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Les églises dites du «réveil», un business qui rapporte gros au Congo-Brazzaville

Au Congo-Brazzaville, de nombreux pasteurs des églises dites du «réveil» mènent grand train ou amassent des fortunes au détriment de leurs adeptes. Ces églises sont bien souvent de véritables machines à faire du fric en vendant du vent. Elles sont devenues de plus en plus des lieux de spoliation de ceux qui croient y trouver des solutions à leurs angoisses socioéconomiques, financières ou métaphysiques.

Créé le 2018-09-27 05:57:40

Congo : En période de restrictions budgétaires, le gouvernement propose un mois de bourse sur six aux étudiants

En période de restrictions budgétaires, le gouvernement congolais tente de désamorcer la grogne croissante des étudiants de l’université Marien Ngouabi de Brazzaville en promettant de payer un mois de bourse sur six.

Créé le 2018-09-27 05:16:35

France-Congo : Plus de visas de court séjour aux ressortissants congolais et français titulaires de passeports diplomatiques sécurisés

Pour conforter leurs relations bilatérales et favoriser la circulation des ressortissants et cadres du Congo et de la France, les deux parties ont décidé de renouveler, pendant deux ans, l’accord qui dispense de visas de court séjour aux ressortissants congolais et français titulaires de passeports diplomatiques sécurisés.

Créé le 2018-09-27 04:51:09

Congo – Ministère des Finances : Présentation du Système Intégré de Gestion des Finances Publiques 

La 6ème réunion du comité de pilotage (COPIL) du projet de réforme du système d’information du Ministère des Finances s’est tenue le 21 septembre à Brazzaville, sous l’autorité du ministre des Finances et du Budget, Calixte Nganongo. Il s’est agit au cours de cette réunion de la présentation du Système Intégré de Gestion des Finances Publiques (SIGFIP) dans son volet chaîne de la dépense.

Le Système de Gestion des Finances Publiques (SIGFIP), permet d’assurer la gestion moderne des finances publiques. Le SIGFIP repose sur un guide de procédure d’exécution de la dépense de l’État qui vient d’être élaboré et un recueil des imprimés spéciaux relatifs à la chaîne de la dépense. Cette application a été présentée par le Directeur du Système d’Information du ministère des Finances et du Budget, Guy Noël Londongo, assisté du chef de projet, Marius Ikolo-Ngakosso.  

La chaîne de la dépense comprend la phase administrative (avec l’Expression des besoins par avis d’appel d’offres ; l’Engagement et la Liquidation) et la phase comptable (avec la prise en charge pour approbation ; et le Paiement).

« L’important ici, est que le mode de paiement est le virement bancaire. Nous sommes très en retard par rapport à la bancarisation. Nous sommes encore en train de toucher l’argent à la main, contrairement à ce qui se passe chez nos voisins du Rwanda ou du Kenya. Faisons-en sorte qu’au Congo, les gens acquièrent l’habitude d’aller en banque », a noté le ministre des Finances et du Budget, président du COPIL.

Les participants ont également débattu de l’état d’avancement des autres plans d’actions du projet de réforme informatique mises en place par le ministère. Il a été noté que plusieurs projets sont déjà avancés tels que l’interconnexion de la fibre optique inter administration (FIA) ; la messagerie du ministère des Finances ; l’interconnexion entre le système d’information de la douane (SYDONIA) et celui des impôts (SYSTAF) qui devient désormais (E-TAX). D’autres actions restent à mener, à l’instar de l’assistance technique informatique sollicitée par le ministère.

La 7ème réunion du COPIL se tiendra au mois d’octobre de l’année en cours. Elle sera consacrée à l’expérimentation des réformes informatiques dans cinq ministères pilote à savoir : le ministère des Finances et du Budget ; le ministère de l’intérieur et de la décentralisation ; le ministère de la construction, de l’urbanisme et de l’habitat et le ministère de l’énergie et de l’hydraulique.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-26 08:50:44

Congo : 6000 armes ramassées dans le Pool

Impulsé depuis quelques mois par les autorités congolaises, l'échange arme contre argent reste de mise dans le Pool (sud). L'action vise à lutter contre l'insécurité, le grand banditisme mais aussi à ramener la paix durable dans ce département. Les ex-combattants ninjas qui ont combattu l’armée dans la région voisine de Brazzaville, entre 2016 et 2017, ramassent librement leurs armes et viennent les déposer auprès de Séraphin Ondélé, président de la Commission qui supervise l’opération de désarmement.

Créé le 2018-09-26 06:07:51

Mayoko : Quarante wagons de minerais de fer à destination du port de Pointe-Noire

La société SAPRO, chargée de l’exploitation du fer de Mayoko dans le Niari (sud) a procédé au chargement de quarante (40) wagons de minerais de fer en partance pour le port autonome de Pointe-Noire.

Créé le 2018-09-26 05:30:42

Congo : La Journée nationale de l’arbre sera célébrée le 6 novembre prochain à Ngo

La Journée nationale de l’arbre sera célébrée le 6 novembre prochain à Ngo dans le département des Plateaux.

Créé le 2018-09-26 04:59:49

Congo – Force publique : Un policier viole l'épouse d'un militaire à Dolisie et s'enfuit menottes aux poignets

Interpellé suite au viol de l'épouse d'un militaire, un policier a pu prendre la poudre d'escampette, menottes aux poignets, depuis le tribunal, alors qu'il attendait d'être placé en détention à la maison d'arrêt de Dolisie.

Depuis quelques temps, le brigadier-chef Makita, alias ‘’Djaguère’’ ne cessait de se pâmer sur l'attrait physique de l'épouse de son voisin, militaire de son état, qu'il dévorait du regard.

En ce matin du 19 Septembre, ‘’Djaguère’’ croit bénéficier pour ses fantasmes, d'un coup de main de la providence. Et pour cause, cette femme qu'il a toujours savourée en rêve se présente à lui, en chair et en os.

La femme est en fait désespérée. Elle s'en réfère à lui son voisin, car elle est à la recherche de son mari sorti depuis la veille et qui n’est pas revenu à la maison de la nuit, ce jusqu'au matin.

Le policier Makita trouve là une occasion inespérée. Il se propose de conduire la femme du militaire au lieu où se trouverait son mari au quartier Manganzi assure t-il.

Tous deux, le policier et la femme prennent le chemin du quartier manganzi. Parvenus à un endroit isolé et loin de toute habitation, le policier oblige la femme à se déshabiller et la viole sous la menace. Il consomme ainsi l'acte à satiété, toute la journée.

Quand la femme parvient à se libérer de cet homme émoussé par la besogne, elle court chez elle et raconte sa mésaventure à son mari qui s'y trouvait déjà. Celui-ci pique une vive colère mais s'en réfère à la police, afin de ne pas commettre l’irréparable.

Le policier-violeur est appréhendé dans l'herbe, à l'endroit même où il avait commis son forfait. Il s'était endormi pour reprendre des forces.

Par la procédure d'urgence de flagrant-délit, celui-ci est déféré devant le procureur de la République. Pendant qu'il est gardé dans les locaux du palais de justice de Dolisie, Makita alias ‘’Djaguère’’ trompe la vigilance des magistrats et Policiers qui étaient tous là, en attendant son dépôt à la maison d’arrêt, et prend la clé des champs, une paire de menottes aux poignets. Depuis, il est porté disparu et l'enquête est en cours.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-25 19:16:20

Afrique Centrale – CEMAC : Les prévisions de croissance revues à la hausse grâce au pétrole

La croissance économique dans la zone de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) devrait atteindre cette année, un taux de 2,5%. C'est ce qu'a annoncé la Banque des États de l'Afrique centrale (BEAC) dans son dernier Bulletin économique et statistique traduisant ainsi une revue à la hausse de ses prévisions.

L'économie de la zone de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) reprend des couleurs.

Dans son Bulletin économique et statistique (BES), la Banque des États de l'Afrique centrale (BEAC) a revu à la hausse la prévision de croissance économique en 2018 de la zone. L'institut d'émission a en effet, annoncé une croissance de 2,5% contre une croissance initialement annoncée à 1,9%.

La Banque explique que cette croissance sera portée par le secteur pétrolier (+6,1%, contre +0,7% projeté), le secteur non pétrolier continuant pour sa part, à traîner la patte (+1,8%, contre +2,1% projetés).

L'institution financière ajoute que pour l'année en cours, les prix devraient également remonter à 1,6% en moyenne annuelle. Pendant ce temps, le solde budgétaire, base engagements, dons compris, deviendrait excédentaire à +0,5% du produit intérieur brut (PIB), et celui du compte courant se creuserait à -4,3% du PIB, indique la même source.

Même si le redressement du secteur pétrolier est bénéfique pour l'économie de la sous-région d'Afrique centrale, il comporte tout de même un risque.

Selon la BEAC, une croissance prolongée des cours du baril de pétrole brut et une hausse progressive de la production de pétrole brut permettraient d'accroître le volume des échanges extérieurs de la CEMAC mais elles causeraient également un déficit des transactions courantes qui passerait de 4,0% du PIB (1925,1 milliards francs CFA) en 2017, à 4,3% du PIB en 2018 (2201,9 milliards de francs CFA).

La BEAC craint également un dérapage éventuel dans l'exécution des programmes de réformes économiques conclues entre les États membres et le Fonds monétaire international (FMI). 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-25 11:20:14

Angola – Justice : Le fils du président Dos Santos incarcéré pour corruption 

Jose Filomeno dos Santos, ancien patron du fonds souverain angolais et fils de l'ex-président Jose Eduardo dos Santos, a été placé en détention provisoire dans le cadre d'une affaire de détournement de fonds portant sur 1,5 milliard de dollars, a annoncé le parquet général.

"En raison de la complexité et de la gravité des faits et afin de garantir l'efficacité de l'enquête (...), le ministère public a décidé d'appliquer aux accusés une mesure de détention préventive", a déclaré le procureur général Alvaro Da Silva Joao dans un communiqué.

"Les éléments de preuve rassemblés dans le dossier constituent des preuves suffisantes que les accusés se sont engagés dans des activités de corruption", a-t-il ajouté.

L'homme d'affaire angolo-suisse Jean-Claude Bastos de Morais, un de ses proches qui a géré une partie du fonds souverain, a lui aussi été placé en détention provisoire, selon le magistrat.

En mars dernier, Jose Filomeno dos Santos, surnommé Zenu, avait été inculpé pour avoir ordonné des virements suspects alors qu'il dirigeait le fonds souverain angolais.

Jusque-là sous contrôle judiciaire, Jose Filomeno dos Santos avait promis de "collaborer" avec la justice de son pays.

L'homme avait été nommé en 2013 par son père, le président Jose Eduardo dos Santos, à la tête d'un fonds souverain créé un an plus tôt et doté d'un capital de 5 milliards de dollars puisés dans la manne pétrolière du pays. Il a été limogé de son poste en janvier dernier par le nouveau président de l'Angola, Joao Lourenço.

Jose Eduardo dos Santos a quitté le pouvoir l'an dernier après avoir dirigé l'Angola pendant trente-huit ans. João Lourenço qui lui a succédé, a congédié au nom de la lutte contre la corruption, de nombreux barons de l'ancien régime.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-25 10:43:18

Congo – Bonne gouvernance : Lancement des travaux de l'audit sur le fonds de soutien à l'agriculture

Il a été lancé le 19 septembre 2018 à Brazzaville, les travaux de l’audit externe du Fonds de soutien à l’agriculture (FSA). Présidée par le Coordonnateur du Comité de pilotage de cet audit, Jean-Marie Montsagna, Conseiller administratif et juridique du Ministre Calixte Nganongo, en charge des finances et du budget, et superviseur dudit Comité, cet audit vise à faire la lumière sur la gestion du fonds ainsi que les solutions à envisager.

Cet audit qui sera réalisé par le cabinet Noott-Conseil, portera sur les conditions d’octroi de crédit, ainsi que sur les états financiers et comptables du Fonds. Il s’assurera aussi des conditions de poursuite et de mise en demeure des débiteurs. De même, il définira une Stratégie de relance des activités du Fonds. 

S’agissant des conditions d’octroi, les auditeurs devront s’assurer que les bénéficiaires du Fonds sont des agriculteurs, des coopératives maraîchères, des fermiers professionnels, des éleveurs de bovins, des pisciculteurs, etc.

L’audit devra aussi vérifier si chaque bénéficiaire a été recensé en phase avec son terrain de culture bien délimité en hectares ; si ce terrain est fertile ; s’il prévoit des abris aux intempéries et s’il présente des garanties contre les maladies des plantes.

En ce qui concerne le statut et la qualification du bénéficiaire, le Cabinet d’audit s’avisera de son identité ; de sa qualification diplômante ou professionnelle, de son gage comptable en cas de non- accomplissement de sa tâche ; et de sa garantie de remboursement ou de sa contribution au développement national.

Enfin, le travail d’audit portera également sur l’évaluation du Fonds de soutien à l’Agriculture, notamment, sur les budgets annuels alloués, tels que les 4 milliards de F CFA prévus au budget de l’État en 2018.

Dans le souci de diversifier l’économie congolaise, le Président Denis Sassou-N’Guesso a de tout temps, porté son attention sur le développement agricole.

La vision du président de la République à aller de l’avant dans le domaine agricole s’est soldée jusque-là, par des résultats peu flatteurs sur le terrain.

La mise en place du Fonds de soutien à l’Agriculture qui aurait pu porter une véritable révolution à la politique de Denis Sassou-N’Guesso a été visiblement sapée par ceux en qui il avait confiance et qui étaient chargés de la mettre en œuvre.

Peut-être comprendra t-il les raisons de cet échec, à travers le présent audit.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-25 09:13:49

Congo : La route Djambala-Lékana avance

Menacée de coupure par l’érosion, au poste kilométrique (PK) 20, la route Djambala-Lékana (42km) est en passe d’être remise en l’état pour une durée de trois mois.

Créé le 2018-09-25 05:43:15

Pointe-Noire : Il inclut 10 chats dans la liste de la Dot de sa fille

Nkaya Mabounda, quinquagénaire bembé et domicilié au quartier Voungou à Pointe-Noire, ne s’est pas gêné à inclure dans la liste de la Dot de sa fille 10 chats. Le futur beau-fils, déterminé à pulvériser tous les obstacles pour gagner le cœur de sa dulcinée, a fourni 15 chats au lieu de 10 dans sa Dot.

Créé le 2018-09-24 15:30:02

Congo – Déclaration de patrimoine : Un chantier toujours lancé, jamais exécuté

Afin de permettre aux citoyens d’être acteurs de la transparence de la vie publique conformément à la volonté du législateur, le Conseil des ministres qui s’est réuni jeudi 20 septembre 2018 a présenté le projet de loi relatif à l’obligation de déclaration de patrimoine par les citoyens élus ou nommés à une haute fonction publique. Cette disposition constitutionnelle promue depuis la Conférence nationale, peine pourtant à être mise en application par les gouvernements successifs.

Pendant la Conférence nationale souveraine de 1991, sur fond de lutte contre les « biens mal acquis », il avait été inscrit dans l'acte fondamental de la transition ainsi que dans la constitution de 1992, une disposition enjoignant les personnalités nommées aux hautes fonctions de déclarer leur patrimoine.

Si cette disposition connut pour les ministres du gouvernement de transition d'André Milongo, une application de principe, la déclaration de patrimoine s'étant faite simplement sur l'honneur, comme dans un confessionnal, plus jamais, personne ne l'évoqua pour les gouvernements à venir, alors que l'inobservation de cette disposition était susceptible de bloquer toute nomination ou élection selon les termes prescrits par la constitution.

À la vérité, cette mesure, hormis le bas peuple, presque personne n'en veut. Et pour cause, elle oblige à un inventaire du patrimoine à la prise de fonction, lequel patrimoine est réévalué à la cessation de fonction.

Or l'évaluation d'un patrimoine fait toujours se dresser les oreilles et s'écarquiller les yeux des structures de l'État chargées d'en tirer les dividendes qui lui reviennent.

D'autre part, une évaluation de patrimoine révélerait pour beaucoup, une inadéquation comptable entre leurs ressources réelles et les biens dont ils disposent. Une situation fort embarrassante, sous-tendant une quelconque « cleptomanie » dans leur acquisition, et qui les disqualifierait, avant même de n'avoir été mis à l'épreuve.

La thèse est certes discutable, mais que ses contradicteurs veillent bien justifier pourquoi ces dispositions de la constitution ne sont-elles jamais appliquées de tout temps?

« Constitution du 20 janvier 2002 : Article 47: Les biens publics sont sacrés et inaliénables. Tout citoyen doit les respecter scrupuleusement et les protéger. La loi fixe les con­ditions d'aliénation des biens publics dans l'intérêt général. Tout acte de sabotage, de vandalisme, de corruption, d'enrichissement illicite, de con­cussion, de détournement ou de dilapidation des deniers publics, est réprimé dans les conditions prévues par la loi. Article 48 : Tout citoyen, élu ou nommé à une haute fonction publique, est tenu de décla­rer son patrimoine lors de sa prise de fonctions et à la cessation de celles-ci, conformément à la loi. L'inobservation de cette obligation en­traîne la déchéance des fonctions dans les conditions fixées par la loi. »

« Constitution du 25 octobre 2015 : Article 53. Les biens de l'État sont sacrés. Les biens du domaine public sont inaliénables, incessibles, imprescriptibles et insaisissables. Tout citoyen doit les respecter et les protéger. La loi fixe les conditions d'aliénation des biens publics, dans l'intérêt général. Article 54. Tout acte de sabotage, de vandalisme, de corruption ou de dilapidation des deniers publics est interdit et réprimé dans les conditions prévues par la loi. Article 55. Tout citoyen, élu ou nommé à une haute fonction publique, est tenu de déclarer son patrimoine lors de sa prise de fonction et à la cessation de celle-ci, conformément à la loi. La loi détermine les fonctions soumises à l'obligation ci-dessus indiquée ainsi que les modalités de déclaration du patrimoine. »

Ainsi qu'on le voit, les instruments juridiques existent depuis toujours. Le reste est question de volonté politique pour agir vraiment, car il n'est pas faux de penser que dans de nombreuses fortunes congolaises, il y a un peu de l'argent public qui y sommeille.

Cette fois ci, Denis Sassou N'Guesso qui s'est personnellement engagé à faire aboutir les choses devrait user de fermeté, car les oppositions viendront de partout.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-24 10:13:37

Libye : Le nom Kadhafi perçu comme une solution à la crise

En Libye, le nom de Kadhafi est désormais dans un coin de toutes les têtes. À défaut du « guide Muammar », son fils Seif Al-Islam Kadhafi est devenu un personnage charismatique sur lequel de nombreux libyens fondent leur espoir de retrouver le pays qui était le leur.

Alors que la Libye se dirige vers des élections qui pourraient aboutir à un hypothétique retour à la stabilité et à la paix après la crise qu’il connaît depuis 2011, Seif Al-Islam Kadhafi apparaît comme le symbole d’une époque: celle où le pétrole coulait à flot, et sa rente avec, et celle où la voix de la Libye comptait sur la scène internationale.

Une Libye d’avant les milices et la crise migratoire. Une Libye aussi, sans constitution et sans démocratie.

Mais certains Libyens, échaudés par leur expérience « démocratique» et ses conséquences, songent avec nostalgie aux années Kadhafi. Etrange destin que celui de Seif Al-Islam Kadhafi, fils du «guide» Muammar Kadhafi, qui a vu son personnage évoluer avec les années vers une figure quasi-christique.

Dans cette Libye aujourd’hui divisée entre le gouvernement d’union nationale de Tripoli, et celui de l’est appuyé par l’armée nationale, le premier, dirigé par Faez Al-Sarraj est reconnu par la communauté internationale, mais n’a dans les faits, aucun pouvoir véritable, alors que le second, dirigé par le maréchal Khalifa Haftar, a le pouvoir militaire, mais pas de légitimité.

Or c’est justement cette forme de légitimité auprès des tribus et d’une partie de la population qui pourrait donner un avantage à Seif al-Islam, même si le chemin est encore long vers son retour triomphal à la tête d’une Libye.

Libéré en juin 2017, le fils Kadhafi se fait discret et ne s’exprime que par ses avocats ou ses partisans. En avril 2018, il a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle initialement prévue pour décembre 2018. S’il y participait, il aurait de véritables chances selon les analystes. 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-24 08:17:20

RDC – Musique : Koffi Olomidé sous le coup d'un deuxième mandat d'arrêt international

Le chanteur congolais (RDC) Koffi Olomidé était appelé à comparaître devant la justice zambienne vendredi 21 septembre, pour les chefs d'accusation de coups et blessures volontaires sur un reporter photographe. Ne s'étant pas présenté à l'audience, le tribunal a décerné un mandat d'arrêt international à son encontre.

Koffi Olomidé était absent de l'audience au cours de laquelle il devait comparaître vendredi, en Zambie. L'agent du musicien en Zambie, Mark Mumbalama, a demandé à la justice d'accorder à son client davantage de temps. Il dit avoir rencontré des difficultés pour transmettre sa convocation au chanteur.

En dépit de cette requête, Gilbert Phiri, avocat du plaignant, a demandé un mandat d'arrêt contre l'artiste, affirmant qu'il ne s'était pas présenté lors de ses précédentes convocations devant la justice. La juge Mwandu Sakala a justement suivi les réquisitions de l'avocat. "J'ai autorisé la demande d'un mandat d'amener", a-t-elle déclaré.

Koffi Olomidé est accusé d'avoir agressé un photojournaliste rwandais, Nepomuscene Ndayisenga, lors d'une soirée dans un hôtel de Lusaka, le 28 décembre 2012. Le plaignant accuse l'artiste de l'avoir frappé au visage et à la main. "Le majeur de ma main droite a été cassé, l'objectif de mon appareil photo aussi", a-t-il affirmé.

Koffi Olomidé encourt une peine de prison ou une amende. En juillet dernier, la Zambie lui avait interdit d'entrer dans son territoire où il devait donner deux concerts. Il avait présenté des excuses, qui avaient été diffusées par la radio zambienne.

Koffi Olomide est également poursuivi en France pour l'agression sexuelle de quatre de ses danseuses et fait déjà l'objet d'un mandat d'arrêt international.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-22 23:59:44

Congo – Nécrologie : Le ministre Jean Dello s'en est allé

Ministre des Postes et télécommunications de 1997 à 2003 et ancien député de Mvouti, Jean Dello est décédé dans la nuit de vendredi à samedi 22 septembre.

Chercheur en ethnolinguistique, écrivain et homme politique, Jean Dello est né le 5 avril 1940 dans le canton de Banda, district de Mvouti auquel il est resté très attaché, au point d'y être élu député.

Jean Dello commence sa scolarité par des études primaires, respectivement à Mpounga, Guéna (actuellement Bilala) et à l'école Saint-François de Pointe-Noire.

Il poursuit ses études au collège Chaminade à Brazzaville, puis à l'école normale de Dolisie, dont il en sort instituteur. Ses premiers pas d'enseignant sont effectués à Komono et Sibiti.

Jean Dello se perfectionne ensuite à l'école normale supérieure d'Afrique centrale pour devenir professeur de collège d'enseignement général (CEG). Il obtient ensuite une maîtrise en lettres et civilisations négro-africaines de l'université Paris XIII de Villetaneuse.

Après son DEA à Paris IV La Sorbonne, il obtient, en 1983, un doctorat en ethnolinguistique à l'université de Nice1. Après ses postes d'enseignant, Jean Dello a travaillé pour l'office de gestion des étudiants et stagiaires congolais (OGES) à Paris, puis à l'office de recherche scientifique des territoires d'Outre-Mer (ORSTOM) de Pointe-Noire.

Afin de promouvoir la langue vili sur laquelle il a axé nombre de ses recherches en linguistique, Jean Dello a publié de nombreux contes vili.

En tant que romancier, Jean Dello a publié entre autres ouvrages, Le miroir du vent ; Les dangers du désir ou encore Le pardon.

Il est aussi l'auteur de plusieurs publications scientifiques axées sur la linguistique.

L'homme qui a mené une vie bien remplie quitte la terre des hommes à 78 ans.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2018-09-22 09:11:32

Congo : L’opposition rend visite à Paulin Makaya

Plusieurs leaders politiques, réunis au sein de la Fédération de l’Opposition Congolaise et le Conseil Fédéral Frocad-IDC-CJ3M, ont rendu visite à l’opposant Paulin Makaya, président du parti Unis pour le Congo (UPC) à Madibou, au sud de Brazzaville, pour lui témoigner leur affection et gratitude.

Créé le 2018-09-21 15:57:34

Congo : Obligation de déclaration de patrimoine par les citoyens élus ou nommés à une haute fonction publique

Afin de permettre, conformément à la volonté du législateur, aux citoyens d’être acteurs de la transparence de la vie publique, le Conseil des ministres qui s’est réuni jeudi 20 septembre 2018 au Palais du peuple, sous la très haute autorité du président de la République, Denis Sassou Nguesso, a présenté le projet de loi relatif à l’obligation de déclaration de patrimoine par les citoyens élus ou nommés à une haute fonction publique.

Créé le 2018-09-21 15:16:26

Denis Sassou Nguesso a Bamako pour les festivités marquant le 58ème anniversaire de l’indépendance du Mali

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a quitté Brazzaville, la capitale congolaise, ce vendredi 21 septembre 2018 pour Bamako.

Créé le 2018-09-21 14:42:51

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