Bacongo ou à la cité du Clairon, à Brazzaville, leur sont difficilement accessibles. Le coût trop élevé et les interminables procédures pour acquérir ces maisons ont découragé de nombreuses familles. Souvent, les gens doivent se contenter d’acheter pour 1 à 3 millions de francs CFA environ, une parcelle de terrain de 400 mètres-carrés (20 mètres sur 20) dans les banlieues, à la merci des phénomènes naturels comme les inondations, les érosions, l’ensablement, pour espérer bâtir ensuite une maison familiale.
Pendant la période du boom pétrolier (2004-2014), l’État congolais a réalisé des programmes immobiliers dans plusieurs villes comme pour répondre à la demande toujours croissantes en logements. Les principales villes congolaises ont bénéficié de programmes de construction de logements sociaux. Brazzaville a engrangé plus de la moitié de ces programmes, dans les quartiers de Bacongo de Mpila, Camp Clairon, Camp 15 Août au centre-ville, et dans la nouvelle commune de Kintélé.
Dans les départements, à Oyo, Kinkala, Dolisie, Owando et Pointe-Noire, les programmes immobiliers de construction de logements ont permis l’émergence de maisons modernes. Dans certaines villes secondaires, des fonctionnaires, évoluant essentiellement dans les secteurs de l’éducation et la santé, bénéficient désormais de logements de fonction d’un standing moderne, grâce à la politique de municipalisation accélérée. La rénovation des immeubles ayant appartenu à la Direction centrale des logements et bâtiments de l’État participe de cette politique.
Aujourd’hui, tout le monde le sait, avec la crise économique qui sévit dans le pays depuis pratiquement 2015, le secteur de l’immobilier est dans la récession. Ce qui a entraîné un arrêt des programmes de construction de logements et une baisse significative des coûts des loyers. Pour contribuer à résorber la crise du logement dans le pays, le gouvernement a créé la Banque congolaise de l’habitat (BCH), avec un capital porté à 10 milliards de francs CFA. Un outil dont les Congolais devraient se servir pour acquérir des logements, en prenant des crédits à moyen terme. De plus, une nouvelle société de promotion immobilière a vu le jour, afin de faciliter l’accès des populations aux logements modernes construits par les pouvoirs publics.
On peut aussi se féliciter de la baisse générale des prix des matériaux de construction particulièrement le ciment. Dans un pays où l’auto-construction est encore le moyen le plus répandu pour avoir une maison, la baisse du prix du ciment grâce à l’implantation dans le pays de trois ou quatre nouvelles cimenteries est un facteur important d’accès à un logement décent.
En fait, une politique de logements audacieuse et efficace devrait s’appuyer sur un programme d’urbanisation du pays équilibré et volontaire. Ce programme est indissociable d’un pacte productif, écologique et social: rénovation des bâtiments, des moyens de communication et des infrastructures.
La distribution de l’eau et d’électricité reste aléatoire dans notre pays (certains réseaux électriques datent des années 1940). Faut-il espérer qu’avec les réformes de l’ex-SNE (Société nationale d’électricité) et de l’ex-SNDE (Société nationale de distribution d’eau) devenue La Congolaise des eaux (LCDE), les services et les taux de desserte vont s’améliorer?
Pour ce qui concerne la politique d’accès aux logements, il serait souhaitable de mettre en place un « Conseil d’orientation de l’urbanisme, du logement et du foncier» rattaché au Ministère en charge du logement dont l’objectif serait de fixer les grandes lignes d’une politique indicative réunissant les experts (du foncier, urbanistes, aménageurs, ingénieurs, économistes, sociologues, etc.) et les acteurs du monde industriel (constructeurs du BTP) et financier (banques et réseaux du micro-crédit). Ces différents acteurs auraient ainsi la possibilité de se concerter pour atteindre un futur désiré qui améliore les conditions d’habitat et de vie de la grande majorité de la population.
Un programme d’urbanisation national guidé par un Conseil d’orientation devrait avoir pour mission d’apporter aux politiques (gouvernement et Ministères) les solutions les plus efficaces pour le logement mais également pour les villes et l’aménagement des territoires. À moyen et plus long terme, outre les progrès sociaux et économiques obtenus par une concertation judicieusement conçue entre partenaires sociaux privés et publics, cela pourrait mettre fin aux ghettos, refaire la mixité sociale et réduire les inégalités, afin qu’un jeune congolais lambda ayant obtenu le concours de la Fonction publique puisse disposer d’un logement décent à crédit sans le concours de son oncle, frère ou une connaissance bien placée.
Roger NDOKOLO Président du parti du centre “UNIRR“ (Union pour la Refondation Républicaine).
Créé le 2018-09-19 09:29:05
La mise en place des mécanismes visant la création d’un environnement sécurisé et apaisé dans le département du Pool a été officiellement lancée le 18 septembre à Kinkala, en présence du Haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants et le représentant des agences du système des Nations unies.
Financé dans le cadre du Fonds de consolidation de la paix, le projet, lancé en présence des autorités locales et départementales du Pool, couvre une série d’actions spécifiques et ciblées à effet immédiat et impliquant les principaux acteurs locaux dans les différentes zones sensibles.

Pour le coordonnateur résident du Système des Nations unies (SNU) au Congo, Anthony Ohemeng-Boamah, cette initiative nécessite l’implication de toutes les forces vives de la nation afin de la centrée sur les trois piliers à savoir : l’ouverture d’un dialogue inclusif sur le département du Pool, devant conduire à la consolidation de la paix ; l’entame du processus DDR (Désarmement, démobilisation et réintégration) selon les normes internationales ; ainsi que la promulgation du respect des droits humains envers les acteurs étatiques et non-étatiques pour la réconciliation et la prévention des conflits.
Aussi, a t-il précisé dans son mot de circonstance que : « L’atteinte de ces résultats, dans un environnement socio-sécuritaire, encore fragile, commande que chacun de nous y mette du sien. Les activités de réalisation demanderont une très forte sensibilisation et de mobilisation de tous les acteurs clés engagés à travers une dynamique de sécurisation communautaire impulsée par le gouvernement, en étroite collaboration avec les partenaires au développement ».
Le Haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants, Euloge Landry Kolélas, a, quant à lui, rappelé que le projet « Consolidation de la paix » constitue, à n’en point douter, une étape préliminaire mais aussi le fondement de base du lancement du grand programme DDR-Pool.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-19 09:05:08
L’annexe 5 du budget en cours d’exécution a supprimé le taux réduit de 5% de la TVA sur certains produits de première nécessité, dont le ciment. Les services du Ministère congolais des Finances ont déjà sommé les cimenteries d’appliquer la TVA à 18% dans leur déclaration.
Créé le 2018-09-19 05:17:04
Un compte facebook à l'identité du ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla est actif depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. Cette manœuvre serait une usurpation pour laquelle le ministre qui n'use plus de cette plateforme depuis bientôt deux ans déjà, a appelé ses ''amis'' du net à la vigilance.
« je te confirme ne plus avoir de compte Fcbk depuis janvier 2016. Vigilance donc pour tous les internautes. Tout compte à mon nom sur ce média = fake.»
Par ce tweet, le ministre Thierry Moungalla a voulu rassurer sur l'usurpation d'identité dont il fait l'objet, de la part d'un hacker qui a créé un compte à son nom et qui approcherait ses ''contacts'' aux fins de tisser un réseau parallèle.
Cette pratique à l'évidence criminelle n'a d'autre but que de nuire à la réputation de la personne ciblée, en véhiculant à travers son réseau d'amis, des informations erronées, devant la desservir.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-18 10:07:29
La mairie de Pointe-Noire les présente désormais telles des mascottes sur son site internet. Des baleines sont régulièrement observées à quelques encablures de la côte, au large de Pointe-Noire.
Ces mammifères marins semblent se plaire dans les eaux congolaises où ils accompagnent désormais les bateaux, en se livrant à des pirouettes, comme pour marquer leur présence.

Par mer calme et ciel radieux, les passagers de hélicoptères assurant les navettes sur les plateformes pétrolières jouissent également du spectacle. Ils se pâment d'aise en racontant leur trouvaille : « on les a vu ».
Il y a près d'une dizaine d'années, des baleines à bosse étaient observées au large de Pointe-Noire, avant que celles-ci ne migrent plus loin. On les disait alors incommodés par les rejets pétroliers.
Même si le nombre de l'actuelle colonie n'a pas été évalué et qu'une étude dans ce sens est loin d'être menée, à propos de la présence de ces baleines pour lesquelles de nombreux ponténégrins sont prêts à une ballade d'observation en mer, certains océanographes avancent l'idée d'une migration due aux changements climatiques.

Pour les traditionalistes attachés aux phénomènes mystiques de la mer, ces baleines seraient l'escorte de « Tchikambissy », la déesse de la mer qui manifesterait ainsi sa présence, oracle d'un événement à venir.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-18 09:17:07
Son Excellence Raul Mateus Paula est le nouvel ambassadeur de la Délégation de l'Union européenne en République du Congo.
Le diplomate européen a été reçu lundi par Jean-Claude Gakosso, Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Congolais de l'étranger auquel il a présenté les copies figurées de ses lettres de créance. Les deux hommes ont à cette occasion évoqué les axes prioritaires de la coopération UE-Congo.
Après le Cameroun et le Niger, le Congo est le troisième poste de Mateus Paula en qualité d'ambassadeur. Il y remplace Saskia De Lang dont le mandat a pris fin en juillet dernier.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-09-18 07:48:18
Après avoir passé trois ans de prison à la maison d’arrêt centrale de Brazzaville, l’opposant Paulin Makaya, 49 ans, vient de recouvrer définitivement sa liberté lundi 17 septembre 2018. Depuis sa résidence de Madibou, le président du parti Unis Pour le Congo (UPC) appelle les congolais à privilégier la compétition des talents et abandonner la politique de la peur, du séparatisme car, selon lui, c’est cette politique qui tue le pays.
Créé le 2018-09-18 05:21:48
Les habitants de Tié-Tié dans le troisième arrondissement de Pointe-Noire interpellent le gouvernement et les élus locaux sur la nécessité de mettre en place une passerelle digne de ce nom sur la rivière Patra, la seule voie qui relie les quartiers Kilomètre 8 et Louessi, pour garantir la sécurité des usagers devant l’emprunter surtout de nuit et pendant la saison de pluies.
Créé le 2018-09-18 04:16:54