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A l'occasion de la cérémonie de port des insignes de grade aux promus du premier trimestre de 2022, le général Jean-François Ndengué s'est adressé aux officiers et sous officiers du commandement des Forces de Police. C'est la première fois que le chef de la police congolaise a pris la parole après le drame de Kintélé où quatre policiers et trois civils avaient torturé de présumés malfrats tout en se faisant filmer.
Dans son mot de circonstance, le général Jean François Ndengué a rappelé que « 2021 a été une année difficile, notamment en raison de la crise sanitaire due au Covid-19. La police a assumé sa responsabilité en sécurisant le dispositif de riposte à la pandémie. Mais, la lutte continue. »
Pour 2022, la lutte continue, avec des défis plus grands encore. Aussi, le général Jean François Ndengué a-t-il annoncé que le commandement des Forces de Police, a prévu pour la circonstance un grand Rassemblement Régimentaire, au cours duquel il donnera les grandes orientations de travail et de comportements, les objectifs majeurs pour 2022.
Sur un ton péremptoire, le commandant de la police nationale a attiré l’attention des hommes « sur les dérives et les bavures qui ont terni gravement l’image de la police. »
Et d’évoquer ces images diffusées sur les réseaux sociaux, « cette scène insupportable de policiers en train de torturer à coups de marteau, des personnes qu’ils avaient interpelées en dehors des commissariats. C’est révoltant, c’est inacceptable. »
Outre le fait que ces policiers identifiés, ont été présentés devant le Procureur de la République, déférés à la Maison d’Arrêt et subiront toute la rigueur de la loi, le général Jean François Ndenguet a relevé que « le Conseil de discipline statuera sur leur cas. Et, au regard de l’extrême gravité des faits qui leurs sont reprochés, ils sont passibles de radiation. Que cela serve de mise en garde rigoureuse, à tous les policiers qui déshonoreront la Police avec ce type de pratiques inhumaines et criminelles. »
Ils étaient sept tortionnaires, dont quatre policiers et trois civils. Or, l’emploi de civils dans la police est strictement interdit. Aussi, le général Ndengué a-t-il solennellement prévenu que « tout policier ayant quelques responsabilités qui emploierait des civils dans ses services, sera sévèrement sanctionné. »
À l’endroit des promus, le général Jean François Ndengué a demandé de continuer à travailler, pour mériter d’autres promotions. C’est la seule façon de ne pas trahir la confiance du commandement. Aux non promus, il a demandé de travailler dur, pour que le commandement récompense leur volonté, leur ardeur et leur disponibilité dans l’exécution des missions de service. Aux uns et aux autres, le général a rappelé qu’au travail bien fait, il faut associer une conduite irréprochable, conforme à l’éthique de la corporation. Devoir de discipline oblige.
Enfin, le général Jean François Ndengué a au nom du Commandement de Forces de Police, associé les hommes présents, aux félicitations qu’il a présentées au Commandant en Second des Forces de Police Obami Itou André Fils, pour son élévation au grade de Général de Police de première classe.
Cette élévation a-t-il dit, « vient couronner sans équivoque un Officier de grande qualité, toujours déterminé à servir avec loyauté le Chef Suprême des Armées et la Police de son pays. Un bel exemple. »
Le général Jean François Ndengué a conclu par une invite à l’endroit des hommes pour la nouvelle année: « tenons-nous à la hauteur de tous les défis de 2022, pour garantir au peuple la paix et la sécurité. »
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-01-13 21:15:40
La pollution de l’air tue plus que l’alcool. L’exposition aux particules fines peut donc réduire l’espérance de vie de deux ans dans les villes les plus polluées. Depuis dix ans, La population du quartier Mvindoulou/bloc 351, dans la sous-préfecture de Loango, département du Kouilou, riveraine de l’usine de recyclage de batteries au plomb usagées et de métaux non ferreux, Metssa-Congo, vivent dans un environnement pollué qui les expose à de nombreuses maladies.
Créé le 2022-01-13 11:02:54
La nouvelle pépite d'or du handball Congolais, Betchaïdelle Ngombele vient de signer un contrat de deux ans et six mois chez Krim Mercator club de 1ère division en Slovénie.
Créé le 2022-01-13 10:22:41
Les agents de l'Agence nationale de l'aviation civile (ANAC) menacent d'entrer en grève. Motif : ils accumulent près de 7 mois d'arriérés de salaire.
Créé le 2022-01-12 22:05:58
L'HORREUR CE MERCREDI sur la RN1. Un mort et vingt blessés (légers et graves), c'est le bilan provisoire de l'accident du bus Océan du Nord qui est survenu à Tao-Tao, à un jet de pierre de Dolisie dans le Niari (sud).
Créé le 2022-01-12 21:39:34
Le Président congolais, Denis Sassou N’Guesso est attendu le jeudi 20 janvier prochain, à partir de 15h, à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, pour un séjour de travail de trois jours aux fins d’améliorer les conditions de vie des congolais. Un véritable état des lieux et un constat objectif et sincère de la situation de nos compatriotes de l’intérieur du pays.
Créé le 2022-01-12 10:26:41
Au Congo plusieurs agents civils de l’Etat admis à faire valoir leur droit à la retraite continuent de rester en poste sous prétexte de la nécessité de service. Le ministre des Finances, du Budget et du Portefeuille public, Rigobert Roger Andely, a décidé, à travers la circulaire N° 0024/MFBPP-CAB du 11 janvier 2022, de partir à la chasse des retraités encore en activité dans son département à l’exception des agents et cadres qui disposent des documents administratifs de prolongation conformes à la réglementation en vigueur.

Créé le 2022-01-11 22:03:18
Un jeune homme de 31 ans, du nom de Missengue Mpika Elvan, de nationalité congolaise a trouvé la mort, suite aux coups que lui a porté son frère cadet, le mardi 11 janvier au quartier Moutabala dans l’arrondissement 7 Mfilou, à Brazzaville.
Très tôt, le mardi 11 janvier 2022, Missengue Mpika Elvan, un congolais de 31 ans, a trouvé la mort suite à une bagarre avec son frère cadet Missengue Ignasse Dieu-Merci. (Sur la photo d'illustration)
Ce frère cadet qui n’a de cadet que l’ordre de naissance, est plutôt un délinquant notoire, connu des services de police parce qu'appartenant au groupe K24 dit des "Arabes", qui crée la terreur à Mfilou. Une autre identité du cadet que l’ainé ignorait et qui lui a été fatale.
À l'origine de la bagarre, un différend familial tournant autour de 2000 FCFA dont l’ainé suspectait son cadet de l’avoir dérobée, car personne d’autre ne se trouvant à la maison à cet instant précis.
Elvan pensait ramener à la raison son frère qui lui avait « cafouillé » ses deux mille francs, la seule somme qui lui restait, pensant que celui-ci pris en faute ferait profil bas face à ce grand frère jouissant du droit d’ainesse. C’était sans compter sur ce que le cadet qui depuis, avait franchi des étapes élevées dans le crime, ne reculait devant personne, fusse t-il son grand frère a qui il a donné la mort en toute décontraction.
Missengué Ignasse Dieu-Merci a été interpellé par la police. Il devrait être poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-01-11 21:55:56
De vives altercations ont eu lieu lundi, dans les couloirs du tribunal de Bobigny entre les soutiens des deux parties, à la fin de l’audience sur le dossier Parfait Kolelas dont le délibéré sera rendu le vendredi 14 janvier. Une décision qui pourra enfin décider de l’enterrement ou pas de Guy Brice Parfait Kolelas.
Maitre Pierre Henri Bovis, avocat de la veuve Kolelas a dans ses conclusions déposées auprès du juge, plaidé la décence, pour donner enfin à Guy Brice Parfait Kolelas une sépulture.
Aussi rappelle t-il que « Monsieur Guy Parfait Kolelas est décédé le 22 mars 2021 à 01h40 selon un certificat de décès dument établi à l’aéroport du Bourget.
Initialement, les conditions de sa mort étaient inconnues et des doutes subsistaient. Le Parquet de Bobigny décidait d’ouvrir une enquête eu égard au contexte politique. Le 23 mars 2021, l’Institut médico-légal de Paris réalisait une autopsie à la demande de la famille.
Le rapport concluait à « une insuffisance cardio-respiratoire due à une pneumopathie diffuse sévère bilatérale compatible avec la constatation médical congolaise de la Covid-19 ».
Les prélèvements nécessaires ayant été réalisés, un permis d’inhumer a été délivré par le Procureur de la République le 26 mai 2021 et l’enquête était classée.
Or, depuis cette date, les enfants Kolelas supportés par des militants, refusent d’organiser les funérailles et continuent de demander de nouvelles autopsies au risque de s’acharner sur le corps du défunt. Ils se sont constitués partie civile et ont saisi de force un juge d’instruction.
À ce jour, aucune avancée n’a eu lieu dans ce dossier. Dans ces conditions, l’Institut Médicolégal écrivait à Mme Nathalie Kolelas le 10 août 2021 qu’il devenait urgent de faire inhumer le corps qui se dégradait naturellement malgré les conditions de conservation.
Le 22 novembre 2021, face au refus manifeste des enfants, l’Institut Médicolégal menaçait de demander à la mairie du Bourget de procéder directement à l’inhumation du corps si les funérailles n’étaient pas organisées d’ici le 7 décembre.
Les enfants Kolelas ont tenté de tromper l’Institut Médicolégal en indiquant y procéder, ce qu’ils ne faisaient pas pour gagner du temps.
Le 23 décembre 2021, Mme Nathalie Kolelas saisissait ainsi le juge des référés de Bobigny pour demander de la désigner en qualité de personne de confiance pour organiser sans délai les funérailles de son mari défunt, au nom de la décence que nous devons tous au corps humain et afin de préserver sa mémoire. Cette inhumation n’empêche pas la poursuite de la procédure pénale et permet le recueillement digne de la famille.»
Rappelons que la Cour européenne des droits de l’Homme a déjà jugé en 2001 que ne pas procéder à l’inhumation d’un corps dans un délai raisonnable constituait une atteinte aux droits fondamentaux.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-01-11 14:13:12
L’écrivain et enseignant franco-congolais, Alain Mabanckou, a encensé, sur son compte Twitter, Paul Van Haver, dit Stromae, auteur-compositeur-interprète et producteur belge, né le 12 mars 1985 à Etterbeek.
Créé le 2022-01-11 11:44:59
Si Brazzaville doit faire la chasse à la saleté et aux poubelles depuis la nuit des temps, les patients du Centre de Santé Intendance de Talangaï, dans le sixième arrondissement de la capitale congolaise, d’une saleté repoussante, ne s'attendent pas nécessairement à voir des poubelles comme des objets d’art devant leur établissement de santé. Comment un corps médical peut travailler dans ces décharges humaines sans dénoncer cette barbarie dans un pays pétrolier ? Honteux mais pas surprenant.
Créé le 2022-01-11 11:12:31
La propreté des villes et villages du Congo ! Un long roman, une série sans fin. À en croire le sous-préfet Marcel Kibouanga, « Kakamoeka n’est pas une ville sale mais c’est une ville salie ». En quelques années, la ville située dans le département du Kouilou, a perdu de sa superbe. Personne ne saurait le contester : ni les populations ou bien les touristes. Après la célébration de la Saint sylvestre, le samedi 3 janvier 2022, les habitants de Kakamoeka ont été invités à se retrousser les manches.
Créé le 2022-01-11 10:04:31
La police congolaise a placé en garde à vue à Brazzaville, la dénommée Chantal Ndouali. Elle est soupçonnée d’avoir assommé son concubin de plusieurs coups de pilon.
En attendant d’être présentée devant le procureur de la République qui à coup sûr va l’inculper pour coups et blessures ayant entraîné la mort, et l'envoyer en détention à la maison d'arrêt, Chantal Ndouali a été placée en garde à vue par les éléments de la police nationale.
Le 6 janvier dernier, lors d'une altercation avec son concubin Alexandre Kalounguiniko âgé de 62 ans, agent de la mairie de Makélékélé, dans un moment de colère, Chantal Ndouali n'a pas hésité à utiliser un pilon dans la bagarre.
Au nombre des violents coups qu’elle a dans sa rage asséné à son concubin, certains l’ont atteint à la tête.
Conduit à l’hôpital dans un piteux état, les médecins ont outre la sévère hémorragie cérébrale que présentait Alexandre Kalounguiniko, observé de nombreuses fractures sur la boîte crânienne complètement cabossée.
Deux jours après avoir reçu les coups de pilon sur la tête, l'agent de mairie a succombé à ses blessures.
La dame a été interpellée et devrait être poursuivie pour ces faits. Le procureur décidera de la qualification de crime, selon les éléments de l’enquête.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-01-09 19:09:33
La lumière revêt un aspect pratique, puisqu’elle nous permet d’appréhender au mieux l’environnement et de nous y repérer plus facilement. Plusieurs rues des quartiers Diata et Château d’eau à Brazzaville renouent avec la lumière après plusieurs années d’obscurité. C’est à la faveur de la réhabilitation de l’électricité engagée depuis quelques jours sur ces artères par l’association Diata Château d’eau innovation pour améliorer le cadre de vie des populations.
Créé le 2022-01-09 12:40:23
Niches de désordre de toute nature, les autorités de la ville océane semblent pourtant ne pas accorder de la priorité à les assainir mais multiplient les stratagèmes pour les contrôler, et s’y nourrir. Pointe-Noire est l’une des villes du Congo, sinon la seule qui compte le plus grand nombre de marchés au kilomètre carré. Spontanées, privés, publics, on n’en compte pas, et ces espaces sont également ceux qui attirent le plus de monde, du commerce formel ou informel. Combien en existent-ils au total dans la ville, difficile de le dire même par les services les plus spécialisés. Toujours est-il qu’il est facile de les reconnaître, par une caractéristique qui fait désormais partie de leurs Adn, les poubelles pour faire simple.
Créé le 2022-01-09 11:44:53
L’épidémie flambe au Congo. Un nombre de contaminations inédit a été atteint depuis le début de l’année avec plus de 100 cas positifs détectés chaque jour contre une trentaine en moyenne l’année dernière, a annoncé mardi à Brazzaville, le coordonnateur technique du Comité national de riposte, le Dr Gilbert Ndziessi.
Créé le 2022-01-06 17:05:37
La possibilité d’avoir accès facilement aux toilettes en ville semble être un service anecdotique. Et pourtant, nous en avons tous besoin au quotidien ! Le “droit de miction”, c’est-à-dire le “droit de se soulager”, ne devrait-il pas devenir un droit pour tous en ville ? Un sujet qui met en évidence une question sur laquelle les villes congolaises doivent forcément se pencher : où et comment les citoyens peuvent-ils satisfaire leurs besoins. A Brazzaville plusieurs toilettes publiques (100FCFA) et urinoirs (50 FCFA) sont installés au marché Total pour répondre aux exigences de la vie brazzavilloise et des touristes. Outre les dispositifs de sanisettes, le plus grand marché de la capitale congolaise dispose également plusieurs lavatories (200 FCFA).
Créé le 2022-01-06 16:27:55
La Fédération de l’opposition congolaise regroupant l’Initiative pour la démocratie au Congo, le Front pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique et la Composante Jean-Marie Michel Mokoko a rejeté, lors d’une session ordinaire de son Conseil fédéral mercredi à Brazzaville, le processus de modification de la Constitution du 25 octobre 2015, goupillée par le gouvernement Collinet Makosso, notamment en son article 157 sur la durée de l’état d’urgence sanitaire.
Créé le 2022-01-06 15:46:04
Le Procureur de la République, Antoine Oko Ngakala a présenté et ordonné le placement en détention de quatre policiers et trois civils, tous coupables de faits de tortures sur des tiers sous le viaduc de Kintélé. C’était au cours d’une brève cérémonie qui a eu pour cadre le Palais de Justice de Brazzaville jeudi.
Devant la presse, le procureur de la République qui a été interpellé par le commandement de la Police nationale, a dans son exposé liminaire, rappelé que depuis quelques jours, une vidéo a circulé sur la place de Brazzaville, montrant des policiers en train de torturer des personnes. Sur instruction du commandement territorial des Forces de Police de Brazzaville, ces malfaiteurs, au nombre de sept, ont été tous identifiés et viennent d’être présentés ce jour à son parquet.
Il s’agit de quatre agents de police et trois civils habillés en tenue de policier, notamment, l’adjudant-chef de police Ngakégni Tadet, en service au commissariat de police de Makabandilou. L’adjudant de police Gandou Charel, chef du poste de police du quartier Château-d’eau Ngamakosso. Le brigadier-chef Mobié Color alias Tyson, chef du poste de police ‘’Viaduc’’. Le brigadier-chef Makélé Éric, chef du poste de police arrêt Église, quartier Manianga. Nzaba Ronnel, Bakala Ngandziami et Samba Hugues.

Interrogés sur les faits qui leurs sont reprochés, les sus nommés les ont tous reconnus sans ambages.
Au terme des dispositions de l’article 55 du code de procédure pénale, ces présumés auteurs sont poursuivis devant son parquet, selon la procédure de crime flagrant, pour les faits d’association de malfaiteurs et de coups et blessures volontaires.

Aussitôt, après leur interrogatoire et sur instruction du Procureur de la République, tous ces malfaiteurs sont mis aux arrêts.
Les sept personnes incriminées ont écouté le Procureur de République, assises à même le sol, les bras menottés dans le dos.
La procédure va suivre son cours, jusqu’au procès.
Du rappel des faits, dans une vidéo d’une barbarie insoutenable, les mis en cause se livrent à une séance de torture sur des personnes ligotées, en leur broyant les pieds au moyen d’un marteau-masse d’environ cinq kilos. Malgré les pleurs des suppliciés disant sentir leurs os broyés, les coups sont portés avec plus de violence, en toute indifférence.
Ces faits commis par des agents de police en fonction dont certains assument des fonctions et identifiés sur la vidéo, ont aussitôt conduit le commandement de la Police nationale, à diligenter une enquête, afin de mettre hors de ses rangs, ces brebis galeuses dont les pratiques renvoient aux yeux de l’opinion, une mauvaise image de la Police.
Outre les poursuites judiciaires, les policiers encourent des sanctions disciplinaires pour non respect des règlements et du code éthique. Cela peut conduire jusqu’à leur radiation des effectifs de la Police.
La Police nationale dont l’uniforme a été sali, n’a pas encore indiqué si elle allait se porter partie civile au procès.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-01-06 15:08:05
«Quand tu parles un peu c’est vingt ans, si tu lèves le poing c’est vingt ans. Quand tu t’opposes c’est vingt ans, si tu es avec eux tu manges vingt ans. On ne se connait pas. On ne sait pas ce que demain nous réserve. Gouvernement vingt. Si tu te rebelles, tu peux prendre vingt ans mais tu les suis tu peux manger tranquillement vingt ans. La démocratie n’a pas sa place dans ce système, qu’importe la géographie. En Afrique c’est vingt ans », dit Tiken Jah dans son single qui sort vendredi prochain, sans citer de nom.
Créé le 2022-01-05 18:33:32