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Brazzaville-Apiculture : Une dizaine d’étudiants finalistes ont reçu leurs attestations de fin de stage et leurs C.A.P

La Coopérative Agropastorale Ya Dïyi, par le biais de son Centre de Formation en apiculture (CFAP-YA DÏYI), a organisé, le 10 août 2023 au Lycée Technique 1er mai, la cérémonie de remise des diplômes aux étudiants finalistes de la première promotion de Brazzaville en présence du ministre congolais de l’Enseignement Technique et Professionnel, Ghislain Thierry Maguessa Ebomé, du président-fondateur de la coopérative, Juste Justin Goma-Gabou, des parlementaires et des membres de la Coopérative Agropastorale.

En effet, la Coopérative Agropastorale YA DÏYI, qui a une vocation apicole, donc la pratique de l’l’apiculture, afin de produire le miel, a créé un centre de formation dans ce domaine, pour vulgariser cette activité quasiment méconnue des Congolais. Depuis la création de cette école, donc de ce centre de formation, qui a déjà eu à former nombre d’étudiants à Pointe-Noire, c’est la toute première cérémonie qu’organise cette le CFAP-YADÏYI pour la remise officielle et solennelle des diplômes aux étudiants finalistes de Brazzaville après une formation théorique et pratique au métier d’apiculteur. Une dizaine d’étudiants en apiculture, après leur formation, ont reçu leurs C.A.P (Certificat d’Aptitude Professionnel) et leurs Attestations de fin de formation en apiculture.

A l’entame de la cérémonie, le major de cette première promotion en apiculture de Brazzaville, l’étudiant Pierre a remercié l’initiateur et le promoteur de ce projet, le président-fondateur Juste Justin Goma-Gabou, pour sa vision et sa perspicacité, en créant cette école d’apprentissage en apiculture professionnelle, les formateurs, pour leur sagacité et leur abnégation sur le terrain de l’apprentissage puis le gouvernement de la république, à travers le ministre de l’Enseignement Technique, pour son attention et son implication personnelle, en mettant à la disposition de cette première session de formation, des structures d’apprentissage fiables qi ont permis aux étudiants de la première promotion en apiculture professionnelle, de bénéficier une formation professionnelle de haut niveau. Rappelant la thématique de leur formation : « l’apiculture en sept (7) étapes essentielles ». « Nous, étudiant de la première promotion en apiculture professionnelle, avons fait un choix judicieux, celui de la préservation de l’environnement, du développement durable et disons à haute et intelligible voix : ’’Se développer sans détruire l’environnement, c’est notre métier’’ », a-t-il conclu en scandant la devise du centre, donc de la coopérative Ya Dïyi.

Ensuite, le président fondateur de ce centre de formation, le vénérable Juste Justin Goma-Gabou, remerciant toute l’assistance, ses collègues parlementaires qui sont venus le soutenir, mais également le ministre de tutelle de l’Enseignement Technique qui lui a accordé une attention particulière dans sa vision apicole, a rappelé le caractère fondamental de ladite cérémonie.

« Cette cérémonie de remise de diplôme à nos étudiants finalistes en apiculture professionnelle de la première promotion du Lycée Technique industriel 1er mai est la première du genre au Congo. Un métier inestimablement riche, en considérant la valeur écologique, nutritionnelle, médicinale et économique des produits dits de la ruche qu’on en procure », a-t-il souligné.

L’apiculture, qui est du reste un domaine très mal connu et peu pratiqué chez nous, fait l’objet d’une préoccupation majeure pour l’initiateur de ce centre de formation.

« Bien plus que le pétrole, surtout que l’on parle de la transition énergétique, question d’arrêter l’exploitation des énergies fossiles, afin d’atténuer considérablement les effets de changement climatique », a déclaré le vénérable sénateur.

L’apiculture concourt énormément à la préservation de l’environnement.

« Fort de ce métier écologique, l’apiculture professionnelle, qui est une réponse à l’urgence du climat, à la sécurité alimentaire et à l’économie verte, au travers de la protection des abeilles et des forêts mellifères, nous lançons un vibrant appel : au pouvoir public ; aux parlementaires et collectivités locales ; aux organismes internationaux et partenaires financiers ; aux partis politiques ; aux confessions religieuses ; salariés ou retraités ; aux jeunes, vulnérables ; aux parents et autres, qu’il est temps, pour ne pas dire que nous sommes en retard en ce qui du développement de la filière apicole dans notre pays, malade de sa dépendance à une seule ressource, le pétrole », a martelé M. Goma-Gabou.

Il nous invite d’ailleurs à nous inscrire et à faire inscrire des nouveaux étudiants, en prenant d’assaut ce nouveau paradigme entrepreneurial, afin qu’un plus grand nombre contribue à l’atteinte des objectifs du développement durable, à la promotion de l’économie verte et, à la diversification de l’économie nationale.

Par ailleurs, Monsieur Juste Justin Goma-Gabou a fait une invite à tous ceux des congolais, qui hésitent, qui réfléchissent encore puis, qui boudent encore, de se saisir de cette opportunité qu’offre le centre de formation en apiculture professionnelle. Il exhorte ainsi les étudiants finalistes à la pratique car, « diplôme sans pratique égal pauvreté », a-t-il révélé.

Paraphrasant le Révérend Matin Luther King dans son discours prononcé en date du 28 août 1963 au Mémorial Lincoln à Washington qui disait : « I have a dream », (J’ai un rêve). Le vénérable sénateur aussi, a fait un rêve.

« J’ai rêvé plusieurs apiculteurs formés, dans les collèges et lycées techniques et ailleurs, qui exercent leur activité avec amour et passion, avec au bout, des résultats tangibles. J’ai rêvé M. le ministre, chers collègues, les apiculteurs Congolais regroupés au sein d’une fédération qui tire le Congo vers le haut. J’ai rêvé aussi, les pouvoirs publics, totalement engagés dans le développement du secteur apicole. Enfin, j’ai rêvé un grand Congo, producteur et exportateur du miel et ses dérivés sur le continent africain. Oui, j’ai rêvé ! », a-t-il déclaré, concluant son propos.

Cependant, dans son mot de circonstance, le ministre de l’enseignement Technique et professionnel, M. Ghislain Thierry Maguessa Ebomé a souligné le caractère circonstanciel de l’événement.

« La circonstance est à la célébration du miel et de sa productrice, l’abeille. Une sage de là d’où je viens ou là où je suis né dit : que l’abeille a appris à fabriquer le miel parce que la mouche n’avait pas suivi le conseil de son père. Ce qui veut dire : il fut un temps, un homme sage, lui, père de la mouche et une fille orpheline, l’abeille, qui vivait sous le toit du père de la mouche, le vieux sage en train de mourir, devrait communiquer, mieux, transmettre la technique de la fabrication du miel à sa fille. Le père mourant, cherchant sa fille en vain et l’abeille s’approchant du père mourant, reçu la technique de fabrication du miel. Telle est la leçon à tire de ce proverbe de chez. Nous devons donc être attentif sur ce secteur, afin que celui-ci nous donne des résultats plus que probant », a-t-il confié.

Pionnier dans le domaine de l’apiculture, Juste Justin Goma-Gabou reste convaincu et persuadé que le Congo dispose de nombreux atouts naturels qui peuvent faire de l’un des producteurs de miel au niveau mondial.

En définitive, il est important de signaler que l’apiculture, c’est l’élevage des abeilles mellifères dans le but de récolter le miel et les autres produits de la ruche, tel que : la propolis ; le pollen ; la cire ; le venin d’abeilles et la gelée royale, ayant une valeur nutritive, médicinale et écologique.

VALDA SAIN-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-16 10:35:45

Grosse parade militaire pour célébrer le 63e anniversaire de l’indépendance du Congo

Le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso par ailleurs chef suprême des armées a officié la cérémonie de parade militaire organisée ce mardi matin au boulevard Alfred-Raoul à Brazzaville à l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance Congo célébrée cette année sous le thème « Engagement citoyen, résilience et progrès ».

Arrivé à bord d’un véhicule de commandement, le chef de l’Etat, chef suprême des Forces de défense et de sécurité, a été invité à prendre place à la tribune officielle du boulevard de l’Indépendance, y retrouvant la Première dame, Mme Antoinette Sassou N’Guesso, les hautes personnalités civiles et militaires de la Nation et les représentants des puissances étrangères accrédités au Congo.

C’est le commandant de la Zone militaire de défense numéro 9-Brazzaville et commandant de la 40e brigade d’infanterie, le général de brigade Pierre Gaétan Ickey, qui a demandé l’autorisation pour commencer le défilé au chef de l’Etat.

Pendant environ une heure, les unités de la force publique composées des éléments de la police, de la gendarmerie et des Forces armées congolaises ont défilé au rythme de la musique de la fanfare sur le boulevard Alfred-Raoul pavé aux couleurs du drapeau national vert-jaune-rouge. A ces unités de la force publique se sont jointes celles des paramilitaires de la douane et des eaux et forêts. Aux troupes à pied se sont succédé divers engins de la force publique et un ballet des aéronefs.

Ce sont les troupes d’honneur qui ont donné le ton, suivies de l’unité de police constituée n°8 de la Minusca, de l’Ecole militaire préparatoire générale Leclerc, de l’Académie militaire Marien-Ngouabi ainsi que de l’Ecole nationale des sous-officiers de Gamboma.

La gendarmerie nationale a été représentée par les détachements de la garde républicaine (le bataillon d’apparats et d’honneurs, le personnel féminin de la garde républicaine, le 1er et le 2e bataillon de la garde républicaine, le groupement d’escadrons mobile de la garde républicaine ; l’Ecole de la gendarmerie nationale ; la région de gendarmerie de Brazzaville ; le personnel féminin de la région de gendarmerie de Brazzaville ; le groupement de gendarmerie des transports aériens ; le 1er groupement de gendarmerie mobile.

La police nationale a, quant à elle, présenté son personnel féminin ; l’Ecole nationale supérieure de police ; le soutien logistique de la police et de la gendarmerie. Au niveau du commandement des forces de police, on a vu passer la brigade anti-criminalité ; le groupement mobile de la police ; l’unité des gardes-frontières ; la police d’actions spéciales, le commandement de la sécurité civile.

Les FAC ont aligné le bataillon de commandement et des services du Grand quartier général ; le bataillon des transmissions, la direction centrale des renseignements militaires représentée par le groupement de reconnaissance. La direction centrale du commissariat ; le 114e bataillon de réparation auto et engins blindés ; l’hôpital central des armées Pierre-Mobengo ; le 32e groupement naval de la marine nationale ; la Base aérienne 01/20 avec ses aéronefs qui ont survolé le ciel ; le personnel féminin de l’armée de terre ; la 40e brigade d’infanterie ; le 36e bataillon d’infanterie ; le 404e bataillon d’intervention rapide.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-15 20:47:19

Message à la Nation du Président Denis Sassou N’Guesso à l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance du Congo

Voici le message à la Nation du chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso prononcé le 14 août 2023, à l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance du Congo.

Cliquer sur la photo pour lire la vidéo.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-15 10:09:26

Mayoko : le gisement de fer qui dispose de réserves estimées à 917 millions de tonnes attribué à la société ULSAN Mining Congo SAU

Pierre Oba, ministre d’Etat, ministre des industries minières et de la géologie, a soumis à l’examen des membres du conseil des ministres, Samedi 12 août 2023, un projet de décret portant attribution à la société ULSAN Mining Congo SAU d’un permis d’exploitation pour le fer, dit permis « Mayoko-Moussondji ».

Le ministre d’Etat Oba a précisé que la société demanderesse a introduit une demande de permis d’exploitation d’un gisement de fer dans la zone indiquée le 17 octobre 2022. Ce permis est retombé dans le domaine public, du fait qu’il avait été antérieurement retiré à la société Congo Mining, alors détentrice dudit permis.

Ce gisement de fer dispose de réserves estimées à 917 millions de tonnes, dont 38,5 millions de tonnes directement exploitables.

D’une durée de vie de 30 ans, les prévisions de production annuelle de ce gisement sont de 300.000 tonnes par an pour la première phase et 16,5 millions de tonnes par an dans une seconde phase qui exploiterait la roche dure.

La société demanderesse s’engage à réaliser sans délai, c’est-à-dire dès l’obtention du permis, les études d’impact environnemental et social ainsi que l’étude de faisabilité ; la mise en œuvre de cette exploitation permettra la création d’environ 700 emplois, dont 600 pour la main d’œuvre nationale.

Enfin, l’investissement global du projet, incluant les infrastructures spécifiques nécessaires, est estimé à 15 milliards de dollars américains.

Ce projet s’inscrit parfaitement dans le cadre de la politique de diversification économique mise en œuvre par les pouvoirs publics et permettra une coopération encore plus dynamique entre le Congo et la Turquie, représentée ici par la société demanderesse.

Après examen et discussion, le conseil des ministres a adopté le projet de décret portant attribution à la société ULSAN Mining Congo SAU d’un permis d’exploitation pour le fer, dit permis « Mayoko-Moussondji ».

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-15 09:40:27

Gospel : Florence et Jean-Pierre s’engagent à propager l’évangile à travers l’album « En Jésus tout va bien »

La Bible nous dit que Dieu siège au milieu des louanges de son peuple. A travers l'adoration, nous exprimons notre admiration et faisons l'éloge de Dieu lui-même pour sa personne, son caractère, ses attributs et sa perfection. Il s’est donc révélé à Florence et Jean-Pierre pour faire cet album de 12 titres intitulé : « En Jésus tout va bien ».

Créé le 2023-08-13 10:18:14

Orléans : Fin de l'expo-vente solidaire de l’association Kiminou pour changer la vie des enfants démunis du Congo

L’emblématique Maison des Associations, 46ter rue Sainte Catherine à Orléans en France, a ouvert ses portes au grand public, avec une expo-vente solidaire d’objets d’Art congolais et africains de l’association Kiminou « Icole pour tous » qui a débuté les 3 et 4 août et du 7 au 12 août 2023, pour le projet de réhabilitation de la bibliothèque et le centre culturel de la ville de Nkayi en vue de donner un espace d'étude et de travail digne aux enfants de familles pauvres dans le département de la Bouenza, au sud de la République du Congo.

"Tout est bien qui finit bien pour paraphraser William Shakespeare. Notre expo-vente solidaire 2e édition à Orléans a connu un franc succès. L’exposition des objets d’Art congolais et africains, très appréciée par le public orléanais et de nombreux touristes venus pour certains de Bermingham et du reste de la France pour d’autres. Nous remercions tout particulièrement Mme Christelle Poussier, la responsable du service Vie associative et son équipe du Bureau du Cabinet et des Relations publiques de la ville d’Orléans. En mettant à disposition de l’association Kiminou « Icole pour tous », le hall et l’espace pour tenir l’expo vente, la Maison des Associations contribue au développement de notre association. Toute notre reconnaissance », nous a confié Mme Berthe Blanche Laval Mouandza, présidente de cette jeune association humanitaire qui œuvre dans le domaine socio-éducatif et apporte une aide à la scolarité et l’éducation des enfants démunis en République du Congo.

L’association Kiminou « Icole pour tous » n’en est pas à son coup d’essai à Orléans.

En août 2022, elle s’est mobilisée, de la plus belle manière, pour organiser sa première exposition-vente d’objets d’art à la Maison des Associations.

Il y avait  toutes sortes d'objets en bois pour les amoureux  de la décoration intérieure, les colliers et bracelets  en pierre précieuse, des vêtements, des sacs en wax...

 

Cet événement était aussi l’occasion choisie par l'association Kiminou "Icole pour tous" d’échanger avec le grand public de la ville d'Orléans et ses environs sur ses projets solidaires réalisés et en cours de réalisation en faveur des enfants démunis au Congo-Brazzaville.

L'association Kiminou "Icole pour tous" se projette déjà à la remise des kits scolaires aux élèves issus de familles défavorisées.

Créée en mars 2020 à Franconville en France avec une antenne très efficace et dynamique à Brazzaville, Pointe-Noire, Nkayi, Impfondo, Sibiti, Kinkala..., l’association Kiminou «Icole pour tous » a pour but, d'aider, accompagner et soutenir les enfants et les jeunes de 3 à 15 ans issus de familles vulnérables, dans leur éducation et leur scolarité au Congo-Brazzaville.

Bien que l’association soit une jeune structure de trois ans d’existence, elle a déjà prouvé son engagement envers sa mission grâce à l'implication de ses membres et bon nombre de soutiens.

L'association a déjà gagné la confiance de certaines organisations tant nationales qu’internationales telles que l'Ambassade des États-Unis, la Mairie de Franconville, la Maison des associations d'Orléans, l’association NOSE, l’AMACO, le CSA, la CAPCOS…

Elle continue toujours à renforcer sa mission et à se faire connaître auprès d'un public plus large.

L’Association Kiminou « Icole pour tous », recherche aussi les soutiens financiers pour la réalisation de ses projets.

Pour soutenir l'action de l’association Kiminou « Icole pour tous », voici les contacts en France, Europe et le reste du monde : (https://www.helloasso.com/associations/kiminou-icole-pour-tous/collectes/salle-d-etude-nkayi).

06.11.12.24.41. Whatsapp : 00336.68.92.71.11. Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Site internet : www.kiminou.fr. instagram : berthe laval. Facebook kiminou "icole pour tous".

Pour ceux qui sont au Congo, ils peuvent participer à la collecte par transfert via Mobile Money au 06.705.89.89 ou via Airtel Money au 05.632.89.89.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-13 09:00:31

15 août 2023 : le Congo célèbre le 63e anniversaire de son indépendance sous le thème « Engagement citoyen, résilience et progrès »

Le Congo célèbre du 13 au 15 août 2023, le 63e anniversaire de son indépendance sous le thème « Engagement citoyen, résilience et progrès ».

Ce dimanche 13 août 2023 à 19h00 aura lieu l’élection Miss indépendance au Palais des congrès de Brazzaville.

Lundi 14 août à 14 heures, le Président de la République, Denis Sassou-N’Guesso donnera le coup d’envoi du semi-marathon international de Brazzaville suivi de la finale de la coupe du Congo à 16h00 au stade Alphonse Massamba-Débat. Le message à la Nation du Chef de l’Etat interviendra en direct à 20 h00 sur Radio et Télé-Congo.

Mardi 15 août à 10h00, au boulevard Alfred Raoul,  aura lieu le défilé militaire précédé de 21 coups de canon. A 20 heures, des feux d'artifices tirés du pont du 15 août 1960 bordant le fleuve Congo, vont illuminer le ciel des deux rives.

On rappelle que les festivités du 15 août ont tranché d'avec ce que les congolais s'étaient habitués à voir, depuis bientôt dix ans déjà. Une fête tournante, accompagnée d'une « municipalisation accélérée » marquée par la réalisation de nombreuses infrastructures dans la région devant abriter les festivités.

L'enveloppe financière desdites festivités était naturellement proportionnelle au gigantisme des ambitions affichées.

Depuis, la crise est passée par là. Le président Denis Sassou-N'Guesso ne s'en est pas caché, dans son adresse à la nation. Les temps sont durs.

Aussi, la fête est-elle revenue à Brazzaville, siège des institutions, sans municipalisation accélérée, au grand bonheur des brazzavillois tout de même.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-13 07:45:13

Niger – CEDEAO : Les Chefs d’État de la communauté décident du recours à la force contre les putschistes de Niamey

La Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a ordonné, jeudi 10 août, le déploiement d’une « force en attente » pour restaurer l’ordre constitutionnel au Niger.

La Cedeao, qui espère toutefois toujours parvenir à une résolution pacifique de la crise, n’a précisé aucun calendrier, ni le nombre ou l’origine des militaires composant cette « force en attente ».

De son côté, la France a apporté « son soutien à l’ensemble des conclusions » de ce sommet.

L’Union européenne et les États-Unis ont exprimé « leur inquiétude » quant à l’état de santé du président nigérien, Mohamed Bazoum.

Après le feu vert des dirigeants de la Cédéao pour intervenir au Niger en vue de rétablir le président Mohamed Bazoum, les chefs d'état-major de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) se réuniront samedi 12 août au Ghana, en vue d’une intervention militaire.

La « force en attente » évoquée par la Cedeao est l’héritière de la Brigade de surveillance du cessez-le-feu de l’organisation (Ecomog).

Ce groupe militaire d’intervention naquît en 1990 dans le sillage de la guerre civile au Liberia, avec pour objectif de faire respecter les cessez-le-feu signés dans les pays d’Afrique de l’Ouest. Vouée au maintien de la paix, cette force d’interposition peut compter jusqu’à 20 000 hommes, surnommés « Casques blancs », issus des pays membres.

En 2017, 7 000 de ces hommes furent déployés en Gambie à la suite de troubles politiques entre le président sortant et le président nouvellement élu.

La Côte d’Ivoire, qui dispose de 27 000 soldats, a d’ores et déjà indiqué qu’elle « fournira un bataillon » de 850 à 1 100 hommes au sein de la force de la Cedeao.

Les autres pays membres n’ont pas précisé le nombre de militaires qu’ils comptaient déployer.

Le poids lourd de l’organisation est toutefois le Nigeria qui peut mobiliser jusqu’à 120 000 hommes de son armée régulière et 32 000 réservistes.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-11 13:57:56

Congo – Force Publique : Intronisation des officiers de direction récemment nommés à leurs fonctions

Le ministre de l'Intérieur, de la Décentralisation et du Développement local, Raymond Zéphirin Mboulou, a procédé jeudi 10 août à Brazzaville, à l’intronisation de quatre officiers assumant des directions à la Police et la Gendarmerie, récemment nommés à leurs fonctions par décret présidentiel.

Ils sont quatre officiers de haut rang, a avoir été intronisés par le Ministre Zéphirin Mboulou. Des hommes qui par leur engagement à la tâche, ont bénéficié de l’attention de la hiérarchie et surtout de celle du Chef Suprême des Armées, qui leur a témoigné de sa confiance, en les engageant davantage au sens du devoir qui les distingue et pour lequel ils se sont toujours investis, pour l'honneur de la Patrie.

Il s’agit du général Jacques Antoine Bouity (à l'extrême droite sur la photo), comme Inspecteur général de la Police et de la Gendarmerie; du colonel Okoko Esseau (en deuxième position en partant de la gauche), comme Directeur de l'administration et de la formation de la Police et de la Gendarmerie; du colonel Belarmin Ndongui (à gauche du ministre) comme Directeur de la stratégie et de la communication du ministère de l'Intérieur, de la décentralisation et du développement local ; et du colonel Michel Innocent Peya ( le premier en partant de la gauche), comme Directeur des finances et de l'équipement du ministère de l'Intérieur, de la décentralisation et du développement local.

Cette cérémonie a été suivie d'une remise de véhicules à la police et à la gendarmerie par le ministre Mboulou.

Tous les quatre promus ont été congratulés par leurs frères d’armes.

La discipline dans leur engagement à servir, le courage dans la défense desdits engagements et l'honneur de s'effacer personnellement dans leur action pour la patrie, a toujours marqué ces officiers.

Stendhal n'a t-il pas dit: "L’armée est une école de discipline, de courage et d’honneur." Et quand officiers, sous-officiers ou hommes de rangs reçoivent une mission de commandement ou une citation d’honneur du chef suprême des Armées en personne, le bonheur se savoure dans la discipline et l’on s’arme de courage pour donner davantage le meilleur de soi même se disant, « à cœur vaillant, rien d’impossible ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-11 12:08:21

Congo – Ville de Dolisie : Citoyen d’honneur de la ville, Pierre Mabiala a remis en toute transparence les fonds récoltés et a pris part à la messe œcuménique d’action de grâce

La cathédrale Saint Paul de Dolisie a abrité samedi 5 août, une messe œcuménique à laquelle ont pris part les fidèles des églises catholiques, protestantes, salutistes et autres orthodoxes. Cette messe a été rehaussée de la présence du Ministre d’État Pierre Mabiala, citoyen d’honneur de la ville de Dolisie. Il s'est également agit pour le Ministre d'État Pierre Mabiala, de la remise des fonds recoltés dans un esprit de parfaite transparence.

Implorer la grâce de Dieu face aux épidémies traversées par la ville de Dolisie, l’instant emprunt de ferveur spirituelle se voulait un moment de communion dans un élan de prière.

Aux cotés des fidèles venus en grand nombre, Pierre Mabiala, citoyen d’honneur de la ville, les autorités civiles et militaires du département du Niari, ceux de la ville de Dolisie ainsi que les membres de la commission nationale de gestion du fonds de lutte contre les épidémies qui sévissent à Dolisie, étaient tous présents.

Dire que dans cet élan fraternel, et surtout d’unité des fils et filles de Dolisie, la messe avait pour objet d’implorer en toute humilité la grâce du Seigneur, afin qu’il donne la guérison à tous les malades hospitalisés dans les différents centres de santé de la ville, de même qu’il accorde le repos éternel à tous ceux qui nous ont quittés.

Après avoir remercié le gouvernement ainsi que la commission nationale de gestion des fonds des fils et filles du Niari pour le soutien aux malades, initié sous le leadership du Ministre d’État Pierre Mabiala, les hommes de Dieu ont dans leurs prêches, réitéré le message d’unité, appelant à bannir la division. Allusion faite à certaines personnalités politiques référencées à Dolisie, qui depuis la survenue des épidémies, en dépit du « retard à l’allumage » ou des atermoiements qu’ils ont accusés dans l’assistance aux malades, se sont hélas engagés, une fois remis de leur torpeur, à faire cavalier seul, plutôt que de mutualiser les moyens.

« C’est dans les moments difficile que nous devons oublier nos petites querelles, pour pouvoir être ensemble », a rappelé le prêtre catholique à leur endroit.

« Le sanitaire n’a pas de couleur. Tous les fils et filles de Dolisie, voire du Niari, doivent s’associer à cette dynamique, afin de venir au chevet de nos frères et sœurs plongés dans l’épreuve de la maladie », a conclu le pasteur protestant.

Avant de clôturer la messe, ainsi que le veut la tradition œcuménique, des prières ont été dites, pour implorer la grâce de Dieu, afin que disparaissent les épidémies.

Pour les hommes de Dieu, la présence notoire du Ministre d’État Pierre Mabiala, fils et citoyen d’honneur de la ville, qui s’est impliqué sans discontinuer, depuis la survenue des épidémies, demeure une marque de soutien aux personnes en difficulté.

Aussi, en ces temps difficiles, ont-ils appelé tous les fils et filles de Dolisie à plus d’amour et de solidarité envers les victimes des différentes épidémies.

Rappelons que le fonds de soutien a engrangé la somme de 74 millions de francs CFA, répartie ainsi qu'il suit: 53 millions destinés à l'achat des médicaments pour la riposte, 21 millions affectés à la prise en charge du personnel hospitalier quasiment placé en astreinte auprès des malades. Ces fonds sont gérés par le comité de gestion.

En marge de la messe d'action de grâce, une autre collecte a été initiée sur place à Dolisie, en présence du Ministre d'État Pierre Mabiala qui en a une fois de plus donné le coup d'envoi, question de tenter de combler les besoins de la riposte, en sus de l'action gouvernementale.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-08 09:22:59

France-Hélène Conway-Mouret : « Les Africains ont besoin qu’on écoute ce qu’ils ont à dire »

La sénatrice (PS) des Français de l'étranger, Hélène Conway-Mouret n'y va pas par quatre chemins lorsqu'il s'agit de dire ce qu'elle pense de la politique africaine de la France. Dans une interview exclusive accordée au journal Le Point, elle a déclaré que « les Africains ont besoin qu'on écoute ce qu'ils ont à dire. Nous ne pouvons plus arriver avec des certitudes. Malheureusement, nous n'avons pas assez évolué sur cette approche. Et aujourd'hui, nos maladresses ou propos déplacés sont allègrement relayés sur tous les réseaux sociaux localement. Il faut vraiment que notre personnel politique fasse très attention à ses prises de parole, la moindre petite phrase malheureuse peut avoir des conséquences irrémédiables ».

Hélène Conway-Mouret arpente le terrain ces derniers mois, avec pas moins de trois pays visités depuis le début de l'année 2023 et délivre un constat amer concernant la présence française sur le continent africain.

« Depuis l'Ouest jusqu'à l'Est, en passant par l'Afrique centrale », la responsable politique estime que les Africains oscillent entre l'hostilité et l'indifférence.

Comment en est-on arrivé là ?

L'ancienne ministre déléguée chargée des Français de l'étranger sous le gouvernement Ayrault pointe tout à la fois, le manque de concertation dans la définition même de la stratégie française en Afrique, l'absence de la France dans des marchés clés, et aujourd'hui une politique des visas trop restrictive.

Pour Hélène Conway-Mouret, les Français n'ont pas de temps à consacrer à l'Afrique. Tout se passe comme si l'Afrique était un sujet secondaire.

« Je pense qu'au contraire, il faut sérieusement considérer ce continent, mieux le comprendre, et appréhender les réalités du terrain. Car l'avenir se joue là-bas », a martelé la sénatrice (PS) des Français de l'étranger.

« En Afrique centrale, je note un désintérêt croissant. La France a perdu sa place de partenaire privilégié dans plusieurs pays avec lesquels elle a, pourtant, un passé colonial fort. C'est terminé, ce temps est révolu. Désormais, nous sommes au même rang que les autres pays, nous devons mériter notre place de partenaire et il n'y a plus de capital de confiance sur lequel nous pouvons compter. Nous ne sommes plus les seuls et nous ne sommes plus les meilleurs, et pourtant nous continuons de considérer que c'est le cas. Nous sommes face à une jeune génération qui est dans le rejet du colonialisme, et qui n'a pas connu la Françafrique. En face, la France ne les fait plus rêver. Avant, dans ces pays pour la plupart francophones, il était possible de venir faire ses études en France, il y avait des partenariats pour la formation, de nombreux échanges à travers la coopération, aujourd'hui, nous avons une politique de visas qui est trop restrictive, notamment dans plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique du Nord», a ajouté Hélène Conway-Mouret .

Jarele SIKA / Source Le Point

Créé le 2023-08-08 01:54:51

Congo – Diplomatie : L’Ambassadeur de Chine Ma Fulin est arrivé en fin de mission

Il aura été l’un des Ambassadeurs de Chine dont le séjour au Congo aura été des plus prolifiques. Ma Fulin s’en va après 5ans de mission.

Le 3 août 2023, le Président de l’Assemblée nationale a reçu Son excellence Ma Fulin, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Populaire de Chine en République du Congo.

Outre les adieux que l’Ambassadeur de Chine arrivé en fin de mandat considère comme un au revoir, les questions de coopération entre la Chine et le Congo ont été évoquées tout au long de l’audience.

L’Honorable Président a salué la qualité du travail réalisé par l’Ambassadeur Ma Fulin et lui a souhaité bonne continuité dans l’exercice de ses futures fonctions.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-06 21:40:10

Congo – Élections sénatoriales : Le PCT en ordre de marche pour conserver la majorité au Sénat

La campagne des sénatoriales est ouverte depuis le 5 août. Afin de mettre les candidats du Parti Congolais du Travail en ordre de bataille, Pierre Moussa, secrétaire général dudit parti a entretenu les grands électeurs ainsi que les candidats de son parti, pour leur repréciser les enjeux des présentes élections.

« Les élections sénatoriales prochaines sont d'un enjeu majeur pour notre parti dans la mesure où la victoire à celles-ci lui permettront de préserver sa majorité au Sénat et de stabiliser ainsi son ancrage au parlement, pour une exécution sereine du projet de société du président de la République », a rappelé Pierre Moussa.

Ces mots semblent exorciser les sons discordants qui ont été un temps perçus, de la part de certains cadres du parti qui ont publiquement dénoncé le choix des candidats par la direction politique.

Face à cette tentative de démobilisation, Pierre Moussa a invité ses « camarades à resserrer les rangs ».

« Nous devons plus que jamais pendant cette période cultiver l'unité, la cohésion, la discipline et la solidarité. Nous devons également faire preuve d'engagement, de détermination et d'intrépidité dans l'action de mobilisation de l'électorat », a t-il dit.

Aux conseillers, donc aux électeurs, Pierre Moussa a reprécisé la mission.

« Vous avez été mandatés par ce peuple souverain dont la volonté clairement exprimée lors des échéances électorales précédentes ne devrait pas être trahie. Vous avez donc l'obligation de suivre la voie indiquée par vos mandants en donnant au président Denis Sassou N’Guesso tous les moyens politiques pour assumer avec l'efficacité souhaitée le destin du peuple congolais ».

Dire que le PCT est paré pour des victoires qui ne font assurément pas de doutes, au regard de son poids électoral, ainsi que celui de ses alliés. Les élections sénatoriales se dérouleront le 20 août 2023.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-06 20:33:27

« Le combat écologique de Denis Sassou Nguesso, l’engagement d’une vie pour la paix climatique » le nouveau livre évocateur de l’écrivain–chercheur congolais, Dr Michel Innocent Peya

À l’heure où les États modernes se divisent sur les moyens de réagir aux crises écologiques annoncées, cet ouvrage dresse une vue panoramique détaillée du combat écologique du Président de la République du Congo, Son Excellence Denis Sassou N’Guesso. Il résume et explique le parcours évolutif de l’engagement écologique d’un chef d’État soucieux du sort de la planète et des générations futures, en commençant par mettre en exergue la dimension spirituelle de ce combat écologique qui se traduit par la réalité anthropologique des relations de l’Homme à la Nature. Il présente ensuite et explique la vision verte d’un Président de la République qui sous-tend son évangile de management de l’environnement et du développement durable.

BILOT 1

Préfacé par Florent Tsiba, Ministre d’État, et Directeur du Cabinet du Chef de l’État congolais, cet ouvrage retrace et explique de manière thématique le parcours du combat écologique que le Président Denis Sassou N’Guesso mène depuis maintenant quatre décennies pour la défense de la nature, la protection de l’environnement au profit du développement durable, de la paix et des générations futures.

En effet, fasciné et façonné par la nature, motivé par le destin et guidé par la terre, l’homme du manguier, du fleuve et de la souris, symboles de la biodiversité et de l’écosystème, marque son attachement à la protection de l’environnement dès les années 1970. 

De la forêt, Denis Sassou N’Guesso a très tôt perçu la relation entre l’homme et cet univers dont il a su capter la force vitale, dans un élan quasi cultuel, voire initiatique. C’est au cœur de la forêt, celle de la Cuvette congolaise, qu’il naquit et c’est aussi en milieu forestier, dans le massif du Chaillu au Niari, qu’il s’initia à la vie d’adulte.

T2Alors que la question écologique ne faisait pas encore l’objet d’une grande attention et préoccupation mondiale, Denis Sassou N’Guesso, qui venait de faire ses premiers pas dans l’arène politique gouvernementale, avait une longueur d’avance en termes de vision écolo-optimiste, laquelle vision va au fil du temps révéler le destin du combattant écologique de cet homme d’État africain engagé pour la planète.

Vision

Au début des années 1970, la communauté internationale va commencer à s’intéresser à la question de la protection de l’environnement. En Occident, en cette même année, l’environnement entre dans le champ politique. Cette politisation et cette internationalisation de la question de la protection de l’environnement doperont l’engagement et l’élan du président Sassou.

Dès 1979-1980, l’homme d’État lance sa première initiative écologique dont le retentissement a franchi les frontières nationales de la République du Congo : une école et un champ ; un écolier et un arbre.

En novembre 1986, il institutionnalise, au plan national, la Journée Nationale de l’Arbre (JNA). Ce qui fait de lui le pionnier de la lutte contre le réchauffement climatique.

Anto

L’intensification des émissions à effet de serre, avec comme conséquence le dérèglement permanent du climat, l’a poussé à prendre à bras le corps la défense des victimes des grands pollueurs en vue du rétablissement de la justice contre l’industrialisation sans conscience écologique.

Devenu acteur majeur international de lutte pour la protection de l’environnement mondial, Denis Sassou N'Guesso a multiplié des alertes, quarante ans après, sur les dangers qui guettent la planète (séismes, inondations, cyclones, incendies, tsunamis, sécheresses, tempêtes, etc.), considérés comme des composantes de la Bombe N, contre laquelle aucun système de défense n’est efficace.

BOMBE N

Toutes ces calamités, conséquences des comportements écolo-irresponsables, sèment la mort et la désolation sur la planète. Comme pour conjurer le sort face à ce tableau sombre et qui ira de mal en pis, si rien n’est fait, fidèle à son engagement pour la défense de la planète, l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya vient de publier un nouvel ouvrage présenté en deux volumes : Le combat écologique de Denis Sassou N’Guesso, l’engagement d’un homme pour la paix climatique.

BILOT 6

En véritable auteur de best-seller qu’il est, le Dr Michel Innocent Péya relève avec force-détails, l’action éclairée du président congolais dans la lutte contre le réchauffement climatique, générateur de toutes les catastrophes d’une nature en furie, qui hélas échappent à la volonté des humains qui en subissent les affres.

L’auteur démontre qu’au cœur de ce pacte entre la nature et les hommes, Denis Sassou N’Guesso a su anticiper les effets des changements climatiques par des actions de préservations, en des temps où de mémoire d’hommes, rien ne prédisposait à ces bouleversements dévastateurs.

T3Aussi, Denis Sassou N’Guesso initiait-il des actions visionnaires, sinon prémonitoires, comme pour dire avec Amadou Hampâté Ba, « qu’il faut se souvenir que la non-visibilité, la non-palpabilité, la non-sensibilité d’une chose ne sont pas pour autant des preuves absolues de sa non-existence. »

Dire que toute chose visible est en rapport avec une force invisible qui a pouvoir sur elle, et à laquelle il faut s’adresser si on veut l’utiliser. Un postulat qui consacre la sacralisation du lien entre l’écologie, la paix et la promotion de l’engagement historique sans faille d’un leader politique, Denis Sassou, qui s’est offert comme don pour les générations futures.

Cliquez sur la photo pour lire la vidéo.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-04 17:10:41

Brazzaville : Levée de fonds pour la réhabilitation de l’école primaire publique de la Poudrière

Le Rotary Club Brazzaville Téléma a organisé le 28 juillet dernier à Brazzaville, une collecte de fonds pour les travaux de réhabilitation de l’école primaire publique du quartier la Poudrière, dans le 4e arrondissement de la ville capitale, Moungali. Cette cérémonie de collecte de fonds a été couplée à la passation de charges à la tête du Rotary Club Brazzaville Téléma, entre Gbaguidi Vulgis, président sortant, et Raïssa Okiemy Etoa, la nouvelle présidente.

En effet, cette soirée de collecte de fonds et de passation de collier s’est déroulée dans un hôtel de la ville capitale, sous la présence de tout le staff du Rotary Club, notamment : du Rotary Club Brazzaville Téléma, du Rotaract, des rotariens, présents à Brazzaville.

Cette collecte a pour objectifs, l’amélioration des conditions de vie scolaire et de travail des élèves et des enseignants dans le respect des axes stratégiques du Rotary.

Le président sortant, Monsieur Vulgis Gbaguidi, après avoir remercié les amis et amies rotariens, les jeunes membres du Rotaract et toute l’assistance a, par vidéo-projecteur, procédé à la présentation des structures scolaires ayant déjà bénéficié de cette réhabilitation puis la réfection.

Etant donné que la première partie de la réhabilitation de ladite école avait été entamée pendant son mandat (2022-2023), donc sous sa présidence.

Cette première phase de réhabilitation concernait les latrines et le point d’eau dans l’enceinte de la cours de l’école. En passant le témoin à Mme Raïssa Okiemy Etoa, celle-ci aura l’impérieux et noble devoir de poursuivre la tâche déjà entamée par son prédécesseur.

La nouvelle présidente, Mme Raïssa Okiemy Etoa, qui a une année d’exercice du mandat, aura pour mission, de continuer avec ledit projet de réhabilitation de l’école.

Ainsi, à travers elle, le Rotary Club Brazzaville Téléma a l’ambition de construire le mur de clôture de l’école ; de refaire le vieux bâtiment et d’en construire un autre et un bâtiment administratif puis une aire de jeuxqui aura entre autres, un terrain de basketball.

« Je dis merci à mon prédécesseur, pour le travail abattu, à vous tous, qui j’ose espérer que chacun ici va mettre sa main à la poche, pour une contribution efficace et efficiente à cette soirée de collecte de fonds, afin d’améliorer de façon réaliste les conditions de travail de nos enfants et enseignants de l’école primaire la Poudrière. ’’Téléma toujours debout’’ », a déclaré la nouvelle présidente.

Mme Raïssa Okiemy Etoa, dit Mavéré, a ainsi le devoir de mener à bien et à bon escient ce projet salvateur et propice pour le bien-être et le mieux-être de nos enfants et du monde scolaire de cette école.

Par conséquent, la mobilisation de fonds pour la réalisation de cette deuxième phase des travaux nécessite une cagnotte de cinquante millions (50.000.000) FCFA.

A noter que, le Rotary Club Brazzaville Téléma par sa vocation, est de donner la vitalité aux populations par des actions de bienfaisance.

VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-03 09:04:27

Congo - Accident ferroviaire de Mvoungouti : Les victimes et ayants droit en passe d’être indemnisés 32 ans après

Une note de la Caisse Congolaise d’amortissement, publiée en date du 1er août, fait état du payement d’une première tranche de l’indemnisation des victimes et ayants droit de l’accident ferroviaire de Mvoungouti. Ce dédommagement arrive 32 ans après une catastrophe pour laquelle beaucoup de blessés sont décédés depuis, faute d’assistance, après avoir souffert le martyre.

L’annonce de la Caisse Congolaise d’amortissement a ravivé en certains des plaies longtemps cicatrisées dans l’indifférence des autorités, de même qu’elle a rappelé à tous que l’État n’oublie jamais ses dettes et qu’il est prêt à les honorer, si les disponibilités financières le permettent. Ce qui fait renaître de l’espoir auprès des victimes encore vivantes, dont beaucoup portent les stigmates de leurs blessures, ou leurs ayants droit qui penseront à leurs parents décédés. Enfin !

Pour rappel, l'accident ferroviaire de Mvoungouti est intervenue à la suite de la collision frontale entre un train de passagers parti de Pointe-Noire et un train de marchandises s’y rendant, dans la nuit du 5 au 6 septembre 1991 au niveau de la gare de Mvoungouti, dans le département du Kouilou.

Le bilan fut de 133 morts, dont 104 pour lesquels les corps avaient été retrouvés, les 29 autres étant portées disparus. Plus de 300 blessées de diverses gravités furent dénombrés. Il s'agit de l'accident ferroviaire le plus meurtrier au Congo.

Les morts furent enterrés à Pointe-Noire, dans un carré du cimetière de Mongo Kamba, depuis laissé à l’abandon.

Cet accident pour lequel les blessés furent acheminés à Pointe-Noire et Dolisie, transporta également la catastrophe dans les hôpitaux submergés et montra l’absence de plan sanitaire d’urgence ou plan blanc, pour les hôpitaux congolais.

Depuis, la situation est restée en l’état et chaque catastrophe générant de nombreux malades ou blessés est gérée avec les mêmes tâtonnements, comme si elle était la première.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo Brazzaville

Créé le 2023-08-03 08:31:15

Côte d’Ivoire : Henri Konan Bédié est mort

L’ancien président Henri Konan Bédié est mort dans un hôpital privé à Abidjan. L’annonce a été faite mardi soir par un membre de la communication de son parti.

Une page de l’histoire politique de la Côte d’Ivoire se tourne. L’ancien président Henri Konan Bédié est mort mardi, à l’âge de 89 ans.

Henri Konan Bédié est décédé à la Polyclinique internationale Sainte Anne-Marie d’Abidjan.

Partisan du concept nationaliste « d’ivoirité », il avait succédé à Félix Houphouët-Boigny en 1993.

Chef de l’État de 1993 à 1999, Henri Konan Bédié n’avait pas exclu d’être candidat à la prochaine élection présidentielle en Côte d’Ivoire. Il avait été désigné fin mars candidat unique à sa succession à la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) - principal mouvement d’opposition et parti du premier président ivoirien, Félix Houphouët-Boigny.

Henri Konan Bédié avait appelé fin mars les membres de son parti à s’unir pour remporter la prochaine élection présidentielle en 2025, qui suivra les élections municipales et régionales prévues le 2 septembre prochain.

Né le 5 mai 1934 dans le village de Dadiékro (centre) au sein d’une famille de planteurs de cacao, Henri Konan Bédié, « HKB » se voulait l’héritier et le successeur de Houphouët-Boigny, d’ethnie baoulé comme lui.

Un temps allié avec le président Alassane Ouattara élu pour la première fois en 2010, Henri Konan Bédié était retourné depuis 2018 dans l’opposition où il s’est rapproché des partisans de Laurent Gbagbo.

Nommé ambassadeur à 26 ans, ministre de l’Économie à 32 ans, il était connu notamment pour son concept nationaliste voire xénophobe, « l’ivoirité ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-08-02 08:00:00

France : Jean Jacques Jarele Sika et Rose Nzila ont convolé en justes noces

Devant l’adjointe au maire de Melun qui a célébré le mariage, notre confrère Jean Jacques Jarele Sika et mademoiselle Rose Nzila se sont dits oui pour l’éternité, samedi 29 juillet. La cérémonie s’est déroulée en présence des parents, collègues, amis et connaissances.

Leurs cœurs s’étaient rapprochés dans un élan vital, celui de l’Amour. Puis, se lier pour exister, et donner du sens à cette communauté de destin, Rose et Jarele l’ont magnifié par les liens du Mariage.

Quand arrive la mariée à la mairie, le sourire qu’elle arbore est tout autant expressif qu’il exprime sa personnalité, celle de construire un ordre nouveau en elle qui devient madame Sika.

L’entrée dans la salle où l’attend déjà Jarele, est saluée par les parents, collègues, amis et connaissances.

Chacun a tenu à marquer de son emprunte, ce moment mémorable pour accompagner les mariées et écrire avec eux, un chapitre de leur vie commune.

Chapitre des noces, pour lequel on dit fièrement, « j’y étais ».

S’en est suivie la célébration qui s’est déroulée en trois étapes : Madame le Maire a lu à l’attention des mariés, les articles 212 à 215 portant sur les devoirs et des droits respectifs des époux et l'article 371-1 du Code civil ayant trait à l'autorité parentale.

Elle a ensuite recueilli l'échange des consentements des deux futurs mariés, avant de prononcer la phrase sacramentelle affirmant que les époux sont « au nom de la loi unis par le mariage ».

L’échange des anneaux a été un moment pendant lequel l’assistance a fait silence, pour sentir, percevoir, écouter, ces paroles prononcés avec passion et émotions expression de deux cœurs qui battent la mesure de leur amour, deux âmes qui dessinent le réel chacun au cœur de soi-même, garant du bonheur de l’autre.

Tous deux ont à l’unisson, conjugué le verbe aimer dans un élan de création de la parole sacrée, preuve d’un amour qui a pris pour témoin l’assistance présente.

Signature des actes de mariage par le maire, les époux puis les quatre témoins, deux pour l’époux et deux autres pour l’épouse.

Enfin dans une solennité aux paroles fécondes que vivifiantes, madame le Maire a prodigué aux mariés quelques conseils, en les appelant à se souvenir de la solennité de cet instant, chargé du sens d’une union, celle à laquelle ils ont consenti par amour.

S’en est suivi le baiser rituel à la demande de l’assistance.

Après la séance des photos avec les mariés, un vin d’honneur à été servi sur une péniche en bord de Seine, à Melun.

Le bouquet final des festivités a été le diner de noces servi à la salle des fêtes « La Rose 77 »à Boissise-le Roi.

Une soirée riche en couleurs et en sons qui s’est prolongée jusqu’aux premières heures de la matinée du 30 juillet.

Les convives ont goûté aux mets aussi divers que variés, le tout agrémenté par les sonorités musicales proposées par le DJ de la soirée.

Parmi les invités, deux musiciens, notamment Delvis El Salsero qui a composé une chanson pour la circonstance et Sam Talanis ont presté devant les mariés et les convives.

Question pour eux de témoigner de leur reconnaissance envers le journaliste et chroniqueur de musique, qu’est Jarele Sika.

Remise des cadeaux aux mariés, dégustation du gâteau, dire que la fête aura marqué les esprits car bien réussie.

Bon vent à Rose et Jarele Sika.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-07-30 18:34:57

L’hommage d’Alain Akouala Atipault à Mohamed Bazoum après le coup d’état au Niger

Le président de la Commission nationale d’auto-évaluation du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP), Alain Akouala Atipault a rendu hommage ce jeudi 27 juillet 2023, au Président du Niger, Mohamed Bazoum, démocratiquement élu en 2021 et renversé mercredi 26 juillet par des militaires putschistes.

«Hommage à un homme que j’ai eu le privilège de rencontrer, très lucide face aux innombrables défis auxquels son pays et l’Afrique doivent absolument relever sous peine de compromettre notre progression », a écrit Alain Akouala Atipault sur son compte Twitter.

Après le Mali et le Burkina Faso, le Niger devient le troisième pays du Sahel à connaître un coup d'Etat depuis 2020. La région est minée par les attaques de groupes liés aux jihadistes.

La déclaration des militaires à la télévision nationale est intervenue à l'issue d'une journée de tensions à Niamey marquée par ce que le régime a appelé "un mouvement d'humeur" de la garde présidentielle.

"Cela fait suite à la dégradation continue de la situation sécuritaire, la mauvaise gouvernance économique et sociale. Nous, Forces de défense et de sécurité, réunis au sein du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, avons décidé de mettre fin au régime que vous connaissez", a justifié le colonel-major Amadou Abdramane, entouré de neuf autres militaires.

La déclaration des putschistes semble montrer que tous les corps de l'armée, de la police, et de la gendarmerie se sont ralliés à la garde présidentielle.

Le Président Mohamed Bazoum qui se porte bien, est séquestré, avec sa famille, à l’intérieur de sa résidence par des militaires depuis mercredi matin. Ce coup de force est « fermement » condamné par l’ONU, la Cedeao et la France.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-07-27 13:16:21

Congo – Jeux de la Francophonie : Les Diables Rouges U20 victimes de l’amateurisme chronique du ministère des Sports

Faute de lieu d’hébergement réservé avant le voyage, les joueurs U20 du Congo-Brazzaville qui prennent part aux Jeux de la Francophonie à Kinshasa, ont passé une bonne partie de la nuit de mercredi 26 à jeudi 27 juillet dans le bus les ayant conduit depuis le Beach Ngobila. Une fois de plus, le ministère des Sports s’est illustré par son amateurisme chronique en matière d’organisation et d’encadrement des voyages des équipes nationales.

L’équipe U20 football des Diables Rouges a traversé le fleuve Congo le mercredi 26 juillet 2023 pour prendre part aux jeux de la francophonie dans la capitale de la RDC.

Visiblement, les responsables en charge du Sport dans notre pays n'avaient pris aucune disposition en y envoyant par exemple des précurseurs pour faire éviter à nos jeunes footballeurs ce genre de martyre.

Même à Kinshasa, à quelques hectomètres de Brazzaville, ils ont été incapables de faire amende honorable. S'assurer du lieu d'hébergement, de restauration, voir d'entraînement de l'équipe, mis à disposition par l'organisateur et apporter des correctifs si possible, le Trésor public ayant décaissé des fonds pour la compétion.

Le chef de la délégation, cadre du ministère des Sports, a été dans l'incapacité de trouver une solution à cette dramatique situation.

Cette mésaventure n’est pas un cas isolé. Pour réaliser des économies de bout de chandelle, sinon dégager des subsides pour les chefs de délégations missionnés, les responsables du ministère des Sports ne se privent pas d’imposer souvent aux délégations devant voyager pour une compétition ou une rencontre, des détours en avion éprouvants, avec des temps de correspondance allant jusqu’à deux ou trois jours.

Pendant cette odyssée, les joueurs sont abandonnés à leur triste sort.

Comment donc peut-on s’attendre à de meilleures performances, quand les autorités sportives créent insidieusement les conditions de l’échec.

Une fois de plus, elles sont prises en flagrant délit de démission nationale, de traitrise, sinon d’incompétence.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2023-07-27 13:11:23

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