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Les autorités congolaises condamnent les propos d’Alain Mabanckou

Le porte-parole du gouvernement congolais, Thierry Moungalla a condamné avec force, les propos de l’écrivain franco-congolais, Alain Mabanckou qui ne cesse de tirer, depuis Paris, des balles en caoutchouc sur le pouvoir de Brazzaville.

Créé le 2016-05-14 05:30:42

Zlatan Ibrahimovic dit bye-bye au Paris Saint-Germain

La star suédoise du Paris Saint-Germain, Zlatan Ibrahimovic a annoncé vendredi 13 mai sur son compte Twitter, son départ du club parisien.

Créé le 2016-05-13 14:21:29

Brésil : le nouveau président par intérim Michel Temer a pris ses fonctions

Le nouveau président par intérim du Brésil, Michel Temer, a pris ses fonctions jeudi 12 mai 2016, après la mise en accusation de Dilma Rousseff par le Sénat fédéral, en vue d'un procès en destitution.

Créé le 2016-05-13 07:35:17

Brazzaville : Clément Mouamba remercie les habitants de Bacongo

Le premier ministre congolais, Clément Mouamba a remercié jeudi les habitants de Mbama, un des quartiers du deuxième arrondissement Bacongo suite à leur réaction fraternelle exprimée le 23 avril 2016 après sa nomination par le président Denis Sassou Nguesso.

Créé le 2016-05-13 07:13:43

Le FMI met en garde les pays africains contre l’endettement lié au financement des projets d'infrastructures

Le premier directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI), David Lipton a appelé les pays africains à trouver le bon équilibre en ce qui concerne le financement des projets d'infrastructures pour éviter de tomber dans le piège de l’endettement excessif.

Créé le 2016-05-13 07:05:09

RCA : François Hollande attendu à Bangui ce vendredi

Le président français, François Hollande est attendu ce vendredi  en début d'après- midi à Bangui pour sa troisième visite de travail en Centrafrique.

Créé le 2016-05-13 06:54:59

Pierre Mabiala s'impose en ''gendarme'' du recouvrement des créances de banques désabusées

Il a changé de département ministériel sans abandonner ses ''méthodes de tracteur''. Pierre Mabiala promet la prison à tous les clients de banques qui n'auront pas remboursé leurs crédits dans les délais.

Tous les clients malveillants et véreux, ayant obtenu légalement des crédits dans les banques, mais qui disparaissent dans la nature, sans rembourser la dette, courent le risque d’être arrêtés pour abus de confiance, conformément à la loi, a promis le nouveau ministre de la Justice, des droits humains et de la promotion des peuples autochtones, Pierre Mabiala, à l’issue d’un entretien avec les responsables de la BCH et de BDEAC.

Au regard du tableau, on serait tenté de titrer : ''les bons, le justicier et les méchants'' une façon somme-toute personnelle de revisiter ce vieux ''western'', ''le bon, la brute et le méchant''. Le jeu de rôles s'y prend bien.

Nouvellement installé dans ses fonctions, le ministre Pierre Mabiala voudrait vite passer à l’action, suivant les exigences de la nouvelle République. 

À l'issue d'un entretien jeudi avec le vice-président de la Banque de développement des États d’Afrique Centrale (BDEAC), Armand Guy Zounguéré-Sokambi et le directeur général de la BCH Congo, Fadel Guizani, les deux dirigeants d’institutions bancaires ont informé le ministre de ce que certains clients refusent de rembourser les crédits qui leurs sont accordés.

Pierre Mabiala a promis de sanctionner sévèrement, et sans complaisance, tous les contrevenants ainsi que leurs ''acolytes''.

« Les banques ont aussi pour mission d’octroyer des crédits aux demandeurs. Nous constatons que ces bénéficiaires, qui pourtant ont signé des textes et donné des garanties, ne veulent plus payer, et disparaissent dans la nature. Le plus souvent, ils se cachent dans les tribunaux, en complicité avec certains cadres qui y travaillent. Dommage, cela ne se fera plus car le tribunal n’est pas un endroit où doivent se réfugier les délinquants », a tranché le ministre Pierre Mabiala.

Constant dans ses méthodes et son verbatim parfois acerbes, Pierre Mabiala a conclu ses propos par un zeste de menace : « lorsqu’un client décide de contracter une dette, il faut bien qu’il la paie, sinon je donnerai des instructions au procureur pour qu'il soit arrêté et jeté en prison, j’y veillerai moi-même ».

Le ministre de la Justice, des droits humains et de la promotion des peuples autochtones s’est dit être imperturbable quand il s’agit de mettre un terme à ce genre de situation, au regard des instructions reçues du chef de l’État.

Dans leurs échanges, ces deux responsables de banques ont aussi soumis à Pierre Mabiala plusieurs autres dossiers de grande importance, pour lesquels le ministre s’est engagé à veiller personnellement jusqu’à leur aboutissement.

« Ils m’ont fait état de beaucoup de dossiers, j'y veillerai personnellement jusqu’au bout. Vous entendrez des échos, parce que ce sont ces gens-là qui détruisent l’économie du pays. Nous sommes au temps du "Tout économie", "Tout social" et cela ne peut se faire s’il n’y a pas de banques », a précisé le ministre Pierre Mabiala.

Les banquiers ont aussi sollicité  l'appui du ministre, dans l’assainissement et la promotion du climat des affaires, afin que ces institutions financières contribuent elles aussi à la diversification de l’économie nationale enclenchée par le gouvernement depuis quelques années.

Germaine MAPANGA

Créé le 2016-05-13 06:50:33

RDC : les experts de la COMIFAC évaluent l’accord de la COP 21

Les experts des pays membres de la Commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC) sont réunis en session extraordinaire à Kinshasa, en vue de décider des modalités de la mise en œuvre des décisions de la Cop-21.

Créé le 2016-05-12 07:54:58

Cheick Modibo Diarra : on ne lui proposait que des boulots d'éboueur en France

N'ayant pas trouvé sa chance en France après ses études, Cheick Modibo Diarra, brillant astrophysicien d'origine malienne, a témoigné qu’on ne lui proposait que des boulots d'éboueur, laveur de carreaux ou gardien de parking.

Créé le 2016-05-12 07:39:28

France : une jeune femme coupe la langue de son violeur à Toulouse

Une jeune femme, âgée de 19 ans, rentrait à son domicile lorsqu'un individu s'est engouffré avec elle dans l’ascenseur d’un immeuble situé dans le secteur de Purpan, à Toulouse.

Créé le 2016-05-12 07:29:58

Fally ipupa condamné à 5 ans de prison ?

Le célébrissime chanteur congolais, Fally Ipupa a été traduit en justice par un opérateur culturel angolais Domingos David Tati, pour non-exécution d’un contrat de production musicale en Angola, alors qu’une somme de 30.000 US $ lui avait été versée comme acompte, selon des sources concordantes.

Créé le 2016-05-12 07:20:52

Education nationale: Voici le calendrier des examens scolaires

Au Congo-Brazzaville, le calendrier des examens scolaires est désormais connu en dépit des remous qui ont secoué le département du Pool.

Créé le 2016-05-12 07:12:49

L’hôpital général spécialisé d’Oyo a coûté plus de 13 milliards de FCFA

L’hôpital général d’Oyo dans le département de la cuvette, à 400 kilomètres au nord de Brazzaville, sera définitivement opérationnel dans un délai raisonnable, a annoncé le ministre congolais de l’Aménagement du territoire et de la délégation générale aux Grands travaux, Jean Jacques Bouya qui s’est rendu mercredi, sur le chantier de ce bijou architectural.

Créé le 2016-05-12 07:04:51

RDC: Moïse Katumbi défendu par Éric Dupond-Moretti un cador du barreau français

Maître Éric Dupond-Moretti, avocat pénaliste français, a accepté de défendre l’opposant congolais Moïse Katumbi. L'ex-gouverneur du Katanga et candidat à la présidentielle est accusé par la justice d'avoir recruté des mercenaires, notamment américains et sud-africains pour déstabiliser la RDC.

Moïse Katumbi a été de nouveau convoqué pour être entendu mercredi par le parquet de Lubumbashi dans le cadre de l'enquête le concernant sur le recrutement présumé de mercenaires étrangers.

Après avoir été interrogé pendant plus de 7 heures lundi, Moïse katumbi a décidé de renforcer sa défense mardi, en associant à son équipe d'avocats congolais un des grands ténors du barreau français : Maître Eric Dupond-Moretti.

« Les organisations internationales qui militent pour les droits de l’homme affirment qu’il s’agit d’un procès totalement bidon, un procès politique qui a pour seul but d’interdire à Moïse Katumbi de se présenter à l’élection présidentielle à venir », a déclaré Maître Éric Dupond-Moretti.

L'avocat ajoute qu’un « transfèrement à Kinshasa » de l’opposant congolais se fera « très vraisemblablement ».

Avec plus de 120 acquittements à son actif, l’avocat hyper médiatique est connu pour avoir défendu notamment la famille Bongo dans l’affaire des « biens mal acquis ».

Celui que l’on surnomme « Acquittator » a également défendu Najèbe Oulmoudène dans l’affaire de l’agression mortelle en 2007 à Paris de Brahim Déby, fils aîné du président tchadien.

La foule accompagne Moïse Katumbi, chemise blanche

Signalons en outre que la police congolaise a dispersé mercredi matin plusieurs milliers de partisans de Moïse Katumbi rassemblés autour et à l'intérieur du palais de justice de Lubumbashi.

Moïse Katumbi devait être entendu par un magistrat du parquet dans le cadre de l'enquête pour "recrutement de mercenaires".

Peu avant 11h00 (09h00 GMT), la foule a forcé les barrages de police pour occuper le bâtiment où devait avoir lieu l'audition. À l'intérieur du palais, la police a utilisé des matraques électriques pour disperser la foule. Puis, elle a lancé des grenades lacrymogènes sur la foule qui s'est regroupée à bonne distance, en scandant des slogans de soutien à Moïse Katumbi.

Le calme revenu, Moïse Katumbi, tout de blanc vêtu avec une écharpe aux couleurs du drapeau de la RDC, est entré dans la salle d'audience peu après 11H20 (09H20 GMT).

Son audition, à huis clos, a commencé un quart d'heure plus tard. Les magistrats chargés de l'entendre se concertaient encore pendant que la police chargeait les partisans venus bien plus nombreux que lundi, pour la première audition de Moïse Katumbi.

Toutes les autres audiences prévues au palais de justice ce mercredi ont été reportées.

Germaine MAPANGA

Créé le 2016-05-11 10:49:39

RDC : un trafiquant de bonobos arrêté dans la province de l’Équateur

Un trafiquant des bonobos, ce grand signe protégé, a été arrêté à Mbandaka dans la province de l’Équateur. Selon les éléments de la Police nationale congolaise, l'homme tentait d’acheminer son bonobo vers Kinshasa en bateau.

Le grand singe a échappé de justesse à une transaction de contrebande et peut-être aurait-il fini dans un pays tiers.

Il est à présent au Jardin zoologique de Kinshasa, dans la commune de la Gombe, alors que le trafiquant, lui, est déféré devant la justice.

La loi congolaise de 2014 sur la faune en RDC punit toute personne reconnue coupable d’avoir tué, blessé, capturé ou encore en possession d’un animal entièrement protégé, y compris l’éléphant, d’une peine de prison d’un à dix ans et/ou d’une peine d’amende de 5 à 10 millions de francs congolais (5 500 à 11 000 dollars américains).

Le trafic international impliquant des espèces intégralement protégées, tel que le trafic illégal d’ivoire est puni encore plus sévèrement de cinq à dix ans de prison et/ou d’une amende de 25 à 100 millions de francs congolais (27 000 à 110 000 dollars américains).

Le trafiquant de bonobos aura tout le temps d'étudier cette loi de sa prison de ''Makala'' en attendant son procès. De toute évidence, du fait de l'abondance de travail des magistrats, son jugement n'interviendra pas avant plusieurs années, au delà même du temps requis pour sa peine.

Germaine MAPANGA

Créé le 2016-05-11 06:48:21

Brazzaville : Interdiction de création des marchés parallèles dans les parcelles et sur le domaine public

Les conseillers départementaux et municipaux de la ville de Brazzaville dont la session s'est ouverte le 9 mai, se plancheront entre autres sur le projet de délibération portant l’interdiction de création dans le périmètre urbain de Brazzaville, des marchés parallèles dans des parcelles et sur le domaine public notamment les rues et avenues.

Créé le 2016-05-11 06:19:54

Sassou Nguesso s’est rendu sur la tombe de sa mère à Oyo

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso qui séjourne à Oyo dans le département de la cuvette, à 400 kilomètres au nord de Brazzaville depuis le 07 mai, est parti mardi a déposé une gerbe de fleurs sur la tombe de sa mère, Emilienne Mouebara décédée le 10 mai 1982.

Créé le 2016-05-11 06:12:41

Clément Mouamba a appris sa nomination en regardant la télévision

Clément Mouamba a déclaré qu’il a appris sa nomination au poste de premier ministre chef du gouvernement le 23 avril 2016, en regardant la télévision comme tout citoyen congolais.

Créé le 2016-05-11 05:58:25

Panique générale suite à l'affrontement armé entre militaires et policiers à Tanlangaï

Rond-point ''Ebina'', mardi 10 mai à 8 heures 30. Des tirs soutenus d'armes automatiques par rafales contrôlées et cadencées, une bataille rangée. Les détonations troublent la quiétude. Les balles sifflent de partout, c'est la débandade...

La tentative d’interpellation d’un policier roulant à moto sans son casque serait l’incident qui a mis le feu aux poudres.

Très tôt mardi matin, aux environs de 8h30 minutes, les habitants des cinquième et sixième arrondissements de Brazzaville (Ouenzé et Talangaï) ont connu une agitation sans pareille due aux crépitements d’armes à feu au carrefour du rond-point Ebina à Talangaï.

La scène se passe au moment où l’avenue Marien Ngouabi du côté de l’hôpital, est bouchée par un embouteillage qui ralenti considérablement le trafic en cette heure où tous veulent rallier leurs lieux d'activité.

En dépit de ce trafic au ralenti, un motocycliste monté sur une ''Djakarta'' est pris dans une course-poursuite avec un véhicule de la police-militaire à bord de laquelle les hommes en armes le tiennent en joue et lui intiment l'ordre de s'arrêter, en vain.

Subitement, la course s’arrête. Pour cause, l’interpellation par la police militaire du policier roulant à moto sans casque.

Le policier évoluant au GRB (Groupement de répression du banditisme) aurait aussitôt alerté ses collègues qui sont arrivés sur les lieux pour le délivrer.

La stratégie des policiers est à l'intimidation des militaires par des tirs de semonces sans sommations,  afin que ceux-ci libèrent leur collègue.

La méthode est jugée par la police militaire comme une bravade de mauvais goût.

Face aux tirs tendues, présentant un danger à leur endroit, en situation de légitime défense, l'officier militaire donne à ses hommes l'ordre d'engagement. Ceux-ci ouvrent alors le feux en direction de la menace. S'en suivent des échanges de tirs entre les deux unités de la force publique, appartenant l’une à la zone militaire de défense n°9 (ZMD), garnison de Brazzaville (Police militaire) et l’autre à la direction générale de la police (DGP).

Le crépitement des armes a évidemment créé une panique générale dans le voisinage du lieu de l’altercation mettant en émoi les habitants des arrondissements 5 Ouenzé et 6 Talangaï.

Dans cette débandade, les écoles environnantes ont libéré les élèvs alors que la situation n’était pas encore sous contrôle. Certains parents ont déploré cette attitude des responsables des écoles, d’autant plus que, hors des enceintes scolaires, les enfants n’étaient plus sous protection.

D’après plusieurs témoignages recueillis sur place, il y aurait eu des blessés tant du côté de la force publique que des civils se trouvant dans les parages.

Un chauffeur a à tout le moins été touché d'une balle à la jambe.

Germaine MAPANGA

Créé le 2016-05-10 22:24:12

Pointe-Noire : 5e édition du festival international d’expression féminine le 14 mai prochain

La 5e édition du festival international d’expression féminine (FIEF) qu’organise chaque année la compagnie Issima aura lieu le 14 mai prochain à l’Espace du Trentenaire de Pointe-Noire, la capitale économique du Congo.

Créé le 2016-05-10 05:51:36

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