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Les congolais, les visages dissimulés derrière les masques protecteurs, le coronavirus oblige, sont appelés aux urnes ce dimanche 21 mars 2021 pour élire un nouveau président. Principal enjeu du scrutin : la participation. Mais aussi la transparence. Le Congo vit en circuit-fermé, le temps de l’élection, ce jusqu’à lundi. Les communications nationales et internationales ont été coupées à la demande des autorités.
Créé le 2021-03-21 12:02:34
Guy-Brice Parfait Kolélas (60 ans), leader de l'Union des démocrates humanistes (UDH-Yuki), candidat à la présidentielle congolaise de ce dimanche 21 mars puisque c’est de lui qu’il s’agit aujourd’hui se bat contre la mort, malgré son énergie débordante depuis le début de sa campagne électorale.
Créé le 2021-03-20 19:19:49
L’ancien ministre congolais, Ouabari Mariotti, membre de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS/opposition) remercie Alain Foca, journaliste à RFI, d’avoir, dans son émission "Archives d'Afrique", consacré quatre émissions, sur "la vie du Président Pascal Lissouba."
Créé le 2021-03-20 13:40:25
Après deux semaines d’une campagne électorale marathon aussi bien à Brazzaville qu'à l'intérieur du pays, le candidat de l'opposition Guy-Brice Parfait Kolélas, n’a pu effectuer le déplacement du stade Marchand dans le deuxième arrondissement de Brazzaville, Bacongo où s'est tenu son dernier meeting de campagne électorale pour la présidentielle.
Créé le 2021-03-20 13:09:59
Alors qu'il embarquait dans l'avion présidentiel à destination d'Atlanta vendredi, le Président américain, Joe Biden a trébuché à trois reprises dans l'escalier qui le menait au Air Force One. Un moment bien évidemment capturé par les caméras.
Créé le 2021-03-20 11:49:36
Ainsi, les communes qui disposent d’une police devront mobiliser les limiers afin d’assurer une présence visible et régulière à proximité des bureaux de vote. « Pour préserver le caractère libre et secret du vote, il est strictement interdit à tout électeur de pénétrer dans le bureau de vote avec un téléphone portable. Il est également interdit à toute personne ayant eu accès au bureau de vote, à quelque titre que ce soit, de se servir de son téléphone portable dans le bureau de vote ». Ce communiqué est du président de la Commission Nationale Electorale Indépendante (CNEI), Henri Bouka, qui a été rendu public, lundi dernier.
Créé le 2021-03-20 11:27:22
Le Denis Sassou N’Guesso a fait le plein au boulevard Alfred Raoul de Brazzaville. Une démonstration de force. Une ovation debout que des milliers de brazzavillois, agitant drapeaux, effigies du candidat et banderoles, ont réservé au Président sortant. Sur les deux cents mètres qui le sépare de l'estrade, le candidat du PCT et de la majorité présidentielle, extatique les salue bras levés, savourant déjà sa grande victoire électorale : avoir prouvé à ses adversaires politiques qu'il n'a pas perdu son aura dans la capitale congolaise.
Créé le 2021-03-20 10:02:52
Les congolais choisissent ce dimanche 21 mars 2021 Denis Sassou N’Guesso ou Guy Brice Parfait Kolélas, Dave Uphrem Mafoula, Mathias Dzon, Anguios Nganguia Engambé, Joseph Kignoumbi Kia-Mboungou, Albert Oniangue pour devenir le futur Président de la République du Congo.
Créé le 2021-03-18 18:19:39
L’UPADS, parti dit d’opposition et dont le président Pascal Tsaty Mabiala, est de surcroît chef de file de l’opposition est absente de la présidentielle de dimanche 21 mars 2021, alors que le but de tout parti, c’est la conquête du pouvoir. Chose curieuse à plus d’un titre, l’UPADS n’a ni donné officiellement de consignes de vote, ni soutenu un candidat appartenant à la plateforme de l’opposition dont elle se revendique. Nous avons tenté d’analyser les desseins de cette attitude politique atypique.
Pour nombre d’observateurs de la vie politique congolaise, à défaut les militants et sympathisants de l’UPADS, l’absence du candidat de ce grand parti dans la course à la présidence de la république, est presque du domaine de l’incompréhensible.
Alors qu’il était censé être le porte étendard de l’opposition dans cette présidentielle où qu’il se serait investi, à défaut d’y participer, le parti de Pascal Lissouba est aux abonnés absents, et nul ne sait réellement pourquoi. Pourtant, Pascal Tsaty Mabiala n’est pas homme à prendre des décisions qui ne rapportent pas de dividendes politiques, seul but qui guide son action politique. De bonne guerre tout de même.
Parlons justement de la guerre, en ancien ministre de la défense, Pascal Tsaty Mabiala a l’expérience des forces en présence dans un conflit et sait pertinemment qu’il vaut mieux ne pas s’engager dans un conflit que l’on sait perdu à l’avance. Un conflit dans lequel le rapport de forces est des plus déséquilibrés. C’est simplement suicidaire. On y perd autant ses hommes, ses forces, son honneur que sa dignité, car battu à plate couture. Et il est souvent bien difficile de se relever pour affronter les batailles de l’après-guerre.
En fin stratège et surtout en homme prudent, Pascal Tsaty Mabiala a sans doute vu le mal de la défaite à la présidentielle de loin. Alors, plutôt que de boire le calice jusqu’à la lie, en perdant la présidentielle et les élections qui s’y succèdent, il a, dans une espèce de « donnant-donnant » non-clamé, conditionné son retrait de la présidentielle – ouvrant de facto un boulevard à Denis Sassou N’Guesso dans le grand Niari son fief, - à un échange de bons procédés avec le PCT, pour les prochaines législatives, afin de conserver sa fonction de chef de file de l'opposition. C’est de la réal-politique. Et pourvu que la partie contractante de l’accord tienne vraiment parole, « un tiens » dont on aura fait l’impasse à la présidentielle, sera compensé par les « deux tu l’auras » des législatives, presque déjà dans le sac.

Chef de file de l’opposition, Pascal Tsaty Mabiala l’est au regard du nombre de députés dont il dispose à l’assemblée nationale. Un numerus clausus acté par la situation peu amène de Parfait Kolelas et son UDH-Yuki, au moment de la désignation de ce personnage aux attributions constitutionnelles. Au regard du nombre de députés donnant droit à la fonction, on serait tenté de dire qu’entre le président de l’opposition pressenti et le président de l’opposition de fait, au regard du nombre de députés dont ils disposent chacun, les textes auraient tranché par défaut, eu égard à un flou juridique pour le pressenti. Mais en sera-t-il toujours le cas ?
Rien n’indique qu’au regard du raz de marée que son candidat est en passe de réaliser dans les fiefs traditionnels de l’UPADS pendant la présidentielle, le PCT manquera d’être reconnaissant vis-à-vis de l’UPADS qui l'y a laissé un boulevard, en lui permettant de disposer en retour, du nombre de députés qui feront la différence d’avec le concurrent immédiat qu’est l’UDH-Yuki, dans ce match intra opposition pour le siège de chef de file de l’opposition que Pascal Tsaty Mabiala entend conserver, avec tous les avantages qui s'y rapportent, à défaut de mieux.

En attendant un démenti de l’UPADS avec un argumentaire conséquent battant en brèche notre analyse, nous aurons au moins présenté notre vision des choses. Celle qui nous semble la plus réaliste dans la décision de l’UPADS. Auquel cas, Pascal Tsaty Mabiala ferait mieux de dissoudre le parti, son utilité politique étant désormais nulle, car sans perspective ni prospective, au contraire de ce que fut la vision politique de Pascal Lissouba son fondateur.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2021-03-18 15:17:49
Les derniers huitièmes de finale retour s'étant disputés mercredi soir, tous les clubs qualifiés pour les quarts sont désormais connus : Borussia Dortmund (ALL), Liverpool (ANG), Manchester City (ANG), Paris Saint-Germain, FC Porto (POR), Real Madrid (ESP), Bayern Munich (ALL) et Chelsea (ANG).
Créé le 2021-03-18 14:17:37
En lisant le projet de société « Ensemble, poursuivons la marche », je retrouve sans trop de peine un certain nombre de thèmes que j’ai développés dans des articles précédents ainsi que d’autres sujets auxquels mon parti, l’UNIRR, accorde la plus grande attention. Il me plaît de constater, par exemple, que la diversification de notre économie est au programme de ce projet.
Nul besoin de le répéter : notre économie est lourdement dépendante du pétrole, et c’est là, manifestement, notre talon d’Achille. La crise qui nous affecte depuis la chute des prix du pétrole sur le marché international amplifie brutalement cette réalité, nous appelant à y remédier impérativement.
Le projet qui nous est présenté a le mérite de détailler les actions concrètes et pertinentes qui devront être mises en œuvre en vue de cette pressante diversification. Nous pensons en particulier à l’agriculture qui est le parent pauvre au Congo où seulement 10% des terres arables sont mises en culture. Un secteur prioritaire où le bon sens nous appelle à concentrer d’urgence nos énergies.
Au-delà de l’agriculture stricto sensu il y a une panoplie d’activités économiques qui relèvent également du secteur primaire. Elles ne sont pas moins importantes que le travail de la terre. Ajoutons qu’au centre du monde rural il y a tout naturellement le paysan. Ses besoins essentiels ainsi que ses aspirations à une vie meilleure ont trop souvent été passés par pertes et profits. Le projet ci-dessus nous indique un tournant : « Dans tous les villages, principalement de plus de 100 habitants, on veillera à ce que y soient installés un dispositif de fourniture d’eau potable, une connexion au réseau d’électrification rurale et un centre de soins intégré (CSI). » Cela va de pair avec le désenclavement de l’arrière-pays car « tout village de plus de 100 habitants devra être accessible par la route ou par voie d’eau. » Enfin la santé n’est pas laissée aux oubliettes puisqu’il est question, en outre, de « garantir l’accessibilité des soins à toutes les populations… »
La lecture du projet en question ne m’autorise aucun doute sur le fait qu’il couvre l’ensemble des activités au cœur de la vie rurale d’une manière cohérente. De ce point de vue, il m’apparaît qu’il vise un développement rural intégré, conforme aux recommandations de la Commission des Nations Unies pour l’Afrique.
Des multiples sujets soulevés par le projet, je prends bonne note aussi de l’intérêt exprimé pour notre jeunesse. Faut-il le rappeler ? La population congolaise se caractérise par son extrême jeunesse. L’âge médian y est de 19 ans seulement quand il atteint les 40 ans en France, par exemple. La proportion des jeunes dans notre pays s’élève à 90% de la population totale. Le spectre qui hante cette jeunesse est avant tout celui du chômage. Elle a droit au travail et revendique ce droit légitimement. Les pouvoirs publics doivent donc tout mettre en œuvre pour créer des opportunités de travail. Ce qui suppose, entre autres, qu’il faut offrir à cette jeunesse un large éventail d’opportunités de formation professionnelle. Le projet sous nos yeux préconise de « créer, pendant les cinq ans du mandat, au moins un centre de formation continue et d’apprentissage par district et commune, en fonction des potentialités économiques de chaque département du pays. »
Le mot « apprentissage » est ici bien à sa place. L’apprentissage est, en effet, une source d’emplois prometteuse. On ne saurait trop l’affirmer : il faut davantage former la jeunesse aux métiers manuels. Des obstacles existent, notamment au niveau psychologique, car ces métiers ne jouissent pas d’un grand prestige dans l’esprit de bien des jeunes. Ce sont des obstacles qu’il faut s’employer à faire sauter. Cela pourrait passer par une refonte du système scolaire. Il est manifeste que les bureaucrates sont actuellement en surnombre au Congo. Ils savent maintenant que leur diplôme fièrement acquis n’est plus un sésame ouvrant automatiquement les portes du monde du travail.
Je réaffirme donc que l’ensemble du projet soumis aux électeurs congolais rencontre l’adhésion sans réserve de mon parti, l’UNIRR. Il est global, complet et bien articulé dans ses différentes composantes. Ses deux versants sont le développement économique et le développement social, l’humain étant placé au cœur de la marche à suivre.
Je souligne aussi qu’il s’agit d’un projet ambitieux. Mais cette ambition peut être considérée comme un pari sur l’avenir lorsqu’elle envisage de : « projeter le pays vers l’émergence » grâce à un « taux de croissance égal ou supérieur à 7% », à réaliser « chaque année, à partir de 2022. »
Un pari, oui ! Certes, rien n’est impossible à qui a la volonté d’entreprendre. Nous avons sous les yeux bien des exemples de pays dont l’émergence semblait un pari perdu il y a encore quelques dizaines années, mais qui n’en ont pas moins atteint cette étape. Voir grand et se projeter vers l’avenir n’est pas nécessairement faire preuve de légèreté ou de présomption. C’est, dans le meilleur des cas, avoir une vision du futur et savoir en tracer les contours. Ce qui revient à dire préparer les voies d’accès à cet avenir. C’est alors une démarche permettant de se prémunir contre le risque d’une navigation à vue, une dangereuse marche à tâtons. Mon parti apprécie la nécessité de « préparer l’économie nationale à prendre sa place dans la Zone de libre-échange continentale africaine (ZELCAF). »
Cependant une question reste posée, à savoir le plan de financement de l’ensemble des activités prévues dans le projet. Une question des plus sérieuses. On prête au général de Gaulle le mot suivant : « L’intendance suit ». Souhaitons que l’intendance marche plutôt au pas de la troupe. Car elle est, en l’occurrence, le nerf de la guerre. Une part des financements nécessaires incombera au Congo, et une autre sera sans doute attendue de négociations avec des partenaires extérieurs, étant entendu qu’elles ne devront pas aliéner la souveraineté nationale.
En attendant les décisions de cette question centrale, l’UNIRR salue dans le projet « Ensemble, poursuivons la marche » la direction à prendre pour l’émergence future de notre cher pays. Alors votons massivement afin de poursuivre cette marche.
Roger Ndokolo
Créé le 2021-03-18 12:36:40
Le 13 mars dernier, le Congo-Brazzaville a attribué au Chinois Sangha Mining Development l’exploitation de trois gisements de fer dans le nord du pays. Ces permis miniers avaient d’abord été octroyés à trois sociétés liées à des intérêts australiens avant que le gouvernement congolais ne les reprenne en novembre, provoquant la colère des miniers. Ces derniers menacent le Congo de poursuites et réclament des milliards de dollars de dédommagement. L’affaire pourrait conduire Brazzaville devant un tribunal d’arbitrage londonien.
Créé le 2021-03-17 18:15:26
Ce mercredi, entre 55 000 et 60 000 personnes, extraites du fichier général de plus de 2,5 millions d’électeurs, étaient appelés aux urnes pour élire leur futur Président de la République. Au moins 131 bureaux étaient ouverts entre 7 et 17 heures sur l’ensemble du pays. Avec le plus grand contingent, Brazzaville et ses trente bureaux de vote ont été envahis par les militaires, gendarmes et policiers dont certains étaient en tenue civile.
Créé le 2021-03-17 17:47:08
Les villes de Zanaga et de Komono dans le département de la Lékoumou vont enfin avoir accès à l'eau potable. Le Premier ministre congolais, Clément Mouamba a procédé au lancement officiel du réseau d'adduction d'eau potable dans ces deux districts en présence en du ministre de l'Energie et de l'hydraulique Serge Blaise Zoniaba, des cadres, des autorités locales et des populations.
Créé le 2021-03-17 16:54:27
Alors que le Congo-Brazzaville a désormais quelques doses de vaccins contre la pandémie de coronavirus, les regards sont désormais tournés vers le palais du peuple. Denis Sassou N’Guesso sera-t-il le premier congolais à se faire vacciner contre la Covid-19 pour inspirer la confiance des sceptiques ?
Créé le 2021-03-16 18:10:04
Des visuels de la nouvelle gamme attendue depuis 2012 ont été présentés lors d’un conseil d’administration déroulé il y’a quelques jours à Yaoundé. Les responsables de la Beac indiquent que les spécimens sur maquette « sont susceptibles d’évoluer ».
Créé le 2021-03-16 17:37:40
Les agents de la Force publique seront, le mercredi 17 mars, les premiers citoyens à poser dans les urnes leurs bulletins de vote pour choisir le futur président de la République, pendant que le vote populaire aura lieu le dimanche 21 mars, selon la nouvelle loi électorale au Congo-Brazzaville.
Créé le 2021-03-16 17:10:01
Brazzaville, la capitale congolaise, a renoué avec le spectre des inondations. C’est le moins que l’on puisse dire après la pluie diluvienne de ce mardi 16 mars, plongeant plusieurs quartiers dans les eaux. Les populations ont souffert le martyre, avec des eaux jusque dans leurs chambres. A l’extérieur, les routes envahies par les eaux pluviales mélangées par endroit aux eaux usées, sont devenues impraticables pour les automobilistes.
Créé le 2021-03-16 16:34:38
Après une première phase dite de ‘’contacting’’ marquée par le ‘’porte à porte’’ au contact des électeurs, la direction locale de campagne de la ville de Divenié a atteint sa vitesse de croisière dans la campagne électorale en cours, avec la marche et le meeting du dimanche 14 mars dernier. L’activité s’est tenue sous l’autorité de la directrice locale de campagne, Marianne Nkouka Yogo Maganga.
Dans le département du Niari où Pierre Mabiala a pris ses quartiers en sa double qualité de Chef du département de la Mobilisation électorale du candidat Denis Sassou N’Guesso et Directeur local de campagne à Dolisie 2, les instructions et consignes qu’il a fait parvenir aux directions locales de campagne se soldent par un quasi-maillage de l’ensemble du département, convié à voter pour Denis Sassou N’Guesso.

À l’instar des autres directions locales de campagnes, celle de Divenié, conduite par l’honorable Marianne Nkouka Yogo Maganga, affiche une mobilisation désormais bien rodée et préfigure de résultats probants pour le dimanche 21 mars prochain.
En attendant le méga meeting prévu pou le vendredi 19 mars, la place rouge de Divenié a servi de cadre à la marche, suivie d’un meeting de soutien à Denis Sassou N’Guesso, le dimanche 14 mars dans l’après-midi.

Partie de la Place rouge, la marche a eu pour point d’arrivée la même Place rouge où s’est ensuite tenu le meeting.
Arborant des banderoles, drapelets, et autres calicots, tous ont marqué le pas à travers les artères de la ville noyées de chants de triomphe pour la probante victoire de Denis Sassou N’Guesso.

Pour ce tour de ville et pour se mettre en conformité avec l’autorité communale, les organisateurs avaient pris soins auparavant, de demander une autorisation de manifester, auprès d’Émile Boukala Mabioko maire de Divenié.

Aux côtés de Marianne Nkouka Yogo Maganga, députée de Divenié on a noté la présence de l’ensemble des représentants locaux des partis de la majorité qui ont également convié leurs militants à cette rencontre politique qualifiée par tous de tour d’échauffement, en attendant la grande joute du jour ‘’J’’, pour laquelle tous prédisent « un coup K.O ! ».

Ainsi, Georges Bavika, président du comité PCT et directeur adjoint de campagne, Benjamin Nzoumini Ditadi, député suppléant, chargé de la mobilisation, Anatole Mboundou du Club 2002 Pur et Prospère Nzengui Tongo, délégué du RDPS, chargé des supports électoraux, ont-ils donné de la voix pour galvaniser les militants et sympathisants, tous unis dans un seul but, celui d’œuvrer pour la victoire de Denis Sassou N’Guesso.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2021-03-16 15:27:37
«Je gagnerai dans les urnes le 21 mars prochain. Mais, contrairement au général Mokoko, je prendrai toutes les dispositions utiles pour ne pas me laisser voler ma victoire», a déclaré Mathias Dzon à Pointe-Noire divulguant notamment sa vision de la fonction et une partie de son projet de société.
Créé le 2021-03-14 21:53:24