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Le gouvernement du Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba a été destitué jeudi par l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC).
Créé le 2021-01-28 09:14:17
Les éléments de la police judiciaire au Kouilou ont il y a quelques jours, mis la main sur Ndongo Otendé Hilaire Junior, un profanateur de tombes qui revendait les ossements à des tiers. L’homme a été présenté à la presse par le commandant de ladite unité, le colonel Edgard Brice Sosthène Malanda, le mardi 26 janvier à Pointe-Noire.
Face à la presse, le colonel Edgard Brice Sosthène Malanda a présenté le prévenu. Âgé de 24 ans, cet homme de nationalité congolaise est sans domicile fixe, célibataire et père d’un enfant.
L’homme a été appréhendé suite au signalement des responsables de l’église Fraternité et lumière de vérité située au quartier OCH, auxquels il avait proposé les ossements humains.

Selon le colonel Edgard Brice Sosthène Malanda, « au cours de son audition, le présumé profanateur Ndongo Otendé Hilaire Junior est passé aux aveux en reconnaissant que les ossements ont été soutirés dans l’une des tombes du cimetière du centre-ville dénommé Centre de repos, non loin de la côte sauvage. Il avait éventré le cercueil et en avait soutiré les restes mortels d’un défunt. Il est susceptible d’être poursuivi pour profanation de tombe. »
L’officier de police n’a pas précisé si Ndongo Otendé Hilaire Junior en était à sa première tentative de vente d’ossements humains.
Quoiqu’il en soit, « le dossier sera transmis au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Pointe-Noire pour la mise en mouvement d’une action publique », a-t-il conclu.
Interrogé par la presse, Ndongo Otendé Hilaire Junior a reconnu les faits tout en spécifiant qu’il n’en était qu’à ses débuts dans ce business qui selon des dires, générerait des revenus conséquents.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2021-01-27 15:30:05
La direction générale des transports terrestres (DGTT), vient de lever un coin de voile sur les raisons de ces accidents devenus presque endémiques sur les routes congolaises. Sept permis de conduire sur dix, répertoriés dans le pays, sont des faux. Les faussaires se concentrent principalement à Brazzaville et Pointe-Noire.
Ils se disent chauffeurs car ils sont détenteurs d’un permis de conduire et en exercent la profession. Pourtant ces pseudos chauffeurs méconnaissent l’essentiel des règles de conduite et leur rôle semble consister presqu’exclusivement à déplacer leur véhicule d’un endroit à un autre, en évitant au mieux les accidents.
Ce constat est manifeste pour tout titulaire d’un permis de conduire, celui-là même qui a assimilé le code de la route, avant d’apprendre à conduire, quand il observe de nombreux chauffeurs, à Brazzaville et Pointe-Noire, voire Dolisie, des villes où la circulation urbaine est intense.
Le nouveau directeur général des transports terrestres, Sadate Girest Bokenga Manzekele s’est engagé à remettre de l’ordre dans le secteur des transports routiers. Les premiers constats découlant du processus de remplacement du permis de conduire papier en un autre, informatisé et sécurisé après authentification, font froid dans le dos. Sur plus de 500 permis déposés, à peine 151 sont vrais, soit environ 70% de faux documents en circulation dans le pays. Cette irrégularité justifie le taux élevé d’accidents de la route au Congo, selon un cadre de la DGTT.

Même si les accidents de la route interviennent toujours, quelles que soient les précautions, les causes des accidents sur les routes congolaises interrogent dans la plupart des cas, sur les capacités réelles des chauffeurs à prendre le volant et surtout leur aptitude à s’adapter au trafic sur des routes à circulation intense. C’est à croire que chacun use de son propre code de la route qu’il adapte à sa manière, sans se préoccuper des autres usagers ou encore des messages envoyés par la route elle-même, à travers les panneaux – quand ils existent – pourquoi pas la configuration géographique de ladite route, en anticipant sur les éventuelles situations qui peuvent causer un accident, ce en interpellant l’intellect, voire l’expérience du chauffeur.
Chevauchement de la ligne continue en toute aisance, dépassement sans avoir préalablement évalué la vitesse du véhicule que l’on dépasse qui souvent accélère pour ne pas se laisser doubler, ou encore la distance pour un éventuel rabattement avant de croiser un véhicule venant en sens inverse, dépassement à un virage serré dépourvu de visibilité, course-poursuite des chauffeurs se livrant à un concours ‘’d’habileté au volant’’, sur fond de klaxon et même d’encouragements des passagers à bord, le tout parfois arrosé d’une bouteille d’alcool ‘’sifflée’’ en pleine conduite pour semble t-il « garder la forme ». Autant d’infractions graves au code de la route, qui sous d’autres cieux, vaudraient au conducteur jusqu’à une suspension du permis de conduire, à défaut de l’immobilisation du véhicule. Hélas au Congo, ces abus sont de l’ordre du naturel et ils n’émeuvent point, outre-mesure.
Quand la route est rectiligne et dégagée sur une longue distance, certains chauffeurs croient venu le moment d’évaluer à fond la vitesse du véhicule, sans se soucier qu’ils le rendraient alors plus léger et donc vulnérable face à la force des vents latéraux, surtout dans des endroits dépourvus de végétation. Combien d’autocars se sont-ils couchés sur le trajet entre Pointe-Noire et Brazzaville sur fond d’excès de vitesse !

Pour beaucoup de ces chauffeurs, le panneau présentant une girouette qu’ils ont croisé, et qui plus est de forme triangulaire, donc un panneau de danger, imposant de fait la prudence, notamment la réduction de la vitesse, signifie plutôt qu’il y a un aéroport dans les environs.

Il n’est pas étonnant de voir un conducteur s’abstenir de s’arrêter à un stop ou à un feu rouge, au prétexte qu’il n’y a pas de véhicule en face.
De même, de nombreux chauffeurs usent de vitesse excessive, sans se préoccuper des panneaux qui en limitent, ou de l’état de la route, pour d'éventuels anticipations, notamment en croisant d'autres usagers, ou encore des piétons pouvant surgir des accotements. C’est en quelque sorte une conduite d’amateurs confortée par la pratique commune. Ce qui en créée la norme applicable par tous.
À l’étranger qui s’en offusque on répond : « ici on conduit comme ça. Avec votre logique, on ne peut pas avancer. Chez nous c’est on part on part ». Sauf que ce manque de logique laisse de nombreux usagers de la route sur l’asphalte.

Dans ce véritable micmac, même les agents de la circulation routière semblent dépassés, si ce n’est que certains encourageraient à l’évidence ces comportements répréhensibles, afin de devoir sévir et s’en mettre plein les poches.

Des campagnes de sensibilisation sur les dangers des infractions au code de la route sont certes menées par les services habilités, avec parfois des illustrations aux moyens des images de violents accidents de la route. Cela semble hélas, ne pas produire d’effet, car dans la pratique sociale congolaise, seule une action répressive contraint au respect des prescrits édictés dans un domaine ou dans l’autre. Et puis, comment demander à quelqu’un qui n’a pas acquis les connaissances qu’on lui demande d’appliquer, de s’amender sur celles-ci ?
Ce qui est évident, c’est qu’il prétend savoir, alors qu’il ne sait rien. Il faut d’abord le former, avant de lui demander de se conformer à ce qu’il a appris, puis le sanctionner, le cas échéant.
Cette non connaissance des prescrits du code de la route, conduit au quotidien à des actions qui engorgent la circulation par le simple fait que de nombreux conducteurs méconnaissent la courtoisie au volant. Accepter par exemple de perdre 15 à 20 secondes pour laisser passer un usager qui doit s’engager sur une voix latérale, pour éviter un embouteillage qui bloquerait toute la circulation. Parfois, c’est à se demander, si tous les conducteurs ont bien leurs facultés mentales en place, car leurs agissements sont à la limite asociaux. Insultes, emportements, tentatives d’en venir aux mains, le tout parfois, sur fonds de consommation de drogue ou d’alcool.
Face au nombre croissant d’accidents, et surtout à l’amateurisme des chauffeurs, nous avons toujours évoqué le fait que l’authenticité de nombreux permis de conduire congolais était sujette-à-caution, ou que ceux-ci étaient complaisamment délivrés. Désormais, nous en avons la preuve.
Certes, grâce à l’action du directeur général des transports terrestres, Sadate Girest Bokenga Manzekele, les permis frauduleux sont de facto suspendus. C’est l’action administrative. Qu’en sera-t-il alors de l’action judiciaire, face à ce qui est présenté comme une organisation criminelle qui use du faux. Combien de morts, du fait de cette connexion de faux chauffeurs. Peut-être le moment est-il venu pour ceux, pris en flagrant délit de faux et usage de faux, ainsi que leurs complices en cols blancs, de payer pour leurs crimes, ce après une auto saisine du procureur de la république.
Ce n’est peut-être qu’un rêve, mais l’illusion de voir enfin que les uns et les autres prennent leurs responsabilités et sévissent, nous réconforte, pourquoi pas.
Attendons de voir…
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2021-01-27 13:52:50
Le Parti Unis pour le Congo (UPC) de Paulin Makaya et la Fédération de l’opposition congolaise (IDC-frocad-J3M) animeront une conférence de presse ce vendredi 29 janvier 2021 à 10 heures, à la Conférence Episcopale du Congo (Aumônerie-CIO) à Brazzaville, sous le thème : « Appel de Brazzaville pour le rassemblement des démocrates congolais ».
Créé le 2021-01-27 11:33:05
Plus de 3000 Passeports biométriques ont été mis à la disposition du Consulat Général du Congo en France, afin d'assurer la distribution aux bénéficiaires, selon une note d’information de la chancellerie congolaise à Paris dont une copie est parvenue à notre rédaction ce jeudi.
Créé le 2021-01-27 10:19:15
Un véritable ouf de soulagement pour les populations de Kibangou qui pourront sous peu voyager sereinement, loin des tracasseries d’antan.
Créé le 2021-01-27 09:04:27
Le groupe B du CHAN 2020 a rendu son verdict lundi avec une grosse sensation à la clé ! Vainqueur de la compétition en 2014 et considérée comme l’un des favoris, la Libye a en effet été éliminée par le Congo qui se qualifie grâce à sa victoire 1-0.
Créé le 2021-01-26 21:51:03
Des jeunes ex-combattants du Niari (sud) ayant tourné le dos à la violence et regroupés au sein d’une association dénommée Dynamique pour la paix lui ont remis symboliquement une enveloppe de 5 millions de francs CFA en guise de contribution à sa caution à la candidature. Une caution fixée à 25 millions de francs CFA, contre 5 millions il y a sept ans.
Créé le 2021-01-23 22:28:40
Le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso a reçu en audience, vendredi à Dolisie dans le Niari (sud), la famille de l’ancien Président Pascal Lissouba conduite par son fils Jérémy Lissouba, député de la deuxième circonscription électorale de l'arrondissement 2 de Dolisie.
Créé le 2021-01-23 21:51:36
Les congolais attendaient cette annonce comme les résultats d’un test PCR. Le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso se porte candidat à l’élection présidentielle de mars 2021 pour répondre aux attentes de son peuple.
Créé le 2021-01-23 21:04:36
Le Congo-Brazzaville, battu lors de son entrée en lice par la RDC (1-0), et le Niger, qui avait concédé le nul face aux Libyens (0-0), visaient jeudi 21 janvier, dans le cadre de la deuxième journée de la phase de poules du CHAN 2020 (groupe B), la victoire pour rebondir et rêver un peu plus aux quarts de finale. Finalement, comme lors du match joué un peu plus tôt, les deux sélections se sont séparées sur un match nul 1-1 qui n'arrange personne mais laisse au moins une chance à chacun d'espérer prendre part à la suite de la compétition.
Créé le 2021-01-22 18:01:59
Les habitants du chef-lieu du département du Niari (sud) ont tout au long de l'artère principale, acclamé le Président de la République. Une liesse populaire ornée de tout l'enthousiasme citoyen a scandé «Le Président Sassou est une chance divine pour le Congo ! »
Créé le 2021-01-22 16:55:12
L’administrateur-maire de la communauté urbaine de Mbinda dans le département du Niari (sud), Davy Patrick Boupassy souhaite rouvrir le marché central le premier dimanche du mois de février prochain.
Créé le 2021-01-21 19:40:30
Après examen et discussion, le Conseil des ministres, qui s’est réuni ce mercredi 20 Janvier 2021 par visioconférence et sous la très haute autorité du Président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a approuvé le projet de loi portant création de l’imprimerie nationale du Congo. Ce projet a pour vocation à faire passer l’imprimerie nationale du statut d’administration publique à celui d’établissement public à caractère industriel et commercial. Il sera transmis au Parlement pour examen et adoption.
Créé le 2021-01-20 21:06:00
Parti de Mbinda le 18 décembre 2020, pour se faire un peu de sous pendant les fêtes de fin d’année, Justin Matabila alias Mazero, la soixantaine révolue, s'est retrouvé au bord de la rivière Lekoko, à un jour de marche où il avait l'habitude d'y aller faire sa pêche pour au moins 7 à 10 jours. Cette fois-ci ça mal tourné pour le célèbre pêcheur de la contrée.
Créé le 2021-01-20 20:09:43
Les Prs Stéphane Méo Ikama (cardiologue), Paul Macaire Ossou Nguiet (neurologue) et le Dr Bertille Léa Edmonde (généraliste) sont les trois médecins retenus pour constater l’état physique et mental des candidats à l’élection présidentielle du 21 mars. Ils ont été installés dans leur fonction ce mercredi 20 janvier à Brazzaville par le président de la Cour constitutionnelle, Auguste Iloki en présence du président de l’Ordre national des médecins du Congo, Léon Hervé Iloki.
Créé le 2021-01-20 19:20:13
Playdoyer pour les éléctions présidentielles 2021 en République du Congo: le choix catégorique pour la paix, la sécurité, la stabilité et l'équilibre écologique à l'ère des enjeux mondiaux.
Comme le disait le Président Denis Sassou Nguesso, « Je ne suis pas comme ceux-là qui utilisent l’expérience de leurs verbes mais j’utilise plutôt le verbe de mon expérience ». Nul besoin d’être un brillant oracle pour affirmer que l’histoire retiendra de l’année 2020 la pandémie de la Covid-19 et ses conséquences sanitaires, économiques et sociales qui doivent et devront nous éclairer sur nos modèles de société. Gageons que l’année 2021 saura se placer sous les hospices de la renaissance, de l’innovation et de la prospérité. En tout état de cause, elle marquera pour les congolais une année charnière puisqu’ils seront appelés aux urnes à l’occasion de l’élection présidentielle en République du Congo qui devrait se tenir en mars prochain.
Créé le 2021-01-20 18:35:58
Cette année nous serons appelé(e)s à voter dans un contexte de pandémie de la Covid-19, lors de la présidentielle du 21 mars 2021. Notre vie démocratique va s'adapter, elle aussi, à une crise sanitaire qui n’en finit pas de bouleverser nos habitudes.
Créé le 2021-01-20 17:53:21
Ça passe ou ça casse. Dernier du groupe, derrière la RDC (3 pts), la Libye (1 pt) et le Niger (1 pt), le Congo affronte le Niger ce jeudi 21 janvier dans le cadre de la deuxième et avant dernière journée des phases de groupes de la sixième édition du Championnat d’Afrique des nations (Chan) Cameroun 2020.
Créé le 2021-01-19 19:19:47
Le fait divers affecte la communauté congolaise de Dijon. Alors qu’ils faisaient rôtir de la viande des chèvres qu’ils avaient auparavant abattu eux-mêmes, trois congolais ont été interpellés par la police samedi 16 janvier au soir à Dijon, en Cote d’or. Les trois infortunés sont désormais poursuivis pour abattage d’un animal sans précautions.
Ils sont respectivement âgés de 21, 30 et 49 ans, tous trois, des hommes originaires de la République démocratique du Congo, qui vont devoir répondre de leurs actes devant la justice. Et pour cause ?
Samedi 16 janvier, les trois amis se rendent dans une ferme au nord du département, où ils achètent deux chèvres bien sur pattes. De quoi faire bombance et ils y rêvent déjà. Sur le chemin du retour vers Dijon, les trois comparses font une halte dans un champ. Là, ils abattent les deux bêtes, les dépècent puis en dégage des morceaux pour le rôti ainsi que le barbecue qu’ils se proposent d’arroser de bière mais aussi du bon vin. Quand ils quittent le champ qui leur a fait office d’abattoir pour rejoindre leur domicile, il est déjà 18 heures, l’heure du couvre feu.
Plutôt que de rentrer chez eux, couvre-feu oblige, les trois amis décident bien au contraire d’assouvir cette envie pressante de bonne chair qui déjà leur met de l’eau à la bouche. C’est donc à même la cour bien éclairée de leur immeuble et qui plus est sous la neige, qu’ils lancent leur barbecue.
Entre deux bouchées de ''gamouches'', entendez brochettes et quelques gorgées de vin pour se réchauffer face au froid, les trois amis ne s’interdisent de rien. Les sonorités bruyantes d’une causette intempestive ainsi que les rires aux éclats incommodent le voisinage. La soirée porte sur la rencontre du chan, RDC – Congo de dimanche soir, pour laquelle nos trois amis fêtent déjà la victoire par anticipation, en ce samedi. Aussi, assimilent-ils chacune de leur bouchée aux diables rouges du Congo, ainsi mangés par les léopards.
Bientôt, ce repas festif se transforme en une indigestion. Incommodés par la fumée, l’odeur de viande boucanée mais surtout ces dérangeants éclats de voix, les voisins, plutôt que de s’inviter à la fête comme ils l’auraient fait à Kinshasa, ont vite fait d’appeler la police qui arrive sur les lieux vers 23 heures 30 et interpelle les trois personnes.
Après une nuit en garde à vue, les trois amis sont ressortis dimanche 17 janvier, après avoir reçu une amende de 135 euros pour non respect du couvre-feu. Visiblement sonnés, ils ne parviennent pas à se remettre de cette mésaventure dont ils ne comprennent pas les raisons. « Oyo mboka nini. Mbila a kuéya po na ngamundélé ». Autrement dit, dans quel pays sommes-nous, pour que la police descende à cause d’un barbecue.
Un barbecue pour lequel ils sont en outre convoqués au tribunal en juillet prochain, pour le chef d’abattage inapproprié d’animaux. Et là, ils risquent jusqu’à six mois de prison.
Bien chèrement payé tout de même pour une séance de barbecue que nos trois congolais ne sont pas prêt d’oublier.
Comme quoi, chaque pays a ses lois, parfois bien différentes de celles de son pays d’origine et il faut bien s’y conformer.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2021-01-19 19:09:55